La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°898)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°898) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°898)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°897) –

La balade à l’intérieur du Château fut assez agréable. Malgré la légère douleur de mes muscles quand il fallait monter ou descendre un escalier, il y avait pratiquement partout des épaisses moquettes au sol, mais lorsque nous sortîmes dehors, j’appréciais beaucoup moins les allées de graviers rouges, et j’étais heureuse quand nous faisions, trop rarement à mon gout, des passages sur l’herbe des magnifiques pelouses impeccablement entretenues. Il faisait froid et Monsieur le Marquis m’imposa de porter une épaisse peau de mouton qui m’enveloppait par une fermeture éclair de la tête aux pieds mais avec une large ouverture à la taille afin de laisser bien en vue mon cul et mon sexe Cette peau de mouton avait deux jambes et deux bras chaudement molletonnés. Et même si la neige n’était pas encore tombée, le Maître fit remarquer que ce n’était pas un temps à mettre une chienne dehors si on ne voulait pas qu’elle tombe malade avec le cul nu. Alors après m’avoir ordonné, et que je me sois exécuter, de pisser contre un arbre, ce qui me bloqua quelques secondes du fait que ce soit devant des inconnus, mais je m’efforçais à ne penser qu’au Maître, nous rentrâmes au chaud et nous retournâmes dans le petit salon, où un feu de cheminée avait été allumé. Là, le Maître me fit quitter ma peau de mouton et une fois de nouveau dénudée, il m’ordonna de m’asseoir, jambes écartées mais pliées genoux au torse, les mains posées au sol en arrière la gorge offerte. Il éloigna un peu plus mes genoux entre eux de quelques coups de cravaches, et lorsque la position le satisfit, il posa une plaque en verre sur moi afin que je leur serve de table.

L’exercice dura une bonne demi-heure, au bout de laquelle mes bras et mes jambes commencèrent à trembler de fatigue. On me débarrassa alors et j’eus le droit de « me reposer » un peu en restant prosternée une bonne heure à écouter les trois hommes converser sur le monde des affaires, des cours de la bourse et des hautes finances faisant références à des personnes que je ne connaissais pas. Je commençais à m’assoupir lorsque le Maître se leva et claqua des doigts, ce qui me fit venir mettre à quatre pattes à Ses côtés. Il attacha une laisse à mon collier qui ne me quittait pas depuis que je vivais au Château D’ailleurs, je n’avais même pas songé à l’enlever le matin lorsque j’avais revêtu le tailleur, tellement j’étais habituée à l’avoir autour du cou ! …

- Mes amis, je dois vous laisser, j’ai des choses importantes à finaliser. Comme vous m’en avez exprimé le souhait ce midi, je vous confie Ma petite chienne, qui saura, je n’en doute pas vous contenter. Allez où vous le souhaitez, vous savez où sont vos chambres, le donjon… S’il vous manque quelque chose, n’hésitez pas à faire appel à Walter. Et toi ma chienne, je veux que tu obéisses à tout ordre que tu recevras, comme s’il venait de moi ! Ne me déçois pas !

Et il partit après m’avoir caressé la tête et avoir tendu la laisse aux deux hommes. Ils m’entrainèrent vers une de leurs chambres. Ils me firent mettre à genoux sur le lit. Pendant que l’un d’eux s’assit dans un fauteuil, j’étais dos à lui, le second attrapa un fouet et m’en appliqua une dizaine de coups, forts, mais à un rythme lent, sur le cul et sur le dos. Quand il eut fini, il posa son fouet sur le lit s’installa derrière moi et commença à me caresser doucement les seins, il me malaxait chacun d’eux s’attardant à chacun de mes tétons. Puis il joua avec ceux-ci, il les étira, les pinça. Et tout à coup, il se mit à donner des claques sur mes seins, de bas en haut, de gauche à droite, de haut en bas… L’homme dans le fauteuil s’était déshabillé et se masturbait en nous regardant, il arborait déjà une bien belle érection, visiblement la situation lui faisait de l’effet. Celui qui s’occupait de moi souffla dans mon cou avant de me murmurer à l’oreille sur un ton n’admettant pas la réplique :

- Je ne veux pas t’entendre, la chienne ! J’exige le silence complet.

Et ses mains descendirent vers mon entre cuisses. Ma chatte était déjà bien humide, elle avait commencé à réagir avec les coups de fouet, puis après avec le traitement de mes seins. Il titilla quelques secondes mon clitoris, avant d’enfoncer deux doigts dans ma caverne qui mouillait de plus en plus, sa deuxième main toujours en train de jouer avec mes seins me pinçait chaque téton après les avoir de nouveau vrillés entre ses doigts, puis étirés, voire écrasés dans sa paume. Il ressortit ses doigts pour me les faire lécher, pendant que lui me léchait le cou et les oreilles.

Puis une fois ses doigts nettoyés, il me bâillonna. Il me coucha alors sur le lit, attacha mes poignets à mes chevilles et commença à me pénétrer très lentement, millimètre par millimètre, tout en faisant des cercles autour de mon clito après avoir craché sur celui-ci. Il s’enfonça entièrement pour ressortir aussitôt, me claquant mon petit bouton rose avec sa queue. Puis il m’embrocha à nouveau d’un coup profond, net, puissant. Le second homme s’approcha, me branla furieusement le clito d’une main, de l’autre me donnait des claques soit sur l’intérieur des cuisses soit sur les seins. J’étais baisée furieusement maintenant, défoncée, profondément pénétrée par une raide verge qui me semblait épaisse et longue. Je ne criais toujours pas, mais je sentais le bâillon en mauvais plastique (sûrement un des leurs car ceux du Maître était de très bonne qualité !) se déformer légèrement. Après de longs et vigoureux coups de reins et quand il se fut vider à longs jets saccadés de sperme chaud au fond de ma chatte, il vint se faire nettoyer la queue pendant que l’autre fit deux trois allers retours dans ma chatte pour se lubrifier avant de m’enfiler par le cul sans aucune préparation. Une véritable saillie ! La position ne dut pas lui plaire. Il me détacha, me fit mettre debout à côté du lit et me pencher en avant jusqu’à avoir les bras sur le matelas, les jambes bien écartées…

Puis il me pénétra de nouveau par l’anus à la hussarde, jusqu’à la garde et pendant qu’il me défonçait le cul à grands coups de boutoirs laissant lui échapper des ‘han’’ de bûcheron, l’autre homme reprit le fouet et alternait coups de fouet sur le dos ou claques du plat de ses mains sur mes fesses. Je ne pus retenir un gémissement entre douleurs et plaisir. Celui qui tenait le fouet se pencha à mon oreille et me dit avec perversité dans son timbre de voix :

- Tu seras punis car j’ai exigé le silence complet. Tu n’auras pas le droit de jouir et tu subiras vingt coups de fouet quand mon ami aura fini de te labourer le cul !

Je priais pour qu’il en finisse vite, sinon jamais je ne pourrais tenir sans jouir ! Et je me devais de faire honneur au Maître, je savais que je le décevrais énormément, et qu’en plus de la sanction que je recevrais par les deux hommes, je serais également punie soit par Sa propre main, soit par une main subalterne. Je m’accrochais tant bien que mal à cette pensée, et l’homme déchargea au fond de mes entrailles sa semence au moment où je ne pus retenir ma jouissance, que je réussis cependant à laisser éclater silencieusement !

- J’ai réussi ! dit-il avec un sourire carnassier ! J’avais parié avec Monsieur le Marquis que nous finirions par te faire jouir petite salope ! Maintenant passons à la première sanction !

Mes poignets furent attachés à un des piliers du lit, à un anneau situé en hauteur. Les vingt coups de fouet me firent hurler de douleurs, heureusement ils m’en avaient donné l’autorisation auparavant ! Et plus je hurlais plus je mouillais encore et encore, je me surpris même de l’excitation produite par ce traitement douloureux mais o combien excitant

- Pour la seconde, c’est Monsieur le Marquis qui en décidera. Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne chose pour toi… Il sera certainement moins indulgent que nous aurions pu l’être, vu que tu n’étais pas notre propriété ! Tu peux passer dans la salle de bain, pour prendre une douche, froide évidemment ! Ensuite, tu devras rejoindre le Châtelain dans Son bureau. Pendant que tu te doucheras, nous lui enverrons notre compte-rendu, alors dis-toi bien que ce sera inutile de chercher à lui cacher ta faute !

Je pris ma douche, mais j’étais anxieuse ! Je n’avais pas réussi à me retenir de jouir. J’avais désobéi aux invités du Maître, j’allais le décevoir, je ne doutais pas que j’allais passer un mauvais moment. Je me dépêchais néanmoins. Lorsque je sortis de la salle de bain, aucun des deux hommes ne me regarda, seulement l’un de deux me désigna la porte. Je sortis et allais donc vers la pièce où Il m’attendait …

(A suivre …)

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