La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°999) - histoire érotique

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°998) - Branlé en pleine nuit … –
Alain se sent exténué mais heureux, jamais il a été aussi heureux … Sa nouvelle vie commence ... … Il passe ainsi, dans cette cage suspendue, une partie de la nuit à l’étroit et dans une position peu confortable… Quand, au milieu de la nuit, à moitié endormi, il est subitement réveillé sans aucune agressivité et est amené à l’extérieur de la cage mais sans aucun brutalité avec, bien au contraire, une grande douceur, sur une simple couverture à même le sol où il est contraint d’y rester couché par de doux gestes rassurants, tendres, là au beau milieu du cachot humide. Complètement déployé sur tout son long, il est alors attaché, toujours par des gestes doucereux, par des sangles de cuir, immobilisé. Alain se laisse faire en silence, appréciant de savourer un peu de tendresse, de douceur même, quand il peut sentir de lentes caresses de ces mains expertes sur son visage tandis qu'un superbe corps nu chevauche sa poitrine et dégage une odeur de fraicheur savonnée. La verge d'Alain est alors tendue, son torse se tortille dans ses liens qui réduisent fortement ses mouvements, à la recherche de meilleurs contacts avec cette puissance qui se dégage du corps musclé, aux bonnes senteurs, sur sa poitrine.

Les mains baladeuses explorent toutes les courbes de son visage, lentement, tendrement et la sensualité qui s'en dégage amène le sexe d'Alain à une tension de plus en plus érectile et même douloureuse. Les mains exploratrices, aux paumes si agréables, s'écartent pour parcourir ses bras et ses mains, lentement, simultanément et Alain est perdu dans les sensations bienfaitrices et excitantes. La lenteur et l'intensité amène chaque nerf à la surface de la peau lisse du corps d'Alain. Il est mille fois caressé, excité par le désir de ce corps de plus en plus entreprenant quand il ressent de doux baisers dans le cou, sur ses épaules, sa nuque, ses joues, ses lèvres doucement embrassées et sa bouche fougueusement investie ... Une langue inquisitrice et tellement bonne au contact de sa propre langue, le fait chavirer de plaisir quand elles s’entremêlent, cette langue qui se mélange aux caresses lui procure une forte érection …
Tout en étant embrassé à pleine bouche, des doigts explorateurs se referment autour des siens et un sentiment d'amour intense rempli l'âme d'Alain comme il sent une vague de puissantes sensations jusque-là inconnues remplir son être. Le corps qui le domine glisse lentement sur son ventre tandis que les mains descendent vers les aisselles et amène une rapide crispation dans les muscles d'Alain par les doux chatouillements peu plaisants dans ces deux zones sensibles. Alain devient comme fou tandis que les doigts s'attardent pour tourmenter ces creux maintenant dénués de tout poil. Les vicieuses mains approchent délicatement de ses petits tétons dressés de mâle, érigés comme des clochers pour attirer les visiteurs. Les mouvements toujours d'une extrême lenteur, décrivent de grands cercles et terminent progressivement leurs chemins par de longues spirales langoureuses pour se retrouver finalement sur leurs cibles, les tétons.

Les doigts se referment, s'affermissent pour presser ces délicates petites pointes de chair rose. La pression s'affirme et envoie une extraordinaire vague de sensualité dominatrice jusqu'à la racine de sa tige qui palpite et cette pression provoque aussi des petits spasmes de plaisir sur toute son échine. La montée de pression devient douloureuse, mais si bonnement douloureuse. L'incroyable tourmenteur doit être son double comme il semble deviner, même anticiper chacune de ses pensées, chacune de ses sensations, chacun de ses ressentis. Jamais personne ne lui a donné autant de plaisir au toucher, peut-être même pas lui-même. Sans même qu'ils s'en rendent compte, ce puissant corps est maintenant assis sur ses cuisses. Les bouches se sont séparées… La pression exercée amène une assurance, une sécurité, un sentiment de prise en charge affective...

Alors, les deux mains expertes descendent le long de ses flancs, toujours dans une extrême douceur et Alain se crispe de nouveau par la sensibilité extrême de sa chair, mais il se relaxe aussitôt comme le chatouillement propage des vagues d'un plaisir intense. Lorsque les doigts arrivent sur son ventre, Alain perçoit une sensation inconnue sur cet espace maintenant dégagé de tous poils, de tout obstacle au doux contact sensuel. Dans un vain effort, Alain tente de soulever son bassin pour inviter ces chaleureuses mains à venir explorer sa nouille si dure, si tendue de désirs et donc qui implore tant d'attentions. Mais les caresses contournent le vigoureux mat pour se concentrer sur les hanches. Alain découvre une sensualité dans ces zones dont il n'était pas conscient. Alain réalise combien son corps complètement glabre est réceptif au moindre toucher, prêt à accueillir un ravissement jusqu'ici inconnu. Alain se sent maintenant incroyablement calme, apaisé, aimé, complètement concentré sur tous les divins points de contact. Dans un lent mouvement uniforme, le corps qui le domine amène ses mains investigatrices le long de ses cuisses. Elles descendent très lentement vers l'extérieur, s'attardant pour caresser chaque pore offert, puis remontent délicatement le long de la peau extrêmement sensible de l'intérieur des cuisses. Alain se surprend, plus aucun muscle ne se crispe, il ne perçoit qu'un plaisir extraordinaire. Alors que les deux mains s'attardent, le chatouillement se révèle être d'une sensualité incroyable et Alain entre dans une sorte de délire magnifique. Cette triple synchronisation perdure sur ses genoux…
Les mains s'attardent légèrement tandis que la pression sur ses jambes disparaît, laissant un vide immense. Cette présence humaine a disparu de son corps. Les deux mains reprennent leur ballet, caressant chaque mollet, révélant chaque millimètre de peau totalement et magnifiquement épilé. Les pieds, habituellement sources de conflits par leurs sensibilités extrêmes, accueillent les douces mains expertes avec bonheur tandis qu'elles explorent chaque parcelle, sillonnant chacun des orteils dans toutes leurs longueurs pour finalement disparaître dans le vide et laisser Alain seul avec lui-même et l'intense plaisir qui habite maintenant son corps volontairement offert…
Puis de nouveau un contact tactile mais cette fois c’est un surprenant contact digital qui intervient, brusque celui-là, sur sa hampe rigide et qui amène Alain à relever subitement la tête. La vue insolite lui fait écarquiller les yeux, bouche bée. Deux mains fantomatiques, rouge feu, entament une longue masturbation du pieu de chair, une vive caresse du sac crispé de ses pleines couilles. Le bienfait sexuel est inespéré mais la sensation n'est plus tendresse et bonheur. En effet ce violent feu semble bien réel et il se propage dans l’aine. De la douceur extrême des caresses, ces mains sont passées à une violente rapidité trop excessive dans le geste masturbatoire. Au début supportable, ce geste devient intense, mécaniquement trop puissant, puis atroce.

Son sexe tellement secoué lui-même semble être en proie aux flammes, autant sa tige que ses couilles comme si cette main, qu’on aurait cru en feu, le brûlait sur tous ses génitaux. Le geste bouillant d’une fulgurante rapidité produit une branlette qui lui brûle la peau de sa hampe... Alain lutte dans ses liens, mais en vain. Il crie, se débat, mais ainsi ligoté, il ne peut échapper à ces brûlures atroces, alors il hurle sa souffrance après le puissant être qui lui avait procuré tant de délices... Serait-ce le diable en personne et ses flammes de l’enfer ? Alain est abandonné à son sort, seule face à sa détresse... Il a très mal, sa bite ne va tarder de brûler sous ses propres yeux quand il sent une extraordinaire montée de plaisirs, une improbable jouissance qui le fait exploser dans un déluge de chaudes sensations et au moment où il n’en peut plus, où il va gicler son foutre dans de si douloureuses souffrances mélangeant brûlures et plaisirs jouissifs … les bouillantes mains disparaissent … plus rien …
Alain se réveille…. Il lui faut quelques secondes pour réaliser qu’il vient de rêver ! Etrange rêve ! D’abord un savoureux songe empli de caresses qui se transforme en un effrayant cauchemar … Dans ce monde maintenant réel où il est désormais bien réveillé, sa verge semble vraiment en feu. Alain s'agite dans sa cage, par de brusques mouvements, il écarte sa couverture, ce qui ne change rien. Il se contorsionne et arrive péniblement à un changement de position dans sa petite cage. Ses yeux rivés entre ses jambes, Alain est stupéfait. Son aine entière est couverte d'une crème verte. Péniblement, à cause de l'exiguïté de sa cage, Alain tente un violent massage de son sexe pour le nettoyer de cette infâme crème qui doit être la source de l'atroce chaleur. Mais rien n'y fait, il semble même que cette action attise encore plus cette insupportable effervescence. Alain se résigne et retire ses mains. Effectivement, il sent les paumes de ses deux mains chauffer légèrement, picoter...

(A suivre …)