La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°914)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°914)
Une belle lope soumise au Château - (suite de l'épisode N°910) -
Le cabinet de toilette était spacieux, entièrement revêtu de marbre rouge d'Alicante. Sissy était littéralement médusée, quelle beauté ! Outre l'aisance éloquente de son train de vie Monsieur le Marquis lui témoignait manifestement une attention toute particulière … lucide elle pensa "Pour son dressage aussi, sans doute …" Rose interrompit sa contemplation :
- "Allez Sissy, je t'enlève le plug et tu files sous la douche, je te donne 15 minutes. Ensuite on s'occupera de ta peau, Monsieur le Marquis aime que ses chiennes aient la peau douce et parfumée. Il te faut être au mieux, file !"
Dans la cabine de balnéothérapie Sissy goûtait voluptueusement l'effet des multiples jets sur son corps endolori. Tous ses muscles lui semblaient noués, les quatre mâles reproducteurs l'avaient chacun sailli deux fois. Lorsque Rose lui avait enlevé le plug, ses fesses, ses cuisses, avaient ruisselé de l'accumulation du foutre des huit jouissances des quatre mâles … Elle se savonna soigneusement. Son cheminement déjà ancien vers les "retrouvailles" avec la féminité qui habitait son corps sexué, (pourquoi ?), comme celui d'un mâle, l'avait amené depuis longtemps à prendre soin d'elle. Epilation, gommage, hydratation, l'ex baroudeur savait prendre soin de son petit corps d'athlète … Rose ouvrit la paroi de la cabine :
- "Allez Sissy, tu bouges tes fesses, il ne me reste plus qu'une heure pour te préparer."
Dans les appartements de Monsieur le Marquis, Marie la cuisinière venait de lui apporter sa collation matinale.
- "Merci Marie, posez ça là. Je vous félicite pour votre initiative et la façon dont vous avez organisé sa première nuit chez nous. Il me plait de l'avoir entendue me dire 24 fois qu'elle était ma putain. N'oubliez pas d'envoyer le fichier vidéo à Madame Cathy. Que pensez-vous donc de notre Sissy ?"
- "Monsieur le Marquis sait bien que je n'aime pas les hommes … mais il-elle semble différente : Ce mélange de force et de fragilité mériterait peut être qu'elle ait un vagin".
Sir Evans sourit
- "Chercheriez-vous le fouet Marie, vous manque-t-il donc à ce point ? Filez, nous en reparlerons".
Le Marquis était songeur, jubilatoire aussi. Quel plaisir que de pouvoir s'amuser avec le jouet prêté par son amie Dame Cathy, pour la lui rendre plus perverse, plus chienne, plus dépravée ! Il fallait frapper fort, tout de suite. Le "sujet" avait de la ressource, de l'entraînement même. L'esprit pervers de Sir Edouard Evans ne fut pas long à accoucher d'une petite invention que l'un des amis de ses ancêtres, ce cher Marquis de Sade, n'aurait sans doute pas renié, qui faut-il le rappelé avait même trouvé refuge dans le château des Evans (voir les Origines de la Saga…).
Il prononça dans le système à reconnaissance vocale :
- "Walter !?"
- "Oui Monsieur le Marquis, que puis-je pour votre service ?" fit presque immédiatement entendre le système audio, où la voix du majordome résonnait.
- "Que mon chef de meute se présente sans délai et que le docteur Charles-Antoine me joigne immédiatement !"
- "Bien Monsieur le Marquis".
Il ne s'était pas écoulé beaucoup plus de 10 minutes que le portable du Marquis sonna, c'était Charles Antoine :
-" Eh bien Monsieur le Marquis, ne me dites pas que ce si bon whisky vous a empêché de dormir ?"
- "Charles-Antoine ! Ne pouvez-vous pas cesser d'être insolent ? Non, je viens d'avoir une petite idée "amusante". Avez-vous toujours cette préparation que nous utilisions sur les femelles de la meute de chasse pour renforcer leur odeur de chaleur et inciter les mâles à saillir ?"
- "Pas sur moi Sir Edouard, ce serait dangereux ... mais j'en avait laissé un flacon à Raymond, votre chef de meute".
- "Parfait...parfait … Merci Charles-Antoine, redites bien au chirurgien que nous pensons compter sur lui pour dans 15 jours".
- "Ce sera fait, Monsieur le Marquis, soyez sans crainte"
Déjà le chef de meute se présentait à la porte des appartements du Marquis, il frappa à la porte.
-"Entrez Raymond, entrez !
Raymond était déjà le chef de meute de Feu Monsieur le Père du Marquis, il avait connu Edouard bébé, enfant, adolescent puis homme, c'était du plus pur "Evans" cet homme là, digne héritier de sa lignée …
- "Raymond, notre carabin Charles-Antoine me dit qu'il vous a confié un pot de cette préparation qu'il avait concocté pour que nos femelles soient plus "communicantes, attractives, séduisantes..." vis-à-vis des mâles lorsqu'elles ont leurs chaleurs..."
- "Si fait Monsieur le Marquis, j'en ai un pot"
- "Parfait, parfait. Avons-nous en ce moment une femelle en chaleur ?"
- "Nous en avons deux" Monsieur le Marquis, "Je pensais les mettre à l'oeuvre ces jours ci.
- "Parfait Raymond, poursuivit le Marquis, Vous allez me sélectionner un de nos meilleurs et vigoureux esclaves mâles, vous préparerez la femelle, nous ferons la saillie ici. Tenez vous avec le couple devant le perron, pour 8 heures".
- "Bien Monsieur le Marquis" fut le seul commentaire de Monsieur Raymond en sortant de la pièce. …
Rose terminait d'enduire tout le corps de Sissy d'huile d'argan... Elle retourna ensuite à la belle commode choisir un plug d'apparat. Elle se décida pour celui qui portait une longue tresse de crins blonds, comme la queue de la jument préférée de Monsieur le Marquis. Puis elle maquilla légèrement Sissy : un peu de crayon pour agrandir ses yeux et en rehausser le joli bleu profond qui toute la nuit dernière n'avait exprimé qu'un mélange de détresse et d'amour, un tout petit peu de rose aux joues. Elle alla à un placard : il y avait là 12 paires de chaussures. Sissy chaussait du 39, c'était dans son dossier. Elle choisit des petits escarpins de velours noirs, ouverts, avec des talons de 9 cm. La sobriété était de mise pour une première présentation.
Enfin elle lui inséra le plug, boucla le harnais et mis une laisse à l'anneau de son collier de titane rose.
- "Tu es prête Sissy, marche un peu... bien, tu es présentable, une belle putain à vrai dire...tu serais même touchante avec ta petite cage de garçon..."
- "En tant qu'invitée de Monsieur le Marquis et propriété de ta Maîtresse Cathy tu es autorisée à te déplacer debout mais chaque fois que tu croiseras une personne sans collier tu devras immédiatement t'agenouiller et te mettre en position d'offrande".
Pour la première fois depuis son arrivée Sissy retrouva une voix posée et dit :
- "Merci Rose, merci, j'ai compris, merci pour tout".
- "Il nous reste 30 minutes, dit Rose, viens manger quelque chose.
Alors que Sissy était dans le cabinet de toilette une servante envoyée par Marie avait apporté et posé sur le guéridon, entre le sablier et le boulier, un petit plateau rond, en argent lui aussi. Il y avait un verre du jus de goyave, des fruits et du fromage...
Rose s'assit dans le Voltaire et dit à Sissy :"Assied toi par terre, mangeons et ne traînons pas, Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas."
A l'autre extrémité du Château Walter frappa à la porte des appartements de Monsieur le Marquis.
- "Entrez Walter, prononça Sir Evans ayant immédiatement reconnu la manière caractéristique que le majordome avait de frapper son huis."
-"Bonjour Monsieur le Marquis, Monsieur le Marquis a-t-il bien dormi ?
- "Bonjour Walter, j'ai excellemment bien dormi tant il est vrai que Laetitia mérite bien ses 3 anneaux et que Marie avait organisé l'arrivée de notre Sissy avec … disons… doigté dirais-je
Walter s'autorisa un petit sourire discret. Grâce au système vidéo Marie et lui, curieux, avaient assisté de la cuisine, sans y avoir été invité, aux deux premières saillies...
- "Je vais recevoir notre invitée particulière, Sissy, à huit heures, seul, dans le Petit Bureau. Une demi-heure plus tard à huit heures et demi nous descendrons elle et moi sur le perron. Je veux que David et Marie se tiennent là à partir de 8 h 30
précise. Vous rassemblerez tous mes domestiques et les ferez tenir bien rangés, en bas des marches. J'aurais également besoin de e44 et de e45. Que Marie convoque pour la même heure nos deux nouvelles myna et encorebelle, je veux offrir une récompense à ces deux chiennes, elles progressent bien. Faites enfin sceller deux de mes chevaux, l'un avec ma selle personnelle, l'autre avec une selle de maintien. Je les veux harnachés pour 9 heures."
- "Sera-ce tout Monsieur le Marquis ?" demanda Walter.
- "Oui Walter...", le Marquis laissa son majordome aller jusqu'à sa porte ..."Walter …, le majordome se figea, j'ai vu votre petit sourire. Pensez-vous que je puisse ignorer qu'hier soir vous étiez dans la cuisine avec Marie ?"
- "Non Monsieur le Marquis heuhhh… non, bien sûr".
Walter, malgré son ancienneté au service de Sir Edouard sentit son pouls accélérer … les courroux du Marquis étaient terribles.
- "Disposez ! Walter, disposez ! Nous reparlerons de cette initiative et ferons le point sur l'avancé des préparatifs du Grand Bal Masqué ce soir" conclu Sir Edouard.
Rose, tenant en laisse Sissy quittait le quartier des esclaves pour se diriger vers l'aile qui abritait les appartements du Marquis. Elle avait, pour sa part, choisi de porter un corset bustier rouge à fermoir busc, d’un brillant tissu damassé. Les motifs de la damasserie représentaient les armes du Marquis, ses pieds étaient chaussés de bottines de cuir rouge. Pour le reste elle était nue, splendide comme tout ce qui appartenait à Sir Evans...
Étrangement ils ne croisèrent personne de la maisonnée jusqu'aux appartements du Marquis. Il était 8 heures précises, Rose frappa le petit heurtoir placé sur la porte du Petit Bureau de Sir Edouard Evans.
- "Entrez !" entendit Rose. Elle poussa la porte et entraîna Sissy à l'intérieur. Monsieur le Marquis leur tournait le dos, assis dans son fauteuil, face à la haute fenêtre donnant sur l’immense Parc fleuri et verdoyant.
- "Rose ?"
- "Oui Monsieur le Marquis"
- "Placez moi cette putain sur le petit tapis rond"
- "Bien, tout de suite Monsieur le Marquis"
Rose tira sur la laisse, amena Sissy au centre du tapis et lui chuchota
- "Mets toi à genoux, en position d'attente"
Sissy s'exécuta. Elle s'agenouilla, cuisses écartées, abaissa ses fesses sur ses talons, plaça ses mains sur le haut des cuisses paumes vers le haut, poitrine sortie, yeux baissés. Elle sentait sous ses genoux la douceur du cachemire … décidément son séjour au château conjuguerait le meilleur, le plus suave, avec le pire, le plus cinglant...
- "C'est fait Monsieur le Marquis".
- "Merci Rose, allez rejoindre les autres sur le perron, Sir Edouard ne s'était pas retourné mais il ajouta pourtant : "Très bon choix ce corset, Rose, très bon, le rouge vous va à ravir, vous êtes des plus belle ce matin …"
Rose sortit, songeuse "On ne surprenait jamais Sir Edouard, il savait tout, sentait tout, dirigeait tout" Quel diable d'homme et lorsqu'on l'avait approché on ne pouvait s'en éloigner sans le regretter amèrement …"
Sir Édouard se leva, se saisissant négligemment d'une cravache à pommeau d'argent. Contournant l'élégant bureau Louis XV, laqué noir et ornementé de bronze doré, s'approcha de Sissy intimidée.
- "Te voici donc Sissy, … ta Maîtresse m'a fait l'honneur de me confier une mission bien agréable, te faire putain à jamais. Nous allons te rendre dépendante de ta libido de chienne et t'enlever cette stupide arrogance de coq que tu traînes encore en
bandoulière comme un sabre d'abordage".
Négligemment le Marquis caressait du bout de sa cravache les épaules nues de Sissy. Un premier coup s'abattit cinglant, laissant une zébrure sur l'omoplate droite de Sissy qui bondit, abandonnant la position.
- "Reprends ta position chienne ! Donc disais-je, lorsque tu nous quitteras tu ne pourras plus te passer d'être baisée comme une putain d'abattage et tu auras laissé chez moi ce qu'il te reste de dignité".
Un second coup fulgura, marquant l'autre omoplate. Sissy bondit à nouveau.
- "La position chienne, la position !", reprit-il d’un ton sévère n’admettant pas une réplique de riposte.
Le Marquis passa l’extrémité de la cravache sous le menton de Sissy pour l'obliger à lever les yeux. Humides de larmes le regard bleu de Sissy lui faisait face :
- "Que me dit-on dans ce cas Sissy ?"
- "Mer … Merci Monsieur le Marquis de m'aider à mieux servir ceux qui doivent l'être, je suis votre putain, la putain de Sir Édouard, de Monsieur le Marquis d'Evans".
La cravache du Marquis passait sur les tétons de Sissy. Sans qu'elle puisse s'y apposer, ils grossirent et elle se mit à gémir, le désir montait en elle. Blotti dans sa cage son sexe gonflait, immédiatement interdit de se déployer davantage.
-"Mais, c’est que tu bandes petite salope !" ponctua le Marquis dans un éclat de rire immédiatement suivi d'une gifle retentissante sur la joue de Sissy. Puis de nouveau caressant : "Remarques que cela ne me déplaît pas, tu seras plus facilement conduite à te traîner au sol pour obtenir le plaisir"
Le Marquis continuait à tourner lentement autour de Sissy.
- "Mets toi en levrette, chienne de putain !"
Sissy s'exécuta. Immédiatement la cravache cingla 4 fois, deux coups sur chaque fesse. Dans l'instant Sissy s'écroula de douleur.
- "Reprends la position !" lui dit le Noble en plus empoignant les cheveux. Difficilement Sissy se remis en levrette. "J'attends, chienne" tonna le Marquis.
- "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans".
- "Et bien voilà, il te reste un peu de raison... Ton séjour parmi nous doit durer une quarantaine de jours, comme celui du Christ dans le désert, en plus charnel et moins spirituel je te le concède. Nous allons commencer par te rendre dépendante de tes sens, sans trop te fatiguer car dans 15 jours tu auras besoin de toute ta santé pour une petite chirurgie réparatrice d'une erreur de la nature. Sais-tu ce que ta Maîtresse Cathy et moi avons décidé ?"
- "Pas exactement Monsieur le Marquis, je me doute un peu, sans savoir vraiment …"
Le Marquis sourit :
- "Tu ne sais pas exactement mais tu as signé toutes les décharges ?" Décidément pensait-il cette Chère Cathy était créatrice d'émulation : qui de Lui, Marquis d'Evans, ou d'Elle, qui jouait de l'accordéon en fumant des gauloises avait le plus de talents à manipuler et asservir … ?
- "Je vais maintenant te présenter à ma domesticité, sais-tu ce qu'est une chienne ?" reprit le Marquis.
- "Une chienne est un animal qui court vers son Maître pour l'accueillir, lui témoigne une profusion d'affection, reçoit des punitions sans jamais concevoir de rancœur et salue en montrant son cul"
- "Dans à peine un mois tu ne seras rien d'autre que cela, répliqua le Marquis d’Evans avec assurance. Dans ma grande bonté j'ai prévu de t'illustrer cela, afin que tu comprennes mieux ton destin..."
Dans la cour du château Walter était en train de répartir les domestiques de part et d'autre du grand perron...
Raymond le chef de meute était là, tenant en laisse, à quatre pattes, une belle esclave femelle à la longue et belle chevelure ondulée d'un roux flamboyant ainsi qu'un grand et robuste esclave mâle qui n'arrivait pas à cacher une magnifique érection impressionnante de volume. La longueur et l’épaisseur de sa verge étaient hors norme... La petite préparation du docteur Charles-Antoine faisait son effet : l’esclave femelle émettait des phéromones à l'odeur à peine perceptible mais dont le message pour un mâle n'était rien d'autre que : "Baisez moi s'il vous plaît".
Plus loin, hors de portée des effluves de phéromones e44 et e45, accroupis, attendaient aussi.
Sur le perron, Rose avait rejoint son amante Marie, et aussi David le compagnon du Marquis qui partageait le lit. Myna et encorebelle, nues, belles et apprêtées complétaient la docte assemblée ...
(A suivre…)
Le cabinet de toilette était spacieux, entièrement revêtu de marbre rouge d'Alicante. Sissy était littéralement médusée, quelle beauté ! Outre l'aisance éloquente de son train de vie Monsieur le Marquis lui témoignait manifestement une attention toute particulière … lucide elle pensa "Pour son dressage aussi, sans doute …" Rose interrompit sa contemplation :
- "Allez Sissy, je t'enlève le plug et tu files sous la douche, je te donne 15 minutes. Ensuite on s'occupera de ta peau, Monsieur le Marquis aime que ses chiennes aient la peau douce et parfumée. Il te faut être au mieux, file !"
Dans la cabine de balnéothérapie Sissy goûtait voluptueusement l'effet des multiples jets sur son corps endolori. Tous ses muscles lui semblaient noués, les quatre mâles reproducteurs l'avaient chacun sailli deux fois. Lorsque Rose lui avait enlevé le plug, ses fesses, ses cuisses, avaient ruisselé de l'accumulation du foutre des huit jouissances des quatre mâles … Elle se savonna soigneusement. Son cheminement déjà ancien vers les "retrouvailles" avec la féminité qui habitait son corps sexué, (pourquoi ?), comme celui d'un mâle, l'avait amené depuis longtemps à prendre soin d'elle. Epilation, gommage, hydratation, l'ex baroudeur savait prendre soin de son petit corps d'athlète … Rose ouvrit la paroi de la cabine :
- "Allez Sissy, tu bouges tes fesses, il ne me reste plus qu'une heure pour te préparer."
Dans les appartements de Monsieur le Marquis, Marie la cuisinière venait de lui apporter sa collation matinale.
- "Merci Marie, posez ça là. Je vous félicite pour votre initiative et la façon dont vous avez organisé sa première nuit chez nous. Il me plait de l'avoir entendue me dire 24 fois qu'elle était ma putain. N'oubliez pas d'envoyer le fichier vidéo à Madame Cathy. Que pensez-vous donc de notre Sissy ?"
- "Monsieur le Marquis sait bien que je n'aime pas les hommes … mais il-elle semble différente : Ce mélange de force et de fragilité mériterait peut être qu'elle ait un vagin".
Sir Evans sourit
- "Chercheriez-vous le fouet Marie, vous manque-t-il donc à ce point ? Filez, nous en reparlerons".
Le Marquis était songeur, jubilatoire aussi. Quel plaisir que de pouvoir s'amuser avec le jouet prêté par son amie Dame Cathy, pour la lui rendre plus perverse, plus chienne, plus dépravée ! Il fallait frapper fort, tout de suite. Le "sujet" avait de la ressource, de l'entraînement même. L'esprit pervers de Sir Edouard Evans ne fut pas long à accoucher d'une petite invention que l'un des amis de ses ancêtres, ce cher Marquis de Sade, n'aurait sans doute pas renié, qui faut-il le rappelé avait même trouvé refuge dans le château des Evans (voir les Origines de la Saga…).
Il prononça dans le système à reconnaissance vocale :
- "Walter !?"
- "Oui Monsieur le Marquis, que puis-je pour votre service ?" fit presque immédiatement entendre le système audio, où la voix du majordome résonnait.
- "Que mon chef de meute se présente sans délai et que le docteur Charles-Antoine me joigne immédiatement !"
- "Bien Monsieur le Marquis".
Il ne s'était pas écoulé beaucoup plus de 10 minutes que le portable du Marquis sonna, c'était Charles Antoine :
-" Eh bien Monsieur le Marquis, ne me dites pas que ce si bon whisky vous a empêché de dormir ?"
- "Charles-Antoine ! Ne pouvez-vous pas cesser d'être insolent ? Non, je viens d'avoir une petite idée "amusante". Avez-vous toujours cette préparation que nous utilisions sur les femelles de la meute de chasse pour renforcer leur odeur de chaleur et inciter les mâles à saillir ?"
- "Pas sur moi Sir Edouard, ce serait dangereux ... mais j'en avait laissé un flacon à Raymond, votre chef de meute".
- "Parfait...parfait … Merci Charles-Antoine, redites bien au chirurgien que nous pensons compter sur lui pour dans 15 jours".
- "Ce sera fait, Monsieur le Marquis, soyez sans crainte"
Déjà le chef de meute se présentait à la porte des appartements du Marquis, il frappa à la porte.
-"Entrez Raymond, entrez !
Raymond était déjà le chef de meute de Feu Monsieur le Père du Marquis, il avait connu Edouard bébé, enfant, adolescent puis homme, c'était du plus pur "Evans" cet homme là, digne héritier de sa lignée …
- "Raymond, notre carabin Charles-Antoine me dit qu'il vous a confié un pot de cette préparation qu'il avait concocté pour que nos femelles soient plus "communicantes, attractives, séduisantes..." vis-à-vis des mâles lorsqu'elles ont leurs chaleurs..."
- "Si fait Monsieur le Marquis, j'en ai un pot"
- "Parfait, parfait. Avons-nous en ce moment une femelle en chaleur ?"
- "Nous en avons deux" Monsieur le Marquis, "Je pensais les mettre à l'oeuvre ces jours ci.
- "Parfait Raymond, poursuivit le Marquis, Vous allez me sélectionner un de nos meilleurs et vigoureux esclaves mâles, vous préparerez la femelle, nous ferons la saillie ici. Tenez vous avec le couple devant le perron, pour 8 heures".
- "Bien Monsieur le Marquis" fut le seul commentaire de Monsieur Raymond en sortant de la pièce. …
Rose terminait d'enduire tout le corps de Sissy d'huile d'argan... Elle retourna ensuite à la belle commode choisir un plug d'apparat. Elle se décida pour celui qui portait une longue tresse de crins blonds, comme la queue de la jument préférée de Monsieur le Marquis. Puis elle maquilla légèrement Sissy : un peu de crayon pour agrandir ses yeux et en rehausser le joli bleu profond qui toute la nuit dernière n'avait exprimé qu'un mélange de détresse et d'amour, un tout petit peu de rose aux joues. Elle alla à un placard : il y avait là 12 paires de chaussures. Sissy chaussait du 39, c'était dans son dossier. Elle choisit des petits escarpins de velours noirs, ouverts, avec des talons de 9 cm. La sobriété était de mise pour une première présentation.
Enfin elle lui inséra le plug, boucla le harnais et mis une laisse à l'anneau de son collier de titane rose.
- "Tu es prête Sissy, marche un peu... bien, tu es présentable, une belle putain à vrai dire...tu serais même touchante avec ta petite cage de garçon..."
- "En tant qu'invitée de Monsieur le Marquis et propriété de ta Maîtresse Cathy tu es autorisée à te déplacer debout mais chaque fois que tu croiseras une personne sans collier tu devras immédiatement t'agenouiller et te mettre en position d'offrande".
Pour la première fois depuis son arrivée Sissy retrouva une voix posée et dit :
- "Merci Rose, merci, j'ai compris, merci pour tout".
- "Il nous reste 30 minutes, dit Rose, viens manger quelque chose.
Alors que Sissy était dans le cabinet de toilette une servante envoyée par Marie avait apporté et posé sur le guéridon, entre le sablier et le boulier, un petit plateau rond, en argent lui aussi. Il y avait un verre du jus de goyave, des fruits et du fromage...
Rose s'assit dans le Voltaire et dit à Sissy :"Assied toi par terre, mangeons et ne traînons pas, Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas."
A l'autre extrémité du Château Walter frappa à la porte des appartements de Monsieur le Marquis.
- "Entrez Walter, prononça Sir Evans ayant immédiatement reconnu la manière caractéristique que le majordome avait de frapper son huis."
-"Bonjour Monsieur le Marquis, Monsieur le Marquis a-t-il bien dormi ?
- "Bonjour Walter, j'ai excellemment bien dormi tant il est vrai que Laetitia mérite bien ses 3 anneaux et que Marie avait organisé l'arrivée de notre Sissy avec … disons… doigté dirais-je
Walter s'autorisa un petit sourire discret. Grâce au système vidéo Marie et lui, curieux, avaient assisté de la cuisine, sans y avoir été invité, aux deux premières saillies...
- "Je vais recevoir notre invitée particulière, Sissy, à huit heures, seul, dans le Petit Bureau. Une demi-heure plus tard à huit heures et demi nous descendrons elle et moi sur le perron. Je veux que David et Marie se tiennent là à partir de 8 h 30
précise. Vous rassemblerez tous mes domestiques et les ferez tenir bien rangés, en bas des marches. J'aurais également besoin de e44 et de e45. Que Marie convoque pour la même heure nos deux nouvelles myna et encorebelle, je veux offrir une récompense à ces deux chiennes, elles progressent bien. Faites enfin sceller deux de mes chevaux, l'un avec ma selle personnelle, l'autre avec une selle de maintien. Je les veux harnachés pour 9 heures."
- "Sera-ce tout Monsieur le Marquis ?" demanda Walter.
- "Oui Walter...", le Marquis laissa son majordome aller jusqu'à sa porte ..."Walter …, le majordome se figea, j'ai vu votre petit sourire. Pensez-vous que je puisse ignorer qu'hier soir vous étiez dans la cuisine avec Marie ?"
- "Non Monsieur le Marquis heuhhh… non, bien sûr".
Walter, malgré son ancienneté au service de Sir Edouard sentit son pouls accélérer … les courroux du Marquis étaient terribles.
- "Disposez ! Walter, disposez ! Nous reparlerons de cette initiative et ferons le point sur l'avancé des préparatifs du Grand Bal Masqué ce soir" conclu Sir Edouard.
Rose, tenant en laisse Sissy quittait le quartier des esclaves pour se diriger vers l'aile qui abritait les appartements du Marquis. Elle avait, pour sa part, choisi de porter un corset bustier rouge à fermoir busc, d’un brillant tissu damassé. Les motifs de la damasserie représentaient les armes du Marquis, ses pieds étaient chaussés de bottines de cuir rouge. Pour le reste elle était nue, splendide comme tout ce qui appartenait à Sir Evans...
Étrangement ils ne croisèrent personne de la maisonnée jusqu'aux appartements du Marquis. Il était 8 heures précises, Rose frappa le petit heurtoir placé sur la porte du Petit Bureau de Sir Edouard Evans.
- "Entrez !" entendit Rose. Elle poussa la porte et entraîna Sissy à l'intérieur. Monsieur le Marquis leur tournait le dos, assis dans son fauteuil, face à la haute fenêtre donnant sur l’immense Parc fleuri et verdoyant.
- "Rose ?"
- "Oui Monsieur le Marquis"
- "Placez moi cette putain sur le petit tapis rond"
- "Bien, tout de suite Monsieur le Marquis"
Rose tira sur la laisse, amena Sissy au centre du tapis et lui chuchota
- "Mets toi à genoux, en position d'attente"
Sissy s'exécuta. Elle s'agenouilla, cuisses écartées, abaissa ses fesses sur ses talons, plaça ses mains sur le haut des cuisses paumes vers le haut, poitrine sortie, yeux baissés. Elle sentait sous ses genoux la douceur du cachemire … décidément son séjour au château conjuguerait le meilleur, le plus suave, avec le pire, le plus cinglant...
- "C'est fait Monsieur le Marquis".
- "Merci Rose, allez rejoindre les autres sur le perron, Sir Edouard ne s'était pas retourné mais il ajouta pourtant : "Très bon choix ce corset, Rose, très bon, le rouge vous va à ravir, vous êtes des plus belle ce matin …"
Rose sortit, songeuse "On ne surprenait jamais Sir Edouard, il savait tout, sentait tout, dirigeait tout" Quel diable d'homme et lorsqu'on l'avait approché on ne pouvait s'en éloigner sans le regretter amèrement …"
Sir Édouard se leva, se saisissant négligemment d'une cravache à pommeau d'argent. Contournant l'élégant bureau Louis XV, laqué noir et ornementé de bronze doré, s'approcha de Sissy intimidée.
- "Te voici donc Sissy, … ta Maîtresse m'a fait l'honneur de me confier une mission bien agréable, te faire putain à jamais. Nous allons te rendre dépendante de ta libido de chienne et t'enlever cette stupide arrogance de coq que tu traînes encore en
bandoulière comme un sabre d'abordage".
Négligemment le Marquis caressait du bout de sa cravache les épaules nues de Sissy. Un premier coup s'abattit cinglant, laissant une zébrure sur l'omoplate droite de Sissy qui bondit, abandonnant la position.
- "Reprends ta position chienne ! Donc disais-je, lorsque tu nous quitteras tu ne pourras plus te passer d'être baisée comme une putain d'abattage et tu auras laissé chez moi ce qu'il te reste de dignité".
Un second coup fulgura, marquant l'autre omoplate. Sissy bondit à nouveau.
- "La position chienne, la position !", reprit-il d’un ton sévère n’admettant pas une réplique de riposte.
Le Marquis passa l’extrémité de la cravache sous le menton de Sissy pour l'obliger à lever les yeux. Humides de larmes le regard bleu de Sissy lui faisait face :
- "Que me dit-on dans ce cas Sissy ?"
- "Mer … Merci Monsieur le Marquis de m'aider à mieux servir ceux qui doivent l'être, je suis votre putain, la putain de Sir Édouard, de Monsieur le Marquis d'Evans".
La cravache du Marquis passait sur les tétons de Sissy. Sans qu'elle puisse s'y apposer, ils grossirent et elle se mit à gémir, le désir montait en elle. Blotti dans sa cage son sexe gonflait, immédiatement interdit de se déployer davantage.
-"Mais, c’est que tu bandes petite salope !" ponctua le Marquis dans un éclat de rire immédiatement suivi d'une gifle retentissante sur la joue de Sissy. Puis de nouveau caressant : "Remarques que cela ne me déplaît pas, tu seras plus facilement conduite à te traîner au sol pour obtenir le plaisir"
Le Marquis continuait à tourner lentement autour de Sissy.
- "Mets toi en levrette, chienne de putain !"
Sissy s'exécuta. Immédiatement la cravache cingla 4 fois, deux coups sur chaque fesse. Dans l'instant Sissy s'écroula de douleur.
- "Reprends la position !" lui dit le Noble en plus empoignant les cheveux. Difficilement Sissy se remis en levrette. "J'attends, chienne" tonna le Marquis.
- "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans".
- "Et bien voilà, il te reste un peu de raison... Ton séjour parmi nous doit durer une quarantaine de jours, comme celui du Christ dans le désert, en plus charnel et moins spirituel je te le concède. Nous allons commencer par te rendre dépendante de tes sens, sans trop te fatiguer car dans 15 jours tu auras besoin de toute ta santé pour une petite chirurgie réparatrice d'une erreur de la nature. Sais-tu ce que ta Maîtresse Cathy et moi avons décidé ?"
- "Pas exactement Monsieur le Marquis, je me doute un peu, sans savoir vraiment …"
Le Marquis sourit :
- "Tu ne sais pas exactement mais tu as signé toutes les décharges ?" Décidément pensait-il cette Chère Cathy était créatrice d'émulation : qui de Lui, Marquis d'Evans, ou d'Elle, qui jouait de l'accordéon en fumant des gauloises avait le plus de talents à manipuler et asservir … ?
- "Je vais maintenant te présenter à ma domesticité, sais-tu ce qu'est une chienne ?" reprit le Marquis.
- "Une chienne est un animal qui court vers son Maître pour l'accueillir, lui témoigne une profusion d'affection, reçoit des punitions sans jamais concevoir de rancœur et salue en montrant son cul"
- "Dans à peine un mois tu ne seras rien d'autre que cela, répliqua le Marquis d’Evans avec assurance. Dans ma grande bonté j'ai prévu de t'illustrer cela, afin que tu comprennes mieux ton destin..."
Dans la cour du château Walter était en train de répartir les domestiques de part et d'autre du grand perron...
Raymond le chef de meute était là, tenant en laisse, à quatre pattes, une belle esclave femelle à la longue et belle chevelure ondulée d'un roux flamboyant ainsi qu'un grand et robuste esclave mâle qui n'arrivait pas à cacher une magnifique érection impressionnante de volume. La longueur et l’épaisseur de sa verge étaient hors norme... La petite préparation du docteur Charles-Antoine faisait son effet : l’esclave femelle émettait des phéromones à l'odeur à peine perceptible mais dont le message pour un mâle n'était rien d'autre que : "Baisez moi s'il vous plaît".
Plus loin, hors de portée des effluves de phéromones e44 et e45, accroupis, attendaient aussi.
Sur le perron, Rose avait rejoint son amante Marie, et aussi David le compagnon du Marquis qui partageait le lit. Myna et encorebelle, nues, belles et apprêtées complétaient la docte assemblée ...
(A suivre…)
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