La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°794)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°794)
Une venue tardive au Château - (suite) -
La soumise toujours emplie de désirs de lentes et longues sodomies se sentait pourtant gagnée par ce trop d’émotions provoquant un creux d’énergie. Elle comprit alors ce que le Marquis d’Evans avait plus tôt subtilisé à son regard. Il prit le flacon de verre fumé sur Ses draps et l’ouvrit. S’en dégagea des odeurs caractéristiques d’huiles essentielles que la soumise connaissait pour les pratiquer également à ses heures. Si elle le savait pratiquant des médecines naturelles, elle fut étonnée car ils n’en avaient jamais parlés. Elle sentit une odeur de camomille, de sauge et une plus discrète, peut-être celle de l’Ylang-ylang. Le mélange (*) devait être dilué dans de l’huile millepertuis ; l’argan avait une autre odeur plus caractéristique. Le Marquis en fit couler quelques gouttes dans le creux de Sa main et réchauffa le mélange en l’étalant dans Ses mains avant de masser doucement le plexus de Sa soumise. Ce mélange, mieux que tout ceux se trouvant tout près dans le commerce, a pour vertu de rapidement de faire passer la fatigue sexuelle de la femme. Chris sentit les caresses des mains de son Amant. Ses fesses relevées, Il lui en passa également dans le bas du dos. Bientôt, elle se sentit regagner par l’énergie. Le Maître le sentit. Il reprit Ses savantes caresses sensuelles, en douceur tout d’abord, puis plus appuyées.
Lentement, sa rondelle rose s’ouvrait. Elle était submergée de sensations les plus folles et de désirs d’invasion de son cul. Elle avait envie de gémir mais le Maître le lui avait interdit. Elle travaillait donc en essayant de bouger le moins possible dans ses entraves. Coincée au milieu de l’ensemble, Diable-dieu qu’elle sentait monter en elle de toujours plus grandes envies d’éclater. Si elle ne le fit pas, c’était pour suivre Celui auquel elle s’était remise et qui la faisait partir toujours plus loin sur le fil. Le Marquis sentait abandonner la volonté de la belle à la Sienne. Il souriait en silence car enfin Chris osait sortir de ses stupides tabous et se livrer à Lui, non pas en abdiquant toute volonté par résignation acquise comme elle l’avait fait lors de sa première expérience D/s. (non, ce comportement faisant ressentir de l’impuissance, du renoncement devant une situation imposée, comme un rat de laboratoire) mais plutôt en accompagnant son tendre et savant Maître-amant en pleine conscience vers la destination inconnue dans laquelle Il la dirigeait depuis le début de la soirée.
Maître d’Evans lui travaillait toujours les parois de son fondement. De deux doigts, il en glissait trois à présent toujours lubrifié par la fontaine de Sa soumise et toujours aussi délicatement. Le lavement avait été efficacement fait par Marie comme à son habitude. Il fermait les yeux prenant lui aussi le pas sur les sensations qui l’emportaient. Irrésistibles pulsions sodomites exacerbées par la position de sa soumise :
- Tu sais, Chris, je réprime l’immense envie que j’ai de te sodomiser tout de go.
Il lui souriait et se souriait à lui-même : décidément, Sa belle petite chienne, le rendait fou des désirs les plus vicieux mais en même temps lui faisait s’envoler l’âme comme par magie. La maîtrise que lui montrait sa soumise et la façon dont à présent elle le suivait, le transportait.
- Ma Chris, Ma belle petite chienne, lui dit-il, rompant le silence quasi religieux qui régnait dans la chambre, Sens-tu combien mes trois doigts ont dilaté ton fondement ? Sens-tu combien tu mouilles d’excitation ? Sens-tu combien tu appartiens à ton Maître cette nuit plus qu’à tout autre moment ?
Il releva la tête et vit Chris qui le fixait intensément de ses yeux gris-bleu avec un regard tigresse animé de feu. Lorsque la soumise et le Maître croisèrent leur regard, elle baissa instinctivement les yeux.
- Non ce regard-là, tu vas me le garder… où plutôt exceptionnellement tu ne vas plus me quitter du regard même jusqu’à ce que je te le dise, lui dit-il d’une voix indescriptible qu’elle ne lui avait encore jamais entendu.
Prononçant Ses mots, Il avait retiré Ses doigts de l’anus de Sa femelle en chaleur pour présenter Son Vit devant son cul. Il l’empala avec une infinie lenteur, sentant Son sexe plonger dans les fines parois de l’anus de Sa chienne. Elle, de son côté, mordit l’acier de son bâillon tant les sensations étaient fortes. Sa poitrine se levait et s’abaissait avec rythme. A nouveau elle voulait crier, pouvoir rabattre ses bras et ses ongles dans la peau du dos de ce pieu pourfendant son cul toujours plus loin. Elle sentit la garde du nœud de son Maître par la grosseur qui s’amplifiait. L’érection forte de son Maître était à son plus haut degré. Ils entraient à nouveau dans la ronde infernale menant au paroxysme des plaisirs ultimes. Le Marquis d’Evans possédait pleinement le cul de Sa femelle et ne bougeait plus d’une once pour laisser les sensations retomber d’un cran. Les deux Amants gisaient unis, unifiés, yeux dans les yeux comme hypnotisés l’un par l’autre. Ni l’un ni l’autre ne savaient plus à ce moment qui possédait l’autre. Symbiose de l’instant rompu par le Maître qui s’affala sur sa soumise pour se dégager de la tension de Ses bras mais également pour fermer les yeux de Sa belle :
- Nous allons repartir pour un autre voyage, Ma petite chienne, et je sais que je vais te demander beaucoup, je serai encore le seul à jouir.
A ces mots, il caressa la joue de Chris. Ce corps dont il avait repris possession en Grand Dominant qu’Il est. Il commença ses vas-et-viens lents mais intenses. Il se sentait de mieux en mieux dans le cul de Sa soumise, la possédant jusqu’au plus profond d’elle. Au gré de Ses coups de reins, Il la sentait vibrer et s’envoler toujours plus.
- Chut, tout doux, tout doux, Ma petite femelle de chienne.
Ce ton rassurant était désarmant dans la tête de Chris, elle surfait sur Sa vague. Le Marquis d’Evans accélérait, Il se sentait pris par l’excitation quasi bestiale de défoncer le cul de sa soumise, repoussant Sa jouissance au maximum. De Ses mouvements, Il sentait son cœur battre dans ses tempes, la sueur qui perlait sur le corps de sa soumise, perlait également sur le Sien.
- Tu aimes ça, ma petite salope, sentir que ton Maître te possède, te laboure le cul avec virilité. Hum… oui … Je le sens lorsque Je baise ce cul absolument divin que tu m’offres.
Dans l’élan, Il donna une fessée appuyée sur la fesse droite de Chris qui, toujours les yeux fermés, sursauta. Puis, Il caressa avec douceur la peau marquée de la trace de Sa main, s’appuyant sur la jambe gauche de Sa chienne en prenant bien soin de pouvoir être à la portée de son clito et appuyer son pouce. Chris suffoquait de se contenir, le Maître souriait tendrement. Lorsque, tout à coup, Il ne pouvait plus se retenir et dans un ultime et puissant coup de rein plongea au plus loin du fondement de Sa soumise pour se soulager de Sa semence en de longs et interminables râles de plaisirs jouissifs. Chris, dont c’était la première fois qu’elle goûtait à cela, à la sodomie, se raidit un peu sous les spasmes de son Maître.
- Voilà, Ma belle. Accueille le sperme de Ton Maître avec honneur. Je sais que Je te pousse très loin ce soir. C’est pour ton bien de bonne petite chienne que Je t’éduque ainsi en t’initiant à la sodomie. Afin que tu saches obéir lorsque Ton Maître l’aura décidé. Je sais que tu ne sais pas, pour le moment, combien c’est important pour toi et pour Nous. Accepte-le, accepte de me suivre où Je t’emmène et tu découvriras la suite.
Chris écoutait. Elle sentit alors son Maître se retirer en douceur et lui glisser un plug de bonne taille dans les fesses.
- Ainsi tu ne perdras pas une goutte de Ma noble semence pour le moment à cet endroit. Es-tu prête, Ma belle ? Nous allons maintenant gravir notre Everest !
La soumise se demandait quelle suite le Marquis d’Evans lui préparait. Le Maître, qui récupérait après Sa longue chevauchée, observait Sa soumise dont l’excitation était toujours à son comble.
(A suivre …)
La soumise toujours emplie de désirs de lentes et longues sodomies se sentait pourtant gagnée par ce trop d’émotions provoquant un creux d’énergie. Elle comprit alors ce que le Marquis d’Evans avait plus tôt subtilisé à son regard. Il prit le flacon de verre fumé sur Ses draps et l’ouvrit. S’en dégagea des odeurs caractéristiques d’huiles essentielles que la soumise connaissait pour les pratiquer également à ses heures. Si elle le savait pratiquant des médecines naturelles, elle fut étonnée car ils n’en avaient jamais parlés. Elle sentit une odeur de camomille, de sauge et une plus discrète, peut-être celle de l’Ylang-ylang. Le mélange (*) devait être dilué dans de l’huile millepertuis ; l’argan avait une autre odeur plus caractéristique. Le Marquis en fit couler quelques gouttes dans le creux de Sa main et réchauffa le mélange en l’étalant dans Ses mains avant de masser doucement le plexus de Sa soumise. Ce mélange, mieux que tout ceux se trouvant tout près dans le commerce, a pour vertu de rapidement de faire passer la fatigue sexuelle de la femme. Chris sentit les caresses des mains de son Amant. Ses fesses relevées, Il lui en passa également dans le bas du dos. Bientôt, elle se sentit regagner par l’énergie. Le Maître le sentit. Il reprit Ses savantes caresses sensuelles, en douceur tout d’abord, puis plus appuyées.
Lentement, sa rondelle rose s’ouvrait. Elle était submergée de sensations les plus folles et de désirs d’invasion de son cul. Elle avait envie de gémir mais le Maître le lui avait interdit. Elle travaillait donc en essayant de bouger le moins possible dans ses entraves. Coincée au milieu de l’ensemble, Diable-dieu qu’elle sentait monter en elle de toujours plus grandes envies d’éclater. Si elle ne le fit pas, c’était pour suivre Celui auquel elle s’était remise et qui la faisait partir toujours plus loin sur le fil. Le Marquis sentait abandonner la volonté de la belle à la Sienne. Il souriait en silence car enfin Chris osait sortir de ses stupides tabous et se livrer à Lui, non pas en abdiquant toute volonté par résignation acquise comme elle l’avait fait lors de sa première expérience D/s. (non, ce comportement faisant ressentir de l’impuissance, du renoncement devant une situation imposée, comme un rat de laboratoire) mais plutôt en accompagnant son tendre et savant Maître-amant en pleine conscience vers la destination inconnue dans laquelle Il la dirigeait depuis le début de la soirée.
Maître d’Evans lui travaillait toujours les parois de son fondement. De deux doigts, il en glissait trois à présent toujours lubrifié par la fontaine de Sa soumise et toujours aussi délicatement. Le lavement avait été efficacement fait par Marie comme à son habitude. Il fermait les yeux prenant lui aussi le pas sur les sensations qui l’emportaient. Irrésistibles pulsions sodomites exacerbées par la position de sa soumise :
- Tu sais, Chris, je réprime l’immense envie que j’ai de te sodomiser tout de go.
Il lui souriait et se souriait à lui-même : décidément, Sa belle petite chienne, le rendait fou des désirs les plus vicieux mais en même temps lui faisait s’envoler l’âme comme par magie. La maîtrise que lui montrait sa soumise et la façon dont à présent elle le suivait, le transportait.
- Ma Chris, Ma belle petite chienne, lui dit-il, rompant le silence quasi religieux qui régnait dans la chambre, Sens-tu combien mes trois doigts ont dilaté ton fondement ? Sens-tu combien tu mouilles d’excitation ? Sens-tu combien tu appartiens à ton Maître cette nuit plus qu’à tout autre moment ?
Il releva la tête et vit Chris qui le fixait intensément de ses yeux gris-bleu avec un regard tigresse animé de feu. Lorsque la soumise et le Maître croisèrent leur regard, elle baissa instinctivement les yeux.
- Non ce regard-là, tu vas me le garder… où plutôt exceptionnellement tu ne vas plus me quitter du regard même jusqu’à ce que je te le dise, lui dit-il d’une voix indescriptible qu’elle ne lui avait encore jamais entendu.
Prononçant Ses mots, Il avait retiré Ses doigts de l’anus de Sa femelle en chaleur pour présenter Son Vit devant son cul. Il l’empala avec une infinie lenteur, sentant Son sexe plonger dans les fines parois de l’anus de Sa chienne. Elle, de son côté, mordit l’acier de son bâillon tant les sensations étaient fortes. Sa poitrine se levait et s’abaissait avec rythme. A nouveau elle voulait crier, pouvoir rabattre ses bras et ses ongles dans la peau du dos de ce pieu pourfendant son cul toujours plus loin. Elle sentit la garde du nœud de son Maître par la grosseur qui s’amplifiait. L’érection forte de son Maître était à son plus haut degré. Ils entraient à nouveau dans la ronde infernale menant au paroxysme des plaisirs ultimes. Le Marquis d’Evans possédait pleinement le cul de Sa femelle et ne bougeait plus d’une once pour laisser les sensations retomber d’un cran. Les deux Amants gisaient unis, unifiés, yeux dans les yeux comme hypnotisés l’un par l’autre. Ni l’un ni l’autre ne savaient plus à ce moment qui possédait l’autre. Symbiose de l’instant rompu par le Maître qui s’affala sur sa soumise pour se dégager de la tension de Ses bras mais également pour fermer les yeux de Sa belle :
- Nous allons repartir pour un autre voyage, Ma petite chienne, et je sais que je vais te demander beaucoup, je serai encore le seul à jouir.
A ces mots, il caressa la joue de Chris. Ce corps dont il avait repris possession en Grand Dominant qu’Il est. Il commença ses vas-et-viens lents mais intenses. Il se sentait de mieux en mieux dans le cul de Sa soumise, la possédant jusqu’au plus profond d’elle. Au gré de Ses coups de reins, Il la sentait vibrer et s’envoler toujours plus.
- Chut, tout doux, tout doux, Ma petite femelle de chienne.
Ce ton rassurant était désarmant dans la tête de Chris, elle surfait sur Sa vague. Le Marquis d’Evans accélérait, Il se sentait pris par l’excitation quasi bestiale de défoncer le cul de sa soumise, repoussant Sa jouissance au maximum. De Ses mouvements, Il sentait son cœur battre dans ses tempes, la sueur qui perlait sur le corps de sa soumise, perlait également sur le Sien.
- Tu aimes ça, ma petite salope, sentir que ton Maître te possède, te laboure le cul avec virilité. Hum… oui … Je le sens lorsque Je baise ce cul absolument divin que tu m’offres.
Dans l’élan, Il donna une fessée appuyée sur la fesse droite de Chris qui, toujours les yeux fermés, sursauta. Puis, Il caressa avec douceur la peau marquée de la trace de Sa main, s’appuyant sur la jambe gauche de Sa chienne en prenant bien soin de pouvoir être à la portée de son clito et appuyer son pouce. Chris suffoquait de se contenir, le Maître souriait tendrement. Lorsque, tout à coup, Il ne pouvait plus se retenir et dans un ultime et puissant coup de rein plongea au plus loin du fondement de Sa soumise pour se soulager de Sa semence en de longs et interminables râles de plaisirs jouissifs. Chris, dont c’était la première fois qu’elle goûtait à cela, à la sodomie, se raidit un peu sous les spasmes de son Maître.
- Voilà, Ma belle. Accueille le sperme de Ton Maître avec honneur. Je sais que Je te pousse très loin ce soir. C’est pour ton bien de bonne petite chienne que Je t’éduque ainsi en t’initiant à la sodomie. Afin que tu saches obéir lorsque Ton Maître l’aura décidé. Je sais que tu ne sais pas, pour le moment, combien c’est important pour toi et pour Nous. Accepte-le, accepte de me suivre où Je t’emmène et tu découvriras la suite.
Chris écoutait. Elle sentit alors son Maître se retirer en douceur et lui glisser un plug de bonne taille dans les fesses.
- Ainsi tu ne perdras pas une goutte de Ma noble semence pour le moment à cet endroit. Es-tu prête, Ma belle ? Nous allons maintenant gravir notre Everest !
La soumise se demandait quelle suite le Marquis d’Evans lui préparait. Le Maître, qui récupérait après Sa longue chevauchée, observait Sa soumise dont l’excitation était toujours à son comble.
(A suivre …)
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