La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693)
soumise Cypris MDE au Château -

Tout commença par un mail, un seul ou toutes les directives du Maître étaient claires.

‘’Ma chienne, Vendredi Prochain train de dix-sept heures jusqu'à la gare de Lyon-Part-Dieu. Tu recevras demain ton billet par la Poste. Il est temps que l'on se rencontre pour Me satisfaire comme la bonne chienne que tu es. Tu n'as plus le droit de te caresser jusqu'à notre rencontre ! Porte ce que tu veux, mais soit totalement nue en dessous. Une voiture t'attendra à la gare à la sortie côté des lignes des bus pour t'emmener jusqu'à Moi. Quand tu seras dans celle-ci déshabille-toi et place-toi comme la chienne que tu es entre les sièges avec ton collier et sa laisse. Si tu ne te sens pas capable de le faire, ne viens pas et ta soumission envers Ma noble personne n'aura pas de suite. Le Maître.’’

Je pris donc une grande respiration pour calmer les battements de mon cœur. Il me fallut plusieurs minutes pour y arriver. Le Maître souhaitait ma présence, alors je satisferai Le Maître car j'étais sa soumise et si heureuse de l’être, mon corps et mon âme Lui appartenait, j’étais sa propriété absolue. Nous étions donc samedi, il ne me restait que six jours pour me préparer à satisfaire Le Maître Vénéré.

Ma décision prise positivement, j'envoyai un mail au Maître pour lui faire part de celle-ci. Une fois cela fait, je partis vers ma chambre pour observer les vêtements dans mon armoire. Bien que Le Maître exigea que je sois nue dans la voiture, je voulais lui faire honneur dans mon apparence pour le trajet en train. Ne trouvant rien qui me plaisait, je pris mon sac et allai faire les magasins. Je trouvai mon bonheur dans une robe bleue marine arrivant au-dessus des genoux. Je continuai mes achats et trouvai une paire d'escarpins de la même couleur que la robe. Ayant une peau claire, la couleur de la robe tranchait avec celle-ci. Je me sentis belle dans ce vêtement, il mettait mes formes en valeur. Je ne suis pas ce que l'on peut qualifier de mannequin, j'en suis même loin mais depuis que mon corps et mon âme appartenait au Maître, je me sentis belle. Je faisais aussi beaucoup d'efforts vestimentaires et sur ma personne. J'étais tout le temps maquillée soit avec discrétion mais c'est une chose que je ne faisais qu'à l'occasion avant… Les jours passèrent. Je reçus comme convenu le billet de train. Je me sentis de plus en plus excitée par le face à face qui m'attendait.

Puis le grand jour arriva enfin. Je m'étais arrangée avec mes employeurs pour avoir mon vendredi après-midi. Mon planning étant d'aller dans un institut de beauté pour qu'il n'y ait aucuns poils sur moi qui déplairaient au Maître, et après une séance de manucure et de pédicure, on m’épila soigneusement le sexe. Puis on me lissa les cheveux. Alors une fois, tout cela fait, je pus rentrer chez moi pour passer ma belle robe et mes chaussures. Enfin, ce fut l'heure de partir. Je pris donc ma voiture. J'arrivai avec vingt minutes d'avance à la gare ou je me pris une boisson chaude le temps de patienter. Pendant tous le trajet, j'avais senti mon sexe s’écouler entre mes cuisses, l’excitation était bien présente en moi par l’idée que le grand jour était venu. Je ne savais plus si je devais rester ainsi ou pas car m'essuyer ne changerait plus rien maintenant. Je décidai alors de demeurer ainsi car seule la présence du Maître et son bon vouloir pouvais calmer mon état. Une fois dans le train, je pris mon téléphone avec mes écouteurs dans l'espoir de me détendre. Cela ne marcha pas du tout car je sentis un regard sur moi. En levant les yeux, je vis une femme qui me fixait sans détourner une seule fois son regard. Elle était un peu forte et son expression était très sévère. Quand mon regard croisa le sien, je baissais immédiatement mon visage vers le sol. Cette femme me regardait comme si elle savait ce que j'étais dans l'intimité. Je n'osai plus relever mon visage. Le trajet en train qui dura une heure et demi fut plus que long, tant mon impatience d’arriver m’obsédait.

Une fois arrivée, je descendis rapidement. Je pris la direction d'une des sorties, quand on m’attrapa par le bras. En regardant qui c'était, je vis que la femme du train m'avait suivi pour m’aborder.

- Ou est-ce que tu crois aller comme ça, chienne ? Le Maître t'a dit que tu aurais un chauffeur, je suis celui-ci. Maintenant, tu me suis gentiment et sans faire d'esclandre ! Murmura-t-elle.
- Oui Madame, répondis-je toujours les yeux au sol tellement cette femme m’impressionnait et une fois la surprise passée.

Elle fit demi-tour et partit en direction du parking. Je la suivis docilement jusqu'à une grosse berline noire aux vitres teintées ou elle m'ouvrit la porte arrière, sans me dire un seul mot. Je montai dans ce véhicule et je fis ce que Le Maître avait exigé de moi. Pendant que je me déshabillai, je pouvais sentir le regard de la femme sur mon corps, ce qui me fit frissonner de gêne mélangé à un certain plaisir dû à la situation. Car j'étais tellement excitée de sentir ce regard de cette femme que celui-ci ne me dérangeait pas, il m’excitait encore davantage. Je pris mon collier avec sa laisse, je le mis à mon cou et m'installai entre les sièges de la voiture. Une fois fait, la femme démarra le véhicule, toujours en silence. Le chemin semblait durer une éternité dans cette position mais Le Maître avait exigé cela alors je me soumettais à son bon vouloir.

La grosse voiture finit par ralentir et par s'arrêter complètement au bout d’une bonne heure de route. Je ne savais pas où j’étais mais je ne pus y réfléchir plus longtemps car on ouvrit la porte et on attrapa ma laisse. On tira dessus doucement pour que j’avance et que je descende de la voiture. Je me retrouvai sur une pelouse immense où trônaient de multiples statues grecques bordant sur une large cour de graviers rouge. Et mon regard se porta tout de suite sur l’impressionnante et haute bâtisse se trouvant en face de moi. C’était un magnifique Château qui s’offrait à mes yeux, planté dans un immense parc verdoyant aux pelouses impeccables et aux fontaines sculptées. La richesse et la beauté des lieux me faisaient penser que des gens tels des touristes payeraient cher pour visiter ce genre de château et moi j’avais la chance d’y avoir accès ! La femme sévère tira de nouveau sur ma laisse et elle me fit passer par une porte dérobée à droite du perron de pierre de la grande double-porte principale. Derrière cette petite porte dérobée, se trouvait une large et haute pièce richement décorée. Un homme était assis derrière un bureau qui se leva à notre entrée. J’entendis la conversation entre la sévère femme et cet homme vêtu d’une tenue stricte de domestique et qui paraissait avoir une certaine importance en ce lieu.

- Bonjour Marie ! Que nous ramènes- tu là ? s’exclama ce domestique
- Bonjour Walter. C'est la nouvelle chienne du Maître. Elle est très docile pour le moment !
- Je vois cela ! lui répondis l'homme qui me dévisageait sous toutes les coutures. - Elle est pas mal, j'espère que Le Maître me laissera jouer avec elle ! ajouta-t-il.
- Aller, il faut que je la conduise au Cachot. Le Maître attend mon compte-rendu de ce voyage ! ajouta Marie avant de repartir avec moi en tirant sur ma laisse.

Marie continua à avancer sans que nous ne croisions âmes qui vivent à travers un long couloir étroit éclairé de chandeliers. Au bout d'un moment, elle tourna en direction d’un petit escalier de pierre qui descendait en colimaçon dans les profondeurs du Château. Elle descendait les marches doucement car la pente paraissait assez abrupte. J'eus l'impression que c'était pour me laisser le temps de la suivre mais aussi par sécurité afin d’éviter une chute. Une fois à l'étage inférieur, elle continua à marcher dans un autre couloir qui était beaucoup moins décoré jusqu'à une porte en fer. Elle tapa un code sur un clavier au niveau de la serrure et la porte s’ouvrit électriquement puis elle me fit pénétrer à l’intérieur. Elle lâcha la laisse et me laissa comme cela dans ce qui semblait être un vieux cachot, sans m’avoir adressé un seul mot. Je ne comprenais plus, je pensai qu'elle m'accompagnait au Chenil. Je ne pouvais pas encore avoir le droit d'être dans un Cachot car Le Maître n'avait pas décidé encore si je méritai ce privilège de sa part. Je regardai ce qu'il y avait autour de moi et je n'ai pu voir qu'un matelas avec quelques couvertures, une gamelle d'eau et de nourriture et un WC à la turque, tout au fond. La gamelle était remplis d’une eau claire, alors ayant très soif, je m'en approchais donc à quatre pattes car on ne m’avait pas dit que je pouvais me relever. Je commençai à laper l'eau afin de me désaltérer le plus possible. Ne sachant ce que je pouvais faire d'autre, je décidai d’attendre et d'aller m'étendre sur le matelas. Je me mis à réfléchir et trouvai que j’avais pris la bonne décision, malgré ces conditions plutôt d’incarcération ! …

Environ 1 heure s’était écoulée et je continuai à penser à tout ce qui s’était passé depuis que j’étais montée dans le train, quand j’entendis quelqu'un ouvrir la porte de mon cachot. Réflexe instinctif, je me relevai d’un bond et je me mis au plus vite en position agenouillée, tête baissée, mains derrière le dos et buste droit afin que mes fesses ne touchent pas mes talons. Je constatai que Marie, la femme du train, était revenue. Elle attrapa ma laisse et me dirigea à l’extérieur du cachot en m’obligeant à évoluer à quatre pattes. Elle marcha dans un couloir puis me fit monter un autre escalier toujours de pierre et en colimaçon mais celui-ci me paraissait beaucoup plus large. Nous arrivâmes à l’étage dans un couloir magnifiquement décoré de tableaux, de tapisseries et de tentures. Le sol était plus doux car un magnifique tapis épais soulageait un peu mes genoux. Je fus conduite dans une pièce immense en profondeur offrant un large espace également en largeur. Le plafond à la française était flanqué de très beaux lustres de cristal qui éclairaient parfaitement bien toute cette pièce. Là aussi, tableaux, tapisseries et tentures décoraient richement les murs entre les hautes fenêtres sur un côté mais également sur les trois autres pans de murs aveugles… Marie se mit enfin à m’adresser la parole :

- J'ai parlé au Maître, chienne. Il veut que tu te mettes en position d’attente et que tu attendes justement son bon vouloir ! dit-elle avant de sortir et de me laisser ainsi.

Je m'installai donc de nouveau agenouillée, tête baissée, etc…. Je ne sus pas dire combien de temps, j'ai du rester dans cette position mais je m’enjoignais à ne pas bouger, mes cuisses me faisaient mal au bout d’un long moment et j’avais trop envie de reposer mes fesses sur mes talons afin de me soulager de la douleur musculaire causé par l’immobilité de la position agenouillée. Quand, une porte finit enfin par s'ouvrir et je vis un homme grand entrer. Il avait en main les bouts de deux chaînes et il s'en servait de laisses pour entraîner à sa suite deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. En effet à Ses Pieds, nues, seulement vêtues d'un épais collier d'acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient légèrement en retrait, et pour chacune d’elles, une fine chaînette d’or partait de leur collier pour être fixée à leurs tétons annelés. Les deux femmes suivirent le rythme de ses pas, sans jamais gêner son évolution, sans jamais se plaindre, elles étaient d’une docilité absolue et semblaient si heureuse de se trouver en cette position aux pieds du Maître. Je reconnus, donc, tout de suite Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître vénéré. Il s'approcha de moi et j'eus du mal à maîtriser mes émotions... Sa seule présence marquait l'évidence de Sa Nature Dominante et je me mis à trembler, pas de peur mais plutôt par ce sentiment d’infériorité, car que je me sentais vraiment petite, à cet instant devant l’impressionnant charisme et la prestance du Maître. Arrivé à mon niveau, il s’arrêta, ses deux femelles également, elles, toujours un peu en retrait. Il me jaugea longuement sans dire mot. Le silence devenait pesant alors qu’il me dévisageait de la tête aux pieds, quand soudain il se mit à parler :

- Ma belle petite chienne Cypris MDE, bonjour, je suis content de te voir. Tu es tellement belle comme cela soumise là sur l’instant, à Mes pieds et à Mon bon vouloir. Regarde-moi et fais-moi un de ses sourires qui te va si bien sur Skype ! » exigea Le Maître en arborant lui aussi un beau sourire qui me détendit quasi instantanément.

Je relevais donc mon visage et je lui fis le plus grand sourire que je n'avais jamais fait. Le Maître caressa mon visage en me regardant avec bienveillance. Mon excitation revînt comme une fusée car Le Maître m'avait touché.

- Maintenant Ma chienne, tu vas me montrer tout ton plaisir de te retrouver avec Moi.

Alors, il claqua des doigts avec un signe clair de la main m’informant de lui faire une fellation et donc je fis ce qu'il exigea de moi sans me poser de question. Je déboutonnai son pantalon et remarquai qu'il n'avait pas de sous-vêtement en dessous. Son sexe était engorgé de désir, cela m’excitait encore plus et je sentis mon sexe se remettre à couler. Je pris la verge du Maître dans une main alors qu'avec ma langue je partais du bas vers le haut. Le sexe du Maître devint encore plus volumineux et se dressait encore plus. Une fois sa verge dure et droite au zénith, je la mis dans ma bouche et je commençai un long va et viens. J'utilisais mes lèvres douces en évitant qu’il ressente mes dents en ouvrant grandement les mâchoires. Le Maître laissa sortir un râle de plaisir, cela me fit accélérer. Il m'attrapa fermement par les cheveux et se mis à baiser ma bouche dans une cadence de métronome. Il me maintenait la tête par une pression forte sur ma nuque.

- Tu aimes ça, Ma chienne. Je vais jouir, je veux que tu avales tout ce que je te ferais l’extrême honneur de te donner de ma noble semence...

Je relâchais donc ma gorge encore plus pour le prendre encore plus profondément. Après encore plusieurs allés retours, la grosse queue du Maître se lâcha en de grands jets de sperme dans ma bouche. Je pris le temps d'avaler et je nettoyai son sexe avec ma langue. Quand il décida de relâcher son emprise sur ma nuque, il m’ordonna de me remettre sur mes genoux jambes écartés, main dans le dos et tête baissée…

(A suivre …)

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Texte coquin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 693)
Histoire sexe : Une rose rouge
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