La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°854)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°854)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°853) –
Alors la musique reprit du volume. Je sentis des mains se poser sur moi, tendres, douces, et à mon avis féminines. Et on me soigna les nombreuses stries qui me couvraient. La crème que l’on m’appliqua m’apaisa instantanément ! Et avec le contrecoup de la première étape, je m’endormis rapidement tellement je me sentis relaxée, détendue. Au bout d’une demi-heure, je fus réveillée par de doux baisers. Mon bandeau et mon casque avaient été retirés. La jeune femme qui m’avait conduite ici, me caressait, m’embrassait, me léchais… J’étais embarrassée, jamais je n’avais eu de relations intimes avec une femme. Mais je me laissais faire. D’abord par obéissance envers le Maître Vénéré, mais il fallait bien que je m’avoue que le traitement que je subissais était vraiment délicieux. Mais lorsqu’elle vint se nicher entre mes cuisses et que sa langue commença à me lécher et mordiller le clitoris, je crus que j’allais mourir d’excitation sur place, tellement les ondes de plaisir m’électrisaient. J’essayais tant bien que mal de ne pas laisser éclater ma jouissance, mais cette demoiselle était experte et cela devenait très sérieusement difficile.
- J’ai reçu l’autorisation de te faire jouir, murmura-t-elle en me regardant dans les yeux, tu peux donc te laisser aller à l’orgasme, tant que tu veux, tu peux jouir, petite femelle ...
Alors je laissais mes cris exploser, je sentais mes sécrétions inonder son visage dans cette fulgurante jouissance autorisée. Mais elle n’arrêtait pas pour autant son magique cunnilingus. Elle commença même à me doigter profondément la chatte, et je me laissais submerger par un second orgasme. Alors sa bouche revint vers mon visage.
- On dit toujours jamais deux sans trois, petite chienne en chaleur ! Et elle m’embrassa langoureusement, me faisant gouter à mes propres sécrétions. Elle se redressa, enfila un gode ceinture, avant de me relever les genoux sur le torse. Après m’avoir enfoncé ce sexe factice à plusieurs reprises dans la chatte pour le lubrifier, elle me l’enfonça d’un trait dans le cul. Elle resta plantée au fond quelques secondes le temps de me laisser m’habituer à cette profonde présence. Puis elle commença un va et vient, lent doux, au début pour accélérer de plus en plus, me défonçant sauvagement à la manière d’un homme viril, jusqu’à m’amener dans une ultime jouissance dans une saillie des plus bestiales. J’étais épuisée, vidée, mais je venais de découvrir des plaisirs que je n’aurai jamais osé penser !… Je planais en revenant m’asseoir derrière mon volant. Je n’avais jamais rien eu contre les homosexuel(le)s, j’étais sincèrement pour le mariage pour tous, pour le fait qu’ils/elles puissent adopter (il valait mieux avoir deux papas ou deux mamans et être heureux avec des parents aimants, que d’avoir un père d’un côté et une mère de l’autre avec une enfance malheureuse !) mais je n’avais jamais pu envisager d’essayer ce genre de relation. Et sachant que cela pouvait arriver au Château, j’avais toujours eu peur en y pensant ! Mais plus maintenant ! Je restais sur mes préférences hétérosexuelles, mais je savais que si le Maître l’exigeait de moi (ne venait-il pas de le faire ?) je pourrais obéir sans crainte et me laisser aller aux plaisirs saphiques.
Le troisième arrêt me réserva une surprise à laquelle je ne pouvais m’attendre, au vu de ce que j’avais vécu sur les deux premiers. Lorsque j’entrais dans la station, personne ne vint à moi, aucune affiche, aucun panneau sur la route, je ne savais quoi faire. Je me mis même à compter dans ma tête les stations-services dépassées afin de bien vérifier si je n’en avais pas sauté une ! Non aucune erreur, je les avais bien suivies toute attentivement pour ne pas me tromper. Je me décidais donc à aller à la caisse et demander si personne ne m’avait demandé. Là, le caissier me tendit une enveloppe sans me dire un seul mot avec un visage impassible et des yeux pervers. Je l’ouvris et vis que c’était un mail imprimé qui venait du Château et signé du Maître :
- Après ces deux premières épreuves, la fatigue que cela peut engendrer, et la route qu’il te reste à parcourir, il te faut reprendre des forces. Va dans la partie restaurant de l’aire de repos, présente ce mail au guichet et une collation conséquente t’attend. Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te l’offre. Le Maître.
Quel bonheur ! Effectivement, je me sentais affamée après ces dépenses physiques… Une fois au restaurant, je présentais donc ce mail imprimé au guichet et un homme d’une cinquantaine d’années m’apporta un plateau en me regardant avec insistance. Son regard me mettait mal à l’aise. J’étais la seule cliente du restaurant. Il resta tout près à me regarder dévorer tout ce qui se trouvait sur ce plateau. J’avais faim, mais il m’aurait paru ingrat de laisser la moindre chose que le Maître m’aurait commandé. Je vidai donc le plateau de bon appétit !... Alors que je me levais après avoir tout dégusté jusqu’à la moindre miette, l’homme me saisit le bras.
- Eh, faudrait voir à ne pas oublier de régler !
- Oh, mais on m’a dit que ce plateau m’était offert et qu’aucune somme ne me serait réclamé ! Relisez ce papier si vous ne me croyez pas !
- Effectivement espèce de chienne, mais le pourboire n’était pas compris. Et je compte bien être payé en nature, salope ! Bien qu’en fait, c’est moi qui envisage de te donner du liquide ! dit-il sur un rire pervers. Tiens, lit ce deuxième mail du Maître, que je viens d’imprimer juste avant que tu arrives !
- Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te l’offre… Sauf le pourvoir qu’il te faudra régler à la convenance du porteur de ce mail imprimé. Le Maître.
Alors il m’attrapa par les cheveux, m’emmena derrière le comptoir, tirant mes cheveux vers le bas me forçant à m’agenouiller. Il ouvrit la fermeture éclair de son pantalon, laissant sortir un sexe épais et bien gonflé, et je dus le sucer jusqu’à ce qu’il me gicle au fond de la gorge, mais cela tarda à arriver, on voyait bien qu’il se maitrisait, qu’il faisait durer le plaisir le plus longtemps possible jusqu’au moment où il lâcha la sauce ! Il éjacula en de longues saccades jusqu’au fond de ma gorge sans se préoccuper si j’étouffais. Je dus faire un gros effort entre deux suffocations pour reprendre de l’air alors qu’il avait empoigné mes cheveux pour le plaquer contre son bas-ventre… Puis il m’insulta copieusement de sale chienne et me laissa partir … Lorsque je rejoignis ma voiture, j’avais terriblement mal aux genoux, le carrelage derrière le comptoir étant granuleux, il m’avait bien blessé les genoux, et même en les regardant attentivement je vis quelques perles de sang imprégnés dans le tissu de ma robe. Je reçus, au moment où je lançais le moteur, un texto. Pensant à de nouvelles consignes du Maître, j’attrapais avec empressement mon téléphone, mais je fus surprise de voir un message de mon mari : « Je rentre tard cette nuit, peut-être vers une heure du matin. Pourras-tu venir me chercher ? Je t’aime » Je regardais mon GPS. Je devais arriver chez Lucie à 00h30 ! Je commençais à paniquer. Comment faire les trois prochains arrêts exigés par le Maître ? Je regardais les messages échangés avec ce dernier. J’avais droit à lui répondre un message pour un reçu. Je n’avais pas répondu à celui que j’avais reçu à la gare de péage. Je me dépêchais donc de lui transférer le message de mon mari et de lui demander quelles étaient alors Ses nouvelles exigences. J’espérais qu’Il ne serait pas en réunion et qu’Il pourrait me répondre rapidement. Au bout de cinq minutes qui me semblèrent être une éternité, mon téléphone sonna :
- Ma chienne, tu sais que je ne veux pas te faire prendre de risques dans ta vie vanille, chose à laquelle je me suis toujours engagé, alors rentre, prudemment sans excès de vitesse ! Je m’inquiète des marques qui doivent être encore très visibles sur ton corps. Tiens-moi au courant Ma belle ! Si jamais il y avait un gros souci, tu es autorisée à ne pas attendre de messages de Ma part pour m’en envoyer un. Le Maitre inquiet pour toi.
Après lui avoir envoyé un message le remerciant et le rassurant sur ma façon de conduire, je repris la route. Le temps de récupérer mes filles, j’arrivais à l’arsenal au moment où mon mari descendait du bateau. Il avait l’air embarrassé, mais je n’y fis pas trop attention. J’étais préoccupée par les marques que j’avais sur le corps, et sur a façon dont je pourrais essayer d’éviter de lui montrer… Arrivé à la maison, il m’aida à coucher les filles, puis alla dans notre chambre. Alors que lui dormait toujours nu, moi cela variait. Je me dirigeais donc vers la salle de bain pour enfiler un pyjama long, en espérant que cela suffirait à cacher les traces des coups de fouet que j’avais reçu. Lorsque je montais à l’étage, mon mari me prit dans ses bras et voulut me déshabiller. Cela faisait déjà quelques temps qu’il était parti en mer (il est dans la Marine Nationale), il avait tout simplement envie de sa femme. J’essayais de me dégager en souriant, prétextant vouloir éteindre la lumière avant mais il voulait me revoir entièrement déshabillée. Je ne savais vraiment pas quoi faire, quelle excuse inventer. Alors je lui tournais le dos, celui-ci ayant été marqué moins violemment, peut-être que les traces s’étaient estompées, et je baissais mon pantalon. Je le sentis se coller à moi et ses mains passèrent sous mon t-shirt me faisant tressaillir car c’était encore légèrement douloureux, même si la crème qui avait été appliquée dessus m’avait bien soulagée. Je sentais son excitation monter en même temps que sa verge collait contre mes fesses grossissait. Il entreprit de lui-même de m’enlever mon haut, et me retourna vers lui. À ce moment-là, ses mains quittèrent mon corps et il se recula horrifié.
- Mon dieu ! Mais… mais… qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? …
(A suivre …)
Alors la musique reprit du volume. Je sentis des mains se poser sur moi, tendres, douces, et à mon avis féminines. Et on me soigna les nombreuses stries qui me couvraient. La crème que l’on m’appliqua m’apaisa instantanément ! Et avec le contrecoup de la première étape, je m’endormis rapidement tellement je me sentis relaxée, détendue. Au bout d’une demi-heure, je fus réveillée par de doux baisers. Mon bandeau et mon casque avaient été retirés. La jeune femme qui m’avait conduite ici, me caressait, m’embrassait, me léchais… J’étais embarrassée, jamais je n’avais eu de relations intimes avec une femme. Mais je me laissais faire. D’abord par obéissance envers le Maître Vénéré, mais il fallait bien que je m’avoue que le traitement que je subissais était vraiment délicieux. Mais lorsqu’elle vint se nicher entre mes cuisses et que sa langue commença à me lécher et mordiller le clitoris, je crus que j’allais mourir d’excitation sur place, tellement les ondes de plaisir m’électrisaient. J’essayais tant bien que mal de ne pas laisser éclater ma jouissance, mais cette demoiselle était experte et cela devenait très sérieusement difficile.
- J’ai reçu l’autorisation de te faire jouir, murmura-t-elle en me regardant dans les yeux, tu peux donc te laisser aller à l’orgasme, tant que tu veux, tu peux jouir, petite femelle ...
Alors je laissais mes cris exploser, je sentais mes sécrétions inonder son visage dans cette fulgurante jouissance autorisée. Mais elle n’arrêtait pas pour autant son magique cunnilingus. Elle commença même à me doigter profondément la chatte, et je me laissais submerger par un second orgasme. Alors sa bouche revint vers mon visage.
- On dit toujours jamais deux sans trois, petite chienne en chaleur ! Et elle m’embrassa langoureusement, me faisant gouter à mes propres sécrétions. Elle se redressa, enfila un gode ceinture, avant de me relever les genoux sur le torse. Après m’avoir enfoncé ce sexe factice à plusieurs reprises dans la chatte pour le lubrifier, elle me l’enfonça d’un trait dans le cul. Elle resta plantée au fond quelques secondes le temps de me laisser m’habituer à cette profonde présence. Puis elle commença un va et vient, lent doux, au début pour accélérer de plus en plus, me défonçant sauvagement à la manière d’un homme viril, jusqu’à m’amener dans une ultime jouissance dans une saillie des plus bestiales. J’étais épuisée, vidée, mais je venais de découvrir des plaisirs que je n’aurai jamais osé penser !… Je planais en revenant m’asseoir derrière mon volant. Je n’avais jamais rien eu contre les homosexuel(le)s, j’étais sincèrement pour le mariage pour tous, pour le fait qu’ils/elles puissent adopter (il valait mieux avoir deux papas ou deux mamans et être heureux avec des parents aimants, que d’avoir un père d’un côté et une mère de l’autre avec une enfance malheureuse !) mais je n’avais jamais pu envisager d’essayer ce genre de relation. Et sachant que cela pouvait arriver au Château, j’avais toujours eu peur en y pensant ! Mais plus maintenant ! Je restais sur mes préférences hétérosexuelles, mais je savais que si le Maître l’exigeait de moi (ne venait-il pas de le faire ?) je pourrais obéir sans crainte et me laisser aller aux plaisirs saphiques.
Le troisième arrêt me réserva une surprise à laquelle je ne pouvais m’attendre, au vu de ce que j’avais vécu sur les deux premiers. Lorsque j’entrais dans la station, personne ne vint à moi, aucune affiche, aucun panneau sur la route, je ne savais quoi faire. Je me mis même à compter dans ma tête les stations-services dépassées afin de bien vérifier si je n’en avais pas sauté une ! Non aucune erreur, je les avais bien suivies toute attentivement pour ne pas me tromper. Je me décidais donc à aller à la caisse et demander si personne ne m’avait demandé. Là, le caissier me tendit une enveloppe sans me dire un seul mot avec un visage impassible et des yeux pervers. Je l’ouvris et vis que c’était un mail imprimé qui venait du Château et signé du Maître :
- Après ces deux premières épreuves, la fatigue que cela peut engendrer, et la route qu’il te reste à parcourir, il te faut reprendre des forces. Va dans la partie restaurant de l’aire de repos, présente ce mail au guichet et une collation conséquente t’attend. Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te l’offre. Le Maître.
Quel bonheur ! Effectivement, je me sentais affamée après ces dépenses physiques… Une fois au restaurant, je présentais donc ce mail imprimé au guichet et un homme d’une cinquantaine d’années m’apporta un plateau en me regardant avec insistance. Son regard me mettait mal à l’aise. J’étais la seule cliente du restaurant. Il resta tout près à me regarder dévorer tout ce qui se trouvait sur ce plateau. J’avais faim, mais il m’aurait paru ingrat de laisser la moindre chose que le Maître m’aurait commandé. Je vidai donc le plateau de bon appétit !... Alors que je me levais après avoir tout dégusté jusqu’à la moindre miette, l’homme me saisit le bras.
- Eh, faudrait voir à ne pas oublier de régler !
- Oh, mais on m’a dit que ce plateau m’était offert et qu’aucune somme ne me serait réclamé ! Relisez ce papier si vous ne me croyez pas !
- Effectivement espèce de chienne, mais le pourboire n’était pas compris. Et je compte bien être payé en nature, salope ! Bien qu’en fait, c’est moi qui envisage de te donner du liquide ! dit-il sur un rire pervers. Tiens, lit ce deuxième mail du Maître, que je viens d’imprimer juste avant que tu arrives !
- Aucun montant ne te sera réclamé, tout est déjà réglé, je te l’offre… Sauf le pourvoir qu’il te faudra régler à la convenance du porteur de ce mail imprimé. Le Maître.
Alors il m’attrapa par les cheveux, m’emmena derrière le comptoir, tirant mes cheveux vers le bas me forçant à m’agenouiller. Il ouvrit la fermeture éclair de son pantalon, laissant sortir un sexe épais et bien gonflé, et je dus le sucer jusqu’à ce qu’il me gicle au fond de la gorge, mais cela tarda à arriver, on voyait bien qu’il se maitrisait, qu’il faisait durer le plaisir le plus longtemps possible jusqu’au moment où il lâcha la sauce ! Il éjacula en de longues saccades jusqu’au fond de ma gorge sans se préoccuper si j’étouffais. Je dus faire un gros effort entre deux suffocations pour reprendre de l’air alors qu’il avait empoigné mes cheveux pour le plaquer contre son bas-ventre… Puis il m’insulta copieusement de sale chienne et me laissa partir … Lorsque je rejoignis ma voiture, j’avais terriblement mal aux genoux, le carrelage derrière le comptoir étant granuleux, il m’avait bien blessé les genoux, et même en les regardant attentivement je vis quelques perles de sang imprégnés dans le tissu de ma robe. Je reçus, au moment où je lançais le moteur, un texto. Pensant à de nouvelles consignes du Maître, j’attrapais avec empressement mon téléphone, mais je fus surprise de voir un message de mon mari : « Je rentre tard cette nuit, peut-être vers une heure du matin. Pourras-tu venir me chercher ? Je t’aime » Je regardais mon GPS. Je devais arriver chez Lucie à 00h30 ! Je commençais à paniquer. Comment faire les trois prochains arrêts exigés par le Maître ? Je regardais les messages échangés avec ce dernier. J’avais droit à lui répondre un message pour un reçu. Je n’avais pas répondu à celui que j’avais reçu à la gare de péage. Je me dépêchais donc de lui transférer le message de mon mari et de lui demander quelles étaient alors Ses nouvelles exigences. J’espérais qu’Il ne serait pas en réunion et qu’Il pourrait me répondre rapidement. Au bout de cinq minutes qui me semblèrent être une éternité, mon téléphone sonna :
- Ma chienne, tu sais que je ne veux pas te faire prendre de risques dans ta vie vanille, chose à laquelle je me suis toujours engagé, alors rentre, prudemment sans excès de vitesse ! Je m’inquiète des marques qui doivent être encore très visibles sur ton corps. Tiens-moi au courant Ma belle ! Si jamais il y avait un gros souci, tu es autorisée à ne pas attendre de messages de Ma part pour m’en envoyer un. Le Maitre inquiet pour toi.
Après lui avoir envoyé un message le remerciant et le rassurant sur ma façon de conduire, je repris la route. Le temps de récupérer mes filles, j’arrivais à l’arsenal au moment où mon mari descendait du bateau. Il avait l’air embarrassé, mais je n’y fis pas trop attention. J’étais préoccupée par les marques que j’avais sur le corps, et sur a façon dont je pourrais essayer d’éviter de lui montrer… Arrivé à la maison, il m’aida à coucher les filles, puis alla dans notre chambre. Alors que lui dormait toujours nu, moi cela variait. Je me dirigeais donc vers la salle de bain pour enfiler un pyjama long, en espérant que cela suffirait à cacher les traces des coups de fouet que j’avais reçu. Lorsque je montais à l’étage, mon mari me prit dans ses bras et voulut me déshabiller. Cela faisait déjà quelques temps qu’il était parti en mer (il est dans la Marine Nationale), il avait tout simplement envie de sa femme. J’essayais de me dégager en souriant, prétextant vouloir éteindre la lumière avant mais il voulait me revoir entièrement déshabillée. Je ne savais vraiment pas quoi faire, quelle excuse inventer. Alors je lui tournais le dos, celui-ci ayant été marqué moins violemment, peut-être que les traces s’étaient estompées, et je baissais mon pantalon. Je le sentis se coller à moi et ses mains passèrent sous mon t-shirt me faisant tressaillir car c’était encore légèrement douloureux, même si la crème qui avait été appliquée dessus m’avait bien soulagée. Je sentais son excitation monter en même temps que sa verge collait contre mes fesses grossissait. Il entreprit de lui-même de m’enlever mon haut, et me retourna vers lui. À ce moment-là, ses mains quittèrent mon corps et il se recula horrifié.
- Mon dieu ! Mais… mais… qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? …
(A suivre …)
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