La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°860)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°860)
Histoire d'une soumission au Château – (suite de l'épisode N°856) -
Walter fut le premier à s'approcher d'Olivier, il s'exprima ainsi :
- " Tu es à nous, donc direction l'écurie, je prévois quelque chose de spécial pour toi"
Le soumis pris la direction de l'écurie, suivi de Walter, les poids toujours attachés aux testicules et le plug bien en place, avec un pas hésitant le trajet fut long pour traverser l’immense cour aux graviers rouges. Les pieds nus lui faisaient mal et de plus Olivier sentait réellement ses testicules être attirés vers le bas, il en souffrait physiquement et psychologiquement en pensant à la déformation apportée à son corps, reviendrait-elle bien en place après un tel traitement ? Au fond de la cour, et à l'approche de l'écurie, près de la croisée de plusieurs chemins menant aux différentes parties du château Walter ordonna à Olivier de s'arrêter. Walter alla chercher à l'écurie un espèce de chevalet servant de reposoir pour les selles. Walter positionna le chevalet et poussa le soumis, il lui précisa :
- "Allonge-toi en avant sur ce chevalet, je vais t'attacher dessus et tes pieds seront bien écartés, penchés en avant, ton cul sera une offrande. Je prépare un panneau indiquant que tu es à la disposition de tous, au château tout le monde sait ce que cela veut dire, de plus saches que je dépose un martinet au pied de ce chevalet, il servira si tu te montres rétif "
Olivier fut allongé buste en avant sur le chevalet effectivement sa position laissait apparaître son sillon fessier d'où on distinguait le plug. Pieds et mains attachés, il ne pouvait pas bouger, d'ailleurs le moindre mouvement lui procurait une inévitable douleur dut à la morsure des poids sur ses testicules. Walter concluait :
- " Je m'en vais maintenant, tu vas rester ainsi jusqu'au souper, courage espèce de chien"
Olivier se retrouva seul, bien seul, il essayait de compter les minutes et les heures, quand il entendit des bruits de pas vers lui, et surtout une voix masculine:
- " Mais ? Qu'avons-nous là ? … Je crois savoir par Walter qu'il est disponible à tous, un petit cul comme cela, je vais pas laisser passer l'occasion"
Olivier savait que dans quelques instants il serait pris, qu'à aucun moment il distinguerait l'homme, seul son sexe en lui se ferait sentir. Une main s'empara brutalement du plug, son anus était libre, le passage ouvert vers ses reins, deux doigts écartait son sillon fessier indiquant l'imminence de la pénétration. L'homme sûre de son fait, poussa d'un seul coup, la longueur de sa tige pénétra le soumis et il allait apprécier cette saillie... L'homme accéléra le mouvement, habitué à des saillies brutales qui n'avait pour but que son seul plaisir, il labourait littéralement le soumis de Monsieur le Marquis, c'est uniquement quand il sentit son plaisir arriver qu'il se retira, des longs jets de sperme fusèrent alors sur le dos d'Olivier. L'homme grogna de satisfaction, content du résultat, sachant l'obligation du port du plug, il le remit bien en place, sans un mot et il s'éloigna. Olivier sentit le sperme coulé de son dos, quel spectacle il devait montrer, c'est la perverse Marie qui passa en deuxième une dizaine de minutes après.
- "Tiens, dit elle, Walter ne m'a pas menti et la cravache est bien à sa place, tu te rappelles du peu de plaisir que tu m'as donné et bien maintenant je vais en prendre du plaisir, ha ! ha ! ha !"
Olivier sentit durement le coup de cravache, Marie aimait viser les fesses, voir cette partie du corps passer du blanc au rouge. A chaque coup Olivier gémissait, il compta mécaniquement le nombre de coups, c'est à dix que Marie s'arrêta. - "Si tu voyais tes fesses, elles sont écarlates, je sais que Monsieur le Marquis va passer tout à l'heure, il va apprécier de te voir comme cela, en même temps Monsieur le Marquis te tient en haute estime pour la façon dont tu te comportes, en suivant sans rechigner le protocole du château; je vais donc te détacher et t'enlever ces poids sur tes testicules."
Olivier fut surpris par son initiative, mais Marie en femme de tête, tint parole, il fut ainsi libéré de sa terrible position. Le premier souci d'Olivier fut de se masser les testicules, il le fit devant Marie, elle apprécia le spectacle du soumis perdant toute pudeur devant elle, satisfaite elle dit :
- " Sache que Monsieur le Marquis ne devrait pas tarder, mon travail à la cuisine m'appelle, Je te laisse maintenant"
Olivier resta seul, que devait-il faire, il se sentait mal à l'aise, le retour vers sa chambre s'imposait, mais il choisit une autre voix, celle de la satisfaction du Seigneur et Maître de la demeure, puisque celui-ci devait arriver. Il se devait de reprendre sa place sur le chevalet offert au bon soin de son Maître. De lui-même, il repris place offrant ses entrailles à son Maître, docilement. Monsieur le Marquis arriva peu après, en voyant Olivier dans la position qu'il avait prise de lui-même, il fut fort satisfait, son enseignement portait ses fruits, c'était lui qui avait ordonner à Marie de libérer Olivier pour le tester et voir la façon dont il allait se comporter. Olivier était devenu une bonne petite chienne qui connaissait la position à adopter, "satisfaire son Maître" Le châtelain dit à Olivier :
- "Je vois que tu as pris une position que rien ne t'obligeait, tu as donc compris la portée de la leçon du jour, l'obéissance, regagnes donc ta chambre, tu as quartier libre. Ce soir, je te ferais amener un copieux souper, mais d'abord viens remercier ton Maître". Olivier s'exécuta, il emboucha le sexe de Monsieur le Marquis essayant de lui procurer plaisir et satisfaction, comme une bonne chienne. Olivier prodigua une fellation tout en douceur, il prenait son temps, le Noble apprécia l'intention et c'est avec plaisir qu'il libéra sa semence, il aimait ce moment où il pouvait jouir dans cette bouche qui lui appartenait maintenant. Peu après, Olivier put regagner sa chambre, satisfait d'avoir supporté cette journée, demain l'ouverture de la cinquième boite marquerait sa dernière journée au château.
Olivier regagna sa chambre, ou effectivement un bon repas l'attendait, la nuit fut tranquille, ses pensées allaient vers cette dernière journée au château, l'ouverture de la dernière boite, son départ et le retour chez lui par le TGV du soir. C'est avec anxiété qu'il remarqua le jour poindre derrière les volets de la fenêtre, il se leva et alla prendre une douche voulant ainsi se préparer à cette dernière journée. A son retour de la salle de bain, il remarqua la cinquième boite délicatement posée sur son lit, un simple mot l'accompagnait ‘’A ouvrir’’. Olivier se saisit de la boite, l'ouverture lui permit de mettre la main sur une feuille pliée en quatre, qu'avez donc prévu Monsieur le Marquis ? "Jouissance" tel fut le mot qu'il put lire. Walter arriva peu après, il indiqua à Olivier de descendre dans une heure et que Monsieur le Marquis l'attendrait :
- "Aujourd'hui la journée t'est dédiée, dit Walter, rien de plus normal pour conclure ton séjour au Château...
(A suivre ...)
Walter fut le premier à s'approcher d'Olivier, il s'exprima ainsi :
- " Tu es à nous, donc direction l'écurie, je prévois quelque chose de spécial pour toi"
Le soumis pris la direction de l'écurie, suivi de Walter, les poids toujours attachés aux testicules et le plug bien en place, avec un pas hésitant le trajet fut long pour traverser l’immense cour aux graviers rouges. Les pieds nus lui faisaient mal et de plus Olivier sentait réellement ses testicules être attirés vers le bas, il en souffrait physiquement et psychologiquement en pensant à la déformation apportée à son corps, reviendrait-elle bien en place après un tel traitement ? Au fond de la cour, et à l'approche de l'écurie, près de la croisée de plusieurs chemins menant aux différentes parties du château Walter ordonna à Olivier de s'arrêter. Walter alla chercher à l'écurie un espèce de chevalet servant de reposoir pour les selles. Walter positionna le chevalet et poussa le soumis, il lui précisa :
- "Allonge-toi en avant sur ce chevalet, je vais t'attacher dessus et tes pieds seront bien écartés, penchés en avant, ton cul sera une offrande. Je prépare un panneau indiquant que tu es à la disposition de tous, au château tout le monde sait ce que cela veut dire, de plus saches que je dépose un martinet au pied de ce chevalet, il servira si tu te montres rétif "
Olivier fut allongé buste en avant sur le chevalet effectivement sa position laissait apparaître son sillon fessier d'où on distinguait le plug. Pieds et mains attachés, il ne pouvait pas bouger, d'ailleurs le moindre mouvement lui procurait une inévitable douleur dut à la morsure des poids sur ses testicules. Walter concluait :
- " Je m'en vais maintenant, tu vas rester ainsi jusqu'au souper, courage espèce de chien"
Olivier se retrouva seul, bien seul, il essayait de compter les minutes et les heures, quand il entendit des bruits de pas vers lui, et surtout une voix masculine:
- " Mais ? Qu'avons-nous là ? … Je crois savoir par Walter qu'il est disponible à tous, un petit cul comme cela, je vais pas laisser passer l'occasion"
Olivier savait que dans quelques instants il serait pris, qu'à aucun moment il distinguerait l'homme, seul son sexe en lui se ferait sentir. Une main s'empara brutalement du plug, son anus était libre, le passage ouvert vers ses reins, deux doigts écartait son sillon fessier indiquant l'imminence de la pénétration. L'homme sûre de son fait, poussa d'un seul coup, la longueur de sa tige pénétra le soumis et il allait apprécier cette saillie... L'homme accéléra le mouvement, habitué à des saillies brutales qui n'avait pour but que son seul plaisir, il labourait littéralement le soumis de Monsieur le Marquis, c'est uniquement quand il sentit son plaisir arriver qu'il se retira, des longs jets de sperme fusèrent alors sur le dos d'Olivier. L'homme grogna de satisfaction, content du résultat, sachant l'obligation du port du plug, il le remit bien en place, sans un mot et il s'éloigna. Olivier sentit le sperme coulé de son dos, quel spectacle il devait montrer, c'est la perverse Marie qui passa en deuxième une dizaine de minutes après.
- "Tiens, dit elle, Walter ne m'a pas menti et la cravache est bien à sa place, tu te rappelles du peu de plaisir que tu m'as donné et bien maintenant je vais en prendre du plaisir, ha ! ha ! ha !"
Olivier sentit durement le coup de cravache, Marie aimait viser les fesses, voir cette partie du corps passer du blanc au rouge. A chaque coup Olivier gémissait, il compta mécaniquement le nombre de coups, c'est à dix que Marie s'arrêta. - "Si tu voyais tes fesses, elles sont écarlates, je sais que Monsieur le Marquis va passer tout à l'heure, il va apprécier de te voir comme cela, en même temps Monsieur le Marquis te tient en haute estime pour la façon dont tu te comportes, en suivant sans rechigner le protocole du château; je vais donc te détacher et t'enlever ces poids sur tes testicules."
Olivier fut surpris par son initiative, mais Marie en femme de tête, tint parole, il fut ainsi libéré de sa terrible position. Le premier souci d'Olivier fut de se masser les testicules, il le fit devant Marie, elle apprécia le spectacle du soumis perdant toute pudeur devant elle, satisfaite elle dit :
- " Sache que Monsieur le Marquis ne devrait pas tarder, mon travail à la cuisine m'appelle, Je te laisse maintenant"
Olivier resta seul, que devait-il faire, il se sentait mal à l'aise, le retour vers sa chambre s'imposait, mais il choisit une autre voix, celle de la satisfaction du Seigneur et Maître de la demeure, puisque celui-ci devait arriver. Il se devait de reprendre sa place sur le chevalet offert au bon soin de son Maître. De lui-même, il repris place offrant ses entrailles à son Maître, docilement. Monsieur le Marquis arriva peu après, en voyant Olivier dans la position qu'il avait prise de lui-même, il fut fort satisfait, son enseignement portait ses fruits, c'était lui qui avait ordonner à Marie de libérer Olivier pour le tester et voir la façon dont il allait se comporter. Olivier était devenu une bonne petite chienne qui connaissait la position à adopter, "satisfaire son Maître" Le châtelain dit à Olivier :
- "Je vois que tu as pris une position que rien ne t'obligeait, tu as donc compris la portée de la leçon du jour, l'obéissance, regagnes donc ta chambre, tu as quartier libre. Ce soir, je te ferais amener un copieux souper, mais d'abord viens remercier ton Maître". Olivier s'exécuta, il emboucha le sexe de Monsieur le Marquis essayant de lui procurer plaisir et satisfaction, comme une bonne chienne. Olivier prodigua une fellation tout en douceur, il prenait son temps, le Noble apprécia l'intention et c'est avec plaisir qu'il libéra sa semence, il aimait ce moment où il pouvait jouir dans cette bouche qui lui appartenait maintenant. Peu après, Olivier put regagner sa chambre, satisfait d'avoir supporté cette journée, demain l'ouverture de la cinquième boite marquerait sa dernière journée au château.
Olivier regagna sa chambre, ou effectivement un bon repas l'attendait, la nuit fut tranquille, ses pensées allaient vers cette dernière journée au château, l'ouverture de la dernière boite, son départ et le retour chez lui par le TGV du soir. C'est avec anxiété qu'il remarqua le jour poindre derrière les volets de la fenêtre, il se leva et alla prendre une douche voulant ainsi se préparer à cette dernière journée. A son retour de la salle de bain, il remarqua la cinquième boite délicatement posée sur son lit, un simple mot l'accompagnait ‘’A ouvrir’’. Olivier se saisit de la boite, l'ouverture lui permit de mettre la main sur une feuille pliée en quatre, qu'avez donc prévu Monsieur le Marquis ? "Jouissance" tel fut le mot qu'il put lire. Walter arriva peu après, il indiqua à Olivier de descendre dans une heure et que Monsieur le Marquis l'attendrait :
- "Aujourd'hui la journée t'est dédiée, dit Walter, rien de plus normal pour conclure ton séjour au Château...
(A suivre ...)
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