La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 679)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 344 349 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 936 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 679)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°678) - Une certaine Mademoiselle Lucie -
Le nouveau précepteur enseignant ne perdit pas une seule seconde, Il attrapa Endymion MDE, tenu par son collier, et l’entraina à quatre pattes, dans une petite pièce, à deux pas de la Chambre du Maître. Dans cette petite et étroite salle de classe, éclairée par une seule fenêtre de forme arrondie tel un hublot, était installé un grand tableau noir, une estrade et sur celle-ci était posée un bureau et juste derrière, un fauteuil, celui de Monsieur William. Pour l’esclave MDE, point de table ni de chaise, il allait apprendre à parler anglais comme sans doute personne ne l’avait jamais encore fait. Juste à proximité de l’estrade, se trouvait un drôle de marchepieds rembourré et recouvert de cuir épais mais très souple, sur lequel Monsieur William fit installer Endymion MDE. A genoux sur la marche inférieure et abdomen posé sur la marche supérieure, il fut attaché et sanglé au niveau des cuisses et des pieds, lui imposant un écart important de ses jambes. Une lanière fut fixée, au creux de ses reins, pour maintenir une belle cambrure de son cul, une autre passait sur ses omoplates pour tenir sa poitrine en appui tout contre ce cuir capitonné.
- Dis-moi, la pute, tu es droitier ou gaucher ?
Endymion MDE écrivait de la main droite, alors son bras gauche fut lui aussi attaché dans un axe perpendiculaire à son corps. La posture était des plus outrageantes sinon pénibles et très contraignantes. Hormis son membre supérieur droit utile pour pouvoir écrire, il ne pouvait plus guère bouger. Monsieur William déposa près de l’esclave MDE, juste à côté de sa main droite des feuilles blanches et deux stylos. Puis il s’agenouilla près du visage d’Endymion MDE et lui montra un objet qu’il affectionnait tout particulièrement : une canne souple et flexible d’un mètre de long.
- J’apprécie particulièrement cet instrument, il permet d’apprendre vite et de retenir longtemps… C’est extraordinaire le lien qui existe entre le cul d’un esclave et son cerveau !
Monsieur William agita cette canne de rotin très flexible puis il se releva et subitement donna un coup cinglant sur le cul d’Endymion… La douleur était aigüe et vive, et comme si cela ne suffisait pas, dans un second temps, cette douleur se diffusait dans tout le muscle du fessier…. l’esclave MDE tentait de sursauter mais attaché comme il l’était, il ne put se mouvoir que très légèrement. Et dans l’instant qui suivit sa nouille se mit à se dresser car cette vive douleur l’excitait grandement et avait réveillé en lui ses pulsions masochistes.
- A partir de maintenant, nous converserons qu’en Anglais. A chaque erreur de ta part, ton cul de lope sera mis à l’épreuve. Tu ne pourras que t’en prendre à toi, à toi seul, si ton cul se strie, suis-je bien clair…
- Oui Monsieur !
Et là un deuxième coup tomba sur le fessier de l’esclave, aussi rude et intense que le premier… Tout de suite Endymion MDE comprit son erreur, il se reprit, tout en bandant encore plus :
- Yes Sir !
Pendant près de quatre heures, Endymion MDE resta ainsi immobilisé, il reçut plusieurs coups de canne sur son cul maintenant bien zébré… Il était épuisé par les efforts de compréhension, par toute l’attention qu’il devait porter, par le décalage horaire, par le manque de sommeil, par la posture qu’il devait tenir. Il se croyait au bord de l’épuisement lorsque Monsieur William décida de mettre fin à ce premier cours. Et malgré sa fatigue et tout ce qu’il subit durant ces quatre heures, sa queue de chien soumis gardait une belle érection….
- C’est bien le chien, tu as déjà fait de beau progrès en l’espace de quelques heures… Le Maître sera fier de toi !
Ces paroles réconfortantes remirent aussitôt sur pied l’esclave MDE, il ne lui en fallait pas plus pour se requinquer. Le fait d’entendre seulement ça : « Le Maître sera fier de toi » lui procurait un plaisir inouï… des frissons montaient le longs de sa colonne vertébrale, sa nouille toujours tendue vibrait légèrement comme si une improbable jouissance arrivait. Il fut détaché, la main de Monsieur William s’accrochait à sa nouille gonflée et la masturbait un tantinet…
- A demain matin neuf heures, salope.
Monsieur William quittait la pièce laissant là Endymion MDE, à la fois abasourdi et appliqué, douloureux et indolent, ankylosé et dynamique, épuisé et excité, des ressentis et des sensations contradictoires sinon incompatibles, et pourtant… il arborait toujours une queue fière et altière, dure et ferme, érigée et tenue pointée vers le ciel… Quelle putain était-il devenu ! Ce fut Monsieur Walter qui entra dans la pièce, il regarda le fessier zébré de l’esclave MDE et appliqua sur son cul, une pommade cicatrisante, puis peu après le Majordome l’emmena dans les cuisines du Château. Il y régnait une ambiance joyeuse. Madame Marie, la perverse cuisinière, semblait comme désinvolte, gaie, très heureuse, toute émoustillée... Elle chantonnait même ! Que lui arrivait-il ? Elle, qui d’habitude montre une sévérité implacable ! L’esclave Phryné MDE, elle aussi, était là, s’affairant à préparer le dîner. Elle aussi semblait enjouée, épanouie, radieuse… Sa nudité lui allait à ravir !
- Ah, Endymion MDE approche ! dictait Madame la cuisinière.
Il avança rapidement et se présenta devant Madame Marie, tête basse, jambes entrouvertes, mains croisées dans le dos.
- Connais-tu la nouvelle Endymion MDE ?
De quelle nouvelle voulait-elle parler ?
- Phryné MDE annonce à ton frère de slavitude, la bonne nouvelle… Et toi le chien, tu es autorisé à répondre à ta sœur de soumission…
L’esclave Phryné MDE ressemblait à une petite fille, ses joues s’enflammaient, elle se tortillait les doigts en se mordant les lèvres…
- Oh, esclave Endymion MDE, si tu savais combien je suis heureuse…
- Je le vois chère Phryné MDE, et pourquoi donc es-tu si triomphante, tu sembles comblée ?
- Oui comblée, c’est le terme approprié et bien choisi… (Elle se taisait quelques secondes en se dandinant un peu plus encore). Tu sais frère de soumission, le Maître, le Vénéré Maître m’a honoré… il m’a affublé du titre d’esclave, tout comme toi… Quel honneur nous fait-Il ! Nous devons en être dignes et fiers, même si ce titre nous plonge plus encore dans les abimes de la soumission et les profondeurs de l’abnégation, je suis heureuse…
Madame Marie coupa court à la conversation, elle exigea à l’esclave Phryné MDE de reprendre sa place et de continuer la préparation du diner. L’esclave Endymion MDE reçut l’ordre d’aller dresser le couvert dans la petite salle à manger, avec une information importante :
- Nous serons cinq à dîner ce soir ! (puis à elle-même, elle rajouta) C’est bien pour cette raison que je suis si joyeuse, d’ailleurs !
La vaisselle, l’argenterie et la verrerie avaient été sorties, celles que l’on sortait ici pour les grandes occasions. Malgré lui Endymion MDE s’interrogeait. Qui, Monsieur le Marquis pouvait-il recevoir à sa table ? Le Maître, un… Madame Marie, deux… Monsieur Walter, trois… et puis ? A peut-être Monsieur William, quatre… il manquait un cinquième nom ! Et comme l’esclave MDE avait entendu ce qu’avait rajouté Marie la cuisinière ‘’C’est bien pour cette raison que je suis si joyeuse, d’ailleurs !’’ il s’interrogea juste quelques secondes, à chercher quelle personne pouvait rendre la sévère Marie si égayée. Il ne chercha pas plus que ça et s’appliquait déjà à prendre un soin particulier à ériger cette table ! Lorsqu’il eut fini, il regagna la cuisine et fut embauché à laver des légumes, à les couper avec une mandoline pour en faire une découpe nette et régulière d’une extrême finesse… Et lorsque le repas fut près, les deux esclaves accompagnés de Maximilien partirent se doucher. Le Garde en Chef veilla à ce que ces deux-là soient parfaitement propres. Il inspecta scrupuleusement et vicieusement leur corps dans les moindres recoins de leurs intimités respectives puis il les ramena dans la petite salle à manger.
Monsieur le Marquis, en blazer bleu marine, une chemise blanche, col ouvert, un pantalon léger dialoguait debout avec un jeune couple inconnu… Madame Marie se tenait près de la jeune femme la serrant entre ses bras. Madame la Cuisinière semblait très heureuse, toute souriante comme maternelle avec celle qu’elle prénommait Lucie. Madame Lucie devait avoir une trentaine d’année, blonde avec des cheveux mi-longs tombants sur ses épaules, vêtue strictement d’un tailleur Chanel gris clair très chic, perché sur des hauts talons à aiguilles. Mais une chose interpella de suite Endymion MDE : C’était la frappante ressemblance de cette Lucie avec le Maître. En effet, son visage, même s’il était plus fin, avait les traits des Evans ! Le même nez, le même front, le même sourire ressortait de sa belle chevelure… Quant au Jeune homme, un certain Julien, lui aussi la trentaine, semblait assez intimidé. Il restait un peu en retrait. Il était habillé d’un costume sobre Louis Vuitton, d’une chemise blanche, d’une cravate, des souliers vernis aux pieds. Visiblement, le Maître cherchait à le rassurer, il discutait chaleureusement avec lui, lui posant parfois une main sur l’épaule… Monsieur Walter arrivait essoufflé. La première chose qu’il fit, ce fut d’attraper les deux esclaves par leur collier et les obliger par une poigne de fer à se mettre tous les deux en levrette…
- Les bonnes manières perdurent dans cette illustre et bien perverse Demeure ! Plaisantait Madame Lucie en voyant agir Monsieur le Majordome.
- Toujours Madame Lucie ! lui répondit-il respectueusement, puis il reprit en tutoyant cette fois-ci… Te voilà de retour de Shanghai ma belle… T’installes-tu définitivement ici ?
- Oh non, mon bon vieux Walter, je suis ici seulement pour quelques jours de vacances… La maison Louis Vuitton à Shanghai a besoin de sa Directrice des Ressources Humaines…. Je suis venu ici simplement pour voir maman et Papounet et leur présenter mon amoureux, mon beau Julien ! Mais je suis très heureuse de te revoir, Walter !
Lucie attrapait la main de Julien et la lui embrassait… Julien avançait vers le Majordome
- Bonjour Monsieur ! lui dit-il avec un air très respectueux
- Bonjour Julien, pas de Monsieur entre nous, appelez-moi simplement Walter !
Les deux esclaves toujours prosternés au sol ne comprenaient rien à la situation… et pour cause ! Lucie n’était autre que la fille illégitime née de l’union de Monsieur le Marquis d’Evans avec Marie la Cuisinière quand celle-ci avait été déflorée à l'âge de 18 ans par le Noble dans le foin de la grange du Château. Monsieur le Marquis de l’époque, le père du Maître avait appris la liaison de son fils avec cette jeune femme du village somme toute mignonne, mais sans titre de noblesse… A l’époque, au début, il avait bien râlé, rouspété, maugréé, sermonné sur cette liaison amoureuse. Mais toutefois après plusieurs mois où les deux jeunes amoureux ne cachaient pas leur amour réciproque, le père du Maître avait fini par l’accepter et même engager Marie, comme cuisinière au Château sur la demande insistante de son fils et bien sûr pour sauver les apparences quand il apprit qu’elle était enceinte de son fils. Lucie avait donc grandi en cette Noble demeure et avait été élevée par sa mère mais elle n'avait jamais porté le nom des Evans car le père du Maître en était farouchement opposé. Il avait juste accepté qu'elle puisse vivre au Château mais qu’en aucun cas, qu’elle puisse être reconnue comme héritière. C’était d’ailleurs l’unique condition qu’il avait exigé pour accepter de l’engager comme cuisinière et qu’elle puisse élever Lucie au Château. Cette condition avait été exposée clairement à Madame Marie lors de la naissance de Lucie. Elle avait pu ainsi élever sa fille ici, au Château, à l’abri de tout besoin matériel et Lucie fut chérie, aimée et eut une enfance très heureuse. Lucie n’avait jamais manqué de rien et elle avait pu par la suite faire de hautes études. Pour l'Etat Civil Madame Marie avait eu droit au titre officiel de fille-mère et donc Lucie était officiellement née de père inconnu. Lucie était évidemment au courant de cette situation et Monsieur le Marquis d’Evans l’avait élevé et chéri comme s'il l'avait légalement reconnu. Elle avait été chouchoutée par son Père toute son enfance et Celui-ci lui avait donné beaucoup d'argent pour vivre, une fois que Lucie eut atteint sa majorité.
- Un beau jeune homme ma chère enfant, tu as bien choisi ! lançait son père, Monsieur le Marquis d’Evans en tendant à Lucie une coupe de champagne.
- Arrosons l’heureux évènement ! précisait Madame Marie.
Lucie s’était approchée d’Endymion MDE, elle avait posé son escarpin tout près du visage de l’esclave ME et lui avait ordonné d’un ton ferme et sévère :
- Lèche salope et montre-moi tes petites couilles de chien !
Mademoiselle Lucie était bien la digne fille de son Père…A vrai dire, elle avait été à bonne école pour devenir une parfaite Domina et exerçait son Art de la Domination, en Chine, à Shanghai … Tout en se faisant lécher la pointe de son escarpin, elle avait attrapé les burnes de l’esclave et les malaxait avec une perversité à toute épreuve. Sitôt qu’elle les lui relâcha, elle attrapa l’esclave MDE par les cheveux et par une rotation de son poignet, le fit se retourner. Elle ne lâcha sa chevelure qu’une fois qu’il eut été couché sur le dos… Endymion MDE instinctivement levait les jambes écartait largement les cuisses pour laisser accès à son intimité, sa queue une nouvelle fois était raide. Mademoiselle Lucie, glissait un de ses talons aiguilles dans la bouche de l’esclave et lui ordonnant de le sucer jusqu’à ce qu’elle en décide autrement.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis avait attrapé Julien par un bras et l’avait conduit derrière Phryné MDE. Puis, avec son index et son majeur Le Maitre écartait les lèvres intimes de Son esclave femelle MDE.
- Regardez mon cher Julien, cette chienne mouille déjà…
Celui qui semblait très intimidé au départ se révélait être un vrai pervers bien vicieux. Sans crier gare, il glissait son majeur droit dans la chatte de la femelle MDE et le faisait coulisser rageusement…
- Vous avez bien raison Monsieur le Marquis, celle-ci n’est qu’une chienne lubrique ! Lucie et moi en avons quelques-unes d’aussi salopes, à Shanghai ! Vous savez, je ne vous connaissais que de renommée internationale dans notre monde et je m’aperçois que vous êtes à la hauteur de votre réputation … Mon admiration envers vous ne fait que s’amplifier…
Le Maître laissa jouer Julien avec celle qui n’était plus qu’un objet gémissant, puis s’intéressa à son esclave mâle. Mademoiselle Lucie venait de sortir la pointe de son escarpin de sa bouche, le Noble attrapa Son esclave par les cheveux, le secoua en le regardant sévèrement.
- Dis à ma fille ce que tu es, pour qui tu es !
- Je suis une pute Maître, Votre pute….
- Oui une grosse pute m’appartenant corps et âme, c’est bien ce que tu veux être
- Oui Maître, je suis Votre catin, Votre putain, fier d’être entièrement à Vous.
L’esclave MDE sentit quelque chose de pointu se poser et piquer son anus. Ce n’était autre que le talon de la chaussure de Mademoiselle Lucie qui le pénétrait… Et lorsque celui-ci fut entièrement en lui, le pied de Lucie appuya fortement sur les couilles d’Endymion MDE, les lui écrasant littéralement. Surpris, souffle coupé, Le soumis MDE restait bouche grande ouverte… Belle opportunité pour nettoyer le doigt de Monsieur Julien, sortant tout juste de la vulve de l’esclave Phryné MDE.
- Je crois que nous allons bien nous amuser avec ces deux-là ! Ca nous changera des soumis asiatiques ! annonçait Mademoiselle Lucie
- Ils sont là pour nous divertir, ils sont à vous ! Reprit le Maître.
La soirée ne faisait que commencer, et déjà les deux esclaves étaient chauds, chauds bouillants et les Dominants terriblement excités...
(A suivre…)
Le nouveau précepteur enseignant ne perdit pas une seule seconde, Il attrapa Endymion MDE, tenu par son collier, et l’entraina à quatre pattes, dans une petite pièce, à deux pas de la Chambre du Maître. Dans cette petite et étroite salle de classe, éclairée par une seule fenêtre de forme arrondie tel un hublot, était installé un grand tableau noir, une estrade et sur celle-ci était posée un bureau et juste derrière, un fauteuil, celui de Monsieur William. Pour l’esclave MDE, point de table ni de chaise, il allait apprendre à parler anglais comme sans doute personne ne l’avait jamais encore fait. Juste à proximité de l’estrade, se trouvait un drôle de marchepieds rembourré et recouvert de cuir épais mais très souple, sur lequel Monsieur William fit installer Endymion MDE. A genoux sur la marche inférieure et abdomen posé sur la marche supérieure, il fut attaché et sanglé au niveau des cuisses et des pieds, lui imposant un écart important de ses jambes. Une lanière fut fixée, au creux de ses reins, pour maintenir une belle cambrure de son cul, une autre passait sur ses omoplates pour tenir sa poitrine en appui tout contre ce cuir capitonné.
- Dis-moi, la pute, tu es droitier ou gaucher ?
Endymion MDE écrivait de la main droite, alors son bras gauche fut lui aussi attaché dans un axe perpendiculaire à son corps. La posture était des plus outrageantes sinon pénibles et très contraignantes. Hormis son membre supérieur droit utile pour pouvoir écrire, il ne pouvait plus guère bouger. Monsieur William déposa près de l’esclave MDE, juste à côté de sa main droite des feuilles blanches et deux stylos. Puis il s’agenouilla près du visage d’Endymion MDE et lui montra un objet qu’il affectionnait tout particulièrement : une canne souple et flexible d’un mètre de long.
- J’apprécie particulièrement cet instrument, il permet d’apprendre vite et de retenir longtemps… C’est extraordinaire le lien qui existe entre le cul d’un esclave et son cerveau !
Monsieur William agita cette canne de rotin très flexible puis il se releva et subitement donna un coup cinglant sur le cul d’Endymion… La douleur était aigüe et vive, et comme si cela ne suffisait pas, dans un second temps, cette douleur se diffusait dans tout le muscle du fessier…. l’esclave MDE tentait de sursauter mais attaché comme il l’était, il ne put se mouvoir que très légèrement. Et dans l’instant qui suivit sa nouille se mit à se dresser car cette vive douleur l’excitait grandement et avait réveillé en lui ses pulsions masochistes.
- A partir de maintenant, nous converserons qu’en Anglais. A chaque erreur de ta part, ton cul de lope sera mis à l’épreuve. Tu ne pourras que t’en prendre à toi, à toi seul, si ton cul se strie, suis-je bien clair…
- Oui Monsieur !
Et là un deuxième coup tomba sur le fessier de l’esclave, aussi rude et intense que le premier… Tout de suite Endymion MDE comprit son erreur, il se reprit, tout en bandant encore plus :
- Yes Sir !
Pendant près de quatre heures, Endymion MDE resta ainsi immobilisé, il reçut plusieurs coups de canne sur son cul maintenant bien zébré… Il était épuisé par les efforts de compréhension, par toute l’attention qu’il devait porter, par le décalage horaire, par le manque de sommeil, par la posture qu’il devait tenir. Il se croyait au bord de l’épuisement lorsque Monsieur William décida de mettre fin à ce premier cours. Et malgré sa fatigue et tout ce qu’il subit durant ces quatre heures, sa queue de chien soumis gardait une belle érection….
- C’est bien le chien, tu as déjà fait de beau progrès en l’espace de quelques heures… Le Maître sera fier de toi !
Ces paroles réconfortantes remirent aussitôt sur pied l’esclave MDE, il ne lui en fallait pas plus pour se requinquer. Le fait d’entendre seulement ça : « Le Maître sera fier de toi » lui procurait un plaisir inouï… des frissons montaient le longs de sa colonne vertébrale, sa nouille toujours tendue vibrait légèrement comme si une improbable jouissance arrivait. Il fut détaché, la main de Monsieur William s’accrochait à sa nouille gonflée et la masturbait un tantinet…
- A demain matin neuf heures, salope.
Monsieur William quittait la pièce laissant là Endymion MDE, à la fois abasourdi et appliqué, douloureux et indolent, ankylosé et dynamique, épuisé et excité, des ressentis et des sensations contradictoires sinon incompatibles, et pourtant… il arborait toujours une queue fière et altière, dure et ferme, érigée et tenue pointée vers le ciel… Quelle putain était-il devenu ! Ce fut Monsieur Walter qui entra dans la pièce, il regarda le fessier zébré de l’esclave MDE et appliqua sur son cul, une pommade cicatrisante, puis peu après le Majordome l’emmena dans les cuisines du Château. Il y régnait une ambiance joyeuse. Madame Marie, la perverse cuisinière, semblait comme désinvolte, gaie, très heureuse, toute émoustillée... Elle chantonnait même ! Que lui arrivait-il ? Elle, qui d’habitude montre une sévérité implacable ! L’esclave Phryné MDE, elle aussi, était là, s’affairant à préparer le dîner. Elle aussi semblait enjouée, épanouie, radieuse… Sa nudité lui allait à ravir !
- Ah, Endymion MDE approche ! dictait Madame la cuisinière.
Il avança rapidement et se présenta devant Madame Marie, tête basse, jambes entrouvertes, mains croisées dans le dos.
- Connais-tu la nouvelle Endymion MDE ?
De quelle nouvelle voulait-elle parler ?
- Phryné MDE annonce à ton frère de slavitude, la bonne nouvelle… Et toi le chien, tu es autorisé à répondre à ta sœur de soumission…
L’esclave Phryné MDE ressemblait à une petite fille, ses joues s’enflammaient, elle se tortillait les doigts en se mordant les lèvres…
- Oh, esclave Endymion MDE, si tu savais combien je suis heureuse…
- Je le vois chère Phryné MDE, et pourquoi donc es-tu si triomphante, tu sembles comblée ?
- Oui comblée, c’est le terme approprié et bien choisi… (Elle se taisait quelques secondes en se dandinant un peu plus encore). Tu sais frère de soumission, le Maître, le Vénéré Maître m’a honoré… il m’a affublé du titre d’esclave, tout comme toi… Quel honneur nous fait-Il ! Nous devons en être dignes et fiers, même si ce titre nous plonge plus encore dans les abimes de la soumission et les profondeurs de l’abnégation, je suis heureuse…
Madame Marie coupa court à la conversation, elle exigea à l’esclave Phryné MDE de reprendre sa place et de continuer la préparation du diner. L’esclave Endymion MDE reçut l’ordre d’aller dresser le couvert dans la petite salle à manger, avec une information importante :
- Nous serons cinq à dîner ce soir ! (puis à elle-même, elle rajouta) C’est bien pour cette raison que je suis si joyeuse, d’ailleurs !
La vaisselle, l’argenterie et la verrerie avaient été sorties, celles que l’on sortait ici pour les grandes occasions. Malgré lui Endymion MDE s’interrogeait. Qui, Monsieur le Marquis pouvait-il recevoir à sa table ? Le Maître, un… Madame Marie, deux… Monsieur Walter, trois… et puis ? A peut-être Monsieur William, quatre… il manquait un cinquième nom ! Et comme l’esclave MDE avait entendu ce qu’avait rajouté Marie la cuisinière ‘’C’est bien pour cette raison que je suis si joyeuse, d’ailleurs !’’ il s’interrogea juste quelques secondes, à chercher quelle personne pouvait rendre la sévère Marie si égayée. Il ne chercha pas plus que ça et s’appliquait déjà à prendre un soin particulier à ériger cette table ! Lorsqu’il eut fini, il regagna la cuisine et fut embauché à laver des légumes, à les couper avec une mandoline pour en faire une découpe nette et régulière d’une extrême finesse… Et lorsque le repas fut près, les deux esclaves accompagnés de Maximilien partirent se doucher. Le Garde en Chef veilla à ce que ces deux-là soient parfaitement propres. Il inspecta scrupuleusement et vicieusement leur corps dans les moindres recoins de leurs intimités respectives puis il les ramena dans la petite salle à manger.
Monsieur le Marquis, en blazer bleu marine, une chemise blanche, col ouvert, un pantalon léger dialoguait debout avec un jeune couple inconnu… Madame Marie se tenait près de la jeune femme la serrant entre ses bras. Madame la Cuisinière semblait très heureuse, toute souriante comme maternelle avec celle qu’elle prénommait Lucie. Madame Lucie devait avoir une trentaine d’année, blonde avec des cheveux mi-longs tombants sur ses épaules, vêtue strictement d’un tailleur Chanel gris clair très chic, perché sur des hauts talons à aiguilles. Mais une chose interpella de suite Endymion MDE : C’était la frappante ressemblance de cette Lucie avec le Maître. En effet, son visage, même s’il était plus fin, avait les traits des Evans ! Le même nez, le même front, le même sourire ressortait de sa belle chevelure… Quant au Jeune homme, un certain Julien, lui aussi la trentaine, semblait assez intimidé. Il restait un peu en retrait. Il était habillé d’un costume sobre Louis Vuitton, d’une chemise blanche, d’une cravate, des souliers vernis aux pieds. Visiblement, le Maître cherchait à le rassurer, il discutait chaleureusement avec lui, lui posant parfois une main sur l’épaule… Monsieur Walter arrivait essoufflé. La première chose qu’il fit, ce fut d’attraper les deux esclaves par leur collier et les obliger par une poigne de fer à se mettre tous les deux en levrette…
- Les bonnes manières perdurent dans cette illustre et bien perverse Demeure ! Plaisantait Madame Lucie en voyant agir Monsieur le Majordome.
- Toujours Madame Lucie ! lui répondit-il respectueusement, puis il reprit en tutoyant cette fois-ci… Te voilà de retour de Shanghai ma belle… T’installes-tu définitivement ici ?
- Oh non, mon bon vieux Walter, je suis ici seulement pour quelques jours de vacances… La maison Louis Vuitton à Shanghai a besoin de sa Directrice des Ressources Humaines…. Je suis venu ici simplement pour voir maman et Papounet et leur présenter mon amoureux, mon beau Julien ! Mais je suis très heureuse de te revoir, Walter !
Lucie attrapait la main de Julien et la lui embrassait… Julien avançait vers le Majordome
- Bonjour Monsieur ! lui dit-il avec un air très respectueux
- Bonjour Julien, pas de Monsieur entre nous, appelez-moi simplement Walter !
Les deux esclaves toujours prosternés au sol ne comprenaient rien à la situation… et pour cause ! Lucie n’était autre que la fille illégitime née de l’union de Monsieur le Marquis d’Evans avec Marie la Cuisinière quand celle-ci avait été déflorée à l'âge de 18 ans par le Noble dans le foin de la grange du Château. Monsieur le Marquis de l’époque, le père du Maître avait appris la liaison de son fils avec cette jeune femme du village somme toute mignonne, mais sans titre de noblesse… A l’époque, au début, il avait bien râlé, rouspété, maugréé, sermonné sur cette liaison amoureuse. Mais toutefois après plusieurs mois où les deux jeunes amoureux ne cachaient pas leur amour réciproque, le père du Maître avait fini par l’accepter et même engager Marie, comme cuisinière au Château sur la demande insistante de son fils et bien sûr pour sauver les apparences quand il apprit qu’elle était enceinte de son fils. Lucie avait donc grandi en cette Noble demeure et avait été élevée par sa mère mais elle n'avait jamais porté le nom des Evans car le père du Maître en était farouchement opposé. Il avait juste accepté qu'elle puisse vivre au Château mais qu’en aucun cas, qu’elle puisse être reconnue comme héritière. C’était d’ailleurs l’unique condition qu’il avait exigé pour accepter de l’engager comme cuisinière et qu’elle puisse élever Lucie au Château. Cette condition avait été exposée clairement à Madame Marie lors de la naissance de Lucie. Elle avait pu ainsi élever sa fille ici, au Château, à l’abri de tout besoin matériel et Lucie fut chérie, aimée et eut une enfance très heureuse. Lucie n’avait jamais manqué de rien et elle avait pu par la suite faire de hautes études. Pour l'Etat Civil Madame Marie avait eu droit au titre officiel de fille-mère et donc Lucie était officiellement née de père inconnu. Lucie était évidemment au courant de cette situation et Monsieur le Marquis d’Evans l’avait élevé et chéri comme s'il l'avait légalement reconnu. Elle avait été chouchoutée par son Père toute son enfance et Celui-ci lui avait donné beaucoup d'argent pour vivre, une fois que Lucie eut atteint sa majorité.
- Un beau jeune homme ma chère enfant, tu as bien choisi ! lançait son père, Monsieur le Marquis d’Evans en tendant à Lucie une coupe de champagne.
- Arrosons l’heureux évènement ! précisait Madame Marie.
Lucie s’était approchée d’Endymion MDE, elle avait posé son escarpin tout près du visage de l’esclave ME et lui avait ordonné d’un ton ferme et sévère :
- Lèche salope et montre-moi tes petites couilles de chien !
Mademoiselle Lucie était bien la digne fille de son Père…A vrai dire, elle avait été à bonne école pour devenir une parfaite Domina et exerçait son Art de la Domination, en Chine, à Shanghai … Tout en se faisant lécher la pointe de son escarpin, elle avait attrapé les burnes de l’esclave et les malaxait avec une perversité à toute épreuve. Sitôt qu’elle les lui relâcha, elle attrapa l’esclave MDE par les cheveux et par une rotation de son poignet, le fit se retourner. Elle ne lâcha sa chevelure qu’une fois qu’il eut été couché sur le dos… Endymion MDE instinctivement levait les jambes écartait largement les cuisses pour laisser accès à son intimité, sa queue une nouvelle fois était raide. Mademoiselle Lucie, glissait un de ses talons aiguilles dans la bouche de l’esclave et lui ordonnant de le sucer jusqu’à ce qu’elle en décide autrement.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis avait attrapé Julien par un bras et l’avait conduit derrière Phryné MDE. Puis, avec son index et son majeur Le Maitre écartait les lèvres intimes de Son esclave femelle MDE.
- Regardez mon cher Julien, cette chienne mouille déjà…
Celui qui semblait très intimidé au départ se révélait être un vrai pervers bien vicieux. Sans crier gare, il glissait son majeur droit dans la chatte de la femelle MDE et le faisait coulisser rageusement…
- Vous avez bien raison Monsieur le Marquis, celle-ci n’est qu’une chienne lubrique ! Lucie et moi en avons quelques-unes d’aussi salopes, à Shanghai ! Vous savez, je ne vous connaissais que de renommée internationale dans notre monde et je m’aperçois que vous êtes à la hauteur de votre réputation … Mon admiration envers vous ne fait que s’amplifier…
Le Maître laissa jouer Julien avec celle qui n’était plus qu’un objet gémissant, puis s’intéressa à son esclave mâle. Mademoiselle Lucie venait de sortir la pointe de son escarpin de sa bouche, le Noble attrapa Son esclave par les cheveux, le secoua en le regardant sévèrement.
- Dis à ma fille ce que tu es, pour qui tu es !
- Je suis une pute Maître, Votre pute….
- Oui une grosse pute m’appartenant corps et âme, c’est bien ce que tu veux être
- Oui Maître, je suis Votre catin, Votre putain, fier d’être entièrement à Vous.
L’esclave MDE sentit quelque chose de pointu se poser et piquer son anus. Ce n’était autre que le talon de la chaussure de Mademoiselle Lucie qui le pénétrait… Et lorsque celui-ci fut entièrement en lui, le pied de Lucie appuya fortement sur les couilles d’Endymion MDE, les lui écrasant littéralement. Surpris, souffle coupé, Le soumis MDE restait bouche grande ouverte… Belle opportunité pour nettoyer le doigt de Monsieur Julien, sortant tout juste de la vulve de l’esclave Phryné MDE.
- Je crois que nous allons bien nous amuser avec ces deux-là ! Ca nous changera des soumis asiatiques ! annonçait Mademoiselle Lucie
- Ils sont là pour nous divertir, ils sont à vous ! Reprit le Maître.
La soirée ne faisait que commencer, et déjà les deux esclaves étaient chauds, chauds bouillants et les Dominants terriblement excités...
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle fille extraordinaire.
Rudy
Rudy