La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 678)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 678) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 678)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°677) - William, le nouveau précepteur-enseignant -

Endymion MDE était content de retrouver ce lieu qui servait de réfectoire aux chiennes et chiens soumis de Monsieur le Marquis d’Evans, une grande et modeste pièce dans les sous-sols du Château. Heureux aussi de revoir la plus grande partie du cheptel réunie pour prendre ce repas de midi. Les soumis présents, tant les mâles que les femelles, étaient nus avec leur collier de soumission autour du cou. Les mâles, sauf quatre d’entre eux, portaient un dispositif de chasteté, certaines femelles avaient enfoncé dans leur sexe un gode ouaté, harnaché à une ceinture et maintenu en elles, par un système ingénieux de lanières en cuir attachées à leur taille par un cadenas…

Maximilien n’en revenait pas, il avait devant les yeux un véritable ‘’troupeau’’ de soumises et soumis, tous à quatre pattes, tous mangeant dans un grand et long bac incurvé et en inox, tous sauf trois mâles ! Ces trois-là étaient isolés dans un enclos grillagé un peu à l’écart et mangeaient une nourriture différente, avec quelques compléments alimentaires bien particulier, des protéines à base de testostérone les rendant très virils, musclés, presque bodybuildés, mais aussi très poilus et maintenus le plus souvent bandés. Eux trois étaient queue à l’air libre. Comme d’habitude, quatre gardes étaient là pour superviser l’ensemble des soumis. Le nouveau Garde en chef ne put s’empêcher d’aller flatter un cul, titiller une chatte, tripoter des seins ou une paire de couilles, puis demanda très vite des explications :

- Pourquoi certaines femelles sont-elles engodées ainsi ?

Un des gardes lui expliqua que ces femelles-ci, étaient celles qui avaient leur cycle menstruel, et que le gode ouaté enfourné dans leur chatte, leur servait de tampon hygiénique. Maximilien poursuivait son questionnement

- Pourquoi ces trois mâles sont-ils enfermés dans ce réduit et n’ont-ils pas leur nouille encagée ?

Le même garde lui répondit que seulement quatre soumis mâles ne disposaient pas d’un dispositif de chasteté. Ces trois- là, étaient des sujets mâles dominants du cheptel… Récompensés par Monsieur le Marquis pour leur travail acharné, pour leur longue et totale soumission et leur véritable dévotion, ils étaient autorisés à utiliser leur queue, comme il l’entendait. Ils pouvaient donc se branler, se faire sucer, ou s’accoupler avec leur congénère, à tout moment, sans attendre qu’un ordre leur en soit donné. Seul bémol pour eux trois, quelles que soient leurs pratiques sexuelles, elles ne pouvaient se faire qu’à quatre pattes. S’ils décidaient de se masturber, de se faire sucer ou encore de s’accoupler, tant avec une femelle qu’avec un mâle, le coït ne pouvait se faire qu’en quadrupède, comme de véritables chiens. Pour ce qui était du quatrième mâle sans chasteté, là c’était un peu différent… Celui-ci ne parviendrait jamais à ce statut de mâle dominant, pour preuve d’ailleurs, il mangeait au milieu du cheptel comme les autres soumis mâles dominés et encagés ! Lui était tout simplement testé par le Maitre, pour voir jusqu’où sa soumission à laquelle il aspirait tant, était belle et bien respectée. Privé de toute liberté sexuelle, il avait ainsi interdiction formelle de se toucher la bite, sans qu’un ordre lui soit expressément donné ! Un gage bien difficile à tenir, tant la tentation était grande ici… Mais il avait été fait récemment esclave ! Un rang particulier, l’obligeant plus encore, le contraignant totalement …

- Ne veux-tu pas me parler de l’esclave Endymion MDE ?
- Si Monsieur Maximilien, vous le connaissez ?
- Oui très bien, nous devons d’ailleurs l’avoir particulièrement à l’œil, celui-ci !
- C’est effectivement ce que nous a dit Monsieur Walter ce matin, lors de notre rapport matinal, juste avant que vous arriviez. Mais dites-moi Monsieur Maximilien, c’est quoi la différence entre un soumis et un esclave ? Questionnait presque naïvement le jeune Garde !

Maximilien n’eut pas à répondre, Le Maître, venant juste d’arriver et ayant entendu la conversation se lança dans une longue et belle explication.

- Ecoute-moi bien Thierry (c’était le nom de ce jeune garde) Il y a plusieurs écoles pour répondre à cette question. L'une dit qu'il n'y a aucune différence, c'est une question de préférence pour un terme ou l'autre. Une autre école considère que la différence est dans l'intensité de la soumission et de l’investissement total à servir le Maître. Une autre encore considère que le soumis, a envie d'être soumis et que l'esclave a envie et besoin d'être soumis. Je crois que c’est particulièrement le cas d’Endymion MDE… Le désir de soumission de tous ceux présents ici est une preuve d'un minimum d'altruisme, mais je crois qu’Endymion MDE est quelqu'un qui cumul le besoin d'abnégation à celui de soumission. Il souhaite dévouer toute sa vie à Moi, le Maître.

Le Maître se tut un instant, pour réfléchir plus encore, puis il reprenait :

- L’esclave se soumet en effet plus entièrement à la volonté du Maître, pour l'intérêt de ce dernier. Mais la différence de comportement ne se limite pas à ça. L’esclave prend toujours la décision que son Maître désire qu'il prenne, il tourne toute sa vie au service du Maître, il fait tout pour le satisfaire, même sans que Le Maître n'en fasse la demande, et lorsque l’esclave doit prendre une initiative, elle ne sera pas prise en fonction de ses propres désirs et plaisirs, mais uniquement en fonction de ceux du Maître. L'esclave ne vit que pour la satisfaction de son Maître. Selon moi, c'est l'unique objectif de sa vie. C’est la vie que je Veux donner à Endymion MDE, il est fait et né pour être cet esclave-là ...

Le repas prenait fin, Monsieur le Marquis exigea alors qu’on lâche les trois soumis chiens mâles dominants de leur cage. Ceux-ci se précipitèrent à quatre pattes dans le réfectoire, tous les trois en rut. L’un d’eux s’approcha d’une soumise toujours le nez plongé dans le récipient en inox, il lui flaira le cul et lui lécha avidement son sexe. La femelle soumise comprit qu’elle allait être prise, alors aussitôt, elle sortit son « museau » de l’immense gamelle et se mit en levrette, écarta les cuisses et offrit sa croupe relevée. D’un trait, le mâle la pénétra et la secoua sauvagement. Les deux autres mâles avaient chopé Endymion MDE, le tenaient couché à plat ventre contre le sol, l’un d’eux le maitrisait en s’appuyant de ton son poids sur ses épaules, alors que l’autre, s’était installé à genoux entre ses cuisses écartées. Il lui donna quelques coups de langue sur son trou, puis positionna sa bite entre ses fesses et s’enfonça en lui brutalement.

Le Maître regardait d’un air amusé l’étonnement de Maximilien qui n’avait jamais vu une telle bestialité…

- C’est toujours ainsi, lorsque revient au bercail un soumis ou une soumise absent depuis plusieurs jours ou semaines. Les trois dominants se ruent sur elle ou lui, pour marquer leur prégnance, leur pouvoir et leur prérogative…

Maintenant Endymion MDE avait une bite dans le cul et une autre dans la bouche, le troisième mâle avait délaissé celle qu’il avait chevauchée rapidement et tournait comme un chien fou, tout autour de l’esclave MDE, attendant impatiemment le moment, ou à son tour, il pourrait l’embrocher.

- Comment faites-vous Monsieur le Marquis pour transformer ces individus de la sorte ?

Le Maître fièrement éclatait de rire…

- D’abord, il faut que ces chiennes et chiens aient de bonnes prédispositions, une volonté farouche de vivre ce qu’ils sont, pour qui ils sont, car je n’ai jamais obligé qui que ce soit à être ce qu’ils sont. Ils sont tous là de leur plein gré et vivent ce qu’ils vivent de leur plein gré aussi. D’ailleurs n’importe quel soumis ou soumise du cheptel peut partir à tous moment, sans aucun souci, car le Château n’est surtout pas une prison et je n’ai jamais retenu personne. Ils savent simplement que s’ils partent, ils ne pourront jamais revenir à Mes pieds … Ensuite, il faut les éduquer, les dresser, les discipliner avec patiente mais aussi sévérité. Regarde mon Cher Maximilien, comme tous, ils se complaisent dans la débauche et la dépravation. Tous sont assoiffés de sexe, de luxure, de lubricité. Je suis fier de les avoir aidés à se révéler, et conduit à ce pourquoi ils sont faits.

Les yeux du Maître brillaient, sa fierté illuminait son visage…

- Regarde cette salope d’Endymion MDE, il se fait prendre par tous les trous, et pourtant il remue son cul telle une chienne en chaleur, il gobe cette queue, et la biberonne goulument… N’est-ce pas un beau spectacle que de voir une telle dépravation ? chez une lope qui en a tant besoin …

Maximilien acquiesçait et bandait terriblement… Il avait sorti sa queue de son jean et se branlait joyeusement. Monsieur le Marquis appelait un garde et lui demandait d’aller choisir une bonne femelle, une bonne suceuse pour que celle-ci s’occupe de la bite de Maximilien. La soumise était d’un âge mûr, quelque peu opulente, une poitrine imposante. Elle s’approcha du Garde en Chef et avala sa bite d’un trait. Ses lèvres pulpeuses s’enroulaient autour de ce gland turgescent et ses longs vas et viens sur cette hampe de chair tendue firent très vite leurs effets… Maximilien jouissait abondamment dans cette bouche avide et expérimentée en râlant et en affirmant par des mots obscènes que cette soumise était une belle videuse de couilles, une vraie chienne et salope…

Les yeux humides, non pas de chagrin mais d’épuisement, Endymion MDE avait été ramené près du Maitre. Celui-ci l’attrapait par sa chevelure et l’obligeait à soutenir son regard.

- Dis-moi que tu es Ma putain, Ma salope !
- Oh oui Maître Vénéré, je suis votre pute et votre salope, et fier de l’être…
- C’est bien Mon chien, maintenant redresse toi et suis moi !

Deux pas derrière le Maître, l’esclave MDE remontait des antres du Château. Il transpirait encore à grosses gouttes, du foutre s’échappait de son cul. Monsieur le Marquis et lui regagnèrent la petite salle de réception. Là à l’intérieur se tenait debout un homme…

- Je ne vous ai pas fait trop attendre, Mon Cher William ?
- Oh no ! Je suis déjà très en retard moi-même ! Reprenait l’inconnu avec un fort accent britannique.
- Que voulez-vous mon Cher William, Endymion MDE, mon esclave se donnait en spectacle…
- En spectacle ?
- Oui, oui en spectacle disais-je, tiens Endymion MDE, dit à Monsieur William à quel spectacle tu te donnais !

Sans une once d’hésitation l’esclave MDE répondit avec une haute et distincte voix :

- Je me faisais sauvagement enculer Monsieur, avec en plus une queue dans la bouche à sucer…

Le sieur William haussa les épaules tout en attrapant la bite tendue de l’esclave MDE.

- Quoi de plus banal pour une salope de ton espèce… Je vois que tu sembles avoir apprécié !
- Je n’ai pas à apprécier Monsieur, je me contente d’obéir au Maître. Répondit presque effrontément Endymion MDE.

Bien que satisfait de cette réponse, mais pour le principe, le Maître lui asséna une claque au visage et lui ordonna de se mettre en levrette devant les pieds de Monsieur William.

- Reste humble et servile mon chien, en tout temps, en tout lieu, et en présence de toute personne Dominante…

Monsieur William et Monsieur le Marquis se mirent à discuter ensemble. Mais l’esclave ne comprenait rien de ce qu’ils se disaient. Leur conversation était en langue anglaise… L’esclave MDE restait sans bouger, parfaitement immobile, les reins bien cambrés, son intimité offerte à leur regard. Au bout d’un certain temps, le Maître attrapa Son esclave par son collier et le fit tenir à genoux devant Lui.

- Ecoute-moi, salope… (Le Maître se tut quelques secondes) Monsieur William est désormais ton précepteur-enseignant. Je l’ai engagé pour qu’il t’enseigne la langue de Shakespeare, une éducation à l’anglaise bien sûr… Tu sais ce que ça veut dire ?

Endymion MDE avait bien entendu parler de ces méthodes d’enseignement britanniques, il avait bien vu quelques images sur des sites internet spécifique. Un enseignement à la baguette sur des culs blancs au départ, puis rose sinon rouge écarlate.

- Tu vas avoir un enseignement intensif, forcé et continu, au moins six heures de cours par jour, pour que dans deux mois tu saches t’exprimer correctement en anglais et suivre parfaitement une conversation. Tu en as besoin, car d’ici quelques temps je t’expédierai en Ecosse, retrouvé quelqu’un que tu connais déjà, quelqu’un que tu as croisé à la Slave Académie de New York !

L’esclave MDE se rappelait très bien d’avoir croisé un couple d’Ecossais, mais avait oublié leur nom, peut-être même leur image. Il se rappelait surtout de cette petite femme frêle mais sévère et très exigeante…

- De gré ou de force, tu vas apprendre l’Anglais Ma pute, Je confère à Monsieur William tous les pouvoirs pour que tu deviennes un parfait bilingue… Crois-moi, je sais connais sa méthode d’enseignement, elle est redoutable. Mais pas de temps à perdre, je te laisse avec lui, pour ton premier cours… Tâche de ne pas avoir le cul trop zébré ce soir, j’ai à te présenter quelqu’un pour le dîner !

Le Maître quittait la pièce laissant Endymion MDE à quatre pattes, seul devant Monsieur William.

(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 678)
Histoire sexe : Une rose rouge
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