La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°760)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°760)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°756) - Entre les mains de deux Dominants pervers -
Sous le regard, les sarcasmes, les railleries des deux Dominants, pendant de longues minutes encore, le jeune soumis prénommé Loïs et moi, continuons à nous embrasser presque fougueusement, avec une certaine excitation provoquée par l’obéissance mais aussi par nos pelles sensuelles que nous nous roulons.
- Ludo, regarde-les, ces deux putes ! Il y a cinq minutes encore, elles ne se connaissaient pas et là devant nous, elles baisent en se roulant des pelles bien baveuses et en bandant fermement ! affirme Karl
- Même pas des chiennes lubriques, bien pire que ça ! lui répond Ludo
Ce denier s’est accroupi près de nous et se saisit de nos couilles. La pression est telle que chacun de nous deux stoppons nos activités.
- Qui vous a dit d’arrêter les salopes ! Je veux voir vous rouler un bon patin ! ordonne-t-il
Nos lèvres se sont de nouveau rapprochées, nos langues s’entrecroisent, parfois l’un ou l’autre sursaute et étouffe un gémissement douloureux. Un lien court est venu nouer nos couilles entre-elles, de telle sorte que nos bites érigées restent l'une près de l'autre, presque collées ensemble.
- Mettez les mains sur la tête les deux salopes et laissez toujours vos lèvres en contact, toi Endymion MDE, enfourne ta langue dans la petite bouche de ce petit bâtard de Loïs ! dicte Karl.
Loïs sursaute, Il vient de recevoir un coup de badine magistral sur son fessier. Dieu merci, il n’a pas refermé ses mâchoires sur mon appendice buccal. Le second coup est encore plus brutal, Loïs tremble mais résiste encore. Je sens même sa queue frémir contre la mienne, comme s’il bandait plus fortement encore, ce qui me fait aisément deviné qu’il est, lui aussi, un véritable masochiste. Dix coups intenses lui sont assénés et Loïs a bien résisté, sans presque broncher, se contentant de trembloter et de gémir doucement. Lorsque Karl décide d’inverser les rôles, je n’en même vraiment pas large. Je sens la langue de Loïs s’introduire dans ma bouche, ses lèvres se poser sur les miennes. Les coups tombent en cadence, sauvagement, je les encaisse sans flageoler ni vaciller, je souffre mais paradoxalement, je prends un plaisir fou à me faire tabasser et strier le cul. Ma nouille bande de plus belle encore, et suinte à tout va.
- Ces deux-là sont de vrais masos, regarde Karl, leurs nouilles n’ont pas dégonflé, au contraire même on dirait qu’elles ont pris un plus beau volume ! affirme Ludo
- Des catins, rien que des catins ! lui répond Karl puis il reprend à notre attention
- Allez à quatre pattes les salopes, cul contre cul !
Loïs et moi restons circonspects. Comment faire alors que nous nous trouvons face à face, burnes attachées entre-elles, par un lien très court ?
- Qu’est-ce qu’il y a les putes ? N’ai-je pas été suffisamment clair ? Un refus d’obéissance ? reprend Karl vicieusement, faisant croire qu’il n’a pas compris la problématique du moment.
Les deux Dominants s’esclaffent, un rire très sonore !
- Oh mes mignons, vous craignez peut-être pour vos petites couilles… Dépêchez-vous d’obéir avant que…
Ludo n’a pas fini sa phrase, nous comprenons que de gré ou de force nous devons prendre la posture indiquée. A nous de gérer la difficulté. Nous nous contorsionnons de manière grotesque et humiliante, tordons nos membres et muscles dans tous les sens, tirons sur nos burnes, pour parvenir enfin dans la posture requise, après multiples efforts.
- Et bien, il vous en a fallu du temps ! reprend Ludo
Tout d’un coup, je sens un doigt sur lequel est posé du gel s’introduire et pénétrer mon anus profondément. Peu après ce doigt est remplacé par un double gode enfoncé dans nos deux culs respectifs.
- Allez les chiennes, empalez-vous bien, l’un et l’autre, l’un avec l’autre, travaillez vos trous de lope, c’est un bon conseil que je vous donne, remuer hanches et bassins pour vous pénétrer intensément.
Loïs et moi nous nous empalons en cadence, par des vas et viens réguliers, nous nous pénétrons jusqu’à ce que nos fessiers entrent en contact, puis nous nous dégageons lentement en tirant sur nos couilles et recommençons. Ludo s’est assis sur une chaise, juste devant mon visage. Il vient de sortir une paire de pinces japonaises, de la poche de son pantalon. Il me les pose, la morsure est vive et je ne peux retenir un cri, qu’une paire de gifles fait aussitôt cesser. Je me retrouve devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son odeur de mâle, une odeur âcre, où se mêlent des parfums de transpiration et d’urine
- Qu’est-ce que tu attends pour me lécher salope ! me lance Ludo.
Je cesse de m’activer sur cet objet qui me darde le cul et je passe juste avec ma langue, mais sans lécher, le contour de sa bite et de ses couilles. Ludo se laisse faire en poussant quelques soupirs de satisfaction. Avec mes dents, et avec précaution, je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils bruns apparaissent d’abord. Je les hume et lui lèche le pubis. Puis la base de sa queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite magistrale s’en échappe. Je l’avale jusqu’aux couilles et imprime avec ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces. Alors, pour diminuer la douleur, je m’attarde parfois sur son gland ou son prépuce. Une nouvelle gifle m’interrompt.
- Ne t’ai pas déjà dit que lorsque tu me pompais, tu devais avoir tes yeux dans les miens.
- Pardon Monsieur !
Je reste le regard haut, le visage tout près de son sexe qu’il m’empêche de lécher. Je reprends alors mes vas et viens et m’encule de nouveau sur ce gode enfoncer dans les fesses de Loïs. Ludo débande peu à peu. Et lorsque sa bite a repris une mollesse relative, il m’ordonne :
- Ouvre la bouche, prends ma queue et ne bouge plus.
Je reste parfaitement immobile, je le regarde droit dans les yeux, alors qu’un liquide doré m’envahit
- Avale, avale tout salope, que pas une goutte ne tombe sur le sol !
Je m’efforce de maitriser ma respiration et d’absorber la pisse qui sort en jet dru et se répand dans ma gorge. Une fois les dernières gouttes avalées et le gland consciencieusement nettoyé, Ludo me redresse légèrement en tirant sur ma chevelure. Lui repousse d’un pied, brutalement la chaise sur laquelle il était assis et s’accroupit devant moi. Sitôt positionné, il m’enfonce sa langue dans ma bouche pour une longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins. Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif plaisir. Sa salive inonde ma bouche, il recule son visage, crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle.
- Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre.
Je présente une fois encore mes plus humbles excuses, mais cette fois-ci Karl s’en mêle.
- Tu crois salope que encore longtemps nous allons nous contenter de tes excuses ! N’es-tu point là pour nous obéir strictement ?
- Si Monsieur
- Et pourquoi tu obéis ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! dis-je timidement
- Comment ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! répète-je plus distinctement.
- Tu ne mérites même pas ce qualificatif ! reprend Karl comme désespéré.
Pendant ce court échange, Ludo m’a débarrassé le cul de ce gode, et défait le lien maintenant mes couilles liées avec celles de Loïs.
- Sur le dos, ici ! m’ordonne Karl, maintenant nu, en me désignant d’un doigt précis le lieu, les petites flaques de liquide odorant d’urine.
Je m’exécute sans tarder. Après avoir décrassé ses semelles avec ma langue, une fois qu’elles ont bien écrasé mes seins, ma bite toujours dressée et mes couilles, il s’assied sur mon visage.
- Bouffe, salope !
Bien que j’étouffe un peu, je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes et enivrantes. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant ainsi d’être plus efficace, il cherche, je le comprends, à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce que c’est et continue sans fléchir à lécher sa pastille, m’attardant parfois sur ses fesses rebondies et bronzées. Peu après, il reprend son assise, immobilise mes mains avec ses genoux quand une douleur piquante et mordante m’assaille de nouveau : celle de la cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il déverse à la base de ma bite. Je me tortille de douleur et de plaisir tout en continuant à enfoncer ma langue dans son trou maintenant bien baveux. La cire chaude provoque mille piqures excitantes que je ne cherche plus à éviter quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent ma nouille, mon gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris étouffés, tout en espérant que cette torture délicieuse ne cesse pas trop vite. Trop concentré sur ces sensations douloureuses mais terriblement excitantes, j’en oublie ce cul m’écrasant pourtant. Karl se relève, m’injurie en me traitant de bon à rien et m’ordonne de me relever et de me tenir à genoux. Je constate que ma bite a disparue sous une épaisse couche de cire rouge, sans avoir débandée pour autant. Devant moi, en levrette, Loïs se faire bourrer copieusement par une saillie profonde en sodomie, je l’envie !
Les quelques minutes de repos qui nous sont accordées, nous sont bienfaitrices. Loïs et moi restons allongés sur le sol, côte à côte, silencieux. Sans un seul mot à notre égard, les deux Dominants partent au bout d’un certain temps et dès la porte fermée à double tour, Loïs m’attrape la main en me questionne :
- Es-tu déjà allé au bordel dont on nous a parlé ?
- Non jamais, et toi ?
- Moi non plus, mais Karl, mon Maître m’en a beaucoup parlé !
- Et qu’est-ce qu’il t’en a dit ?
- C’est un bordel BDSM mixte… des esclaves mâles et femelles y sont emmenés pour…
Loïs interrompt subitement sa conversation, Karl, son Maitre, est de retour.
- Allez les putes debout, il est l’heure de prendre une douche avant d’aller travailler, vous allez tapiner grave cet après-midi et une grande partie de la soirée.
En guise de douche, Loïs et moi sommes arrosés au jet de jardin, l’eau est froide et claque d’abord sur nos omoplates, nos dos, nos fesses que nous devons tenir écartées, Karl visant particulièrement nos trous. Puis nous devons nous retourner, l’eau éclabousse nos visages, nos poitrines. La couche de cire épaisse que j’ai sur la bite vole en morceau sous la pression du jet, nos couilles sont particulièrement visées. Nous tremblons, grelotons, gémissons, geignons. Karl nous tend un flacon de savon liquide en ordonnant :
- Chacun savonne l’autre !
Nous nous lavons mutuellement, n’oubliant aucune partie de notre anatomie, y compris celle la plus intime. L’excitation me gagne de nouveau, si bien que, lorsque Loïs introduit son majeur entre mes fesses, je ne peux retenir une subite et belle bandaison. A mon tour d’introduire de me glisser en lui, sa nouille réagit au quart de tour. J’astique son gland, lui récure le mien… Nous sommes à deux doigts de jouir, lorsque le jet, plus puissant encore et toujours aussi froid, déconstruit rapidement nos édifices érigés. Nous nous séchons rapidement, puis partons nus. Nous longeons un long couloir étroit et peu éclairé, et regagnons un garage. Une voiture est là, Ludo aussi, il tient la portière du coffre ouvert.
- Allez les chiennes là-dedans !
Loïs monte le premier, je m’apprête à le suivre, lorsque soudainement Ludo m’attrape un bras, me stoppe dans mon élan
- Mains sur le parechoc, écarte les cuisses, cambre tes reins, m’ordonne-t-il.
A peine ai-je le temps de prendre la position que déjà, je sens la bite brulante de Ludo se coller contre ma pastille. Il me pénètre d’un trait, m’encule sauvagement, profondément à la hussarde, me pilonne copieusement à grands coups de butoirs. Karl le presse.
- Tu n’es pas raisonnable, nous allons être en retard.
- J’en ai pour cinq minutes pas plus…
Les coups de reins sont plus que furieux, Ludo me tient d’une main par les cheveux, de l’autre il claque mes fesses, j’halète, je suffoque, je gémis. Je me sens chienne, une véritable putain, prise n’importe où, dans n’importe quelle position, et surtout lorsque je m’y attends le moins ! Je bande… Ludo éjacule, m’inonde le fion copieusement en râlant sévèrement. Il reste ancré en moi quelques secondes encore, puis se dégage, me retourne face à lui. Il sort un feutre Marker de sa poche et ajoute une seconde croix sur ma poitrine. Je comprends alors la signification de ces croix… Combien en aurai-je à la fin de ces vingt-quatre heures de prêt ?
(A suivre…)
Sous le regard, les sarcasmes, les railleries des deux Dominants, pendant de longues minutes encore, le jeune soumis prénommé Loïs et moi, continuons à nous embrasser presque fougueusement, avec une certaine excitation provoquée par l’obéissance mais aussi par nos pelles sensuelles que nous nous roulons.
- Ludo, regarde-les, ces deux putes ! Il y a cinq minutes encore, elles ne se connaissaient pas et là devant nous, elles baisent en se roulant des pelles bien baveuses et en bandant fermement ! affirme Karl
- Même pas des chiennes lubriques, bien pire que ça ! lui répond Ludo
Ce denier s’est accroupi près de nous et se saisit de nos couilles. La pression est telle que chacun de nous deux stoppons nos activités.
- Qui vous a dit d’arrêter les salopes ! Je veux voir vous rouler un bon patin ! ordonne-t-il
Nos lèvres se sont de nouveau rapprochées, nos langues s’entrecroisent, parfois l’un ou l’autre sursaute et étouffe un gémissement douloureux. Un lien court est venu nouer nos couilles entre-elles, de telle sorte que nos bites érigées restent l'une près de l'autre, presque collées ensemble.
- Mettez les mains sur la tête les deux salopes et laissez toujours vos lèvres en contact, toi Endymion MDE, enfourne ta langue dans la petite bouche de ce petit bâtard de Loïs ! dicte Karl.
Loïs sursaute, Il vient de recevoir un coup de badine magistral sur son fessier. Dieu merci, il n’a pas refermé ses mâchoires sur mon appendice buccal. Le second coup est encore plus brutal, Loïs tremble mais résiste encore. Je sens même sa queue frémir contre la mienne, comme s’il bandait plus fortement encore, ce qui me fait aisément deviné qu’il est, lui aussi, un véritable masochiste. Dix coups intenses lui sont assénés et Loïs a bien résisté, sans presque broncher, se contentant de trembloter et de gémir doucement. Lorsque Karl décide d’inverser les rôles, je n’en même vraiment pas large. Je sens la langue de Loïs s’introduire dans ma bouche, ses lèvres se poser sur les miennes. Les coups tombent en cadence, sauvagement, je les encaisse sans flageoler ni vaciller, je souffre mais paradoxalement, je prends un plaisir fou à me faire tabasser et strier le cul. Ma nouille bande de plus belle encore, et suinte à tout va.
- Ces deux-là sont de vrais masos, regarde Karl, leurs nouilles n’ont pas dégonflé, au contraire même on dirait qu’elles ont pris un plus beau volume ! affirme Ludo
- Des catins, rien que des catins ! lui répond Karl puis il reprend à notre attention
- Allez à quatre pattes les salopes, cul contre cul !
Loïs et moi restons circonspects. Comment faire alors que nous nous trouvons face à face, burnes attachées entre-elles, par un lien très court ?
- Qu’est-ce qu’il y a les putes ? N’ai-je pas été suffisamment clair ? Un refus d’obéissance ? reprend Karl vicieusement, faisant croire qu’il n’a pas compris la problématique du moment.
Les deux Dominants s’esclaffent, un rire très sonore !
- Oh mes mignons, vous craignez peut-être pour vos petites couilles… Dépêchez-vous d’obéir avant que…
Ludo n’a pas fini sa phrase, nous comprenons que de gré ou de force nous devons prendre la posture indiquée. A nous de gérer la difficulté. Nous nous contorsionnons de manière grotesque et humiliante, tordons nos membres et muscles dans tous les sens, tirons sur nos burnes, pour parvenir enfin dans la posture requise, après multiples efforts.
- Et bien, il vous en a fallu du temps ! reprend Ludo
Tout d’un coup, je sens un doigt sur lequel est posé du gel s’introduire et pénétrer mon anus profondément. Peu après ce doigt est remplacé par un double gode enfoncé dans nos deux culs respectifs.
- Allez les chiennes, empalez-vous bien, l’un et l’autre, l’un avec l’autre, travaillez vos trous de lope, c’est un bon conseil que je vous donne, remuer hanches et bassins pour vous pénétrer intensément.
Loïs et moi nous nous empalons en cadence, par des vas et viens réguliers, nous nous pénétrons jusqu’à ce que nos fessiers entrent en contact, puis nous nous dégageons lentement en tirant sur nos couilles et recommençons. Ludo s’est assis sur une chaise, juste devant mon visage. Il vient de sortir une paire de pinces japonaises, de la poche de son pantalon. Il me les pose, la morsure est vive et je ne peux retenir un cri, qu’une paire de gifles fait aussitôt cesser. Je me retrouve devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son odeur de mâle, une odeur âcre, où se mêlent des parfums de transpiration et d’urine
- Qu’est-ce que tu attends pour me lécher salope ! me lance Ludo.
Je cesse de m’activer sur cet objet qui me darde le cul et je passe juste avec ma langue, mais sans lécher, le contour de sa bite et de ses couilles. Ludo se laisse faire en poussant quelques soupirs de satisfaction. Avec mes dents, et avec précaution, je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils bruns apparaissent d’abord. Je les hume et lui lèche le pubis. Puis la base de sa queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite magistrale s’en échappe. Je l’avale jusqu’aux couilles et imprime avec ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces. Alors, pour diminuer la douleur, je m’attarde parfois sur son gland ou son prépuce. Une nouvelle gifle m’interrompt.
- Ne t’ai pas déjà dit que lorsque tu me pompais, tu devais avoir tes yeux dans les miens.
- Pardon Monsieur !
Je reste le regard haut, le visage tout près de son sexe qu’il m’empêche de lécher. Je reprends alors mes vas et viens et m’encule de nouveau sur ce gode enfoncer dans les fesses de Loïs. Ludo débande peu à peu. Et lorsque sa bite a repris une mollesse relative, il m’ordonne :
- Ouvre la bouche, prends ma queue et ne bouge plus.
Je reste parfaitement immobile, je le regarde droit dans les yeux, alors qu’un liquide doré m’envahit
- Avale, avale tout salope, que pas une goutte ne tombe sur le sol !
Je m’efforce de maitriser ma respiration et d’absorber la pisse qui sort en jet dru et se répand dans ma gorge. Une fois les dernières gouttes avalées et le gland consciencieusement nettoyé, Ludo me redresse légèrement en tirant sur ma chevelure. Lui repousse d’un pied, brutalement la chaise sur laquelle il était assis et s’accroupit devant moi. Sitôt positionné, il m’enfonce sa langue dans ma bouche pour une longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins. Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif plaisir. Sa salive inonde ma bouche, il recule son visage, crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle.
- Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre.
Je présente une fois encore mes plus humbles excuses, mais cette fois-ci Karl s’en mêle.
- Tu crois salope que encore longtemps nous allons nous contenter de tes excuses ! N’es-tu point là pour nous obéir strictement ?
- Si Monsieur
- Et pourquoi tu obéis ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! dis-je timidement
- Comment ?
- Parce que je suis une salope Monsieur ! répète-je plus distinctement.
- Tu ne mérites même pas ce qualificatif ! reprend Karl comme désespéré.
Pendant ce court échange, Ludo m’a débarrassé le cul de ce gode, et défait le lien maintenant mes couilles liées avec celles de Loïs.
- Sur le dos, ici ! m’ordonne Karl, maintenant nu, en me désignant d’un doigt précis le lieu, les petites flaques de liquide odorant d’urine.
Je m’exécute sans tarder. Après avoir décrassé ses semelles avec ma langue, une fois qu’elles ont bien écrasé mes seins, ma bite toujours dressée et mes couilles, il s’assied sur mon visage.
- Bouffe, salope !
Bien que j’étouffe un peu, je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes et enivrantes. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant ainsi d’être plus efficace, il cherche, je le comprends, à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce que c’est et continue sans fléchir à lécher sa pastille, m’attardant parfois sur ses fesses rebondies et bronzées. Peu après, il reprend son assise, immobilise mes mains avec ses genoux quand une douleur piquante et mordante m’assaille de nouveau : celle de la cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il déverse à la base de ma bite. Je me tortille de douleur et de plaisir tout en continuant à enfoncer ma langue dans son trou maintenant bien baveux. La cire chaude provoque mille piqures excitantes que je ne cherche plus à éviter quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent ma nouille, mon gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris étouffés, tout en espérant que cette torture délicieuse ne cesse pas trop vite. Trop concentré sur ces sensations douloureuses mais terriblement excitantes, j’en oublie ce cul m’écrasant pourtant. Karl se relève, m’injurie en me traitant de bon à rien et m’ordonne de me relever et de me tenir à genoux. Je constate que ma bite a disparue sous une épaisse couche de cire rouge, sans avoir débandée pour autant. Devant moi, en levrette, Loïs se faire bourrer copieusement par une saillie profonde en sodomie, je l’envie !
Les quelques minutes de repos qui nous sont accordées, nous sont bienfaitrices. Loïs et moi restons allongés sur le sol, côte à côte, silencieux. Sans un seul mot à notre égard, les deux Dominants partent au bout d’un certain temps et dès la porte fermée à double tour, Loïs m’attrape la main en me questionne :
- Es-tu déjà allé au bordel dont on nous a parlé ?
- Non jamais, et toi ?
- Moi non plus, mais Karl, mon Maître m’en a beaucoup parlé !
- Et qu’est-ce qu’il t’en a dit ?
- C’est un bordel BDSM mixte… des esclaves mâles et femelles y sont emmenés pour…
Loïs interrompt subitement sa conversation, Karl, son Maitre, est de retour.
- Allez les putes debout, il est l’heure de prendre une douche avant d’aller travailler, vous allez tapiner grave cet après-midi et une grande partie de la soirée.
En guise de douche, Loïs et moi sommes arrosés au jet de jardin, l’eau est froide et claque d’abord sur nos omoplates, nos dos, nos fesses que nous devons tenir écartées, Karl visant particulièrement nos trous. Puis nous devons nous retourner, l’eau éclabousse nos visages, nos poitrines. La couche de cire épaisse que j’ai sur la bite vole en morceau sous la pression du jet, nos couilles sont particulièrement visées. Nous tremblons, grelotons, gémissons, geignons. Karl nous tend un flacon de savon liquide en ordonnant :
- Chacun savonne l’autre !
Nous nous lavons mutuellement, n’oubliant aucune partie de notre anatomie, y compris celle la plus intime. L’excitation me gagne de nouveau, si bien que, lorsque Loïs introduit son majeur entre mes fesses, je ne peux retenir une subite et belle bandaison. A mon tour d’introduire de me glisser en lui, sa nouille réagit au quart de tour. J’astique son gland, lui récure le mien… Nous sommes à deux doigts de jouir, lorsque le jet, plus puissant encore et toujours aussi froid, déconstruit rapidement nos édifices érigés. Nous nous séchons rapidement, puis partons nus. Nous longeons un long couloir étroit et peu éclairé, et regagnons un garage. Une voiture est là, Ludo aussi, il tient la portière du coffre ouvert.
- Allez les chiennes là-dedans !
Loïs monte le premier, je m’apprête à le suivre, lorsque soudainement Ludo m’attrape un bras, me stoppe dans mon élan
- Mains sur le parechoc, écarte les cuisses, cambre tes reins, m’ordonne-t-il.
A peine ai-je le temps de prendre la position que déjà, je sens la bite brulante de Ludo se coller contre ma pastille. Il me pénètre d’un trait, m’encule sauvagement, profondément à la hussarde, me pilonne copieusement à grands coups de butoirs. Karl le presse.
- Tu n’es pas raisonnable, nous allons être en retard.
- J’en ai pour cinq minutes pas plus…
Les coups de reins sont plus que furieux, Ludo me tient d’une main par les cheveux, de l’autre il claque mes fesses, j’halète, je suffoque, je gémis. Je me sens chienne, une véritable putain, prise n’importe où, dans n’importe quelle position, et surtout lorsque je m’y attends le moins ! Je bande… Ludo éjacule, m’inonde le fion copieusement en râlant sévèrement. Il reste ancré en moi quelques secondes encore, puis se dégage, me retourne face à lui. Il sort un feutre Marker de sa poche et ajoute une seconde croix sur ma poitrine. Je comprends alors la signification de ces croix… Combien en aurai-je à la fin de ces vingt-quatre heures de prêt ?
(A suivre…)
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