La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (1ère partie)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (1ère partie)
Afin de marquer le 300 ème épisode de La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans, voici une histoire de Domination/soumission en 5 parties)
L’anniversaire du Marquis d’Evans (1 ère partie) -
Le Marquis Edouard d’Evans rentre enfin dans son domaine après une semaine de travail assez prenante et harassante. IL n’a pas pu se libérer plus tôt et IL le regrette vraiment car IL sait que ce soir au Château ancestral, IL doit retrouver pour une petite fête D/s un certain nombre de ses fidèles amis de longue date pour fêter son anniversaire en petit comité restreint (enfin le pense-t-IL ainsi à cet instant-là, car n’ayant pu se charger de quoique ce soit, IL a laissé carte blanche à son fidèle Majordome Walter, pour se charger de la réception en ses lieux et place).
Tandis qu’IL conduit lui-même sa très belle Ferrari rouge, car IL n’a pas voulu faire appel au Majordome pour lui servir de chauffeur avec la Rolls-Royce restée au garage du Château, IL repense surtout sur la route de retour à sa journée de travail, où, assisté de ses conseillers habituels, IL a participé à une réunion presque ininterrompue depuis 10 heures le matin, jusque vers 18 heures, avec différents responsables locaux, élus et institutionnels, pour la mise en œuvre d’un nouveau projet d’agrandissement d’un ancien bâtiment administratif désaffecté qu’IL souhaite démolir en grande partie vu sa vétusté pour transformer le site en musée peu commun consacré à la Domination/soumission. Les discussions s’étaient poursuivies même pendant le repas frugal qui fut servi à chaque personne, tant les négociations furent ardues d’une part autour du thème D/s qui reste assez tabou pour s’afficher aussi ouvertement par le biais d’un musée ouvert au grand public mais exclusivement pour adultes et d’autre part vu les sommes en jeu colossales pour cette réalisation dont le Marquis Edouard d’Evans entend garder une main mise totale sur la réalisation du projet, vu qu’IL en est le principal apporteur de fonds à l’exception du terrain. Le Châtelain tout d’un coup pense qu’IL doit faire le vide dans son esprit et se rappeler qu’IL est attendu au Château pour une soirée bien plus personnelle et IL espère que cela le distraira un peu de ses occupations actuelles trop prenantes à son goût. IL profite d’une halte sur l’autoroute pour passer un coup de fil à son domestique.
- Bonjour, Walter. Je ne vous ai pas été d’une grande aide pour l’organisation de mon anniversaire. J’ai été très pris toute la semaine et aujourd’hui en particulier. J’espère que tout est prêt pour la petite réception de mes amis et que notre bonne Marie nous a cuisiné de savoureux petits plats comme elle sait si bien le faire. Vous savez à quel point, je tiens toujours à recevoir mes invités en les honorant.
- Bonjour, Monsieur le Marquis. Ne Vous tourmentez pas, je me suis occupé de tout. Tout est prêt pour recevoir Vos invités et pour fêter Votre anniversaire comme il se doit.
- Parfait, Je savais que je pouvais compter sur Vous, Walter, comme d’habitude. Je vais reprendre la route et je devrais être au Château dans une petite demi-heure maintenant. Penser à me faire préparer un bain pour que je puisse me délasser avant de m’habiller pour la soirée.
- J’y avais déjà pensé, Monsieur le Marquis, et je Vous ai déjà sorti Votre tenue, car Vous n’aurez pas beaucoup de temps, puisque les invités devraient arriver vers 20h et je sais combien Vous tenez à être là sur le perron pour les accueillir chacun personnellement. Votre dernière petite recrue Thaïs sera là pour Vous aider. Pour ma part, je suis très pris avec Marie pour l’organisation de la fête, je prendrai juste le temps de venir Vous saluer comme d’habitude, mais je m’éclipserai rapidement pour retourner aux préparatifs de dernière minute, si Vous voulez bien m’en excuser par avance.
- Oui, mon cher Walter, je comprends tout à fait. A tout à l’heure donc.
Le Marquis Edouard d’Evans, ayant complètement oublié ses affaires en quelques secondes, s’installe à nouveau à son volant, pensant exclusivement à sa soirée. IL aime en général avoir la maitrise de tout ce qu’IL organise, mais là, IL avoue que n’ayant pas pu être au Château depuis plusieurs jours, absorbé par son travail dans son Entreprise, IL a dû s’en remettre aux bons soins de Marie, la cuisinière, et de Walter, le Majordome. IL s’interroge donc pour savoir ce qu’ils ont concoctés de concert tous les deux, mais IL sait que depuis de nombreuses années qu’ils sont à son service, il peut entièrement leur faire confiance, d’autant plus qu’ils connaissent très bien tous les deux ses goûts et ses habitudes. IL espère que tous les esclaves du cheptel sauront lui faire honneur devant ses Invités, car IL n’apprécierait pas du tout de se sentir déçu par un seul d’entre eux devant des tiers, fussent-ils amis. IL tient à ce que ses esclaves puissent savoir faire la démonstration du dressage qu’ils ont reçus en passant entre les mains du Maître… L’étincelante Ferrari rouge s’arrête devant les grilles du Château, tandis que les portes s’ouvrent immédiatement. L’agent de surveillance n’a pas mis longtemps à reconnaître l’une des voitures du Marquis, qui immédiatement s’engouffre dans l’allée, content de retrouver après plusieurs jours sa Noble Demeure et tous ceux qui y résident, à plein temps le plus souvent, qu’ils soient membres du personnel attaché à son service ou simples esclaves du cheptel.
Arrivé au bout de l’allée gravillonnée, IL arrête le moteur et voit immédiatement Thaïs en personne qui s’approche de la voiture pour lui ouvrir la porte. La nuit n’est pas encore tombée et la pénombre n’est pas assez grande pour lui masquer les formes du château qui est à peine éclairé. IL est étonné de cet accueil plutôt vide, car IL n’aperçoit personne dans les environs, hormis sa petite chienne Thaïs nue et qui s’est agenouillée au pied de la porte ouverte de la somptueuse voiture de luxe, baissant la tête et tenant la dragonne d’une laisse accrochée à son collier entre ses mains tendues en direction de son Maître, pour qu’IL puisse la prendre en mains s’IL le désire. A cet instant, Walter descend les marches deux à deux à toute allure, pour s’approcher de son patron, le Marquis d’Evans, et pour l’accompagner vers la porte d’entrée du Château tout en commençant à échanger. Thaïs a vu Walter lui faire signe de se lever et de les suivre sans rien dire.
- Bonjour, Monsieur le Marquis, Vous avez mis moins de temps pour venir jusqu’ici que la demi-heure annoncée. J’étais très occupé dans la salle de réception à fignoler les derniers préparatifs quand l’agent de surveillance m’a prévenu de Votre arrivée, j’espère que Vous comprenez. Thaïs va Vous conduire jusqu’à Votre chambre. Si Vous me le permettez, je souhaite me retirer sans tarder, il y a encore tant de choses à faire pour ce soir avant l’arrivée de Vos invités.
- Mon cher Walter, je veux bien ne pas vous retenir plus longtemps, mais je suis un peu mécontent de cet accueil qui est loin d’être chaleureux. Où sont tous mes esclaves qui d’habitude sont tous là sur les marches du perron attendant mon retour avec impatience, restant à genoux pendant des heures s’il le faut ? N’y a-t-il donc que cette petite chienne qui aurait « daigné » venir jusqu’à moi ou est-ce encore une de vos idées, sachant que pour l’instant, je ne la savoure guère... Bon ?, nous en reparlerons plus tard, je dois aller me laver et m’habiller pour l’heure et vous laisser terminer vos préparatifs puisqu’il en est ainsi. Je suis assez inquiet pour ce soir, c’était quand même une soirée anniversaire, tout le monde aurait pu faire un petit effort pour mon retour et pour cette occasion….. J’ai été habitué à bien mieux !!! (ajoute t-IL d’une voix posée très sèche)
- Ne Vous inquiétez pas, Monsieur le Marquis, Vous serez satisfait de Votre soirée anniversaire, j’en suis persuadé. Vous pouvez monter dans Votre chambre tranquillement. Faites-moi confiance, s’il Vous plait.
A peine passé la porte d’entrée du Château, Walter incline légèrement la tête pour pouvoir se retirer, ayant juste avant mis la laisse de Thaïs dans la main du Maître, qu’il a accompagné jusqu’au bas des marches du grand escalier de pierre qui conduit jusqu’au premier étage, là où se trouve la somptueuse chambre du Marquis d’Evans actuel, qui était en réalité à l’Origine la chambre royale du château, celle que Ses Ancêtres avaient conservé sans l’utiliser, la réservant au Monarque en personne dans l’éventualité d’une visite impromptue ou annoncée, et ce comme il en était d’usage dans tous les domaines qui se voulaient digne de ce nom et lieu d’accueil potentiel du Roi… Le Marquis d’Evans monte les marches rapidement, assez courroucé, en se disant qu’IL n’aurait jamais dû vouloir organiser une fête d’anniversaire dans ces conditions, qu’IL aurait dû en différer la date sachant qu’IL ne pouvait être sur place pour surveiller les préparatifs à sa convenance. IL a l’habitude de faire livrer de nombreux bouquets de fleurs qui agrémentent le hall d’entrée et là, IL se rend compte que l’espace qu’IL vient de traverser est simplement comme dans son état habituel, rien n’annonce la réception. De plus en plus irrité, IL se dit que forcément Ses Invités vont tous être déçus de leur soirée, organisée à la va-vite et en son absence, et cela le chagrine profondément, car IL est passé Maître aussi dans l’Art de recevoir, organisant diners et réceptions de plus en plus somptueuses au Château. Le Marquis d’Evans sait qu’il est trop tard maintenant pour se tourmenter plus que nécessaire et qu’IL organisera une autre fête rapidement si nécessaire pour rattraper le coup, mais IL a dû mal à trouver le calme cependant et c’est donc d’une voix plus que directive en entrant dans sa chambre, qu’IL se tourne vers sa soumise Thaïs qui l’a suivi sans rien dire.
- Fais-moi vite couler un bain et viens m’aider à me déshabiller car je suis pressé. Je veux quand même aller au plus vite vérifier ce qu’il en est en bas ! Je ne suis pas content du tout ! (puis adoucissant sa voix, IL ajoute)… Oui, j’ai oublié... tu n’y es pour rien après tout, et je ne vais pas passer ma colère sur toi… Alors, Bonjour, ma belle chienne, heureusement que toi au moins, tu es venue m’accueillir à mon arrivée.
- Bonjour, mon Maître Vénéré. Votre bain vient juste d’être tiré et j’y ai ajouté des huiles essentielles tonifiantes pour que Vous soyez en forme pour la soirée qui s’annonce. Je suis à Votre entière disposition pour Vous aider à Vous laver, Vous préparer et à Vous délasser aussi. Je suis sûre qu’un bon massage du dos Vous ferait du bien pour Vous faire oublier les tracasseries de toutes sortes, car Vous avez l’air épuisé par Votre voyage et Votre semaine de travail. Ce sera comme Vous le désirerez et l’exigerez, Maître…
Le Marquis se délasse quelques longues minutes allongé dans le bain, demandant à Thaïs de rentrer dans l’eau pour le savonner de partout. Mais par peur de manquer de temps, IL sort de l’eau sa queue déjà dressée par les quelques caresses savonneuses de sa soumise à mains nues, en ajoutant.
- Je prendrai le temps tout à l’heure dès que possible de vider mes couilles, pendant ou après le repas. Elles sont largement pleines, je penserai à toi et à ta dévotion totale qui se lit dans tes yeux et que je trouve presque jouissive de te savoir ainsi à Mes pieds et à Mes ordres. Mais pour l’instant, je dois m’habiller et descendre sans tarder...
Thaïs aurait bien aimé sucer la Divine Queue de son Maître, profitant de cet instant à deux, sachant très bien que le reste de la soirée, IL sera forcément plus occupé et pas nécessairement avec elle un seul instant. Mais les ordres de son Maître ne se discutent pas et elle est là pour le servir et pour Son bon plaisir de Maître, pas pour assouvir ses propres désirs et ses envies de jouir ou de faire jouir. Bien que toute trempée et dégoulinante de s’être mise à son tour dans l’eau du bain, elle commence par prendre une serviette éponge pour sécher son Maître avec délicatesse, sur tout le corps, ce qui a pour effet une fois de plus de faire gonfler la noble Verge, de la faire durcir et bander. Mais son Maître sait maitriser ses envies en fonction de Ses désirs et une fois de plus, IL écarte Thaïs qui est à genoux, en train de sécher avec infiniment de tendresse les parties intimes de son Maître, passant dans les plis des couilles, de l’entrejambe, avec la serviette, mais tout autour de la hampe et du gland avec sa langue, tandis que de la serviette, elle termine de lui essuyer les jambes, les chevilles, les pieds passant entre chaque orteil.
- Ca suffit, Je n’ai pas le temps, je t’ai déjà dit ! Sèche-toi à ton tour vite fait avec Ma serviette, car je ne veux pas que tu trempes le beau parquet de chêne de Ma chambre ou les tapis persans anciens que Mes Ancêtres ont rapportés d’Orient.
La soumise se recule sans attendre, prend la serviette humide pour sécher son corps la posant avec ferveur sur son corps, comme s’il s’agissait d’un linge précieux qui a eu l’honneur de toucher son Maître. Le Marquis profite de ce temps pour se laver le visage et les dents, puis reprendre son rasage qui en fin de journée laisse à désirer. IL enfile le costume préparé par son majordome, un peu étonné du choix de ce dernier pour la circonstance, mais IL pense qu’IL n’a pas le temps de faire le difficile et que ceci n’est qu’un détail par rapport à sa vraie inquiétude sur le déroulement de la réception. Walter a choisi un costume-veston bleu navy (légèrement moins foncé que du bleu marine) trois pièces dont les bords du veston sont doublés de soie, dans le ton du tissu mais faisant plus clair de part la nature du tissu soyeux qui renvoie la lumière. En dessous, le gilet est de ton bleu roy, très en contraste et le tout est accompagné d’une chemise qui est d’un bleu tellement clair que de loin on pourrait croire qu’elle est blanche. Le pantalon est bordé de chaque côté d’une bande de soie identique au revers de la veste, qui donne un côté très sophistiqué à ce smoking. Les chaussures en cuir et la ceinture assortie sont dans le même ton que le complet. Et dans le même tissu que le gilet et que la pochette qui est déjà glissée dans la poche gauche veston, elle-même brodée aux Armoiries de la famille Evans, une cravate attend sur le lit. Le Marquis commande à Thaïs de la lui ajuster parfaitement, et ceci d’autant plus qu’IL affectionne de voir quelqu’un en train de lui faire son nœud de cravate.
Le Marquis repasse par la salle de bains pour vérifier une dernière fois sa coiffure, reprendre une mèche au passage, vérifiant aussi dans le miroir le tombé de son costume dans ses plis et son allure de Noble Châtelain, digne et se tenant toujours le dos droit et la tête haute, développant ainsi tout son charisme naturel. IL s’apprête à sortir pour rejoindre au plus vite la salle de réception, quand IL regarde l’heure à la pendule ancienne en bronze de la chambre qui annonce déjà 19h45. IL attrape la laisse de Thaïs et tirant dessus d’un coup sec, alors qu’elle essaye de ranger les habits sales que le Noble a quittés juste précédemment, IL annonce d’une voix rapide qui ne laisse pas la place à la moindre seconde d’hésitation.
- Viens par ici, toi. Si tu crois que j’ai le temps d’attendre que tu fasses le ménage et le rangement. Et tâche de ne pas me retarder, Mes Invités vont arriver dans un quart d’heure et je ne sais toujours pas ce qui a été préparé pour les recevoir. J’aurai dû choisir d’annuler cette fête ce soir et de décider de souffler mes bougies un autre jour… Et donc comme apparemment rien d’extraordinaire n’est prévu, tu auras toujours le privilège de me sucer sous la table et d’avaler ma semence, puis de me nettoyer ma noble queue…
(A suivre…)
L’anniversaire du Marquis d’Evans (1 ère partie) -
Le Marquis Edouard d’Evans rentre enfin dans son domaine après une semaine de travail assez prenante et harassante. IL n’a pas pu se libérer plus tôt et IL le regrette vraiment car IL sait que ce soir au Château ancestral, IL doit retrouver pour une petite fête D/s un certain nombre de ses fidèles amis de longue date pour fêter son anniversaire en petit comité restreint (enfin le pense-t-IL ainsi à cet instant-là, car n’ayant pu se charger de quoique ce soit, IL a laissé carte blanche à son fidèle Majordome Walter, pour se charger de la réception en ses lieux et place).
Tandis qu’IL conduit lui-même sa très belle Ferrari rouge, car IL n’a pas voulu faire appel au Majordome pour lui servir de chauffeur avec la Rolls-Royce restée au garage du Château, IL repense surtout sur la route de retour à sa journée de travail, où, assisté de ses conseillers habituels, IL a participé à une réunion presque ininterrompue depuis 10 heures le matin, jusque vers 18 heures, avec différents responsables locaux, élus et institutionnels, pour la mise en œuvre d’un nouveau projet d’agrandissement d’un ancien bâtiment administratif désaffecté qu’IL souhaite démolir en grande partie vu sa vétusté pour transformer le site en musée peu commun consacré à la Domination/soumission. Les discussions s’étaient poursuivies même pendant le repas frugal qui fut servi à chaque personne, tant les négociations furent ardues d’une part autour du thème D/s qui reste assez tabou pour s’afficher aussi ouvertement par le biais d’un musée ouvert au grand public mais exclusivement pour adultes et d’autre part vu les sommes en jeu colossales pour cette réalisation dont le Marquis Edouard d’Evans entend garder une main mise totale sur la réalisation du projet, vu qu’IL en est le principal apporteur de fonds à l’exception du terrain. Le Châtelain tout d’un coup pense qu’IL doit faire le vide dans son esprit et se rappeler qu’IL est attendu au Château pour une soirée bien plus personnelle et IL espère que cela le distraira un peu de ses occupations actuelles trop prenantes à son goût. IL profite d’une halte sur l’autoroute pour passer un coup de fil à son domestique.
- Bonjour, Walter. Je ne vous ai pas été d’une grande aide pour l’organisation de mon anniversaire. J’ai été très pris toute la semaine et aujourd’hui en particulier. J’espère que tout est prêt pour la petite réception de mes amis et que notre bonne Marie nous a cuisiné de savoureux petits plats comme elle sait si bien le faire. Vous savez à quel point, je tiens toujours à recevoir mes invités en les honorant.
- Bonjour, Monsieur le Marquis. Ne Vous tourmentez pas, je me suis occupé de tout. Tout est prêt pour recevoir Vos invités et pour fêter Votre anniversaire comme il se doit.
- Parfait, Je savais que je pouvais compter sur Vous, Walter, comme d’habitude. Je vais reprendre la route et je devrais être au Château dans une petite demi-heure maintenant. Penser à me faire préparer un bain pour que je puisse me délasser avant de m’habiller pour la soirée.
- J’y avais déjà pensé, Monsieur le Marquis, et je Vous ai déjà sorti Votre tenue, car Vous n’aurez pas beaucoup de temps, puisque les invités devraient arriver vers 20h et je sais combien Vous tenez à être là sur le perron pour les accueillir chacun personnellement. Votre dernière petite recrue Thaïs sera là pour Vous aider. Pour ma part, je suis très pris avec Marie pour l’organisation de la fête, je prendrai juste le temps de venir Vous saluer comme d’habitude, mais je m’éclipserai rapidement pour retourner aux préparatifs de dernière minute, si Vous voulez bien m’en excuser par avance.
- Oui, mon cher Walter, je comprends tout à fait. A tout à l’heure donc.
Le Marquis Edouard d’Evans, ayant complètement oublié ses affaires en quelques secondes, s’installe à nouveau à son volant, pensant exclusivement à sa soirée. IL aime en général avoir la maitrise de tout ce qu’IL organise, mais là, IL avoue que n’ayant pas pu être au Château depuis plusieurs jours, absorbé par son travail dans son Entreprise, IL a dû s’en remettre aux bons soins de Marie, la cuisinière, et de Walter, le Majordome. IL s’interroge donc pour savoir ce qu’ils ont concoctés de concert tous les deux, mais IL sait que depuis de nombreuses années qu’ils sont à son service, il peut entièrement leur faire confiance, d’autant plus qu’ils connaissent très bien tous les deux ses goûts et ses habitudes. IL espère que tous les esclaves du cheptel sauront lui faire honneur devant ses Invités, car IL n’apprécierait pas du tout de se sentir déçu par un seul d’entre eux devant des tiers, fussent-ils amis. IL tient à ce que ses esclaves puissent savoir faire la démonstration du dressage qu’ils ont reçus en passant entre les mains du Maître… L’étincelante Ferrari rouge s’arrête devant les grilles du Château, tandis que les portes s’ouvrent immédiatement. L’agent de surveillance n’a pas mis longtemps à reconnaître l’une des voitures du Marquis, qui immédiatement s’engouffre dans l’allée, content de retrouver après plusieurs jours sa Noble Demeure et tous ceux qui y résident, à plein temps le plus souvent, qu’ils soient membres du personnel attaché à son service ou simples esclaves du cheptel.
Arrivé au bout de l’allée gravillonnée, IL arrête le moteur et voit immédiatement Thaïs en personne qui s’approche de la voiture pour lui ouvrir la porte. La nuit n’est pas encore tombée et la pénombre n’est pas assez grande pour lui masquer les formes du château qui est à peine éclairé. IL est étonné de cet accueil plutôt vide, car IL n’aperçoit personne dans les environs, hormis sa petite chienne Thaïs nue et qui s’est agenouillée au pied de la porte ouverte de la somptueuse voiture de luxe, baissant la tête et tenant la dragonne d’une laisse accrochée à son collier entre ses mains tendues en direction de son Maître, pour qu’IL puisse la prendre en mains s’IL le désire. A cet instant, Walter descend les marches deux à deux à toute allure, pour s’approcher de son patron, le Marquis d’Evans, et pour l’accompagner vers la porte d’entrée du Château tout en commençant à échanger. Thaïs a vu Walter lui faire signe de se lever et de les suivre sans rien dire.
- Bonjour, Monsieur le Marquis, Vous avez mis moins de temps pour venir jusqu’ici que la demi-heure annoncée. J’étais très occupé dans la salle de réception à fignoler les derniers préparatifs quand l’agent de surveillance m’a prévenu de Votre arrivée, j’espère que Vous comprenez. Thaïs va Vous conduire jusqu’à Votre chambre. Si Vous me le permettez, je souhaite me retirer sans tarder, il y a encore tant de choses à faire pour ce soir avant l’arrivée de Vos invités.
- Mon cher Walter, je veux bien ne pas vous retenir plus longtemps, mais je suis un peu mécontent de cet accueil qui est loin d’être chaleureux. Où sont tous mes esclaves qui d’habitude sont tous là sur les marches du perron attendant mon retour avec impatience, restant à genoux pendant des heures s’il le faut ? N’y a-t-il donc que cette petite chienne qui aurait « daigné » venir jusqu’à moi ou est-ce encore une de vos idées, sachant que pour l’instant, je ne la savoure guère... Bon ?, nous en reparlerons plus tard, je dois aller me laver et m’habiller pour l’heure et vous laisser terminer vos préparatifs puisqu’il en est ainsi. Je suis assez inquiet pour ce soir, c’était quand même une soirée anniversaire, tout le monde aurait pu faire un petit effort pour mon retour et pour cette occasion….. J’ai été habitué à bien mieux !!! (ajoute t-IL d’une voix posée très sèche)
- Ne Vous inquiétez pas, Monsieur le Marquis, Vous serez satisfait de Votre soirée anniversaire, j’en suis persuadé. Vous pouvez monter dans Votre chambre tranquillement. Faites-moi confiance, s’il Vous plait.
A peine passé la porte d’entrée du Château, Walter incline légèrement la tête pour pouvoir se retirer, ayant juste avant mis la laisse de Thaïs dans la main du Maître, qu’il a accompagné jusqu’au bas des marches du grand escalier de pierre qui conduit jusqu’au premier étage, là où se trouve la somptueuse chambre du Marquis d’Evans actuel, qui était en réalité à l’Origine la chambre royale du château, celle que Ses Ancêtres avaient conservé sans l’utiliser, la réservant au Monarque en personne dans l’éventualité d’une visite impromptue ou annoncée, et ce comme il en était d’usage dans tous les domaines qui se voulaient digne de ce nom et lieu d’accueil potentiel du Roi… Le Marquis d’Evans monte les marches rapidement, assez courroucé, en se disant qu’IL n’aurait jamais dû vouloir organiser une fête d’anniversaire dans ces conditions, qu’IL aurait dû en différer la date sachant qu’IL ne pouvait être sur place pour surveiller les préparatifs à sa convenance. IL a l’habitude de faire livrer de nombreux bouquets de fleurs qui agrémentent le hall d’entrée et là, IL se rend compte que l’espace qu’IL vient de traverser est simplement comme dans son état habituel, rien n’annonce la réception. De plus en plus irrité, IL se dit que forcément Ses Invités vont tous être déçus de leur soirée, organisée à la va-vite et en son absence, et cela le chagrine profondément, car IL est passé Maître aussi dans l’Art de recevoir, organisant diners et réceptions de plus en plus somptueuses au Château. Le Marquis d’Evans sait qu’il est trop tard maintenant pour se tourmenter plus que nécessaire et qu’IL organisera une autre fête rapidement si nécessaire pour rattraper le coup, mais IL a dû mal à trouver le calme cependant et c’est donc d’une voix plus que directive en entrant dans sa chambre, qu’IL se tourne vers sa soumise Thaïs qui l’a suivi sans rien dire.
- Fais-moi vite couler un bain et viens m’aider à me déshabiller car je suis pressé. Je veux quand même aller au plus vite vérifier ce qu’il en est en bas ! Je ne suis pas content du tout ! (puis adoucissant sa voix, IL ajoute)… Oui, j’ai oublié... tu n’y es pour rien après tout, et je ne vais pas passer ma colère sur toi… Alors, Bonjour, ma belle chienne, heureusement que toi au moins, tu es venue m’accueillir à mon arrivée.
- Bonjour, mon Maître Vénéré. Votre bain vient juste d’être tiré et j’y ai ajouté des huiles essentielles tonifiantes pour que Vous soyez en forme pour la soirée qui s’annonce. Je suis à Votre entière disposition pour Vous aider à Vous laver, Vous préparer et à Vous délasser aussi. Je suis sûre qu’un bon massage du dos Vous ferait du bien pour Vous faire oublier les tracasseries de toutes sortes, car Vous avez l’air épuisé par Votre voyage et Votre semaine de travail. Ce sera comme Vous le désirerez et l’exigerez, Maître…
Le Marquis se délasse quelques longues minutes allongé dans le bain, demandant à Thaïs de rentrer dans l’eau pour le savonner de partout. Mais par peur de manquer de temps, IL sort de l’eau sa queue déjà dressée par les quelques caresses savonneuses de sa soumise à mains nues, en ajoutant.
- Je prendrai le temps tout à l’heure dès que possible de vider mes couilles, pendant ou après le repas. Elles sont largement pleines, je penserai à toi et à ta dévotion totale qui se lit dans tes yeux et que je trouve presque jouissive de te savoir ainsi à Mes pieds et à Mes ordres. Mais pour l’instant, je dois m’habiller et descendre sans tarder...
Thaïs aurait bien aimé sucer la Divine Queue de son Maître, profitant de cet instant à deux, sachant très bien que le reste de la soirée, IL sera forcément plus occupé et pas nécessairement avec elle un seul instant. Mais les ordres de son Maître ne se discutent pas et elle est là pour le servir et pour Son bon plaisir de Maître, pas pour assouvir ses propres désirs et ses envies de jouir ou de faire jouir. Bien que toute trempée et dégoulinante de s’être mise à son tour dans l’eau du bain, elle commence par prendre une serviette éponge pour sécher son Maître avec délicatesse, sur tout le corps, ce qui a pour effet une fois de plus de faire gonfler la noble Verge, de la faire durcir et bander. Mais son Maître sait maitriser ses envies en fonction de Ses désirs et une fois de plus, IL écarte Thaïs qui est à genoux, en train de sécher avec infiniment de tendresse les parties intimes de son Maître, passant dans les plis des couilles, de l’entrejambe, avec la serviette, mais tout autour de la hampe et du gland avec sa langue, tandis que de la serviette, elle termine de lui essuyer les jambes, les chevilles, les pieds passant entre chaque orteil.
- Ca suffit, Je n’ai pas le temps, je t’ai déjà dit ! Sèche-toi à ton tour vite fait avec Ma serviette, car je ne veux pas que tu trempes le beau parquet de chêne de Ma chambre ou les tapis persans anciens que Mes Ancêtres ont rapportés d’Orient.
La soumise se recule sans attendre, prend la serviette humide pour sécher son corps la posant avec ferveur sur son corps, comme s’il s’agissait d’un linge précieux qui a eu l’honneur de toucher son Maître. Le Marquis profite de ce temps pour se laver le visage et les dents, puis reprendre son rasage qui en fin de journée laisse à désirer. IL enfile le costume préparé par son majordome, un peu étonné du choix de ce dernier pour la circonstance, mais IL pense qu’IL n’a pas le temps de faire le difficile et que ceci n’est qu’un détail par rapport à sa vraie inquiétude sur le déroulement de la réception. Walter a choisi un costume-veston bleu navy (légèrement moins foncé que du bleu marine) trois pièces dont les bords du veston sont doublés de soie, dans le ton du tissu mais faisant plus clair de part la nature du tissu soyeux qui renvoie la lumière. En dessous, le gilet est de ton bleu roy, très en contraste et le tout est accompagné d’une chemise qui est d’un bleu tellement clair que de loin on pourrait croire qu’elle est blanche. Le pantalon est bordé de chaque côté d’une bande de soie identique au revers de la veste, qui donne un côté très sophistiqué à ce smoking. Les chaussures en cuir et la ceinture assortie sont dans le même ton que le complet. Et dans le même tissu que le gilet et que la pochette qui est déjà glissée dans la poche gauche veston, elle-même brodée aux Armoiries de la famille Evans, une cravate attend sur le lit. Le Marquis commande à Thaïs de la lui ajuster parfaitement, et ceci d’autant plus qu’IL affectionne de voir quelqu’un en train de lui faire son nœud de cravate.
Le Marquis repasse par la salle de bains pour vérifier une dernière fois sa coiffure, reprendre une mèche au passage, vérifiant aussi dans le miroir le tombé de son costume dans ses plis et son allure de Noble Châtelain, digne et se tenant toujours le dos droit et la tête haute, développant ainsi tout son charisme naturel. IL s’apprête à sortir pour rejoindre au plus vite la salle de réception, quand IL regarde l’heure à la pendule ancienne en bronze de la chambre qui annonce déjà 19h45. IL attrape la laisse de Thaïs et tirant dessus d’un coup sec, alors qu’elle essaye de ranger les habits sales que le Noble a quittés juste précédemment, IL annonce d’une voix rapide qui ne laisse pas la place à la moindre seconde d’hésitation.
- Viens par ici, toi. Si tu crois que j’ai le temps d’attendre que tu fasses le ménage et le rangement. Et tâche de ne pas me retarder, Mes Invités vont arriver dans un quart d’heure et je ne sais toujours pas ce qui a été préparé pour les recevoir. J’aurai dû choisir d’annuler cette fête ce soir et de décider de souffler mes bougies un autre jour… Et donc comme apparemment rien d’extraordinaire n’est prévu, tu auras toujours le privilège de me sucer sous la table et d’avaler ma semence, puis de me nettoyer ma noble queue…
(A suivre…)
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