La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°817)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°817)
Histoire écrite par esclave Phryné MDE - Le Marquis d’Evans dominant l’O – (Prologue) -
IL se prénommait Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans, un Noble Châtelain de génération en génération depuis des siècles, plus exactement depuis près de 400 ans, étant le digne descendant d’une lignée de Marquis arrivés d’Italie en France en 1623 et où le très riche premier Noble fit construire le Château dès 1625. Mais aussi Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans est un richissime businessman talentueux, et surtout le meilleur des Maîtres Domination/soumission, reconnu comme tel par chacun et chacune de Ses nombreux esclaves, mais également par ses pairs et toute la communauté BDSM, que ce soit localement ou même mondialement et cela bien avant même que se tiennent en son Château légendaire du Beaujolais " Les Mondiaux de la Domination/soumission "…
A contrario, elle n'était rien, … rien d'autre en tout cas que Son esclave librement asservie ! Le Maître Vénéré avait daigné la baptiser du nom de " esclave Phryné MDE ", lui permettant d'accoler ses Nobles Initiales au prénom qu'IL avait choisi pour celle qui restait consciente et reconnaissante de cet immense honneur qu'IL lui avait consenti en lui faisant une petite place à Ses Nobles pieds. L'esclave Phryné MDE trouvait son bonheur uniquement dans la satisfaction de Celui à qui elle avait choisi d'appartenir totalement et de Lui vouer toute sa vie, et ce tant que le Maître Vénéré accepterait de la garder à Ses pieds. Le Noble et puissant Dominant savourait avec une vraie délectation Domination/soumission de voir ramper à Ses pieds, avec servilité, obéissance et Dévotion, Sa propriété, Sa chose, Sa chienne, Sa femelle, Son esclave MDE…
Mais, Le Maître Vénéré en voulait encore plus, toujours plus, loin de se contenter (même s’il en était déjà largement satisfait) de ce qu’il avait obtenu pendant ces trois premières années de soumission qu’elle avait passé enfermée dans l’un des Cachots du Château. IL espérait pouvoir la conduire encore plus loin dans une abnégation absolue et totalement servile qui Lui permettrait en tant que Maître possédant de se sentir plus comblé dans Sa Dominance et qui devrait également rendre Sa femelle-soumise possédée encore plus heureuse d’être à Ses pieds, (même si elle était déjà très heureuse, comme elle ne cessait de le répéter de jour en jour). Le Marquis d’Evans avait décidé pour cela de renforcer l’impact du lien de la relation de Domination/soumission et de la prendre personnellement en mains encore plus intensément, en la gardant, pendant le temps qu’IL jugerait nécessaire, psychiquement sous Son contrôle permanent et physiquement toujours à proximité, même si de par sa condition d’esclave MDE, elle était toujours à disposition et sans discontinuité à Ses pieds (sauf que cela ne serait plus au sens figuré mais au sens propre dans la durée comme dans la permanence qu’il allait falloir l’entendre) …
Monsieur le Marquis d’Evans, grand Homme d’affaires dans le monde vanille autant que Grand Maître Domination/soumission dans le monde chocolat, avait décidé depuis de nombreux mois d’un projet d’envergure qui était sur le point d’aboutir. Tout cela avait été mené presqu’en secret, puisque seuls Ses collaborateurs investis dans la finalisation de cette affaire financière en avait eu connaissance. Au Château, personne n’était au courant de ce qui se tramait, et surtout pas les fidèles esclaves MDE, Phryné MDE pas plus que les autres… L’une des filiales de la Holding financière MDE s’était lancée dans un tourisme des plus particuliers, puisqu’il s’agissait de favoriser, pour une clientèle ciblée, aisée financièrement et privilégiée d’initiés, un BDSM de qualité ‘haut de gamme’ à l’abri des regards du monde extérieur, permettant de pouvoir vivre allégrement tous les plaisirs d’un érotisme raffiné et d’une sexualité débridée, tout en pouvant s’adonner librement aux pratiques qui relèvent autant du BD (Bondage-Discipline), que de la D/s (Domination/soumission) ou encore du SM (Sado-Masochisme), suivant les désirs et goûts de C/chacun.
Sous l’impulsion du brillant businessman dont les desseins étaient toujours fort avisés, le premier dossier que la filiale « ODYSSEE MDE » avait finalisé consistait en la création d’un paquebot de croisière de luxe qui voguerait sur les eaux de la Grande Bleue de manière continue, tout du moins pendant la première année. Mise à part son immense taille, il n’avait rien à voir avec les paquebots surpeuplés du tourisme de masse qui ressemblent à de vrais immeubles flottants appartenant à des compagnies commerciales qui proposent de faire en Méditerranée une croisière de 8 jours ou plus, avec escales et visites touristiques. Il ne s’agissait pas non plus de déplacer une multitude de milliers touristes vanille pour leur faire découvrir des lieux au demeurant fort attractifs, mais avant tout de permettre à un nombre très limité de riches adeptes du BDSM de pouvoir concilier leur passion dans un réel confort, tout en agrémentant leur séjour à bord d’un vrai repos salutaire pour des professionnels stressés et fatigués, auquel s’ajouteraient de nombreuses occasions de pouvoir profiter des plaisirs d’un voyage dépaysant autant que délassant… Le, néanmoins gigantesque, bateau avait été construit le plus discrètement possible dans les hangars, à l’abri de regards des badauds, dans les chantiers navals de Saint-Nazaire et mis à l’eau de nuit tout aussi discrètement pour rejoindre la Mer Méditerranée, car il était clair que de par sa forme inhabituelle, il aurait attiré une masse de curieux vanille intrigués par un paquebot qui ne correspondait pas à l’idée traditionnelle que l’on pouvait s’en faire. L’Odyssée en était donc son nom et ce paquebot aussi grand par sa longueur et largeur, que ceux de croisière de masse citées plus haut, était bien plus grand que les majestueux yachts de milliardaires, puisqu’il comportait environ une centaine de suites pour accueillir ceux qui séjourneraient à bord pour quelques heures, quelques jours, voire de plus longues périodes.
Le paquebot L’Odyssée à finalité Domination/soumission réserverait bien des surprises à tous ses occupants car il avait été pensé dans les moindres détails pour allier à bord véritablement « luxe et luxure » (telle serait sa devise) dans un raffinement qui ne devait pas surprendre tous ceux qui connaissaient les habitudes de Monsieur le Marquis d’Evans. Les donjons et espaces réservés aux diverses pratiques Domination/soumission étaient parmi les plus réfléchis dans les moindres détails, avec tous les équipements nécessaires au monde BDSM, que cela aurait presque pu rendre jaloux le Marquis d’Evans lui-même de n’avoir guère mieux à offrir en Son Château, pourtant reconnu par tous comme un des lieux les plus célèbres dans le monde de la Domination/soumission, et de surcroît par ceux qui avaient eu la chance d’y être invités comme le meilleur site de tous ceux qu’ils avaient pu fréquenter jusque là… Mais, ce qui était le plus remarquable était le fait qu’à mi-chemin, entre la proue et la poupe du navire, on se serait presque cru transporté dans ce petit coin du Beaujolais où la Noble famille des Evans avait depuis des générations résidé dans la Demeure familiale construite par le premier Marquis du nom, comme rappelé en début de ce prologue. L’architecte naval chargé de la construction de l’Odyssée avait dû plancher quelques heures pour trouver le moyen d’installer sur la partie médiane du pont supérieur une réplique du célèbre et légendaire Noble Château du Marquis d’Evans qui avait été reproduite tout du moins dans son apparence. Il n’avait pas été possible de construire pierre après pierre un édifice identique car les proportions de l’immense Château ne le permettait pas, mais l’intégralité des façades le laissaient croire, même si on avait joué sur les proportions pour adapter le dedans qui se devait d’être habitable et l’extérieur qui se devait d’être le plus ressemblant possible. A l’intérieur de l’édifice, plusieurs pièces avaient été reproduites presque à l’identique, si bien que les passagers à bord du paquebot pourraient presque avoir le sentiment que par une sorte de nouvelle technologie de « télé-transportation » dont on n’entend parler que dans les films de science-fiction, ils auraient été désintégrés et transportés sur les Terres du Marquis situé sur un tout autre parallèle terrestre, bien loin de la Grande Bleue…
Le paquebot était donc fin prêt à faire son premier voyage. Monsieur le Marquis d’Evans avait décidé de rejoindre l’Odyssée tout d’abord pour participer aux premières soirées inaugurales qui seraient organisées avant le réel lancement du bateau pour sa première croisière. Mais par la suite, IL avait prévu d’y rester pour un séjour relativement long, quitte à ce qu’IL fasse plusieurs allers-retours à bord si Ses activités professionnelles ou Ses engagements personnels l’obligeaient à revenir dans son fief d’origine. L’Odyssée était équipé d’une piste d’atterrissage pour hélicoptère, ce qui Lui permettrait de rejoindre assez rapidement un aéroport où son jet privé et son pilote attitré le conduirait directement sur Lyon en un temps relativement réduit… Cela faisait des années que Le Châtelain ne s’était pas octroyé de longues vacances estivales et IL était très désireux de visiter les pourtours de la Méditerranée à la rencontre ou redécouverte des lieux qui le fascinaient tant, de par leurs liens avec la mythologie grecque et romaine dont IL était si friand. C’est d’ailleurs non sans raison que le businessman avait baptisé Son prestigieux navire, repensant par son nom L’Odyssée, à la fois à l’Antique Odyssée d’Ulysse dépeinte à travers le récit d’Homère, autant qu’à l’histoire de la Belle Hélène de Troie dont Le Marquis d’Evans avait conté une aventure revisitée à la sauce Domination/soumission pour son lectorat toujours aussi enchanté par les talents du prodigieux écrivain D/s qu’IL était, dès qu’IL avait le temps de se mettre à son écritoire (cf. L’Odyssée de la Belle Hélène, une de ses œuvres majeures de sa Grande Bibliothèque)…
(Le premier épisode suite ce prologue est à suivre …)
IL se prénommait Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans, un Noble Châtelain de génération en génération depuis des siècles, plus exactement depuis près de 400 ans, étant le digne descendant d’une lignée de Marquis arrivés d’Italie en France en 1623 et où le très riche premier Noble fit construire le Château dès 1625. Mais aussi Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans est un richissime businessman talentueux, et surtout le meilleur des Maîtres Domination/soumission, reconnu comme tel par chacun et chacune de Ses nombreux esclaves, mais également par ses pairs et toute la communauté BDSM, que ce soit localement ou même mondialement et cela bien avant même que se tiennent en son Château légendaire du Beaujolais " Les Mondiaux de la Domination/soumission "…
A contrario, elle n'était rien, … rien d'autre en tout cas que Son esclave librement asservie ! Le Maître Vénéré avait daigné la baptiser du nom de " esclave Phryné MDE ", lui permettant d'accoler ses Nobles Initiales au prénom qu'IL avait choisi pour celle qui restait consciente et reconnaissante de cet immense honneur qu'IL lui avait consenti en lui faisant une petite place à Ses Nobles pieds. L'esclave Phryné MDE trouvait son bonheur uniquement dans la satisfaction de Celui à qui elle avait choisi d'appartenir totalement et de Lui vouer toute sa vie, et ce tant que le Maître Vénéré accepterait de la garder à Ses pieds. Le Noble et puissant Dominant savourait avec une vraie délectation Domination/soumission de voir ramper à Ses pieds, avec servilité, obéissance et Dévotion, Sa propriété, Sa chose, Sa chienne, Sa femelle, Son esclave MDE…
Mais, Le Maître Vénéré en voulait encore plus, toujours plus, loin de se contenter (même s’il en était déjà largement satisfait) de ce qu’il avait obtenu pendant ces trois premières années de soumission qu’elle avait passé enfermée dans l’un des Cachots du Château. IL espérait pouvoir la conduire encore plus loin dans une abnégation absolue et totalement servile qui Lui permettrait en tant que Maître possédant de se sentir plus comblé dans Sa Dominance et qui devrait également rendre Sa femelle-soumise possédée encore plus heureuse d’être à Ses pieds, (même si elle était déjà très heureuse, comme elle ne cessait de le répéter de jour en jour). Le Marquis d’Evans avait décidé pour cela de renforcer l’impact du lien de la relation de Domination/soumission et de la prendre personnellement en mains encore plus intensément, en la gardant, pendant le temps qu’IL jugerait nécessaire, psychiquement sous Son contrôle permanent et physiquement toujours à proximité, même si de par sa condition d’esclave MDE, elle était toujours à disposition et sans discontinuité à Ses pieds (sauf que cela ne serait plus au sens figuré mais au sens propre dans la durée comme dans la permanence qu’il allait falloir l’entendre) …
Monsieur le Marquis d’Evans, grand Homme d’affaires dans le monde vanille autant que Grand Maître Domination/soumission dans le monde chocolat, avait décidé depuis de nombreux mois d’un projet d’envergure qui était sur le point d’aboutir. Tout cela avait été mené presqu’en secret, puisque seuls Ses collaborateurs investis dans la finalisation de cette affaire financière en avait eu connaissance. Au Château, personne n’était au courant de ce qui se tramait, et surtout pas les fidèles esclaves MDE, Phryné MDE pas plus que les autres… L’une des filiales de la Holding financière MDE s’était lancée dans un tourisme des plus particuliers, puisqu’il s’agissait de favoriser, pour une clientèle ciblée, aisée financièrement et privilégiée d’initiés, un BDSM de qualité ‘haut de gamme’ à l’abri des regards du monde extérieur, permettant de pouvoir vivre allégrement tous les plaisirs d’un érotisme raffiné et d’une sexualité débridée, tout en pouvant s’adonner librement aux pratiques qui relèvent autant du BD (Bondage-Discipline), que de la D/s (Domination/soumission) ou encore du SM (Sado-Masochisme), suivant les désirs et goûts de C/chacun.
Sous l’impulsion du brillant businessman dont les desseins étaient toujours fort avisés, le premier dossier que la filiale « ODYSSEE MDE » avait finalisé consistait en la création d’un paquebot de croisière de luxe qui voguerait sur les eaux de la Grande Bleue de manière continue, tout du moins pendant la première année. Mise à part son immense taille, il n’avait rien à voir avec les paquebots surpeuplés du tourisme de masse qui ressemblent à de vrais immeubles flottants appartenant à des compagnies commerciales qui proposent de faire en Méditerranée une croisière de 8 jours ou plus, avec escales et visites touristiques. Il ne s’agissait pas non plus de déplacer une multitude de milliers touristes vanille pour leur faire découvrir des lieux au demeurant fort attractifs, mais avant tout de permettre à un nombre très limité de riches adeptes du BDSM de pouvoir concilier leur passion dans un réel confort, tout en agrémentant leur séjour à bord d’un vrai repos salutaire pour des professionnels stressés et fatigués, auquel s’ajouteraient de nombreuses occasions de pouvoir profiter des plaisirs d’un voyage dépaysant autant que délassant… Le, néanmoins gigantesque, bateau avait été construit le plus discrètement possible dans les hangars, à l’abri de regards des badauds, dans les chantiers navals de Saint-Nazaire et mis à l’eau de nuit tout aussi discrètement pour rejoindre la Mer Méditerranée, car il était clair que de par sa forme inhabituelle, il aurait attiré une masse de curieux vanille intrigués par un paquebot qui ne correspondait pas à l’idée traditionnelle que l’on pouvait s’en faire. L’Odyssée en était donc son nom et ce paquebot aussi grand par sa longueur et largeur, que ceux de croisière de masse citées plus haut, était bien plus grand que les majestueux yachts de milliardaires, puisqu’il comportait environ une centaine de suites pour accueillir ceux qui séjourneraient à bord pour quelques heures, quelques jours, voire de plus longues périodes.
Le paquebot L’Odyssée à finalité Domination/soumission réserverait bien des surprises à tous ses occupants car il avait été pensé dans les moindres détails pour allier à bord véritablement « luxe et luxure » (telle serait sa devise) dans un raffinement qui ne devait pas surprendre tous ceux qui connaissaient les habitudes de Monsieur le Marquis d’Evans. Les donjons et espaces réservés aux diverses pratiques Domination/soumission étaient parmi les plus réfléchis dans les moindres détails, avec tous les équipements nécessaires au monde BDSM, que cela aurait presque pu rendre jaloux le Marquis d’Evans lui-même de n’avoir guère mieux à offrir en Son Château, pourtant reconnu par tous comme un des lieux les plus célèbres dans le monde de la Domination/soumission, et de surcroît par ceux qui avaient eu la chance d’y être invités comme le meilleur site de tous ceux qu’ils avaient pu fréquenter jusque là… Mais, ce qui était le plus remarquable était le fait qu’à mi-chemin, entre la proue et la poupe du navire, on se serait presque cru transporté dans ce petit coin du Beaujolais où la Noble famille des Evans avait depuis des générations résidé dans la Demeure familiale construite par le premier Marquis du nom, comme rappelé en début de ce prologue. L’architecte naval chargé de la construction de l’Odyssée avait dû plancher quelques heures pour trouver le moyen d’installer sur la partie médiane du pont supérieur une réplique du célèbre et légendaire Noble Château du Marquis d’Evans qui avait été reproduite tout du moins dans son apparence. Il n’avait pas été possible de construire pierre après pierre un édifice identique car les proportions de l’immense Château ne le permettait pas, mais l’intégralité des façades le laissaient croire, même si on avait joué sur les proportions pour adapter le dedans qui se devait d’être habitable et l’extérieur qui se devait d’être le plus ressemblant possible. A l’intérieur de l’édifice, plusieurs pièces avaient été reproduites presque à l’identique, si bien que les passagers à bord du paquebot pourraient presque avoir le sentiment que par une sorte de nouvelle technologie de « télé-transportation » dont on n’entend parler que dans les films de science-fiction, ils auraient été désintégrés et transportés sur les Terres du Marquis situé sur un tout autre parallèle terrestre, bien loin de la Grande Bleue…
Le paquebot était donc fin prêt à faire son premier voyage. Monsieur le Marquis d’Evans avait décidé de rejoindre l’Odyssée tout d’abord pour participer aux premières soirées inaugurales qui seraient organisées avant le réel lancement du bateau pour sa première croisière. Mais par la suite, IL avait prévu d’y rester pour un séjour relativement long, quitte à ce qu’IL fasse plusieurs allers-retours à bord si Ses activités professionnelles ou Ses engagements personnels l’obligeaient à revenir dans son fief d’origine. L’Odyssée était équipé d’une piste d’atterrissage pour hélicoptère, ce qui Lui permettrait de rejoindre assez rapidement un aéroport où son jet privé et son pilote attitré le conduirait directement sur Lyon en un temps relativement réduit… Cela faisait des années que Le Châtelain ne s’était pas octroyé de longues vacances estivales et IL était très désireux de visiter les pourtours de la Méditerranée à la rencontre ou redécouverte des lieux qui le fascinaient tant, de par leurs liens avec la mythologie grecque et romaine dont IL était si friand. C’est d’ailleurs non sans raison que le businessman avait baptisé Son prestigieux navire, repensant par son nom L’Odyssée, à la fois à l’Antique Odyssée d’Ulysse dépeinte à travers le récit d’Homère, autant qu’à l’histoire de la Belle Hélène de Troie dont Le Marquis d’Evans avait conté une aventure revisitée à la sauce Domination/soumission pour son lectorat toujours aussi enchanté par les talents du prodigieux écrivain D/s qu’IL était, dès qu’IL avait le temps de se mettre à son écritoire (cf. L’Odyssée de la Belle Hélène, une de ses œuvres majeures de sa Grande Bibliothèque)…
(Le premier épisode suite ce prologue est à suivre …)
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