La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°836)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°836)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°835) –
On le détacha puis le god fut positionné et tous purent voir le mouvement furieux du bassin d’Olivier vers celui-ci, seul l’intromission de l’objet et le mouvement de vas et viens pouvait le calmer. Le soumis rugit quand le god rentra et brutalement commença à montrer à tous comment une chienne en chaleur se calmait. L’assemblée prit plaisir à voir la scène, Monsieur le Marquis savait organiser des soirées riches par la variété du déroulé, ainsi le soumis montra à tous sa faculté à répondre positivement à tous les stimuli. Ce soir il n’y aurait peut-être plus de limite à l’asservissement de ce chien soumis. Il serait sûrement empalé sur un god avec les bras attachés de part et d’autres à un palan permettant de le sodomiser avec le seul poids de son corps. Mais pour l’instant, ils assistaient au godage de ce chien soumis et celui-ci pour calmer le feu de l’onguent se godait de plus en plus vite, un râle sortait de sa bouche, il devait à tout prix se calmer et seul le frottement du god sur la paroi de son anus lui procurait un soulagement qui calmait ses démangeaisons. Le Noble souriait, il savait que ce chien réclamerait de la queue toute la soirée mais il devrait aussi lécher les chattes des Dames présentes comme un bon chienchien soumis.
Après cette sodomie du god à y être bien empalé, son cul serait souple et bien ouvert, et à la fin de la soirée le Maître prévoyait que Walter, le Majordome vienne le sodomiser avec le moule en plastique d’un sexe d’un des chevaux de son écurie et ceci serait le clou de la soirée mais cela Olivier ne la savait pas encore. Pour l’instant il se souciait de calmer ce feu dans son anus qu’il sentait à l’intérieur de ses entrailles, car le god dans le mouvement de vas et viens avait ramené dans son fondement l’onguent. Monsieur le Marquis voyant cela décida qu’il était temps de s’occuper de la bouche du soumis, le docteur qui s’était porté volontaire pour sodomiser le soumis serait le premier à jouir dans sa bouche. Le Maître lui signifia alors :
- Mon cher ami, regardez comment ce chien se sodomise mais il râle comme une truie cela me chagrine, pourriez-vous lui prendre la bouche de votre vît, je suis sûr qu’il mettra autant d’ardeur à vous sucer…
Le docteur n’attendait que cela, il connaissait bien Olivier pour l’avoir rencontré en consultation et ce soir il allait pouvoir profiter de sa bouche. Alors sans hésiter, il dégrafa son pantalon et le gland déjà gonflé de désir se positionna sur les lèvres d’Olivier, au moment où celui-ci ouvrit la bouche pour gémir sa queue s’engouffra d’un coup, il sentit son gland heurter le fond de la gorge du soumis, il aimait cela prendre pleinement possession. Il resta ainsi sans bouger quelques secondes puis sans ménagement il besogna la bouche offerte, sa main attrapa la chevelure d’Olivier lui permettant ainsi de s’engouffrer encore plus loin. Le soumis suffoquait, il s’assit alors sur le god pour mieux résister au mouvement puissant de l’homme qui lui baisait la bouche, il n’en revenait pas que c’était son médecin qui poussait sa queue en sa cavité buccale. Le docteur voyant qu’il avait été reconnu par Olivier celui-ci très excité et donc qui ne débandait pas, le docteur donc s’exclama alors :
- Monsieur le Marquis regardez, je ne me suis pas trompé sur mon diagnostic, cette pute ne refuse pas ma grosse queue… il a une bouche bien accueillante, humide et chaude, bien poisseuse… elle mouille de la bouche cette chienne, Quel pied !
Et d’un dernier mouvement de bassin, il éjacula, Olivier sentit alors les jets de sperme lui tapisser le fond de la gorge tel un vagin il recevait la semence du mâle qui le possédait. Le soumis avala le foutre avec gourmandise … Satisfait, le toubib dégagea son sexe, un filet de mouille ou de sperme s’étalait des lèvres d’Olivier à son gland, il avait bien joui dans la bouche, la haute assemblée applaudit alors. Le soumis prit cela pour une récompense, il était content de voir qu’il tenait son rôle, il souhaitait obtenir la satisfaction du Maître. Le médecin s’écarta alors mais prit le temps d’essuyer sa queue sur la joue d’Olivier :
- Tiens petit pute, il en reste encore.
Une fois cela fait, il rejoint Monsieur le Marquis un sourire narquois éclaira son visage :
- Comment était la bouche de ce petit chien ?
- Bonne cher ami, bien humide, j’ai sentis sa langue prendre possession de mon gland.
- Pensez-vous mon ami, vous qui êtes Médecin qu’il était vierge de la bouche ?
- Je ne le pense pas, car c’est évident qu’il a déjà pratiqué des fellations à voir comme il s’est bien appliqué à humidifier mon sexe, il a une certaine expérience mais tout cela est mieux pour nous. Vous verrez tout à l’heure quand vous investirez à votre tour cette bouche de pute.
Le Noble était satisfait de la réponse que tout le monde avait entendu. Olivier comprit que ce soir, il allait devoir sucer de nombreuses queues mais seul celle du Maître comptait pour lui. Monsieur le Marquis s’adressa alors aux Dominas présentes :
- Mesdames, voulez-vous que ce chien vous honore ?
Les quelques femmes présentes firent effectivement savoir qu’elles aimeraient profiter de la langue d’Olivier, le docteur les avaient renseignées qu’il avait une langue souple qui avait pris le temps de lécher le gland de son médecin. Sur leur clitoris cette langue ferait peut-être des merveilles, alors la première s’approcha en lui lançant autoritairement :
- Aller le chien, montre-moi si tu sais faire ! Viens lécher ma chatte avec ta langue de putain.
Se faisant, sa vulve fut à portée de la bouche du soumis, mais contrairement à la queue du médecin qui s’était engouffré Olivier prit trop son temps, il n’aurait pas dû car la Domina ne semblait ne prendre aucun plaisir... La femme lui infligea de suite une magistrale paire de gifles pour lui montrer qu’il ne savait pas apporter du plaisir à une femme. Le Noble faisant ce constat que le soumis venait de fauter, une correction s’imposait.
- Chien comment ? Tu prends ton temps ! Tu te crois où ? Au supermarché ou tu peux prendre le temps de choisir tel ou tel produit ? Tu mérites une punition. Mesdames attachez le à la croix de Saint André.
Olivier fut emmené et le god quitta tout seul son fondement, le bruit qu’il fit en tombant par terre fit ricaner l’assistance. Suite à cette nouvelle humiliation, il bandait de nouveau fort Les trois femmes sévères qui constituaient les éléments féminins de l’assemblée, l’attachèrent à la Croix de Saint André. Le Châtelain s’approcha et s’exclama :
- Puisque tu es incapable de donner du plaisir aux femmes, à une Domina de plus est, tu vas recevoir une correction de ces trois Dominas… Mesdames, le fouet vous attend, montrez-nous votre dextérité qui je le sais fait toujours merveille !
La première le prit dans ses mains et le fit claquer en l’air d’un coup sec.
- Mesdames, dit Monsieur le Marquis je vous accorde à chacune cinq coups. Quant à toi le chien soumis, tu devras à chaque coup, présenter tes excuses de ton comportement et tu diras à haute voix que tu n’es qu’un chien juste bon à être enculé. Tu as compris, la pute ?
- Oui, oui Maître je ne suis qu’un chien juste bon à être enculé, Maître.
- Bon eh bien puisque, tu le dis je vais par moi-même vérifier cela, répliqua le Noble avec perversité. Mesdames détachez-le et amenez-le moi. (une fois le soumis se trouvant devant le Châtelain) Le chien, en levrette, face contre terre, les jambes écartées, le cul bien relevé, j’ai dit, conclut-il avec autorité…
Olivier allait recevoir dans son fondement, le noble sexe de Monsieur le Marquis. Il entendit le bruit du ceinturon qui se défaisait, la fermeture éclair, dans un instant le Maître allait le pénétrer, le posséder, le baiser, l’enculer...
- Chien reçoit Ma noble queue et je veux t’entendre dire que tu la souhaites !
- Oui Maître. Mon cul vous appartient, prenez et jouissez... Je vous remercie de me prendre, Maître …
(A suivre…)
On le détacha puis le god fut positionné et tous purent voir le mouvement furieux du bassin d’Olivier vers celui-ci, seul l’intromission de l’objet et le mouvement de vas et viens pouvait le calmer. Le soumis rugit quand le god rentra et brutalement commença à montrer à tous comment une chienne en chaleur se calmait. L’assemblée prit plaisir à voir la scène, Monsieur le Marquis savait organiser des soirées riches par la variété du déroulé, ainsi le soumis montra à tous sa faculté à répondre positivement à tous les stimuli. Ce soir il n’y aurait peut-être plus de limite à l’asservissement de ce chien soumis. Il serait sûrement empalé sur un god avec les bras attachés de part et d’autres à un palan permettant de le sodomiser avec le seul poids de son corps. Mais pour l’instant, ils assistaient au godage de ce chien soumis et celui-ci pour calmer le feu de l’onguent se godait de plus en plus vite, un râle sortait de sa bouche, il devait à tout prix se calmer et seul le frottement du god sur la paroi de son anus lui procurait un soulagement qui calmait ses démangeaisons. Le Noble souriait, il savait que ce chien réclamerait de la queue toute la soirée mais il devrait aussi lécher les chattes des Dames présentes comme un bon chienchien soumis.
Après cette sodomie du god à y être bien empalé, son cul serait souple et bien ouvert, et à la fin de la soirée le Maître prévoyait que Walter, le Majordome vienne le sodomiser avec le moule en plastique d’un sexe d’un des chevaux de son écurie et ceci serait le clou de la soirée mais cela Olivier ne la savait pas encore. Pour l’instant il se souciait de calmer ce feu dans son anus qu’il sentait à l’intérieur de ses entrailles, car le god dans le mouvement de vas et viens avait ramené dans son fondement l’onguent. Monsieur le Marquis voyant cela décida qu’il était temps de s’occuper de la bouche du soumis, le docteur qui s’était porté volontaire pour sodomiser le soumis serait le premier à jouir dans sa bouche. Le Maître lui signifia alors :
- Mon cher ami, regardez comment ce chien se sodomise mais il râle comme une truie cela me chagrine, pourriez-vous lui prendre la bouche de votre vît, je suis sûr qu’il mettra autant d’ardeur à vous sucer…
Le docteur n’attendait que cela, il connaissait bien Olivier pour l’avoir rencontré en consultation et ce soir il allait pouvoir profiter de sa bouche. Alors sans hésiter, il dégrafa son pantalon et le gland déjà gonflé de désir se positionna sur les lèvres d’Olivier, au moment où celui-ci ouvrit la bouche pour gémir sa queue s’engouffra d’un coup, il sentit son gland heurter le fond de la gorge du soumis, il aimait cela prendre pleinement possession. Il resta ainsi sans bouger quelques secondes puis sans ménagement il besogna la bouche offerte, sa main attrapa la chevelure d’Olivier lui permettant ainsi de s’engouffrer encore plus loin. Le soumis suffoquait, il s’assit alors sur le god pour mieux résister au mouvement puissant de l’homme qui lui baisait la bouche, il n’en revenait pas que c’était son médecin qui poussait sa queue en sa cavité buccale. Le docteur voyant qu’il avait été reconnu par Olivier celui-ci très excité et donc qui ne débandait pas, le docteur donc s’exclama alors :
- Monsieur le Marquis regardez, je ne me suis pas trompé sur mon diagnostic, cette pute ne refuse pas ma grosse queue… il a une bouche bien accueillante, humide et chaude, bien poisseuse… elle mouille de la bouche cette chienne, Quel pied !
Et d’un dernier mouvement de bassin, il éjacula, Olivier sentit alors les jets de sperme lui tapisser le fond de la gorge tel un vagin il recevait la semence du mâle qui le possédait. Le soumis avala le foutre avec gourmandise … Satisfait, le toubib dégagea son sexe, un filet de mouille ou de sperme s’étalait des lèvres d’Olivier à son gland, il avait bien joui dans la bouche, la haute assemblée applaudit alors. Le soumis prit cela pour une récompense, il était content de voir qu’il tenait son rôle, il souhaitait obtenir la satisfaction du Maître. Le médecin s’écarta alors mais prit le temps d’essuyer sa queue sur la joue d’Olivier :
- Tiens petit pute, il en reste encore.
Une fois cela fait, il rejoint Monsieur le Marquis un sourire narquois éclaira son visage :
- Comment était la bouche de ce petit chien ?
- Bonne cher ami, bien humide, j’ai sentis sa langue prendre possession de mon gland.
- Pensez-vous mon ami, vous qui êtes Médecin qu’il était vierge de la bouche ?
- Je ne le pense pas, car c’est évident qu’il a déjà pratiqué des fellations à voir comme il s’est bien appliqué à humidifier mon sexe, il a une certaine expérience mais tout cela est mieux pour nous. Vous verrez tout à l’heure quand vous investirez à votre tour cette bouche de pute.
Le Noble était satisfait de la réponse que tout le monde avait entendu. Olivier comprit que ce soir, il allait devoir sucer de nombreuses queues mais seul celle du Maître comptait pour lui. Monsieur le Marquis s’adressa alors aux Dominas présentes :
- Mesdames, voulez-vous que ce chien vous honore ?
Les quelques femmes présentes firent effectivement savoir qu’elles aimeraient profiter de la langue d’Olivier, le docteur les avaient renseignées qu’il avait une langue souple qui avait pris le temps de lécher le gland de son médecin. Sur leur clitoris cette langue ferait peut-être des merveilles, alors la première s’approcha en lui lançant autoritairement :
- Aller le chien, montre-moi si tu sais faire ! Viens lécher ma chatte avec ta langue de putain.
Se faisant, sa vulve fut à portée de la bouche du soumis, mais contrairement à la queue du médecin qui s’était engouffré Olivier prit trop son temps, il n’aurait pas dû car la Domina ne semblait ne prendre aucun plaisir... La femme lui infligea de suite une magistrale paire de gifles pour lui montrer qu’il ne savait pas apporter du plaisir à une femme. Le Noble faisant ce constat que le soumis venait de fauter, une correction s’imposait.
- Chien comment ? Tu prends ton temps ! Tu te crois où ? Au supermarché ou tu peux prendre le temps de choisir tel ou tel produit ? Tu mérites une punition. Mesdames attachez le à la croix de Saint André.
Olivier fut emmené et le god quitta tout seul son fondement, le bruit qu’il fit en tombant par terre fit ricaner l’assistance. Suite à cette nouvelle humiliation, il bandait de nouveau fort Les trois femmes sévères qui constituaient les éléments féminins de l’assemblée, l’attachèrent à la Croix de Saint André. Le Châtelain s’approcha et s’exclama :
- Puisque tu es incapable de donner du plaisir aux femmes, à une Domina de plus est, tu vas recevoir une correction de ces trois Dominas… Mesdames, le fouet vous attend, montrez-nous votre dextérité qui je le sais fait toujours merveille !
La première le prit dans ses mains et le fit claquer en l’air d’un coup sec.
- Mesdames, dit Monsieur le Marquis je vous accorde à chacune cinq coups. Quant à toi le chien soumis, tu devras à chaque coup, présenter tes excuses de ton comportement et tu diras à haute voix que tu n’es qu’un chien juste bon à être enculé. Tu as compris, la pute ?
- Oui, oui Maître je ne suis qu’un chien juste bon à être enculé, Maître.
- Bon eh bien puisque, tu le dis je vais par moi-même vérifier cela, répliqua le Noble avec perversité. Mesdames détachez-le et amenez-le moi. (une fois le soumis se trouvant devant le Châtelain) Le chien, en levrette, face contre terre, les jambes écartées, le cul bien relevé, j’ai dit, conclut-il avec autorité…
Olivier allait recevoir dans son fondement, le noble sexe de Monsieur le Marquis. Il entendit le bruit du ceinturon qui se défaisait, la fermeture éclair, dans un instant le Maître allait le pénétrer, le posséder, le baiser, l’enculer...
- Chien reçoit Ma noble queue et je veux t’entendre dire que tu la souhaites !
- Oui Maître. Mon cul vous appartient, prenez et jouissez... Je vous remercie de me prendre, Maître …
(A suivre…)
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