La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 702)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 702) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 702)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°700) - les turpitudes de la soumission -

L’esclave Endymion MDE avait été ramené au Château vers huit heures trente dans un piteux état. A peine parvenait-il encore à marcher, tant il avait subi les assauts des huit gardes présents lors de cette soirée et nuit passée près d’eux. Tous l’avaient entrepris, assailli, bafoué et humilié. Jamais jusqu’ici, il n’avait vécu un tel outrage, une telle expérience d’avilissement. A maintes reprises, il avait été utilisé, retourné, basculé, pénétré et enculé avec une bestialité hors du commun. Ces huit rustres mâles en rut, homosexuels et surtout de véritables obsédés sexuels, lui avait semblé insatiables. Endymion MDE avait pris leur pine, des petites, des grosses, des longues, des plus fines, des lourdes, toutes plus tendues et raides les unes des autres, autant par la bouche que par le cul. Parfois même, deux queues avaient tenté au même moment de s’introduire dans le même orifice. Il n’avait eu en tout et pour tout que deux heures de répit, deux petites heures seulement pour se reposer et tenter de dormir. Mais très vite les pervers ébats avaient repris. L’un des huit gardes, juste avant sa ronde était repassé à l’offensive. Il avait attaché l’esclave MDE, jambes relevées, cul bien exposé, trou offert et à bonne hauteur, bouche grande ouverte par un écarteur métallique et l’avait baisé en l’insultant copieusement. Et bien évidemment, ses hurlements jouissifs avaient réveillé la chambrée et tous étaient revenus s’occuper fiévreusement de cette ‘’catin vide-couilles’’ à disposition. Le Chef des gardes, Maximilien, n’avait pas été en reste. A plusieurs reprises, il avait besogné Endymion MDE en le tenant, lui, l’esclave, responsable de ces furieux assauts, tout en exhortant, en incitant, en encourageant les sept autres gardes de continuer à prendre en de multiples reprises copieusement l’esclave MDE par tous ses orifices, d’en user et d’en abuser …
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- Regardez-moi, cette pute comme elle ondule du bassin à chaque fois qu’on la fourre pour prendre au plus profond d’elle, nos grosses bites qui l’enculent. Ecoutez-la gémir, telle une grosse salope boulimique de nos queues. Voyez sa nouille de chien se tendre à chaque fois qu’on baise cette lubrique catin…

Et bien évidemment, il n’en fallait pas plus pour galvaniser les sens des mâles affamés de sexe.

- Tu n’es qu’une putain aguicheuse, une salope attiseuse, ne cherchant qu’à allumer, provoquer et nous émoustiller, la chienne…

Bref, l’esclave MDE, toute la nuit en avait pris plein le cul et plein la bouche. Il avait été calomnié, dégradé, humilié et avili. Il sentait la sueur, la pisse, le foutre et ne savait pas comment il allait pouvoir tenir la journée qui débutait par son cours strict d’Anglais. Et cours d’anglais, il y avait… Sir William ne s’inquiéta guère de la fatigue d’Endymion MDE. Il n’était pas là pour ça. Généreusement payé par Monsieur le Marquis d’Evans, il se devait de mener sa fonction et mission, coût que coût, quel que soit l’état physique de l’esclave MDE. Il le regarda hautainement, allant même à le humer dédaigneusement, tout en le faisant installer à genoux sur un mobilier ressemblant en tout point à un prie-Dieu, sauf qu’en lieu et place de l’accoudoir se tenait une petit écritoire. Sir William ne put s’empêcher toutefois d’émettre un commentaire. Il s’adressa à Maximilien ramenant près de lui, Endymion MDE.

- On m’amène une souillon aujourd’hui ! Cette salope pue la pisse et le foutre à plein nez, elle a dû se faire doser le fion toute la nuit si j’en crois ce que je sens, si j’en crois ce que je vois. Son entrecuisse est encore maculé de sperme, Je suis sûr que son cul en regorge !

Endymion MDE se laissait écarter les fesses, les deux mains de Sir William s’étaient saisies des lobes fessiers de l’esclave MDE dégageant sa raie. L’écossais attentif commentait encore :

- C’est bien ce que je disais, son trou suinte et ruisselle, cette catin est incapable de contenir ce qu’on s’acharne à lui donner…

Au même moment, Endymion MDE recevait trois coups de badine sur son fessier. Il sursautait et gémissait. Trois autres coups tombèrent encore sur son cul et malgré la fatigue, il trouvait encore le moyen d’en être excité par une érection en réaction à la badine…

- Retient au moins tes plaintes, petite chienne, si tu ne sais pas retenir le jus que l’on te donne ! Et cette nouille qui bande, t’es vraiment une lope en chaleur …

La matinée fut assez terrible, Endymion MDE crut s’écrouler à deux reprises, tant il était éreinté, mais à chaque fois, avec un extraordinaire zèle, l’Ecossais le rappelait à l’ordre en lui striant le fessier sévèrement. Au bout de ces quatre heures de cours intensif, l’esclave MDE pensait être au bout de ses ressources, il se sentait si fatigué, si brisé, abîmé, délabré, exténué comme anéanti. Pourtant, lorsque Sir William souleva son kilt et lui pointa sa bite poisseuse sur ses lèvres, Endymion MDE eut un sursaut et regain d’énergie. Il avala cette queue juteuse, l’enfourna en fond de gorge et avidement la pompa et la téta frénétiquement, avec un fol empressement… Au même moment sa bite, elle aussi, se redressa encore atteignant, en l’espace de quelques secondes, son paroxysme ! En l’espace de rien, l’esclave MDE avait retrouvé une belle forme physique, simplement en suçant une queue…

Ce fut Mademoiselle Lucie qui vint chercher le chien soumis de Monsieur le Marquis. Elle tirait derrière elle, tenue à quatre pattes et en laisse, la jeune et belle soumise Estelle, celle qui avait été confiée, à Monsieur le Marquis par Madame Gabriella et Monsieur Henri, pour être éduquée… La soumise et l’esclave Endymion MDE regagnèrent donc ensemble les cuisines toujours tirés en laisse derrière la fille du Noble. Au détour d’un de ces longs couloirs aux luxueux décors, Mademoiselle Lucie croisait Monsieur Walter lisant un courrier. Elle l’interpellait :

- Ah mon cher Walter, je voulais justement te voir pour te dire que j’ai eu bien du mal ce matin avec cette petite catin !

Monsieur le Majordome, releva son regard vers celui de Lucie, passant ses yeux au-dessus de ses demi-lunettes et l’interrogeait :

- De laquelle de ces deux chiennes, veux-tu me parler ?
- De la femelle !
- Que s’est-il passé ?
- Cette chienne est soumise dans l’âme, c’est sûr, il n’y a aucun doute ! Elle a besoin d’être dominée pour assouvir ces besoins et fantasmes, j’en suis certaine, elle aussi d’ailleurs, mais sans cesse, elle se rebelle et cherche, tente toujours à contrecarrer ou essaie de contester, sinon discuter les décisions que nous prenons pour elle. Elle ne se laisse pas conduire en s’abandonnant totalement, tu vois ce que je veux dire Mon cher Walter.
- Je vois très bien… lui répondit le Majordome calmement

Monsieur Walter s’était accroupi près de soumise Estelle, la caressa presque tendrement, sa main glissait sur le dos de la soumise, jusqu’au creux de ses reins. La jeune chienne frissonnait en se cabrant. La courbure de ce corps en quadrupédie aurait excité un mort. Elle était magnifique, superbe avec un port de tête altier, bien que sans chevelure. Ses tétons s’étaient érigés sous le joug de cette étreinte, la bite d’Endymion MDE, elle aussi s’était dressée…

- Alors petite chienne, pourquoi toujours te rebelles-tu ? Parle petite salope…
- Je ne me rebelle pas, Walter !
- Monsieur Walter ! N’aggrave point ton cas, chienne !

La main du Majordome glissait entre les fesses d’Estelle, soudainement son majeur pénétra son anus… soumise Estelle sursauta en poussant en geignement et en disant

- Oh non, pas mon cul…
- Comment ça, pas ton cul ?… reprit Monsieur Walter
- Tu vois Walter, c’est bien ce que je te disais à l’instant, cette garce est toujours dans la négociation et la rébellion ! reprit Madame Lucie

Le Majordome ne fit comme s’il n’avait pas entendu les propos de Mademoiselle Lucie.

- Ton trou cul ne t’appartient plus tu le sais bien, comme d’ailleurs tous tes trous, comme d’ailleurs tout ton être, tu le sais parfaitement ! reprit-il en faisant aller et venir de plus en plus vite son doigt dans le fondement de cette jeune et frêle soumise, maintenant haletante…

De son autre main Monsieur Walter lui donnait une terrible et magistrale fessée…

- Accepte ce que tu es petite chienne, tu n’as d’autre choix que de tout abandonner et de te donner entièrement, totalement. Prends exemple sur le mâle près de toi, regarde, il est devenu une vraie et définitive pute parce qu’il a su accepter, assumer, nous faire confiance, se prêter et se conformer à nos volontés et ordres pour s’assumer et trouver bon son asservissement sexuel, son avilissement total.

Monsieur le Majordome claquait toujours le cul de soumise Estelle tout en la doigtant énergiquement avec maintenant son majeur et son index…

- Tu sais ce que l’on fait à une soumise irrespectueuse de ses engagements ?
- Non, euh… oui… oui, oui ! Monsieur Walter.
- Que lui fait-on alors ?
- On la punit, Monsieur Walter…
- Et d’après toi, dois-tu être punie petite chienne ?
- Oui, Monsieur Walter…
- Faute avouée est à moitié pardonnée… Tu recevras donc ce soir avant le coucher, vingt coups de mon ceinturon en cuir sur ton cul de salope et vingt autres sur tes seins…

Monsieur Walter avait retiré ses doigts et cessé la fessée, il se redressait et se plantait devant Estelle.

- Mets-toi en levrette devant moi et remercie-moi de toute l’attention que je te porte, salope.

Alors qu’Estelle s’installait dans la posture ordonnée, Mademoiselle Lucie passait sa main sur les lèvres intimes de cette jeune soumise.

- Tu vois mon cher Walter, c’est bien ce que je te disais, cette chienne a besoin de soumission, elle mouille comme une salope en chaleur et je sens son clito tendu vibrant sous mes doigts...

Mademoiselle Lucie retira sa main trempée et la passa sur le visage d’Endymion MDE étalant cette liqueur intime sur ses joues, ses lèvres. L’esclave se laissait maculer de cette cyprine, sans broncher, sans rien dire.

- Tu sentais déjà la pisse et le foutre, alors tu peux bien sentir le jus d’une femelle en chaleur, un peu plus, un peu moins, tu n’es plus à ça près, le chien.

Mademoiselle Lucie ricana vicieusement, tira sur les laisses pour faire comprendre à ceux tenus à quatre pattes qu’ils avançaient afin de regagner les cuisines...

(A suivre…)

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