La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 639)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 639) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 639)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (4/4) -

Demain, c’est le grand jour. Mes Maîtres reçoivent leurs amis et je dois leur faire honneur. Ils ont beaucoup investi sur moi, pour mon éducation. Ils m’ont appris toutes les règles de l’amour, du libertinage et de la soumission. Ils ont fait de moi une parfaite petite perverse une vraie vicieuse.

Ils adorent me «punir». La plus part du temps c’est Monsieur le Marquis d'Evans qui exécute les corrections : Il s’agit souvent du fouet sur les fesses, parfois sur les seins et même quelques fois il lui est arrivé de me faire rougir le coquelicot. De temps en temps il me donne aussi la fessée. C’est David qui m’attache alors, car même si je ne vais pas m’enfuir, ni même résister, les entraves donnent plus de piquant aux châtiments. D’ailleurs, je trouve ça très excitant d’être à leur entière merci. J’aime subir, avoir l’impression de n’avoir d’autre choix que celui qu’ils m’imposent. Bien que je partage complètement leurs perversités, être attachée, les yeux presque toujours bandés, fait de moi une «victime» de leurs débauches. Je suis leur esclave.

Quelques fois c’est David qui me punit : Avec lui pas de coups. Je dois me dévêtir entièrement, puis me mettre à quatre pattes. Il me passe alors un collier et une laisse autour du coup, m’attache les poignets dans le dos, me bande les yeux et me fait coucher sur une couverture à côté du canapé. Il me flatte la croupe, comme il le ferait pour sa chienne, c’est d’ailleurs ce que je suis. Je dois rester là jusqu’à ce qu’il m’ordonne de lui lécher sa délicieuse bite, puis de sucer aussi le sucre d’orge de Mon Maître, le marquis. Ensuite lorsqu’ils ont jouis tous les deux dans ma bouche, je dois me recoucher à leurs pieds. Si j’ai été bien sage, il me fourre un gode ou sa queue revigorée dans ma chapelle ardente ou dans ma caverne mystérieuse et m’astique jusqu’à la jouissance...

Cet après midi, Rose vient au château. J’en jouis d’avance ! car Rose adore me lécher. Je sais aussi que Marie sera de la partie, elle résiste rarement à une partie de gouinage. Elle aime aussi que je l’encule avec le gode ceinture. On va bien s’amuser toutes les trois… Mais demain je serai seule face aux amis de mes Maîtres, et il me faut au moins ça, pour me détendre, car j’ai vraiment le trac.

Vendredi matin, enfin le grand Jour ! Je n’ai pratiquement pas fermé l’œil de la nuit, j’ai la figure déconfite. Au petit déjeuner David me gronde :

- Tu aurais du prendre quelque chose pour dormir, regarde moi cette tête ! C’est à faire peur. Avale rapidement ce comprimé et va te recoucher. Tu dois être en forme pour ce soir : c’est ton soir ! Vers 15 heures, Rose viendra te maquiller et te coiffer. Allez, au lit et cet après midi pas de léchouilles avec Rose et Marie. Je te veux en forme lorsque je rentrerai. Sir Evans devrait rentrer vers 18 heures. Je ne veux pas qu’il te voit avec cette tête de papier mâché.

Après avoir avalé le somnifère, je suis retourné me coucher et c’est Rose qui me réveille. Marie a préparé une collation, car je n’ai rien mangé depuis la veille au soir. Puis je me laisse aller dans les mains habiles de Rose. A la fin, elle me mène devant le miroir et je n’en crois pas mes yeux. Je suis métamorphosée. Ça tient à la fois de la plus grande sophistication et pourtant j’ai bien l’air de ce que je suis : une pute ! De me voir ainsi me fait monter des frissons de partout. Je pense, je suis sûre que les amis de mes Maîtres vont être ravis. Je vais faire un triomphe. Cette transformation me remplit d’assurance. Rose a préparé mon corps comme on prépare un objet d’art que l’on doit livrer aux regards des spectateurs.

- Elle est magnifique ! S’écrit Marie, Rose tu as fais un travail superbe ! Monsieur le marquis sera ravie… et ses invités ne vont pas en revenir !
- Il faut reconnaître que la matière première est d’excellente qualité ! Renchérit Rose. Tu as vu ses seins, la cambrure de ses reins… et son cul ! A damner un saint ! Ce soir, ils vont tous vouloir mettre leur cierge dans son charmant tabernacle et dans sa grotte profonde. Quant aux femmes, elles vont se faire une joie, de se faire sucer le Temple de Cypris par une si belle et si soumise Vestale.
- Et connaissant Aurélia, comme nous la connaissons, ni ses messieurs, ni ses dames ne vont regretter leur attente d’un mois, conclut Marie.

J’ai pris l’habitude que l’on parle de moi, comme d’une chose. Ça m’excite. Je ne réponds pas à leur bavardage, je suis un objet de plaisir pour mes Maîtres et à partir de ce soir pour leurs amis. Il est normal que l’on me traite comme telle. Je n’ai pas à me poser de questions, je dois être sensuelle et obéir. Mon souci du moment est de savoir ce qu’on a prévu que je porte ce soir. C’est David qui a décidé de ma tenue, il arrive dans moins d’une heure. Il va falloir que je patiente jusque là. Pour l’instant je prends un peu de repos dans ma chambre. Je suis sagement assise dans le fauteuil de ma chambre quand David fait son entrée avec ma tenue. Il s’agit d’une jupe noire, stricte, et d’un chemisier blanc classique. Seule la possibilité d’ôter rapidement cette tenue grâce à la fermeture à glissière de la jupe et des boutons pressions du chemisier, la rend un peu provocante. Je suis un peu déçue, je pensais qu’il aurait choisit quelque chose de plus sexy, bien sûr c’est assez moulant et laisse bien deviner mes formes généreuses. S’ajoutent, un petit tablier en dentelle blanche, un collier de chienne en cuir blanc et strass, des bas noirs et des escarpins vernis. Comme je m’y attendais je ne porte aucun sous-vêtement. C’est la seule chose qui m’excite un peu.

- C’est ta tenue pour servir à table, ne fais pas cette tête ! Pour ta première prestation, tu ne te voyais pas servir complètement nue ! Rassure-toi, je ne crois pas que tu la garderas longtemps, tout juste le temps du repas. Ils savent tous que tu n’as rien dessous, ils ne vont pas se priver de te tripoter et je gage que tu serviras le café, voir peut-être même le dessert avec juste tes bas et tes talons hauts.
- Ouah, dit Mon Maître d’un air coquin, qui vient juste d’arriver. Je me la ferai bien là tout de suite !
- Tu vois, grande sotte, que cette tenue te va à ravir. Sir Evans en a le pistil tout émoustillé….
20 heures, les premiers invités arrivent. C’est Marie qui va ouvrir. Je ne dois faire mon apparition qu’après que tout ce beau monde soit passé à table. Ils sont dix, Mes Maîtres compris : Sept hommes et trois femmes, avec moi ça fera quatre.

Rose ne participe que très rarement à ces soirées. Dans l’office, j’entends les invités parler de moi. Mes Maîtres vantent mes qualités d’esclave soumise et de salope, d’objet de plaisir. Les autres ne cessent de poser des questions perverses :

- Elle suce bien ? demande une voix féminine.
- Et les pipes ? Demande un homme. Moi j’adore qu’une femme avale mon jus, est-ce qu’elle avale ?
- Elle accepte d’être enculée ? demande un autre et la double pénétration, elle n’a rien contre j’espère ?
- On pourra la baiser avec des godes ? Intervient une autre voix féminine.

- Allons mes amis, répond Monsieur le marquis, n’avez-vous jamais été déçus par l’une de nos soubrettes ? Non !... et bien croyez-moi, celle-ci surpasse toutes les autres ! En plus c’est une vraie soumise ! Elle adore être punie quand elle fait des «bêtises». Je la soupçonne même d’en faire exprès pour recevoir le fouet. On l’a déjà fouettée partout, cul, nichons et même la chatte et la petite cochonne trouve encore le moyen de mouiller. Enfin, je ne vais pas tout vous dévoiler, il faut que vous ayez la surprise. Passons à table, vous aurez tout le loisir d’admirer notre pouliche. Comme d’habitude, elle ne porte rien sous sa robe, vous pouvez toucher la marchandise, mais essayez quand même de vous tenir jusqu’à la fin du repas. C’est une novice, et bien qu’elle soit très vicieuse, il faut la faire languir avant de la consommer. Elle n’en sera que plus docile !
- Ca m’excite de t’entendre parler ainsi dit David. Si ça ne tenait qu’à moi, je me présenterai nu devant les invités pour me faire sauter sur le champ. Mais je sais que tu ne serais pas content. Je dois accepter de ménager les effets. Mais bon, c’est toi qui reçoit, c’est toi le Maître des lieux, Mais moi, ça me démange…

Puis David m’interpelle :

- Aurélia, mon petit, tu peux commencer ton service.
Je tremble de tous mes membres. Pour me réconforter, Marie glisse sa main entre mes cuisses et caresse un instant mon bouton.
- Courage, ma salope ! pense que tu vas t’en prendre de partout ce soir. Belle comme tu es, ils vont te ramoner comme tu ne l’as jamais été. Fais-moi confiance !

Timidement, je fais mon entrée dans le séjour, avec le plateau des hors d’œuvre. Tous se retourne pour me regarder. Je sens le rouge me monter aux joues, quand le silence se fait. Chaque invité me détaille de la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça m’excite. Je sais que d’ici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun d’entre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Personne ne parle. Ils en sont à l’observation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un d’entre eux a même risqué de m’effleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manœuvre. Le marquis ne perd rien des gestes de ses amis. Il me sourit gentiment comme pour m’encourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. J’ai plutôt bien réussi la première épreuve.

Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun d’entre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt :

- On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense qu’elle a des nichons de déesses et c’est un péché de nous cacher ses mamelles plus longtemps.
- Maître Dumont a raison, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maître Marsant, l’associé de mon Patron.
- Vous n’avez aucune patience, mes chers amis, intervient David ironiquement, Aurélia vient ici.

Docile, je m’approche de lui. Il se lève, se place derrière moi, d’un geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis il l’enlève aussitôt. Me voilà la poitrine à l’air devant des personnes que je ne connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de m’exhiber ainsi. David se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça m’excite de les entendre me traiter de : Salope, de chienne en chaleur, de petite pute… j’en passe et des meilleures.

- On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille !

Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il s’agit d’une mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi on a choisit ce dessert… Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel sont posées les coupes de mousse. Lorsque j’ai servi chacun des convives, Monsieur le Marquis d'Evans m’interpelle :

- Viens, approche. Nos amis veulent en voir d’avantage. Comme c’est David qui t’a enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège d’ôter ta jupe revienne à l’un de nos hôtes. Cela se fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous l’avantage.

Il y a de fortes chances que ce soit un homme qui gagne puisqu’ils sont plus nombreux. Mes Maîtres ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils s’amusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de de Monsieur le Marquis d'Evans, attendant le vainqueur.

- Douze, annonce un homme.

Il s’agit d’un jeune médecin, Docteur Pierre Vernain, installé depuis peu dans le quartier. Pendant que ces messieurs dames me jouaient aux dés, Maître avait placé à mon cou, mon collier et ma laisse de chienne docile.

- Bravo, mon cher Pierre vient chercher ton lot. A toi l’honneur de finir de dévêtir cette chienne.

Le Docteur attrapa la laisse et me fit faire un tour de salon, comme pour exhiber son trophée. Ensuite il me fit monter sur une chaise, et sous les encouragements des ses comparses entrepris d’enlever ma jupe avec la lenteur nécessaire pour exciter mes sens et ceux des invités. Ce n’était que sifflet, mots grossiers, mais tellement excitant, à mon égard, j’en avais la chatte humide. Lorsque la jupe fut par terre, il me fit descendre de mon piédestal et me promena encore une fois autour du salon. Les quolibets fusaient toujours et je mouillais de plus en plus. Comme on me l’avais prédit, je me retrouvais avant le café, en bas et talons, entièrement nue devant les invités qui salivaient déjà à l’idée de la soirée qui allait suivre…. Le Docteur demanda a Monsieur le Marquis d'Evans :

- Puis-je d’abord la corriger, cette chienne ?
- Mais je t’en prie, Pierre, tu as gagné, fais en ce que tu voudras !

Et il me fit mettre debout face à la table les mains contre celle-ci et me fit cambrer en avant, jambes en arrière et écartées. Il défit sa ceinture et commença à me fouetter le dos. Malgré la brûlure des coups, Je commençais à y trouver presque du plaisir, d’autant que l’une des femmes s’est saisie de mes nichons et les tortures avec application. Je ne résiste jamais à ce genre de traitement. Je mouille à nouveau tellement que la cyprine coule le long de mes cuisses. Tous comptèrent en même temps les coups :

- …Cinq… Six… Sept…

Une langue lèche mon entre jambe, ce qui me fait jouir malgré les coups de fouet. Il s’arrêta à dix.

- Vraiment, il n’y a rien à dire… cette fille est une vraie salope. Même ta punition gratuite la fait jouir, dit le marquis. Je crois qu’elle est prête. Nos amis vont être satisfaits.

Puis j’entendis David dire :

- Enculez-là, Maître. Je veux que vous soyez le premier à honorer son cul de salope devant vos invités.

On me fait mettre à quatre pattes en position. On me met un bandeau sur les yeux Des doigts pénètrent mon anus pour le dilater, puis je sens la bite de mon Maître s’enfoncer dans mon arrière-boutique. Je jouis pour la première fois du cul.
Une femme m’embrasse à pleine bouche. Puis tous un par un, vont me sodomiser à la chaîne, une fois le marquis passé. Je dois sucer des chattes, des bites. Parfois j’ai mes 3 orifices : cul, chatte et bouche encombrés, pénétrés, quasi violés. C’est la méga partouze. On a profité, abusé à volonté de mon corps toute la nuit. J’ai du avaler mainte et mainte fois du sperme. J’ai été plusieurs fois attachée, enculée, maltraitée jusqu’au petit matin. Quand dans la nuit, ils reprenaient tous les forces, on me laissait là sur le tapis par terre comme une simple serpillière jetable ou on me laissait attachée pour ensuite revenir à la charge. Quand le matin fut venu, j’étais littéralement épuisée mais comblée, et quand tous partirent ; Je n’avais jamais passé une nuit d’orgies pareille !

Je suis devenue une esclave sexuelle, soumise et heureuse de l’être…

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