La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°977)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°977) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°977)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°976) -

… et je n'allais pas rester quatre jours sans recevoir de nouvelles exigences… Dès que je fus arrivée à la villa, je commençais par connecter l’ordinateur à Internet, j’ouvris, ma messagerie et Skype, pour être disponible dans le cas où le Maître voudrait exiger quelque chose de moi. Je fis bien, car un mail m’attendait déjà :

« Ma chienne, dès que tu liras ce mail, tu te déshabilleras si ce n’est pas déjà fait, tu mettras ton plug, tes pinces à tes tétons et à tes lèvres intimes de chienne en chaleur, et un bâillon-boule. Normalement ta laisse et ton collier sont toujours à ton cou (du moins tu as intérêt ! Si ce n’est pas le cas, tu devras me le dire et je te sanctionnerais !). Comme je te l’avais annoncé, le frigo est plein. En revanche, le ménage n’a pas été fait. Tu as jusqu’à 16h pour le terminer. Tu m’informeras par un mail dès que tu auras fini. »

Je portais instinctivement ma main à mon collier. Bien sûr il ne m’avait pas quitté, ainsi que ma laisse ! Je me sentais si nue sans eux, que j’attendais à chaque fois le tout dernier moment pour les enlever. J’enlevais rapidement mes vêtements, les pliais et les posais sur le canapé pour pouvoir les attraper et les remettre rapidement lorsqu’il serait temps d’aller chercher mes filles à l’aéroport. J’allais dans la salle de bain pour mettre en place tous les accessoires exigés. Puis je me mis immédiatement au travail. Il ne me restait que deux heures pour tout nettoyer. Je ne devais pas partir avant 17h, mais le Maître avait certainement Ses raisons pour m’imposer un délai plus court. Je m’activais donc et faire le ménage ainsi accoutrée m’excitait grandement. Quand je marchais pour passer l’aspirateur par exemple, je sentais les pinces pendantes bouger sur mes lèvres intimes et m’apportaient une petite douleur mélangée à une excitation latente et qui ne demandait qu’à se développer… A un moment donné, j’eus envie d’uriner et j’allais donc me soulager à la salle de bain où je me mis à quatre pattes sous la douche italienne. Je me mis à lever la patte arrière et pissa comme une véritable chienne car c’est ainsi, de cette façon, que je devais et pour toujours, uriner. Ensuite, je sentis longuement mon urine approchant le nez (ou plutôt mon museau de petite chienne) à quelques centimètres du carrelage …

À 15h58, je finissais de ranger mon matériel et je me posais devant l’ordinateur. Alors que je commençais à rentrer l’adresse mail du Châtelain, un son m’annonçant un message Skype retentit. C’était Lui qui m’écrivait précisément.

« Bien, tu as fini dans les temps ! Comme tu sais, toute la villa est abondement équipée de vidéos surveillance… J’ai ainsi vu que tu avais bien gardé ton collier. Il valait mieux pour toi. J’ai adoré te voir te pencher en avant pour passer l’aspirateur ou la serpillère, tes seins ballotant au rythme de tes mouvements, ton cul rebondi se trémoussant dans chacune des pièces. Mais aussi te voir pisser comme une petite chienne. Pour rappel, les caméras sont installées dans toute l’habitation, sauf dans les chambres et la salle de bain de tes enfants, évidement ! Maintenant, tu vas te placer sur la table basse du salon, position prosternée, cul tournée vers la fenêtre et tu attends que je t’appelle. Tu ne bouges pas, je ne veux même pas te voir respirer. Exécution ! »

Je ne pris même pas le temps de fermer la fenêtre de la boîte mail, et allais immédiatement obéir à l’exigence du Maître. Je restais une heure ainsi. Parfois Sa voix s’élevait, et Il me disait ce qu’Il me ferait si j’étais dans cette position devant Lui, comment Il me ferait rougir le cul sous Sa main, comment Il passerait Son autre main entre mes cuisses et trouverait ma chatte trempée, comment Il me fourrerait. Ses doigts dans la bouche pour que je les Lui nettoie, tout en restant derrière moi. Comment sans prévenir, Il s’enfoncerait dans ma chatte ou dans mon cul, d’un profond coup de reins, restant quelques secondes en coït profond, avant de me saillir comme la salope de chienne que j’étais. Ses paroles m’excitaient tant, que je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses. À la fin de l’heure, le Maître me fit remarquer que j’étais une chienne bien sale, une vraie cochonne, car à peine la maison était nettoyée, je la salissais de nouveau en faisant des flaques partout, comme une chienne mal éduquée. Au lieu de m’humilier, Ses mots ne firent que me faire mouiller encore plus. Il exigea alors que je me retourne et que je lèche ma cyprine à quatre pattes qui avait coulé au sol et sur la table.

- Bien, maintenant, tu peux te rhabiller et aller chercher tes enfants, tu passes en mode vanille. Je ne veux pas te mettre en retard et je ne veux surtout pas que tu commettes d’imprudences sur la route. Tu m’appartiens, et dans ce sens, tu dois prendre soin de toi pour me satisfaire, et faire en sorte de rester en bonne santé et évidemment en vie ! Allez, va ! Je te recontacterai quand bon me semblera...

Je me sentais frustrée, j’étais tellement excitée ! J’aurai tellement aimé pouvoir jouir. Mais les Exigences du Maître étaient incontestables et devoir me contrôler pour Sa satisfaction m’apportait tant de bonheur que ma frustration était bien peu de chose à côté. Je partis donc à l’aéroport. J’étais franchement heureuse de revoir mes petits trésors. Je remerciais la personne de la compagnie aérienne qui les avait pris en charge pendant le vol et nous rentrâmes. On passa une joyeuse soirée de retrouvailles, puis je les mis au lit. J’attendis un petit quart d’heure pour m’assurer que mes filles se soient bien endormies avant de quitter sans bruit le couloir derrière leur porte. À peine eussé-je fermé l’autre porte celle fermant le couloir conduisant aux chambres, que j’entendis la sonnerie d’un message sur Skype :

« Redeviens immédiatement Ma chienne soumise, laisse ta porte d’entrée déverrouillée, « habille-toi » comme il se doit à la vue de ton rang et prosterne-toi devant l’entrée, cul face à la porte et attends. »

Mon cœur bondit à Ses mots ! J’espérais que ce soit l’annonce d’une soirée avec le Maître Vénéré. Et je m’empressais d’obéir. On ne tarda pas à ouvrir la porte. Au bruit que leurs talons firent sur le sol, je devinais que deux femmes venaient d’entrer. L’une d’elle qui devait être une Domina s’exprima clairement :

- Ma soumise Thyphaine est une excellente baby-sitter, tes filles ne craignent rien avec elle. Elle est connue de Monsieur le Marquis d’Evans, qui t’assure de leur sécurité. Maintenant tu me suis à quatre pattes.

Je ne connaissais aucune des deux femmes, mais sachant que cette rencontre était orchestrée ou du moins approuvée par le Maître, j’obéis en silence. Elle ne prit pas la peine de ramasser ma laisse, et ne fit que claquer des doigts en montrant son pied et elle avança. Pour ne pas me prendre les pieds dedans, je saisis ma laisse dans ma gueule et je la suivis. Je compris très vite que nous nous dirigions vers le petit pavillon qui se trouvait au fond du jardin. Une fois à l’intérieur et la porte refermée, elle exigea que je me tienne debout, jambes écartées, tête baissée, mains jointes dans le dos. Elle laissa tomber à même le sol le long manteau qui la recouvrait, laissant découvrir un corset en cuir noir avec des lacets rouges, un porte-jarretelles assorti et des bas-résilles noirs. Elle portait aux pieds des bottinés noires. Elle se munit d’une cravache et après m’en avoir appliqué quelques coups sur les seins, l’intérieur des cuisses et sur la chatte, elle me huma de haut en bas, précisant qu’elle était très stricte sur l’hygiène intime et corporelle. Elle vérifia mon haleine et mes dents également. Elle saisit mes tétons et joua avec les remuant de bas en haut, de gauche à droite, les étirant petit à petit, passant d’un petit tiraillement sans douleur mais réchauffant mon bas-ventre, à un étirement beaucoup plus intense de ces petits bouts de chairs si sensibles qui était devenues franchement douloureux et me tirait des larmes silencieuses.

Après ce traitement qui dura plusieurs minutes, où mes yeux ne furent pas les seuls à s'humidifier, elle relâcha la pression et me malaxa vigoureusement les seins en même temps qu'elle me léchait la figure, mais très vite elle laissa ma poitrine de ses mains pour me donner deux ou trois claques sur chaque joue. Pour se réattaquer à mes tétons qui pointaient en me les attrapant à tour de rôle en les mordillant et les étirant, me tirant de nouvelles larmes. Je serrai les dents pour ne pas laisser sortir le moindre gémissement. Voulant sûrement s'assurer que je supportais bien le début de son traitement, elle relâcha ses mâchoires et me passa la main entre mes cuisses, me caressant, me titillant le clitoris, et me doigtant. Voyant mon état d'excitation flagrant, elle reprit son travail de "mastication" sur mes tétons dressés comme des I, avant de m'ordonner de tirer la langue et de lui faire subir le même traitement. Elle s'éloigna quelques instants et revint avec un gode ceinture.

La Domina exigea que je crache un certain nombre de fois dessus, et que je masturbe cette queue factice comme si elle était faite de chair et de sang, et comme si je voulais lui faire cracher son jus. Pendant ce temps, sa cravache tombait à cadence régulière, rapide et douloureuse sur mon cul. Puis elle exigea que je m'agenouille et que je suce ce sexe de plastique. Mon cul étant trop bas ce fut mon dos et mes épaules qui reçurent alors les coups. Le gode-ceinture était beaucoup plus long que ma gorge n'était profonde, et quand ce fut elle qui donna la cadence en donnant des coups de reins, j'eus du mal à ne pas m'étouffer car elle cherchait à s'enfoncer autant que possible, voir même plus, et la gorge profonde qu'elle m'imposa fut extrêmement douloureuse. Et pourtant j'étais de plus en plus excitée, et en même temps que je faisais cette fellation imposée, je ne pouvais m'empêcher de bouger mon bassin en des mouvements très suggestifs au rythme qu'elle imposait. Elle exigea alors durant plusieurs minutes que je me masturbe en même temps, et au seul contact de mes doigts, je faillis jouir instantanément.

Lorsqu'elle jugea que cela avait assez duré, elle me releva en attrapant ma tignasse et exigea que je me mette face au mur, les jambes bien écartées, ainsi que les bras tendus vers le haut, bien cambrée afin de faire ressortir mon cul. Elle changea alors d'instrument et prit un fouet et effectua des moulinets avec son poignet et le fouet tombait sans discontinuer sur mon cul, entre mes cuisses et sur mon dos. Très vite ma peau me brûla sous la morsure des lanières qui semblaient ne jamais vouloir quitter mon corps. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, le fouet s'arrêta et la Domina me tourna la tête pour m'embrasser à pleine bouche. Elle exigea alors que je me retourne face à elle, mais au lieu d'avoir les bras écartés vers le haut, je dus les tenir écartés vers le bas. Elle commença par me claquer les seins et les joues de ses mains, par cycle régulier, quatre claques sur chacun des seins, deux sur chaque joue. Puis elle réarma son fouet, frappant de gauche à droite et de droite à gauche, les seins, le ventre, les jambes et entre elles, parfois quelques lanières atteignaient le visage. Elle allait de plus en plus vite, ne me laissant plus le temps de reprendre mon souffle. À nouveau elle s'arrêta, sûrement quand elle jugea que la teinte de rouge que mon corps avait pris la satisfaisait, puis recommença à m'embrasser goulument de sa langue investissant ma bouche, tout en malaxant mes seins si sensibles après cette fouettée...

Je ne savais si j'avais le droit à un peu de répit ou si c'était un peu de calme avant la tempête, mais elle me fit alors asseoir dans un fauteuil en osier, cuisses largement écartées, et elle s'agenouilla devant moi et commença à me lécher mon clitoris bien érigé et mes lèvres trempées d'excitation. Elle savait vraiment y faire, et finalement la douceur se transforma en torture, car elle m'annonça très vite avec un petit sourire sadique que je n'avais aucun droit à la jouissance. Elle s'acharna sur ce petit bouton gonflé de plaisir, le léchant, le suçant, le mordillant, me mettant à deux doigts de sombrer dans une folie de désirs inassouvis. Cela dura environ une vingtaine de minutes. Je pouvais m'en rendre compte grâce à l'horloge qui trônait dans un angle de la pièce. Elle exigea alors que je me relève et elle se mit à genoux sur la chaise, les bras appuyés sur le dossier, m'ordonnant de lui lécher sa rondelle. Je maintenais ces deux globes charnus écartés avec mes mains, laissais couler un peu de salive dessus et commençais à y passer ma langue, appuyant de plus en plus jusqu'à réussir à la faire pénétrer à l'entrée de sa caverne secrète. Je la fis alors aller et venir, l'enculant de mon petit appendice, et à en croire ses gémissements cela devait lui plaire ! Elle finit même par avoir un orgasme anal. C'était la première fois que je provoquais un tel effet avec ma langue dans un anus, et j'en ressentis une certaine fierté…

À nouveau nous échangeâmes nos places et je retournais prendre la même position que précédemment sur la chaise, sauf qu'au lieu d'avoir les pieds au sol, elle exigea que je place mes mains derrière les genoux, me maintenant ainsi les jambes en l'air et bien écartées et exhibant ainsi largement mes parties intimes. Elle se mit alors en position de squat face à moi et m'enfonça sans ménagement son gode ceinture au fond de ma chatte. Il avait séché depuis le moment où je l'avais eu en bouche, mais ma chatte était bien assez imbibée de cyprine pour qu'il puisse rentrer sans le moindre effort. Elle me baisa ainsi mais sans brutalité, en douceur, lentement et profondément durant de longues minutes quand elle se mit, tout d’un coup, à s’activer plus rapidement dans une cadence démesurée qui devenait de plus en plus inquisitrice, profonde, rapide. La Domina me besognait sans ménagement tout en m'embrassant ou me claquant les seins ou les joues, parfois même en me serrant douloureusement le cou sans toutefois rendre cela dangereux. Puis elle reprit la chaise, s'assit dessus et exigea que je m'empale par le cul sur son sexe factice. S'ensuivit une chevauchée qui la projetait toujours plus loin au fond de mes entrailles dans une saillie profondément torride. Encore une fois se mélangea plaisir, douleur et frustration, car alors que je montais et descendais sur elle, elle me triturait mon clito qui aurait pu exploser tellement il était gonflé. Lorsqu'elle s'arrêta j'étais épuisée ! Elle me poussa au sol, exigea que je reste prostrée comme j’étais tombée, sans bouger. Alors elle se mit en position accroupie sur mon corps et me pissa dessus, avant d’exiger que je ne nettoie le sol de ma langue.

- Bien, tu t’es bien comportée, la chienne ! Mon rapport à Monsieur le Marquis d’Evans sera favorable. Maintenant, tu me suis, nous retournons dans la maison.

Je la suivis à quatre pattes et comme à l’aller, je tenais ma laisse dans ma gueule. Quand nous entrâmes, Sa soumise était habillée, au cas où mes filles se seraient réveillées, mais elle était en position prosternée au centre de l’entrée, attendant que la Maîtresse qui m’avait soumise cette nuit ne revienne la chercher. Elles partirent, après que la Domina m’eut laissé la remercier en baisant et léchant ses bottines. A peine la porte se fut refermée sur elle que je reçus un nouveau message du Maître :

« Ce fut un beau spectacle, ma chienne ! Je me suis régalé, je vais en garder une magnifique vidéo. Maintenant va te coucher pour avoir dormi assez pour pouvoir t’occuper de tes filles demain. Mais avant tu trouveras une crème apaisante dans le placard de la salle de bain. J’exige que tu t’en passes sur tout le corps pour éviter d’avoir les marques du traitement que tu as subi ce soir. Tes enfants pourraient te poser des questions autrement. Bonne nuit Ma chienne, je suis fier de toi »

« je suis fier de toi » Rien ne me comblait plus que ces mots-là !… Je partis alors dans ma chambre, dont je fermais la porte à clé, et j’appliquais la crème que je trouvais à l’endroit indiqué. Immédiatement les brûlures dont je souffrais s’apaisèrent. J’allais me coucher dans ma panière après avoir accroché ma laisse à un anneau fixé dans le mur, heureuse d’avoir satisfait le Maître et d’avoir pu ne lâcher ni orgasme, ni cri, ni gémissement, mais j’avoue que mon bas-ventre restait encore en ébullition par manque de jouissance, trop excitée par cette nuitée avec cette perverse Domina…

(A suivre …)

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