La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°740)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°740)
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°732) - D’incroyables révélations -
Monsieur le Marquis a bien conscience que ce qui vient de se passer n’est absolument pas banal ! En effet, jouir d’un fantôme est tout de même peu commun et exclue tout raisonnement rationnel. Mais ce qu’il est en train de vivre est loin d’être un rêve et il a pleinement conscience de la réalité de cette jouissance dans la bouche de Clara. Celle-ci est vraiment une très belle jeune femme et la vie a été bien cruelle envers elle, lui privant dès la naissance de la parole. Muette, elle a trouvé le bonheur dans la soumission grâce à sa mère soumise, mais les sulfureuses circonstances auxquelles Clara est devenue, elle-même, soumise vous seront contées ultérieurement (NDLA : dans le prochain épisode) ... Pour l’heure, le Noble est toujours assis sur cette vieille et cossue malle en bois, soumise Clara agenouillée entre Ses jambes et soumise Sophie sur le côté. Tout d’un coup, chienne Sophie lève délicatement la tête, regarde avec dévotion le Châtelain et par son regard suppliant, le Marquis comprend qu’elle souhaite s’exprimer :
- Je pense à avoir droit à quelques explications ? dit clairement Monsieur le Marquis Edouard d’Evans tout en continuant à caresser la chevelure de Sophie.
- Oui, Ô Vénéré Descendant du Divin Maître, répond la comtesse du Dranier sur un timbre de voix sans expression avec la même tonalité monocorde de la première rencontre au bord de la route…
- Très bien, alors je t’écoute !
- Vous êtes loin d’imaginer les conséquences de votre geste que nous avons tant souhaité, ce geste que nous vous avons encouragé, celui que vous avez daigné, accepté de faire, la pose de nos colliers à nos cous. Car grâce à ce geste fort, vous avez activé … Sa Prophétie, celle que votre aïeul a clamée juste avant de mourir… oui désormais, il est certain qu’IL VA POUVOIR REVENIR.
- Quoi ??? Qu’est-ce que tu dis ? s’exclame le Noble interloqué.
- Savez-vous les circonstances exactes de la mort de votre arrière-grand-père ?
- Eh bien, si je me souviens bien ce que m’ont toujours raconté mon grand-père et mon père, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans est mort d’une mauvaise chute de cheval lors d’une simple promenade dans la forêt du Château en … 1936… oui c’est ça en 36 ! me semble-t-il …
- Oui, c’est bien cela, 20 ans après notre assassinat par mon mari le comte du Dranier… Sachez Maître, que depuis ce terrible jour de mars 1916 où nous avons été étranglées, nous errons dans le royaume fantasmagorique entre celui des morts et des vivants, n’ayant jamais trouvé le repos éternel… Et ainsi de suite après notre décès, nous avons donc manifesté notre présence auprès de votre divin aïeul. Très vite, Il a compris que nous étions revenues en ce que nous sommes, deux fantômes. Et pendant plus de 20 ans, jusqu’à sa mort en 1936, il nous a Dominé dans le plus grand secret afin de ne pas passer pour un fou. Seul Basile, son Majordome au bras amputé était au courant.
- Incroyable, c’est incroyable, se répète le Noble … Mais tu parlais, tantôt, de prophétie ? … Quelle Prophétie ????
- Oui Maître je vais vous la raconter, mais d’abord il faut que vous sachiez les circonstances exactes de sa mort. Nous étions en plein été 1936, il faisait chaud et dans la soirée, votre arrière-grand-père avait décidé de se promener à cheval sur Ses terres. Il avait pour habitude de nous appeler quand Il le voulait, où Il le voulait afin que nous soyons à Sa disposition et seulement quand Il le décidait. Pour cela, Il n’avait qu’à invoquer nos noms fortement en les criant pour que nous apparaissions… Pour une raison que nous ignorons encore, c’est exactement ce qu’Il a fait alors qu’Il était en plein galop sur son cheval dans le grand chemin de la forêt qui longe Vos immenses étangs. Peut-être que cet appel, à nous, était incité par l’ivresse du galop ? Nous avons donc accourues pour apparaître subitement à l’orée du bois à environ 50 mètres devant lui. Le cheval nous ayant vu subitement apparaitre, a pris peur, a ralenti sa course puis il a paniqué en levant les pattes en avant, ce qui a provoqué la chute de cheval de votre aïeul … Nous nous en voulons terriblement car nous nous sentons coupables de ce tragique accident …
- Mais c’est terrible, ce que tu dis … ensuite ?
- Ensuite, nous étions à ses côtés, agenouillées et penchées auprès de son corps blessé à terre, il avait les reins brisés, le crâne tout en sang… Couchés sur le dos, agonisant, il nous regardait avec Amour et passion en prononçant Ses mots incroyables, Sa prophétie avant de passer à trépas : ‘’Ma Sophie, Ma Clara, vous que je chéris tant … Je fais le serment que … que seul si un Evans remet un jour vos colliers cachés dans une malle au grenier… si un Evans les remet à vos cous… lors d’une de vos apparitions, je reviendrais vous soumettre à Mes pieds … je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’ puis il ferma les yeux et se fut son dernier souffle de vie…
- Mais, c’est absolument fou comme histoire ! coupe le Noble avec tellement de stupeur sur son visage
- Alors depuis un siècle, nous avons essayé en de multiples fois d’amener votre grand-père puis votre père jusqu’à ce grenier pour que l’un deux nous remettent nos colliers à nos cous afin de faire revenir notre Divin Maître mais en vain. Echec total à chacune de nos apparitions, ce ne fut que des échecs dus à l’immense peur que nous leur provoquions et ce qui avait pour conséquences d’espacer nos ‘’visites’’ causées par le refoulement leur part… Alors, on a décidé de changer d’approche vis-à-vis de Vous, de tout faire pour ne pas trop vous épouvanter par une apparition trop effrayante comme celle au bord de la route pour vous amener dans mon manoir et ainsi vous mettre en confiance… Vous faire sentir nos bonnes intentions …
- Oui je comprends, c’est incroyable toute ces révélations… Mon grand-père et mon père ne m’ont jamais parlé que le Château étant hanté, qu’ils avaient parfois vu des fantômes, je suppose par peur de passer également pour des fous …
- Oui, je suppose aussi… Et donc maintenant que vous nous avez remis notre collier, votre Divin Aïeul peut désormais revenir, quand et comme Il le voudra, du royaume des morts pour celui, ici des vivants mais il sera, à ne pas douter, comme Clara et moi, en fantôme … et ainsi Il nous soumettra de nouveau selon Sa Volonté… Merci, oui merci Maître… Et vous, vous aurez aussi l’unique bonheur de le rencontrer, vous son digne héritier et descendant de la grande lignée de la Famille des Evans. Mais pour cela vous devrez aller inévitablement, à la prochaine nuit de pleine lune, sur sa tombe dans votre caveau familial derrière la petite Chapelle de votre Château …
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?… Comment ça ? Au caveau familial ?
Soudain un bruit frappant engendré par le vent contre un vélux de la toiture fait retourner la tête du noble derrière lui, ne voyant rien de spécial, il porte de nouveau son regard face à lui et constate à sa grande surprise que les deux soumises ont disparues, en un dixième de seconde. Encore plus incroyable, il retrouve les malles comme en entrant dans le grenier, toutes bien rangées et lui est simplement assis sur une. La malle préalablement restée ouverte, celle où il a trouvé les deux colliers est fermée comme si elle n’avait pas été ouverte depuis des années. La seule différence quand il l’ouvre de nouveau, est de constater que les deux colliers ont disparus dans le tabernacle de la malle en question…
Le Marquis d’Evans reste sous le choc de tous ces évènements tellement improbables et pourtant si avérés, si réels. Il lui faut du temps pour se remettre de ses émotions et de ces révélations absolument incroyables sur le décès de son aïeul. Et c’est donc après une bonne dizaine de minutes de réflexions où il repense à chaque détail de tout ce qui vient de se passer et de tout ce qu’il a appris, après de multiples questionnements qui reviennent dans son esprit que le Noble redescend du grenier pour de nouveau s’empresser à aller s’enfermer dans son bureau de sa chambre. Un besoin obsessionnel l’encourage vivement à continuer à lire la suite du journal intime de la comtesse. Il tourne la page suivante qui est datée de 17 jours après le dernier récit, soit le 2 août (puis du 5 août) 1914 :
‘’- 2 août 1914, la guerre est déclarée contre l’Allemagne et c’est la Mobilisation Générale … Mon mari, le comte, étant officier de réserve est mobilisé et son départ pour la guerre est imminent dans les 48 heures (NDLA : le comte qui reviendra que 2 fois en permission pour Noël 1914 et mars 1916 pour apprendre que sa femme et fille sont soumises et s’ensuivra la tragédie d’assassinats lors de cette permission).
- 5 août 1914, voila mon mari est parti ce matin, à l’aube, à la guerre. J’ai très peur pour lui, pourvu qu’il me revienne en vie. Mais j’ai désormais le champ libre pour vivre pleinement ma soumission avec le Maître, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans. Je sais qu’Il va venir ce soir tard vers minuit au manoir et cela me rend si heureuse. Ma fille Clara sera couchée et dormira quand je donnerai le signal convenu au Maître pour qu’il puisse venir me rejoindre sans risque de réveiller Clara. Pour cela, je passerai par trois fois le chandelier devant la fenêtre de ma chambre pour que le Maître sache qu’Il peut entrer au manoir pour me Dominer …
Plus tard, Il est minuit. J’ai juste enfilé mon peignoir de satin sur ma nudité la plus totale en dessous et j’ai juste le temps de descendre au rez-de-chaussée après mon signal quand le Maître entre sans faire de bruit dans mon salon. Il se trouve devant moi, debout sur ses hautes bottes de cuir et les bras croisés et en impose en Dominance Sa cravache à la main droite. Dégageant mes fins poignets des amples manches de mon peignoir de satin, je me tiens debout, la tête penchée en avant en signe de parfaite soumission. J’agis avec des gestes lents, précis, m'appliquant à conserver à chaque instant une attitude élégante afin de ne pas briser la sérénité de ce moment. Je ne puis m’empêcher de m’exprimer, alors que je n’y suis pas forcément autorisée :
- Daignez accepter Maître, l'humble offrande du corps de Votre soumise que je suis pour Vous. Veuillez en user et abuser comme il Vous plaira. J’émets la requête d'être autorisée à me présenter à Vous, à Vos pieds, dis-je de ma voix de soumise
- Que ta présence à Mes pieds soit effective, se contente de dire le Maître. - Mais avant, ne bouge pas et laisse-moi t’admirer, comme tu es belle. Dénude-toi… Montre-moi ton beau corps de femelle…
Je défais donc la ceinture qui fermait mon peignoir et le laisse choir sur le sol. Puis je commence à me défaire de ce peignoir, le faisant glisser laborieusement vers le bas. Le peignoir s'étale désormais inerte à terre. Le Maître me détaille alors depuis mes petits seins dont mes tétons pointent déjà, ma peau pâle du ventre et du pubis parfaitement lisse jusqu'à la déchirure rosée de mon vagin qui s'allonge jusqu'à la sombre fissure formée par l'espace entre mes cuisses serrées l'une contre l'autre. Je ne bouge plus et reste immobile, bien droite, les yeux et tête baissés, les bras pendant le long de mon corps. Le Maître s’avance doucement et tourne autour de moi en me scrutant de la tête aux pieds. Certes j’ai appris, depuis ce 14 juillet 1914 à offrir chacun de mes orifices sans jamais rechigner, à être possédée sans ménagement et selon Sa Volonté... Et j’aime, je l’avoue, être ainsi malmenée, fessée, humiliée, enculée, baisée par Lui, mon Amant et Maître, par Celui qui a d'abord été "une aventure" d’un soir de bal populaire et qui a su provoquer en moi ce puissant désir et besoin de soumission. Je suis véritablement passée à la dépendance à l'égard d'un homme et, maintenant, je me sens devenir tout juste Son objet de plaisir, Sa chose, celle de mon divin Amant, de cet homme qui se tient devant moi et qui a tous pouvoirs sur moi. Il s’approche encore et commence par me toucher, caressant chaque partie de mon corps, s’attardant sur ma poitrine, mon ventre. Les doigts du Marquis s'insinuent maintenant entre mes cuisses, caressant mon clitoris, caressant mon sexe... fouillant en moi sans retenue...
- Ecarte plus tes cuisses... ouvre-toi plus, chienne !, me dit-il avec une voix calme, directe, péremptoire...
Déjà très excitée, j’obéis instantanément, me sentant comme en dehors de moi-même en cet instant si particulier. Je me concentre, jambes écartées, pour rester immobile face à cette intrusion au plus profond de mon intimité. J’ai le sentiment de perdre les ultimes traces de dignité ou de pudeur que je croyais avoir conservées. Je suis si profondément troublée par les sensations qui m'envahissaient. De l'humiliation bien sûr, de la gène certes, mais aussi un incontestable plaisir provoqué par ce savoureux doigtage qui affole mon pouls et saccade ma respiration. Les doigts du Maître s'attardent encore un moment au creux de mes chairs tendres et fragiles et lorsqu'il les retire, ils sont souillés de ma mouille et je dois me retenir pour ne point haleter exagérément. Le Marquis Evans regarde sa main et l'approche de mes lèvres. Il promène Ses doigts sur celles-ci encore closes, puis les force du majeur et il me fait lécher ce premier doigt. Docilement, je lèche ainsi Ses doigts et Sa main afin de les débarrasser de mes propres sécrétions qui les poissent. La Main du Marquis se pose alors sur mon épaule et m’oblige à m'agenouiller, sans avoir besoin de trop appuyer, car j’ai bien compris ce qu’il attend de moi…
A genoux, je garde mes cuisses aussi ouvertes que possible, ainsi qu'’il m’avait appris en juillet. Sans autre transition, il dégrafe son pantalon et le sexe du Maître se fraye directement un chemin entre mes lèvres, s'enfonçant sans ménagement au plus profond de ma gorge. Le Marquis d’Evans prend un profond plaisir à forcer ma bouche docile, à l'utiliser, à aller et venir en elle encore et encore. Il s'enfonce jusqu'à ce que son épais gland violacé heurte au plus profond de mon palais, s'y frottant un instant, avant de se retirer pour s'y enfoncer à nouveau... Le Maître sent, sait, mes difficultés à engloutir sa volumineuse verge raidie en voyant mon visage s'empourprer. A Sa façon de me pénétrer ma cavité buccale, il me coupe le souffle et j’ai à peine le temps d'avaler une goulée d'air avant qu'à nouveau la verge du Maître ne vienne de nouveau me couper le souffle. Je peine à retenir des haut-le-coeur que Le Marquis provoque volontairement, afin de tester ma motivation à le satisfaire, à lui donner un maximum de plaisir dans mon implication et dans le fait de n'être qu'un objet de plaisir, cette chose que je suis devenue et qui dépasse mes limites afin de combler les exigences du Maître. Au bout d’un moment, satisfait, Monsieur Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans se retire et recule de quelques pas afin de me contempler de nouveau, moi qui tout en essayant de conserver mon immobilisme, ne peut empêcher ma bouche de chercher l'air qui soulève encore sa poitrine. J’ai subi avec tant d’excitation et plaisirs les premiers assauts du Maître comme il le fallait, c'est un bon point. "Prometteur !" me dit le Marquis tout en me souriant sur un ton dégageant toujours cette force tranquille.
- Allonge-toi sur le sol ! m’ordonne-t-il, obtenant mon immédiate obéissance.- Tes jambes écartées, montre-moi ton sexe largement offert, me lance Le Maître.
J’ai donc adopté cette position, plutôt inconfortable sur le carrelage froid et m'appliquant à la maintenir, ne pouvant réprimer le tremblement provoqué par l’excitation qui raidit mes muscles. Le Marquis Evans gagne un coin de la pièce et, tout près de l'un des chandeliers, prélève une bougie allumée et revient vers moi. Se tenant au-dessus de mon corps nu et brûlant de désir, il commence à pencher la bougie dont le sommet recueille la cire fondue et il laissa s'échapper quelques fines gouttes qui vinrent éclabousser mon torse de femelle en chaleur. L'impact de la première goutte me fait sursauter, mais je parviens à réprimer tout autre mouvement, sinon que je me cambre un peu plus encore. En fait, la hauteur d'où le Maître laisse tomber la cire ne représente aucun danger de brûlure, mais la simple chaleur qui s'en dégage suffit à affoler mes sens, de la soumise inexpérimentée que je suis, en la matière. Le Marquis se promène ainsi tout autour de mon corps offert et me grêle de gouttes qui éclatent au contact de ma peau. Passées la surprise je suis maintenant envahie par une forme inconnue d'excitation mentale et physique, oui inconnue jusqu’à l’heure. Les impacts se succèdent sur mon corps, jamais au même endroit que je ne peux d'ailleurs prévoir… C'est comme une salvatrice pluie qui tombe sur moi et éveille d'incroyables et sublimes sensations, surtout lorsque je sens que l'averse de cire fondue descend peu à peu le long de mon corps, sur mes seins, puis vers mon ventre ensuite mon pubis et tout autour ... Puis la cire cesse de couler... A nouveau, Le Marquis prend un peu de recul. Dans la position qu'il m’a imposée, couverte de traces et d'impacts de cire, je dois apparaitre désormais comme une étrange sculpture. Maître Evans apprécie la vision de Sa nouvelle femelle qui va sans doute venir grossir les rangs de Son cheptel. Je devine qu’il apprécie en moi ma profonde motivation sans faille…
Puis subitement un bruit inattendu, venant des escaliers de l’étage, nous fait tourner la tête, à moi et au Maître. Clara nous regarde avec la bouche et les yeux grands ouverts. Elle est entièrement nue et en train de se caresser en ne perdant aucun instant du spectacle que nous lui offrions sans le savoir. Elle a du certainement être témoin de ma fellation. Elle est assise sur une marche, les jambes largement écartées et visiblement n’a pas du tout l’air effarouché. Elle est, à l’évidence en train d’avoir un fort orgasme en un complet silence car par le fait qu’elle soit muette aucun son ne sort de sa bouche grande ouverte. Elle est en train de jouir fortement à voir comme elle se tortille, comme elle accentue sa masturbation de ses doigts sur son clitoris et entre ses lèvres intimes …
(A suivre …)
Monsieur le Marquis a bien conscience que ce qui vient de se passer n’est absolument pas banal ! En effet, jouir d’un fantôme est tout de même peu commun et exclue tout raisonnement rationnel. Mais ce qu’il est en train de vivre est loin d’être un rêve et il a pleinement conscience de la réalité de cette jouissance dans la bouche de Clara. Celle-ci est vraiment une très belle jeune femme et la vie a été bien cruelle envers elle, lui privant dès la naissance de la parole. Muette, elle a trouvé le bonheur dans la soumission grâce à sa mère soumise, mais les sulfureuses circonstances auxquelles Clara est devenue, elle-même, soumise vous seront contées ultérieurement (NDLA : dans le prochain épisode) ... Pour l’heure, le Noble est toujours assis sur cette vieille et cossue malle en bois, soumise Clara agenouillée entre Ses jambes et soumise Sophie sur le côté. Tout d’un coup, chienne Sophie lève délicatement la tête, regarde avec dévotion le Châtelain et par son regard suppliant, le Marquis comprend qu’elle souhaite s’exprimer :
- Je pense à avoir droit à quelques explications ? dit clairement Monsieur le Marquis Edouard d’Evans tout en continuant à caresser la chevelure de Sophie.
- Oui, Ô Vénéré Descendant du Divin Maître, répond la comtesse du Dranier sur un timbre de voix sans expression avec la même tonalité monocorde de la première rencontre au bord de la route…
- Très bien, alors je t’écoute !
- Vous êtes loin d’imaginer les conséquences de votre geste que nous avons tant souhaité, ce geste que nous vous avons encouragé, celui que vous avez daigné, accepté de faire, la pose de nos colliers à nos cous. Car grâce à ce geste fort, vous avez activé … Sa Prophétie, celle que votre aïeul a clamée juste avant de mourir… oui désormais, il est certain qu’IL VA POUVOIR REVENIR.
- Quoi ??? Qu’est-ce que tu dis ? s’exclame le Noble interloqué.
- Savez-vous les circonstances exactes de la mort de votre arrière-grand-père ?
- Eh bien, si je me souviens bien ce que m’ont toujours raconté mon grand-père et mon père, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans est mort d’une mauvaise chute de cheval lors d’une simple promenade dans la forêt du Château en … 1936… oui c’est ça en 36 ! me semble-t-il …
- Oui, c’est bien cela, 20 ans après notre assassinat par mon mari le comte du Dranier… Sachez Maître, que depuis ce terrible jour de mars 1916 où nous avons été étranglées, nous errons dans le royaume fantasmagorique entre celui des morts et des vivants, n’ayant jamais trouvé le repos éternel… Et ainsi de suite après notre décès, nous avons donc manifesté notre présence auprès de votre divin aïeul. Très vite, Il a compris que nous étions revenues en ce que nous sommes, deux fantômes. Et pendant plus de 20 ans, jusqu’à sa mort en 1936, il nous a Dominé dans le plus grand secret afin de ne pas passer pour un fou. Seul Basile, son Majordome au bras amputé était au courant.
- Incroyable, c’est incroyable, se répète le Noble … Mais tu parlais, tantôt, de prophétie ? … Quelle Prophétie ????
- Oui Maître je vais vous la raconter, mais d’abord il faut que vous sachiez les circonstances exactes de sa mort. Nous étions en plein été 1936, il faisait chaud et dans la soirée, votre arrière-grand-père avait décidé de se promener à cheval sur Ses terres. Il avait pour habitude de nous appeler quand Il le voulait, où Il le voulait afin que nous soyons à Sa disposition et seulement quand Il le décidait. Pour cela, Il n’avait qu’à invoquer nos noms fortement en les criant pour que nous apparaissions… Pour une raison que nous ignorons encore, c’est exactement ce qu’Il a fait alors qu’Il était en plein galop sur son cheval dans le grand chemin de la forêt qui longe Vos immenses étangs. Peut-être que cet appel, à nous, était incité par l’ivresse du galop ? Nous avons donc accourues pour apparaître subitement à l’orée du bois à environ 50 mètres devant lui. Le cheval nous ayant vu subitement apparaitre, a pris peur, a ralenti sa course puis il a paniqué en levant les pattes en avant, ce qui a provoqué la chute de cheval de votre aïeul … Nous nous en voulons terriblement car nous nous sentons coupables de ce tragique accident …
- Mais c’est terrible, ce que tu dis … ensuite ?
- Ensuite, nous étions à ses côtés, agenouillées et penchées auprès de son corps blessé à terre, il avait les reins brisés, le crâne tout en sang… Couchés sur le dos, agonisant, il nous regardait avec Amour et passion en prononçant Ses mots incroyables, Sa prophétie avant de passer à trépas : ‘’Ma Sophie, Ma Clara, vous que je chéris tant … Je fais le serment que … que seul si un Evans remet un jour vos colliers cachés dans une malle au grenier… si un Evans les remet à vos cous… lors d’une de vos apparitions, je reviendrais vous soumettre à Mes pieds … je ne sais pas pourquoi, mais je le sais… je sais que cela sera ainsi …’’ puis il ferma les yeux et se fut son dernier souffle de vie…
- Mais, c’est absolument fou comme histoire ! coupe le Noble avec tellement de stupeur sur son visage
- Alors depuis un siècle, nous avons essayé en de multiples fois d’amener votre grand-père puis votre père jusqu’à ce grenier pour que l’un deux nous remettent nos colliers à nos cous afin de faire revenir notre Divin Maître mais en vain. Echec total à chacune de nos apparitions, ce ne fut que des échecs dus à l’immense peur que nous leur provoquions et ce qui avait pour conséquences d’espacer nos ‘’visites’’ causées par le refoulement leur part… Alors, on a décidé de changer d’approche vis-à-vis de Vous, de tout faire pour ne pas trop vous épouvanter par une apparition trop effrayante comme celle au bord de la route pour vous amener dans mon manoir et ainsi vous mettre en confiance… Vous faire sentir nos bonnes intentions …
- Oui je comprends, c’est incroyable toute ces révélations… Mon grand-père et mon père ne m’ont jamais parlé que le Château étant hanté, qu’ils avaient parfois vu des fantômes, je suppose par peur de passer également pour des fous …
- Oui, je suppose aussi… Et donc maintenant que vous nous avez remis notre collier, votre Divin Aïeul peut désormais revenir, quand et comme Il le voudra, du royaume des morts pour celui, ici des vivants mais il sera, à ne pas douter, comme Clara et moi, en fantôme … et ainsi Il nous soumettra de nouveau selon Sa Volonté… Merci, oui merci Maître… Et vous, vous aurez aussi l’unique bonheur de le rencontrer, vous son digne héritier et descendant de la grande lignée de la Famille des Evans. Mais pour cela vous devrez aller inévitablement, à la prochaine nuit de pleine lune, sur sa tombe dans votre caveau familial derrière la petite Chapelle de votre Château …
- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?… Comment ça ? Au caveau familial ?
Soudain un bruit frappant engendré par le vent contre un vélux de la toiture fait retourner la tête du noble derrière lui, ne voyant rien de spécial, il porte de nouveau son regard face à lui et constate à sa grande surprise que les deux soumises ont disparues, en un dixième de seconde. Encore plus incroyable, il retrouve les malles comme en entrant dans le grenier, toutes bien rangées et lui est simplement assis sur une. La malle préalablement restée ouverte, celle où il a trouvé les deux colliers est fermée comme si elle n’avait pas été ouverte depuis des années. La seule différence quand il l’ouvre de nouveau, est de constater que les deux colliers ont disparus dans le tabernacle de la malle en question…
Le Marquis d’Evans reste sous le choc de tous ces évènements tellement improbables et pourtant si avérés, si réels. Il lui faut du temps pour se remettre de ses émotions et de ces révélations absolument incroyables sur le décès de son aïeul. Et c’est donc après une bonne dizaine de minutes de réflexions où il repense à chaque détail de tout ce qui vient de se passer et de tout ce qu’il a appris, après de multiples questionnements qui reviennent dans son esprit que le Noble redescend du grenier pour de nouveau s’empresser à aller s’enfermer dans son bureau de sa chambre. Un besoin obsessionnel l’encourage vivement à continuer à lire la suite du journal intime de la comtesse. Il tourne la page suivante qui est datée de 17 jours après le dernier récit, soit le 2 août (puis du 5 août) 1914 :
‘’- 2 août 1914, la guerre est déclarée contre l’Allemagne et c’est la Mobilisation Générale … Mon mari, le comte, étant officier de réserve est mobilisé et son départ pour la guerre est imminent dans les 48 heures (NDLA : le comte qui reviendra que 2 fois en permission pour Noël 1914 et mars 1916 pour apprendre que sa femme et fille sont soumises et s’ensuivra la tragédie d’assassinats lors de cette permission).
- 5 août 1914, voila mon mari est parti ce matin, à l’aube, à la guerre. J’ai très peur pour lui, pourvu qu’il me revienne en vie. Mais j’ai désormais le champ libre pour vivre pleinement ma soumission avec le Maître, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans. Je sais qu’Il va venir ce soir tard vers minuit au manoir et cela me rend si heureuse. Ma fille Clara sera couchée et dormira quand je donnerai le signal convenu au Maître pour qu’il puisse venir me rejoindre sans risque de réveiller Clara. Pour cela, je passerai par trois fois le chandelier devant la fenêtre de ma chambre pour que le Maître sache qu’Il peut entrer au manoir pour me Dominer …
Plus tard, Il est minuit. J’ai juste enfilé mon peignoir de satin sur ma nudité la plus totale en dessous et j’ai juste le temps de descendre au rez-de-chaussée après mon signal quand le Maître entre sans faire de bruit dans mon salon. Il se trouve devant moi, debout sur ses hautes bottes de cuir et les bras croisés et en impose en Dominance Sa cravache à la main droite. Dégageant mes fins poignets des amples manches de mon peignoir de satin, je me tiens debout, la tête penchée en avant en signe de parfaite soumission. J’agis avec des gestes lents, précis, m'appliquant à conserver à chaque instant une attitude élégante afin de ne pas briser la sérénité de ce moment. Je ne puis m’empêcher de m’exprimer, alors que je n’y suis pas forcément autorisée :
- Daignez accepter Maître, l'humble offrande du corps de Votre soumise que je suis pour Vous. Veuillez en user et abuser comme il Vous plaira. J’émets la requête d'être autorisée à me présenter à Vous, à Vos pieds, dis-je de ma voix de soumise
- Que ta présence à Mes pieds soit effective, se contente de dire le Maître. - Mais avant, ne bouge pas et laisse-moi t’admirer, comme tu es belle. Dénude-toi… Montre-moi ton beau corps de femelle…
Je défais donc la ceinture qui fermait mon peignoir et le laisse choir sur le sol. Puis je commence à me défaire de ce peignoir, le faisant glisser laborieusement vers le bas. Le peignoir s'étale désormais inerte à terre. Le Maître me détaille alors depuis mes petits seins dont mes tétons pointent déjà, ma peau pâle du ventre et du pubis parfaitement lisse jusqu'à la déchirure rosée de mon vagin qui s'allonge jusqu'à la sombre fissure formée par l'espace entre mes cuisses serrées l'une contre l'autre. Je ne bouge plus et reste immobile, bien droite, les yeux et tête baissés, les bras pendant le long de mon corps. Le Maître s’avance doucement et tourne autour de moi en me scrutant de la tête aux pieds. Certes j’ai appris, depuis ce 14 juillet 1914 à offrir chacun de mes orifices sans jamais rechigner, à être possédée sans ménagement et selon Sa Volonté... Et j’aime, je l’avoue, être ainsi malmenée, fessée, humiliée, enculée, baisée par Lui, mon Amant et Maître, par Celui qui a d'abord été "une aventure" d’un soir de bal populaire et qui a su provoquer en moi ce puissant désir et besoin de soumission. Je suis véritablement passée à la dépendance à l'égard d'un homme et, maintenant, je me sens devenir tout juste Son objet de plaisir, Sa chose, celle de mon divin Amant, de cet homme qui se tient devant moi et qui a tous pouvoirs sur moi. Il s’approche encore et commence par me toucher, caressant chaque partie de mon corps, s’attardant sur ma poitrine, mon ventre. Les doigts du Marquis s'insinuent maintenant entre mes cuisses, caressant mon clitoris, caressant mon sexe... fouillant en moi sans retenue...
- Ecarte plus tes cuisses... ouvre-toi plus, chienne !, me dit-il avec une voix calme, directe, péremptoire...
Déjà très excitée, j’obéis instantanément, me sentant comme en dehors de moi-même en cet instant si particulier. Je me concentre, jambes écartées, pour rester immobile face à cette intrusion au plus profond de mon intimité. J’ai le sentiment de perdre les ultimes traces de dignité ou de pudeur que je croyais avoir conservées. Je suis si profondément troublée par les sensations qui m'envahissaient. De l'humiliation bien sûr, de la gène certes, mais aussi un incontestable plaisir provoqué par ce savoureux doigtage qui affole mon pouls et saccade ma respiration. Les doigts du Maître s'attardent encore un moment au creux de mes chairs tendres et fragiles et lorsqu'il les retire, ils sont souillés de ma mouille et je dois me retenir pour ne point haleter exagérément. Le Marquis Evans regarde sa main et l'approche de mes lèvres. Il promène Ses doigts sur celles-ci encore closes, puis les force du majeur et il me fait lécher ce premier doigt. Docilement, je lèche ainsi Ses doigts et Sa main afin de les débarrasser de mes propres sécrétions qui les poissent. La Main du Marquis se pose alors sur mon épaule et m’oblige à m'agenouiller, sans avoir besoin de trop appuyer, car j’ai bien compris ce qu’il attend de moi…
A genoux, je garde mes cuisses aussi ouvertes que possible, ainsi qu'’il m’avait appris en juillet. Sans autre transition, il dégrafe son pantalon et le sexe du Maître se fraye directement un chemin entre mes lèvres, s'enfonçant sans ménagement au plus profond de ma gorge. Le Marquis d’Evans prend un profond plaisir à forcer ma bouche docile, à l'utiliser, à aller et venir en elle encore et encore. Il s'enfonce jusqu'à ce que son épais gland violacé heurte au plus profond de mon palais, s'y frottant un instant, avant de se retirer pour s'y enfoncer à nouveau... Le Maître sent, sait, mes difficultés à engloutir sa volumineuse verge raidie en voyant mon visage s'empourprer. A Sa façon de me pénétrer ma cavité buccale, il me coupe le souffle et j’ai à peine le temps d'avaler une goulée d'air avant qu'à nouveau la verge du Maître ne vienne de nouveau me couper le souffle. Je peine à retenir des haut-le-coeur que Le Marquis provoque volontairement, afin de tester ma motivation à le satisfaire, à lui donner un maximum de plaisir dans mon implication et dans le fait de n'être qu'un objet de plaisir, cette chose que je suis devenue et qui dépasse mes limites afin de combler les exigences du Maître. Au bout d’un moment, satisfait, Monsieur Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans se retire et recule de quelques pas afin de me contempler de nouveau, moi qui tout en essayant de conserver mon immobilisme, ne peut empêcher ma bouche de chercher l'air qui soulève encore sa poitrine. J’ai subi avec tant d’excitation et plaisirs les premiers assauts du Maître comme il le fallait, c'est un bon point. "Prometteur !" me dit le Marquis tout en me souriant sur un ton dégageant toujours cette force tranquille.
- Allonge-toi sur le sol ! m’ordonne-t-il, obtenant mon immédiate obéissance.- Tes jambes écartées, montre-moi ton sexe largement offert, me lance Le Maître.
J’ai donc adopté cette position, plutôt inconfortable sur le carrelage froid et m'appliquant à la maintenir, ne pouvant réprimer le tremblement provoqué par l’excitation qui raidit mes muscles. Le Marquis Evans gagne un coin de la pièce et, tout près de l'un des chandeliers, prélève une bougie allumée et revient vers moi. Se tenant au-dessus de mon corps nu et brûlant de désir, il commence à pencher la bougie dont le sommet recueille la cire fondue et il laissa s'échapper quelques fines gouttes qui vinrent éclabousser mon torse de femelle en chaleur. L'impact de la première goutte me fait sursauter, mais je parviens à réprimer tout autre mouvement, sinon que je me cambre un peu plus encore. En fait, la hauteur d'où le Maître laisse tomber la cire ne représente aucun danger de brûlure, mais la simple chaleur qui s'en dégage suffit à affoler mes sens, de la soumise inexpérimentée que je suis, en la matière. Le Marquis se promène ainsi tout autour de mon corps offert et me grêle de gouttes qui éclatent au contact de ma peau. Passées la surprise je suis maintenant envahie par une forme inconnue d'excitation mentale et physique, oui inconnue jusqu’à l’heure. Les impacts se succèdent sur mon corps, jamais au même endroit que je ne peux d'ailleurs prévoir… C'est comme une salvatrice pluie qui tombe sur moi et éveille d'incroyables et sublimes sensations, surtout lorsque je sens que l'averse de cire fondue descend peu à peu le long de mon corps, sur mes seins, puis vers mon ventre ensuite mon pubis et tout autour ... Puis la cire cesse de couler... A nouveau, Le Marquis prend un peu de recul. Dans la position qu'il m’a imposée, couverte de traces et d'impacts de cire, je dois apparaitre désormais comme une étrange sculpture. Maître Evans apprécie la vision de Sa nouvelle femelle qui va sans doute venir grossir les rangs de Son cheptel. Je devine qu’il apprécie en moi ma profonde motivation sans faille…
Puis subitement un bruit inattendu, venant des escaliers de l’étage, nous fait tourner la tête, à moi et au Maître. Clara nous regarde avec la bouche et les yeux grands ouverts. Elle est entièrement nue et en train de se caresser en ne perdant aucun instant du spectacle que nous lui offrions sans le savoir. Elle a du certainement être témoin de ma fellation. Elle est assise sur une marche, les jambes largement écartées et visiblement n’a pas du tout l’air effarouché. Elle est, à l’évidence en train d’avoir un fort orgasme en un complet silence car par le fait qu’elle soit muette aucun son ne sort de sa bouche grande ouverte. Elle est en train de jouir fortement à voir comme elle se tortille, comme elle accentue sa masturbation de ses doigts sur son clitoris et entre ses lèvres intimes …
(A suivre …)
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