La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°879)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°879)
Le pensionnat, propriété du Marquis – L'arrivée -
Le ciel était bien bas et gris dans le brouillard de l'automne quand la berline noire aux vitres fumées des deux côtés avançait inexorablement vers son nouveau destin. La jeune femme se remémorait ce qui l'avais amené à cela.
Elle était l'enfant unique d'un riche couple. Étant eux même enfants uniques, son père espérait un garçon pour premier né. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Aussi, il ne rechigna pas lorsque sa mère demanda à ce que l'enfant soit envoyée dans le pensionnat où elle même avait été éduquée.
Cette séparation n'avait marquée la petite fille que par le fait qu'il lui avait fallu quitter sa nourrice qui s'était occupée d'elle depuis sa naissance. Ses parents ne s'étaient jamais vraiment souciés d'elle, trop de mondanités pour l'une, trop de travail pour l'autre.
Le pensionnat pour jeunes filles où elle fut amené l'année de ses sept ans était dirigée par une jeune directrice à l'allure très sévère (une éternelle robe style 1900 de couleur noire, renforçait cet air). Et sévère, cette directrice l'était. Chaque incartade, bêtises, mauvaises notes, tout était sévèrement réprimandé. Le pensionnat avait les meilleurs résultats scolaires du pays et Madame la Directrice tenait à ce qu'il en soit ainsi, tant que durerait sa présence en ces murs.
Pendant sa scolarité, ses parents décédèrent dans un terrible accident, ce fut la seule information que lui donna leur notaire, lors de l'annonce. Il l'emmena lui même aux funérailles et la ramena ensuite au pensionnat. Là il lui fit savoir qu'elle héritait par le fait d'une grande fortune, que selon le souhait de ses parents dans leur testament, elle ne toucherait que le jour où elle se marierait. Il continuerait à gérer cette fortune en son nom. Les décisions concernant son éducation seraient remises entre les mains de sa directrice qui avait carte blanche.
Sa scolarité se déroula à peu près normalement (à un détail près que l'adolescente qu'elle était devenue, n’avait plus aucune autorisation de sortie, plus de sortie les mercredi après-midi, plus de sortie les weekends, ni les vacances. Elle passait donc son temps à la bibliothèque très fournie de l'établissement). La fin de dernière année et la majorité légale s'étaient profilés avec inquiétude. On avait expliqué à la jeune femme qu'elle n'atteindrait sa majorité que lorsqu'elle serait mariée. Elle entendait ses camarades de classes lui expliquer leur futur rentrée à l'université ou ce qu'elles allaient faire après les vacances d'été.
Durant ce même été, elle avait intégré une nouvelle section de l'établissement avec quelques autres élèves. Au revoir leurs chambres particulières, bonjour la chambrée avec sa longue rangée de lit.
Chaque matin, la directrice réveillait ses jeunes élèves en personne. Elles passaient à la douche sous son regard impitoyable, la femme n'hésitait d'ailleurs pas à intervenir si elle jugeait que les jeunes filles s'y prenaient mal (il valait donc mieux ne pas lui en donner l'occasion car on ressortait le corps complètement rougi). Venait ensuite l'inspection minutieuse de leur anatomie. Elle tenait à ce que ses élèves soient parfaitement épilées et qu'elles apprennent à s'entretenir.
Le matin des cours dit normaux nous étaient dispensés, tant théoriques que pratiques. La directrice voulait nourrir leur esprit et leur apprendre à tenir un foyer, comme sied à leur rang, et en prévision de leur mariage futurs. L'après-midi était consacré à l'apprentissage du devoir conjugal.
Cet état de fait a duré une année environ.
Ce matin là, elle avait été convoquée dans le bureau de ma directrice, un peu avant le début des cours. Elle la fit asseoir.
"Myna, je vous ai convoquée ce matin pour vous parler de votre avenir. Ici je ne peux pas vous en apprendre plus. Ma sœur jumelle est gouvernante... dans un autre établissement. Elle a parlé de vous à son employeur. Monsieur le Marquis d'Evans a accepté de vous prendre sous son égide. Vous avez donc une demi-heure pour préparer vos affaires et me rejoindre dans le hall. Vous déposerez votre uniforme sur votre lit, vous y trouverez une tenue à votre intention. Vous pouvez disposer. N'oubliez pas, dans trente minutes dans le hall."
Elle remercia comme le voulait le règlement et se dirigea vers son dortoir. Elle était abasourdie. Elle allait devoir partir. Elle allait devoir quitter cet endroit qui était devenu sa maison au fil du temps.
Elle trouvait effectivement une tenue sur son lit, elle devait avoir été déposée durant le petit déjeuner. Elle déposa ses maigres possessions dans sa vieille valise. Ensuite Elle se déshabilla, plia soigneusement son uniforme sur son lit et enfila sa nouvelle tenue. Elle se composait de bas blancs, d'une jupe noire et d'un chemisier blanc. Elle se chaussa avec les chaussures fournies. Et enfin enfila le manteau. La jeune fille attrapa sa valise et sortie une dernière fois de son dortoir. Elle ne croisa aucune de ses camarades. Vu l'heure, elles devaient être en cours. De toutes les façons elles n'avaient plus accès au dortoir après le petit déjeuner et tant pis si l'une d'elle avait oublié un livre ou un cahier, elle serait punie pour son inattention.
La directrice attendait déjà dans le hall.
"Il était temps, j'ai failli vous attendre. Une voiture vas vous emmené à votre nouvel établissement."
Elle tendit une lettre cachetée de cire aux armes de l'école.
"Vous remettrez ceci à votre nouveau... Hum... directeur. N'oubliez pas surtout. Vous avez reçu la meilleure éducation possible, faites honneur à notre maison"
La directrice poussa celle qui était maintenant son ancienne élève dehors et ferma la porte.
Le chauffeur avait ouvert la porte du véhicule noir et elle était montée. Les vitres étaient fumées des deux côtés, impossible de voir à l'intérieur, mais impossible de voir ce qu'il se passait à l'extérieur. Les parties avant et arrière étaient également séparées par une vitre fumée.
Le roulis provoqué par le véhicule la fit s'endormir. Elle ne se réveilla que lorsque la voiture s'arrêta avant de reprendre sa route plus lentement sur une allée de gravillons, pour finalement se stopper définitivement. Elle patienta, ne sachant pas ce qu'elle devait faire. Le chauffeur ouvrit finalement la portière et l'aida à sortir.
Elle avait devant les yeux un immense château, comme elle n'en avait vu que dans ses livres. Sur le perron l'attendais la copie conforme de sa directrice. Même tenue, même air sévère.
"Bonjour Myna. Je suis Mademoiselle Marie, Gouvernante des femelles. Suis-moi, tu vas rencontrer Monsieur le Marquis."
Ce tutoiement et l'expression qu'elle avait utilisé surprirent la jeune femme mais elle n'en dit rien, se contentent de suivre le pas de la Gouvernante. Myna pensa un instant donner la lettre, elle la sortie à cet effet. Elle rougit fugitivement, elle l'avait fourré dans sa poche et l'enveloppe s'était froissée. Qu'allait-on lui dire? Mais après tout la Directrice lui avait demandé de la remettre au Directeur, mais peut-être qu'il n'était pas au courant pour cette lettre. Elle la fourra à nouveau dans sa poche.
Les murs des couloirs qu'elles traversèrent étaient couverts de magnifiques tapisseries et de tableaux représentant de grands hommes et femmes.
Chemin faisant elles croisèrent un homme à l'allure tout aussi sévère que la gouvernante. Cette dernière la lui présenta comme Monsieur Walter le Superviseur des mâles.
Toutes deux se stoppèrent devant une lourde porte en chêne. La femme la poussa et fit entrer Myna.
"Attend ici, ne bouge pas, Monsieur le Marquis va arriver."
La femme la laissa là, seule ...
(à suivre ...)
Le ciel était bien bas et gris dans le brouillard de l'automne quand la berline noire aux vitres fumées des deux côtés avançait inexorablement vers son nouveau destin. La jeune femme se remémorait ce qui l'avais amené à cela.
Elle était l'enfant unique d'un riche couple. Étant eux même enfants uniques, son père espérait un garçon pour premier né. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Aussi, il ne rechigna pas lorsque sa mère demanda à ce que l'enfant soit envoyée dans le pensionnat où elle même avait été éduquée.
Cette séparation n'avait marquée la petite fille que par le fait qu'il lui avait fallu quitter sa nourrice qui s'était occupée d'elle depuis sa naissance. Ses parents ne s'étaient jamais vraiment souciés d'elle, trop de mondanités pour l'une, trop de travail pour l'autre.
Le pensionnat pour jeunes filles où elle fut amené l'année de ses sept ans était dirigée par une jeune directrice à l'allure très sévère (une éternelle robe style 1900 de couleur noire, renforçait cet air). Et sévère, cette directrice l'était. Chaque incartade, bêtises, mauvaises notes, tout était sévèrement réprimandé. Le pensionnat avait les meilleurs résultats scolaires du pays et Madame la Directrice tenait à ce qu'il en soit ainsi, tant que durerait sa présence en ces murs.
Pendant sa scolarité, ses parents décédèrent dans un terrible accident, ce fut la seule information que lui donna leur notaire, lors de l'annonce. Il l'emmena lui même aux funérailles et la ramena ensuite au pensionnat. Là il lui fit savoir qu'elle héritait par le fait d'une grande fortune, que selon le souhait de ses parents dans leur testament, elle ne toucherait que le jour où elle se marierait. Il continuerait à gérer cette fortune en son nom. Les décisions concernant son éducation seraient remises entre les mains de sa directrice qui avait carte blanche.
Sa scolarité se déroula à peu près normalement (à un détail près que l'adolescente qu'elle était devenue, n’avait plus aucune autorisation de sortie, plus de sortie les mercredi après-midi, plus de sortie les weekends, ni les vacances. Elle passait donc son temps à la bibliothèque très fournie de l'établissement). La fin de dernière année et la majorité légale s'étaient profilés avec inquiétude. On avait expliqué à la jeune femme qu'elle n'atteindrait sa majorité que lorsqu'elle serait mariée. Elle entendait ses camarades de classes lui expliquer leur futur rentrée à l'université ou ce qu'elles allaient faire après les vacances d'été.
Durant ce même été, elle avait intégré une nouvelle section de l'établissement avec quelques autres élèves. Au revoir leurs chambres particulières, bonjour la chambrée avec sa longue rangée de lit.
Chaque matin, la directrice réveillait ses jeunes élèves en personne. Elles passaient à la douche sous son regard impitoyable, la femme n'hésitait d'ailleurs pas à intervenir si elle jugeait que les jeunes filles s'y prenaient mal (il valait donc mieux ne pas lui en donner l'occasion car on ressortait le corps complètement rougi). Venait ensuite l'inspection minutieuse de leur anatomie. Elle tenait à ce que ses élèves soient parfaitement épilées et qu'elles apprennent à s'entretenir.
Le matin des cours dit normaux nous étaient dispensés, tant théoriques que pratiques. La directrice voulait nourrir leur esprit et leur apprendre à tenir un foyer, comme sied à leur rang, et en prévision de leur mariage futurs. L'après-midi était consacré à l'apprentissage du devoir conjugal.
Cet état de fait a duré une année environ.
Ce matin là, elle avait été convoquée dans le bureau de ma directrice, un peu avant le début des cours. Elle la fit asseoir.
"Myna, je vous ai convoquée ce matin pour vous parler de votre avenir. Ici je ne peux pas vous en apprendre plus. Ma sœur jumelle est gouvernante... dans un autre établissement. Elle a parlé de vous à son employeur. Monsieur le Marquis d'Evans a accepté de vous prendre sous son égide. Vous avez donc une demi-heure pour préparer vos affaires et me rejoindre dans le hall. Vous déposerez votre uniforme sur votre lit, vous y trouverez une tenue à votre intention. Vous pouvez disposer. N'oubliez pas, dans trente minutes dans le hall."
Elle remercia comme le voulait le règlement et se dirigea vers son dortoir. Elle était abasourdie. Elle allait devoir partir. Elle allait devoir quitter cet endroit qui était devenu sa maison au fil du temps.
Elle trouvait effectivement une tenue sur son lit, elle devait avoir été déposée durant le petit déjeuner. Elle déposa ses maigres possessions dans sa vieille valise. Ensuite Elle se déshabilla, plia soigneusement son uniforme sur son lit et enfila sa nouvelle tenue. Elle se composait de bas blancs, d'une jupe noire et d'un chemisier blanc. Elle se chaussa avec les chaussures fournies. Et enfin enfila le manteau. La jeune fille attrapa sa valise et sortie une dernière fois de son dortoir. Elle ne croisa aucune de ses camarades. Vu l'heure, elles devaient être en cours. De toutes les façons elles n'avaient plus accès au dortoir après le petit déjeuner et tant pis si l'une d'elle avait oublié un livre ou un cahier, elle serait punie pour son inattention.
La directrice attendait déjà dans le hall.
"Il était temps, j'ai failli vous attendre. Une voiture vas vous emmené à votre nouvel établissement."
Elle tendit une lettre cachetée de cire aux armes de l'école.
"Vous remettrez ceci à votre nouveau... Hum... directeur. N'oubliez pas surtout. Vous avez reçu la meilleure éducation possible, faites honneur à notre maison"
La directrice poussa celle qui était maintenant son ancienne élève dehors et ferma la porte.
Le chauffeur avait ouvert la porte du véhicule noir et elle était montée. Les vitres étaient fumées des deux côtés, impossible de voir à l'intérieur, mais impossible de voir ce qu'il se passait à l'extérieur. Les parties avant et arrière étaient également séparées par une vitre fumée.
Le roulis provoqué par le véhicule la fit s'endormir. Elle ne se réveilla que lorsque la voiture s'arrêta avant de reprendre sa route plus lentement sur une allée de gravillons, pour finalement se stopper définitivement. Elle patienta, ne sachant pas ce qu'elle devait faire. Le chauffeur ouvrit finalement la portière et l'aida à sortir.
Elle avait devant les yeux un immense château, comme elle n'en avait vu que dans ses livres. Sur le perron l'attendais la copie conforme de sa directrice. Même tenue, même air sévère.
"Bonjour Myna. Je suis Mademoiselle Marie, Gouvernante des femelles. Suis-moi, tu vas rencontrer Monsieur le Marquis."
Ce tutoiement et l'expression qu'elle avait utilisé surprirent la jeune femme mais elle n'en dit rien, se contentent de suivre le pas de la Gouvernante. Myna pensa un instant donner la lettre, elle la sortie à cet effet. Elle rougit fugitivement, elle l'avait fourré dans sa poche et l'enveloppe s'était froissée. Qu'allait-on lui dire? Mais après tout la Directrice lui avait demandé de la remettre au Directeur, mais peut-être qu'il n'était pas au courant pour cette lettre. Elle la fourra à nouveau dans sa poche.
Les murs des couloirs qu'elles traversèrent étaient couverts de magnifiques tapisseries et de tableaux représentant de grands hommes et femmes.
Chemin faisant elles croisèrent un homme à l'allure tout aussi sévère que la gouvernante. Cette dernière la lui présenta comme Monsieur Walter le Superviseur des mâles.
Toutes deux se stoppèrent devant une lourde porte en chêne. La femme la poussa et fit entrer Myna.
"Attend ici, ne bouge pas, Monsieur le Marquis va arriver."
La femme la laissa là, seule ...
(à suivre ...)
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