La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°849)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°849)
Histoire d'une soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°845) -
Marie quitta la chambre, laissant Olivier se restaurer d'un bol de café accompagné de pain et viennoiserie, puis le moment de la toilette vint et c'est nu qu'il alla vers la salle de bain. A sa grande satisfaction les poils pubiens n'avaient pas encore repoussé mais il décida quand même par précaution de bien passer le rasoir sur ses zones génitales. Son sexe, au toucher devenait plus doux, mais c'est surtout sous la douche qu'il sentit une transformation s'opérer. D'habitude ses doigts faisaient rouler sous l'eau pénis et testicules, là il se surpris à passer la main de son périnée vers son anus. Il compris que la disparition des poils sur cette zone provoquait de nouvelles sensations. Le sillon de ses fesses devenait plus sensible, l'envie de caresser cette zone était bien présente et c'est ce qu'il fit délaissant son sexe. Il accentua ses caresses sur ses fesses, lui procurant ainsi de nouveau plaisirs. C'était aussi un effet caché de la méthode relaxative de Monsieur le Marquis. Walter, frappa à la porte de la chambre, Olivier rapidement lui ouvrit tout juste séché et en peignoir.
- "Je souhaite à Monsieur une bonne journée, le programme de la matinée est de commencer la visite du château mais avant vous devez ouvrir la boite n° 2 du coffret"
Olivier soupira, quelle découverte allait-il faire, surtout qu'un sourire discret accompagnait le visage de Walter. La deuxième boite comprenait plusieurs effets, tout d'abord une feuille de papier pliée en quatre, un collier de cuir noir, et un plug dont la partie terminale était revêtue d'une crinière noir de vingt centimètres. La feuille mentionnait : ‘’visite aux écuries’’. Walter maintenant pris les choses en main, expliquant que le collier serait le seul vêtement qu'il allait porter aujourd'hui et que bien entendu le plug s'imposait pour tout trajet dans le château, de plus, l'endroit de la visite était une écurie donc la crinière sortant du plug était toute indiqué.
- "Vous avez dix minutes pour vous préparez, une fois terminé, regagnez moi dans le hall d'entrée du château"
Olivier regarda le collier, il fut surpris qu'il était gravé de ses initiales sur le côté, mais le marquant était les armoiries des Evans gravées au centre du collier en lettres d’Or. Le mettre lui pris que quelque instant, pour le plug crinière, il pris son temps, la forme avait l'air plus confortable que le premier plug, et c'est face à la glace qu'Olivier enserra l'engin dans son corps, il ressemblait entre le collier et la crinière à une pouliche, quoi de plus normal pour une visite à une écurie. Par contre l'idée de se trouver nu l'angoissait, d'abord le froid puis le fait de déambuler avec cet accoutrement. Walter fut satisfait du résultat, Olivier présentait bien, sa tenue correspondait à tout point au souhait de Monsieur le Marquis. Le majordome dit à Olivier :
- " N'ayez pas peur les écuries ne sont pas loin, vous n'aurez pas le temps d'avoir froid, je vais vous guider"
Et c'est ainsi qu'il accrocha une corde au collier.
"T'es une belle pouliche " dit il pour éviter toute reculade d'Oliver.
Celui ci se laissa faire et c'est ainsi qu'il parcourut la distance séparant le château de l'écurie en traversant la vaste cour aux graviers rouges et uniformes. Et ce qu'il redouta arriva, lors du trajet, il vit une personne s'approcher, c'était Marie qui revenait du linge. A la vue d'Olivier et de Walter elle persifla ironiquement en fixant le soumis.
- "Tiens ! en voilà un drôle d'équipage, Walter, ta pouliche a été traitée ce matin, elle doit être docile"
Walter répondit simplement mais avec une certaine complicité :
-" Oui, je sais que tu es experte en cela, merci de nous l'avoir préparé"
L’écurie était un bâtiment relativement grand et haut, avec au dessus, sur le plafond, des immenses granges remplies de foins et pailles stockés sur des solides planchers de chênes centenaires où le bois trop vieux laissais passer le jour. Des grosses et anciennes poutres de la taille d’un tronc supportaient l’ensemble. L'intérieur était séparé entre plusieurs zones. D'abord les box au nombre de cinq, tous occupés par de splendides étalons de nobles races, un seul devait coûter une fortune. En face, la partie réservée à la réception du foin et de la paille qui par de larges trappes tombaient de l’étage selon les besoins du palefrenier. Et sur les cotés, tout le nécessaire destiné à la monte des chevaux, selles anglaises au beau cuir, bottes, cravaches, et même quelques fouets. Olivier fut surpris par la chaleur régnant dans le bâtiment, les calories dégagés par les animaux allait lui permettre de ne pas avoir froid, mais sa crainte quand aux futurs évènements était encore là, surtout que Walter venait d'indiquer que Monsieur le Maquis allait arriver. Comment allait-il être traité, comme une pouliche ? Quel sort allait-on lui réserver, on était quand même là, très loin d'une méthode relaxative. Monsieur le Marquis arriva rapidement, ses premiers mots furent pour Walter
- "Je vois que tu as préparé notre ami, bien, voilà le programme: Je vais pour ma part chevaucher Janus mon étalon préféré, il a besoin de ses deux heures de promenade et de piquer quelques galops, vous pendant ce temps, vous allez nettoyer un box, paille et foin, Walter vous expliquera cela dans le détail."
Monsieur le Marquis prépara son cheval ave un savoir-faire parfait et sans un mot quitta l'écurie, sa promenade à cheval matinale commençait. Walter expliqua à Olivier le travail qu'on attendait de lui, le maniement de la fourche, de faire attention de ne pas se blesser et même l'invita à se chausser de bottes pour rendre son travail plus efficace. Olivier commença sa tache, il fut surpris rapidement d'y prendre du plaisir l'odeur du foin, la douce chaleur de l'écurie, la simplicité du travail comparé au travail stressant du bureau, tout contribuait à l'apaiser, la méthode de Monsieur le Marquis était vraiment surprenante. C'est avec soin qu'il prépara le box pour le retour du cheval de Monsieur le Marquis, Walter présent dans la stalle, le conseilla mais aussi lui indiqua qu'une tache plus particulière l'attendait, qu'il devrait s'occuper aussi de Monsieur le Marquis. Les deux heures passèrent rapidement, le box fut fin prêt quand Monsieur le Marquis déboula au galop, la sueur perlait sur son front, l'animal aussi dégageait une vapeur impressionnante, Walter dit simplement à Olivier.
- "Pousse-toi, il faut que je m'occupe de Janus, il n'est pas bon de laisser un animal en sueur, je dois le couvrir d'une couverture, toi occupe toi de Monsieur le Marquis"
La première idée d'Olivier fut qu'il devait aider Monsieur le Marquis à descendre du cheval, à récupérer ses affaires, il en fut tout autrement. Prestement, Monsieur le Marquis était déjà à terre quand Olivier s'approcha, il sentit son corps tout chaud par le contact avec l'animal mais aussi par la dernière chevauchée faites à grand galop. Monsieur le Marquis le voyant dis simplement :
- "A genoux, devant moi" N'ayant pas bien compris, il répéta - "Allez à genoux, approche"
Olivier compris enfin, c'est dans cette position qu'il vit s'approcher Monsieur le Marquis
- "Là tu as compris ce que j'attends de toi, j'aime me faire sucer après ma promenade à cheval, viens ouvre la bouche, déboutonne-moi et montre-moi tes talents, petite catin"
Olivier sous le regard de Walter, glissa ses doigts vers la braguette du Noble châtelain, le sexe qui s'en échappa était de belle taille, surtout le gland violacé avant même de le prendre en main, Monsieur le Marquis pris les devants
- "C'est moi qui investit la place, espèce de chien" dit-il en glissant son sexe dans la bouche d'Olivier ...
(A suivre ...)
Marie quitta la chambre, laissant Olivier se restaurer d'un bol de café accompagné de pain et viennoiserie, puis le moment de la toilette vint et c'est nu qu'il alla vers la salle de bain. A sa grande satisfaction les poils pubiens n'avaient pas encore repoussé mais il décida quand même par précaution de bien passer le rasoir sur ses zones génitales. Son sexe, au toucher devenait plus doux, mais c'est surtout sous la douche qu'il sentit une transformation s'opérer. D'habitude ses doigts faisaient rouler sous l'eau pénis et testicules, là il se surpris à passer la main de son périnée vers son anus. Il compris que la disparition des poils sur cette zone provoquait de nouvelles sensations. Le sillon de ses fesses devenait plus sensible, l'envie de caresser cette zone était bien présente et c'est ce qu'il fit délaissant son sexe. Il accentua ses caresses sur ses fesses, lui procurant ainsi de nouveau plaisirs. C'était aussi un effet caché de la méthode relaxative de Monsieur le Marquis. Walter, frappa à la porte de la chambre, Olivier rapidement lui ouvrit tout juste séché et en peignoir.
- "Je souhaite à Monsieur une bonne journée, le programme de la matinée est de commencer la visite du château mais avant vous devez ouvrir la boite n° 2 du coffret"
Olivier soupira, quelle découverte allait-il faire, surtout qu'un sourire discret accompagnait le visage de Walter. La deuxième boite comprenait plusieurs effets, tout d'abord une feuille de papier pliée en quatre, un collier de cuir noir, et un plug dont la partie terminale était revêtue d'une crinière noir de vingt centimètres. La feuille mentionnait : ‘’visite aux écuries’’. Walter maintenant pris les choses en main, expliquant que le collier serait le seul vêtement qu'il allait porter aujourd'hui et que bien entendu le plug s'imposait pour tout trajet dans le château, de plus, l'endroit de la visite était une écurie donc la crinière sortant du plug était toute indiqué.
- "Vous avez dix minutes pour vous préparez, une fois terminé, regagnez moi dans le hall d'entrée du château"
Olivier regarda le collier, il fut surpris qu'il était gravé de ses initiales sur le côté, mais le marquant était les armoiries des Evans gravées au centre du collier en lettres d’Or. Le mettre lui pris que quelque instant, pour le plug crinière, il pris son temps, la forme avait l'air plus confortable que le premier plug, et c'est face à la glace qu'Olivier enserra l'engin dans son corps, il ressemblait entre le collier et la crinière à une pouliche, quoi de plus normal pour une visite à une écurie. Par contre l'idée de se trouver nu l'angoissait, d'abord le froid puis le fait de déambuler avec cet accoutrement. Walter fut satisfait du résultat, Olivier présentait bien, sa tenue correspondait à tout point au souhait de Monsieur le Marquis. Le majordome dit à Olivier :
- " N'ayez pas peur les écuries ne sont pas loin, vous n'aurez pas le temps d'avoir froid, je vais vous guider"
Et c'est ainsi qu'il accrocha une corde au collier.
"T'es une belle pouliche " dit il pour éviter toute reculade d'Oliver.
Celui ci se laissa faire et c'est ainsi qu'il parcourut la distance séparant le château de l'écurie en traversant la vaste cour aux graviers rouges et uniformes. Et ce qu'il redouta arriva, lors du trajet, il vit une personne s'approcher, c'était Marie qui revenait du linge. A la vue d'Olivier et de Walter elle persifla ironiquement en fixant le soumis.
- "Tiens ! en voilà un drôle d'équipage, Walter, ta pouliche a été traitée ce matin, elle doit être docile"
Walter répondit simplement mais avec une certaine complicité :
-" Oui, je sais que tu es experte en cela, merci de nous l'avoir préparé"
L’écurie était un bâtiment relativement grand et haut, avec au dessus, sur le plafond, des immenses granges remplies de foins et pailles stockés sur des solides planchers de chênes centenaires où le bois trop vieux laissais passer le jour. Des grosses et anciennes poutres de la taille d’un tronc supportaient l’ensemble. L'intérieur était séparé entre plusieurs zones. D'abord les box au nombre de cinq, tous occupés par de splendides étalons de nobles races, un seul devait coûter une fortune. En face, la partie réservée à la réception du foin et de la paille qui par de larges trappes tombaient de l’étage selon les besoins du palefrenier. Et sur les cotés, tout le nécessaire destiné à la monte des chevaux, selles anglaises au beau cuir, bottes, cravaches, et même quelques fouets. Olivier fut surpris par la chaleur régnant dans le bâtiment, les calories dégagés par les animaux allait lui permettre de ne pas avoir froid, mais sa crainte quand aux futurs évènements était encore là, surtout que Walter venait d'indiquer que Monsieur le Maquis allait arriver. Comment allait-il être traité, comme une pouliche ? Quel sort allait-on lui réserver, on était quand même là, très loin d'une méthode relaxative. Monsieur le Marquis arriva rapidement, ses premiers mots furent pour Walter
- "Je vois que tu as préparé notre ami, bien, voilà le programme: Je vais pour ma part chevaucher Janus mon étalon préféré, il a besoin de ses deux heures de promenade et de piquer quelques galops, vous pendant ce temps, vous allez nettoyer un box, paille et foin, Walter vous expliquera cela dans le détail."
Monsieur le Marquis prépara son cheval ave un savoir-faire parfait et sans un mot quitta l'écurie, sa promenade à cheval matinale commençait. Walter expliqua à Olivier le travail qu'on attendait de lui, le maniement de la fourche, de faire attention de ne pas se blesser et même l'invita à se chausser de bottes pour rendre son travail plus efficace. Olivier commença sa tache, il fut surpris rapidement d'y prendre du plaisir l'odeur du foin, la douce chaleur de l'écurie, la simplicité du travail comparé au travail stressant du bureau, tout contribuait à l'apaiser, la méthode de Monsieur le Marquis était vraiment surprenante. C'est avec soin qu'il prépara le box pour le retour du cheval de Monsieur le Marquis, Walter présent dans la stalle, le conseilla mais aussi lui indiqua qu'une tache plus particulière l'attendait, qu'il devrait s'occuper aussi de Monsieur le Marquis. Les deux heures passèrent rapidement, le box fut fin prêt quand Monsieur le Marquis déboula au galop, la sueur perlait sur son front, l'animal aussi dégageait une vapeur impressionnante, Walter dit simplement à Olivier.
- "Pousse-toi, il faut que je m'occupe de Janus, il n'est pas bon de laisser un animal en sueur, je dois le couvrir d'une couverture, toi occupe toi de Monsieur le Marquis"
La première idée d'Olivier fut qu'il devait aider Monsieur le Marquis à descendre du cheval, à récupérer ses affaires, il en fut tout autrement. Prestement, Monsieur le Marquis était déjà à terre quand Olivier s'approcha, il sentit son corps tout chaud par le contact avec l'animal mais aussi par la dernière chevauchée faites à grand galop. Monsieur le Marquis le voyant dis simplement :
- "A genoux, devant moi" N'ayant pas bien compris, il répéta - "Allez à genoux, approche"
Olivier compris enfin, c'est dans cette position qu'il vit s'approcher Monsieur le Marquis
- "Là tu as compris ce que j'attends de toi, j'aime me faire sucer après ma promenade à cheval, viens ouvre la bouche, déboutonne-moi et montre-moi tes talents, petite catin"
Olivier sous le regard de Walter, glissa ses doigts vers la braguette du Noble châtelain, le sexe qui s'en échappa était de belle taille, surtout le gland violacé avant même de le prendre en main, Monsieur le Marquis pris les devants
- "C'est moi qui investit la place, espèce de chien" dit-il en glissant son sexe dans la bouche d'Olivier ...
(A suivre ...)
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