La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°752)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°752)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°750) -
J'avais tellement bien dormi. Je ne pouvais savoir quelle heure il était, car bien évidemment aucune horloge n'était présente dans le cachot. Je m'étirais doucement et j'étais tellement comblée et épanouie par tout ce que j’avais déjà vécu mais surtout mon bonheur total était dut au fait que le Maître était satisfait de Sa soumise que je suis. Il ne me restait plus qu'à le satisfaire encore et encore. Sa satisfaction était, est et sera toujours ma raison d’être ce que je suis. Malgré ma punition, je me sentais bien. Mon postérieur me lançait un peu alors que j'étais installée sur le dos mais la douleur n'était qu'un simple rappel aux ordres que je devais effectuer sans faillir. Après ce moment d'étirement musculaire, je me levais de ma couche puis je me dirigeai vers le coin pour satisfaire mes besoins. Je bus aussi de l'eau dans l'écuelle, je m'attachais les cheveux en queue de cheval avec un élastique que je trouvai sur la petite pierre d’évier flanquée à même le mur aux pierres équarries et j'attendis patiemment. Au bout d’un bon quart d’heure, un bruit se fit entendre et je me mis en position agenouillée. J'entendis la clé dans la serrure puis la porte s’ouvrit. Je ne pus voir qui entra car j'avais fixé mon regard au sol comme on me l'avait exigé.
- C'est bien Chienne, tu sais où est ta place ! me dit une voie de femme. - Je vais t'emmener déjeuner car Le Maître, dans sa mansuétude, a exigé que tu sois nourrie correctement. Tu dois savoir que moi la cuisinière du Château, nourrir les esclaves et soumis, reste une de mes prérogatives que m’a confié Monsieur le Marquis. Je vais t'emmener à la cuisine et tu mangeras tout ce que je te donnerai puis je te conduirai au Maître. As-tu compris ? Répond-moi la chienne !
- Oui Madame, j'ai bien compris. Je me soumettrais totalement à vos ordres ! Répondis-je les yeux toujours baissés.
- C'est bien en plus d'être belle et désirable (elle passait sa main dans mes cheveux, comme une lesbienne) tu écoutes et t'exprimes comme une soumise MDE doit le faire ! En revanche, je veux que tu m'appelles Madame Marie, ordonna-t-elle tout en me caressant une épaule avec une vicieuse douceur.
- Oui, Madame Marie, dis-je de ma douce voix de soumise.
Marie la cuisinière attrapa ma laisse et tira dessus. Je l'ai suivi en quadrupédie pendant tout le trajet. Elle marchait fièrement la tête haute mais modérément pour que je puisse la suivre. Nous avons croisés différents esclaves-soumis sur le parcours. Je pouvais observer leurs pieds nus en passant près d'eux mais sans jamais lever la tête. Après avoir monté des escaliers de pierre froide, aux marches étroites et abruptes en colimaçon, nous avons traversé un long couloir à l’épaisse moquette sur fond bordeaux et ayant comme motifs de grandes fleurs de lys blanc vraiment magnifiques. Ensuite nous sommes arrivés dans une pièce qui semblait immense où je pus observer aussi le magnifique carrelage au sol qui avait des motifs érotiques où des corps nus des deux sexes s’entremêlaient dans des nuages de coton blanc. Alors que je fus conduit devant une écuelle bien garnie. On m'ordonna :
- Mets-toi à genoux et attends que je te donne l'autorisation pour manger.
Je me mis dans la position exigée et j'attendis. Marie la cuisinière s'éloigna. Je l'entendis se déplacer et donner des ordres dans la cuisine. Ainsi installée agenouillée, je pus jeter un œil dans cette pièce qui était donc la cuisine. En effet, elle était belle et bien immense. Celle-ci était moderne, très bien équipée et donc fonctionnelle aux murs clairs ayant les mêmes motifs que le carrelage. De longs et impressionnants fourneaux occupaient deux pans de murs. Les deux autres murs étaient flanqués de plans de travail et de très nombreux placards aux ustensiles de cuisines et multiples denrées. Au milieu des grandes tables massives occupaient l’espace central. Quatre esclaves entièrement nus et le sexe encagé étaient en train d’éplucher des légumes assis à une de ces tables. Leur pieds étaient enchainés à des anneaux scellés à même le sol sous la table. L’ensemble était éclairé par de nombreux néons… Je remis rapidement mon regard au sol car je ne voulais pas subir une nouvelle punition mais cette cuisine était tellement belle que j'aurai aimé cuisiner dans celle-ci, cela devait être tellement plaisant. Madame Marie revient vers moi, se pencha et plaça plusieurs louches d'une pâtée dans l'écuelle.
- Le Maître m'a signalée que tu étais allergique à certains aliments alors ne t'inquiète pas ton repas n'en contient aucunement ! J'y ai veillé personnellement ! La santé des esclaves et soumis est une priorité au Château. Tu as le droit de parler ici et de demander du rab si tu as encore faim car tu ne sais si Le Maître t'autorisera dans sa bienveillance un autre repas dans la journée, déjà qu'il t'accorde celui-ci.
- Je vous prie d'accepter mes remerciements, Madame Marie ! Pourrais-je avoir de l'eau, s'il vous plaît ?
- Une écuelle va t'être apportée dans quelques minutes ! dit-elle en se redressant et en repartant prestement lancer des remontrances sur un ton très autoritaire à un esclave qui avait légèrement levé la tête à ma présence et ainsi baissé la cadence d’épluchage des pommes de terre. Elle lui infligea une puissante paire de gifles laquelle je n’aurai pas voulu recevoir. L’esclave baissa la tête de nouveau et se remit rapidement à la tâche sans dire un seul mot…
Je ne bougeai pas d'un pouce car Madame Marie ne m'avait pas donnée le feu vert. Je l'entendis revenir vers moi.
- C'est parfait, tu peux commencer à manger ! Et met-toi en levrette maintenant ! M'ordonna-t-elle.
Je me plaçais comme demandé avec mes coudes pliés et mon fessier le plus cambré possible, ce qui laissait voir à tous les regards mon intimité largement exposé. Je goûtais la pâtée et je l'a trouvais très bonne et consistante. Je pus sentir un mélange de viandes avec différents légumes comme de la tomate, des petits pois et des pommes de terre. Le fait de manger ainsi m’excitait malgré moi car je sentais mon bas-ventre réagir ! Alors que je mangeais positionnée telle une chienne, je sentis une main caresser mon dos et mes fesses, ce qui accentua mon excitation.
- Tu es tellement belle ! J'ai envie de te goûter pendant que tu manges ce que je t'ai préparée. Manges, je ne veux pas t'entendre si tu ne veux pas subir mon courroux. De plus le Maître serait mis au courant de ta désobéissance !
Marie la cuisinière continua ses vicieuses caresses et d'un seul coup entra deux doigts dans ma chatte, sans autres prémices.
- Mais tu es complètement trempée, ma parole ! Mes doigts glissent en toi comme dans du beurre ! S'exclama-t-elle.
Elle reprit ses vas et viens dans ma chatte et s'installa derrière moi. Au bout de quelques minutes, je sentis sa langue me lécher de toute part. J'arrêtais de manger pendant quelques secondes mais je me repris rapidement. La cuisinière savait vraiment se servir de sa langue. Je sentais ma cyprine couler sur ma chatte. Elle était en train de boire tout ce qui s'en échappait. Alors que j'avais terminé de manger, je suis restée dans la même position. Je sentais ma chatte se contracter de plus en plus. Après quelques minutes de ce traitement, Marie s'arrêta.
- Je vois que tu as fini ! Veux-tu boire maintenant ?
- Oui Madame, s'il vous plaît !
Elle s'installa sur le sol les jambes écartées. Elle portait une jupe noire et courte et n'avait aucuns sous-vêtements. Elle me désigna le dessous de sa jupe et m'ordonna :
- Maintenant lèches ! Et appliques toi ! Boit ma mouille, petite chienne …
Je me mis à l'ouvrage et je fis de mon mieux. Marie la cuisinière avait enfermée ma tête entre ses jambes pour la maintenir bien en place. Aucun des quatre esclaves épluchant les légumes avaient levé la tête pour nous regarder, ce qui me fit penser qu’ils n’étaient absolument pas autorisés à cela, surtout après la magistrale paire de gifles infligée à l’un d’eux.
- Hummm ! Ouiiiii !…. Ne t'arrête surtout pas ! … Tu sais te servir de ta langue, toi ! Hummm ! Tu vas me faire venir, lèches tout ce que je vais te donner salope ! Hummm ! …
J'accélérais les mouvements de ma langue. Alors que la respiration de Marie s'accélérait, je pris son clitoris entre mes lèvres et je me mis à le sucer comme une petite bite. La cuisinière cria son plaisir, lâcha fortement sa jouissance quand son orgasme lui provoquait des soubresauts, des spasmes puissants alors qu’elle plaquait fortement ma tête contre son sexe gorgé d’excitation. Je remis directement mes lèvres buccales sur les siennes intimes et la lécha abondement jusqu'à avoir tout absorbée son abondante cyprine… Je restais ainsi pendant un long moment dans cette position, ne pouvant bouger, la tête toujours bien maintenue entre ses cuisses… Une fois que Marie reprit ses esprits, elle se leva et s'éloigna sans me dire mot. Je me remis en position agenouillée et j'attendis. La cuisinière revient avec une gamelle d'eau, qu'elle mit devant moi.
- Bois la chienne, après je t'emmène aux pieds du Maître Vénéré, s'exclama-t-elle.
Je fis ce qu'elle dit. Durant tout le temps où je m’abreuvais en levrette tout en lapant l’eau comme une véritable chienne (l’animal), Marie me pinçait mes lèvres intimes tout en me doigtant et alternait avec des pincements aussi à mes tétons dressés, le tout avec une évidente perversité. Je m’abstiens d’exprimer le moindre cri et je fis comme si rien n’était afin de ne pas me faire punir. Elle trouvait aussi du plaisir à me fesser sans retenue. Une fois que j'eus fini de boire, elle attrapa à nouveau ma laisse et tira dessus. Nous reprîmes la direction du majestueux couloir. J'évoluais à quatre pattes derrière la cuisinière et j'observai le couloir que nous traversions. Il était tellement beau avec les tapis de moquettes de velours bordeaux mais aussi avec les peintures en tableaux encadrés de différents hommes Dominants sur les murs de chaque côté et qui représentaient les différents Marquis qui se sont succédés au Château depuis des générations, tous aïeuls du Maître. Je pouvais également voir une double-porte sculptée et vernie au bout du couloir. Nous n'avions croisé aucun esclave pendant que Marie m'emmenait au Maître. Arrivées à ladite porte, Marie la cuisinière frappa et entra. Elle tira sur ma laisse et nous fit nous arrêter devant un spacieux bureau. Je restais en quadrupédie, attendant que Le Maître parle à la cuisinière. Il leva la tête après un moment et interrogea Marie :
- Bonjour Ma chère Marie ! Cypris MDE a-t-elle exécuté les ordres que tu lui as donné en bonne soumise ?
- Bonjour Monsieur le Marquis ! Oui Votre Chienne a parfaitement exécuté les tâches qui lui ont été exigé ! Et Maître, si je peux me permettre ! Elle sait absolument se servir de sa langue ! Votre salope m'a donné un orgasme extraordinaire!
- Bien Marie ! Je n'en attendais pas moins d'elle ! Tu peux nous laisser et merci… (Marie quitta la pièce avec un signe de tête démontrant tout son immense respect envers son patron) - Cypris MDE, j'exige que tu te places en levrette sur le tapis derrière toi pour que je puisse regarder attentivement ce cul et cette chatte qui m'appartiennent!
Je me plaçais donc comme me l'avait ordonné Le Maître puis je ne bougeais plus d'un pouce ainsi le fessier bien arrondi et exposé à Son regard, offrant une vue imprenable sur mon intimité de mon abricot et mon anus... Le temps passait, je restais totalement immobile... Je me sentais excitée sachant que le Maître Vénéré daignait me regarder ainsi exhibée …
(A suivre ...)
J'avais tellement bien dormi. Je ne pouvais savoir quelle heure il était, car bien évidemment aucune horloge n'était présente dans le cachot. Je m'étirais doucement et j'étais tellement comblée et épanouie par tout ce que j’avais déjà vécu mais surtout mon bonheur total était dut au fait que le Maître était satisfait de Sa soumise que je suis. Il ne me restait plus qu'à le satisfaire encore et encore. Sa satisfaction était, est et sera toujours ma raison d’être ce que je suis. Malgré ma punition, je me sentais bien. Mon postérieur me lançait un peu alors que j'étais installée sur le dos mais la douleur n'était qu'un simple rappel aux ordres que je devais effectuer sans faillir. Après ce moment d'étirement musculaire, je me levais de ma couche puis je me dirigeai vers le coin pour satisfaire mes besoins. Je bus aussi de l'eau dans l'écuelle, je m'attachais les cheveux en queue de cheval avec un élastique que je trouvai sur la petite pierre d’évier flanquée à même le mur aux pierres équarries et j'attendis patiemment. Au bout d’un bon quart d’heure, un bruit se fit entendre et je me mis en position agenouillée. J'entendis la clé dans la serrure puis la porte s’ouvrit. Je ne pus voir qui entra car j'avais fixé mon regard au sol comme on me l'avait exigé.
- C'est bien Chienne, tu sais où est ta place ! me dit une voie de femme. - Je vais t'emmener déjeuner car Le Maître, dans sa mansuétude, a exigé que tu sois nourrie correctement. Tu dois savoir que moi la cuisinière du Château, nourrir les esclaves et soumis, reste une de mes prérogatives que m’a confié Monsieur le Marquis. Je vais t'emmener à la cuisine et tu mangeras tout ce que je te donnerai puis je te conduirai au Maître. As-tu compris ? Répond-moi la chienne !
- Oui Madame, j'ai bien compris. Je me soumettrais totalement à vos ordres ! Répondis-je les yeux toujours baissés.
- C'est bien en plus d'être belle et désirable (elle passait sa main dans mes cheveux, comme une lesbienne) tu écoutes et t'exprimes comme une soumise MDE doit le faire ! En revanche, je veux que tu m'appelles Madame Marie, ordonna-t-elle tout en me caressant une épaule avec une vicieuse douceur.
- Oui, Madame Marie, dis-je de ma douce voix de soumise.
Marie la cuisinière attrapa ma laisse et tira dessus. Je l'ai suivi en quadrupédie pendant tout le trajet. Elle marchait fièrement la tête haute mais modérément pour que je puisse la suivre. Nous avons croisés différents esclaves-soumis sur le parcours. Je pouvais observer leurs pieds nus en passant près d'eux mais sans jamais lever la tête. Après avoir monté des escaliers de pierre froide, aux marches étroites et abruptes en colimaçon, nous avons traversé un long couloir à l’épaisse moquette sur fond bordeaux et ayant comme motifs de grandes fleurs de lys blanc vraiment magnifiques. Ensuite nous sommes arrivés dans une pièce qui semblait immense où je pus observer aussi le magnifique carrelage au sol qui avait des motifs érotiques où des corps nus des deux sexes s’entremêlaient dans des nuages de coton blanc. Alors que je fus conduit devant une écuelle bien garnie. On m'ordonna :
- Mets-toi à genoux et attends que je te donne l'autorisation pour manger.
Je me mis dans la position exigée et j'attendis. Marie la cuisinière s'éloigna. Je l'entendis se déplacer et donner des ordres dans la cuisine. Ainsi installée agenouillée, je pus jeter un œil dans cette pièce qui était donc la cuisine. En effet, elle était belle et bien immense. Celle-ci était moderne, très bien équipée et donc fonctionnelle aux murs clairs ayant les mêmes motifs que le carrelage. De longs et impressionnants fourneaux occupaient deux pans de murs. Les deux autres murs étaient flanqués de plans de travail et de très nombreux placards aux ustensiles de cuisines et multiples denrées. Au milieu des grandes tables massives occupaient l’espace central. Quatre esclaves entièrement nus et le sexe encagé étaient en train d’éplucher des légumes assis à une de ces tables. Leur pieds étaient enchainés à des anneaux scellés à même le sol sous la table. L’ensemble était éclairé par de nombreux néons… Je remis rapidement mon regard au sol car je ne voulais pas subir une nouvelle punition mais cette cuisine était tellement belle que j'aurai aimé cuisiner dans celle-ci, cela devait être tellement plaisant. Madame Marie revient vers moi, se pencha et plaça plusieurs louches d'une pâtée dans l'écuelle.
- Le Maître m'a signalée que tu étais allergique à certains aliments alors ne t'inquiète pas ton repas n'en contient aucunement ! J'y ai veillé personnellement ! La santé des esclaves et soumis est une priorité au Château. Tu as le droit de parler ici et de demander du rab si tu as encore faim car tu ne sais si Le Maître t'autorisera dans sa bienveillance un autre repas dans la journée, déjà qu'il t'accorde celui-ci.
- Je vous prie d'accepter mes remerciements, Madame Marie ! Pourrais-je avoir de l'eau, s'il vous plaît ?
- Une écuelle va t'être apportée dans quelques minutes ! dit-elle en se redressant et en repartant prestement lancer des remontrances sur un ton très autoritaire à un esclave qui avait légèrement levé la tête à ma présence et ainsi baissé la cadence d’épluchage des pommes de terre. Elle lui infligea une puissante paire de gifles laquelle je n’aurai pas voulu recevoir. L’esclave baissa la tête de nouveau et se remit rapidement à la tâche sans dire un seul mot…
Je ne bougeai pas d'un pouce car Madame Marie ne m'avait pas donnée le feu vert. Je l'entendis revenir vers moi.
- C'est parfait, tu peux commencer à manger ! Et met-toi en levrette maintenant ! M'ordonna-t-elle.
Je me plaçais comme demandé avec mes coudes pliés et mon fessier le plus cambré possible, ce qui laissait voir à tous les regards mon intimité largement exposé. Je goûtais la pâtée et je l'a trouvais très bonne et consistante. Je pus sentir un mélange de viandes avec différents légumes comme de la tomate, des petits pois et des pommes de terre. Le fait de manger ainsi m’excitait malgré moi car je sentais mon bas-ventre réagir ! Alors que je mangeais positionnée telle une chienne, je sentis une main caresser mon dos et mes fesses, ce qui accentua mon excitation.
- Tu es tellement belle ! J'ai envie de te goûter pendant que tu manges ce que je t'ai préparée. Manges, je ne veux pas t'entendre si tu ne veux pas subir mon courroux. De plus le Maître serait mis au courant de ta désobéissance !
Marie la cuisinière continua ses vicieuses caresses et d'un seul coup entra deux doigts dans ma chatte, sans autres prémices.
- Mais tu es complètement trempée, ma parole ! Mes doigts glissent en toi comme dans du beurre ! S'exclama-t-elle.
Elle reprit ses vas et viens dans ma chatte et s'installa derrière moi. Au bout de quelques minutes, je sentis sa langue me lécher de toute part. J'arrêtais de manger pendant quelques secondes mais je me repris rapidement. La cuisinière savait vraiment se servir de sa langue. Je sentais ma cyprine couler sur ma chatte. Elle était en train de boire tout ce qui s'en échappait. Alors que j'avais terminé de manger, je suis restée dans la même position. Je sentais ma chatte se contracter de plus en plus. Après quelques minutes de ce traitement, Marie s'arrêta.
- Je vois que tu as fini ! Veux-tu boire maintenant ?
- Oui Madame, s'il vous plaît !
Elle s'installa sur le sol les jambes écartées. Elle portait une jupe noire et courte et n'avait aucuns sous-vêtements. Elle me désigna le dessous de sa jupe et m'ordonna :
- Maintenant lèches ! Et appliques toi ! Boit ma mouille, petite chienne …
Je me mis à l'ouvrage et je fis de mon mieux. Marie la cuisinière avait enfermée ma tête entre ses jambes pour la maintenir bien en place. Aucun des quatre esclaves épluchant les légumes avaient levé la tête pour nous regarder, ce qui me fit penser qu’ils n’étaient absolument pas autorisés à cela, surtout après la magistrale paire de gifles infligée à l’un d’eux.
- Hummm ! Ouiiiii !…. Ne t'arrête surtout pas ! … Tu sais te servir de ta langue, toi ! Hummm ! Tu vas me faire venir, lèches tout ce que je vais te donner salope ! Hummm ! …
J'accélérais les mouvements de ma langue. Alors que la respiration de Marie s'accélérait, je pris son clitoris entre mes lèvres et je me mis à le sucer comme une petite bite. La cuisinière cria son plaisir, lâcha fortement sa jouissance quand son orgasme lui provoquait des soubresauts, des spasmes puissants alors qu’elle plaquait fortement ma tête contre son sexe gorgé d’excitation. Je remis directement mes lèvres buccales sur les siennes intimes et la lécha abondement jusqu'à avoir tout absorbée son abondante cyprine… Je restais ainsi pendant un long moment dans cette position, ne pouvant bouger, la tête toujours bien maintenue entre ses cuisses… Une fois que Marie reprit ses esprits, elle se leva et s'éloigna sans me dire mot. Je me remis en position agenouillée et j'attendis. La cuisinière revient avec une gamelle d'eau, qu'elle mit devant moi.
- Bois la chienne, après je t'emmène aux pieds du Maître Vénéré, s'exclama-t-elle.
Je fis ce qu'elle dit. Durant tout le temps où je m’abreuvais en levrette tout en lapant l’eau comme une véritable chienne (l’animal), Marie me pinçait mes lèvres intimes tout en me doigtant et alternait avec des pincements aussi à mes tétons dressés, le tout avec une évidente perversité. Je m’abstiens d’exprimer le moindre cri et je fis comme si rien n’était afin de ne pas me faire punir. Elle trouvait aussi du plaisir à me fesser sans retenue. Une fois que j'eus fini de boire, elle attrapa à nouveau ma laisse et tira dessus. Nous reprîmes la direction du majestueux couloir. J'évoluais à quatre pattes derrière la cuisinière et j'observai le couloir que nous traversions. Il était tellement beau avec les tapis de moquettes de velours bordeaux mais aussi avec les peintures en tableaux encadrés de différents hommes Dominants sur les murs de chaque côté et qui représentaient les différents Marquis qui se sont succédés au Château depuis des générations, tous aïeuls du Maître. Je pouvais également voir une double-porte sculptée et vernie au bout du couloir. Nous n'avions croisé aucun esclave pendant que Marie m'emmenait au Maître. Arrivées à ladite porte, Marie la cuisinière frappa et entra. Elle tira sur ma laisse et nous fit nous arrêter devant un spacieux bureau. Je restais en quadrupédie, attendant que Le Maître parle à la cuisinière. Il leva la tête après un moment et interrogea Marie :
- Bonjour Ma chère Marie ! Cypris MDE a-t-elle exécuté les ordres que tu lui as donné en bonne soumise ?
- Bonjour Monsieur le Marquis ! Oui Votre Chienne a parfaitement exécuté les tâches qui lui ont été exigé ! Et Maître, si je peux me permettre ! Elle sait absolument se servir de sa langue ! Votre salope m'a donné un orgasme extraordinaire!
- Bien Marie ! Je n'en attendais pas moins d'elle ! Tu peux nous laisser et merci… (Marie quitta la pièce avec un signe de tête démontrant tout son immense respect envers son patron) - Cypris MDE, j'exige que tu te places en levrette sur le tapis derrière toi pour que je puisse regarder attentivement ce cul et cette chatte qui m'appartiennent!
Je me plaçais donc comme me l'avait ordonné Le Maître puis je ne bougeais plus d'un pouce ainsi le fessier bien arrondi et exposé à Son regard, offrant une vue imprenable sur mon intimité de mon abricot et mon anus... Le temps passait, je restais totalement immobile... Je me sentais excitée sachant que le Maître Vénéré daignait me regarder ainsi exhibée …
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