La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°729)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°729)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°725) -
Je suis là, revenu me prosterner instinctivement devant les Nobles pieds de Monsieur le Marquis, dans une levrette approximative, tant je suis éreinté après cette méga-partouse où l’on a usé et abusé abondement de mon corps, de tous mes orifices. Le Maître est assis dans un large et confortable fauteuil et discute avec une femme qu’il a l’air visiblement de connaitre. C’est une Domina, venant sans doute d’Amérique Latine, car elle a ce visage de ces femmes Incas, celles vivant dans la Cordière des Andes, des yeux noirs charbon, des cheveux sombres tressés couverts par un petit chapeau rond coloré. Depuis que je suis près du Maître, celui-ci a posé l’un de ses pieds sur mon visage, alors qu’il converse ! Mais subitement je ressens une vive brulure sur mon fessier, une cravache vient de me cingler le cul à plusieurs reprises. Je couine pour retenir un cri de douleur…
- Tiens-toi correctement, redresse et cambre ton cul de lope, tel un chien racé ! M’ordonne le Maître …
Tant bien que mal, je reprends une posture plus conventionnelle, me cambre et m’offre, tout en tendant l’oreille. Monsieur le Marquis négocie âprement mais habillement. Il cherche à avoir le soutien de cette Maîtresse dénommée Juanita, lorsque, le moment venu, les Dominants seront appelés à voter pour déterminer le lieu de cette Rencontre Internationale de la Domination/soumission. Je l’entends plaider pour que ces Mondiaux se passent chez Lui, au Château, en France, argumentant qu’il a les infrastructures nécessaires d’accueil. La Domina semble difficile à convaincre, elle préférerait qu’ils se déroulent chez elle, à Limas, dans l’une de ses propriétés, un peu à l’extérieur de cette mégalopole …
- Vous savez Monsieur le Marquis, je dispose d’une cinquantaine d’hectares de terre, de grands espaces dans un cadre sobre et austère.
- J’entends bien très chère Juanita, mais votre demeure permet-elle d’accueillir cinquante Dominants et leur suite, ainsi qu’autant d’esclaves ?
La Domina semble quelque peu déstabilisée. Elle réfléchit et insiste pourtant.
- Nous pourrons loger les esclaves dans des baraquements, eux non pas besoin de confort.
- Pas de confort ? Il leur en faut tout de même un peu ma chère, ces baraquements que j’ai visité lors d’un séjour chez vous, il y a deux ans maintenant, si je me souviens bien, ne disposent ni de latrine, ni de point d’eau. De plus, nous serons en juillet en hiver dans l’hémisphère Sud, le froid et l’altitude peuvent compliquer les choses et être bien pénible pour nos chiennes et chiens.
- Oui effectivement… Vous avez raison Monsieur le Marquis, mais…
A ce moment précis, Monsieur le Marquis est interrompu. Un Dominant lui attrape poliment le bras et lui susurre quelques mots à l’oreille :
- ……… ?
- Ah mais oui, bien sûr, mon cher ami ! répond le Maître à haute voix à celui qui vient de l’interpeller …
Une fellation hors norme :
Ce Dominant n’est autre que celui m’a promis, il y a peu, sa bite dans ma bouche. Sans attendre une seconde de plus, juste après avoir sincèrement remercié le Maître, Il m’attrape sauvagement par le collier, me fait me redresser et m’entraine à grandes enjambées, presque à me faire courir, comme s’il y avait extrême urgence, au rez-de-chaussée dans une pièce ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Je suis installé à genoux devant un carcan en bois. Ma tête est emprisonnée entre deux lourdes planches, mes bras attachés dans le dos.
- J’espère que tu sais avaler une bonne grosse pine ! me lance-t-il tout en dégrafant lentement son pantalon.
Jamais je n’ai vu un tel engin, un mandrin monstrueux, une queue vraiment très épaisse, lourde et aussi longue, très longue arrivant à mi-cuisses. Tellement lourde qu’elle peine à tenir à l’horizontal, bien que bandée, elle ploie. Une véritable verge de cheval ! Le Dominant, un Tchèque, prénommé Wenceslas, se masturbe doucement, tranquillement devant mon regard, un sourire pervers sur ses lèvres.
- Qu’il est bon d’être un Dominant pervers, bien doté par la nature ! Qu’il est bon de se branler devant un chien de ton espèce qui ne peut user de sa nouille ! Qu’il est bon de te voir à ma totale disposition, prêt à être utilisé, prêt à prendre mon gourdin dans ton trou de putain. Je vais t’emplir la bouche, il va te falloir avaler ma queue toute entière, de gré ou de force, je vais vouloir sentir tes lèvres effleurer mon pubis alors que tu auras mon gourdin en fond de gorge… Je vais te baiser comme une pute, parce que d’après ce que j’ai ouï dire, tu es une bonne pute !
La messe est dite ! Sans attendre plus encore, le Dominant pointe son impressionnante verge sur mes lèvres. Celle-ci sent l’urine, le foutre et la mouille. Sans doute a-t-elle glissé récemment dans des vagins enflammés de femelles soumises. Ma bouche s’ouvre sous la contrainte et la pression. Très vite cette bite glisse en moi et commence à m’étouffer. Premier haut le cœur, j’essaie de me dégager de ce pieux, mais peine perdue, je me heurte le crâne contre les planches de bois me tenant la tête prisonnière.
- Avale, t-ai-je ordonné !
Comment vais-je faire pour gober tout entier ce pieu. Je ne suis qu’à mi-parcours et déjà je n’en peux plus, je commence à peiner à respirer. Mais l’homme me force encore, me défonce la bouche lentement mais sûrement, pousse toujours. Les hauts le cœur se succèdent, des larmes roulent sur mes joues. Inexorablement cette bite s’insère, mes lèvres glissent doucement mais sûrement sur cette hampe monstrueuse, ma bouche écartée et tenue grande ouverte, cède. Cette bite gagne du terrain et s’enfonce encore de quelques centimètres. Cette fois, j’étouffe, m’asphyxie, m’étrangle. Le Dominant me tient la nuque pour exercer une ultime poussée…
- Voilà on y est, tu l’as entièrement prise, en gorge profonde, telle une vraie putain…
C’est vrai, mes lèvres sont plaquées contre cette sombre toison, le Dominant me tient ainsi quelques secondes puis lâche la pression, se retire légèrement, j’ai juste le temps de reprendre mon souffle, une bouffée d’air que déjà je suis de nouveau assailli, pénétré, forcé. Le rythme s’installe par des vas et viens lents et réguliers. A chaque coup de pine, à chaque butée, j’étouffe, je souffle, je bave, je suffoque, je pleure. Et pourtant la cadence augmente… Ce chibre monstrueux lubrifié par ma salive sort et entre dans mon orifice buccal et écumant et il se heurte à ma glotte, le fond de mon palais. Je suis dans un piteux état, et portant force est de constater que je bande… je bande terriblement même, tant les ressentis humiliants m’excitent… Je me vois, à ma place, tel que je dois être, un vide-couilles, rien qu’un vidangeur de burnes… et à ce stade j’officie et joue mon rôle pleinement. Et malgré les nausées, j’avale, pompe et suce en même temps. Ma langue titille, agace, aguiche sinon tourmente cette bite turgescente, comme si maintenant je prenais le pouvoir sur elle. Monsieur Wenceslas râle, enrage même, commence à ne plus du tout maitriser cette fellation. Je le vois se crisper, les muscles de ses jambes et ses abdominaux se tendent et se contractent jusqu’au moment où accrocher à moi, ce pieu me cheville la gorge, gicle et déverse plusieurs rasades de semence épaisse et abondante. J’étouffe, m’étrangle alors que des applaudissements retentissent. Le Maître est là, près de moi, dans l’action je ne l’avais pas entendu venir et il vient d’assister à mon gavage… La Domina Juanita est avec lui et elle félicite le Maître de posséder un esclave tel que moi…
Le repas est prêt à être servi. Les Dominantes et Dominants sont déjà installés autour de cette immense table ovale, lorsque le Maître et moi, sommes de retour. Quel spectacle ici, des soumises et soumis sont installés, tel un chemin de table, au centre de celle-ci. Certains sont couchés sur le dos, membres attachés et tenus à l’écart, d’autres en levrette, d’autres encore à quatre pattes, cul contre cul, avec un double gode enfoncé dans leur chair, tous affichant délibérément leur impudeur et indécence, avec un certain aplomb, arborant même fièrement leur soumission. Certains encore, sont en charge du service. Pour ma part, tête basse, le regard sur ma queue qui a bien du mal à se tenir sage, je me tiens debout, juste derrière la chaise où vient de s’assoir le Maître. Je comprends sur un simple claquement de doigts qu’il me faut venir à genoux m’installer entre Monsieur le Marquis et une belle Dominatrice, une grande blonde et pulpeuse Suédoise, à l’air sévère mais un visage fort beau, elle est nommée Maîtresse Ingrid par le Maître.
- Mets les mains derrière la nuque ! m’ordonne le Maître.
J’obtempère immédiatement, une main parfaitement manucurée glisse sur ma poitrine, deux doigts presse mon téton gauche. Je me laisse faire et ne bouge pas d’un iota, pourtant mon mamelon est étiré et douloureusement pincé.
- C’est votre chien Monsieur le Marquis ? demande Maîtresse Ingrid
- Oui je vous présente mon esclave, très chère Maîtresse Ingrid, celui que j’ai nommé esclave Endymion MDE, lui répond le Maître avec un large sourire de politesse.
- C’est donc lui qui va être transformé en une femme soumise, tout à l’heure ?
Pour toute réponse, le Maître se contente de sourire, moi pas ! Je ne sais pas ce qui se trame encore, je crains que l’on me travestisse, je déteste ça. Je suis un mâle, un mâle docile et soumis certes, mais un mâle tout de même. Cette idée me déplait et me hante. Pendant tout le temps du repas, je reste immobile, songeur, presque boudeur, me contentant d’ouvrir la bouche à chaque fois que le Maître me nourrit en me donnant la becquée. Monsieur le Marquis tient une conversation mondaine avec cette Domina Suédoise. Il parle de tout et de rien avec élégance, aisance et courtoisie avec une dimension esthétique et hédoniste. Le repas se poursuit ainsi jusqu’au moment où le Maître exige que j’aille me mettre dans une petite pièce jouxtant celle où nous nous trouvons.
- Tu m’attendras en levrette ! m’ordonne-t-il.
Je me redresse et m’apprête à regagner le lieu désigné, lorsque le Maître intervient encore.
- Non à quatre pattes chien ! me lance-t-il…
Une punition méritée :
Evidemment j’obéis et rejoins ainsi le la petite pièce et attends. Une longue attente, sans doute plus d’une heure ainsi, j’en ai des crampes dans tous les muscles. Lorsque le Maître arrive enfin, il m’attrape par la chevelure et exige que je le regarde droit dans les yeux.
- Qu’est-ce qui ne va pas, Mon chien ?
- Je vais bien Maître !
- Ne me mens pas salope ! Je vois bien que tu sembles préoccupé !
- Oui Maître, j’ai peur que vous exigiez que je me travestisse.
- Te travestir ?
- Oui Maître, j’ai entendu Maitresse Ingrid vous dire que vous alliez me transformer en femme soumise, je suis un mâle, fier d’être un mâle soumis à votre service…
- Et alors, si tel est mon exigence ?… N’es-tu point fait pour m’obéir strictement. Si je le décide tu devras respecter mes instructions.
- Mais vous savez…
- Tu te tais salope, je fais ce que je veux de toi, tu entends, tout ce que je veux, tu m’appartiens corps et âme.
Les doigts du Maître se sont agrippés un peu plus encore à ma chevelure et me secoue la tête dans tous les sens…
- Serais-tu en train de me dire que tu désobéirais si je t’imposais de t’habiller en femme ?
- Mais… euh ….
- Tais-toi t’ai-je dis, comment oses-tu ? Prosterne toi devant mes pieds salope, ton cul va prendre la badine.
Dix coups me sont donnés, d’une rare intensité, striant et zébrant largement mon fessier. Je sursaute et geins, la douleur est vive, quasiment insupportable. Seul mon mental me fait accepter cette juste et méritée sanction. Je sais qu’elle m’est nécessaire, utile et formatrice. D’ailleurs dès le dernier coup reçu, je présente mes plus humbles excuses et remercie sincèrement le Maître. Lui me fait me agenouiller, m’ordonne de le regarder encore droit dans les yeux.
- Tu es pardonné Mon chien, mais ne t’avise surtout pas à refuser un quelconque ordre, quel qu’il soit, allez viens, suis moi, tu vas comprendre maintenant pourquoi Maitresse Ingrid a abordé ce thème en début de repas…
(A suivre…)
Je suis là, revenu me prosterner instinctivement devant les Nobles pieds de Monsieur le Marquis, dans une levrette approximative, tant je suis éreinté après cette méga-partouse où l’on a usé et abusé abondement de mon corps, de tous mes orifices. Le Maître est assis dans un large et confortable fauteuil et discute avec une femme qu’il a l’air visiblement de connaitre. C’est une Domina, venant sans doute d’Amérique Latine, car elle a ce visage de ces femmes Incas, celles vivant dans la Cordière des Andes, des yeux noirs charbon, des cheveux sombres tressés couverts par un petit chapeau rond coloré. Depuis que je suis près du Maître, celui-ci a posé l’un de ses pieds sur mon visage, alors qu’il converse ! Mais subitement je ressens une vive brulure sur mon fessier, une cravache vient de me cingler le cul à plusieurs reprises. Je couine pour retenir un cri de douleur…
- Tiens-toi correctement, redresse et cambre ton cul de lope, tel un chien racé ! M’ordonne le Maître …
Tant bien que mal, je reprends une posture plus conventionnelle, me cambre et m’offre, tout en tendant l’oreille. Monsieur le Marquis négocie âprement mais habillement. Il cherche à avoir le soutien de cette Maîtresse dénommée Juanita, lorsque, le moment venu, les Dominants seront appelés à voter pour déterminer le lieu de cette Rencontre Internationale de la Domination/soumission. Je l’entends plaider pour que ces Mondiaux se passent chez Lui, au Château, en France, argumentant qu’il a les infrastructures nécessaires d’accueil. La Domina semble difficile à convaincre, elle préférerait qu’ils se déroulent chez elle, à Limas, dans l’une de ses propriétés, un peu à l’extérieur de cette mégalopole …
- Vous savez Monsieur le Marquis, je dispose d’une cinquantaine d’hectares de terre, de grands espaces dans un cadre sobre et austère.
- J’entends bien très chère Juanita, mais votre demeure permet-elle d’accueillir cinquante Dominants et leur suite, ainsi qu’autant d’esclaves ?
La Domina semble quelque peu déstabilisée. Elle réfléchit et insiste pourtant.
- Nous pourrons loger les esclaves dans des baraquements, eux non pas besoin de confort.
- Pas de confort ? Il leur en faut tout de même un peu ma chère, ces baraquements que j’ai visité lors d’un séjour chez vous, il y a deux ans maintenant, si je me souviens bien, ne disposent ni de latrine, ni de point d’eau. De plus, nous serons en juillet en hiver dans l’hémisphère Sud, le froid et l’altitude peuvent compliquer les choses et être bien pénible pour nos chiennes et chiens.
- Oui effectivement… Vous avez raison Monsieur le Marquis, mais…
A ce moment précis, Monsieur le Marquis est interrompu. Un Dominant lui attrape poliment le bras et lui susurre quelques mots à l’oreille :
- ……… ?
- Ah mais oui, bien sûr, mon cher ami ! répond le Maître à haute voix à celui qui vient de l’interpeller …
Une fellation hors norme :
Ce Dominant n’est autre que celui m’a promis, il y a peu, sa bite dans ma bouche. Sans attendre une seconde de plus, juste après avoir sincèrement remercié le Maître, Il m’attrape sauvagement par le collier, me fait me redresser et m’entraine à grandes enjambées, presque à me faire courir, comme s’il y avait extrême urgence, au rez-de-chaussée dans une pièce ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Je suis installé à genoux devant un carcan en bois. Ma tête est emprisonnée entre deux lourdes planches, mes bras attachés dans le dos.
- J’espère que tu sais avaler une bonne grosse pine ! me lance-t-il tout en dégrafant lentement son pantalon.
Jamais je n’ai vu un tel engin, un mandrin monstrueux, une queue vraiment très épaisse, lourde et aussi longue, très longue arrivant à mi-cuisses. Tellement lourde qu’elle peine à tenir à l’horizontal, bien que bandée, elle ploie. Une véritable verge de cheval ! Le Dominant, un Tchèque, prénommé Wenceslas, se masturbe doucement, tranquillement devant mon regard, un sourire pervers sur ses lèvres.
- Qu’il est bon d’être un Dominant pervers, bien doté par la nature ! Qu’il est bon de se branler devant un chien de ton espèce qui ne peut user de sa nouille ! Qu’il est bon de te voir à ma totale disposition, prêt à être utilisé, prêt à prendre mon gourdin dans ton trou de putain. Je vais t’emplir la bouche, il va te falloir avaler ma queue toute entière, de gré ou de force, je vais vouloir sentir tes lèvres effleurer mon pubis alors que tu auras mon gourdin en fond de gorge… Je vais te baiser comme une pute, parce que d’après ce que j’ai ouï dire, tu es une bonne pute !
La messe est dite ! Sans attendre plus encore, le Dominant pointe son impressionnante verge sur mes lèvres. Celle-ci sent l’urine, le foutre et la mouille. Sans doute a-t-elle glissé récemment dans des vagins enflammés de femelles soumises. Ma bouche s’ouvre sous la contrainte et la pression. Très vite cette bite glisse en moi et commence à m’étouffer. Premier haut le cœur, j’essaie de me dégager de ce pieux, mais peine perdue, je me heurte le crâne contre les planches de bois me tenant la tête prisonnière.
- Avale, t-ai-je ordonné !
Comment vais-je faire pour gober tout entier ce pieu. Je ne suis qu’à mi-parcours et déjà je n’en peux plus, je commence à peiner à respirer. Mais l’homme me force encore, me défonce la bouche lentement mais sûrement, pousse toujours. Les hauts le cœur se succèdent, des larmes roulent sur mes joues. Inexorablement cette bite s’insère, mes lèvres glissent doucement mais sûrement sur cette hampe monstrueuse, ma bouche écartée et tenue grande ouverte, cède. Cette bite gagne du terrain et s’enfonce encore de quelques centimètres. Cette fois, j’étouffe, m’asphyxie, m’étrangle. Le Dominant me tient la nuque pour exercer une ultime poussée…
- Voilà on y est, tu l’as entièrement prise, en gorge profonde, telle une vraie putain…
C’est vrai, mes lèvres sont plaquées contre cette sombre toison, le Dominant me tient ainsi quelques secondes puis lâche la pression, se retire légèrement, j’ai juste le temps de reprendre mon souffle, une bouffée d’air que déjà je suis de nouveau assailli, pénétré, forcé. Le rythme s’installe par des vas et viens lents et réguliers. A chaque coup de pine, à chaque butée, j’étouffe, je souffle, je bave, je suffoque, je pleure. Et pourtant la cadence augmente… Ce chibre monstrueux lubrifié par ma salive sort et entre dans mon orifice buccal et écumant et il se heurte à ma glotte, le fond de mon palais. Je suis dans un piteux état, et portant force est de constater que je bande… je bande terriblement même, tant les ressentis humiliants m’excitent… Je me vois, à ma place, tel que je dois être, un vide-couilles, rien qu’un vidangeur de burnes… et à ce stade j’officie et joue mon rôle pleinement. Et malgré les nausées, j’avale, pompe et suce en même temps. Ma langue titille, agace, aguiche sinon tourmente cette bite turgescente, comme si maintenant je prenais le pouvoir sur elle. Monsieur Wenceslas râle, enrage même, commence à ne plus du tout maitriser cette fellation. Je le vois se crisper, les muscles de ses jambes et ses abdominaux se tendent et se contractent jusqu’au moment où accrocher à moi, ce pieu me cheville la gorge, gicle et déverse plusieurs rasades de semence épaisse et abondante. J’étouffe, m’étrangle alors que des applaudissements retentissent. Le Maître est là, près de moi, dans l’action je ne l’avais pas entendu venir et il vient d’assister à mon gavage… La Domina Juanita est avec lui et elle félicite le Maître de posséder un esclave tel que moi…
Le repas est prêt à être servi. Les Dominantes et Dominants sont déjà installés autour de cette immense table ovale, lorsque le Maître et moi, sommes de retour. Quel spectacle ici, des soumises et soumis sont installés, tel un chemin de table, au centre de celle-ci. Certains sont couchés sur le dos, membres attachés et tenus à l’écart, d’autres en levrette, d’autres encore à quatre pattes, cul contre cul, avec un double gode enfoncé dans leur chair, tous affichant délibérément leur impudeur et indécence, avec un certain aplomb, arborant même fièrement leur soumission. Certains encore, sont en charge du service. Pour ma part, tête basse, le regard sur ma queue qui a bien du mal à se tenir sage, je me tiens debout, juste derrière la chaise où vient de s’assoir le Maître. Je comprends sur un simple claquement de doigts qu’il me faut venir à genoux m’installer entre Monsieur le Marquis et une belle Dominatrice, une grande blonde et pulpeuse Suédoise, à l’air sévère mais un visage fort beau, elle est nommée Maîtresse Ingrid par le Maître.
- Mets les mains derrière la nuque ! m’ordonne le Maître.
J’obtempère immédiatement, une main parfaitement manucurée glisse sur ma poitrine, deux doigts presse mon téton gauche. Je me laisse faire et ne bouge pas d’un iota, pourtant mon mamelon est étiré et douloureusement pincé.
- C’est votre chien Monsieur le Marquis ? demande Maîtresse Ingrid
- Oui je vous présente mon esclave, très chère Maîtresse Ingrid, celui que j’ai nommé esclave Endymion MDE, lui répond le Maître avec un large sourire de politesse.
- C’est donc lui qui va être transformé en une femme soumise, tout à l’heure ?
Pour toute réponse, le Maître se contente de sourire, moi pas ! Je ne sais pas ce qui se trame encore, je crains que l’on me travestisse, je déteste ça. Je suis un mâle, un mâle docile et soumis certes, mais un mâle tout de même. Cette idée me déplait et me hante. Pendant tout le temps du repas, je reste immobile, songeur, presque boudeur, me contentant d’ouvrir la bouche à chaque fois que le Maître me nourrit en me donnant la becquée. Monsieur le Marquis tient une conversation mondaine avec cette Domina Suédoise. Il parle de tout et de rien avec élégance, aisance et courtoisie avec une dimension esthétique et hédoniste. Le repas se poursuit ainsi jusqu’au moment où le Maître exige que j’aille me mettre dans une petite pièce jouxtant celle où nous nous trouvons.
- Tu m’attendras en levrette ! m’ordonne-t-il.
Je me redresse et m’apprête à regagner le lieu désigné, lorsque le Maître intervient encore.
- Non à quatre pattes chien ! me lance-t-il…
Une punition méritée :
Evidemment j’obéis et rejoins ainsi le la petite pièce et attends. Une longue attente, sans doute plus d’une heure ainsi, j’en ai des crampes dans tous les muscles. Lorsque le Maître arrive enfin, il m’attrape par la chevelure et exige que je le regarde droit dans les yeux.
- Qu’est-ce qui ne va pas, Mon chien ?
- Je vais bien Maître !
- Ne me mens pas salope ! Je vois bien que tu sembles préoccupé !
- Oui Maître, j’ai peur que vous exigiez que je me travestisse.
- Te travestir ?
- Oui Maître, j’ai entendu Maitresse Ingrid vous dire que vous alliez me transformer en femme soumise, je suis un mâle, fier d’être un mâle soumis à votre service…
- Et alors, si tel est mon exigence ?… N’es-tu point fait pour m’obéir strictement. Si je le décide tu devras respecter mes instructions.
- Mais vous savez…
- Tu te tais salope, je fais ce que je veux de toi, tu entends, tout ce que je veux, tu m’appartiens corps et âme.
Les doigts du Maître se sont agrippés un peu plus encore à ma chevelure et me secoue la tête dans tous les sens…
- Serais-tu en train de me dire que tu désobéirais si je t’imposais de t’habiller en femme ?
- Mais… euh ….
- Tais-toi t’ai-je dis, comment oses-tu ? Prosterne toi devant mes pieds salope, ton cul va prendre la badine.
Dix coups me sont donnés, d’une rare intensité, striant et zébrant largement mon fessier. Je sursaute et geins, la douleur est vive, quasiment insupportable. Seul mon mental me fait accepter cette juste et méritée sanction. Je sais qu’elle m’est nécessaire, utile et formatrice. D’ailleurs dès le dernier coup reçu, je présente mes plus humbles excuses et remercie sincèrement le Maître. Lui me fait me agenouiller, m’ordonne de le regarder encore droit dans les yeux.
- Tu es pardonné Mon chien, mais ne t’avise surtout pas à refuser un quelconque ordre, quel qu’il soit, allez viens, suis moi, tu vas comprendre maintenant pourquoi Maitresse Ingrid a abordé ce thème en début de repas…
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