La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°859)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°859)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°858) –
Lorsque je regagnai la chambre d’hôtel le soir, un mail du Maître m’attendait…
« Ma chienne, je te veux au Château dimanche soir ! Exceptionnellement mon jet privé n’est pas disponible et donc tu devras prendre la route après avoir déposé tes filles chez ton mari après le déjeuner. Tu arriveras tard, alors tu iras directement au Chenil pour te reposer. Tu laisseras ta voiture devant le perron du Château, tu y laisseras tes vêtements et tout ce qui fait ta vie vanille dedans. Comme à l’accoutumée, tu te mettras en ‘tenue’ de ce que tu es, une simple soumise. A dimanche comme exigé ! »
Mon chef m’avait proposé de prendre mon vendredi de congé pour préparer mes affaires pour mon départ, mais ne possédant plus grand-chose, j’avais refusé. Ce jour passa vite, j’allais chercher mes filles chez leur père qui m’adressa à peine un bonjour. On voyait bien qu’il ne me les laissait pas de gaité de cœur. J’aurai tellement voulu pouvoir parler avec lui, essayer de lui faire comprendre que ma relation avec le Maître n’avait rien de répugnant, de honteux, et qu’au contraire c’était grâce à Lui que j’avais retrouvé confiance en moi, que je m’épanouissais. Mais il ne m’en laissait jamais l’occasion, prétextant, dès que j’essayais d’entamer une conversation, qu’il avait des choses urgentes à faire ou que ma façon de voir les choses de ma relation D/s sortait de l’entendement. Le week-end se passa rapidement, à profiter à fond de la présence de mes filles, et à préparer les petites choses que j’emmenais avec moi dans le Beaujolais… Je déposais mes filles chez mon mari puis je pris la route jusqu’au Château qui se passa sans encombre. Certainement pour ne pas me retarder, je ne reçus aucun ordre sur le trajet. J’arrivais devant la noble Demeure à 23h. Obéissant au message que j’avais reçu, je me garais devant le perron, je me dévêtis, je passais mon collier, ma laisse, posais mes pinces aux tétons, me bâillonnais la bouche, m’enfonçais un plug long et épais dans le cul, et je me dirigeais frissonnante vers le Chenil. Là, je trouvais une niche neuve, avec une petite pancarte «Niche de chienne-soumise Marion MDE ». J’entrais donc dedans, découvrant une épaisse couverture. Fatiguée par le voyage, je me couchais et m’endormis rapidement avec bonheur, le sentiment d’être à ma place, enfin… Le lendemain se fut Walter qui vint me réveiller, sans un mot, mais avec un tuyau d’arrosage projetant un jet d’eau froide. Pas de doute, j’étais bien revenue au Château !
- Allez, debout la chienne ! il est 7h du matin, et il faut te préparer pour ton premier jour de travail auprès de Monsieur le Marquis. Et je te préviens de suite, Il est au moins aussi exigeant envers Ses chiens au Château, qu’envers ses employés vanille, mais beaucoup plus avec ceux qui portent les deux casquettes !
Sur ses mots, Il empoigna ma laisse et me tira sans ménagement hors de ma niche et du Chenil. Il me conduisit aux écuries et après m’avoir à nouveau arrosée au jet d’eau, il m’étrilla vigoureusement, en n’oubliant aucune partie du corps, pas même mes parties intimes à la peau si sensible ! Une fois récurée, il m’autorisa à me tenir debout et à mettre des chaussures avant de m’emmener au Château afin de ne pas gâcher son travail minutieux de propreté. Mais dès le pas de la porte, il fallut à nouveau me mettre en quadrupédie dans une nudité totale. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Là Marie, la perverse cuisinière du Château vint près de moi, après avoir salué chaleureusement le Majordome. Sa main passa vicieusement sur tout mon corps, palpant, malaxant, étirant tout ce qui pouvait l’être, tétons, lèvres, lèvres intimes… elle fourra sans préparation trois doigts dans ma chatte bien excitée et après quelques vas et viens, me fit lécher ses doigts.
- Tu dois avoir faim et soif la chienne, alors viens te désaltérer à ma source, dit-elle avec un sourire vicieux.
Et elle s’approcha encore plus de moi. Elle resta debout, jambes écartées et me plaquant ma tête entre ses jambes, elle souleva sa robe aux dessous sans aucune culotte, puis elle m’ordonna de la lécher. Son sexe était parfaitement épilé et montrait une fente lisse et gonflée. Je m’appliquais du mieux possible à passer ma langue sur sa chatte déjà bien humide. Je m’attelais à titiller son petit bouton rose bien développée et du bout de ma langue je le branlais frénétiquement, je passais aussi entre mes lèvres buccales, ses lèvres intimes gorgées de désirs et je les aspirais, léchais, embrassais avec envie de donner du plaisir. Ma langue devait lui procurer de bonnes sensations excitantes car au bout d’un moment, elle commença à faire bouger son bassin en des petits coups de reins contre mon visage et elle se mit à gémir de plaisir quand elle plaqua fortement ma tête contre son sexe. Ma langue était désormais entrée dans son vagin et léchait, tournait, râpait ses parois vaginales quand elle m’inonda le visage de son orgasme spontané ponctué de cris jouissifs qu’elle laissa échapper de sa bouche. Ensuite elle resta totalement immobile et au bout d’un moment où je ne réussis pas à me dégager de son étreinte contre son bas-ventre, elle décida de m’abreuver de son urine en se soulageant directement dans ma bouche. Pendant ce temps, Walter avait fait arrêter une soumise s’affairant sur les petits déjeuners pour se faire sucer, et au moment où il allait exploser, il repoussa fermement la chienne, pour se vider dans une gamelle déjà prête. Alors que Marie me laissait enfin respirer, il m’interpella :
- Eh la chienne ! Maintenant que tu as bien bu, viens vite manger ta pâtée ! Je t’y ai rajouté un petit complément alimentaire, qui ne pourra que te faire du bien, vu la longue journée qui t’attend !
Je me dépêchais donc d’aller à quatre pattes vers l’assiette qu’il venait de poser au sol et de la laper goulument. J’étais affamée, je ne mis pas longtemps à la vider et à la nettoyer consciencieusement avec ma langue… Je me demandais en quoi la journée allait être si longue. Aujourd’hui, même si au fond je restais la chienne du Maître, je commençais mon nouveau travail de secrétaire de direction, et donc j’allais me retrouver près ou dans le bureau du Noble. Et même si ce poste pouvait être intense en somme de travail, ce n’était pas une tâche qui devrait me fatiguée outre-mesure. Du moins, c’est ce que je pensais naïvement ! … Je fus conduite à l’étage dans le bureau de Monsieur le Marquis. Walter, après m’avoir ordonné la position standard, me laissa seule. J’attendis un peu plus d’une demi-heure avant que le Maître n’entre dans la pièce, mais sans faire attention à moi le moins du monde. Il s’installa derrière sa table de travail, lut des dossiers, écrivit… Je ne sais combien de temps je restais ainsi dans cette position, mais j’entendis bientôt la grosse et très ancienne horloge, placée près de la haute fenêtre, sonner 9h. Je trouvais cela étonnant, je m’attendais à prendre mon poste avant 8h30. Je L’entendis bouger mais je ne pouvais voir ce qu’Il faisait. Il y eut à nouveau un long silence, puis soudain Sa voix s’éleva :
- Ma chienne… À genoux ! Regarde-moi ! … (J’obtempérais immédiatement, essayant tant bien que mal de soutenir son regard bleu acier) … Je ne pense pas que tu ais mesuré ce qui allait t’attendre. Tout soumis ou soumise MDE en ce Château, a des tâches quotidiennes à effectuer, en dehors de leur spécialisation. Et ils doivent tous être toujours entièrement disponibles pour quiconque pourrait vouloir se servir des choses et objets que vous êtes tous ! Puis suivant ce qu’ils faisaient dans leurs vies vanilles, ils ont également à faire ce que j’attends d’eux suivant leurs compétences. Pour certains, cela les amène à aller à l’extérieur, à passer parfois plusieurs jours loin du Château… Mais toi, tu as la chance de devenir Ma secrétaire de direction, en contact quasi permanent avec Moi et donc tu n’échapperas pas aux corvées de Ma noble demeure ! Mis à part aujourd’hui, où, dans Ma grande magnanimité, je t’ai permis de m’attendre ici dans le bureau tout ce temps, tu devras suivant le planning que Walter aura préparé, aider aux cuisines, faire partie des équipes d’entretien des différentes zones et pièces de ce lieu ancestral, et ce de 6h à 9h du matin. De 9h à 12h, tu occuperas les fonctions qu’incombent à ton poste, tu devras te présenter ici même devant Moi, comme la chienne que tu es ! Le monde vanille n’a plus lieu d’être dans la mesure où tu es dans ce Château, dans ce bureau. Si tu es dans l’équipe des cuisines, tu devras aller aider Marie, et si tu te dépêches, tu auras le droit de manger avant de reprendre à 14h ton poste ici, où tu seras jusqu’à 17h… Je serai appelé à recevoir parfois certains clients et tu seras là aussi pour les satisfaire sexuellement afin de conclure quelques contrats quand le cas se présentera... Bref tu es tout simplement une secrétaire soumise, une secrétaire pute et chienne… à Mes moindres Exigences…
Le Maître reprit son souffle, puis continua :
- Ensuite, tu auras encore ton dressage de chienne à subir, les corvées du soir que t’imposera Walter. Quand nous devrons recevoir des RDV professionnels, tu seras prévenue et à l’heure exigée tu devras passer la tenue qui sera préparée pour toi et qui se trouvera dans le placard qui se trouve là à ta gauche. Il pourra arriver aussi que tu m’accompagnes dans des déplacements professionnels. Ne t’inquiète pas, je ferai en sorte que cela ne gêne pas tes tours de garde de tes enfants. (Le Maître laissa planer un long silence, me permettant d’assimiler tout ce que je venais d’apprendre et de comprendre ! Effectivement, mes journées n’allaient pas être de tout repos !) Et maintenant, aux pieds Ma chienne ! Et suis-moi…
Monsieur le Marquis d’Evans ouvrit une porte qui se situait juste derrière son bureau. Là se trouvait une toute petite pièce, avec une lucarne pour toute ouverture et lumière, avec une table, un ordinateur, et une chaise équipée d’un plug fixé à la verticale.
- Voilà ton poste de travail ! Tant que je n’exigerai rien d’autre de toi, tu seras assise empalée ainsi toujours pluguée, et tu travailleras ici. Pour aujourd’hui, je t’ai préparé une pile de dossiers à étudier et à mémoriser pour ce soir ! Je compte sur toi pour avoir tout retenu, sinon tu seras sanctionnée. Chaque jour tu auras, en plus des tâches que te demandera ton poste, une partie des dossiers, jusqu’à ce que tu connaisses sur le bout des doigts tout ce qui touche Mes entreprises. Pour le reste de la journée, comme ce matin, tu es dispensée des corvées, je veux que tu en apprennes le plus possible, le plus rapidement ! Ah, j’allais oublier, je ne veux pas que tu me déranges pour rien, mais s’il y a quelque chose que tu ne comprends pas, je préfère que tu viennes Me le demander. Tu viendras à Moi toujours à quatre pattes et tu attendras en position standard que je daigne te laisser t’exprimer. Et maintenant, avant de te laisser travailler, il faut que je me soulage, et n’ai pas envie de perdre mon temps à aller jusqu’aux sanitaires, alors à genoux, et ouvre la bouche ! Bois Mon divin nectar ! …
(A suivre …)
Lorsque je regagnai la chambre d’hôtel le soir, un mail du Maître m’attendait…
« Ma chienne, je te veux au Château dimanche soir ! Exceptionnellement mon jet privé n’est pas disponible et donc tu devras prendre la route après avoir déposé tes filles chez ton mari après le déjeuner. Tu arriveras tard, alors tu iras directement au Chenil pour te reposer. Tu laisseras ta voiture devant le perron du Château, tu y laisseras tes vêtements et tout ce qui fait ta vie vanille dedans. Comme à l’accoutumée, tu te mettras en ‘tenue’ de ce que tu es, une simple soumise. A dimanche comme exigé ! »
Mon chef m’avait proposé de prendre mon vendredi de congé pour préparer mes affaires pour mon départ, mais ne possédant plus grand-chose, j’avais refusé. Ce jour passa vite, j’allais chercher mes filles chez leur père qui m’adressa à peine un bonjour. On voyait bien qu’il ne me les laissait pas de gaité de cœur. J’aurai tellement voulu pouvoir parler avec lui, essayer de lui faire comprendre que ma relation avec le Maître n’avait rien de répugnant, de honteux, et qu’au contraire c’était grâce à Lui que j’avais retrouvé confiance en moi, que je m’épanouissais. Mais il ne m’en laissait jamais l’occasion, prétextant, dès que j’essayais d’entamer une conversation, qu’il avait des choses urgentes à faire ou que ma façon de voir les choses de ma relation D/s sortait de l’entendement. Le week-end se passa rapidement, à profiter à fond de la présence de mes filles, et à préparer les petites choses que j’emmenais avec moi dans le Beaujolais… Je déposais mes filles chez mon mari puis je pris la route jusqu’au Château qui se passa sans encombre. Certainement pour ne pas me retarder, je ne reçus aucun ordre sur le trajet. J’arrivais devant la noble Demeure à 23h. Obéissant au message que j’avais reçu, je me garais devant le perron, je me dévêtis, je passais mon collier, ma laisse, posais mes pinces aux tétons, me bâillonnais la bouche, m’enfonçais un plug long et épais dans le cul, et je me dirigeais frissonnante vers le Chenil. Là, je trouvais une niche neuve, avec une petite pancarte «Niche de chienne-soumise Marion MDE ». J’entrais donc dedans, découvrant une épaisse couverture. Fatiguée par le voyage, je me couchais et m’endormis rapidement avec bonheur, le sentiment d’être à ma place, enfin… Le lendemain se fut Walter qui vint me réveiller, sans un mot, mais avec un tuyau d’arrosage projetant un jet d’eau froide. Pas de doute, j’étais bien revenue au Château !
- Allez, debout la chienne ! il est 7h du matin, et il faut te préparer pour ton premier jour de travail auprès de Monsieur le Marquis. Et je te préviens de suite, Il est au moins aussi exigeant envers Ses chiens au Château, qu’envers ses employés vanille, mais beaucoup plus avec ceux qui portent les deux casquettes !
Sur ses mots, Il empoigna ma laisse et me tira sans ménagement hors de ma niche et du Chenil. Il me conduisit aux écuries et après m’avoir à nouveau arrosée au jet d’eau, il m’étrilla vigoureusement, en n’oubliant aucune partie du corps, pas même mes parties intimes à la peau si sensible ! Une fois récurée, il m’autorisa à me tenir debout et à mettre des chaussures avant de m’emmener au Château afin de ne pas gâcher son travail minutieux de propreté. Mais dès le pas de la porte, il fallut à nouveau me mettre en quadrupédie dans une nudité totale. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Là Marie, la perverse cuisinière du Château vint près de moi, après avoir salué chaleureusement le Majordome. Sa main passa vicieusement sur tout mon corps, palpant, malaxant, étirant tout ce qui pouvait l’être, tétons, lèvres, lèvres intimes… elle fourra sans préparation trois doigts dans ma chatte bien excitée et après quelques vas et viens, me fit lécher ses doigts.
- Tu dois avoir faim et soif la chienne, alors viens te désaltérer à ma source, dit-elle avec un sourire vicieux.
Et elle s’approcha encore plus de moi. Elle resta debout, jambes écartées et me plaquant ma tête entre ses jambes, elle souleva sa robe aux dessous sans aucune culotte, puis elle m’ordonna de la lécher. Son sexe était parfaitement épilé et montrait une fente lisse et gonflée. Je m’appliquais du mieux possible à passer ma langue sur sa chatte déjà bien humide. Je m’attelais à titiller son petit bouton rose bien développée et du bout de ma langue je le branlais frénétiquement, je passais aussi entre mes lèvres buccales, ses lèvres intimes gorgées de désirs et je les aspirais, léchais, embrassais avec envie de donner du plaisir. Ma langue devait lui procurer de bonnes sensations excitantes car au bout d’un moment, elle commença à faire bouger son bassin en des petits coups de reins contre mon visage et elle se mit à gémir de plaisir quand elle plaqua fortement ma tête contre son sexe. Ma langue était désormais entrée dans son vagin et léchait, tournait, râpait ses parois vaginales quand elle m’inonda le visage de son orgasme spontané ponctué de cris jouissifs qu’elle laissa échapper de sa bouche. Ensuite elle resta totalement immobile et au bout d’un moment où je ne réussis pas à me dégager de son étreinte contre son bas-ventre, elle décida de m’abreuver de son urine en se soulageant directement dans ma bouche. Pendant ce temps, Walter avait fait arrêter une soumise s’affairant sur les petits déjeuners pour se faire sucer, et au moment où il allait exploser, il repoussa fermement la chienne, pour se vider dans une gamelle déjà prête. Alors que Marie me laissait enfin respirer, il m’interpella :
- Eh la chienne ! Maintenant que tu as bien bu, viens vite manger ta pâtée ! Je t’y ai rajouté un petit complément alimentaire, qui ne pourra que te faire du bien, vu la longue journée qui t’attend !
Je me dépêchais donc d’aller à quatre pattes vers l’assiette qu’il venait de poser au sol et de la laper goulument. J’étais affamée, je ne mis pas longtemps à la vider et à la nettoyer consciencieusement avec ma langue… Je me demandais en quoi la journée allait être si longue. Aujourd’hui, même si au fond je restais la chienne du Maître, je commençais mon nouveau travail de secrétaire de direction, et donc j’allais me retrouver près ou dans le bureau du Noble. Et même si ce poste pouvait être intense en somme de travail, ce n’était pas une tâche qui devrait me fatiguée outre-mesure. Du moins, c’est ce que je pensais naïvement ! … Je fus conduite à l’étage dans le bureau de Monsieur le Marquis. Walter, après m’avoir ordonné la position standard, me laissa seule. J’attendis un peu plus d’une demi-heure avant que le Maître n’entre dans la pièce, mais sans faire attention à moi le moins du monde. Il s’installa derrière sa table de travail, lut des dossiers, écrivit… Je ne sais combien de temps je restais ainsi dans cette position, mais j’entendis bientôt la grosse et très ancienne horloge, placée près de la haute fenêtre, sonner 9h. Je trouvais cela étonnant, je m’attendais à prendre mon poste avant 8h30. Je L’entendis bouger mais je ne pouvais voir ce qu’Il faisait. Il y eut à nouveau un long silence, puis soudain Sa voix s’éleva :
- Ma chienne… À genoux ! Regarde-moi ! … (J’obtempérais immédiatement, essayant tant bien que mal de soutenir son regard bleu acier) … Je ne pense pas que tu ais mesuré ce qui allait t’attendre. Tout soumis ou soumise MDE en ce Château, a des tâches quotidiennes à effectuer, en dehors de leur spécialisation. Et ils doivent tous être toujours entièrement disponibles pour quiconque pourrait vouloir se servir des choses et objets que vous êtes tous ! Puis suivant ce qu’ils faisaient dans leurs vies vanilles, ils ont également à faire ce que j’attends d’eux suivant leurs compétences. Pour certains, cela les amène à aller à l’extérieur, à passer parfois plusieurs jours loin du Château… Mais toi, tu as la chance de devenir Ma secrétaire de direction, en contact quasi permanent avec Moi et donc tu n’échapperas pas aux corvées de Ma noble demeure ! Mis à part aujourd’hui, où, dans Ma grande magnanimité, je t’ai permis de m’attendre ici dans le bureau tout ce temps, tu devras suivant le planning que Walter aura préparé, aider aux cuisines, faire partie des équipes d’entretien des différentes zones et pièces de ce lieu ancestral, et ce de 6h à 9h du matin. De 9h à 12h, tu occuperas les fonctions qu’incombent à ton poste, tu devras te présenter ici même devant Moi, comme la chienne que tu es ! Le monde vanille n’a plus lieu d’être dans la mesure où tu es dans ce Château, dans ce bureau. Si tu es dans l’équipe des cuisines, tu devras aller aider Marie, et si tu te dépêches, tu auras le droit de manger avant de reprendre à 14h ton poste ici, où tu seras jusqu’à 17h… Je serai appelé à recevoir parfois certains clients et tu seras là aussi pour les satisfaire sexuellement afin de conclure quelques contrats quand le cas se présentera... Bref tu es tout simplement une secrétaire soumise, une secrétaire pute et chienne… à Mes moindres Exigences…
Le Maître reprit son souffle, puis continua :
- Ensuite, tu auras encore ton dressage de chienne à subir, les corvées du soir que t’imposera Walter. Quand nous devrons recevoir des RDV professionnels, tu seras prévenue et à l’heure exigée tu devras passer la tenue qui sera préparée pour toi et qui se trouvera dans le placard qui se trouve là à ta gauche. Il pourra arriver aussi que tu m’accompagnes dans des déplacements professionnels. Ne t’inquiète pas, je ferai en sorte que cela ne gêne pas tes tours de garde de tes enfants. (Le Maître laissa planer un long silence, me permettant d’assimiler tout ce que je venais d’apprendre et de comprendre ! Effectivement, mes journées n’allaient pas être de tout repos !) Et maintenant, aux pieds Ma chienne ! Et suis-moi…
Monsieur le Marquis d’Evans ouvrit une porte qui se situait juste derrière son bureau. Là se trouvait une toute petite pièce, avec une lucarne pour toute ouverture et lumière, avec une table, un ordinateur, et une chaise équipée d’un plug fixé à la verticale.
- Voilà ton poste de travail ! Tant que je n’exigerai rien d’autre de toi, tu seras assise empalée ainsi toujours pluguée, et tu travailleras ici. Pour aujourd’hui, je t’ai préparé une pile de dossiers à étudier et à mémoriser pour ce soir ! Je compte sur toi pour avoir tout retenu, sinon tu seras sanctionnée. Chaque jour tu auras, en plus des tâches que te demandera ton poste, une partie des dossiers, jusqu’à ce que tu connaisses sur le bout des doigts tout ce qui touche Mes entreprises. Pour le reste de la journée, comme ce matin, tu es dispensée des corvées, je veux que tu en apprennes le plus possible, le plus rapidement ! Ah, j’allais oublier, je ne veux pas que tu me déranges pour rien, mais s’il y a quelque chose que tu ne comprends pas, je préfère que tu viennes Me le demander. Tu viendras à Moi toujours à quatre pattes et tu attendras en position standard que je daigne te laisser t’exprimer. Et maintenant, avant de te laisser travailler, il faut que je me soulage, et n’ai pas envie de perdre mon temps à aller jusqu’aux sanitaires, alors à genoux, et ouvre la bouche ! Bois Mon divin nectar ! …
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