La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 680)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 680)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°679) - Le jeu du mikado -
Juste avant de passer à table, Le Maitre donna Ses ordres. L’esclave Phryné MDE sous la surveillance du nouveau Garde en Chef Maximilien resterait en cuisine afin de s’occuper de la fin de la confection du dîner, l’esclave Endymion MDE quant à lui, assurerait le service à table. Il décida encore que Ses deux chiens-esclaves devaient porter des petites pinces mordantes fixées à leurs mamelons, pour leur rappeler sans cesse leur condition d’esclave MDE. Les règles étaient alors posées, Monsieur le Marquis d’Evans s’installa en bout de table, tel un vieux patriarche, puis il fit assoir à sa droite Mademoiselle Lucie, à sa gauche Madame Marie. Monsieur Julien et Monsieur Walter s’installèrent en face à face, juste après qu’ils aient installé les pinces sur les tétons respectifs des deux salopes. Phryné MDE avait regagné les « fourneaux » du Château, accompagné de très près de Maximilien. Celui-ci n’avait pu s’empêcher de lui mettre une main aux fesses et chercha même à glisser son majeur dans son fondement. Evidemment l’esclave femelle MDE s’était écartée, avait laissé accès à son petit trou, engendrant chez elle une démarche quelque peu comique sinon fort humiliante… L’esclave mâle MDE était resté planté en retrait dans un angle de la pièce et attendait sagement, dans une posture de soumission respectueuse et humble, le tintement d’une clochette venant de la cuisine pour aller récupérer les premières assiettes à servir. Tête basse, le regard porté sur sa bite turgescente, il s’interrogeait… Pourquoi bandait-il encore fortement ? Lui faisait-on avaler à son insu quelques pilules de viagra ou était-il devenu, par la Volonté du Maître, qu’un obsédé sexuel, un désaxé de la queue, un détraqué érotomane ? Cette seconde solution lui paraissait plus probable, ce besoin de sexe était omniprésent, il était devenu un perverti, un tourmenté du cul, il ne pensait qu’à se faire mettre, à se faire enculer à la hussarde par le Maître Vénéré ou qui voudrait bien le besogner à grands coups de boutoirs ! …
Endymion MDE, avec deux assiettes dans les mains s’était avancé pour servir l’entrée, une belle salade périgourdine, avec morceau de foie gras et magrets de canard fumés… Il posa délicatement devant le Maître la première assiette, puis s’apprêtait à poser la seconde devant Mademoiselle Lucie, lorsque celle-ci, lui attrapa les couilles en passant sa main par derrière entre ses cuisses. Il resta comme figé, tant la pression exercée sur ses burnes lui était pénible. Mademoiselle Lucie faisait rouler entre ses doigts les boules du soumis, tirait sur son scrotum, l’enserrait à sa base pour exercer une pression sur ce sac souple et distendu…
- Ne bouge surtout pas, salope ! Lui ordonnait-elle.
L’esclave mâle MDE était courbé en avant, torse incliné à quarante-cinq degré, cuisses écartées, cul offert. Mademoiselle Lucie, lui avait lâché son paquet et s’était subitement levée de sa chaise pour aller chercher un sac souple posé sur le sol près de la desserte. Lorsqu’elle revint s’asseoir, elle ne put s’empêcher d’humilier l’esclave mâle du Maître. Celui-ci n’avait pas bougé d’un iota, tous les yeux autour de cette table étaient braqués sur l’esclave.
- Comme tu es ridicule dans cette posture petite pute !
- Oui il l’est ! reprit le Maître, mais le ridicule ne tue point, surtout lorsqu’on est une belle petite salope, n’est-ce pas, Endymion MDE ?
L’esclave mâle se contenta d’acquiescer par un hochement de tête de haut en bas, Mademoiselle Lucie lui claqua le cul, comme ça, pour rien, juste pour le plaisir. Les autres convives riaient et apportaient quelques commentaires salaces, tous plus humiliants les uns des autres. L’esclave MDE toujours assiette en main ne bougeait pas, se laissait humilier, sa queue avait repris un beau volume. Mademoiselle Lucie fouilla dans ce sac de toile, et sortit une multitude de baguettes chinoises. Elle sortit également une petite trousse, dans laquelle étaient rangés de petits élastiques en caoutchouc.
- Pose l’assiette et redresse-toi chien, met-toi face à moi, montre-moi tes burnes, je vais de faire connaitre une spécialité de la Domination/soumission chinoise, le supplice du Mikado !… Un jeu très apprécié dans les pays asiatiques ...
Elle avait attrapé deux baguettes, elle en passa une derrière les couilles d’Endymion MDE, au niveau du collet de son sac, puis elle ajusta l’autre juste devant.
- Papounet, s’il te plait, peux-tu exercer une traction sur son sac à cette lope !
Le Maître prenait plaisir à tirer sur les burnes de Son soumis, il tirait tant que l’esclave mâle MDE dut plier les genoux pour amoindrir la traction. Mademoiselle Lucie alors glissa à chaque extrémité des baquettes chinoises, un petit élastique qu’elle rapprocha près des testicules. Ainsi, les baguettes tenaient toutes seules, et avaient l’avantage de comprimer le scrotum et à tenir les boules de l’esclave au fond de leur sac. Mais Mademoiselle Lucie, experte et très vicieuse, ne s’arrêtait pas en si bon chemin. Elle attrapa du bout des doigts la queue d’Endymion MDE, tira sur son prépuce pour bien dégager son gland. Une fois totalement découvert et décalotté, elle appliqua, juste à la base du gland, deux autres baguettes qu’elle fixa de la même manière, en rapprochant les deux petits élastiques au plus près de cette verge tendue. Elle attrapa encore deux autres baguettes, et cette fois-ci les plaça à la racine de la nouille de l’esclave MDE, au plus près du pubis, toujours de part et d’autre de sa queue et les attachaient de la même manière. Elle en prit encore deux autres baquettes qu’elle positionna juste au-dessus de celles qu’elle venait de poser, mais les positionna perpendiculairement aux premières, enfin d’enserrer totalement la nouille d’Endymion MDE par une sorte de quadrillage de baguettes… Lorsqu’elle eut fini, elle regarda longuement et attentivement son œuvre.
- Il ne pourra pas débander de sitôt, le flux sanguin est maintenu, dans les cavités spongieuses de sa bite, et dommage pour lui, plus il va bander, plus il va sentir cette gêne sur ces génitaux. Qu’en pensez-vous, vous autres ? dit-elle d’un ton satisfait et empli de perversité…
Monsieur le Marquis félicita sa fille, il aimait la voir imaginative, perverse à souhait, elle avait hérité de Lui, ce don de Dominer les mâles soumis (comme les femelles, d’ailleurs). Il était fier de la voir épanouie dans ce type d’exercice. Ce jeu du Mikado lui plaisait, lui plaisait tant qu’il eut une idée. Il exigea que le soumis se positionne à genoux près de lui, exercice bien difficile pour l’esclave mâle MDE avec tout cet attirail autour de sa bite ! Mais lorsqu’il put enfin parvenir à se tenir comme exigé, Monsieur le Marquis lui arracha les pinces agrippées à ses mamelons.
- Passe-moi encore deux baguettes, ma Chérie, je pense que nous pouvons lui en faire tenir là, sur ses tétons tendus, tant est excité cette salope…
Effectivement sur chacun des bouts de ses seins, les baguettes tenaient fermement. Elles les comprimaient sévèrement. Monsieur le Marquis savait que les tétons d’Endymion MDE étaient très sensibles, ils étaient une zone érogène, et dès lors qu’ils étaient stimulés, ils produisaient des sensations et des plaisirs érotiques provoquant une terrible excitation sexuelle. La nouille d’Endymion avait doublé de volume…
- Tu peux désormais continuer le service ! Ordonnait le Maître.
Chaque mouvement, chaque pas électrisait le corps de l’esclave mâle MDE, plaisirs et douleurs se mêlaient, s’entremêlaient. Il se faisait sans cesse ridiculiser par tous ceux autour de cette table, Monsieur Julien n’était pas en reste, sur un ton perversement humoristique, il disait :
- Parfois, lorsqu’on laisse trop longtemps ces baguettes autour d’une bite et des couilles, les génitaux noircissent puis tombent d’un coup d’un seul, ha ! ha ! ha ! …
Tout le monde s’esclaffait, riait, Mademoiselle Lucie reprenait…
- Pas grave, ça ne lui sert pas à grand-chose, sinon rien à ce chien… (elle riait encore puis reprit). Remarque ce serait dommage, car il a un bon morceau entre les jambes ce cabot… ça change des petites bites asiatiques. !
Elle passa un doigt au bout de la verge d’Endymion MDE, cueillait quelques gouttes nacrées s’échappant de cette bite turgescente et tuméfiée et exigea qu’il lui lèche son index. Elle enfonça si profondément et si subitement son index que l’esclave MDE eut un haut le cœur.
- Pas vraiment une gorge profonde cette putain… Il faudra tester ça… La bite de Julien est très longue, nous verrons jusqu’où il peut l’avaler !
Endymion MDE continua le service, toujours affublé de ces accessoires autour de sa nouille mais juste avant de servir le dessert, Madame Marie et sa fille intervinrent encore. Toutes deux exigèrent que l’esclave MDE se couche à plat dos, sur une petite table ronde servant de desserte.
- Relève tes cuisses et montre ton cul ! Exigeait le Maître
Bien difficile pour lui d’obéir avec ces baguettes tout autour de ses génitaux. Elles s’entrechoquaient tout contre ses cuisses. Seul moyen pour lui, il devait de s’écarter largement, tenir ses jambes grandes ouvertes. Il fut autorisé à se tenir ainsi, mains accrochées derrière ses genoux.
- L’opération Mikado n’est pas terminé mon cher ! Disait vicieusement Mademoiselle Lucie…
Endymion MDE allait comprendre très vite. Tous les hôtes du Maître s’étaient approchés et se tenaient en demi-cercle autour de cette table ou était affalé, sans pudeur ni retenue, l’esclave mâle MDE. Mademoiselle Lucie avait pris encore ces fameuses baguettes chinoises aux bouts arrondis. Elle en tendit une à Monsieur le Marquis…
- A toi l’honneur, mon Papounet ! disait-elle affectueusement mais aussi vicieusement.
Monsieur le Marquis s’en saisit, approcha la pointe arrondie de la baguette contre les lèvres d’Endymion MDE, puis exigea qu’il la suce. Une fois bien humectée de salive, il la retira de la bouche de Son esclave puis la pointa sur son anus et l’enfonça assez profondément, afin que seulement cinq centimètres de cette baguette, restent en dehors de son cul….
- A toi Maman !
Madame la Cuisinière fit la même chose, puis ce fut autour de Monsieur Walter, de Monsieur Julien, de Mademoiselle Lucie de glisser en l’esclave MDE ces ustensiles servant habituellement à manger dans les pays asiatiques. Ils recommencèrent plusieurs fois leur stratagème, et lorsqu’il en eut une trentaine dans le fion, Endymion MDE commença vraiment à ressentir ce supplice et délice chinois… Son trou s’élargissait au fur et à mesure, se distendait inlassablement, s’écartait irrémédiablement !
L’esclave mâle MDE resta là le temps que tous eurent fini leur dessert servi pour l’occasion par l’esclave Phryné MDE …
(A suivre…)
Juste avant de passer à table, Le Maitre donna Ses ordres. L’esclave Phryné MDE sous la surveillance du nouveau Garde en Chef Maximilien resterait en cuisine afin de s’occuper de la fin de la confection du dîner, l’esclave Endymion MDE quant à lui, assurerait le service à table. Il décida encore que Ses deux chiens-esclaves devaient porter des petites pinces mordantes fixées à leurs mamelons, pour leur rappeler sans cesse leur condition d’esclave MDE. Les règles étaient alors posées, Monsieur le Marquis d’Evans s’installa en bout de table, tel un vieux patriarche, puis il fit assoir à sa droite Mademoiselle Lucie, à sa gauche Madame Marie. Monsieur Julien et Monsieur Walter s’installèrent en face à face, juste après qu’ils aient installé les pinces sur les tétons respectifs des deux salopes. Phryné MDE avait regagné les « fourneaux » du Château, accompagné de très près de Maximilien. Celui-ci n’avait pu s’empêcher de lui mettre une main aux fesses et chercha même à glisser son majeur dans son fondement. Evidemment l’esclave femelle MDE s’était écartée, avait laissé accès à son petit trou, engendrant chez elle une démarche quelque peu comique sinon fort humiliante… L’esclave mâle MDE était resté planté en retrait dans un angle de la pièce et attendait sagement, dans une posture de soumission respectueuse et humble, le tintement d’une clochette venant de la cuisine pour aller récupérer les premières assiettes à servir. Tête basse, le regard porté sur sa bite turgescente, il s’interrogeait… Pourquoi bandait-il encore fortement ? Lui faisait-on avaler à son insu quelques pilules de viagra ou était-il devenu, par la Volonté du Maître, qu’un obsédé sexuel, un désaxé de la queue, un détraqué érotomane ? Cette seconde solution lui paraissait plus probable, ce besoin de sexe était omniprésent, il était devenu un perverti, un tourmenté du cul, il ne pensait qu’à se faire mettre, à se faire enculer à la hussarde par le Maître Vénéré ou qui voudrait bien le besogner à grands coups de boutoirs ! …
Endymion MDE, avec deux assiettes dans les mains s’était avancé pour servir l’entrée, une belle salade périgourdine, avec morceau de foie gras et magrets de canard fumés… Il posa délicatement devant le Maître la première assiette, puis s’apprêtait à poser la seconde devant Mademoiselle Lucie, lorsque celle-ci, lui attrapa les couilles en passant sa main par derrière entre ses cuisses. Il resta comme figé, tant la pression exercée sur ses burnes lui était pénible. Mademoiselle Lucie faisait rouler entre ses doigts les boules du soumis, tirait sur son scrotum, l’enserrait à sa base pour exercer une pression sur ce sac souple et distendu…
- Ne bouge surtout pas, salope ! Lui ordonnait-elle.
L’esclave mâle MDE était courbé en avant, torse incliné à quarante-cinq degré, cuisses écartées, cul offert. Mademoiselle Lucie, lui avait lâché son paquet et s’était subitement levée de sa chaise pour aller chercher un sac souple posé sur le sol près de la desserte. Lorsqu’elle revint s’asseoir, elle ne put s’empêcher d’humilier l’esclave mâle du Maître. Celui-ci n’avait pas bougé d’un iota, tous les yeux autour de cette table étaient braqués sur l’esclave.
- Comme tu es ridicule dans cette posture petite pute !
- Oui il l’est ! reprit le Maître, mais le ridicule ne tue point, surtout lorsqu’on est une belle petite salope, n’est-ce pas, Endymion MDE ?
L’esclave mâle se contenta d’acquiescer par un hochement de tête de haut en bas, Mademoiselle Lucie lui claqua le cul, comme ça, pour rien, juste pour le plaisir. Les autres convives riaient et apportaient quelques commentaires salaces, tous plus humiliants les uns des autres. L’esclave MDE toujours assiette en main ne bougeait pas, se laissait humilier, sa queue avait repris un beau volume. Mademoiselle Lucie fouilla dans ce sac de toile, et sortit une multitude de baguettes chinoises. Elle sortit également une petite trousse, dans laquelle étaient rangés de petits élastiques en caoutchouc.
- Pose l’assiette et redresse-toi chien, met-toi face à moi, montre-moi tes burnes, je vais de faire connaitre une spécialité de la Domination/soumission chinoise, le supplice du Mikado !… Un jeu très apprécié dans les pays asiatiques ...
Elle avait attrapé deux baguettes, elle en passa une derrière les couilles d’Endymion MDE, au niveau du collet de son sac, puis elle ajusta l’autre juste devant.
- Papounet, s’il te plait, peux-tu exercer une traction sur son sac à cette lope !
Le Maître prenait plaisir à tirer sur les burnes de Son soumis, il tirait tant que l’esclave mâle MDE dut plier les genoux pour amoindrir la traction. Mademoiselle Lucie alors glissa à chaque extrémité des baquettes chinoises, un petit élastique qu’elle rapprocha près des testicules. Ainsi, les baguettes tenaient toutes seules, et avaient l’avantage de comprimer le scrotum et à tenir les boules de l’esclave au fond de leur sac. Mais Mademoiselle Lucie, experte et très vicieuse, ne s’arrêtait pas en si bon chemin. Elle attrapa du bout des doigts la queue d’Endymion MDE, tira sur son prépuce pour bien dégager son gland. Une fois totalement découvert et décalotté, elle appliqua, juste à la base du gland, deux autres baguettes qu’elle fixa de la même manière, en rapprochant les deux petits élastiques au plus près de cette verge tendue. Elle attrapa encore deux autres baguettes, et cette fois-ci les plaça à la racine de la nouille de l’esclave MDE, au plus près du pubis, toujours de part et d’autre de sa queue et les attachaient de la même manière. Elle en prit encore deux autres baquettes qu’elle positionna juste au-dessus de celles qu’elle venait de poser, mais les positionna perpendiculairement aux premières, enfin d’enserrer totalement la nouille d’Endymion MDE par une sorte de quadrillage de baguettes… Lorsqu’elle eut fini, elle regarda longuement et attentivement son œuvre.
- Il ne pourra pas débander de sitôt, le flux sanguin est maintenu, dans les cavités spongieuses de sa bite, et dommage pour lui, plus il va bander, plus il va sentir cette gêne sur ces génitaux. Qu’en pensez-vous, vous autres ? dit-elle d’un ton satisfait et empli de perversité…
Monsieur le Marquis félicita sa fille, il aimait la voir imaginative, perverse à souhait, elle avait hérité de Lui, ce don de Dominer les mâles soumis (comme les femelles, d’ailleurs). Il était fier de la voir épanouie dans ce type d’exercice. Ce jeu du Mikado lui plaisait, lui plaisait tant qu’il eut une idée. Il exigea que le soumis se positionne à genoux près de lui, exercice bien difficile pour l’esclave mâle MDE avec tout cet attirail autour de sa bite ! Mais lorsqu’il put enfin parvenir à se tenir comme exigé, Monsieur le Marquis lui arracha les pinces agrippées à ses mamelons.
- Passe-moi encore deux baguettes, ma Chérie, je pense que nous pouvons lui en faire tenir là, sur ses tétons tendus, tant est excité cette salope…
Effectivement sur chacun des bouts de ses seins, les baguettes tenaient fermement. Elles les comprimaient sévèrement. Monsieur le Marquis savait que les tétons d’Endymion MDE étaient très sensibles, ils étaient une zone érogène, et dès lors qu’ils étaient stimulés, ils produisaient des sensations et des plaisirs érotiques provoquant une terrible excitation sexuelle. La nouille d’Endymion avait doublé de volume…
- Tu peux désormais continuer le service ! Ordonnait le Maître.
Chaque mouvement, chaque pas électrisait le corps de l’esclave mâle MDE, plaisirs et douleurs se mêlaient, s’entremêlaient. Il se faisait sans cesse ridiculiser par tous ceux autour de cette table, Monsieur Julien n’était pas en reste, sur un ton perversement humoristique, il disait :
- Parfois, lorsqu’on laisse trop longtemps ces baguettes autour d’une bite et des couilles, les génitaux noircissent puis tombent d’un coup d’un seul, ha ! ha ! ha ! …
Tout le monde s’esclaffait, riait, Mademoiselle Lucie reprenait…
- Pas grave, ça ne lui sert pas à grand-chose, sinon rien à ce chien… (elle riait encore puis reprit). Remarque ce serait dommage, car il a un bon morceau entre les jambes ce cabot… ça change des petites bites asiatiques. !
Elle passa un doigt au bout de la verge d’Endymion MDE, cueillait quelques gouttes nacrées s’échappant de cette bite turgescente et tuméfiée et exigea qu’il lui lèche son index. Elle enfonça si profondément et si subitement son index que l’esclave MDE eut un haut le cœur.
- Pas vraiment une gorge profonde cette putain… Il faudra tester ça… La bite de Julien est très longue, nous verrons jusqu’où il peut l’avaler !
Endymion MDE continua le service, toujours affublé de ces accessoires autour de sa nouille mais juste avant de servir le dessert, Madame Marie et sa fille intervinrent encore. Toutes deux exigèrent que l’esclave MDE se couche à plat dos, sur une petite table ronde servant de desserte.
- Relève tes cuisses et montre ton cul ! Exigeait le Maître
Bien difficile pour lui d’obéir avec ces baguettes tout autour de ses génitaux. Elles s’entrechoquaient tout contre ses cuisses. Seul moyen pour lui, il devait de s’écarter largement, tenir ses jambes grandes ouvertes. Il fut autorisé à se tenir ainsi, mains accrochées derrière ses genoux.
- L’opération Mikado n’est pas terminé mon cher ! Disait vicieusement Mademoiselle Lucie…
Endymion MDE allait comprendre très vite. Tous les hôtes du Maître s’étaient approchés et se tenaient en demi-cercle autour de cette table ou était affalé, sans pudeur ni retenue, l’esclave mâle MDE. Mademoiselle Lucie avait pris encore ces fameuses baguettes chinoises aux bouts arrondis. Elle en tendit une à Monsieur le Marquis…
- A toi l’honneur, mon Papounet ! disait-elle affectueusement mais aussi vicieusement.
Monsieur le Marquis s’en saisit, approcha la pointe arrondie de la baguette contre les lèvres d’Endymion MDE, puis exigea qu’il la suce. Une fois bien humectée de salive, il la retira de la bouche de Son esclave puis la pointa sur son anus et l’enfonça assez profondément, afin que seulement cinq centimètres de cette baguette, restent en dehors de son cul….
- A toi Maman !
Madame la Cuisinière fit la même chose, puis ce fut autour de Monsieur Walter, de Monsieur Julien, de Mademoiselle Lucie de glisser en l’esclave MDE ces ustensiles servant habituellement à manger dans les pays asiatiques. Ils recommencèrent plusieurs fois leur stratagème, et lorsqu’il en eut une trentaine dans le fion, Endymion MDE commença vraiment à ressentir ce supplice et délice chinois… Son trou s’élargissait au fur et à mesure, se distendait inlassablement, s’écartait irrémédiablement !
L’esclave mâle MDE resta là le temps que tous eurent fini leur dessert servi pour l’occasion par l’esclave Phryné MDE …
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Les avis des lecteurs
Splendide le mikado ! Les baguettes .... quel grand nombre de possibilités !
Rudy
Rudy