La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°753)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°753)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°751) - Enculé par un Sumo -
Yang, le sumo, vient de s’installer comme ordonné entre mes jambes, je me cambre tant et plus, je sens son abdomen imposant se poser sur mon fessier relevé.
- Bourre-le d’un trait, mon cochon ! ordonne la vielle Dame d’un ton autoritaire. - Et vide toi tes couilles de gros porc !
Je suis dans l’excitation la plus totale, dans l’attente de ce coït bestial imposé. Je bande comme un cerf en rut, en sachant que ma tige enflammée ne me servira à rien, strictement à rien, une fois encore. Je sais aussi, que cette pénétration va être brutale, animale et peut-être douloureuse, mais sûrement jouissive. Mes couilles, elles, servent à quelque chose ! Elles sont empoignées avec force par Yang de ses énormes mains épaisses, il les tire vers lui et les remonte sur mon sillon anal… J’en perds le souffle contraint d’écarter un peu plus encore les cuisses et d’affaisser mon bassin. Deux doigts cherchent mon trou, puis une fois trouver, un gland très épais et brûlant se pose sur celui-ci. Je crois d’ailleurs, jamais n’avoir ressenti, au simple contact anal, un gland humain aussi volumineux, on aurait dit un énorme gode qui se présente à l’entrée de mon anus… Puis une puissante et subite poussée … La pénétration est fulgurante, brutale, bestiale. Sous un tel assaut, mon cul cède, mon corps tout entier ploie, je m’affale de tout mon long sur le dallage de marbre en hurlant ma douleur autant que mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir son trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du sumo est en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé. Je ne maitrise plus mes geignements, mes gémissements, chaque coup de butoir profond, puissant, me fait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître s’est levé, tourne autour de nous, examine la situation de près, parfois se penche ou s’accroupit pour observer cette profonde enculade de plus près, puis il se relève, me contourne et m’assène deux magistrales gifles en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir...
- Je ne veux pas t’entendre salope. Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, mais uniquement en donner. Si tu en prends, je t’interdis de l’exprimer, tu entends salope. Tu n’es qu’un jouet, un simple objet sexuel fait pour te faire prendre, pour recevoir des bites dans ton cul de catin !
Cette fois-ci, Yang est couché sur moi, il m’écrase, m’étouffe et m’asphyxie littéralement. J’ai 200 kilos sur le dos et sa grosse bite dans le cul, ce corps imposant qui ne bouge presque plus en coït anal profond, hormis ces hanches qui basculent, d’avant en arrière sans cesse, ce gros cul qui se soulève difficilement et qui retombe lourdement sur mon fessier embroché, cette énorme queue qui se rue, qui vient et va et qui me ramone le fion avec une dextérité extraordinaire. Yang me tient, m’assaille, me pénètre, me fornique et me besogne sans cesse, tout en glissant quatre de ses doigts potelés dans ma bouche écartelée. Je bave, cherche ma respiration, contient mes jérémiades et accepte cette bite monstrueuse me dardant, me poignardant, me transperçant, me possédant totalement…
- Je vous demande l’autorisation de jouir, Madame la Baronne ! lance soudainement Yang en ralentissant la cadence.
- Non pas encore Mon chien, retiens toi, montre nous ton endurance, profite de ce petit cul offert de ce petit chien appartenant à Monsieur le Marquis ! Rétorque la Vieille Dame.
Les coups de butoir sont moins soutenus mais plus amples. Ma queue tendue et compressée sous mon abdomen par le poids du sumo me taraudant, je crains moins aussi exploser à tout moment. Je transpire et sue à grosses gouttes, je bave toujours autant avec ces doigts tenus dans mon orifice buccal. Je ne ressemble à rien, défoncé, écrasé, baisé, mes trous écartelés, je ne suis plus qu’un trou sailli, un vide-couilles…
- Tiens voilà André, viens ici dire bonjour à Monsieur le Marquis, lance Madame la baronne.
J’entraperçois que les pieds nus d’André, sans doute doit-il s’incliner respectueusement devant le Maître.
- Mes respects Monsieur le Marquis
- Bonjour André ! lui répond le Maître
- Madame la Baronne, je venais vous demander si je devais tailler un peu la glycine, les fleurs viennent de faner.
- Oui, il faudra les couper, mais avant ça, regarde Yang comme il encule bien le chien de Monsieur le Marquis. Je suis sûr que tu aimerais être à la place de Yang, répond la vielle Baronne sur un ton des plus pervers.
- Oh oui Madame… répond André presque haletant.
- Mais tu sais que tu ne le peux pas, tu sais qu’un seul cul t’ai destiné, celui de ta femme Murielle, et seulement le quinze de chaque mois
- Oui Madame ! répond-il penaud.
- Nous ne sommes pas le quinze aujourd’hui
- Non Madame,
- Alors dommage pour toi, tu sais que la frustration est excellente pour un soumis de ton espèce. Contente-toi de regarder… C’est beau de les voir forniquer… Allez Yang accélère le rythme et inonde ce cul de ta semence de cochon, je t’y autorise…
Juste à ce moment précis, le Maître intervient :
- Vous permettez ma chère Edmonde, je voudrai que Yang ne jouisse pas dans l’instant, qu’il se réserve encore un peu !
- Tu as entendu Yang… Les Volontés de Monsieur le Marquis sont sacrées. Retiens-toi encore ! Lance-t-elle autoritairement.
Yang venait tout juste de reprendre une infernale cadence, il s’arrête alors et me pénètre par des longs vas et viens beaucoup plus lents. Je sens sa tige raide et juteuse glisser le long de mes parois rectales, jusqu’à buter aux fins fonds de mes entrailles, ses grosses couilles pendantes viennent frapper mes fesses à chaque coup de reins, puis je le sens se retirer presque totalement de mon orifice béant. Tellement obnubilé par ces assauts incessants, je n’ai pas entendu, ce que disait le Maître à Madame la baronne, seule la réponse de celle-ci me parvient aux oreilles.
- Mais bien sûr, très cher Ami, vous pouvez le sodomiser, André va vous aidez, il a tellement de grosses fesses qu’il est parfois difficile de trouver le petit trou de Yang… André, écarte les fesses de Yang, ouvre les lui largement, afin que Monsieur le Marquis puisse glisser et s’introduire en lui aisément !
Je ne vois rien mais comprends vite que le Maître vient d’enculer Yang brutalement, ce dernier rugit et hurle. Ce premier coup de butoir résonne jusqu’à dans mes entrailles. La bite du sumo est venue se camper au plus profond de moi et reste engloutie sans plus bouger. Etranges sensations me concernant, les soubresauts ressentis ne sont autres que les grands coups de reins que Monsieur le Marquis infligent à Yang. Et à chaque pénétration et ruade du Maître, la verge du sumo glisse et s’enfonce un peu plus en moi… Etranges sensations certes, mais aussi étranges ressentis humiliants… Je me mets à gamberger et à m’exciter plus encore en me disant qu’ici, le Maître a décidé de m’enculer indirectement, se servant du cul de Yang tel un tampon, comme si je n’étais plus digne de recevoir ce Noble Sexe directement en moi. Je suis au bord de l’apoplexie, de la jouissance physique et mentale, toujours écrasé, malmené et terrassé… Je sers les poings, tente de soulever ma poitrine du sol, en vain !
- Je vais t’arroser copieusement Yang, et ce n’est qu’après que tu pourras envoyer ton jus dans le cul de ma putain.
Deux longues minutes d’agonie encore, dans l’excitation générale, jusqu’au moment où le Noble se lâche et libère sa fougue par saccades successives, en râlant de plaisir, trente secondes plus tard, c’est au tour du sumo de m’inonder en s’extasiant et en manifestant bruyamment sa jouissance, tout en m’écrasant totalement de son lourd poids. Je suis affalé sur le sol telle une carpette souillée.
- Qu’attends-tu pour retrouver ta posture mon chien ! Me lance le Maître.
Je suis dans l’impossibilité de me relever, mes muscles ne répondent plus à mon cerveau. Heureusement le Maître toujours attentif, demande à Yang de m’aider et suis autorisé à m’assoir en tailleur à même le sol, dans un coin du grand salon. Alors le sperme du sumo dégouline sur le sol, s’évacuant de mon anus, ce qui n’échappe pas à Monsieur le Marquis qui m’ordonne de lécher en levrette la semence de Yang afin de nettoyer le carrelage. Ensuite le Maître m’autorise à reprendre la position du tailleur, la paume de mes mains, sur mes genoux, regardant le plafond et la tête baissée. Le Maître et Madame la Baronne ont repris le cours de leur conversation, comme si rien ne s’était passé…
L’heure du déjeuner est arrivée. Madame la Baronne, bien difficilement se déplace vers la grande table au bras du Maître qui se montre très attentionné envers la vielle Dame. André, Yang et moi regagnons une arrière cuisine. Murielle a dressé un succinct couvert, pour une fois je suis autorisé à manger à table. Je ne m’en plein pas, bien au contraire, tant je suis éreinté.
- Il faut que vous mangiez Endymion MDE ! me dit gentiment Murielle, très attentionné elle aussi, mais à mon égard.
Surpris, j’ai droit aux sushis de Yang, un vrai délice, et même un petit verre de vin, une production locale. Nous mangeons tous les quatre, silencieusement presque religieusement. Parfois Murielle se lève discrètement et part près des deux Dominants pour voir s’il ne leur manque rien… A peine ai-je le temps de terminer mon assiette, que John, le rustre chauffeur, entre avec grand fracas dans la pièce où nous déjeunions et vient à ma rencontre. Sans un mot, brutalement, il m’attrape par les cheveux, m’extirpe de ma chaise, m’oblige à me relever. Une fois debout, il passe un de ses bras sous ma taille et m’entraine à l’extérieur en bougonnant.
- Retour au bercail la catin, nous partons dans dix minutes vient de me dire M’sieur le Marquis, juste le temps pour moi de me vider les couilles dans ton cul de salope !
Je suis paniqué et confus… Je n’ai pas eu le temps de dire au revoir à Madame Murielle, elle qui a été si prévenante avec moi, pire encore je n’ai pas salué respectueusement Madame la baronne. Je suis jeté dans le van à chevaux, couché dans la paille, mains attachées entre elles, derrière mon dos, par un lien serré.
- T’as vu ma bite, grosse salope !
John a sorti son sexe de sa braguette et me l’exhibe sous les yeux, il est flasque.
- Tu vas la faire grossir avec ta bouche et ensuite tu l’auras dans ton cul de catin. Mais avant ça, je vais t’arroser, j’ai une terrible envie de pisser !
John m’asperge copieusement, un jet dru, odorant, dirigé essentiellement sur mon visage et mes cheveux.
- Ouvre la bouche catin !
J’obéis malgré l’écœurement et la fatigue. John se décalotte pour faire tomber les dernières gouttes d’urine.
- A genoux salope ! M’ordonne-t-il.
Je me redresse en gardant la bouche grande ouverte. Mais juste derrière moi, à cet instant précis, j’entends le Maître dire :
- John, fini de jouer ! Nous partons…
- De suite M’sieur le Marquis ?
- Oui de suite !
- Mais j’n’ai pas eu le temps de le fourrer….
- Une prochaine fois, peut-être John… Reprend le Maître sur un ton ne laissant pas de compromis possible.
John dépité, réinstalle son service trois pièces dans son pantalon, puis m’abandonne. Le van redémarre peu après, direction Genève…
(A suivre…)
Yang, le sumo, vient de s’installer comme ordonné entre mes jambes, je me cambre tant et plus, je sens son abdomen imposant se poser sur mon fessier relevé.
- Bourre-le d’un trait, mon cochon ! ordonne la vielle Dame d’un ton autoritaire. - Et vide toi tes couilles de gros porc !
Je suis dans l’excitation la plus totale, dans l’attente de ce coït bestial imposé. Je bande comme un cerf en rut, en sachant que ma tige enflammée ne me servira à rien, strictement à rien, une fois encore. Je sais aussi, que cette pénétration va être brutale, animale et peut-être douloureuse, mais sûrement jouissive. Mes couilles, elles, servent à quelque chose ! Elles sont empoignées avec force par Yang de ses énormes mains épaisses, il les tire vers lui et les remonte sur mon sillon anal… J’en perds le souffle contraint d’écarter un peu plus encore les cuisses et d’affaisser mon bassin. Deux doigts cherchent mon trou, puis une fois trouver, un gland très épais et brûlant se pose sur celui-ci. Je crois d’ailleurs, jamais n’avoir ressenti, au simple contact anal, un gland humain aussi volumineux, on aurait dit un énorme gode qui se présente à l’entrée de mon anus… Puis une puissante et subite poussée … La pénétration est fulgurante, brutale, bestiale. Sous un tel assaut, mon cul cède, mon corps tout entier ploie, je m’affale de tout mon long sur le dallage de marbre en hurlant ma douleur autant que mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir son trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du sumo est en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé. Je ne maitrise plus mes geignements, mes gémissements, chaque coup de butoir profond, puissant, me fait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître s’est levé, tourne autour de nous, examine la situation de près, parfois se penche ou s’accroupit pour observer cette profonde enculade de plus près, puis il se relève, me contourne et m’assène deux magistrales gifles en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir...
- Je ne veux pas t’entendre salope. Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, mais uniquement en donner. Si tu en prends, je t’interdis de l’exprimer, tu entends salope. Tu n’es qu’un jouet, un simple objet sexuel fait pour te faire prendre, pour recevoir des bites dans ton cul de catin !
Cette fois-ci, Yang est couché sur moi, il m’écrase, m’étouffe et m’asphyxie littéralement. J’ai 200 kilos sur le dos et sa grosse bite dans le cul, ce corps imposant qui ne bouge presque plus en coït anal profond, hormis ces hanches qui basculent, d’avant en arrière sans cesse, ce gros cul qui se soulève difficilement et qui retombe lourdement sur mon fessier embroché, cette énorme queue qui se rue, qui vient et va et qui me ramone le fion avec une dextérité extraordinaire. Yang me tient, m’assaille, me pénètre, me fornique et me besogne sans cesse, tout en glissant quatre de ses doigts potelés dans ma bouche écartelée. Je bave, cherche ma respiration, contient mes jérémiades et accepte cette bite monstrueuse me dardant, me poignardant, me transperçant, me possédant totalement…
- Je vous demande l’autorisation de jouir, Madame la Baronne ! lance soudainement Yang en ralentissant la cadence.
- Non pas encore Mon chien, retiens toi, montre nous ton endurance, profite de ce petit cul offert de ce petit chien appartenant à Monsieur le Marquis ! Rétorque la Vieille Dame.
Les coups de butoir sont moins soutenus mais plus amples. Ma queue tendue et compressée sous mon abdomen par le poids du sumo me taraudant, je crains moins aussi exploser à tout moment. Je transpire et sue à grosses gouttes, je bave toujours autant avec ces doigts tenus dans mon orifice buccal. Je ne ressemble à rien, défoncé, écrasé, baisé, mes trous écartelés, je ne suis plus qu’un trou sailli, un vide-couilles…
- Tiens voilà André, viens ici dire bonjour à Monsieur le Marquis, lance Madame la baronne.
J’entraperçois que les pieds nus d’André, sans doute doit-il s’incliner respectueusement devant le Maître.
- Mes respects Monsieur le Marquis
- Bonjour André ! lui répond le Maître
- Madame la Baronne, je venais vous demander si je devais tailler un peu la glycine, les fleurs viennent de faner.
- Oui, il faudra les couper, mais avant ça, regarde Yang comme il encule bien le chien de Monsieur le Marquis. Je suis sûr que tu aimerais être à la place de Yang, répond la vielle Baronne sur un ton des plus pervers.
- Oh oui Madame… répond André presque haletant.
- Mais tu sais que tu ne le peux pas, tu sais qu’un seul cul t’ai destiné, celui de ta femme Murielle, et seulement le quinze de chaque mois
- Oui Madame ! répond-il penaud.
- Nous ne sommes pas le quinze aujourd’hui
- Non Madame,
- Alors dommage pour toi, tu sais que la frustration est excellente pour un soumis de ton espèce. Contente-toi de regarder… C’est beau de les voir forniquer… Allez Yang accélère le rythme et inonde ce cul de ta semence de cochon, je t’y autorise…
Juste à ce moment précis, le Maître intervient :
- Vous permettez ma chère Edmonde, je voudrai que Yang ne jouisse pas dans l’instant, qu’il se réserve encore un peu !
- Tu as entendu Yang… Les Volontés de Monsieur le Marquis sont sacrées. Retiens-toi encore ! Lance-t-elle autoritairement.
Yang venait tout juste de reprendre une infernale cadence, il s’arrête alors et me pénètre par des longs vas et viens beaucoup plus lents. Je sens sa tige raide et juteuse glisser le long de mes parois rectales, jusqu’à buter aux fins fonds de mes entrailles, ses grosses couilles pendantes viennent frapper mes fesses à chaque coup de reins, puis je le sens se retirer presque totalement de mon orifice béant. Tellement obnubilé par ces assauts incessants, je n’ai pas entendu, ce que disait le Maître à Madame la baronne, seule la réponse de celle-ci me parvient aux oreilles.
- Mais bien sûr, très cher Ami, vous pouvez le sodomiser, André va vous aidez, il a tellement de grosses fesses qu’il est parfois difficile de trouver le petit trou de Yang… André, écarte les fesses de Yang, ouvre les lui largement, afin que Monsieur le Marquis puisse glisser et s’introduire en lui aisément !
Je ne vois rien mais comprends vite que le Maître vient d’enculer Yang brutalement, ce dernier rugit et hurle. Ce premier coup de butoir résonne jusqu’à dans mes entrailles. La bite du sumo est venue se camper au plus profond de moi et reste engloutie sans plus bouger. Etranges sensations me concernant, les soubresauts ressentis ne sont autres que les grands coups de reins que Monsieur le Marquis infligent à Yang. Et à chaque pénétration et ruade du Maître, la verge du sumo glisse et s’enfonce un peu plus en moi… Etranges sensations certes, mais aussi étranges ressentis humiliants… Je me mets à gamberger et à m’exciter plus encore en me disant qu’ici, le Maître a décidé de m’enculer indirectement, se servant du cul de Yang tel un tampon, comme si je n’étais plus digne de recevoir ce Noble Sexe directement en moi. Je suis au bord de l’apoplexie, de la jouissance physique et mentale, toujours écrasé, malmené et terrassé… Je sers les poings, tente de soulever ma poitrine du sol, en vain !
- Je vais t’arroser copieusement Yang, et ce n’est qu’après que tu pourras envoyer ton jus dans le cul de ma putain.
Deux longues minutes d’agonie encore, dans l’excitation générale, jusqu’au moment où le Noble se lâche et libère sa fougue par saccades successives, en râlant de plaisir, trente secondes plus tard, c’est au tour du sumo de m’inonder en s’extasiant et en manifestant bruyamment sa jouissance, tout en m’écrasant totalement de son lourd poids. Je suis affalé sur le sol telle une carpette souillée.
- Qu’attends-tu pour retrouver ta posture mon chien ! Me lance le Maître.
Je suis dans l’impossibilité de me relever, mes muscles ne répondent plus à mon cerveau. Heureusement le Maître toujours attentif, demande à Yang de m’aider et suis autorisé à m’assoir en tailleur à même le sol, dans un coin du grand salon. Alors le sperme du sumo dégouline sur le sol, s’évacuant de mon anus, ce qui n’échappe pas à Monsieur le Marquis qui m’ordonne de lécher en levrette la semence de Yang afin de nettoyer le carrelage. Ensuite le Maître m’autorise à reprendre la position du tailleur, la paume de mes mains, sur mes genoux, regardant le plafond et la tête baissée. Le Maître et Madame la Baronne ont repris le cours de leur conversation, comme si rien ne s’était passé…
L’heure du déjeuner est arrivée. Madame la Baronne, bien difficilement se déplace vers la grande table au bras du Maître qui se montre très attentionné envers la vielle Dame. André, Yang et moi regagnons une arrière cuisine. Murielle a dressé un succinct couvert, pour une fois je suis autorisé à manger à table. Je ne m’en plein pas, bien au contraire, tant je suis éreinté.
- Il faut que vous mangiez Endymion MDE ! me dit gentiment Murielle, très attentionné elle aussi, mais à mon égard.
Surpris, j’ai droit aux sushis de Yang, un vrai délice, et même un petit verre de vin, une production locale. Nous mangeons tous les quatre, silencieusement presque religieusement. Parfois Murielle se lève discrètement et part près des deux Dominants pour voir s’il ne leur manque rien… A peine ai-je le temps de terminer mon assiette, que John, le rustre chauffeur, entre avec grand fracas dans la pièce où nous déjeunions et vient à ma rencontre. Sans un mot, brutalement, il m’attrape par les cheveux, m’extirpe de ma chaise, m’oblige à me relever. Une fois debout, il passe un de ses bras sous ma taille et m’entraine à l’extérieur en bougonnant.
- Retour au bercail la catin, nous partons dans dix minutes vient de me dire M’sieur le Marquis, juste le temps pour moi de me vider les couilles dans ton cul de salope !
Je suis paniqué et confus… Je n’ai pas eu le temps de dire au revoir à Madame Murielle, elle qui a été si prévenante avec moi, pire encore je n’ai pas salué respectueusement Madame la baronne. Je suis jeté dans le van à chevaux, couché dans la paille, mains attachées entre elles, derrière mon dos, par un lien serré.
- T’as vu ma bite, grosse salope !
John a sorti son sexe de sa braguette et me l’exhibe sous les yeux, il est flasque.
- Tu vas la faire grossir avec ta bouche et ensuite tu l’auras dans ton cul de catin. Mais avant ça, je vais t’arroser, j’ai une terrible envie de pisser !
John m’asperge copieusement, un jet dru, odorant, dirigé essentiellement sur mon visage et mes cheveux.
- Ouvre la bouche catin !
J’obéis malgré l’écœurement et la fatigue. John se décalotte pour faire tomber les dernières gouttes d’urine.
- A genoux salope ! M’ordonne-t-il.
Je me redresse en gardant la bouche grande ouverte. Mais juste derrière moi, à cet instant précis, j’entends le Maître dire :
- John, fini de jouer ! Nous partons…
- De suite M’sieur le Marquis ?
- Oui de suite !
- Mais j’n’ai pas eu le temps de le fourrer….
- Une prochaine fois, peut-être John… Reprend le Maître sur un ton ne laissant pas de compromis possible.
John dépité, réinstalle son service trois pièces dans son pantalon, puis m’abandonne. Le van redémarre peu après, direction Genève…
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