La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 640)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 640)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Le cheptel d'esclaves au Château (1/2) -
C’était l’hiver au château. La neige avait étalé son long manteau blanc sur les vastes terres du domaine du Marquis d’Evans . Dans la grande salle du château, les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans l’impressionnant foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur jusque dans les longs et luxueux couloirs de cette immense demeure ancestrale, Assis à son bureau massif style Louis XV, le Marquis écrivait. La lumière déclinante par un soleil mourant en cette fin de journée n’était pas suffisante pour écrire, mais la vive lueur du feu était assez forte pour offrir au noble assez de luminosité à son bureau.
Il écrivait sur son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis des années, décrivant une journée de domination, notant tout ce qui s’était passé. C’était un véritable journal de bord qu’entretenait Sir Evans. Il en était à sa 245 ème page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence insignifiant pouvait parfois révéler tel ou tel esclave à une certaine aptitude parfois insoupçonnée. Même s’il jouissait d’une TOTALE obéissance des membres de son harem, il aimait toujours pousser plus loin les limites (même si ses esclaves en avaient plus) dans l’avilissement.
De grande taille, la soixantaine, les cheveux grisonnant Ses yeux noirs étaient vifs, et son visage sévère trahissait son caractère impérieux, son nez aquilin lui donnant un air autoritaire. Il était large d’épaules, et ses puissants bras étaient bâtis pour l’effort soutenu. Bref son charisme était craint de tous et sa seule présence impressionnait et imposait le respect.
Il portait une riche robe de chambre noire en satin pure, brodée de fil d’argent, qui descendait jusqu'aux chevilles, quand il atteignit le moment qu’il estima d’arrêter son écriture de la soirée. Il nettoya sa plume, et boucha le pot d’encre. Il attendit quelques instants que l’encre finisse de sécher, puis referma le livre, caressant la couverture de cuir, les ferrures en laiton protégeant les coins. Il mit le manuscrit dans l’étagère appropriée, caressant le bois richement veiné, prenant un plaisir maintes fois renouvelé en la connaissance que son antre était doté des plus belles choses que ce monde pouvait offrir. Il aimait le bois vernis, il aimait les métaux les plus précieux. Il aimait les choses bien faites, le luxe, les dorures, la beauté des choses. Pour lui, le raffinement avait une élégance qui lui était propre.
Il se versa un verre de porto, verre du plus beau cristal ciselé et mis le bouchon de cristal serti des initiales de sa noble famille sur la belle table du bar sculpté. Puis il alla à une des très hautes fenêtres, déplaça le lourd rideau de velours épais rouge bordeaux pour admirer les dernières lueurs orangées provenant du soleil se couchant derrière les montagnes et donnant à la neige une couleur insolite, et aux arbres centenaires du vaste parc une coloration vive; des rouges, des jaunes et des oranges dont il ne pouvait se lasser.
Sirotant le meilleur porto que la richesse puisse acheter, il admira ce spectacle de la nature aussi longtemps qu’il le pût. Et puis il se résigna, referma les rideaux. Il décida d’aller dans les sous-sols du château et pour cela il sortit de cette luxueuse et spacieuse salle, longea un long et haut couloir aux lustres volumineux et aux multiples tableaux de maîtres ornant les murs capitonnés de tentures plus belles les unes que les autre pour ouvrir au fond de celui-ci une épaisse porte massive ornée des armoiries de ses aïeuls. Il descendit alors l’étroit escalier en colimaçon, escalier de pierres lisses aux murs quand à eux nus et froids. Le contraste était saisissant entre le luxe du rez-de-chaussée et tous ce qui se trouvaient en dessous tels ces escaliers et la crypte à laquelle il était parvenu. Arrivé donc dans celle-ci, il s’approcha d’un long tunnel éclairé par des torches enflammées et disposées tous les cinq mètres sur le côté d’un des murs formant ce large souterrain enfoui dans les entrailles du château. S’engageant d’un pas vif et assuré, il stoppa net devant une immense porte qui terminait ce tunnel. Deux hommes noirs et fortement musclés étaient de garde devant cette porte. Ils avaient juste un pagne en guise de cache-sexe et un lourd collier de métal au cou. Ayant aperçu le Maître des lieux, les 2 ‘’esclaves-gardes’’ se prosternèrent en s’agenouillant et tête baissée, ils s’exclamèrent ensemble.
- Ho Maître vénéré, heureux sommes-nous d’avoir l’honneur de votre visite.
Le Marquis sourit et les gardes se levèrent et ouvrirent la volumineuse porte en faisant manœuvrer les 2 gros verrous qui grincèrent sous l’action des puissantes mains des nègres. Tel était le rituel à chaque visite quotidienne de Sir Evans. Le Marquis entra de suite d’un pas majestueux. Et puis avec un sourire espiègle, il fit face à son harem. Elles et ils étaient tous là, les esclaves mâles et femelles. Certain étaient enchaînés aux murs tandis que d’autres évoluaient dans cette immense salles souterraines ou plus de 100 personnes auraient pu tenir. Cette salle était surchauffée par de puissants radiateurs car tous les esclaves étaient nus et seul, pour chacun, un collier semblable à ceux des gardes était arboré comme unique tenu. Unique tenue sans compter la cage ou la ceinture de chasteté posée à chaque esclave mâle et femelle. Car le Marquis avait ainsi un total contrôle sur la sexualité de ses esclaves Au centre de la vaste pièce était disposé un autel immense, des potences avec de lourdes chaînes scellées au plafond blanc, des cages suspendues où quelques esclaves croupissaient.
Mais ce qui était le plus voyant était l’énorme trône surélevé de 5 marches d’escalier de bois vernis délimitées par une chaînette afin d’y limiter l’accès. Le Marquis alla s’asseoir après avoir décadenassé la chaînette donnant libre passage au trône sculpté. A l’évidence, il était le seul autorisé à venir s’y installé. De suite deux esclaves femelles s’approchèrent. Elles avaient l’ordre et l’habitude d’agir ainsi à chaque visite de Sir Evans, elle se prosterna devant le Maître et présentèrent leur chaîne accrochée à leur collier. Le Marquis prit l’autre extrémité de chaque chaîne et l’attacha au pied du volumineux siège. Les deux esclaves femelles se mirent alors de chaque côté du trône à 4 pattes et dans cette position mainte fois répétée, elle présentèrent leur croupe nue et des plus arrondie au Maître. Telles de bonnes chiennes. Le Maître pris deux clés parmi le lourd trousseau qui pendait à sa ceinture et défit les deux cadenas tenant les ceintures de chasteté des 2 femelles. Ainsi, le fondement de 2 chiennes s'offrait sans pudeur à la vue du Marquis.
Comme toujours, il sentit un frémissement de puissance, un sentiment de pouvoir absolu Oui, il était plus puissant que n’importe qui dans des moments pareils et tout était fait pour cela d’ailleurs. Ce sentiments fort de domination totale excitait la vingtaine d’esclaves composant son harem. Ils ressentaient tous, cette domination exercée sur eux. Et c’était l’extase pour ces esclaves tellement leur sentiment de soumission, d’humiliation était ancré dans leur âme et leur corps. Ils avaient la chance d’appartenir au Maître et savouraient à chaque instant cette appartenance….
Du haut de son trône, il pouvait sentir le désir profond de chaque esclave à une appartenance totale, à un abandon d’eux-mêmes, qu’elles et qu’ils avaient tous, bien ancrés en eux. Si tous ses esclaves étaient ici, c’était de leur plein gré, afin d’assouvir leurs pulsions de n’être plus que des esclaves à part entière et rien d’autre. D’appartenir au Maître, de devenir simple objet au bon vouloir du Marquis, tel était pour chacun d’eux leur désir le plus intime. Le Marquis dès le début leur avait laissé le choix à chacun de rester ou de partir. Pour celles et ceux qui ont accepté de rester, ils savaient tous, ce qui les attendaient. Personne n’a été pris au dépourvu, chacun savait à quoi il s’engageait en entrant dans le harem et tout ce petit monde à huis clos vivait en osmose totale.
Les esclaves du Marquis étaient là, dans cette vaste salle où au fond contre les murs habillés de tentures et tapisseries de toile drapée épaisse et de couleurs claires était flanquée une volumineuse bibliothèque contenant les œuvres les plus précieuses et rares que ce monde pouvait assembler. Le Maître tenait à occuper son cheptel par la culture via la lecture. Certain esclave peu enclin à cette pratique faisait semblant d’étudier, de lire, alors que d’autres adoraient dévorer les livres les plus érudits.
Une deuxième salle attenante à la première était équipée à outrance d’appareils à la pratique du sport et culturisme. Puis derrière encore une grille ouverte 4 heures par jour donnait sur des escaliers montant sur l’extérieur, sur l’immense parc du château. Ainsi les esclaves en semi-liberté pouvaient aussi s’aérer selon leur convenance. Une dernière salle enfin à droite des premières marches d’escalier était réservée aux douches et toilettes. On aurai cru les toilettes des vieux pensionnats telles celles que l’on peut visualiser dans Harry Potter, en tout point semblables. C’était une pièce sans luxe, mais cela n’empêchait pas une propreté et une hygiène exemplaire imposées par le Marquis. Des esclaves à tour de rôle étaient chargés d’entretenir ces lieux.
Tous les esclaves s’étaient, telle une chorégraphie bien huilée dans un mouvement d’ensemble, prosternés, en s’agenouillant. On aurait dit des musulmans faisant leur prière. A la seule différence que tous avaient la croupe bien relevée, offerte, quasi en position de levrette, tête contre le sol. Seule Laétitia débaptisée en e46MSE, sa favorite, s’était approchée suite au claquement de doigts du Marquis., debout, courbée lui présentant son dos dénudé, toujours marqué des rougeurs infligées par le fouet la nuit précédente. Elle s’agenouilla aux pieds de son Maître et commença à retirer les pantoufles de celui-ci. Puis elle se mit à sa besogne quotidienne, elle lécha les pieds dénudés de Sir Evans. Doucement mais avec assurance, elle passa sa langue sur la cheville droite du Noble, le dessus du pied, embrassa le mollet, redescendit en faisant attention de n’omettre aucune partie du membre inférieur du Marquis. Une de ses mains tenant le pied et l’autre remontant et caressant d’abord le genou, puis la cuisse en remontant doucement jusqu’au slip du Maître. Elle savait ce qu’appréciait son Maître, alors, elle passa sa main sur le sexe et sentit un début de bosse dure se former au fur à mesure de ses expertes caresses. Alors elle libéra cette verge de son étui de tissu et commença une longue fellation. Elle voulu qu’il éjacula dans sa bouche, elle voulu avaler le sperme de son Maître. Mais celui-ci l’arrêta au bout d’un moment. Il libéra la ceinture de chasteté de e46 d’un tour de clé. Clé qui attendait dans la poche de sa robe de chambre et qui contrairement aux autres n’était pas sur le trousseau. Car c’était la seule clé non numérotée et s'était bien celle de la ceinture de chasteté de sa favorite.
Puis il sortir aussi de son autre poche une verge de métal jaune, se leva et fit mettre laétitia debout de dos, la tête en avant penchée, mains appuyées contre les accoudoirs du trône et jambes écartées. Il approcha ce pénis, froid, lisse, brillant, on aurait dit un pénis en or massif. Il approcha donc cette verge métallique contre les lèvres de e46. Elle se raidit un peu, Doucement, il appliqua une pression dans le sexe déjà bien humide de l’esclave. Lentement, il pressa la grosse verge dure dans son entre-jambes mais sans la pénétrer pour le moment, se contentant juste de mieux exciter la femelle. La tête jaune or était comme celui d’un pénis de cheval, aplatie et plus large que le reste, et la faire entrer eu été difficile si la soumise n’était pas déjà trempée d’excitation.
La chienne tentait de se frotter contre l’objet, métallique afin de l’utiliser pour son plaisir, discrètement. Il força la tête à l’intérieur puis, d’un long mouvement continu, enfonça la longue verge en elle, très profondément, malgré les tentatives de laétitia de profiter encore plus du moment précédant la pénétration. Les derniers centimètres furent les plus délicats mais, tel que prévu, l’objet avait les dimensions parfaites. Alors il entreprit un va et vient régulier, lent, profond dans une rythmique mesurée sans excès, ni rapidité Le plaisir montait ainsi de plus en plus doucement mais sûrement, e46 ne tenait plus au bout de quelques minutes, elle supplia son Maître d’accélérer, elle avait un fort désir d’être pénétrée avec violence, de recevoir des assauts virils, de crier à l’orgasme… Mais non, le Marquis ne voulu rien savoir et continuait son va et vient toujours sous la même cadence étudiée. Puis il retira l’objet d’un coup en lui exclamant sèchement :
- Tu ne mérites pas de jouir. Tu devras gagner le droit à l’orgasme. Alors, voilà ce que tu vas faire de suite, si tu veux jouir espèce de chienne en chaleur. Tu devras …
(A suivre …)
C’était l’hiver au château. La neige avait étalé son long manteau blanc sur les vastes terres du domaine du Marquis d’Evans . Dans la grande salle du château, les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans l’impressionnant foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur jusque dans les longs et luxueux couloirs de cette immense demeure ancestrale, Assis à son bureau massif style Louis XV, le Marquis écrivait. La lumière déclinante par un soleil mourant en cette fin de journée n’était pas suffisante pour écrire, mais la vive lueur du feu était assez forte pour offrir au noble assez de luminosité à son bureau.
Il écrivait sur son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis des années, décrivant une journée de domination, notant tout ce qui s’était passé. C’était un véritable journal de bord qu’entretenait Sir Evans. Il en était à sa 245 ème page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence insignifiant pouvait parfois révéler tel ou tel esclave à une certaine aptitude parfois insoupçonnée. Même s’il jouissait d’une TOTALE obéissance des membres de son harem, il aimait toujours pousser plus loin les limites (même si ses esclaves en avaient plus) dans l’avilissement.
De grande taille, la soixantaine, les cheveux grisonnant Ses yeux noirs étaient vifs, et son visage sévère trahissait son caractère impérieux, son nez aquilin lui donnant un air autoritaire. Il était large d’épaules, et ses puissants bras étaient bâtis pour l’effort soutenu. Bref son charisme était craint de tous et sa seule présence impressionnait et imposait le respect.
Il portait une riche robe de chambre noire en satin pure, brodée de fil d’argent, qui descendait jusqu'aux chevilles, quand il atteignit le moment qu’il estima d’arrêter son écriture de la soirée. Il nettoya sa plume, et boucha le pot d’encre. Il attendit quelques instants que l’encre finisse de sécher, puis referma le livre, caressant la couverture de cuir, les ferrures en laiton protégeant les coins. Il mit le manuscrit dans l’étagère appropriée, caressant le bois richement veiné, prenant un plaisir maintes fois renouvelé en la connaissance que son antre était doté des plus belles choses que ce monde pouvait offrir. Il aimait le bois vernis, il aimait les métaux les plus précieux. Il aimait les choses bien faites, le luxe, les dorures, la beauté des choses. Pour lui, le raffinement avait une élégance qui lui était propre.
Il se versa un verre de porto, verre du plus beau cristal ciselé et mis le bouchon de cristal serti des initiales de sa noble famille sur la belle table du bar sculpté. Puis il alla à une des très hautes fenêtres, déplaça le lourd rideau de velours épais rouge bordeaux pour admirer les dernières lueurs orangées provenant du soleil se couchant derrière les montagnes et donnant à la neige une couleur insolite, et aux arbres centenaires du vaste parc une coloration vive; des rouges, des jaunes et des oranges dont il ne pouvait se lasser.
Sirotant le meilleur porto que la richesse puisse acheter, il admira ce spectacle de la nature aussi longtemps qu’il le pût. Et puis il se résigna, referma les rideaux. Il décida d’aller dans les sous-sols du château et pour cela il sortit de cette luxueuse et spacieuse salle, longea un long et haut couloir aux lustres volumineux et aux multiples tableaux de maîtres ornant les murs capitonnés de tentures plus belles les unes que les autre pour ouvrir au fond de celui-ci une épaisse porte massive ornée des armoiries de ses aïeuls. Il descendit alors l’étroit escalier en colimaçon, escalier de pierres lisses aux murs quand à eux nus et froids. Le contraste était saisissant entre le luxe du rez-de-chaussée et tous ce qui se trouvaient en dessous tels ces escaliers et la crypte à laquelle il était parvenu. Arrivé donc dans celle-ci, il s’approcha d’un long tunnel éclairé par des torches enflammées et disposées tous les cinq mètres sur le côté d’un des murs formant ce large souterrain enfoui dans les entrailles du château. S’engageant d’un pas vif et assuré, il stoppa net devant une immense porte qui terminait ce tunnel. Deux hommes noirs et fortement musclés étaient de garde devant cette porte. Ils avaient juste un pagne en guise de cache-sexe et un lourd collier de métal au cou. Ayant aperçu le Maître des lieux, les 2 ‘’esclaves-gardes’’ se prosternèrent en s’agenouillant et tête baissée, ils s’exclamèrent ensemble.
- Ho Maître vénéré, heureux sommes-nous d’avoir l’honneur de votre visite.
Le Marquis sourit et les gardes se levèrent et ouvrirent la volumineuse porte en faisant manœuvrer les 2 gros verrous qui grincèrent sous l’action des puissantes mains des nègres. Tel était le rituel à chaque visite quotidienne de Sir Evans. Le Marquis entra de suite d’un pas majestueux. Et puis avec un sourire espiègle, il fit face à son harem. Elles et ils étaient tous là, les esclaves mâles et femelles. Certain étaient enchaînés aux murs tandis que d’autres évoluaient dans cette immense salles souterraines ou plus de 100 personnes auraient pu tenir. Cette salle était surchauffée par de puissants radiateurs car tous les esclaves étaient nus et seul, pour chacun, un collier semblable à ceux des gardes était arboré comme unique tenu. Unique tenue sans compter la cage ou la ceinture de chasteté posée à chaque esclave mâle et femelle. Car le Marquis avait ainsi un total contrôle sur la sexualité de ses esclaves Au centre de la vaste pièce était disposé un autel immense, des potences avec de lourdes chaînes scellées au plafond blanc, des cages suspendues où quelques esclaves croupissaient.
Mais ce qui était le plus voyant était l’énorme trône surélevé de 5 marches d’escalier de bois vernis délimitées par une chaînette afin d’y limiter l’accès. Le Marquis alla s’asseoir après avoir décadenassé la chaînette donnant libre passage au trône sculpté. A l’évidence, il était le seul autorisé à venir s’y installé. De suite deux esclaves femelles s’approchèrent. Elles avaient l’ordre et l’habitude d’agir ainsi à chaque visite de Sir Evans, elle se prosterna devant le Maître et présentèrent leur chaîne accrochée à leur collier. Le Marquis prit l’autre extrémité de chaque chaîne et l’attacha au pied du volumineux siège. Les deux esclaves femelles se mirent alors de chaque côté du trône à 4 pattes et dans cette position mainte fois répétée, elle présentèrent leur croupe nue et des plus arrondie au Maître. Telles de bonnes chiennes. Le Maître pris deux clés parmi le lourd trousseau qui pendait à sa ceinture et défit les deux cadenas tenant les ceintures de chasteté des 2 femelles. Ainsi, le fondement de 2 chiennes s'offrait sans pudeur à la vue du Marquis.
Comme toujours, il sentit un frémissement de puissance, un sentiment de pouvoir absolu Oui, il était plus puissant que n’importe qui dans des moments pareils et tout était fait pour cela d’ailleurs. Ce sentiments fort de domination totale excitait la vingtaine d’esclaves composant son harem. Ils ressentaient tous, cette domination exercée sur eux. Et c’était l’extase pour ces esclaves tellement leur sentiment de soumission, d’humiliation était ancré dans leur âme et leur corps. Ils avaient la chance d’appartenir au Maître et savouraient à chaque instant cette appartenance….
Du haut de son trône, il pouvait sentir le désir profond de chaque esclave à une appartenance totale, à un abandon d’eux-mêmes, qu’elles et qu’ils avaient tous, bien ancrés en eux. Si tous ses esclaves étaient ici, c’était de leur plein gré, afin d’assouvir leurs pulsions de n’être plus que des esclaves à part entière et rien d’autre. D’appartenir au Maître, de devenir simple objet au bon vouloir du Marquis, tel était pour chacun d’eux leur désir le plus intime. Le Marquis dès le début leur avait laissé le choix à chacun de rester ou de partir. Pour celles et ceux qui ont accepté de rester, ils savaient tous, ce qui les attendaient. Personne n’a été pris au dépourvu, chacun savait à quoi il s’engageait en entrant dans le harem et tout ce petit monde à huis clos vivait en osmose totale.
Les esclaves du Marquis étaient là, dans cette vaste salle où au fond contre les murs habillés de tentures et tapisseries de toile drapée épaisse et de couleurs claires était flanquée une volumineuse bibliothèque contenant les œuvres les plus précieuses et rares que ce monde pouvait assembler. Le Maître tenait à occuper son cheptel par la culture via la lecture. Certain esclave peu enclin à cette pratique faisait semblant d’étudier, de lire, alors que d’autres adoraient dévorer les livres les plus érudits.
Une deuxième salle attenante à la première était équipée à outrance d’appareils à la pratique du sport et culturisme. Puis derrière encore une grille ouverte 4 heures par jour donnait sur des escaliers montant sur l’extérieur, sur l’immense parc du château. Ainsi les esclaves en semi-liberté pouvaient aussi s’aérer selon leur convenance. Une dernière salle enfin à droite des premières marches d’escalier était réservée aux douches et toilettes. On aurai cru les toilettes des vieux pensionnats telles celles que l’on peut visualiser dans Harry Potter, en tout point semblables. C’était une pièce sans luxe, mais cela n’empêchait pas une propreté et une hygiène exemplaire imposées par le Marquis. Des esclaves à tour de rôle étaient chargés d’entretenir ces lieux.
Tous les esclaves s’étaient, telle une chorégraphie bien huilée dans un mouvement d’ensemble, prosternés, en s’agenouillant. On aurait dit des musulmans faisant leur prière. A la seule différence que tous avaient la croupe bien relevée, offerte, quasi en position de levrette, tête contre le sol. Seule Laétitia débaptisée en e46MSE, sa favorite, s’était approchée suite au claquement de doigts du Marquis., debout, courbée lui présentant son dos dénudé, toujours marqué des rougeurs infligées par le fouet la nuit précédente. Elle s’agenouilla aux pieds de son Maître et commença à retirer les pantoufles de celui-ci. Puis elle se mit à sa besogne quotidienne, elle lécha les pieds dénudés de Sir Evans. Doucement mais avec assurance, elle passa sa langue sur la cheville droite du Noble, le dessus du pied, embrassa le mollet, redescendit en faisant attention de n’omettre aucune partie du membre inférieur du Marquis. Une de ses mains tenant le pied et l’autre remontant et caressant d’abord le genou, puis la cuisse en remontant doucement jusqu’au slip du Maître. Elle savait ce qu’appréciait son Maître, alors, elle passa sa main sur le sexe et sentit un début de bosse dure se former au fur à mesure de ses expertes caresses. Alors elle libéra cette verge de son étui de tissu et commença une longue fellation. Elle voulu qu’il éjacula dans sa bouche, elle voulu avaler le sperme de son Maître. Mais celui-ci l’arrêta au bout d’un moment. Il libéra la ceinture de chasteté de e46 d’un tour de clé. Clé qui attendait dans la poche de sa robe de chambre et qui contrairement aux autres n’était pas sur le trousseau. Car c’était la seule clé non numérotée et s'était bien celle de la ceinture de chasteté de sa favorite.
Puis il sortir aussi de son autre poche une verge de métal jaune, se leva et fit mettre laétitia debout de dos, la tête en avant penchée, mains appuyées contre les accoudoirs du trône et jambes écartées. Il approcha ce pénis, froid, lisse, brillant, on aurait dit un pénis en or massif. Il approcha donc cette verge métallique contre les lèvres de e46. Elle se raidit un peu, Doucement, il appliqua une pression dans le sexe déjà bien humide de l’esclave. Lentement, il pressa la grosse verge dure dans son entre-jambes mais sans la pénétrer pour le moment, se contentant juste de mieux exciter la femelle. La tête jaune or était comme celui d’un pénis de cheval, aplatie et plus large que le reste, et la faire entrer eu été difficile si la soumise n’était pas déjà trempée d’excitation.
La chienne tentait de se frotter contre l’objet, métallique afin de l’utiliser pour son plaisir, discrètement. Il força la tête à l’intérieur puis, d’un long mouvement continu, enfonça la longue verge en elle, très profondément, malgré les tentatives de laétitia de profiter encore plus du moment précédant la pénétration. Les derniers centimètres furent les plus délicats mais, tel que prévu, l’objet avait les dimensions parfaites. Alors il entreprit un va et vient régulier, lent, profond dans une rythmique mesurée sans excès, ni rapidité Le plaisir montait ainsi de plus en plus doucement mais sûrement, e46 ne tenait plus au bout de quelques minutes, elle supplia son Maître d’accélérer, elle avait un fort désir d’être pénétrée avec violence, de recevoir des assauts virils, de crier à l’orgasme… Mais non, le Marquis ne voulu rien savoir et continuait son va et vient toujours sous la même cadence étudiée. Puis il retira l’objet d’un coup en lui exclamant sèchement :
- Tu ne mérites pas de jouir. Tu devras gagner le droit à l’orgasme. Alors, voilà ce que tu vas faire de suite, si tu veux jouir espèce de chienne en chaleur. Tu devras …
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