La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°847)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°847)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°846) –
Le lendemain c’est Walter, lui-même, qui vint me chercher et m’emmena au Château, après que le Maître eut quitté les lieux. Il m’emmena dans une salle de soin, où se trouvaient en position d’attente soumise Laïs MDE, esclave Phryné MDE et esclave Endymion MDE. L’un fut chargé de me laver, voir même récurer au gant de crin, l’une de traquer le moindre poil à la pince à épiler, et la dernière de me maquiller. Auparavant le Majordome avait vidé mes orifices. Mes trois frères et sœurs de soumission m’accompagnèrent ensuite à la cuisine où Marie, la sévère cuisinière, nous attendait, pour un travail d’orfèvre. Je fus transformée en gâteau ressemblant à un chien. Ma tête fut enfermée dans une cagoule afin de ne pas salir les cheveux et surtout par mesure d’hygiène avec la nourriture, un masque de chien fut placer sur mon visage pour ne pas que l’on puisse me reconnaître, sans pour autant abimer le magnifique maquillage que soumise Laïs MDE m’avait fait. Je fus installée sur un large plateau, en position standard, à ceci près qu’au lieu d’avoir la tête tournée sur le côté, je dus la garder droite regardant en face de moi.
- Chienne écoute moi bien, me dit Marie. Tu n’as pas intérêt à bouger de tout le temps où tu seras sur ce plateau ! Oui ce sera dur, et tu ressentiras rapidement de la douleur dans tes muscles ! Mais si tu bouges, tu vas casser le chef d’œuvre que je vais faire. Tu subiras le courroux de Monsieur le marquis, et n’en doute surtout pas, le mien aussi ! Alors concentre-toi. C’est un immense honneur que d’être à ta place ! Tous n’ont pas cette chance, car les arrivées sont nombreuses dans une année, et être la dernière chienne venue n’est pas donné à tout le monde.
Je baissais la tête un peu plus pour montrer mon acceptation, n’ayant reçu aucune autorisation de parler. Mes frère et sœurs aidèrent Marie, sous ses directives strictes, à poser sur moi fond de gâteau aux amandes, couche de praliné croustillant et couche de mousse au chocolat… Il était tard, le repas avait commencé à être servi... Jusqu’au moment du dessert qui n’était plus très loin, et je fus mise en attente dans un des frigos. Ma garniture m’empêchait d’avoir trop froid. La position devenait douloureuse, mes muscles se tétanisaient. Mais je restais immobile. Je voulais que le Maître puisse être fier de moi. Et je ne voulais surtout pas gâcher Son anniversaire ! On vint me chercher, pour installer les cinquante-quatre bougies sur tout le gâteau. J’aurai aimé pouvoir voir à quoi je ressemblais ! Le plateau était sur une large desserte. Elle fut tirée par esclave Endymion MDE et poussée par esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE…
On me mena vers la grande salle à manger, et nous entrâmes au moment où commença à résonner la chanson traditionnelle d’anniversaire. Les parts du dessert avaient été préalablement découpées afin que je ne sois pas blessée par la suite. Je fus amenée devant le Maître, qui essayait avec un petit sourire espiègle de deviner qui se cachait derrière le masque. Mes frère et sœurs de soumission se prosternèrent devant Lui en triangle autour de la desserte. Après des caresses tendres à chacun, Il les envoya en attente derrière Lui, et Il put souffler Ses bougies, sur les bravos et les applaudissements de Ses convives… Avant d’enlever mon masque, le Marquis remercia les personnes présentes mais aussi Walter et Marie pour le travail effectué. Puis Il plongea Ses yeux dans les miens à travers le masque, Il eut l’air surpris, voir dubitatif, puis Il se décida à soulever la tête de chien qui me recouvrait. Un sourire tendre et radieux illumina Son visage. On aurait cru un enfant aux grands yeux ouverts devant sa surprise ! J’étais heureuse d’être venue, j’aurai donné n’importe quoi pour voir l’expression de pur bonheur sur Son visage à ce moment-là !
- Que voilà une chienne bien appétissante, dit le Châtelain à voix haute. Que tout le monde soit servi de ce merveilleux dessert concocté par Marie que je félicite encore. Nul doute qu’il ravira nos papilles et plus encore par la suite !
Effectivement une fois tout le monde servi, de nombreux Dominants et Dominantes, vinrent me lécher, mais aussi se faire lécher, sucer. J’essayais de satisfaire toute personne qui se présentait devant moi. Mais je ne voyais pas approcher la seule personne qui comptait pour moi. Il allait de personne en personne, saluait, discutait, verre de champagne en main. Il s’occupait tour à tour de mon frère ou de mes sœurs, les caressant, les pénétrant, les faisant jouir, et se vidant en eux. Mais il ne s’approchait pas de moi. Je me sentais frustrée et en même temps terriblement excitée par l’attente. Je savais que je devais passer la nuit à Ses côtés. Mais il ne prenait même pas le temps de me jeter un regard. Avais-je mal interprété Son regard ? N’était-Il pas heureux que je sois Son cadeau cette année ?... Je restais à la disposition des Invités pendant tout le début d’après-midi, pendant que le café était servi. Je me sentais sale, de gâteau, de sécrétions féminines, de sperme… terriblement frustrée d’avoir été prise par tous mes trous de chienne sans avoir eu une seule fois le droit de jouir.
Enfin les convives se dispersèrent et alors que je vis le Maître sortir de la pièce les laisses de mes frère et sœurs en main, certainement pour une après-midi torridement D/s. Je fus emmenée par d’autres esclaves afin d’être nettoyée. Et on m’envoya au Grand Chenil, jusqu’après le repas du soir. N’ayant rien d’autre à faire, je me reposais. Après la longue route et la matinée chargée, j’étais épuisée et j’accueillais ce repos avec plaisir, même si ma frustration ne me laissait pas tranquille ! J’aurais voulu pouvoir me caresser, mais je savais que je n’y étais pas autorisée… Assez tard, à la vue de la nuit qui était tombée, (bien qu’étant bien avancé en automne et après le changement d’heure, la nuit était présente désormais tôt !) j’entendis des bruits de pas approcher. Je me mis donc en position standard et attendait. Je ne voyais pas l’entrée du chenil, ne me permettant donc pas de savoir qui arrivait.
- Ma petite chienne adorable ! Quelle surprise ça a été de te voir en Ma Demeure aujourd’hui ! Une bonne surprise ! Suis-moi ! Je ne veux pas passer ma soirée et ma nuit d’anniversaire tout seul.
Et il saisit ma laisse pour m’entraîner vers Sa chambre. Lorsque nous y fûmes, le Maître exigea que je le dévêtisse.
- C’est mon anniversaire, mais je vais te laisser éteindre ma bougie, petite chienne !
Je m’agenouillais donc devant Son noble membre dressé et déjà bien épais. Je commençais par lécher, palper Ses couilles, ma langue remonta le long de Sa verge, je tétais son gland violacé. Le Marquis me laissait faire, un sourire aux lèvres. Puis, je le pris enfin en bouche, doucement, plus je faisais de vas et viens, et plus je l’enfonçais profondément en bouche, jusqu’à l’avoir enfoncé le plus profondément possible. À ce moment-là, Il ne me laissa pas me retirer, Il bloqua ma tête, restant au fond de ma gorge à m‘en étouffer ! Puis reprenant entièrement les rennes, Il m’intima l’ordre de ne pas bouger et me baisa la bouche jusqu’à lâcher Son sperme chaud et épais au fond de ma gorge.
- Lèche-moi bien, ma petite chienne ! Nettoie-moi bien !
Et sous mes nouveaux coups de langues le noble sexe se débarrassa des dernières sécrétions et commença à reprendre de la vigueur. Le Maître me fit grimper sur le lit et m’attacha écartelée aux quatre montants. Il me banda les yeux, me mit un bandeau. Il commença à me caresser avec la douceur d’une plume, me chatouillant, me faisant frémir. Puis Sa langue prit la suite, titillant mes tétons, les mordillant, puis descendant vers mon sexe trempé. Mon clitoris reçut le même traitement que mes tétons ! Il me léchait, me mordillait, me fourrageais…. Je me débattais dans mes liens, sous les décharges électriques qu’Il me provoquait. Les vagues de plaisir se faisaient de plus en plus présentes, je contenais difficilement mon orgasme. Le Maître releva la tête, juste le temps de dire « jouissances autorisées à volonté ma chienne ! » et Il reprit son savant cunnilingus. Je ne tardais pas à hurler ma jouissance, longuement !... Je passais des moments magiques en Sa compagnie. Tous mes orifices furent utilisés, par Lui-même, par différents accessoires, godes, plug, pinces, manches de fouet, cravache. Lorsqu’au petit matin, nous nous arrêtâmes de forniquer, le Maître me prit dans Ses bras longuement, tendrement.
- Aller ma chienne, maintenant au panier, coucher !
Et je descendis du lit, me dirigeant avec bonheur au pied du lit et me couchait dans la panière qui y était installée. Je l’endormis épuisée, mais heureuse, sereine et épanouie. Peu de temps après m’être endormie, il me sembla sentir Sa main me caressant doucement la joue et déposant de nombreux baisers légers. La courte nuit, ou plutôt le début de journée, se passa sans qu’Il ne me réveille, fatigué sans doute Lui aussi par Sa journée de la veille. Lorsqu’Il me réveilla, il était proche de l’heure du déjeuner. J’allais bientôt devoir repartir.
- Position standard Ma chienne ! Ne bouge plus et laisse-moi te regarder…
J’obéis évidemment instantanément ! Durant de longues minutes Il m’observa. Je pouvais le voir par-dessous mon bras. Je me repaissais de Lui ne sachant pas quand est-ce que je le reverrai… après avoir mangé dans ma gamelle à Ses pieds, Il me ramena jusqu’au perron du Château, m’embrassa tendrement, et remonta les marches du Château. Et je repris la route…
(A suivre …)
Le lendemain c’est Walter, lui-même, qui vint me chercher et m’emmena au Château, après que le Maître eut quitté les lieux. Il m’emmena dans une salle de soin, où se trouvaient en position d’attente soumise Laïs MDE, esclave Phryné MDE et esclave Endymion MDE. L’un fut chargé de me laver, voir même récurer au gant de crin, l’une de traquer le moindre poil à la pince à épiler, et la dernière de me maquiller. Auparavant le Majordome avait vidé mes orifices. Mes trois frères et sœurs de soumission m’accompagnèrent ensuite à la cuisine où Marie, la sévère cuisinière, nous attendait, pour un travail d’orfèvre. Je fus transformée en gâteau ressemblant à un chien. Ma tête fut enfermée dans une cagoule afin de ne pas salir les cheveux et surtout par mesure d’hygiène avec la nourriture, un masque de chien fut placer sur mon visage pour ne pas que l’on puisse me reconnaître, sans pour autant abimer le magnifique maquillage que soumise Laïs MDE m’avait fait. Je fus installée sur un large plateau, en position standard, à ceci près qu’au lieu d’avoir la tête tournée sur le côté, je dus la garder droite regardant en face de moi.
- Chienne écoute moi bien, me dit Marie. Tu n’as pas intérêt à bouger de tout le temps où tu seras sur ce plateau ! Oui ce sera dur, et tu ressentiras rapidement de la douleur dans tes muscles ! Mais si tu bouges, tu vas casser le chef d’œuvre que je vais faire. Tu subiras le courroux de Monsieur le marquis, et n’en doute surtout pas, le mien aussi ! Alors concentre-toi. C’est un immense honneur que d’être à ta place ! Tous n’ont pas cette chance, car les arrivées sont nombreuses dans une année, et être la dernière chienne venue n’est pas donné à tout le monde.
Je baissais la tête un peu plus pour montrer mon acceptation, n’ayant reçu aucune autorisation de parler. Mes frère et sœurs aidèrent Marie, sous ses directives strictes, à poser sur moi fond de gâteau aux amandes, couche de praliné croustillant et couche de mousse au chocolat… Il était tard, le repas avait commencé à être servi... Jusqu’au moment du dessert qui n’était plus très loin, et je fus mise en attente dans un des frigos. Ma garniture m’empêchait d’avoir trop froid. La position devenait douloureuse, mes muscles se tétanisaient. Mais je restais immobile. Je voulais que le Maître puisse être fier de moi. Et je ne voulais surtout pas gâcher Son anniversaire ! On vint me chercher, pour installer les cinquante-quatre bougies sur tout le gâteau. J’aurai aimé pouvoir voir à quoi je ressemblais ! Le plateau était sur une large desserte. Elle fut tirée par esclave Endymion MDE et poussée par esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE…
On me mena vers la grande salle à manger, et nous entrâmes au moment où commença à résonner la chanson traditionnelle d’anniversaire. Les parts du dessert avaient été préalablement découpées afin que je ne sois pas blessée par la suite. Je fus amenée devant le Maître, qui essayait avec un petit sourire espiègle de deviner qui se cachait derrière le masque. Mes frère et sœurs de soumission se prosternèrent devant Lui en triangle autour de la desserte. Après des caresses tendres à chacun, Il les envoya en attente derrière Lui, et Il put souffler Ses bougies, sur les bravos et les applaudissements de Ses convives… Avant d’enlever mon masque, le Marquis remercia les personnes présentes mais aussi Walter et Marie pour le travail effectué. Puis Il plongea Ses yeux dans les miens à travers le masque, Il eut l’air surpris, voir dubitatif, puis Il se décida à soulever la tête de chien qui me recouvrait. Un sourire tendre et radieux illumina Son visage. On aurait cru un enfant aux grands yeux ouverts devant sa surprise ! J’étais heureuse d’être venue, j’aurai donné n’importe quoi pour voir l’expression de pur bonheur sur Son visage à ce moment-là !
- Que voilà une chienne bien appétissante, dit le Châtelain à voix haute. Que tout le monde soit servi de ce merveilleux dessert concocté par Marie que je félicite encore. Nul doute qu’il ravira nos papilles et plus encore par la suite !
Effectivement une fois tout le monde servi, de nombreux Dominants et Dominantes, vinrent me lécher, mais aussi se faire lécher, sucer. J’essayais de satisfaire toute personne qui se présentait devant moi. Mais je ne voyais pas approcher la seule personne qui comptait pour moi. Il allait de personne en personne, saluait, discutait, verre de champagne en main. Il s’occupait tour à tour de mon frère ou de mes sœurs, les caressant, les pénétrant, les faisant jouir, et se vidant en eux. Mais il ne s’approchait pas de moi. Je me sentais frustrée et en même temps terriblement excitée par l’attente. Je savais que je devais passer la nuit à Ses côtés. Mais il ne prenait même pas le temps de me jeter un regard. Avais-je mal interprété Son regard ? N’était-Il pas heureux que je sois Son cadeau cette année ?... Je restais à la disposition des Invités pendant tout le début d’après-midi, pendant que le café était servi. Je me sentais sale, de gâteau, de sécrétions féminines, de sperme… terriblement frustrée d’avoir été prise par tous mes trous de chienne sans avoir eu une seule fois le droit de jouir.
Enfin les convives se dispersèrent et alors que je vis le Maître sortir de la pièce les laisses de mes frère et sœurs en main, certainement pour une après-midi torridement D/s. Je fus emmenée par d’autres esclaves afin d’être nettoyée. Et on m’envoya au Grand Chenil, jusqu’après le repas du soir. N’ayant rien d’autre à faire, je me reposais. Après la longue route et la matinée chargée, j’étais épuisée et j’accueillais ce repos avec plaisir, même si ma frustration ne me laissait pas tranquille ! J’aurais voulu pouvoir me caresser, mais je savais que je n’y étais pas autorisée… Assez tard, à la vue de la nuit qui était tombée, (bien qu’étant bien avancé en automne et après le changement d’heure, la nuit était présente désormais tôt !) j’entendis des bruits de pas approcher. Je me mis donc en position standard et attendait. Je ne voyais pas l’entrée du chenil, ne me permettant donc pas de savoir qui arrivait.
- Ma petite chienne adorable ! Quelle surprise ça a été de te voir en Ma Demeure aujourd’hui ! Une bonne surprise ! Suis-moi ! Je ne veux pas passer ma soirée et ma nuit d’anniversaire tout seul.
Et il saisit ma laisse pour m’entraîner vers Sa chambre. Lorsque nous y fûmes, le Maître exigea que je le dévêtisse.
- C’est mon anniversaire, mais je vais te laisser éteindre ma bougie, petite chienne !
Je m’agenouillais donc devant Son noble membre dressé et déjà bien épais. Je commençais par lécher, palper Ses couilles, ma langue remonta le long de Sa verge, je tétais son gland violacé. Le Marquis me laissait faire, un sourire aux lèvres. Puis, je le pris enfin en bouche, doucement, plus je faisais de vas et viens, et plus je l’enfonçais profondément en bouche, jusqu’à l’avoir enfoncé le plus profondément possible. À ce moment-là, Il ne me laissa pas me retirer, Il bloqua ma tête, restant au fond de ma gorge à m‘en étouffer ! Puis reprenant entièrement les rennes, Il m’intima l’ordre de ne pas bouger et me baisa la bouche jusqu’à lâcher Son sperme chaud et épais au fond de ma gorge.
- Lèche-moi bien, ma petite chienne ! Nettoie-moi bien !
Et sous mes nouveaux coups de langues le noble sexe se débarrassa des dernières sécrétions et commença à reprendre de la vigueur. Le Maître me fit grimper sur le lit et m’attacha écartelée aux quatre montants. Il me banda les yeux, me mit un bandeau. Il commença à me caresser avec la douceur d’une plume, me chatouillant, me faisant frémir. Puis Sa langue prit la suite, titillant mes tétons, les mordillant, puis descendant vers mon sexe trempé. Mon clitoris reçut le même traitement que mes tétons ! Il me léchait, me mordillait, me fourrageais…. Je me débattais dans mes liens, sous les décharges électriques qu’Il me provoquait. Les vagues de plaisir se faisaient de plus en plus présentes, je contenais difficilement mon orgasme. Le Maître releva la tête, juste le temps de dire « jouissances autorisées à volonté ma chienne ! » et Il reprit son savant cunnilingus. Je ne tardais pas à hurler ma jouissance, longuement !... Je passais des moments magiques en Sa compagnie. Tous mes orifices furent utilisés, par Lui-même, par différents accessoires, godes, plug, pinces, manches de fouet, cravache. Lorsqu’au petit matin, nous nous arrêtâmes de forniquer, le Maître me prit dans Ses bras longuement, tendrement.
- Aller ma chienne, maintenant au panier, coucher !
Et je descendis du lit, me dirigeant avec bonheur au pied du lit et me couchait dans la panière qui y était installée. Je l’endormis épuisée, mais heureuse, sereine et épanouie. Peu de temps après m’être endormie, il me sembla sentir Sa main me caressant doucement la joue et déposant de nombreux baisers légers. La courte nuit, ou plutôt le début de journée, se passa sans qu’Il ne me réveille, fatigué sans doute Lui aussi par Sa journée de la veille. Lorsqu’Il me réveilla, il était proche de l’heure du déjeuner. J’allais bientôt devoir repartir.
- Position standard Ma chienne ! Ne bouge plus et laisse-moi te regarder…
J’obéis évidemment instantanément ! Durant de longues minutes Il m’observa. Je pouvais le voir par-dessous mon bras. Je me repaissais de Lui ne sachant pas quand est-ce que je le reverrai… après avoir mangé dans ma gamelle à Ses pieds, Il me ramena jusqu’au perron du Château, m’embrassa tendrement, et remonta les marches du Château. Et je repris la route…
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