La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°886)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°886)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°882) –
Je rampais alors vers Ses nobles pieds, me prosternais, et baisais du bout des lèvres, respectueusement le bout de chacune des chaussures de Monsieur le Marquis. Je ressentais toujours cet extrême privilège qu’il m’était autorisé à pouvoir faire cela. Il s’éloigna alors sans plus faire attention à moi, caressa avec tendresse la tête de la soumise que je devais suivre et s’assit derrière son bureau. Nous partîmes donc en quadrupédie toutes les deux jusqu’à la salle de soin, où on m’appliqua une crème apaisante sur les traces, qui n’étaient, contrairement à ce que je pensais, pas des plaies ouvertes et profondes. Puis j’eus droit à un massage pendant lequel je m’endormis, jusqu’à ce que je fus réveillée en douceur par la soumise pour reprendre une tenue vanille et partir à l’aéroport… Walter m’attendait à côté de la voiture devant le perron. Je descendis les marches et lorsque j’arrivai près de lui, il ouvrit la porte côté passager, me dévoilant un plug long et épais sur le siège.
- Soulève ta jupe, la chienne ! Voici un petit cadeau du Maître, tu le porteras à tout moment, tant que tu es hors du Château, pour que tu te rappelles quelle est ta vraie place, malgré la façade de liberté de femme vanille que tu vas arborer pendant une semaine. Maintenant penche toi sur le capot de la voiture !
Je m’exécutais alors. Après avoir pris le temps de me malaxer les deux globes fessiers, y avoir donné quelques claques, les faisant rougir et chauffer, il fit glisser deux doigts sur ma rondelle pendant quelques secondes, les enfonça ensuite dans ma chatte qui était devenue humide face au cadeau du Châtelain et aux attouchements pervers du Majordome, pour les lubrifier, et les planta sans ménagement dans mon fondement, les faisant aller et venir, accélérant ma respiration. Il les enleva cependant rapidement pour y mettre à la place le plug. Je me sentais bien pleine, bien remplie, jusqu’au fond de mes entrailles.
- Maintenant, assis toi directement sur le cuir du siège en relevant ta jupe !
Après que je me fus exécutée, il prit place derrière le volant et nous partîmes à l’aéroport pour aller chercher et retrouver avec bonheur mes filles. Elles étaient les trésors de ma vie en dehors de la satisfaction du Maître, ma raison d’être. Finalement, la majorité des week-ends, elles les passaient avec leur père car bientôt il allait devoir partir plusieurs mois. Cela faisait donc un moment que je ne les avais pas vues. Nous quittâmes l’aéroport et Walter nous déposa devant le magnifique pavillon que le Maître me laissait occuper lorsqu’elles étaient là. Après avoir passé la journée à visiter le village et ses alentours (où les ¾ des terres, prairies, bois et surtout vignobles appartiennent au Domaine de Monsieur le Marquis d’Evans) et après que mes filles furent couchées, je prenais le temps d’écrire mon journal de soumise, véritable carnet de bord de mon ressenti au quotidien, comme avant que je n’habite définitivement près du Château. Regardant l’heure, je me dépêchais de le faire, pour pouvoir l’envoyer avant minuit, comme exigé à cette époque. Après l’avoir rédigé, j’ouvris ma boîte mail pour le transmettre au Maître. Je fus heureusement surprise de découvrir un message de Sa part.
« Ma chienne, durant cette semaine alors que tu te trouves à quelques lieues du Château, tu as l’obligation dès que tu n’es pas occupée avec tes filles, de rester connectée sur Skype, sans m’envoyer de message cependant. Il se peut que j’aie quelques exigences à satisfaire… Je te contacterai dans ces cas-là. Autrement, tu as quelques règles de vie à respecter. Port du plug obligatoire à tout moment de la journée, obligation de rester à genoux vingt minutes par jour, à n’importe quel moment de la journée à condition que ce soit en une seule fois. À toi de te débrouiller ! Journal quotidien obligatoire. Dès que tes filles sont couchées, port des pinces, du collier et de la laisse obligatoire, nue c’est une évidence. Si j’ai d’autres choses à t’exiger, je te le ferai savoir. Le Maître, qui n’a pas l’intention de lâcher la laisse de Sa chienne, peu importe qu’elle soit dans l’enceinte du Château ou non »
Ce à quoi je répondis brièvement :
« Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Bonjour Maître, Voici mon journal quotidien. Je Vous remercie pour ces règles de vie qui m’empêcheront, si besoin était, d’oublier qu’elle est ma vraie place. Respectueusement, Votre esclave soumise à Vos pieds »
Et pour obéir à ces nouvelles règles, je me connectais immédiatement sur Skype, ôtais ma tenue vanille, pour me vêtir de ma tenue dénudée de soumise, et me mis en position agenouillée, face à l’ordinateur pour être sûre de ne pas rater un passage du Maître qui pourrait être bref. Peu de temps avant que les vingt minutes ne se terminent, ayant activé l’option « répondre aux appels automatiquement » de Skype, le Maître apparut à l’écran, me faisant automatiquement baisser la tête.
- Bien Ma chienne, je vois que tu M’as obéi sans tarder. Tu es autorisée à me répondre. Depuis combien de temps es-tu dans cette position ?
- Depuis quinze minutes, Maître.
- Bien, tu vas rester ainsi jusqu’à ce que J’exige autre chose ! … (et au bout de vingt minutes :) Position prosternée, cul face à la caméra ! Bien je vois que là aussi tu M’as obéi ! Reste ainsi vingt minutes de plus. Tu n’as besoin ni de me voir, ni de m’entendre, mais sache que j’ai toujours un œil sur toi. Ta connexion à Skype déclenche automatiquement des caméras un peu partout dans ta maison, sauf évidemment dans les chambres de tes filles. Ainsi je serais au courant de tout sur tes actions dans la journée ! J’ai pris soin de t’envoyer mon mail tard, afin d’être sûr que tes filles soient couchées, et donc de ne pas avoir les caméras déclenchées tant qu’elles étaient là. À toi, maintenant que tu es au courant, de ne pas te connecter quand tes filles peuvent être visibles. A plus tard, Ma chienne. »
Et toute image disparue. Je restais donc dans ma position préférée, celle dans laquelle je ressentais le plus profondément ma soumission, ma dévotion et ma reconnaissance envers le Maître de ma vie. Le lendemain soir, environ à la même heure, je me préparais, me connectais sur Skype, et au moment où j’allais m’agenouiller, quelqu’un sonna à la porte. Surprise, j’enfilais rapidement un peignoir avant d’aller ouvrir. Lorsque je vis Qui Se trouvait derrière la porte je tombais prosternée à terre, après avoir rapidement fait tomber le vêtement qui me couvrait.
- Qu’est-ce que c’est que ça ? Dit-il en repoussant le tissu à terre du bout du pied. Je croyais t’avoir ordonné d’être nue à partir du moment où tes filles étaient couchées. Il ne me semble pas t’avoir autorisé d’exceptions à la règle ! Suis-moi, à quatre pattes ! Me dit le Maître sur un ton sec et autoritaire
Et il me fit franchir le seuil en direction de l’extérieur, refermant la porte derrière Lui. Là, Il exigea la position prosternée, et du plat de Sa main, m’asséna de nombreuses claques sur les fesses. Les coups étaient rapides, réguliers, douloureux, autant qu’excitants. Puis Il resta quelques instants à admirer la couleur de mon fessier, puis j’entendis le bruit de la fermeture éclair de son pantalon très vite suivi de très près par une pénétration sans préambule dans ma caverne déjà bien trempée. Ce fut sauvage, le Maître prenait possession de Sa chose, l’acte n’était vraiment que pour Son plaisir qui monta telle une véritable saillie. Il me labourait bestialement dans une cadence impressionnante, sa noble verge allant taper le fond de mon vagin avec de grands de reins, profonds et puissants. Il s’activait en moi tel un étalon et me possédait virilement.
Il accélérait de plus en plus jusqu'à ce que je sente ses testicules tapés sur mes fesses à chaque poussée. Il continua à me besogner tellement fort que mon corps s’affaissait contre le sol, mes seins écrasés sur celui-ci, alors que l'une de ses mains appuyait sur mon dos fermement. Il prit ensuite possession de mon cul où il reprit la même cadence que dans ma chatte mais cette fois ci en tirant sur ma queue de cheval me faisant relever la tête. En effet, il m'encula ainsi au plus profond de mes entrailles de son énorme verge tendue à l’extrême. Il continua pendant un long moment puis il finit un coït profond sans bouger, son torse au-dessus de mon dos. Le mélange de douleur et de plaisir combinés ensemble, me fit crier. Je ne savais pas si c'était la douleur ou le plaisir qui me fit crier, mais quel pied ! Puis il reprit ses assauts et explosa rapidement dans mes entrailles, sans que j’aie le droit de laisser éclater mon orgasme. En effet, il éjacula dans mon cul en d’épais flots de spermes par saccades. Sentir Le Maître faire ses allés et retours en moi alors qu'il touchait mon postérieur un peu douloureux me faisait frissonner de douleur mais aussi d’un incroyable plaisir jouissif et mental, même si je devais retenir ma jouissance…
- Maintenant, rentrons ! Et il me précéda dans le pavillon. Tu dois savoir que Je sais toujours ce que Je fais ! Je pense à tout ! Si J’exige que tu sois nue, sans te préciser que tu as le droit de te couvrir dans certaines situations, c’est qu’il y en a aucune qui l’exige. Il y a intérêt à ce que tu ne me déçoives plus au long de cette semaine ! Bien, j’étais venu pour te montrer que, où que tu sois tu m’appartiens, c’est fait ! Je vais donc repartir, mais pour finir ta punition, tu vas aller te placer à genoux, mains sur la tête dans l’angle de la pièce face à ton ordinateur pour que lorsque je serais au Château, je puisse t’y voir ! Ah tant que j’y pense, il y a effectivement une exception à la règle de ta nudité. Si tes filles se lèvent, tu as l’obligation, pour les protéger de notre monde, de te couvrir afin qu’aucun de tes accessoires ne soient visibles.
Vingt minutes après son départ, j’entendis la conversation Skype démarrer, mais aucun son ne se fit entendre. Je ne pus m’empêcher de compter dans ma tête. Le Maître attendit une demi-heure avant de parler.
- Bien Ma chienne ! Tu peux sortir du coin. Maintenant, va te coucher, mais pas dans ton lit. Je rajoute une nouvelle règle. À partir de maintenant et jusqu’à ce que tu rentres au Château, à défaut d’aller dormir dans ta niche, tu vas aller dormir dans la panière qui a été déposée dans ta chambre lorsque nous étions dehors tout à l’heure. Tu dormiras la porte fermée à clé, pour être sûr que tes filles ne rentrent pas dans ta chambre à l’improviste. Et tu devras attacher ta laisse à la poignée de la commode devant laquelle se trouve la panière. Bonne nuit Ma chienne !
Et la conversation s’interrompit. Je fus heureuse de quitter cette position, d’une part humiliante, bien qu’excitante, mais aussi douloureuse dans la durée. Je passais ensuite deux jours complets sans nouvelles du Maître, mais j’étais certaine que tous les jours Il m’observait dès que je me retrouvais seule. Le vendredi matin, je reçus un message du Châtelain :
« Ma chienne, préviens tes filles qu’une fois qu’elles seront couchées, elles auront une baby-sitter, que tu sortiras. Quoiqu’il en soit, tu devras rester dans la tenue imposée lorsque tes enfants ne sont pas avec toi, peu importe ce qui arrivera. »
J’obéis immédiatement au Maître mais j’étais tout de même un peu inquiète. Il avait laissé entendre que j’allais devoir sortir du pavillon nue et « harnachée », et cela ne me rassurait pas le moins du monde !... Le soir arriva, j’exécutais mes tâches comme à l’accoutumée, puis j’attendis, assise sur mon canapé qu’il se passe quelque chose. À minuit tapante, on frappa à la porte…
(A suivre …)
Je rampais alors vers Ses nobles pieds, me prosternais, et baisais du bout des lèvres, respectueusement le bout de chacune des chaussures de Monsieur le Marquis. Je ressentais toujours cet extrême privilège qu’il m’était autorisé à pouvoir faire cela. Il s’éloigna alors sans plus faire attention à moi, caressa avec tendresse la tête de la soumise que je devais suivre et s’assit derrière son bureau. Nous partîmes donc en quadrupédie toutes les deux jusqu’à la salle de soin, où on m’appliqua une crème apaisante sur les traces, qui n’étaient, contrairement à ce que je pensais, pas des plaies ouvertes et profondes. Puis j’eus droit à un massage pendant lequel je m’endormis, jusqu’à ce que je fus réveillée en douceur par la soumise pour reprendre une tenue vanille et partir à l’aéroport… Walter m’attendait à côté de la voiture devant le perron. Je descendis les marches et lorsque j’arrivai près de lui, il ouvrit la porte côté passager, me dévoilant un plug long et épais sur le siège.
- Soulève ta jupe, la chienne ! Voici un petit cadeau du Maître, tu le porteras à tout moment, tant que tu es hors du Château, pour que tu te rappelles quelle est ta vraie place, malgré la façade de liberté de femme vanille que tu vas arborer pendant une semaine. Maintenant penche toi sur le capot de la voiture !
Je m’exécutais alors. Après avoir pris le temps de me malaxer les deux globes fessiers, y avoir donné quelques claques, les faisant rougir et chauffer, il fit glisser deux doigts sur ma rondelle pendant quelques secondes, les enfonça ensuite dans ma chatte qui était devenue humide face au cadeau du Châtelain et aux attouchements pervers du Majordome, pour les lubrifier, et les planta sans ménagement dans mon fondement, les faisant aller et venir, accélérant ma respiration. Il les enleva cependant rapidement pour y mettre à la place le plug. Je me sentais bien pleine, bien remplie, jusqu’au fond de mes entrailles.
- Maintenant, assis toi directement sur le cuir du siège en relevant ta jupe !
Après que je me fus exécutée, il prit place derrière le volant et nous partîmes à l’aéroport pour aller chercher et retrouver avec bonheur mes filles. Elles étaient les trésors de ma vie en dehors de la satisfaction du Maître, ma raison d’être. Finalement, la majorité des week-ends, elles les passaient avec leur père car bientôt il allait devoir partir plusieurs mois. Cela faisait donc un moment que je ne les avais pas vues. Nous quittâmes l’aéroport et Walter nous déposa devant le magnifique pavillon que le Maître me laissait occuper lorsqu’elles étaient là. Après avoir passé la journée à visiter le village et ses alentours (où les ¾ des terres, prairies, bois et surtout vignobles appartiennent au Domaine de Monsieur le Marquis d’Evans) et après que mes filles furent couchées, je prenais le temps d’écrire mon journal de soumise, véritable carnet de bord de mon ressenti au quotidien, comme avant que je n’habite définitivement près du Château. Regardant l’heure, je me dépêchais de le faire, pour pouvoir l’envoyer avant minuit, comme exigé à cette époque. Après l’avoir rédigé, j’ouvris ma boîte mail pour le transmettre au Maître. Je fus heureusement surprise de découvrir un message de Sa part.
« Ma chienne, durant cette semaine alors que tu te trouves à quelques lieues du Château, tu as l’obligation dès que tu n’es pas occupée avec tes filles, de rester connectée sur Skype, sans m’envoyer de message cependant. Il se peut que j’aie quelques exigences à satisfaire… Je te contacterai dans ces cas-là. Autrement, tu as quelques règles de vie à respecter. Port du plug obligatoire à tout moment de la journée, obligation de rester à genoux vingt minutes par jour, à n’importe quel moment de la journée à condition que ce soit en une seule fois. À toi de te débrouiller ! Journal quotidien obligatoire. Dès que tes filles sont couchées, port des pinces, du collier et de la laisse obligatoire, nue c’est une évidence. Si j’ai d’autres choses à t’exiger, je te le ferai savoir. Le Maître, qui n’a pas l’intention de lâcher la laisse de Sa chienne, peu importe qu’elle soit dans l’enceinte du Château ou non »
Ce à quoi je répondis brièvement :
« Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Bonjour Maître, Voici mon journal quotidien. Je Vous remercie pour ces règles de vie qui m’empêcheront, si besoin était, d’oublier qu’elle est ma vraie place. Respectueusement, Votre esclave soumise à Vos pieds »
Et pour obéir à ces nouvelles règles, je me connectais immédiatement sur Skype, ôtais ma tenue vanille, pour me vêtir de ma tenue dénudée de soumise, et me mis en position agenouillée, face à l’ordinateur pour être sûre de ne pas rater un passage du Maître qui pourrait être bref. Peu de temps avant que les vingt minutes ne se terminent, ayant activé l’option « répondre aux appels automatiquement » de Skype, le Maître apparut à l’écran, me faisant automatiquement baisser la tête.
- Bien Ma chienne, je vois que tu M’as obéi sans tarder. Tu es autorisée à me répondre. Depuis combien de temps es-tu dans cette position ?
- Depuis quinze minutes, Maître.
- Bien, tu vas rester ainsi jusqu’à ce que J’exige autre chose ! … (et au bout de vingt minutes :) Position prosternée, cul face à la caméra ! Bien je vois que là aussi tu M’as obéi ! Reste ainsi vingt minutes de plus. Tu n’as besoin ni de me voir, ni de m’entendre, mais sache que j’ai toujours un œil sur toi. Ta connexion à Skype déclenche automatiquement des caméras un peu partout dans ta maison, sauf évidemment dans les chambres de tes filles. Ainsi je serais au courant de tout sur tes actions dans la journée ! J’ai pris soin de t’envoyer mon mail tard, afin d’être sûr que tes filles soient couchées, et donc de ne pas avoir les caméras déclenchées tant qu’elles étaient là. À toi, maintenant que tu es au courant, de ne pas te connecter quand tes filles peuvent être visibles. A plus tard, Ma chienne. »
Et toute image disparue. Je restais donc dans ma position préférée, celle dans laquelle je ressentais le plus profondément ma soumission, ma dévotion et ma reconnaissance envers le Maître de ma vie. Le lendemain soir, environ à la même heure, je me préparais, me connectais sur Skype, et au moment où j’allais m’agenouiller, quelqu’un sonna à la porte. Surprise, j’enfilais rapidement un peignoir avant d’aller ouvrir. Lorsque je vis Qui Se trouvait derrière la porte je tombais prosternée à terre, après avoir rapidement fait tomber le vêtement qui me couvrait.
- Qu’est-ce que c’est que ça ? Dit-il en repoussant le tissu à terre du bout du pied. Je croyais t’avoir ordonné d’être nue à partir du moment où tes filles étaient couchées. Il ne me semble pas t’avoir autorisé d’exceptions à la règle ! Suis-moi, à quatre pattes ! Me dit le Maître sur un ton sec et autoritaire
Et il me fit franchir le seuil en direction de l’extérieur, refermant la porte derrière Lui. Là, Il exigea la position prosternée, et du plat de Sa main, m’asséna de nombreuses claques sur les fesses. Les coups étaient rapides, réguliers, douloureux, autant qu’excitants. Puis Il resta quelques instants à admirer la couleur de mon fessier, puis j’entendis le bruit de la fermeture éclair de son pantalon très vite suivi de très près par une pénétration sans préambule dans ma caverne déjà bien trempée. Ce fut sauvage, le Maître prenait possession de Sa chose, l’acte n’était vraiment que pour Son plaisir qui monta telle une véritable saillie. Il me labourait bestialement dans une cadence impressionnante, sa noble verge allant taper le fond de mon vagin avec de grands de reins, profonds et puissants. Il s’activait en moi tel un étalon et me possédait virilement.
Il accélérait de plus en plus jusqu'à ce que je sente ses testicules tapés sur mes fesses à chaque poussée. Il continua à me besogner tellement fort que mon corps s’affaissait contre le sol, mes seins écrasés sur celui-ci, alors que l'une de ses mains appuyait sur mon dos fermement. Il prit ensuite possession de mon cul où il reprit la même cadence que dans ma chatte mais cette fois ci en tirant sur ma queue de cheval me faisant relever la tête. En effet, il m'encula ainsi au plus profond de mes entrailles de son énorme verge tendue à l’extrême. Il continua pendant un long moment puis il finit un coït profond sans bouger, son torse au-dessus de mon dos. Le mélange de douleur et de plaisir combinés ensemble, me fit crier. Je ne savais pas si c'était la douleur ou le plaisir qui me fit crier, mais quel pied ! Puis il reprit ses assauts et explosa rapidement dans mes entrailles, sans que j’aie le droit de laisser éclater mon orgasme. En effet, il éjacula dans mon cul en d’épais flots de spermes par saccades. Sentir Le Maître faire ses allés et retours en moi alors qu'il touchait mon postérieur un peu douloureux me faisait frissonner de douleur mais aussi d’un incroyable plaisir jouissif et mental, même si je devais retenir ma jouissance…
- Maintenant, rentrons ! Et il me précéda dans le pavillon. Tu dois savoir que Je sais toujours ce que Je fais ! Je pense à tout ! Si J’exige que tu sois nue, sans te préciser que tu as le droit de te couvrir dans certaines situations, c’est qu’il y en a aucune qui l’exige. Il y a intérêt à ce que tu ne me déçoives plus au long de cette semaine ! Bien, j’étais venu pour te montrer que, où que tu sois tu m’appartiens, c’est fait ! Je vais donc repartir, mais pour finir ta punition, tu vas aller te placer à genoux, mains sur la tête dans l’angle de la pièce face à ton ordinateur pour que lorsque je serais au Château, je puisse t’y voir ! Ah tant que j’y pense, il y a effectivement une exception à la règle de ta nudité. Si tes filles se lèvent, tu as l’obligation, pour les protéger de notre monde, de te couvrir afin qu’aucun de tes accessoires ne soient visibles.
Vingt minutes après son départ, j’entendis la conversation Skype démarrer, mais aucun son ne se fit entendre. Je ne pus m’empêcher de compter dans ma tête. Le Maître attendit une demi-heure avant de parler.
- Bien Ma chienne ! Tu peux sortir du coin. Maintenant, va te coucher, mais pas dans ton lit. Je rajoute une nouvelle règle. À partir de maintenant et jusqu’à ce que tu rentres au Château, à défaut d’aller dormir dans ta niche, tu vas aller dormir dans la panière qui a été déposée dans ta chambre lorsque nous étions dehors tout à l’heure. Tu dormiras la porte fermée à clé, pour être sûr que tes filles ne rentrent pas dans ta chambre à l’improviste. Et tu devras attacher ta laisse à la poignée de la commode devant laquelle se trouve la panière. Bonne nuit Ma chienne !
Et la conversation s’interrompit. Je fus heureuse de quitter cette position, d’une part humiliante, bien qu’excitante, mais aussi douloureuse dans la durée. Je passais ensuite deux jours complets sans nouvelles du Maître, mais j’étais certaine que tous les jours Il m’observait dès que je me retrouvais seule. Le vendredi matin, je reçus un message du Châtelain :
« Ma chienne, préviens tes filles qu’une fois qu’elles seront couchées, elles auront une baby-sitter, que tu sortiras. Quoiqu’il en soit, tu devras rester dans la tenue imposée lorsque tes enfants ne sont pas avec toi, peu importe ce qui arrivera. »
J’obéis immédiatement au Maître mais j’étais tout de même un peu inquiète. Il avait laissé entendre que j’allais devoir sortir du pavillon nue et « harnachée », et cela ne me rassurait pas le moins du monde !... Le soir arriva, j’exécutais mes tâches comme à l’accoutumée, puis j’attendis, assise sur mon canapé qu’il se passe quelque chose. À minuit tapante, on frappa à la porte…
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