La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°763) - histoire érotique

Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°762) -
Le Commandant prend alors la parole d’une voix forte et posée… :
- Mesdames, Messieurs, soyez les bienvenus à cette soirée particulière chez notre très Cher Hôte, Monsieur le Marquis d’Evans digne héritier d’une lignée de Marquis depuis 1625… Comme pour chaque soirée d’intégration d’une nouvelle soumise, et selon la Volonté de Monsieur Le Marquis, c’est l’assemblée qui décidera si cette nouvelle chienne mérite de faire partie de Son Cheptel. Pour ceux qui ne connaissent pas encore le protocole, je rappelle les règles : Vous aurez chacun l’occasion de tester cette soumise à l’essai, et à l’issue de votre test de la noter sur une échelle de 0 à 10. Si sa moyenne est inférieure à 4, elle devra quitter immédiatement notre cercle, si elle est comprise entre 4 et 6, elle aura droit au repêchage c’est-à-dire qu’elle devra revivre une seconde soirée d’intégration pour avoir une dernière chance de se rattraper. Enfin, si sa moyenne est égale ou supérieure à 7, elle aura la chance, le privilège absolu et l’honneur d’être intégrée dans le Cheptel du Château.

Pour la plupart des convives, ce n’est pas leur première soirée d’intégration, et ils sont au courant de ce protocole, mais cela permet à Vanessa d’être informée des règles auxquelles elle va être soumise. Elle pensait qu’elle devrait simplement convaincre son Maître, et non toute une assemblée. La jeune femme prend conscience qu’elle va devoir se surpasser pour satisfaire chacun des convives et espère au fond d’elle-même pouvoir honorer l’éducation qu’elle a reçu.

- Pour ce soir, aucune limite ni restriction, chacun sera invité un par un à user et abuser de cette chienne selon ses envies les plus perverses. Du matériel divers et varié est à votre disposition sur la table au fond de la scène. Afin de permettre à chacun de bénéficier du même temps de test, vous aurez tous 5 minutes à votre disposition.

Par un rapide coup d’œil, Vanessa a évalué le nombre de personnes à une trentaine, elle réalise qu’elle va devoir tenir plus de deux heures et demi de servitude totale et espère qu’elle aura l’endurance nécessaire.

- Monsieur Le Marquis, je vous serai grès de bien vouloir désigner le premier de vos convives qui aura l’honneur de tester cette chienne.

Le Noble désigne une très jolie femme d’une grande prestance, la même qui a gagné à la soirée précédente le jeu de résistance des esclaves, elle est expérimentée, et le Châtelain désire ainsi que les épreuves de Vanessa débutent sous une main de fer. Le Commandant fait signe à la Domina de venir alors qu’il quitte la scène pour rejoindre sa place aux côtés du Noble. La femme Dominatrice se lève, salue respectueusement le Maitre des lieux et se dirige vers la scène. Vanessa est anxieuse, elle n’a jamais obéi à une femme en dehors de la cuisinière de son Maître, et elle sait à quel point l’esprit féminin est plus souvent inventif que celui de l’homme. Elle craint de ne pas être à la hauteur, de ne pas supporter la perversité de cette femme qui semble très expérimentée. Mais elle sait qu’elle doit obéir avec assiduité et plaire à chaque convive pour mériter sa place aux pieds de son Maître, alors elle se concentre sur la pensée de son Maître et son compagnon qui attendent d’elle un comportement exemplaire. La Domina s’approche de Vanessa dans un silence pesant seulement troublé par ses talons aiguilles sur les dalles de marbres de la salle de réception. Elle prend la queue de cheval de la jeune femme et tire dessus pour la mettre debout face à elle. Immédiatement Vanessa obtempère et place ses mains derrière le dos, conservant les yeux baissés face à cette Dominatrice, mais la tête haute, fière d’honorer l’éducation de son Maître et de son Commandant.

- Une bien belle chienne, qui a un peu trop conscience de l’emprise que son image a sur les hommes. Mais il faudra plus qu’une belle plastique pour me convaincre que tu mérites ta place aux pieds du plus grand Maître de notre cercle et du monde D/s en général. Je te conseille vivement de mettre ton orgueil de côté et de déployer toute ta volonté à me satisfaire, si tu souhaites que ma note soit clémente ce soir, lui susurre la femme à l’oreille d’un ton extrêmement pervers et sévère.

Sans dire un mot de plus, elle prend les tétons de Vanessa entre ses doigts et les serre entre ses ongles. La jeune soumise ne faiblit pas malgré la douleur qui irradie ses bouts de chair, elle conserve sa position, dans un immobilisme total et bien décidée à ne pas flancher devant cette femme. Cette attitude fait sourire sa tortionnaire qui constate que Monsieur Le Marquis a encore découvert une soumise de qualité et de caractère. Elle tire sur les tétons vers le bas pour agenouiller Vanessa, et soulève sa robe pour plaquer son sexe contre le visage de la soumise. Pas besoin de mots, Vanessa comprend qu’elle doit user de sa langue pour satisfaire cette dame, et elle commence à lécher le sexe humide qui se présente à elle. Elle lèche avec conviction chaque parcelle et recoin du sexe de cette femme, puis sa langue tourne avec volupté autour du clitoris et à voir le visage sévère de la femme qui se détend, à n’en pas douter les caresses buccales de Vanessa sont divines. Elle entour de sa langue et suce ce petit bout de chair très sensible. Au bout de quelques instants, la Domina plaque fortement de ses deux mains le visage de Vanessa contre son sexe trempée et finit par jouir laissant Vanessa boire le fruit de son plaisir. Elle redresse la jeune femme en tirant de nouveau sur ses tétons, la place face à elle et de sa main droite relève son menton pour plonger son regard dominant dans ses grands yeux verts.

- Tu es douée la chienne, mais tu as beaucoup trop d’orgueil pour atteindre la perfection et le 10, toutefois tu m’as satisfaite avec un excellent jeu de langue rapide, efficace et si jouissif, c’est clair, aussi je te donnerai la note de 9. Ecoute mon conseil, laisse tomber cet orgueil inutile pour ta condition, et continue ainsi pour rendre ton Maître fier de toi, lui souffle-t-elle tout bas avant de rejoindre sa place.

Alors que le repas est servi et que les convives commencent à déguster les fabuleux mets préparés par Marie et son équipe d’esclaves, le Commandant fait signe au voisin de la Domina que c’est à son tour. L’homme d’un certain âge s’avance alors vers la scène, une canne à la main, les convives regardent la scène tout en continuant de manger. Il s’agit d’un vieil ami du père du Marquis, un Maître très expérimenté qui apprécie particulièrement les esclaves dociles et serviles. Il s’approche de la table, se saisit d’un paddle sculpté dans le bois de noyer qui semble sorti d’une autre époque. L’homme rejoint Vanessa restée nue, exhibée debout les mains dans le dos.

- Les mains derrière la nuque, ordonne-t-il d’un ton sec.

Sans attendre la jeune femme obtempère, faisant ressortir sa poitrine magnifique parfaitement galbée. L’homme se place derrière elle et commence à abattre l’objet sur son postérieur, sans aucune force, le poids du paddle suffisant amplement à faire rougir la croupe qui lui est livrée. Il renouvelle l’opération avec une cadence digne d’un métronome, sans sourciller, comme un robot qui répéterait une tâche indéfiniment. Vanessa ne voit pas ses fesses mais à la douleur vive qu’elle ressent, elle ne doute pas qu’elles doivent être très bien rougies. Elle se concentre sur l’idée que chaque personne ne reste pas plus de cinq minutes pour tenir le coup. Après des longues minutes, il repose l’objet et fait tourner Vanessa pour que tous admirent sa croupe rougit par le paddle. Puis sans plus d’attention pour la jeune femme, il rejoint sa place pour laisser le loisir à son voisin de table de venir abuser de Vanessa… Le repas se passe au rythme des supplices imposés à Vanessa, et la jeune femme supporte sans esquisser un seul signe de faiblesse, pour le plus grand plaisir du Maître des lieux. Elle est fouettée, humiliée, godée, attachée, exhibée, pénétrée, souillée vaginalement, analement, buccalement et rabaissée au rang d’objet sexuel, servant uniquement à satisfaire les pulsions sexuelles de ses assaillants. Alors qu’elle subit les assauts d’une cravache parfaitement maniée, le Maître (ainsi que le Commandant au même moment) remarque la pâleur du visage de sa soumise, il réalise qu’elle n’est pas loin de l’évanouissement et espère qu’elle va supporter la fin de cet énième supplice pour qu’il puisse faire intervenir le Maître de cérémonie avant le prochain convive. Et même si sa tête commence à tourner, Vanessa est toujours immobile lorsque l’homme descend de la scène. A la demande de Monsieur le Marquis, le Commandant se lève alors rapidement et rejoint la scène, il ordonne à Vanessa de se mettre à quatre pattes, la délivrant du calvaire de tenir debout avec ses étourdissements.

- Mes amis, pour qu’une chienne tienne la cadence, il est important de l’hydrater, annonce-t-il d’un ton amusé.

Il claque des doigts et un esclave MDE lui amène une gamelle remplie d’eau, il s’en saisit et la dépose devant la jeune femme.

- Bois, j’y ai fait ajouter du sucre, ça devrait t’aider à faire passer ce début d’évanouissement, dit-il tout bas d’un ton aimant.

Vanessa est heureuse de savoir que son Maître et son amant veillent sur elle pour cette soirée si importante pour elle. La jeune femme se désaltère sans retenue prenant son temps pour récupérer avant la suite des événements. Laurent s’assure qu’elle aille mieux, puis retire la gamelle avant de faire signe au prochain convive de s’avancer. Il s’agit de Maître Lee-Po-Tchang, le grand Maître spécialiste du shibari. Il se dirige vers la table, se saisit de plusieurs cordes de couleur et rejoint Vanessa qui patiente à quatre pattes. Il commence par emprisonner les bras et la poitrine de la jeune femme par une combinaison de nœuds très simples, mais ce qui impressionne l’assistance c’est la vitesse à laquelle il les réalise. Il prend une seconde corde pour la transformer en ceinture de chasteté. Vanessa ne connaissait pas les sensations que pouvaient procurer une corde sur son vagin, et elle se surprend à sentir son bas ventre s’échauffer. L’asiatique la laisse exposée ainsi un instant puis retire les cordes, découvrant celle entourant son sexe couvert de cyprine, il sourit tout en mettant la corde sous le nez de la jeune femme.

- Eh bien, si tu aimes tant que ça les cordes, je me ferai un plaisir de te les faire découvrir plus en détail lorsque tu feras partie du Cheptel de mon très Cher Ami, lui annonce-t-il en souriant.

L’homme rejoint sa place laissant Vanessa debout sur la scène, une excitation flagrante coulant le long de sa cuisse.

- Alors que dites-vous de cette nouvelle recrue ? demande Monsieur le Marquis à son ami qui revient.
- Très cher, c’est un modèle exceptionnel tant dans la beauté de ses courbes que dans sa volonté à obéir. Si vous me le permettez, j’aimerai pouvoir lui faire découvrir les joies de mon Art lorsqu’elle sera officiellement sous Votre joug, si elle a une note qui lui permet d’être dans votre Cheptel, bien entendu.
- C’est entendu, nous organiserons cela demain dans l’après-midi, si elle est acceptée sous Mon joug, lorsqu’elle aura eu le temps de récupérer de ce soir.
- C’est à vous Charles, annonce le Commandant, au Préfet.
- Si vous me le permettez, je vais passer mon tour, cette jeune femme m’a charmé par bien des aspects et je ne serai pas bien objectif pour la noter, répond le Préfet.
- Entendu, sourit le Commandant en faisant signe au prochain convive.

Le repas se termine par un délicieux dessert digne des plus grands chefs, alors qu’il ne reste plus que quelques convives qui n’ont pas encore abusé de Vanessa. La jeune femme s’offre toujours avec la même volonté aux derniers invités, malgré la fatigue et le besoin de repos que lui réclame son corps. Mais son Maître lui a déjà fait endurer des épreuves beaucoup plus fatigantes, et elle a compté, elle sait qu’il n’en reste plus que trois, et que dans un quart d’heure elle sera délivrée de cette épreuve. Alors, elle supporte les derniers assauts des hommes en remerciant intérieurement son Maître de l’avoir préparée à cette soirée par les épreuves précédentes qu’il lui a imposées. Le dernier convive termine cette longue série d’abus par une sodomie sauvage en une véritable saillie bestiale et profonde où elle est positionnée en levrette. Une fois qu’il a éjaculé dans les entrailles de la belle, il se retire puis il l’a fait relever laissant Vanessa debout, les mains derrière le dos ne tenant immobile que par la force de sa volonté… Le café est servi, tous ont passé un excellent repas et attendent avec impatience le résultat des notes laissées par chacun. Walter est parti dans une pièce voisine dépouiller toutes les notes, alors que le Commandant rejoint Vanessa sur scène.

- Soumise, prosterne-toi devant Monsieur Le Marquis et cette assemblée, ordonne-t-il d’une voix solennelle.

Vanessa obtempère, se plaçant face à l’assemblée, fesses relevées, la tête au sol, les bras allongés devant elle.

- Bien, as-tu quelque chose à déclarer avant de recevoir la note que tu as obtenue ?

La jeune femme est perdue, tant qu’il suffisait d’obéir tout était finalement simple, mais il lui demande de s’exprimer, elle se doute qu’il attend quelque chose de sa part mais elle a peur de ne pas dire ce qu’il faut, comme il faut. L’assemblée à fait silence pour entendre sa réponse, aussi elle prend une grande inspiration et parle d’une voix forte afin que tous entendent :
- Oui Monsieur, je tiens à remercier en premier lieu mon Maître, pour avoir accepté de me prendre à l’essai malgré le peu de compétences que je présentais, pour m’avoir initiée et préparée avec les épreuves précédentes qu’Il a daigné m’imposer, et pour finalement m’honorer de cette soirée. Je tiens également à vous remercier pour avoir pris de votre précieux temps pour m’éduquer à l’Art de ce monde dans lequel j’aspire à vivre. Enfin, je tiens à remercier l’assemblée ici présente pour avoir accepté de prendre le temps de me tester et de me noter. J’espère de toute mon âme que j’aurais su satisfaire chacun d’entre vous et que vous m’aurez jugée digne de devenir une véritable soumise aux nobles pieds de mon Maître. C’est le vœu le plus cher que je puisse exprimer
Vanessa a fini de parler mais le silence est encore présent, tant chacun est étonné des capacités d’élocution de cette jeune soumise.

- Eh bien Edouard, elle s’exprime comme une femme du monde, où l’avez-vous trouvée ? Une femme de l’aristocratie que vous auriez faite succomber à votre charme ? interroge le Maître asiatique.
- En effet, elle sait faire illusion à la perfection, mais non elle ne vient pas de ce monde. C’est elle qui est venue me chercher, elle est un des pompiers du Commandant, elle est intervenue sur l’incendie qui a touché une aile de mon Château il y a quelques mois, et lors de sa mission elle a découvert une pièce qui a réveillée en elle des envies primaires.
- Je vois pourquoi son corps et si bien sculpté, je ne doute pas qu’elle aura ravie l’ensemble de vos convives ce soir.

Walter revient dans la salle, un papier plié dans sa main qu’il tend au Commandant, Vanessa est toujours prosternée face à l’assemblée, dans l’attente du verdict qu’elle attend autant qu’elle l’appréhende…
(A suivre …)