La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°911) - histoire érotique

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°891) -

J'étais docilement dans la position exigée et j'attendais les prochains ordres du Dominant. Je l'entendis secouer quelques choses que je ne pus identifier avant d'entendre le « Pschitt ». C'était le bruit d'un bidon de crème fouettée que l'on mettait en marche. Je sentais la mousse froide que l'on positionnait sur mes tétons durcis. Le Docteur se mit à lécher mes pointes dressées, ce qui me fit cambrer le torse en arrière et gémir de plaisir. Il me lécha consciencieusement du bout de sa langue et ne s'arrêta qu'une fois ma poitrine bien nettoyée.

- Tu aimes ça, salope ?
- Oui, Marc. Continuez, s'il vous plaît !
- J'ai bien l'intention de te faire languir, petite chose sexy ! Ajouta-t-il

Je l'entendis secouer à nouveau la bombe de chantilly. Il aspergeât à nouveau ma poitrine mais ne s'arrêta pas là. Le Doc traça une ligne avec la sucrerie qui partait d'entre mes seins jusqu'à ma chatte humide en passant par mon nombril. La crème était glacée quand elle atterrit sur mon sexe languissant. Je gémis aux sensations hallucinantes provoquées par le froid et la chaleur de mon sexe. Le lit se pencha alors que Marc se réinstalla à hauteur de ma poitrine. Je sentais la bouteille sur mon côté. Le Doc était comme un homme possédé, faisant tournoyer sa langue, léchant et mordillant tout en jurant, gémissant et sifflant. Il continua jusqu'à ce qu'il me fit crier de plaisir alors qu'il ne s'était occupé que de mes seins et de la crème jusqu'à mon nombril.

- Maaarc, s'il vous plaît ! suppliais-je
- Je sais ce que tu veux petite chienne et tu vas l'avoir : dit-il.

De nouveau, le bruit de la bombe de crème se fit entendre mais ce ne fut pas sur moi.

- Ouvres la bouche et tourne la tête sur la gauche.

J'obéis tout de suite après m'avoir léché les lèvres, devinant ce qui allait se passer. Ma bouche grande ouverte et ne demandant que cela. Je sentis la crème sur sa verge gorgé au possible. Il s’enfonçât dans ma bouche sans ménagement, me mettant ainsi de la crème sur mon visage.

- C'est ça salope, suces moi ! Pendant que je te fais du bien !
- Huuummm ! fut ma seule réponse

Je tournais ma tête en suivant les mouvements du Doc. Il installa ses genoux au niveau de ma tête et se coucha pratiquement sur moi en s'enfonçant encore plus dans ma cavité buccale. Il reprit là où il s'était arrêté. Pendant qu'il me nettoyait scrupuleusement, Le Dominant baisait ma bouche avec son sexe et ma chatte avec sa langue. Je gémissais de plus en plus. Il jouait avec tellement de facilité de mon corps que je jouis. Il absorba tout ce qui s'échappa de moi et continua à baiser ma cavité buccale avec ardeur alors qu’en même temps il aspergeait de nouveau ma chatte de crème glacée. Ensuite, il se laissa pomper et au bout de quelques allers-retours, il explosa à son tour par des jets de sperme chaud jusqu’au fond de ma gorge. Je le lavais consciencieusement avec ma bouche et mes lèvres jusqu'à ce qu'il bande à nouveau au bout d’une dizaine de minutes. Il se retira doucement et se repositionna sur mon côté. Il posa ses lèvres sur les miennes et partit. J'aimais ses instants de « tendresse » après des ébats fougueux. J'avais l'impression d'être belle et de compter pour quelqu'un, même en tant que simple soumise à Monsieur le Marquis. Je sentis une chose presser sur mes lèvres.

- Ouvres et maintenant serre les dents sans joindre les lèvres ! M'ordonna Marc …

J'obéis immédiatement et avala un filet de jus de fraise. Je gémissais de plaisir. Le Doc ne pouvait pas le savoir mais j'avais toujours voulu faire cela avec un homme. Je trouvais ce geste érotique. Je sentis le lit bouger pendant que Marc se couchait sur moi. Il prit ma joue en coupe et posa ses lèvres sur les miennes en mordant dans le fruit. Il prolongea le baiser. Une fois le fruit avalé, il mordit ma lèvre inférieure et me pénétra d'un coup de hanche. Le même cri de contentement, nous échappa simultanément. Il faisait de profonds vas et viens en moi et d'un coup y mit fin. Il se redressa et s'agenouilla au niveau de ma tête.

- Reprends-moi en bouche, chienne !

Je le suçais tout en me goûtant en même temps. Un gémissement m'échappa. Je sentis le lit bouger à nouveau faiblement. Tandis que j'aspirais au maximum sa grosse verge érigée pour moi, je sentis ma cyprine couler entre mes jambes. Je fus ce moment que choisit Le Doc pour tremper une nouvelle fraise.

- Huuum ! Fraise à la cyprine, le meilleur dessert au monde ! Continue tu fais cela tellement bien ! Putain, ta bouche est vraiment faite pour sucer les queues ! Prononça-t-il en mouillant une nouvelle fraise.

Je ne pus que gémir de bien-être. Il fit durer le plaisir pendant un moment avant de me faire ouvrir les yeux. Il se retira de ma cavité buccale et me remit une fraise entre les lèvres après l'avoir imbibé de ma cyprine. Je gémis à nouveau et il reprit possession de ma chatte. Il abaissa brutalement ses lèvres sur les miennes tout en me possédant. Quand il éloigna ses lèvres des miennes, je me mis à crier mon plaisir.

- Ouuui Marc !
- Tu aimes ça, te faire baiser par ma verge ! Et ça tu aimes ! Ajouta-t-il brusquement alors qu'il prit position dans mon cul.
- Oh ouuui ! Criais-je à nouveau.

Il continua à me matraquer sans ménagement. Prenant du plaisir à me faire hurler son prénom. Plus je criais et plus son sexe grossissait en moi. Je sentis qu'il était proche de la délivrance quand il accéléra la cadence de ses pénétrations tout en alternant le trou dans lequel il me pénétrait. Il jouit à l'intérieur de mon sexe et resta à l'intérieur de moi. J'eus du mal à reprendre mon souffle après les trois orgasmes qu'il m'avait donné. Il se remit à bouger en moi et je le sentis redevenir dur à nouveau.

- As-tu soif avant que nous continuons ?
- Oui Marc, s'il vous plaît !

Il servit un verre de jus fruit qu'il apporta à mes lèvres avec un sourire. Je baissais les yeux et bus le verre tendus puis je me recouchais sur le lit...

(A suivre ...)