La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°959)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°959)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°958) -
Je n’avais pas vu grand-chose du marché d’objets et antiquité BDSM, et je n’en sus pas d’avantage en rentrant, les Dominants ayant choisi de se faire livrer à domicile les objets achetés. Cependant, l’après-midi avait tout de même était longue, et les deux petites chiennes que nous étions, qui avions passé tout ce temps en quadrupédie, s’endormirent le temps des deux heures de trajets qui nous fallut pour rentrer… Quand nous arrivâmes, c’était pratiquement l’heure de dîner. Le Maître indiqua à Wangdak qu’Il avait besoin de moi et qu’Il m’emmenait donc avec Lui. Et en attendant que la cloche sonne, chacun vaqua à ses occupations. Je suivis Monsieur le Marquis vers sa chambre. Là, Il lâcha ma laisse dès le pas de la porte passé, et Il se dirigea vers la salle de bain. N’ayant reçu aucun ordre, je prenais la position prosternée à l’endroit où Il m’avait laissé. Quand Il sortit après avoir pris une douche, Il s’assit dans le fauteuil et pris un bloc-notes et travailla, me laissant en position d’attente. Et quand Il quitta la chambre, répondant à l’appel du dîner, Il ne me fit aucun signe de le suivre, ne me donna aucun ordre. Je restais donc là, immobile, patientant son retour. Même si je sentais mes membres s’ankyloser, je ne bougeais pas d’un pouce. Une heure et demi plus tard, Il revint et déposa devant moi une gamelle, et me donna l’autorisation après quelques minutes pendant lesquelles je restais toujours aussi immobile en train de manger en levrette.
- Bien, il nous reste un peu de temps pour travailler, allons dans le bureau.
Il saisit ma laisse et pendant une heure, nous travaillâmes chacun de notre côté à remplir nos obligations françaises, moi toujours par terre à Ses pieds. Et puis Il me donna une feuille de son bloc-notes, sur laquelle il y avait divers sommes, séparées en deux catégories : compta habituelle et projet.
- Ce sont les achats que j’ai effectué cette après-midi. Tu n’as pour le moment pas à savoir à quoi les montants correspondent. Mais j’ai exigé que tu me tiennes informer de l’évolution du budget du projet, et tu ne peux me satisfaire si je ne te dis pas ce que je dépense. Dépêche-toi d’enregistrer ces opérations, et après nous pourrons rentrer nous reposer jusqu’à demain.
Il me fallut une demi-heure pour effectuer ce travail. Ensuite le Maître sortit la chienne que je suis pour que je puisse vider ma vessie au pied d’un arbre. Depuis que nous étions arrivés, c’était arrivé souvent, et j’appréciais ces balades nocturnes à suivre en quadrupédie Celui à qui j’avais fait don de ma vie. Il m’avait semblé au cours de la soirée qu’Il était préoccupé, Il paraissait réfléchir à quelque chose, se perdait dans Ses pensées. Quand nous retournâmes dans la chambre, Il m’attacha au pied du lit et se coucha sans s’être servi de moi. Après la journée que nous avions passée, je supposais que tout le monde avait besoin de repos. Le lendemain matin, Il se prépara rapidement, et descendit aussi vite me laissant attachée, sans m’avoir prêtée la moindre attention. Au bout d’un temps, que je n’aurai su définir, la porte s’ouvrit sur Sangmo qui portait une gamelle.
- Tiens, je t’apporte ta gamelle matinale. Dépêche-toi de la manger. Monsieur le Marquis a informé le Maître qui me soumet qu’Il voulait retourner au marché. Et tu l’accompagnes. Vous partez seuls et bientôt.
Et elle repartit aussi vite qu’elle était entrée. Je mangeai donc rapidement, mais je ne savais pas où je devais me rendre ensuite. Alors que je donnais un dernier coup de langue à la gamelle, le Maître entra :
- Nous partons, j’espère que tu as fini. (Après un coup d’œil devant moi) Bien, de toutes manières la seule chose que cela aurait changée, si tu n’avais pas fini, aurait été que tu aurais été puni ce soir pour avoir trainer, je ne t’aurais pas laissé plus de temps pour manger.
Il saisit ma laisse et nous partîmes. Comme le jour précédent, je passais le trajet dans le coffre de la voiture. La même effervescence régnait au Marché BDSM. Le Maître savait visiblement ce qu’Il voulait, car Il n’hésita pas sur le chemin qu’Il prenait, et Il se dirigea vers le hangar de la vente de soumis (ses), et alla droit vers le box d’un vendeur asiatique. Plusieurs soumis et soumises étaient exhibés sur des tables, sur des canapés, dans des cages suspendues, chacun dans des positions différentes et pour certaines obscènes, tous immobiles.
- Ah Vous revoilà, Monsieur ! Vous avez réfléchi finalement ?
- Oui, effectivement et la petite soumise que j’ai remarquée hier n’a pas quitté mes pensées. Elle a quelque chose dans son attitude, dans son regard, qui m’a poussé à revenir... J’avoue être tenté et le prix me parait correct …Mais je ne sais pas encore … Je reste encore un peu hésitant …
- Hésitant ? Alors pour vous convaincre, je peux vous proposer une chose, si vous voulez pour vous aider à vous décider. Je peux vous la prêter jusqu’à l’heure de fermeture du marché. Emmenez-là, faites-en ce que Vous voulez, testez-là, et vous vous déciderez en fin de journée quand vous me la ramènerez si vous vous portez acquéreur ou pas !
- Ah ? C’est une proposition que j’accepte avec joie ! Je vous en remercie de votre confiance…
- Attendez ! Je veux bien vous la prêter pour la journée, mais je veux une garantie en échange. Un acompte peut-être ? Ou plutôt une somme d’argent conséquente que je vous rends dès votre retour ! Ainsi je suis certain que vous reviendrez avec la marchandise…
- Hmm ? Je … (le Noble réfléchit)…. Je vais faire mieux que cela. Je vous laisse en échange ma chienne, une soumise MDE, marquée, éduquée. Vous pourrez en user et en abuser autant que vous le voudrez. Ainsi, si je ne revenais pas avec votre soumise, vous auriez la mienne en échange.
- Hmm ? … (le vendeur réfléchit)…. C’est un échange qui me plaît ! Mais une soumise MDE marquée ? Comment l’avez-Vous, Vous-même acquise ? Ce sont des biens rares ! Et j’ai un ami qui est passé, il y a quelques années en France, et avait séjourné deux jours au Château des Evans. Il avait fait un rapport plus qu’élogieux de son séjour, de l’accueil et des soumis mis à disposition des Invités. Le fameux Marquis d’Evans est si réputé dans notre monde D/s que c’est un véritable honneur d’y être reçu en Sa demeure, me disait-il ! …
- Je suis le Marquis Edouard d’Evans, je l’ai formée, je l’ai marquée Moi-même. Je Vous remercie pour les retours que vous me faîtes.
- Oh ? Vous … Vous êtes Monsieur le Marquis d’Evans, le célèbre Marquis à la réputation internationale ? Ho … Je Vous prie de me pardonner, Monsieur le Marquis. Pardonnez-moi d’avoir été un peu méfiant, si j’avais su que c’était Vous, je n’aurai réclamé aucune garantie… Je suis vraiment très très honoré de Votre visite, et je vous promets de prendre soin de Votre bien ! … Je vous en prie, prenez cette laisse et emmenez la soumise. Elle se nomme Chùndù, ce qui signifie « pureté » dans Votre langue…
Les deux Dominants échangèrent les laisses. Le vendeur m’entraîna à sa suite, tandis que le Maître s’éloignait avec la soumise asiatique. Chùndù était une soumise novice, mais elle avait été choisie pour être exposée car elle avait une grâce naturelle qui, sans artifice, sans maquillage, avait la capacité de retenir les regards sur elle. Elle avait donc tout à découvrir. Elle était jeune, sans famille. Elle avait rencontré le vendeur il y avait quelques mois. À sa manière de toujours baiser les yeux, de rougir, de toujours dire « Oui Monsieur », « Bien Monsieur », il avait senti le potentiel qu’elle pouvait avoir à la soumission. Et malgré son apparente timidité, quand il lui avait demandé la première fois de se dénuder et de se mettre à genoux devant lui, elle n’avait pas hésité, seulement ses joues avaient rougi un peu plus fortement que d’habitude. Elle avait ainsi découvert ce qu’elle était réellement, pourquoi ses fantasmes de soumission lui revenaient si souvent en tête depuis tant d’années. Sans aucunes attaches, aucune famille, elle avait donc acceptée d’être vendue pour vivre ce qu’elle souhaitait devenir au plus profond d’elle-même, une esclave-soumise… Monsieur Le Marquis s’avança vers le canapé où elle était, dans une position lascive. Il lui passa la laisse au collier qu’elle portait. Il claqua des doigts puis indiqua le sol. La soumise se leva et se laissa tomber gracieusement à genoux.
- Tu n’es pas éduquée, et tu ne m’appartiens pas, donc tu ne seras pas sanctionnée pour le moment. Mais ce que j’attends de toi après ce geste, c’est que tu te prosternes devant moi pour que je puisse t’examiner. J’aurai seulement claqué des doigts, il aurait fallu te mettre à quatre pattes pour me suivre par la suite.
Le Châtelain refit donc son geste, et la soumise se prosterna. Il modifia l’écartement de ses jambes pour avoir un parfait accès à sa chatte et à son cul. Il tata la rondelle, s’apercevant que son fondement n’avait jamais été travaillé, ce qui ne l’étonna pas spécialement. Mais il vit que la chienne soumise était très excitée quand Il passa ses doigts sur ses lèvres intimes et qu’Il les découvrit humides. Il donna quelques claques sur la peau blanche de ses fesses pour voir de quelle manière elles rougissaient. Puis il claque des doigts et attendit. Comme rien ne se passait, Il mit une tape un peu appuyée sur le cul, claqua à nouveau des doigts et tira légèrement vers le haut avec la laisse. Chùndù sursauta, mais comprit et se mit en quadrupédie, tête haute pour regarder dans quelle direction le Dominant qui l’avait prise pour la journée allait. Monsieur Le Marquis ne dit rien, mais ce qu’Il voyait Lui plaisait. Il aimait éduquer les novices. Et avec toutes Ses années d’expériences, Il savait déceler les soumises à fort potentiel… Il décida de faire un petit tour dans les allées entre les hangars, pour voir sa démarche en quadrupédie. Si on voyait qu’elle n’avait pas l’habitude de ce genre d’exercice en extérieur, car elle grimaçait sur les graviers, hésitait à y poser ses genoux, accélérait sur les parties herbeuses et ralentissait sur les cailloux de beaucoup, elle avait tout de même une démarche gracieuse. Il était sûr que si elle restait sous Son joug, Il pourrait en faire une pièce exceptionnelle de Son Cheptel. Il s’arrêta sur un banc dans une des allées. La soumise resta à quatre pattes se demandant ce qu’elle devait adopter comme attitude.
- Bien, voyons un peu de quoi tu es capable. Visiblement, tu n’as pas l’habitude de sortir en extérieur à quatre pattes. Tu ne connais pas les gestes valant ordres. Je vais maintenant tester ton corps, ta pudeur, et ta honte. Sache que ces deux derniers mots doivent être bannis de ton vocabulaire. Mets-toi à genoux !
Et pendant que la soumise s’exécutait, Il défit la ceinture de Son pantalon, qu’Il ouvrit et dégagea Son divin sexe de Son boxer en semi érection. Quelques personnes s’étaient arrêtées et faisaient un cercle autour d’eux. Le Châtelain saisit Chùndù par les cheveux et l’approcha de Sa queue. Elle ouvrit spontanément la bouche. Le Marquis sentit de suite son inexpérience, mais on voyait toute la bonne volonté de la chienne. Et si la fellation ne Lui donna pas envie d’éjaculer, elle l’avait néanmoins bien excitée et Son membre avait fortement gonflé. Sachant qu’Il n’aurait pas pu refermer son pantalon dans cet état, Il positionna la chienne en levrette, et la pénétra doucement, ne voulant pas trop la brusquer pour un essai, mais fermement et sans relâche jusqu’à ce qu’Il soit bien au fond de sa chatte. Il entama des vas et viens, de plus en plus rapides, toujours plus virils. Des ahanements puissants accompagnaient Ses coups de reins. La chienne, non éduquée, ne retenait pas ses cris de plaisir, et elle ne tarda pas à jouir sous les coups de butoirs du Dominant, qui déchargea également Son divin nectar. Pour se nettoyer avant de se rhabiller, Il remit la soumise à genoux et lui ordonna de Le sucer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de sécrétions dessus. Puis après avoir discuté avec quelques-unes des personnes qui étaient restées pour les regarder et qui le félicitaient pour cette belle saillie, Il reprit la laisse en main et se dirigea vers un des hangars transformés en donjon. Chùndù eut l’air impressionné voir effrayée par tout ce qu’elle y vit. En fait le vendeur était plus amateur de D/s que Dominant. Et il vendait les chiens et chiennes de Dominants ne pouvant se déplacer sur le marché… Le donjon était pratiquement vide…
(A suivre …)
Je n’avais pas vu grand-chose du marché d’objets et antiquité BDSM, et je n’en sus pas d’avantage en rentrant, les Dominants ayant choisi de se faire livrer à domicile les objets achetés. Cependant, l’après-midi avait tout de même était longue, et les deux petites chiennes que nous étions, qui avions passé tout ce temps en quadrupédie, s’endormirent le temps des deux heures de trajets qui nous fallut pour rentrer… Quand nous arrivâmes, c’était pratiquement l’heure de dîner. Le Maître indiqua à Wangdak qu’Il avait besoin de moi et qu’Il m’emmenait donc avec Lui. Et en attendant que la cloche sonne, chacun vaqua à ses occupations. Je suivis Monsieur le Marquis vers sa chambre. Là, Il lâcha ma laisse dès le pas de la porte passé, et Il se dirigea vers la salle de bain. N’ayant reçu aucun ordre, je prenais la position prosternée à l’endroit où Il m’avait laissé. Quand Il sortit après avoir pris une douche, Il s’assit dans le fauteuil et pris un bloc-notes et travailla, me laissant en position d’attente. Et quand Il quitta la chambre, répondant à l’appel du dîner, Il ne me fit aucun signe de le suivre, ne me donna aucun ordre. Je restais donc là, immobile, patientant son retour. Même si je sentais mes membres s’ankyloser, je ne bougeais pas d’un pouce. Une heure et demi plus tard, Il revint et déposa devant moi une gamelle, et me donna l’autorisation après quelques minutes pendant lesquelles je restais toujours aussi immobile en train de manger en levrette.
- Bien, il nous reste un peu de temps pour travailler, allons dans le bureau.
Il saisit ma laisse et pendant une heure, nous travaillâmes chacun de notre côté à remplir nos obligations françaises, moi toujours par terre à Ses pieds. Et puis Il me donna une feuille de son bloc-notes, sur laquelle il y avait divers sommes, séparées en deux catégories : compta habituelle et projet.
- Ce sont les achats que j’ai effectué cette après-midi. Tu n’as pour le moment pas à savoir à quoi les montants correspondent. Mais j’ai exigé que tu me tiennes informer de l’évolution du budget du projet, et tu ne peux me satisfaire si je ne te dis pas ce que je dépense. Dépêche-toi d’enregistrer ces opérations, et après nous pourrons rentrer nous reposer jusqu’à demain.
Il me fallut une demi-heure pour effectuer ce travail. Ensuite le Maître sortit la chienne que je suis pour que je puisse vider ma vessie au pied d’un arbre. Depuis que nous étions arrivés, c’était arrivé souvent, et j’appréciais ces balades nocturnes à suivre en quadrupédie Celui à qui j’avais fait don de ma vie. Il m’avait semblé au cours de la soirée qu’Il était préoccupé, Il paraissait réfléchir à quelque chose, se perdait dans Ses pensées. Quand nous retournâmes dans la chambre, Il m’attacha au pied du lit et se coucha sans s’être servi de moi. Après la journée que nous avions passée, je supposais que tout le monde avait besoin de repos. Le lendemain matin, Il se prépara rapidement, et descendit aussi vite me laissant attachée, sans m’avoir prêtée la moindre attention. Au bout d’un temps, que je n’aurai su définir, la porte s’ouvrit sur Sangmo qui portait une gamelle.
- Tiens, je t’apporte ta gamelle matinale. Dépêche-toi de la manger. Monsieur le Marquis a informé le Maître qui me soumet qu’Il voulait retourner au marché. Et tu l’accompagnes. Vous partez seuls et bientôt.
Et elle repartit aussi vite qu’elle était entrée. Je mangeai donc rapidement, mais je ne savais pas où je devais me rendre ensuite. Alors que je donnais un dernier coup de langue à la gamelle, le Maître entra :
- Nous partons, j’espère que tu as fini. (Après un coup d’œil devant moi) Bien, de toutes manières la seule chose que cela aurait changée, si tu n’avais pas fini, aurait été que tu aurais été puni ce soir pour avoir trainer, je ne t’aurais pas laissé plus de temps pour manger.
Il saisit ma laisse et nous partîmes. Comme le jour précédent, je passais le trajet dans le coffre de la voiture. La même effervescence régnait au Marché BDSM. Le Maître savait visiblement ce qu’Il voulait, car Il n’hésita pas sur le chemin qu’Il prenait, et Il se dirigea vers le hangar de la vente de soumis (ses), et alla droit vers le box d’un vendeur asiatique. Plusieurs soumis et soumises étaient exhibés sur des tables, sur des canapés, dans des cages suspendues, chacun dans des positions différentes et pour certaines obscènes, tous immobiles.
- Ah Vous revoilà, Monsieur ! Vous avez réfléchi finalement ?
- Oui, effectivement et la petite soumise que j’ai remarquée hier n’a pas quitté mes pensées. Elle a quelque chose dans son attitude, dans son regard, qui m’a poussé à revenir... J’avoue être tenté et le prix me parait correct …Mais je ne sais pas encore … Je reste encore un peu hésitant …
- Hésitant ? Alors pour vous convaincre, je peux vous proposer une chose, si vous voulez pour vous aider à vous décider. Je peux vous la prêter jusqu’à l’heure de fermeture du marché. Emmenez-là, faites-en ce que Vous voulez, testez-là, et vous vous déciderez en fin de journée quand vous me la ramènerez si vous vous portez acquéreur ou pas !
- Ah ? C’est une proposition que j’accepte avec joie ! Je vous en remercie de votre confiance…
- Attendez ! Je veux bien vous la prêter pour la journée, mais je veux une garantie en échange. Un acompte peut-être ? Ou plutôt une somme d’argent conséquente que je vous rends dès votre retour ! Ainsi je suis certain que vous reviendrez avec la marchandise…
- Hmm ? Je … (le Noble réfléchit)…. Je vais faire mieux que cela. Je vous laisse en échange ma chienne, une soumise MDE, marquée, éduquée. Vous pourrez en user et en abuser autant que vous le voudrez. Ainsi, si je ne revenais pas avec votre soumise, vous auriez la mienne en échange.
- Hmm ? … (le vendeur réfléchit)…. C’est un échange qui me plaît ! Mais une soumise MDE marquée ? Comment l’avez-Vous, Vous-même acquise ? Ce sont des biens rares ! Et j’ai un ami qui est passé, il y a quelques années en France, et avait séjourné deux jours au Château des Evans. Il avait fait un rapport plus qu’élogieux de son séjour, de l’accueil et des soumis mis à disposition des Invités. Le fameux Marquis d’Evans est si réputé dans notre monde D/s que c’est un véritable honneur d’y être reçu en Sa demeure, me disait-il ! …
- Je suis le Marquis Edouard d’Evans, je l’ai formée, je l’ai marquée Moi-même. Je Vous remercie pour les retours que vous me faîtes.
- Oh ? Vous … Vous êtes Monsieur le Marquis d’Evans, le célèbre Marquis à la réputation internationale ? Ho … Je Vous prie de me pardonner, Monsieur le Marquis. Pardonnez-moi d’avoir été un peu méfiant, si j’avais su que c’était Vous, je n’aurai réclamé aucune garantie… Je suis vraiment très très honoré de Votre visite, et je vous promets de prendre soin de Votre bien ! … Je vous en prie, prenez cette laisse et emmenez la soumise. Elle se nomme Chùndù, ce qui signifie « pureté » dans Votre langue…
Les deux Dominants échangèrent les laisses. Le vendeur m’entraîna à sa suite, tandis que le Maître s’éloignait avec la soumise asiatique. Chùndù était une soumise novice, mais elle avait été choisie pour être exposée car elle avait une grâce naturelle qui, sans artifice, sans maquillage, avait la capacité de retenir les regards sur elle. Elle avait donc tout à découvrir. Elle était jeune, sans famille. Elle avait rencontré le vendeur il y avait quelques mois. À sa manière de toujours baiser les yeux, de rougir, de toujours dire « Oui Monsieur », « Bien Monsieur », il avait senti le potentiel qu’elle pouvait avoir à la soumission. Et malgré son apparente timidité, quand il lui avait demandé la première fois de se dénuder et de se mettre à genoux devant lui, elle n’avait pas hésité, seulement ses joues avaient rougi un peu plus fortement que d’habitude. Elle avait ainsi découvert ce qu’elle était réellement, pourquoi ses fantasmes de soumission lui revenaient si souvent en tête depuis tant d’années. Sans aucunes attaches, aucune famille, elle avait donc acceptée d’être vendue pour vivre ce qu’elle souhaitait devenir au plus profond d’elle-même, une esclave-soumise… Monsieur Le Marquis s’avança vers le canapé où elle était, dans une position lascive. Il lui passa la laisse au collier qu’elle portait. Il claqua des doigts puis indiqua le sol. La soumise se leva et se laissa tomber gracieusement à genoux.
- Tu n’es pas éduquée, et tu ne m’appartiens pas, donc tu ne seras pas sanctionnée pour le moment. Mais ce que j’attends de toi après ce geste, c’est que tu te prosternes devant moi pour que je puisse t’examiner. J’aurai seulement claqué des doigts, il aurait fallu te mettre à quatre pattes pour me suivre par la suite.
Le Châtelain refit donc son geste, et la soumise se prosterna. Il modifia l’écartement de ses jambes pour avoir un parfait accès à sa chatte et à son cul. Il tata la rondelle, s’apercevant que son fondement n’avait jamais été travaillé, ce qui ne l’étonna pas spécialement. Mais il vit que la chienne soumise était très excitée quand Il passa ses doigts sur ses lèvres intimes et qu’Il les découvrit humides. Il donna quelques claques sur la peau blanche de ses fesses pour voir de quelle manière elles rougissaient. Puis il claque des doigts et attendit. Comme rien ne se passait, Il mit une tape un peu appuyée sur le cul, claqua à nouveau des doigts et tira légèrement vers le haut avec la laisse. Chùndù sursauta, mais comprit et se mit en quadrupédie, tête haute pour regarder dans quelle direction le Dominant qui l’avait prise pour la journée allait. Monsieur Le Marquis ne dit rien, mais ce qu’Il voyait Lui plaisait. Il aimait éduquer les novices. Et avec toutes Ses années d’expériences, Il savait déceler les soumises à fort potentiel… Il décida de faire un petit tour dans les allées entre les hangars, pour voir sa démarche en quadrupédie. Si on voyait qu’elle n’avait pas l’habitude de ce genre d’exercice en extérieur, car elle grimaçait sur les graviers, hésitait à y poser ses genoux, accélérait sur les parties herbeuses et ralentissait sur les cailloux de beaucoup, elle avait tout de même une démarche gracieuse. Il était sûr que si elle restait sous Son joug, Il pourrait en faire une pièce exceptionnelle de Son Cheptel. Il s’arrêta sur un banc dans une des allées. La soumise resta à quatre pattes se demandant ce qu’elle devait adopter comme attitude.
- Bien, voyons un peu de quoi tu es capable. Visiblement, tu n’as pas l’habitude de sortir en extérieur à quatre pattes. Tu ne connais pas les gestes valant ordres. Je vais maintenant tester ton corps, ta pudeur, et ta honte. Sache que ces deux derniers mots doivent être bannis de ton vocabulaire. Mets-toi à genoux !
Et pendant que la soumise s’exécutait, Il défit la ceinture de Son pantalon, qu’Il ouvrit et dégagea Son divin sexe de Son boxer en semi érection. Quelques personnes s’étaient arrêtées et faisaient un cercle autour d’eux. Le Châtelain saisit Chùndù par les cheveux et l’approcha de Sa queue. Elle ouvrit spontanément la bouche. Le Marquis sentit de suite son inexpérience, mais on voyait toute la bonne volonté de la chienne. Et si la fellation ne Lui donna pas envie d’éjaculer, elle l’avait néanmoins bien excitée et Son membre avait fortement gonflé. Sachant qu’Il n’aurait pas pu refermer son pantalon dans cet état, Il positionna la chienne en levrette, et la pénétra doucement, ne voulant pas trop la brusquer pour un essai, mais fermement et sans relâche jusqu’à ce qu’Il soit bien au fond de sa chatte. Il entama des vas et viens, de plus en plus rapides, toujours plus virils. Des ahanements puissants accompagnaient Ses coups de reins. La chienne, non éduquée, ne retenait pas ses cris de plaisir, et elle ne tarda pas à jouir sous les coups de butoirs du Dominant, qui déchargea également Son divin nectar. Pour se nettoyer avant de se rhabiller, Il remit la soumise à genoux et lui ordonna de Le sucer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de sécrétions dessus. Puis après avoir discuté avec quelques-unes des personnes qui étaient restées pour les regarder et qui le félicitaient pour cette belle saillie, Il reprit la laisse en main et se dirigea vers un des hangars transformés en donjon. Chùndù eut l’air impressionné voir effrayée par tout ce qu’elle y vit. En fait le vendeur était plus amateur de D/s que Dominant. Et il vendait les chiens et chiennes de Dominants ne pouvant se déplacer sur le marché… Le donjon était pratiquement vide…
(A suivre …)
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