La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°670)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°670)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°669) -
La fin du déménagement se passe sans autre incident, et Walter attache les esclaves dans le camion avant de refermer la porte…
- Bien je vais vous laisser, je vais récupérer les soumis restés au nettoyage et je vais ramener ces chiens au chenil de Monsieur Le Marquis.
- Merci bien Walter, voulez-vous prendre le café avant, vous avez un peu de temps ? demande le Commandant.
- Avec plaisir Monsieur, je vous remercie.
Laurent passe devant prenant Vanessa par la main suivit du Majordome jusqu’au salon, il installe sa compagne dans le canapé face au fauteuil que prend Walter.
- Attends je vais servir le café, propose Vanessa.
- Non, reste là je m’en occupe, insiste Laurent.
Vanessa se retrouve seule face au Majordome, assise au même rang que lui, elle ne se sent pas à sa place et conserve les yeux au sol de peur de croiser son regard. Walter sent sa gêne, mais il ne souhaite pas en abuser, trop respectueux des règles énoncés par son Maître concernant le rang particulier de cette soumise.
- Pas facile comme situation n’est-ce pas, dit-il pour briser le silence qu’il sent pesant pour la jeune femme.
- Non, c’est vrai, répond-t-elle timidement.
- Heureusement, on se verra rarement en ces lieux, au Château tout est plus simple, peu de risque que l’on prenne le café ensemble dans un des salons du Maître.
- En effet, sourit-elle osant lever les yeux pour découvrir le Majordome lui sourire.
- C’était si difficile de tenir cette cravache pour dix ridicules petits coups ? lui demande Walter.
- Oui, j’avoue qu’à mon sens la faute involontaire de ce soumis ne méritait pas cette sanction.
- Pourquoi ça ?
- C’est difficile à expliquer à un dominant, je suis soumise dans l’âme, et j’ai cette chose au fond de moi qui me pousse à protéger ceux de mon rang, mais je comprends que ce soit difficile à comprendre pour quelqu’un qui a toujours tenu la cravache.
- Oui je te comprends, au début ce n’est pas toujours évident !...
- Vous voulez dire que vous me comprenez ?
- Oui tout à fait…
- Comment cela ? interroge surprise la jeune femme.
- Monsieur Le Marquis m’a tout appris ! Je lui dois tant ! Tient, je vais même t’expliquer comment je suis arrivé à rencontrer ton Maître et à devenir son Majordome et son homme de confiance…
- Oh oui, je suis très honorée que vous souhaitez me raconter cela, oui vraiment, je vous remercie déjà de votre confidence …
- J’étais, jadis, ce que l’on pourrait appeler un ‘’petit Maître’’ sans trop d’expérience et j’avais surtout l’envie d’apprendre à tenir justement la cravache ! Et j’ai trouvé, il y a bien longtemps mon mentor, celui avec qui j’ai tout appris et qui deviendra par la suite mon employeur dans sa vaste demeure. Alors, voila comment cela s’est passé. Alors que je cherchais un emploi de Majordome ayant déjà de bonnes références en la matière (j’ai beaucoup travaillé en tant que domestique dans la bourgeoisie lyonnaise) et lors d'une soirée, j'ai rencontré un personnage d’un charisme hors norme. Un homme à l'allure élancée, chez qui tout respiraient l'intelligence, la finesse, l’élégance. Son regard Dominateur et éclairé nourrissait ses auditeurs, ses gestes avaient quelque chose de mystérieux, à la fois raffinés et d’une autorité naturelle. Je l’imaginais fort bien le voir d'une main assurée donner du fouet sur le cul d'une soumise, car une grâce certaine touchait cet homme, et la suppliciée en deviendrait ipso facto altesse. Après m’être renseigné auprès des convives de cette soirée, j’appris que ce Marquis disposait d'une immense propriété viticole dans le Beaujolais, perdue entre vignes et forêts, un domaine du nom d’un des plus grands crus de ce divin nectar rouge. Une grande habitation, ce Château d'un autre siècle, aux pierres épaisses, aux cheminées nombreuses et à la quiétude certaine. Ah si ces murs pouvaient parler, il est évident qu’ils auraient tant à dire avec tous ces Marquis d’Evans ayant vécu dans cette majestueuse demeure au fil des siècles. Voila ce que je pouvais apprendre des hôtes lors du copieux cocktail de cette soirée mondaine.
Walter parlait avec nostalgie et surtout une énorme admiration envers Monsieur le Marquis se dégageait de son regard, de sa voix, quand il respira un grand coup pour reprendre :
- Intrigué, j’avais réussi à approcher le Noble et j'avais également réussi entre divers bavardages futiles à donner ma carte au Marquis, espérant un jour recevoir un appel, car je rêvais à la fois d’être son Majordome mais aussi d’avoir beaucoup à apprendre de ce Maître exceptionnel. Car je dois bien l’avouer, une certaine admiration envers ce personnage me poussait à agir ainsi. Un pressentiment de générosité chez cet homme m'animait… Enfin, trois semaines plus tard, un soir mon téléphone vibra, et au son de sa voix, je compris tout de suite que c'était Lui. Après qu’il m’invita à être à l’aise dans mes propos suite à quelques balbutiements de mes premiers mots, je lui expliquai alors qu’elles étaient mes attentes envers mes 2 soumises lesquelles je peinais à dresser faute d’expérience, ne sachant pas manier la cravache, n’osant pas m’en servir. Le savoir me manquait terriblement, et qui de plus apte, de plus qualifié que le Marquis d’Evans pouvais-je trouver pour m’apporter ce savoir. Je lui expliquais donc quel genre de cérémonie je souhaitais partager avec lui afin qu’il m’apporte son œil d’expert, ses conseils, son expérience. Je lui précisais aussi que mes deux soumises étaient à mon instar, débutantes mais très attirées par le monde de la Domination/soumission et je lui demandais s’Il était d’accord pour qu’elles viennent avec moi chez Lui pour vivre sous sa formation, une véritable séance D/s avec tout le cérémonial…. Peu loquace, Il me proposa alors de venir le rejoindre dans sa demeure si réputée pour un week-end. Cette proposition venait après un long silence au téléphone, silence lequel je comprenais qu’il réfléchissait avant d’accepter ma demande …
Walter s’arrêta de nouveau ... il paraissait ému, ce qui était une chose rare chez lui. Quand il continua :
- Le week-end se passa formidablement bien, en deux jours j’appris beaucoup, déjà et je m’abreuvais de l’expérience de Monsieur le Marquis à le voir et à m’apprendre à dominer mes deux petites chiennes… A l’issue de ce merveilleux week-end, et au moment où j’allais partir, j’ai aussi ce magnifique souvenir, qui allait sceller mon destin professionnel et ma vie : Des mots, oui des mots de la bouche du Marquis d’Evans, de Sa proposition d’embauche, oui ces mots raisonnent encore dans ma tête 20 ans après et étant toujours à son service, et il me sied de te les répéter :
- Walter, je te propose de t’embaucher comme Mon Majordome, car le vieil Adrien va prendre sa retraite dans 6 mois et il me faut penser à le remplacer. Tu seras parfait pour ce poste, surtout que maintenant tu connais Mes occupations, je pourrais également compléter ta formation de Maître.
6 mois après j’entrais donc au service du Marquis d’Evans comme chauffeur et Majordome. Et ma complicité avec Marie la cuisinière fut dès le début très forte … Voila comment cela s’est passé…
C’est à ce moment que le Commandant les rejoint stoppant cette discussion et laissant la jeune femme impressionnée par cet aveu.
- Walter, nous voulions vous remercier pour votre disponibilité, annonce le Commandant en lui tendant la tasse.
- Ce n’est rien Monsieur, c’était un plaisir de rendre service à un grand ami du Maître.
- Mais c’était une charge de travail supplémentaire, et je sais à quel point la gestion du Château et du cheptel de Monsieur Le Marquis est prenante.
- Effectivement, mais Monsieur a des serviteurs pour assurer en mon absence, d’ailleurs je dois retourner à mes tâches vérifier que tout s’est bien déroulé.
- Je vous raccompagne, répond le Commandant en se levant.
Le Majordome pose la tasse de café et avec le Commandant sortent de la pièce pendant que Vanessa ramène les tasses à la cuisine repensant à ce que Walter vient de lui avouer. Laurent la retrouve dans la cuisine perdue dans ses pensées.
- Eh bien tu as l’air bien pensive ?
- Euh oui… je… euh… non ce n’est rien.
- A peine installés ensemble et déjà des cachotteries ? sourit son amant.
- C’est juste que je pense à quelque chose que Monsieur Walter m’a dit lorsque tu préparais le café, et disons que… tu l’as connu toi avant qu’il ne soit le Majordome de Monsieur Le Marquis ?
- Ah, Walter t’a parlé de son passé ? s’étonne Laurent… Oui c’était un petit maître sans envergure au tout début ! Et sans ton Maître, il ne serait jamais devenu ce qu’il est devenu… C’est pour cela que Walter a une admiration et une reconnaissance sans borne et à vie pour Monsieur le Marquis … Il doit vraiment t’apprécier pour te l’avoir dit, c’est clair !.
- Oui il m’a expliqué comment il est arrivé à ce poste de Majordome au Château
- Oui c’est vrai, Monsieur le Marquis lui a vraiment tout appris, avant de devenir son bras-droit et son complice.
- Son histoire me provoque encore plus d’admiration envers mon Maître et j’ai donc vraiment conscience que je n’ai pas n’importe quel Maître, mais un Grand Maître de renom et d’expérience …
Sur ces mots Vanessa se lève, ils terminent de ranger et décident de sortir en ville pour la fin de la journée.
(A suivre …)
La fin du déménagement se passe sans autre incident, et Walter attache les esclaves dans le camion avant de refermer la porte…
- Bien je vais vous laisser, je vais récupérer les soumis restés au nettoyage et je vais ramener ces chiens au chenil de Monsieur Le Marquis.
- Merci bien Walter, voulez-vous prendre le café avant, vous avez un peu de temps ? demande le Commandant.
- Avec plaisir Monsieur, je vous remercie.
Laurent passe devant prenant Vanessa par la main suivit du Majordome jusqu’au salon, il installe sa compagne dans le canapé face au fauteuil que prend Walter.
- Attends je vais servir le café, propose Vanessa.
- Non, reste là je m’en occupe, insiste Laurent.
Vanessa se retrouve seule face au Majordome, assise au même rang que lui, elle ne se sent pas à sa place et conserve les yeux au sol de peur de croiser son regard. Walter sent sa gêne, mais il ne souhaite pas en abuser, trop respectueux des règles énoncés par son Maître concernant le rang particulier de cette soumise.
- Pas facile comme situation n’est-ce pas, dit-il pour briser le silence qu’il sent pesant pour la jeune femme.
- Non, c’est vrai, répond-t-elle timidement.
- Heureusement, on se verra rarement en ces lieux, au Château tout est plus simple, peu de risque que l’on prenne le café ensemble dans un des salons du Maître.
- En effet, sourit-elle osant lever les yeux pour découvrir le Majordome lui sourire.
- C’était si difficile de tenir cette cravache pour dix ridicules petits coups ? lui demande Walter.
- Oui, j’avoue qu’à mon sens la faute involontaire de ce soumis ne méritait pas cette sanction.
- Pourquoi ça ?
- C’est difficile à expliquer à un dominant, je suis soumise dans l’âme, et j’ai cette chose au fond de moi qui me pousse à protéger ceux de mon rang, mais je comprends que ce soit difficile à comprendre pour quelqu’un qui a toujours tenu la cravache.
- Oui je te comprends, au début ce n’est pas toujours évident !...
- Vous voulez dire que vous me comprenez ?
- Oui tout à fait…
- Comment cela ? interroge surprise la jeune femme.
- Monsieur Le Marquis m’a tout appris ! Je lui dois tant ! Tient, je vais même t’expliquer comment je suis arrivé à rencontrer ton Maître et à devenir son Majordome et son homme de confiance…
- Oh oui, je suis très honorée que vous souhaitez me raconter cela, oui vraiment, je vous remercie déjà de votre confidence …
- J’étais, jadis, ce que l’on pourrait appeler un ‘’petit Maître’’ sans trop d’expérience et j’avais surtout l’envie d’apprendre à tenir justement la cravache ! Et j’ai trouvé, il y a bien longtemps mon mentor, celui avec qui j’ai tout appris et qui deviendra par la suite mon employeur dans sa vaste demeure. Alors, voila comment cela s’est passé. Alors que je cherchais un emploi de Majordome ayant déjà de bonnes références en la matière (j’ai beaucoup travaillé en tant que domestique dans la bourgeoisie lyonnaise) et lors d'une soirée, j'ai rencontré un personnage d’un charisme hors norme. Un homme à l'allure élancée, chez qui tout respiraient l'intelligence, la finesse, l’élégance. Son regard Dominateur et éclairé nourrissait ses auditeurs, ses gestes avaient quelque chose de mystérieux, à la fois raffinés et d’une autorité naturelle. Je l’imaginais fort bien le voir d'une main assurée donner du fouet sur le cul d'une soumise, car une grâce certaine touchait cet homme, et la suppliciée en deviendrait ipso facto altesse. Après m’être renseigné auprès des convives de cette soirée, j’appris que ce Marquis disposait d'une immense propriété viticole dans le Beaujolais, perdue entre vignes et forêts, un domaine du nom d’un des plus grands crus de ce divin nectar rouge. Une grande habitation, ce Château d'un autre siècle, aux pierres épaisses, aux cheminées nombreuses et à la quiétude certaine. Ah si ces murs pouvaient parler, il est évident qu’ils auraient tant à dire avec tous ces Marquis d’Evans ayant vécu dans cette majestueuse demeure au fil des siècles. Voila ce que je pouvais apprendre des hôtes lors du copieux cocktail de cette soirée mondaine.
Walter parlait avec nostalgie et surtout une énorme admiration envers Monsieur le Marquis se dégageait de son regard, de sa voix, quand il respira un grand coup pour reprendre :
- Intrigué, j’avais réussi à approcher le Noble et j'avais également réussi entre divers bavardages futiles à donner ma carte au Marquis, espérant un jour recevoir un appel, car je rêvais à la fois d’être son Majordome mais aussi d’avoir beaucoup à apprendre de ce Maître exceptionnel. Car je dois bien l’avouer, une certaine admiration envers ce personnage me poussait à agir ainsi. Un pressentiment de générosité chez cet homme m'animait… Enfin, trois semaines plus tard, un soir mon téléphone vibra, et au son de sa voix, je compris tout de suite que c'était Lui. Après qu’il m’invita à être à l’aise dans mes propos suite à quelques balbutiements de mes premiers mots, je lui expliquai alors qu’elles étaient mes attentes envers mes 2 soumises lesquelles je peinais à dresser faute d’expérience, ne sachant pas manier la cravache, n’osant pas m’en servir. Le savoir me manquait terriblement, et qui de plus apte, de plus qualifié que le Marquis d’Evans pouvais-je trouver pour m’apporter ce savoir. Je lui expliquais donc quel genre de cérémonie je souhaitais partager avec lui afin qu’il m’apporte son œil d’expert, ses conseils, son expérience. Je lui précisais aussi que mes deux soumises étaient à mon instar, débutantes mais très attirées par le monde de la Domination/soumission et je lui demandais s’Il était d’accord pour qu’elles viennent avec moi chez Lui pour vivre sous sa formation, une véritable séance D/s avec tout le cérémonial…. Peu loquace, Il me proposa alors de venir le rejoindre dans sa demeure si réputée pour un week-end. Cette proposition venait après un long silence au téléphone, silence lequel je comprenais qu’il réfléchissait avant d’accepter ma demande …
Walter s’arrêta de nouveau ... il paraissait ému, ce qui était une chose rare chez lui. Quand il continua :
- Le week-end se passa formidablement bien, en deux jours j’appris beaucoup, déjà et je m’abreuvais de l’expérience de Monsieur le Marquis à le voir et à m’apprendre à dominer mes deux petites chiennes… A l’issue de ce merveilleux week-end, et au moment où j’allais partir, j’ai aussi ce magnifique souvenir, qui allait sceller mon destin professionnel et ma vie : Des mots, oui des mots de la bouche du Marquis d’Evans, de Sa proposition d’embauche, oui ces mots raisonnent encore dans ma tête 20 ans après et étant toujours à son service, et il me sied de te les répéter :
- Walter, je te propose de t’embaucher comme Mon Majordome, car le vieil Adrien va prendre sa retraite dans 6 mois et il me faut penser à le remplacer. Tu seras parfait pour ce poste, surtout que maintenant tu connais Mes occupations, je pourrais également compléter ta formation de Maître.
6 mois après j’entrais donc au service du Marquis d’Evans comme chauffeur et Majordome. Et ma complicité avec Marie la cuisinière fut dès le début très forte … Voila comment cela s’est passé…
C’est à ce moment que le Commandant les rejoint stoppant cette discussion et laissant la jeune femme impressionnée par cet aveu.
- Walter, nous voulions vous remercier pour votre disponibilité, annonce le Commandant en lui tendant la tasse.
- Ce n’est rien Monsieur, c’était un plaisir de rendre service à un grand ami du Maître.
- Mais c’était une charge de travail supplémentaire, et je sais à quel point la gestion du Château et du cheptel de Monsieur Le Marquis est prenante.
- Effectivement, mais Monsieur a des serviteurs pour assurer en mon absence, d’ailleurs je dois retourner à mes tâches vérifier que tout s’est bien déroulé.
- Je vous raccompagne, répond le Commandant en se levant.
Le Majordome pose la tasse de café et avec le Commandant sortent de la pièce pendant que Vanessa ramène les tasses à la cuisine repensant à ce que Walter vient de lui avouer. Laurent la retrouve dans la cuisine perdue dans ses pensées.
- Eh bien tu as l’air bien pensive ?
- Euh oui… je… euh… non ce n’est rien.
- A peine installés ensemble et déjà des cachotteries ? sourit son amant.
- C’est juste que je pense à quelque chose que Monsieur Walter m’a dit lorsque tu préparais le café, et disons que… tu l’as connu toi avant qu’il ne soit le Majordome de Monsieur Le Marquis ?
- Ah, Walter t’a parlé de son passé ? s’étonne Laurent… Oui c’était un petit maître sans envergure au tout début ! Et sans ton Maître, il ne serait jamais devenu ce qu’il est devenu… C’est pour cela que Walter a une admiration et une reconnaissance sans borne et à vie pour Monsieur le Marquis … Il doit vraiment t’apprécier pour te l’avoir dit, c’est clair !.
- Oui il m’a expliqué comment il est arrivé à ce poste de Majordome au Château
- Oui c’est vrai, Monsieur le Marquis lui a vraiment tout appris, avant de devenir son bras-droit et son complice.
- Son histoire me provoque encore plus d’admiration envers mon Maître et j’ai donc vraiment conscience que je n’ai pas n’importe quel Maître, mais un Grand Maître de renom et d’expérience …
Sur ces mots Vanessa se lève, ils terminent de ranger et décident de sortir en ville pour la fin de la journée.
(A suivre …)
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