La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°700)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°700)
Voici le 700 ème épisode ! - soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°696) - A l’orée de la forêt -
Le Maître parcourait du regard son chien soumis. Il était là devant lui, toujours campé à quatre pattes, nu avec simplement un dispositif de chasteté autour de sa nouille, un collier autour du cou, à attendre docilement, tête basse, cuisses légèrement écartées, dans l’immobilité parfaite. Monsieur le Marquis semblait satisfait de le voir se conduire sans plus de préjugé, sans à priori ni parti-pris. Il s’agenouilla devant Son esclave, lui attrapa le visage en passant une main sous son menton, serrant ses doigts contre ses joues, les lui comprimant, les lui creusant.
- Regarde-moi encore, salope !
Endymion MDE timidement leva les yeux vers ceux du Maître. Il eut l’impression que ceux-ci le transperçaient, l’inspectaient et le fouillaient tant ce regard était profond, vif et investigateur. Ses yeux d’un bleu pur inouï étaient à la fois envoutants, fascinants mais aussi offensants et insultants. Ce dégageait une force tranquille Dominante avec un mélange de compassion, de dédain, de défi, de mépris, de pitié, de satisfaction. Un long moment ainsi, sans un mot, en tête à tête, simplement les yeux dans les yeux. Le Maître lâchait sa prise, docilement Endymion MDE rebaissait la tête et retrouvait son humble et servile expression. Maintenant cette main glissait tout le long de la colonne vertébrale de l’esclave MDE, parcourait ses fesses, caressait l’intérieur de ses cuisses, étreignait son ventre et sa poitrine, frôlait son visage, s’agrippait dans sa chevelure, une belle douceur, une délicate attention faisant frissonner de la tête aux pieds Endymion MDE. Puis peu après, Monsieur le Marquis en Maître absolu s’était redressé et marchait d’un pas lent tout autour de son chien soumis MDE. Lui, restait impassible, stoïque attendant le bon vouloir du Maître, un nouvel ordre…
- Je sais Moi aussi, ce dont tu as besoin pour exister ! lançait le Maître
Le Noble se tût encore longuement, son pas lent tout autour de l’esclave MDE devenait enivrant, le Maître, toujours nu, mains dans le dos semblait réfléchir.
- Tu as besoin d’infamie, d’opprobre, d’ignominie, de bassesse, de déshonneur, de dépravation, de privation, de persécution…. et de bites dans tes trous pour satisfaire tes besoins élémentaires, comme si tout ça t’était devenu indispensable et vital pour t’épanouir pleinement. Tu n’es plus dans l’acceptation Mon Chien, mais dans le besoin. Tu vis ta soumission, telle une véritable addiction comportementale. Tu es devenu compulsif et totalement dépendant, et même lorsque tu tentes de résister à tes envies et tu n’y arrives plus. Au-delà de Ma Domination, tu te sens habité par une force qui t’impose de faire les choses. Tu n’es plus dans le désir mais dans le registre du besoin. Et d’un besoin qui s’impose, qui agit contre ta volonté consciente. Alors à Moi de te nourrir, d’entretenir cette addiction, de t’élever dans cette débauche et de te donner ce dont tu as besoin pour vivre et pour t’épanouir…
Le Maître s’interrompit subitement, laissant ainsi le temps à son chien soumis de mesurer, d’évaluer, sinon de réaliser ! Les choses énoncées étaient bien une lucide réalité… Endymion MDE avait bien besoin de tous ces ingrédients pour exister…
- Viens Ma pute, suis-moi !
Le Maître avança d’un pas lent jusqu’à la salle de bain avec derrière lui en quadrupédie Son esclave. Il lui demandait de se positionner devant la cuvette des toilettes et de plonger la tête dans celle-ci. Une fois installé, le Noble posa l’abattant sur la nuque de son chien, puis lui lia les mains dans le dos, lui ôta sa cage de chasteté et lui enfonça un gode épais dans l’anus sans ménagement…
- Tu n’as pas intérêt à le faire choir !
Le Maître se fit couler un bain dans cette immense et luxueuse baignoire qui était en réalité un spa mais avait la forme d’une immense coquille Saint-Jacques. Les robinetteries étaient en en or et les carreaux magnifiques donnaient une impression de 3D de par les reliefs dessinés représentants les Cieux de l’Olympe. Et pendant que la baignoire-spa se remplissait, il humilia encore l’esclave MDE.
- Des salopes et des putains, j’en ai vu dans ma vie, mais des comme toi, c’est plutôt rare. Tu te complets dans la fange, et à peine ai-je le temps de t’y conduire que toi tu t’y vautres ! Ta queue est de nouveau raide et dure, ça t’excite, hein petite salope !
Deux claques tombèrent sur le cul exposé d’Endymion MDE, par réflexe, il sursauta et serra les fesses. Réflexe bien idiot, il crut expulser le gode ancré en lui. Sans mot dire, le Maître, le lui repoussait profondément dans le cul et lui ordonnait :
- Mets la tête au fond de la cuvette de ces chiottes, je veux que ton nez soit au contact de l’eau stagnante.
Endymion MDE se penchait un peu plus encore, et lorsqu’il fut position, comme le Maître l’avait exigé, il sentit coulé sur son dos et ses épaules un liquide chaud. Monsieur le Marquis lui pissait dessus, un jet dru éclaboussant les parois de la cuvette !
- Ne bouge pas salope, accepte mon intime nectar tel un divin présent.
Il pissait longuement prenant un vrai plaisir à souiller Son chien MDE ainsi, à diriger son jet sur sa tête, lui inondant sa chevelure. Lorsqu’il eut fini sa miction, il lui ordonna de nettoyer avec sa langue les éclaboussures laissées sur la cuvette. Endymion MDE était plus excité que jamais, sa bite frétillait tant et plus. Le Maître avait bien raison pensait-il, plus il était entrainé dans les bas-fonds et l’abject, plus il prenait du plaisir, plaisir qu’il offrait en retour à Celui qui le Dominait. Ses réflexions furent brutalement stoppées, Monsieur le Marquis avait reposé l’abattant des toilettes sur ses épaules et soudainement avait tiré la chasse d’eau. L’esclave MDE surpris, crut qu’il allait s’étouffer.
Le Noble venait tout juste de prendre place dans l’immense baignoire-spa et enclencha les multiples jets d’eau de bien-être lorsqu’il entendit frapper à la porte de sa chambre.
- Entrez ! lança-t-il
C’était Walter qui arrivait accompagné d’une soumise nue et enchainée.
- Monsieur le Marquis, selon Vos ordres, je vous amène cette petite chienne dévouée !
- Approche Ma bonne chienne, viens vers moi Cypris MDE, tu vas participer à mes ablutions et laver Mon corps que tu dois apprendre, Vénérer. La toilette du Maître est un privilège, tiens-toi le pour dit.
soumise Cypris MDE venait d’intégrer le cheptel de Monsieur le Marquis depuis peu, elle avait eu cette chance d’être sélectionnée par le Noble et avait rejoint Son chenil. Elle fut surprise de voir Endymion MDE, ainsi posté, toujours la tête enfoncée dans les WC, le cul relevé et encombré. Elle ne le connaissait pas encore, il ne s’était jamais vu !
- Prends ce gant de toilette, dépose un peu de savon liquide sur celui-ci et frotte moi les épaules et le dos.
Avec grand soin et une délicate attention, soumise Cypris MDE, penchée en avant mettant en relief sa belle poitrine nue, s’exécutait sans se préoccuper de Ses Nobles doigts lui caressant et retroussant ses lèvres intimes. Elle se mit à gémir uniquement lorsqu’elle se sentit pénétrée. Monsieur le Marquis la rappela à l’ordre.
- Allons petite chienne, ne te préoccupe point de ce que je te fais, concentre-toi sur ce que j’exige de toi. Lave-moi la poitrine maintenant et correctement !
C’est à cet instant que Walter entra de nouveau dans la salle de bain. Cette fois-ci, il s’intéressa à l’esclave Endymion MDE
- Tu joues à l’autruche ! dit-il, en riant et soulevant l’abattant des toilettes !
Monsieur le Marquis s’esclaffa à son tour, il trouvait cette image tout à fait conforme à la réalité, il rétorqua :
- Une putain d’autruche, regarde mon cher Walter ce que je lui ai carré dans le cul pour bien le lui dilater. Je pense qu’avec ce qui va suivre, Ma salope saura me remercier…
Le Majordome retira le gode insérer et put constater qu’il s’agissait d’un objet pas très long mais d’un diamètre imposant.
- Ce chien a fait des progrès, dire qu’en arrivant dans Votre Noble Demeure, nous pouvions tout juste lui enfiler deux doigts. Aujourd’hui il prend de beaux calibres…
C’est tout juste si l’esclave MDE put croiser le regard de soumise Cypris MDE, Walter l’attrapait par un bras et l’entrainait hors de la salle de bain et de la chambre du Maître manu militari. Ils sortirent du Château par une petite porte de service et regagnèrent le vaste parc. Endymion MDE grimaçait, les graviers, fussent-ils ronds, lui blessaient ses pieds nus. Mais Monsieur le Majordome le tenait fermement par son collier et le tirait avec une poigne autoritaire. L’esclave MDE comprit très vite que Walter l’emmenait en direction de la petite masure, près des écuries, celle occupée par les gardes du Domaine. Sous la pergola, Maximilien torse nu, assis près d’une table, semblait travailler studieusement.
- Alors Maximilien, t’en sors-tu avec ces plannings et ces tours de garde ?
- Aucun problème, je viens tout juste de les terminer et je voulais te les présenter afin d’avoir ton assentiment.
- Bien, je regarderai ça un peu plus tard, moi je te livre cette salope d’esclave MDE. Monsieur le Marquis te le cède pour la soirée et la nuitée pour toi et tes gars.
- Voilà un bien beau cadeau que nous fait Monsieur le Marquis. Mes gars en sauront reconnaissants auprès du Noble Maitre. Avons-nous des consignes particulières, où pouvons-nous en user et abuser à notre guise ?
- Aucune consigne précise, je te le confie, à toi de surveiller, tes gars, ces rustres, afin qu’ils ne l’abîment pas, tout de même !…
- Nous en ferons bon usage, je connais cette chienne et plus particulièrement ces trous, nous en ferons bon usage…
Endymion MDE était déjà venu en ces lieux et savait à quoi il devait s’attendre, mais pour l’heure, il recevait l’ordre de se tenir à quatre pattes. Maximilien lui attachait une laisse à son collier et l’entrainait dehors.
- Allez vient le chien, on va faire un petit tour, on va te dégourdir les « papattes »… dit Maximilien avec ironie
Dieu merci, Maximilien faisait marcher l’esclave MDE sur le gazon soigneusement coupé, épargnant ses genoux. Ils allèrent en direction du chenil, celui ou étaient enfermés les chiens de chasse, de Monsieur le Marquis. Tous étaient des « Grand Bleu de Gascogne » des chiens de vieille et noble race, imposants, donnant une impression de force tranquille et de grande noblesse. Très fins de nez, dotés d’une voix de hurleur, aux tons graves, ces chiens étaient très appliqués dans leur façon de chasser. Ils s’ameutaient d’instinct et avaient un caractère calme, ils se mettaient facilement aux ordres du maitre-chien. Dès qu’ils entendirent Maximilien approcher tous se mirent à japper bruyamment.
- Allons, allons les chiens, je sais que l’heure de la soupe arrivent, un peu de calme néanmoins !
Maximilien fit le tour du chenil pour s’en éloigner, tout en disant à Endymion MDE
- Allez le chien, en balade une petite demi-heure !
Maximilien fit marcher l’esclave MDE à quatre pattes calmement en promenade. Arrivé près de l’orée de la grande forêt la plus proche du Château, forêt appartenant au Domaine de la Famille des Evans, il ordonna simplement à Endymion MDE de se coucher sur le dos dans l’herbe humide à l’ombre des premiers arbres et de relever les jambes, d’exposer et d’ouvrir son trou du cul en l’écartant de ses mains, ce que fit de suite le chien-soumis :
- Je vais te baiser comme une trainée, là en pleine nature ! Ca fait un moment que tu me fais bander, salope !
Sitôt dit, sitôt fait, Maximilien, baissa son pantalon qui tomba sur ses chevilles, il ne prit même pas le temps de le retirer, qu’il était déjà sur l’esclave MDE en position du missionnaire. Sa queue énorme se fraya un passage dans l’anus du soumis qui se fit enculer à grands coups de reins puissants, jusqu’à ce que Maximilien éjacula à grands cris de ‘’Aaaaah’’ mélangés avec des râles jouissifs en se vidant les couilles dans le fondement de l’esclave MDE. Celui-ci sentit un jet chaud couler dans ses entrailles. Maximilien resta un moment immobile afin de reprendre son souffle sans dire mot où seul le bruit de multiples oiseaux brisait ce silence. Maximilien au bout d’un moment reprit ses esprits réajusta son pantalon et emmena l’esclave MDE dans cette petite masure forestière des gardes du Château...
(A suivre…)
Le Maître parcourait du regard son chien soumis. Il était là devant lui, toujours campé à quatre pattes, nu avec simplement un dispositif de chasteté autour de sa nouille, un collier autour du cou, à attendre docilement, tête basse, cuisses légèrement écartées, dans l’immobilité parfaite. Monsieur le Marquis semblait satisfait de le voir se conduire sans plus de préjugé, sans à priori ni parti-pris. Il s’agenouilla devant Son esclave, lui attrapa le visage en passant une main sous son menton, serrant ses doigts contre ses joues, les lui comprimant, les lui creusant.
- Regarde-moi encore, salope !
Endymion MDE timidement leva les yeux vers ceux du Maître. Il eut l’impression que ceux-ci le transperçaient, l’inspectaient et le fouillaient tant ce regard était profond, vif et investigateur. Ses yeux d’un bleu pur inouï étaient à la fois envoutants, fascinants mais aussi offensants et insultants. Ce dégageait une force tranquille Dominante avec un mélange de compassion, de dédain, de défi, de mépris, de pitié, de satisfaction. Un long moment ainsi, sans un mot, en tête à tête, simplement les yeux dans les yeux. Le Maître lâchait sa prise, docilement Endymion MDE rebaissait la tête et retrouvait son humble et servile expression. Maintenant cette main glissait tout le long de la colonne vertébrale de l’esclave MDE, parcourait ses fesses, caressait l’intérieur de ses cuisses, étreignait son ventre et sa poitrine, frôlait son visage, s’agrippait dans sa chevelure, une belle douceur, une délicate attention faisant frissonner de la tête aux pieds Endymion MDE. Puis peu après, Monsieur le Marquis en Maître absolu s’était redressé et marchait d’un pas lent tout autour de son chien soumis MDE. Lui, restait impassible, stoïque attendant le bon vouloir du Maître, un nouvel ordre…
- Je sais Moi aussi, ce dont tu as besoin pour exister ! lançait le Maître
Le Noble se tût encore longuement, son pas lent tout autour de l’esclave MDE devenait enivrant, le Maître, toujours nu, mains dans le dos semblait réfléchir.
- Tu as besoin d’infamie, d’opprobre, d’ignominie, de bassesse, de déshonneur, de dépravation, de privation, de persécution…. et de bites dans tes trous pour satisfaire tes besoins élémentaires, comme si tout ça t’était devenu indispensable et vital pour t’épanouir pleinement. Tu n’es plus dans l’acceptation Mon Chien, mais dans le besoin. Tu vis ta soumission, telle une véritable addiction comportementale. Tu es devenu compulsif et totalement dépendant, et même lorsque tu tentes de résister à tes envies et tu n’y arrives plus. Au-delà de Ma Domination, tu te sens habité par une force qui t’impose de faire les choses. Tu n’es plus dans le désir mais dans le registre du besoin. Et d’un besoin qui s’impose, qui agit contre ta volonté consciente. Alors à Moi de te nourrir, d’entretenir cette addiction, de t’élever dans cette débauche et de te donner ce dont tu as besoin pour vivre et pour t’épanouir…
Le Maître s’interrompit subitement, laissant ainsi le temps à son chien soumis de mesurer, d’évaluer, sinon de réaliser ! Les choses énoncées étaient bien une lucide réalité… Endymion MDE avait bien besoin de tous ces ingrédients pour exister…
- Viens Ma pute, suis-moi !
Le Maître avança d’un pas lent jusqu’à la salle de bain avec derrière lui en quadrupédie Son esclave. Il lui demandait de se positionner devant la cuvette des toilettes et de plonger la tête dans celle-ci. Une fois installé, le Noble posa l’abattant sur la nuque de son chien, puis lui lia les mains dans le dos, lui ôta sa cage de chasteté et lui enfonça un gode épais dans l’anus sans ménagement…
- Tu n’as pas intérêt à le faire choir !
Le Maître se fit couler un bain dans cette immense et luxueuse baignoire qui était en réalité un spa mais avait la forme d’une immense coquille Saint-Jacques. Les robinetteries étaient en en or et les carreaux magnifiques donnaient une impression de 3D de par les reliefs dessinés représentants les Cieux de l’Olympe. Et pendant que la baignoire-spa se remplissait, il humilia encore l’esclave MDE.
- Des salopes et des putains, j’en ai vu dans ma vie, mais des comme toi, c’est plutôt rare. Tu te complets dans la fange, et à peine ai-je le temps de t’y conduire que toi tu t’y vautres ! Ta queue est de nouveau raide et dure, ça t’excite, hein petite salope !
Deux claques tombèrent sur le cul exposé d’Endymion MDE, par réflexe, il sursauta et serra les fesses. Réflexe bien idiot, il crut expulser le gode ancré en lui. Sans mot dire, le Maître, le lui repoussait profondément dans le cul et lui ordonnait :
- Mets la tête au fond de la cuvette de ces chiottes, je veux que ton nez soit au contact de l’eau stagnante.
Endymion MDE se penchait un peu plus encore, et lorsqu’il fut position, comme le Maître l’avait exigé, il sentit coulé sur son dos et ses épaules un liquide chaud. Monsieur le Marquis lui pissait dessus, un jet dru éclaboussant les parois de la cuvette !
- Ne bouge pas salope, accepte mon intime nectar tel un divin présent.
Il pissait longuement prenant un vrai plaisir à souiller Son chien MDE ainsi, à diriger son jet sur sa tête, lui inondant sa chevelure. Lorsqu’il eut fini sa miction, il lui ordonna de nettoyer avec sa langue les éclaboussures laissées sur la cuvette. Endymion MDE était plus excité que jamais, sa bite frétillait tant et plus. Le Maître avait bien raison pensait-il, plus il était entrainé dans les bas-fonds et l’abject, plus il prenait du plaisir, plaisir qu’il offrait en retour à Celui qui le Dominait. Ses réflexions furent brutalement stoppées, Monsieur le Marquis avait reposé l’abattant des toilettes sur ses épaules et soudainement avait tiré la chasse d’eau. L’esclave MDE surpris, crut qu’il allait s’étouffer.
Le Noble venait tout juste de prendre place dans l’immense baignoire-spa et enclencha les multiples jets d’eau de bien-être lorsqu’il entendit frapper à la porte de sa chambre.
- Entrez ! lança-t-il
C’était Walter qui arrivait accompagné d’une soumise nue et enchainée.
- Monsieur le Marquis, selon Vos ordres, je vous amène cette petite chienne dévouée !
- Approche Ma bonne chienne, viens vers moi Cypris MDE, tu vas participer à mes ablutions et laver Mon corps que tu dois apprendre, Vénérer. La toilette du Maître est un privilège, tiens-toi le pour dit.
soumise Cypris MDE venait d’intégrer le cheptel de Monsieur le Marquis depuis peu, elle avait eu cette chance d’être sélectionnée par le Noble et avait rejoint Son chenil. Elle fut surprise de voir Endymion MDE, ainsi posté, toujours la tête enfoncée dans les WC, le cul relevé et encombré. Elle ne le connaissait pas encore, il ne s’était jamais vu !
- Prends ce gant de toilette, dépose un peu de savon liquide sur celui-ci et frotte moi les épaules et le dos.
Avec grand soin et une délicate attention, soumise Cypris MDE, penchée en avant mettant en relief sa belle poitrine nue, s’exécutait sans se préoccuper de Ses Nobles doigts lui caressant et retroussant ses lèvres intimes. Elle se mit à gémir uniquement lorsqu’elle se sentit pénétrée. Monsieur le Marquis la rappela à l’ordre.
- Allons petite chienne, ne te préoccupe point de ce que je te fais, concentre-toi sur ce que j’exige de toi. Lave-moi la poitrine maintenant et correctement !
C’est à cet instant que Walter entra de nouveau dans la salle de bain. Cette fois-ci, il s’intéressa à l’esclave Endymion MDE
- Tu joues à l’autruche ! dit-il, en riant et soulevant l’abattant des toilettes !
Monsieur le Marquis s’esclaffa à son tour, il trouvait cette image tout à fait conforme à la réalité, il rétorqua :
- Une putain d’autruche, regarde mon cher Walter ce que je lui ai carré dans le cul pour bien le lui dilater. Je pense qu’avec ce qui va suivre, Ma salope saura me remercier…
Le Majordome retira le gode insérer et put constater qu’il s’agissait d’un objet pas très long mais d’un diamètre imposant.
- Ce chien a fait des progrès, dire qu’en arrivant dans Votre Noble Demeure, nous pouvions tout juste lui enfiler deux doigts. Aujourd’hui il prend de beaux calibres…
C’est tout juste si l’esclave MDE put croiser le regard de soumise Cypris MDE, Walter l’attrapait par un bras et l’entrainait hors de la salle de bain et de la chambre du Maître manu militari. Ils sortirent du Château par une petite porte de service et regagnèrent le vaste parc. Endymion MDE grimaçait, les graviers, fussent-ils ronds, lui blessaient ses pieds nus. Mais Monsieur le Majordome le tenait fermement par son collier et le tirait avec une poigne autoritaire. L’esclave MDE comprit très vite que Walter l’emmenait en direction de la petite masure, près des écuries, celle occupée par les gardes du Domaine. Sous la pergola, Maximilien torse nu, assis près d’une table, semblait travailler studieusement.
- Alors Maximilien, t’en sors-tu avec ces plannings et ces tours de garde ?
- Aucun problème, je viens tout juste de les terminer et je voulais te les présenter afin d’avoir ton assentiment.
- Bien, je regarderai ça un peu plus tard, moi je te livre cette salope d’esclave MDE. Monsieur le Marquis te le cède pour la soirée et la nuitée pour toi et tes gars.
- Voilà un bien beau cadeau que nous fait Monsieur le Marquis. Mes gars en sauront reconnaissants auprès du Noble Maitre. Avons-nous des consignes particulières, où pouvons-nous en user et abuser à notre guise ?
- Aucune consigne précise, je te le confie, à toi de surveiller, tes gars, ces rustres, afin qu’ils ne l’abîment pas, tout de même !…
- Nous en ferons bon usage, je connais cette chienne et plus particulièrement ces trous, nous en ferons bon usage…
Endymion MDE était déjà venu en ces lieux et savait à quoi il devait s’attendre, mais pour l’heure, il recevait l’ordre de se tenir à quatre pattes. Maximilien lui attachait une laisse à son collier et l’entrainait dehors.
- Allez vient le chien, on va faire un petit tour, on va te dégourdir les « papattes »… dit Maximilien avec ironie
Dieu merci, Maximilien faisait marcher l’esclave MDE sur le gazon soigneusement coupé, épargnant ses genoux. Ils allèrent en direction du chenil, celui ou étaient enfermés les chiens de chasse, de Monsieur le Marquis. Tous étaient des « Grand Bleu de Gascogne » des chiens de vieille et noble race, imposants, donnant une impression de force tranquille et de grande noblesse. Très fins de nez, dotés d’une voix de hurleur, aux tons graves, ces chiens étaient très appliqués dans leur façon de chasser. Ils s’ameutaient d’instinct et avaient un caractère calme, ils se mettaient facilement aux ordres du maitre-chien. Dès qu’ils entendirent Maximilien approcher tous se mirent à japper bruyamment.
- Allons, allons les chiens, je sais que l’heure de la soupe arrivent, un peu de calme néanmoins !
Maximilien fit le tour du chenil pour s’en éloigner, tout en disant à Endymion MDE
- Allez le chien, en balade une petite demi-heure !
Maximilien fit marcher l’esclave MDE à quatre pattes calmement en promenade. Arrivé près de l’orée de la grande forêt la plus proche du Château, forêt appartenant au Domaine de la Famille des Evans, il ordonna simplement à Endymion MDE de se coucher sur le dos dans l’herbe humide à l’ombre des premiers arbres et de relever les jambes, d’exposer et d’ouvrir son trou du cul en l’écartant de ses mains, ce que fit de suite le chien-soumis :
- Je vais te baiser comme une trainée, là en pleine nature ! Ca fait un moment que tu me fais bander, salope !
Sitôt dit, sitôt fait, Maximilien, baissa son pantalon qui tomba sur ses chevilles, il ne prit même pas le temps de le retirer, qu’il était déjà sur l’esclave MDE en position du missionnaire. Sa queue énorme se fraya un passage dans l’anus du soumis qui se fit enculer à grands coups de reins puissants, jusqu’à ce que Maximilien éjacula à grands cris de ‘’Aaaaah’’ mélangés avec des râles jouissifs en se vidant les couilles dans le fondement de l’esclave MDE. Celui-ci sentit un jet chaud couler dans ses entrailles. Maximilien resta un moment immobile afin de reprendre son souffle sans dire mot où seul le bruit de multiples oiseaux brisait ce silence. Maximilien au bout d’un moment reprit ses esprits réajusta son pantalon et emmena l’esclave MDE dans cette petite masure forestière des gardes du Château...
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