La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°866)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°866)
Histoire d'une soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°865) -
Walter sexe en main s’approcha du soumis Olivier, il voulait profiter de cette saillie et prendre bien en profondeur Olivier. Celui-ci sentit de nouveau une pénétration puissante, virile qui le remplissait amplement jusqu’à la garde par un sexe raide et épais. Soumis Olivier protesta :
- Non, pas vous, je veux être disponible pour Monsieur le Marquis Evans et pas pour son Majordome.
Walter continua quand même en le fessant avec remontrance tout en le sermonnant avec virulence dans le propos :
- D’abord un chien de ton espèce ne peut pas dire ‘’je veux’’, il n’en a pas le droit, il peut souhaiter, désirer mais pas vouloir. Ce sont les Dominants qui veulent et pas les esclaves ou les futurs esclaves. Ensuite, tu lui le diras toi-même, et je connais sa réponse, tu risques d’être surpris.
Après l’avoir bien limé profondément dans son fondement, tout en tirant en arrière les cheveux du soumis, Walter contre toute attente se retira, laissant Olivier dans sa position servile.
- Ecoute le chien-soumis, tu vas rester là et tu vas réfléchir à ta situation. Le Maître daignera peut-être te rendre visite. Mais n’oublie jamais qu’ici le verbe ‘’vouloir’’ est à bannir de ta bouche, espèce de chien bon à dresser… A bientôt donc et tient toi tranquille si tu ne veux pas subir mon courroux et ensuite celui du Maître…
Walter quitta la pièce, laissant Olivier tout seul immobile et en levrette. Après le départ de Walter, Marie la cuisinière sadique et perverse du Marquis d’Evans fut envoyée à Olivier. Quand elle n’était à ses fourneaux, Marie servait un peu d’intendante, et une partie de son travail consistait aussi à préparer les soumis à la Cérémonie où le Marquis d’Evans les marquait officiellement de son joug. Olivier allait être préparé à cette cérémonie qui était prévu pour le soir même. Quand Marie arriva face à Olivier, celui-ci entendu une cravache fendre l’air au-dessus de sa tête, elle avait des bottes hautes en cuir noir et brillement vernis. Elle était en tenue de cavalier. Marie indiqua d’un ton sévère à Olivier et sans aucuns mots préalables d’un éventuel salut :
- Ecoute bien, le chien puisque, tu veux appartenir au Maitre, je vais te dorloter pour que tu profites de tes derniers moments de liberté. Tu vas pouvoir te restaurer convenablement afin d’être prêt pour la cérémonie d’appartenance à Monsieur le Marquis…
Marie marqua une pause reprenant sa respiration tout en faisant de nouveau manœuvrer sa cravache dans l’air.
- … Mais sache que tu ne seras pas tout seul car d’autres personnes seront là pour témoigner de ta soumission totale et complète au Seigneur et Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Suis-moi le chien… Et avance si tu ne veux pas goûter de ma cravache…
Olivier obtempéra et il fut emmené par la cuisinière d’abord aux douches où il dut se laver sous les yeux de Marie, celle-ci lui expliqua que les soumis n’avait pas droit à la pudeur, que ni la honte ni la pudeur était accessibles ou autorisées aux esclaves. Puis il put profiter pleinement de ces quelques heures qui le séparaient de cet instant, où après s’être donc laver, il put manger mais pas comme le tout à chacun ! Non, Marie lui avait réservé une gamelle dans les cuisines et c’est à quatre pattes, nu et à même le sol qu’il dut se sustenter. Ensuite, on lui procura une espèce de cape qui devait lui servir d’habit durant la cérémonie prévue dans le grand salon et cela rendit Olivier de plus en plus tendu à l’approche de l’évènement. Marie lui lança :
- On va te préparer maintenant, tu vas subir un lavement afin d’être parfaitement propre par l’anus pour la cérémonie… Tu devras aussi être nu sous cette cape que tu mettras quand Walter viendra te chercher… Mais en attendant, je vais faire de ton petit trou du cul, un espace aussi propre que le carrelage de mes cuisines …
Olivier subit cela avec honte (même s’il n’avait pas droit à celle-ci) oui il éprouva donc de la honte mais aussi un immense plaisir masochiste à se faire laver ainsi l’intérieur de son cul par 2 ou 3 lavements par canules que Marie lui fit subir dans une grande baignoire à la salle de bain. Elle lui dilata largement l’anus avec un tuyau large et long qu’elle introduisit sans préambule dans le cul du soumis. Ce tuyau était relié à une poire de lavement remplie d’une canule d’un liquide chaud et nettoyant. A plusieurs reprises elle recommença l’opération, pressant sur la poire. Olivier sentit le liquide chaud envahir ses entrailles puis il lui fut permis de se vider les intestins et Marie recommença jusqu’à une propreté parfaite de ses entrailles.
Olivier en était même excité de ce traitement à la fois honteux mais sublime, tandis qu’il entendit les préparatifs, car on s’activait dans le grand salon, mais surtout il comprenait par le va et vient entre la porte d'entrée, les nombreux pas et les exclamations de voix que le Château recevait de nombreux visiteurs. Le grand salon était une pièce spacieuse les murs étaient recouverts de boiserie du XVII ème siècle et de tapisserie des Gobelins montrant des scènes de chasse. Dans la cheminée une belle flambée permettait de réchauffer la grande salle de cérémonie. Olivier dans quelques instants allait découvrir cette pièce. Quand Marie termina le lavement anal, elle le fessa par satisfaction de son propre travail et lui mit la cape sur les épaules et Walter vint le chercher, en premier lieu il s'assura de la propreté du soumis et qu'il était bien nu sous la grande cape. Il le fit mettre en levrette, cul relevé et lui fit écarter ses fesses de ses mains afin de vérifier s’il était propre. C’était bien le cas et donc il en félicita Marie.
- Bon, tu es prêt le chien, tu vas donc me suivre, dans un instant ta vie va basculer.
Olivier suivit donc Walter docilement après avoir longé un grand couloir aux magnifiques tapisseries. Walter lui dit de mettre un masque avant d'entré dans le grand salon, Olivier s’exécuta et c'est ainsi qu’il entra dans la pièce. A son entrée le silence se fit, on poussa Olivier jusqu’au centre de la pièce. Olivier entendit alors la voix du Marquis d’Evans :
- Ainsi tu souhaites devenir mon chien soumis ? Tu sais ce que cela veut dire ? Témoigne devant tout le monde de ton choix. Souhaites-tu être mon chien ? Répond à haute voix !
- Oui, répondit timidement Olivier
- Oui qui ? rétorque Monsieur le Marquis
- Oui Maître.
- Bien je veux te voir nu maintenant, enlève cette cape
Olivier enleva la cape qui le dissimulait, et c'est nu qu'il s'offrit aux regards de l’assistance
- Bien, fit le Marquis d’Evans : Approche toi et montre à l'assemblée que tu es un chien, donc à genou maintenant
Olivier s’exécuta il se mit à genou :
- Viens à Mes pieds maintenant, chien.
Olivier se mit à quatre pattes pour avancer comme un chien docile aux pieds du Maitre. Le Marquis d’Evans continua de sa voix forte :
- Chien, ce soir tu vas recevoir ton collier avec Mes initiales, c’est un honneur que je te fais, tu devras en être digne et à cet effet tu seras ce soir à la disposition de l’assemblée. Mais d’abord je vais t’enculer, prendre possession de ton corps, oui te prendre par mon sexe qui va rentrer en toi jusqu’à la garde afin que tu sentes dans tes entrailles le poids et la possession totale du Maitre en ton corps. Es-tu d’accord ? Cet accord de ta propre bouche scellera ton destin car ensuite, on ne te demandera plus rien, on exigera, on te commandera, on t’ordonnera mais plus jamais on te demandera si tu es d’accord car ton corps et ton âme m’appartiendront pleinement et j’entends user et abuser de toi, de te prêter à qui bon me semblera, tu deviendras Ma chose insignifiante, Mon objet de plaisir, Mon esclave sexuel, Ma chienne en chaleur, Ma putain bonne à se faire saillir quand on en aura envie… Alors réfléchit bien avant de répondre, je te répète la question et je veux t'entendre à haute voix ! : Es-tu d’accord ?
Olivier après quelques secondes d’une brève réflexion, répondit d’une voix forte et devant toute l’assemblée :
- Oui Maître, faites de moi, ce que vous voudrez, je vous fais don de mon corps et de mon âme.
- Bien, continua le Marquis d’Evans, je vais donc t’enculer maintenant, tourne toi en position de chienne en chaleur qui attends que l'on la monte, met toi en levrette cul relevé, reins cambrés, tête plaquée contre le sol
Olivier s’exécuta et se mis en position de levrette. Le Marquis Evans s’approcha, déboutonna son pantalon et en sortit alors son sexe majestueux qui formait un éperon dont le gland palpitait, l’assistance savait que ce moment était particulier le Maitre allait prendre possession de Son soumis-esclave. Olivier dut écarter les jambes, il sentit le Maitre approcher le gland glissa entre ses fesses et écarta les chairs. Le Maitre prit Olivier, le collier était mis de fait. Olivier se concentra pour que le Marquis prenne le maximum de plaisir…
(A suivre…)
Walter sexe en main s’approcha du soumis Olivier, il voulait profiter de cette saillie et prendre bien en profondeur Olivier. Celui-ci sentit de nouveau une pénétration puissante, virile qui le remplissait amplement jusqu’à la garde par un sexe raide et épais. Soumis Olivier protesta :
- Non, pas vous, je veux être disponible pour Monsieur le Marquis Evans et pas pour son Majordome.
Walter continua quand même en le fessant avec remontrance tout en le sermonnant avec virulence dans le propos :
- D’abord un chien de ton espèce ne peut pas dire ‘’je veux’’, il n’en a pas le droit, il peut souhaiter, désirer mais pas vouloir. Ce sont les Dominants qui veulent et pas les esclaves ou les futurs esclaves. Ensuite, tu lui le diras toi-même, et je connais sa réponse, tu risques d’être surpris.
Après l’avoir bien limé profondément dans son fondement, tout en tirant en arrière les cheveux du soumis, Walter contre toute attente se retira, laissant Olivier dans sa position servile.
- Ecoute le chien-soumis, tu vas rester là et tu vas réfléchir à ta situation. Le Maître daignera peut-être te rendre visite. Mais n’oublie jamais qu’ici le verbe ‘’vouloir’’ est à bannir de ta bouche, espèce de chien bon à dresser… A bientôt donc et tient toi tranquille si tu ne veux pas subir mon courroux et ensuite celui du Maître…
Walter quitta la pièce, laissant Olivier tout seul immobile et en levrette. Après le départ de Walter, Marie la cuisinière sadique et perverse du Marquis d’Evans fut envoyée à Olivier. Quand elle n’était à ses fourneaux, Marie servait un peu d’intendante, et une partie de son travail consistait aussi à préparer les soumis à la Cérémonie où le Marquis d’Evans les marquait officiellement de son joug. Olivier allait être préparé à cette cérémonie qui était prévu pour le soir même. Quand Marie arriva face à Olivier, celui-ci entendu une cravache fendre l’air au-dessus de sa tête, elle avait des bottes hautes en cuir noir et brillement vernis. Elle était en tenue de cavalier. Marie indiqua d’un ton sévère à Olivier et sans aucuns mots préalables d’un éventuel salut :
- Ecoute bien, le chien puisque, tu veux appartenir au Maitre, je vais te dorloter pour que tu profites de tes derniers moments de liberté. Tu vas pouvoir te restaurer convenablement afin d’être prêt pour la cérémonie d’appartenance à Monsieur le Marquis…
Marie marqua une pause reprenant sa respiration tout en faisant de nouveau manœuvrer sa cravache dans l’air.
- … Mais sache que tu ne seras pas tout seul car d’autres personnes seront là pour témoigner de ta soumission totale et complète au Seigneur et Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Suis-moi le chien… Et avance si tu ne veux pas goûter de ma cravache…
Olivier obtempéra et il fut emmené par la cuisinière d’abord aux douches où il dut se laver sous les yeux de Marie, celle-ci lui expliqua que les soumis n’avait pas droit à la pudeur, que ni la honte ni la pudeur était accessibles ou autorisées aux esclaves. Puis il put profiter pleinement de ces quelques heures qui le séparaient de cet instant, où après s’être donc laver, il put manger mais pas comme le tout à chacun ! Non, Marie lui avait réservé une gamelle dans les cuisines et c’est à quatre pattes, nu et à même le sol qu’il dut se sustenter. Ensuite, on lui procura une espèce de cape qui devait lui servir d’habit durant la cérémonie prévue dans le grand salon et cela rendit Olivier de plus en plus tendu à l’approche de l’évènement. Marie lui lança :
- On va te préparer maintenant, tu vas subir un lavement afin d’être parfaitement propre par l’anus pour la cérémonie… Tu devras aussi être nu sous cette cape que tu mettras quand Walter viendra te chercher… Mais en attendant, je vais faire de ton petit trou du cul, un espace aussi propre que le carrelage de mes cuisines …
Olivier subit cela avec honte (même s’il n’avait pas droit à celle-ci) oui il éprouva donc de la honte mais aussi un immense plaisir masochiste à se faire laver ainsi l’intérieur de son cul par 2 ou 3 lavements par canules que Marie lui fit subir dans une grande baignoire à la salle de bain. Elle lui dilata largement l’anus avec un tuyau large et long qu’elle introduisit sans préambule dans le cul du soumis. Ce tuyau était relié à une poire de lavement remplie d’une canule d’un liquide chaud et nettoyant. A plusieurs reprises elle recommença l’opération, pressant sur la poire. Olivier sentit le liquide chaud envahir ses entrailles puis il lui fut permis de se vider les intestins et Marie recommença jusqu’à une propreté parfaite de ses entrailles.
Olivier en était même excité de ce traitement à la fois honteux mais sublime, tandis qu’il entendit les préparatifs, car on s’activait dans le grand salon, mais surtout il comprenait par le va et vient entre la porte d'entrée, les nombreux pas et les exclamations de voix que le Château recevait de nombreux visiteurs. Le grand salon était une pièce spacieuse les murs étaient recouverts de boiserie du XVII ème siècle et de tapisserie des Gobelins montrant des scènes de chasse. Dans la cheminée une belle flambée permettait de réchauffer la grande salle de cérémonie. Olivier dans quelques instants allait découvrir cette pièce. Quand Marie termina le lavement anal, elle le fessa par satisfaction de son propre travail et lui mit la cape sur les épaules et Walter vint le chercher, en premier lieu il s'assura de la propreté du soumis et qu'il était bien nu sous la grande cape. Il le fit mettre en levrette, cul relevé et lui fit écarter ses fesses de ses mains afin de vérifier s’il était propre. C’était bien le cas et donc il en félicita Marie.
- Bon, tu es prêt le chien, tu vas donc me suivre, dans un instant ta vie va basculer.
Olivier suivit donc Walter docilement après avoir longé un grand couloir aux magnifiques tapisseries. Walter lui dit de mettre un masque avant d'entré dans le grand salon, Olivier s’exécuta et c'est ainsi qu’il entra dans la pièce. A son entrée le silence se fit, on poussa Olivier jusqu’au centre de la pièce. Olivier entendit alors la voix du Marquis d’Evans :
- Ainsi tu souhaites devenir mon chien soumis ? Tu sais ce que cela veut dire ? Témoigne devant tout le monde de ton choix. Souhaites-tu être mon chien ? Répond à haute voix !
- Oui, répondit timidement Olivier
- Oui qui ? rétorque Monsieur le Marquis
- Oui Maître.
- Bien je veux te voir nu maintenant, enlève cette cape
Olivier enleva la cape qui le dissimulait, et c'est nu qu'il s'offrit aux regards de l’assistance
- Bien, fit le Marquis d’Evans : Approche toi et montre à l'assemblée que tu es un chien, donc à genou maintenant
Olivier s’exécuta il se mit à genou :
- Viens à Mes pieds maintenant, chien.
Olivier se mit à quatre pattes pour avancer comme un chien docile aux pieds du Maitre. Le Marquis d’Evans continua de sa voix forte :
- Chien, ce soir tu vas recevoir ton collier avec Mes initiales, c’est un honneur que je te fais, tu devras en être digne et à cet effet tu seras ce soir à la disposition de l’assemblée. Mais d’abord je vais t’enculer, prendre possession de ton corps, oui te prendre par mon sexe qui va rentrer en toi jusqu’à la garde afin que tu sentes dans tes entrailles le poids et la possession totale du Maitre en ton corps. Es-tu d’accord ? Cet accord de ta propre bouche scellera ton destin car ensuite, on ne te demandera plus rien, on exigera, on te commandera, on t’ordonnera mais plus jamais on te demandera si tu es d’accord car ton corps et ton âme m’appartiendront pleinement et j’entends user et abuser de toi, de te prêter à qui bon me semblera, tu deviendras Ma chose insignifiante, Mon objet de plaisir, Mon esclave sexuel, Ma chienne en chaleur, Ma putain bonne à se faire saillir quand on en aura envie… Alors réfléchit bien avant de répondre, je te répète la question et je veux t'entendre à haute voix ! : Es-tu d’accord ?
Olivier après quelques secondes d’une brève réflexion, répondit d’une voix forte et devant toute l’assemblée :
- Oui Maître, faites de moi, ce que vous voudrez, je vous fais don de mon corps et de mon âme.
- Bien, continua le Marquis d’Evans, je vais donc t’enculer maintenant, tourne toi en position de chienne en chaleur qui attends que l'on la monte, met toi en levrette cul relevé, reins cambrés, tête plaquée contre le sol
Olivier s’exécuta et se mis en position de levrette. Le Marquis Evans s’approcha, déboutonna son pantalon et en sortit alors son sexe majestueux qui formait un éperon dont le gland palpitait, l’assistance savait que ce moment était particulier le Maitre allait prendre possession de Son soumis-esclave. Olivier dut écarter les jambes, il sentit le Maitre approcher le gland glissa entre ses fesses et écarta les chairs. Le Maitre prit Olivier, le collier était mis de fait. Olivier se concentra pour que le Marquis prenne le maximum de plaisir…
(A suivre…)
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