La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 657)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 657)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°656) - Marie la cuisinière s’abandonne et soumise Estelle aussi… -
Au cours de la nuit, après deux ou trois autres enculades supplémentaires, le soumis MDE avait été détaché, sorti de cette cage et libéré des accessoires lui tenant ses orifices grands ouverts. Malgré des menottes lui barrant les bras dans le dos, l’esclave MDE, couché sur une simple paillasse posée sur le sol de la soute du Croix Rousse, s’était endormi rapidement et sans doute longtemps. Il fut réveillé bruyamment, par des craquements sinistres de la coque du navire. Manifestement le bateau avait dû reprendre sa route et devait naviguer dans des vagues importantes sinon une forte houle. L’état de la mer faisait gîter le navire, le secouant de bâbord à tribord, des vagues s’écrasaient contre sa coque provoquant un roulis très vite inconfortable. Endymion MDE fut pris de nausées, avec une sensation de malaise et de vertiges. Pâle et frissonnant, il n’en menait vraiment pas large. Dieu merci, Monsieur le Marquis s’inquiéta de son chien soumis. Il vint le rejoindre, le libéra de ses entraves et le fit monter sur le pont en le plaçant au centre du bateau.
- Regarde l’horizon et tout ira mieux Mon chien. Nous avons quitté la mer des Caraïbes pour l’Atlantique et toujours ici, les bateaux sont plus secoués. Tout ira mieux dans une heure ou deux !
Pour rassurer son chien soumis, Monsieur le Marquis le serra dans ses bras. Endymion MDE était surpris de l’intensité de ses sentiments envers le Maître et de la plénitude qu’il éprouvait ainsi enlacé. Comment son asservissement avait-il pu prendre une telle magnitude en si peu de temps ? Blotti tout contre le Maître, l’esclave jeta un bref regard dans le sien. Il était d’une intensité incroyable, comme si le regard du Maître le transperçait, comme si Monsieur le Marquis lisait les pensées de Son soumis, comme si l’âme du Dominant entrait en contact avec celle de son esclave. Son magnétisme était incroyable… une énergie extraordinaire émanait de ce regard d’un bleu pur et magnifique, d’une puissance intense où émanait une impressionnante force tranquille, oui une force implacable, inouïe qui attirait et dominait naturellement. Endymion MDE était figé comme envoûté, il eut bien du mal à sortir de son état de transe pour lui obéir.
- L’air frais semble t’avoir fait du bien, tu as repris des couleurs mon chien, alors mets-toi à genoux et tête au sol, prosterne-toi à mes pieds.
Endymion MDE avait été capté par ces yeux bleus, par ce regard impérial, il hésita quelques petites secondes avant d’obéir. Monsieur le Marquis ne le lui reprocha pas, il s’assit dans un large fauteuil en rotin, face à son chien soumis. Il commença à passer le bout de ses doigts dans les cheveux de son esclave et à effleurer délicatement ses oreilles, sa nuque, son cou et ses épaules. La légèreté et la douceur de ses gestes firent frissonner Endymion MDE qui s’abandonnait à la volonté du Maître, mais aussi à cette quiétude et cette sérénité. Il était maintenant complètement détendu, ses nausées avaient disparu, ses craintes aussi.
- D’ici peu, nous allons accoster à Moustique, mon chien, une île privée, richissime et merveilleuse. Une île qui abrite un massif corallien magnifique, une île dont le rivage alterne entre caps et criques sablonneuses, une île des stars de la jet-set et des milliardaires, comme moi. Une île qui va te permettre de passer une journée de détente inoubliable…
Toujours prosterné en levrette, Endymion MDE écoutait le Maître. « une journée de détente inoubliable » avait-il annoncé ? Ces quelques mots pris au premier degré ne pouvait que réjouir sinon étonné Endymion MDE, mais fallait-il encore que ces mots soient pris au pied de la lettre. A quoi l’esclave devait-il s’attendre ? Le Maître permit à Son esclave de relever la tête du sol. Il tourna son visage vers cette main caressante, avec la ferme intention de l’embrasser avant qu’elle ne quitte sa joue. Mais le Maître la retira subitement puis se pencha vers l’oreille de Son soumis alors qu’il était encore à genoux devant lui et lui chuchota :
- Chaque chose se mérite Mon chien, plus tard… peut-être ! Allez va, va rejoindre cette douce et bonne Marie, elle doit préparer le petit déjeuner, tu l’aideras dans ses préparatifs.
Madame Marie avait ce regard pervers des grands jours. Il ne trahissait pas ses intentions ! ni sa fameuse réputation de femme perverse et parfois sadique avec une poigne de fer implacable. Endymion MDE connaissait maintenant très bien Madame la Cuisinière, il s’attendait au pire, à juste titre d’ailleurs…
- C’est à cette heure-là que tu décides enfin à venir me rejoindre ?
Endymion MDE savait qu’il était inutile d’apporter une quelconque réponse. Il se contenta de baisser la tête en signe de grand respect et d’humilité.
- Mets-toi à plat à ventre au sol et vient jusqu’à moi pour honorer mes pieds, là est ta place sale cabot !
Le sol était détrempé et sale, il y avait ici ou là de la mousse qui jonchait le sol, mais aussi quelques petits morceaux de détritus et restes alimentaires.
- Alors la serpillère qu’attends-tu pour venir jusqu’à moi.
Et plus Endymion MDE avançait en rampant, et plus Madame Marie reculait. Elle le faisait crapahuter en long et en large en rampant et ainsi patauger sur ce sol graisseux et glissant jusqu’au moment où elle attira l’esclave MDE dans un recoin de cette cuisine. Elle ouvrit un grand placard dans lequel était installée soumise Estelle tenue debout et attachée, dans une posture des plus contraignantes. Des cordages fermement nouées lui maintenaient les cuisses largement écartées dégageant bien son sexe lui aussi tenu ouvert grâce aux petits anneaux de ses piercings dans lesquels étaient passés une cordelette écartelant ses lèvres intimes. Ses seins étaient étranglés par de gros élastiques les entourant et les comprimant tout en les lui séparant bien. Au bout de ses mamelons étaient accrochées des pinces japonaises Ces bras et mains attachés serrés et joints étaient étirés au-dessus de la tête. La belle Estelle faisait triste figure…
- Cette petite garce à fait choir la bassine contenant l’eau de vaisselle, elle va savoir de quel bois je me chauffe lorsqu’une esclave est étourdie et négligeant. C’est simplement intolérable !
Madame Marie semblait réellement furieuse. Elle s’adressa une nouvelle fois à soumis Endymion MDE :
- Toi, tu as intérêt de me lécher correctement les bottes si tu ne veux pas me subir.
L’esclave MDE s’appliqua, sa langue glissait sur ces bottines, appuyait sur ce cuir pour que le contact de sa langue soit ressenti au travers de cette chaussure. Madame Marie s’en étonna :
- Mais c’est bien ma pute, tu sembles savoir désormais utiliser ta langue… une petite langue de chienne… Tiens glisse la, le long de ma jambe, remonte la doucement, tranquillement.
Alors qu’Endymion MDE s’exécutait, Madame Marie tirait mollement sur les pinces japonaises fixées aux tétons d’Estelle. Celle-ci gémissait bruyamment. Etait-ce de douleur ou de plaisir ? Les deux à la fois sans nul doute, car si Endymion MDE croyait ce qu’il entrapercevait, Estelle assurément contenait désespérément un orgasme. De sa chatte tenue grande ouverte, des petites gouttelettes de cyprine s’échappaient. Evidemment Madame Marie s’en apercevait, et elle gifla à deux reprises la jeune soumise.
- D’avoir souillé le sol avec l’eau de vaisselle une première fois ne te suffit pas petite garce, voilà maintenant que tu inondes le fond de ce placard avec ta mouille de chienne lubrique en chaleur…
Il n’y avait pas seulement Estelle qui était excitée, Madame Marie, elle aussi l’était tout autant. D’avoir à sa disposition deux dociles et obéissants esclaves aiguillonnaient ses désirs. Elle avait attrapé Endymion MDE par sa chevelure et lui maintenait son visage sous sa jupe ample, son museau entre ses cuisses.
- Je n’ai pas encore eu le temps de faire ma petite toilette ce matin, c’est ta langue de pute qui va faire ce travail !
Le contact de la langue d’Endymion MDE sur ses grandes lèvres puis glissant en elle à la recherche de son clitoris déjà bien gonflé de désir, fit perdre pied très rapidement à Madame la Cuisinière. Elle écarta un peu plus les jambes tout en tenant bien cette tête plaquée contre son intimité. Son ventre chaud et déjà bien humide ondulait et basculait d’avant en arrière pour donner le rythme. La moiteur et les odeurs intimes dégagées par ce sexe excitait terriblement le mâle soumis MDE, sa queue était raide et suintait, une terrible envie de se branler le titillait sinon le tourmentait. Alors pour éviter toute dérive, l’esclave MDE osait poser ses mains sur le corps de Madame Marie. Elle le laissa faire. Ses doigts effleurèrent et caressèrent l’intérieur de ses cuisses, puis ses mains vinrent se placer sous les fesses de la Cuisinière pour la soulever un peu et porter à nouveau cette délicieuse fleur à ses lèvres. Madame Marie sentit de nouveau cette langue, cette douce langue, laper avec désir sa chatte ruisselante. Son corps trahissait ses désirs, elle se cambrait tant et plus pour venir à la rencontre de cette suave bouche. Le chien soumis MDE, lui non plus, ne parvenait plus à se contrôler, il léchait et suçait, titillait ce clitoris, jusqu’à le faire exploser. Il voulait donner, tout donner pour déclencher un orgasme dévastateur. Madame Marie tant et plus gémissait, criait et ruisselait. Cette langue, cette foutue langue, fusse-t-elle celle d’un chien soumis, prenait le contrôle de tout son être. Elle se laissa aller, emportée par un orgasme d’une rare intensité. Elle jouissait, secouée par de violents spasmes incontrôlables, en inondant le visage de l’esclave MDE…
Essoufflée, haletante, elle maintenait fermement d’une main, la tête de l’esclave MDE, entre ses cuisses pour qu’il s’abreuve de ses sucs intimes, de l’autre, elle tirait brutalement sur la chaînette reliant les pinces japonaises jusqu’ici fixées aux mamelons de soumise Estelle. La jeune soumise Estelle hurla sous le choc, mais au même moment, sa chatte se mit à perler puis dégouliner littéralement, elle ne put contenir son orgasme masochiste…
- Mais que se passe-t-il ici ?
Monsieur Henri avait été interpellé par les cris de sa chienne soumise. Il était précipitamment entré dans la cuisine, puis s’était approcher d’elle et l’a voyant trempée, il questionna aussitôt Madame Marie :
- Lui aviez-vous autorisée la jouissance ma Chère Marie ?
La cuisinière, à peine remise de ses émotions, se faisant toujours brouter son petit minou, sursauta :
- Elle a joui cette petite garce ? Non, bien sûr que non, votre petite chienne n’était pas autorisée à jouir, Mon Cher Henri !
Monsieur Henri s’approcha alors de la chienne femelle Estelle, la dévisagea sévèrement, puis décida de la punition.
- Soit, puisque tu ne sais pas te tenir, puisque tu es incapable d’obéir, je vais te laisser ainsi, toute la journée, enfermée dans ce placard. Tu pourras méditer tranquillement !
Il referma la porte du dit placard, puis quitta la cuisine, emmenant avec lui, à quatre pattes, tenu en laisse soumis Endymion MDE…
(A suivre…)
Au cours de la nuit, après deux ou trois autres enculades supplémentaires, le soumis MDE avait été détaché, sorti de cette cage et libéré des accessoires lui tenant ses orifices grands ouverts. Malgré des menottes lui barrant les bras dans le dos, l’esclave MDE, couché sur une simple paillasse posée sur le sol de la soute du Croix Rousse, s’était endormi rapidement et sans doute longtemps. Il fut réveillé bruyamment, par des craquements sinistres de la coque du navire. Manifestement le bateau avait dû reprendre sa route et devait naviguer dans des vagues importantes sinon une forte houle. L’état de la mer faisait gîter le navire, le secouant de bâbord à tribord, des vagues s’écrasaient contre sa coque provoquant un roulis très vite inconfortable. Endymion MDE fut pris de nausées, avec une sensation de malaise et de vertiges. Pâle et frissonnant, il n’en menait vraiment pas large. Dieu merci, Monsieur le Marquis s’inquiéta de son chien soumis. Il vint le rejoindre, le libéra de ses entraves et le fit monter sur le pont en le plaçant au centre du bateau.
- Regarde l’horizon et tout ira mieux Mon chien. Nous avons quitté la mer des Caraïbes pour l’Atlantique et toujours ici, les bateaux sont plus secoués. Tout ira mieux dans une heure ou deux !
Pour rassurer son chien soumis, Monsieur le Marquis le serra dans ses bras. Endymion MDE était surpris de l’intensité de ses sentiments envers le Maître et de la plénitude qu’il éprouvait ainsi enlacé. Comment son asservissement avait-il pu prendre une telle magnitude en si peu de temps ? Blotti tout contre le Maître, l’esclave jeta un bref regard dans le sien. Il était d’une intensité incroyable, comme si le regard du Maître le transperçait, comme si Monsieur le Marquis lisait les pensées de Son soumis, comme si l’âme du Dominant entrait en contact avec celle de son esclave. Son magnétisme était incroyable… une énergie extraordinaire émanait de ce regard d’un bleu pur et magnifique, d’une puissance intense où émanait une impressionnante force tranquille, oui une force implacable, inouïe qui attirait et dominait naturellement. Endymion MDE était figé comme envoûté, il eut bien du mal à sortir de son état de transe pour lui obéir.
- L’air frais semble t’avoir fait du bien, tu as repris des couleurs mon chien, alors mets-toi à genoux et tête au sol, prosterne-toi à mes pieds.
Endymion MDE avait été capté par ces yeux bleus, par ce regard impérial, il hésita quelques petites secondes avant d’obéir. Monsieur le Marquis ne le lui reprocha pas, il s’assit dans un large fauteuil en rotin, face à son chien soumis. Il commença à passer le bout de ses doigts dans les cheveux de son esclave et à effleurer délicatement ses oreilles, sa nuque, son cou et ses épaules. La légèreté et la douceur de ses gestes firent frissonner Endymion MDE qui s’abandonnait à la volonté du Maître, mais aussi à cette quiétude et cette sérénité. Il était maintenant complètement détendu, ses nausées avaient disparu, ses craintes aussi.
- D’ici peu, nous allons accoster à Moustique, mon chien, une île privée, richissime et merveilleuse. Une île qui abrite un massif corallien magnifique, une île dont le rivage alterne entre caps et criques sablonneuses, une île des stars de la jet-set et des milliardaires, comme moi. Une île qui va te permettre de passer une journée de détente inoubliable…
Toujours prosterné en levrette, Endymion MDE écoutait le Maître. « une journée de détente inoubliable » avait-il annoncé ? Ces quelques mots pris au premier degré ne pouvait que réjouir sinon étonné Endymion MDE, mais fallait-il encore que ces mots soient pris au pied de la lettre. A quoi l’esclave devait-il s’attendre ? Le Maître permit à Son esclave de relever la tête du sol. Il tourna son visage vers cette main caressante, avec la ferme intention de l’embrasser avant qu’elle ne quitte sa joue. Mais le Maître la retira subitement puis se pencha vers l’oreille de Son soumis alors qu’il était encore à genoux devant lui et lui chuchota :
- Chaque chose se mérite Mon chien, plus tard… peut-être ! Allez va, va rejoindre cette douce et bonne Marie, elle doit préparer le petit déjeuner, tu l’aideras dans ses préparatifs.
Madame Marie avait ce regard pervers des grands jours. Il ne trahissait pas ses intentions ! ni sa fameuse réputation de femme perverse et parfois sadique avec une poigne de fer implacable. Endymion MDE connaissait maintenant très bien Madame la Cuisinière, il s’attendait au pire, à juste titre d’ailleurs…
- C’est à cette heure-là que tu décides enfin à venir me rejoindre ?
Endymion MDE savait qu’il était inutile d’apporter une quelconque réponse. Il se contenta de baisser la tête en signe de grand respect et d’humilité.
- Mets-toi à plat à ventre au sol et vient jusqu’à moi pour honorer mes pieds, là est ta place sale cabot !
Le sol était détrempé et sale, il y avait ici ou là de la mousse qui jonchait le sol, mais aussi quelques petits morceaux de détritus et restes alimentaires.
- Alors la serpillère qu’attends-tu pour venir jusqu’à moi.
Et plus Endymion MDE avançait en rampant, et plus Madame Marie reculait. Elle le faisait crapahuter en long et en large en rampant et ainsi patauger sur ce sol graisseux et glissant jusqu’au moment où elle attira l’esclave MDE dans un recoin de cette cuisine. Elle ouvrit un grand placard dans lequel était installée soumise Estelle tenue debout et attachée, dans une posture des plus contraignantes. Des cordages fermement nouées lui maintenaient les cuisses largement écartées dégageant bien son sexe lui aussi tenu ouvert grâce aux petits anneaux de ses piercings dans lesquels étaient passés une cordelette écartelant ses lèvres intimes. Ses seins étaient étranglés par de gros élastiques les entourant et les comprimant tout en les lui séparant bien. Au bout de ses mamelons étaient accrochées des pinces japonaises Ces bras et mains attachés serrés et joints étaient étirés au-dessus de la tête. La belle Estelle faisait triste figure…
- Cette petite garce à fait choir la bassine contenant l’eau de vaisselle, elle va savoir de quel bois je me chauffe lorsqu’une esclave est étourdie et négligeant. C’est simplement intolérable !
Madame Marie semblait réellement furieuse. Elle s’adressa une nouvelle fois à soumis Endymion MDE :
- Toi, tu as intérêt de me lécher correctement les bottes si tu ne veux pas me subir.
L’esclave MDE s’appliqua, sa langue glissait sur ces bottines, appuyait sur ce cuir pour que le contact de sa langue soit ressenti au travers de cette chaussure. Madame Marie s’en étonna :
- Mais c’est bien ma pute, tu sembles savoir désormais utiliser ta langue… une petite langue de chienne… Tiens glisse la, le long de ma jambe, remonte la doucement, tranquillement.
Alors qu’Endymion MDE s’exécutait, Madame Marie tirait mollement sur les pinces japonaises fixées aux tétons d’Estelle. Celle-ci gémissait bruyamment. Etait-ce de douleur ou de plaisir ? Les deux à la fois sans nul doute, car si Endymion MDE croyait ce qu’il entrapercevait, Estelle assurément contenait désespérément un orgasme. De sa chatte tenue grande ouverte, des petites gouttelettes de cyprine s’échappaient. Evidemment Madame Marie s’en apercevait, et elle gifla à deux reprises la jeune soumise.
- D’avoir souillé le sol avec l’eau de vaisselle une première fois ne te suffit pas petite garce, voilà maintenant que tu inondes le fond de ce placard avec ta mouille de chienne lubrique en chaleur…
Il n’y avait pas seulement Estelle qui était excitée, Madame Marie, elle aussi l’était tout autant. D’avoir à sa disposition deux dociles et obéissants esclaves aiguillonnaient ses désirs. Elle avait attrapé Endymion MDE par sa chevelure et lui maintenait son visage sous sa jupe ample, son museau entre ses cuisses.
- Je n’ai pas encore eu le temps de faire ma petite toilette ce matin, c’est ta langue de pute qui va faire ce travail !
Le contact de la langue d’Endymion MDE sur ses grandes lèvres puis glissant en elle à la recherche de son clitoris déjà bien gonflé de désir, fit perdre pied très rapidement à Madame la Cuisinière. Elle écarta un peu plus les jambes tout en tenant bien cette tête plaquée contre son intimité. Son ventre chaud et déjà bien humide ondulait et basculait d’avant en arrière pour donner le rythme. La moiteur et les odeurs intimes dégagées par ce sexe excitait terriblement le mâle soumis MDE, sa queue était raide et suintait, une terrible envie de se branler le titillait sinon le tourmentait. Alors pour éviter toute dérive, l’esclave MDE osait poser ses mains sur le corps de Madame Marie. Elle le laissa faire. Ses doigts effleurèrent et caressèrent l’intérieur de ses cuisses, puis ses mains vinrent se placer sous les fesses de la Cuisinière pour la soulever un peu et porter à nouveau cette délicieuse fleur à ses lèvres. Madame Marie sentit de nouveau cette langue, cette douce langue, laper avec désir sa chatte ruisselante. Son corps trahissait ses désirs, elle se cambrait tant et plus pour venir à la rencontre de cette suave bouche. Le chien soumis MDE, lui non plus, ne parvenait plus à se contrôler, il léchait et suçait, titillait ce clitoris, jusqu’à le faire exploser. Il voulait donner, tout donner pour déclencher un orgasme dévastateur. Madame Marie tant et plus gémissait, criait et ruisselait. Cette langue, cette foutue langue, fusse-t-elle celle d’un chien soumis, prenait le contrôle de tout son être. Elle se laissa aller, emportée par un orgasme d’une rare intensité. Elle jouissait, secouée par de violents spasmes incontrôlables, en inondant le visage de l’esclave MDE…
Essoufflée, haletante, elle maintenait fermement d’une main, la tête de l’esclave MDE, entre ses cuisses pour qu’il s’abreuve de ses sucs intimes, de l’autre, elle tirait brutalement sur la chaînette reliant les pinces japonaises jusqu’ici fixées aux mamelons de soumise Estelle. La jeune soumise Estelle hurla sous le choc, mais au même moment, sa chatte se mit à perler puis dégouliner littéralement, elle ne put contenir son orgasme masochiste…
- Mais que se passe-t-il ici ?
Monsieur Henri avait été interpellé par les cris de sa chienne soumise. Il était précipitamment entré dans la cuisine, puis s’était approcher d’elle et l’a voyant trempée, il questionna aussitôt Madame Marie :
- Lui aviez-vous autorisée la jouissance ma Chère Marie ?
La cuisinière, à peine remise de ses émotions, se faisant toujours brouter son petit minou, sursauta :
- Elle a joui cette petite garce ? Non, bien sûr que non, votre petite chienne n’était pas autorisée à jouir, Mon Cher Henri !
Monsieur Henri s’approcha alors de la chienne femelle Estelle, la dévisagea sévèrement, puis décida de la punition.
- Soit, puisque tu ne sais pas te tenir, puisque tu es incapable d’obéir, je vais te laisser ainsi, toute la journée, enfermée dans ce placard. Tu pourras méditer tranquillement !
Il referma la porte du dit placard, puis quitta la cuisine, emmenant avec lui, à quatre pattes, tenu en laisse soumis Endymion MDE…
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