La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (5ème partie)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 342 793 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 547 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (5ème partie)
L’anniversaire du Marquis d’Evans (5ème et dernière partie) -
Tandis que l’on commence à débarrasser les assiettes, des soumises sont venues s’installer sur les barres qui se trouvent le long des tables, soulevées en hauteur par des mâles robustes. Les soumises-chandeliers sont maintenant de plus en plus couvertes de cire bleue, qui coule en goutte à goutte formant des épaisseurs de coulées de bougies qui s’étalent sur tout leur corps, tandis que la hauteur des cierges diminue au fur et à mesure de la soirée. La lumière à nouveau est tamisée, pour qu’un nouveau décor soit mis en place. Quatre chevaux de bois à bascule qui en réalité sont des licornes, avec une corne lumineuse de nature phallique, sont amenés au centre de la pièce. Ils sont également pourvus en lieu et place de la selle d’un énorme phallus également lumineux. Quatre soumises prennent place dessus et mettent en mouvement le balancier tout en montant et descendant pour s’empaler à chaque fois sur le sexe géant qui les pénètre. L’orchestre se met à jouer des musiques lascives qui marquent les rythmes des déhanchements de chacun et chacune. Les soumises se tenant aux barres ondulent avec la musique dans des positions de plus en plus osées, n’hésitant pas à se rapprocher des convives en écartant les cuisses ou les fesses, se balançant presque à portée des mains qui deviennent de plus en plus téméraires ajoutant le geste au plaisir du spectacle. Certains convives n’hésitant pas à se lever pour toucher de plus près ces corps nus qui dansent sous leurs yeux, glissant leurs mains dans les parties les plus intimes pour vérifier si elles sont bien humides…
Plusieurs esclaves mâles ont été quant à eux munis de gode lumineux dont la base est entrée dans leur bouche, fermé par une ceinture de cuir autour de leur tête. Ils avancent à quatre pattes les uns derrière les autres se positionnant au centre de la pièce pour former deux cercles et commencent à s’enculer les uns les autres refermant peu à peu le cercle qui continue de tourner au rythme des pénétrations et avancées de chacun. Cette sodomie collective ajoutée au spectacle tout aussi rythmé des soumises empalées est telle que chacun regarde les jeux de pénétrations dont on peut suivre les évolutions en fonction de la partie lumineuse qui entrent et sort de chaque orifice. C’est pourquoi l’assiette de salade et de fromage qui a été servie entre temps semble avoir beaucoup moins de succès que le plaisir des yeux pour cet intermède qui avait surtout pour fonction de laisser le temps de mettre en place et de préparer le clou de la soirée, le gâteau d’anniversaire. Ce temps-là permet malgré tout de desservir la table de tout ce qui n’est plus nécessaire, ne laissant que les dessous d’assiette dorés à l’or fin sur lesquels sont posés de grandes assiettes bleu dur, encore vides pour l’instant. Chacun comprend que le dessert se met en place, et tous sont impatients de savoir ce qui a été prévu pour la suite de la soirée, d’autant plus que les mâles sodomisés ont fini par ouvrir le cercle pour repartir trainant avec eux les licornes à bascules montées plaisamment. Les danseuses descendent à leur tour de leur perchoir sur table et le vide se fait au centre de la pièce.
Les lumières bleues des guirlandes sont à nouveau allumées tandis que les lustres sont éteints …. Mais de nombreuses autres lumières sont éclairées sur les murs de la salle, toutes recouvertes de voiles qui donnent à la pièce une ambiance tamisée différente. Plusieurs spots tournant lumineux sont mis en route ainsi que des lumières laser qui dessinent sur les murs et aux plafonds autant d’arabesques tournoyantes presque disco, la musique augmente de plus en plus vive et joyeuse. Un grand rideau de toile qui se trouvait au fond de la salle est maintenant descendu et enlevé. Eclairée par des spots laissant apparaître la transparence, une très belle pyramide de flutes de cristal est en train de se remplir, chaque verre plein débordant sur ceux qui sont situés juste au-dessous comme autant de fontaines successives. Le liquide à bulles provient d’une gigantesque bouteille de Champagne de renom, un « Salomon » (un contenant de 18 litres, ce qui équivaut à 24 bouteilles, qui pèse 43 kilos, mesure 85 cm de haut et 23 cm de diamètre à la base). Cette bouteille géante est fixée sur un support en fer forgé qui peut être incliné ou redressé à volonté à l’aide d’une roue dentelée, l’ensemble de l’appareil permettant également de fermer de manière hermétique la bouteille quand elle n’est pas utilisée afin de préserver la fraicheur et la qualité des bulles du liquide pétillant. Il y a bien plus de 33 verres dans la pyramide, correspondant aux 30 invités, auxquels il convient d’ajouter le Marquis d’Evans, son compagnon David, et la Marquise Aurore d’Evans, car le Châtelain a l’habitude d’offrir le jour de son anniversaire une coupe de champagne à chacun des domestiques, gardes et serviteurs du Château, et sa grande magnanimité va même jusqu’à autoriser tous les esclaves du cheptel à pouvoir en fin de soirée avoir aussi droit à une récompense annuelle avec des bulles. C’est donc une tour de Babel transparente de plus de deux mètres de haut qui peu à peu se remplie et prend dans la lumière une teinte virant du blanc au jaune…
L’orchestre se met à jouer un air de Lully digne des banquets du Roi Louis-Soleil pour annoncer l’arrivée du gâteau. Profitant de ce temps où chacun porte le regard sur la composition qui approche, les serveurs se dépêchent de répartir les flutes remplies devant chaque convive. Le gâteau est en réalité une immense réalisation portée par quatre esclaves à bout de bras, comme s’il s’était agi d’une chaise à porteur mais beaucoup plus large et longue et surtout moins haute sur le dessus….. Sur le plateau, se trouve en pâtisserie une reconstitution du Château ancestral de la famille des Evans, fait pour les murs en choux empilés telle une pièce montée d’un tout autre genre et dont les décors (portes, fenêtres, linteaux, etc) sont en nougatine recouverts de ci de là de sucre pour imiter les différents détails architecturaux de la magnifique demeure. La base du gâteau imite quant à elle les allées, jardins et pelouses de la propriété jusqu’au mur d’enceinte réalisé lui aussi en nougatine et servant de cadre rigide à l’ensemble du chef d’œuvre culinaire. Cette partie est réalisée en bavarois aux fruits recouvert d’une fine couche de gelée de la couleur appropriée suivant les éléments représentés. En réalité, seul trois pans de murs de la structure ont été édifiés, la façade principale et les deux murs de côté; tout l’intérieur est vide recouvert d’un papier blanc, mais aucun des convives ne peut apercevoir cette partie évidée à l’intérieur. Le gâteau est amené garni de bougies fontaine étincelle, mais leur durée n’est que de 55 secondes. Il convient donc de pouvoir les allumer en même temps pour que le spectacle soit total…
Les quatre esclaves ont déposé le gâteau juste en face du fauteuil sur lequel trône depuis le début de la soirée, le Marquis Edouard d’Evans, mais juste à la hauteur des derniers sièges afin que chacun puisse profiter pleinement du spectacle. Plusieurs esclaves se pressent autour du gâteau que chacun a pu déjà admirer dans son intégralité totalement éclairé. La lumière s’éteint totalement, un rideau tombe au fond que personne n’avait encore vraiment remarqué. Au moment où les éclairages se rallument par un savant jeu de lumière harmonisé, tandis que l’orchestre entonne la musique entrainante de l’hymne de la ligue des champions, les bougies fontaines étincelantes du gâteau sont toutes allumées en même temps par la multitude de petites mains d’esclaves qui se retirent aussitôt à quatre pattes après avoir officié. Ces premières gerbes d’étincelles imitent à merveille un spectacle de feu d’artifice qui serait tiré à partir du château, éclairant la façade sucrée mais si bien réalisée qu’on pourrait croire qu’il s’agit du vrai Château en miniature. A peine quelques secondes plus tard et avant la fin des premières étincelles, ce sont de nouvelles qui sont mises à feu en arrière-plan, donnant à l’édifice un éclairage nouveau tandis que les premières finissent de s’éteindre. Il s’agit d’une roue qui tourne, projetant ses étincelles tout autour. Derrière le somptueux gâteau-château, au centre une croix de Saint-André en rotation lente sur son axe et sur laquelle une soumise a été attachée (la petite dernière du cheptel, Thaïs, mais le Marquis ne peut pas l’identifier car elle est aussi peinte couleur or avec son loup recouvert de perles sequins sur le visage la rendant identique aux autres, et elle est trop loin pour que son Maître puisse reconnaître ses formes plantureuses en mouvement). Les jeux de lumière permettent quand même de distinguer une silhouette féminine dorée qui tourne et qui doit recevoir sur le corps, tout au moins sur les extrémités, mains et pieds, les retombées de quelques étincelles de ces feux de Bengale lumineux qui semblent ne pas vouloir s’arrêter, comme si le système avait été réglé pour mettre à feu lui-même les suivants répartis sur la roue au fur et à mesure que les premiers s’arrêtent. La roue continue à tourner lentement mais sûrement, renversant à de multiples reprises la soumise comme dans un vrai manège tournoyant sans fin.
La musique s’arrête à l’instant même où les dernières étincelles s’éteignent, comme si le chef d’orchestre avait pu commander tant aux instrumentistes qu’aux feux des bougies. Le silence se fait pendant deux secondes, chacun ayant juste le temps de reprendre une grande bouffée d’air après une apnée d’ébahissement d’admiration devant la beauté du spectacle et en se demandant s’il faut applaudir car le bouquet final vient d’être tiré, mais tout le monde se retient attendant le feu vert qui ne peut être donné que par le Châtelain en personne. David, s’est penché à cet instant-là à Son oreille, pour lui souffler d’attendre car ce n’est pas fini. Sans que personne ne puisse savoir par quel miracle cela se produit, puisque personne n’est au centre de la pièce autour du Château en pâtisserie, l’ouverture de plusieurs bacs de neige carbonique, positionnés tout autour du gâteau, est actionné et ceux-ci commencent à déverser leur fumée froide qui tombe en cascade depuis le gâteau pour se répandre dans toute la salle telle un immense tapis blanc qui se propage dans la direction du Maître des lieux. Le Marquis d’Evans retient son souffle car IL est ébahi d’une telle mise en scène qui se déroule sous ses yeux et à ses pieds, alors qu’un chanteur esclave à la voix très aigue entonne à cappella un air que le Castra Farinelli avait l’habitude d’interpréter. Tandis que le soliste poursuit impeccablement sa mélodie sans fausse note, c’est un vrai feu d’artifice qui est maintenant tiré au plus grand étonnement de chacun, car tout cela se passe à l’intérieur d’une pièce, haute de deux étages certes, mais à l’intérieur tout de même. Et ce sont pourtant des gerbes qui montent, s’ouvrent en corolle et retombent encore incandescentes. Les jets de feux durent jusqu’à 30 secondes chacun et montent presque jusqu’au plafond de la pièce. Le Marquis d’Evans a presque attrapé les accoudoirs de son fauteuil prêt à se lever et à bondir pour faire cesser la plaisanterie afin de ne pas prendre le risque de mettre le feu à la demeure ancestrale pour un simple plaisir festif inconsidéré pour un simple anniversaire. Mais Walter le Majordome, qui avait prévu l’affolement, s’est approché de son patron, le Marquis d’Evans, et lui murmure discrètement à l’oreille, sur un ton plus que rassurant :
- Faites-moi confiance, Monsieur le Marquis. C’est une entreprise de pyrotechnie que j’ai fait venir qui est spécialisée dans ce type de prestations, il n’y a aucun risque quelque soit-il qui peut vous inquiéter. Ce sont des feux d’artifice spéciaux destinés à être tirés en intérieur, c’est assez inhabituel, je le conçois aisément. Et par précaution supplémentaire, j’ai même déjà fait détacher Votre petite chienne Thaïs, je ne suis pas sûr que Vous ayez reconnu que c’était elle la soumise qui était en train de tourner sur la croix attachée à la roue, car elle se trouvait dans le champ de retombées des gerbes de feux mais j’ai agi surtout à cause de la fumée des feux de Bengale qui peut être très irritante pour la gorge, mais qui ne pose aucune souci à Vos Invités car un système de dépressurisation artificielle est mis en place qui aspire la fumée vers l’arrière de la salle grâce à plusieurs aspirateurs. Profitez donc du spectacle en toute sécurité…
Ce n’est qu’au bout de longues minutes que le chanteur-esclave s’arrête concomitamment avec le bouquet final du feu d’artifice, ayant donné de toute sa voix et de ses plus belles notes sur les derniers instants en harmonie avec les jeux de lumière chatoyants. Dans la seconde, ne laissant même pas à chacun le temps de commencer à vouloir applaudir, une poursuite lumineuse dirigée et télécommandée depuis le plafond s’éclaire et se focalise sur le gâteau maintenant éteint, quand un bruit se fait comme un déchirement de papier, et munie d’un micro accroché à son cou, une magnifique silhouette d’une soumise nue jaillit, qui visiblement était vautrée dans les soubassements du gâteau-château depuis le début et elle crie avec la joie au cœur « Bon Anniversaire ! » et levant les bras en l’air avec un sourire radieux, tandis que l’orchestre entonne l’air traditionnel de cette fête annuelle. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde se lève et reprenne en cœur « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis d’Evans ». Le Noble a eu le temps de reconnaître la voix de sa soumise Holly MDE qu’IL aperçoit maintenant les bras levés au centre même de son château-dessert. Elle a une jolie petite fleur bleue accrochée à chacun de ses tétons ainsi qu’à ses lèvres intimes.
Profitant du fait que tous les regards étaient focalisés sur le feu d’artifice, mais aussi du manque de luminosité au centre de la pièce encore recouvert par le restant du tapis de neige carbonique qui se dissipe que peu à peu, tous les esclaves du cheptel rampant au plus près du sol se sont tous regroupés au centre du grand M, arrivant de toutes parts du Château et des cuisines qui sont abandonnées pendant quelques minutes. Il ne reste sûrement pas grand âme qui vive dans le reste de l’immense demeure. Parallèlement, tous les domestiques, serviteurs et gardiens du Château sont entrés derrière Marie la cuisinière rayonnante et entonnent tous à la suite des convives un troisième « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis d’Evans » très collectif. Le Châtelain est étonné du nombre de voix, car IL ne savait pas qu’IL entretenait autant de personnel, mais IL comprend mieux quand IL aperçoit de loin dans la masse des visages, ceux d’anciens partis depuis à la retraite et ceux d’autres qui avaient quitté son service souvent pour des raisons familiales pour suivre un conjoint. IL comprend aussi que Marie a dû sonner le grand rassemblement, pour se faire aider du mieux possible et que nombreux ont été ceux qui ont répondu favorablement à l’appel pour se trouver là ce soir pour lever un verre à la santé de leur patron ou ancien patron, ce qui lui fait vraiment chaud au cœur. La lumière se fait à nouveau dans la pièce, et au centre du grand M, chacun baisse enfin les yeux apercevant tous les esclaves mâles et femelles du Marquis d’Evans, prosternés qui entonnent d’une même voix un quatrième « Bon anniversaire, Maître ».
Le Marquis d’Evans a du mal à contenir son émotion tant les choses se sont orchestrées sans lui laisser même le temps de respirer allant de surprises en surprises, lui qui était rentré pour un simple anniversaire en petit comité restreint autour d’une bonne table entre amis très intimes. IL reste toutefois étonné du nombre de postérieurs qu’IL aperçoit, car IL ne lui faut pas longtemps pour comprendre qu’IL y a là ses pieds bien plus que le nombre de chiens et chiennes qui font partie de son cheptel et qui restent à demeure sous son joug au château, IL comprend donc qu’ils sont tous venus, y compris ceux qui lui sont soumis de manière moins permanente, ayant choisi de maintenir une vie vanille indépendante, mais aussi ceux qui travaillent au quotidien dans l’Entreprise et les différentes sociétés dirigées par le Marquis d’Evans alliant relation de subordination professionnelle et relation de soumission D/s, ce qui n’est pas le cas de tout le personnel mais d’une bonne partie d’entre eux, car la soumission au Grand Patron, Maître et Marquis de surcroît, s’est presque propagée par contagion au sein des services et des équipes…. Le Marquis d’Evans se lève et applaudit en répétant avec émotion des « Merci, Merci, Merci » inclinant très légèrement la tête pour montrer sa satisfaction. Pendant ce temps-là, les assiettes desserts dorées à l’or fin, comportant toutes une petite part du gâteau-Château ont été servis à chaque convive… Le Marquis attrape sa flute de cristal remplie du meilleur champagne, la lève en direction de tous, se tournant de part en part pour essayer de n’oublier personne.
- En bien, Merci encore à tous, que vous soyez Dominants ou dominés, membres de mon personnel ou anciennement. Il me semble aussi d’une grande évidence de remercier très sincèrement mon fidèle Walter qui a organisé tout cela et bien entendu Marie, notre si compétente cuisinière pour ce somptueux repas et gâteau… A la santé de tous, Chères Amies et Chers Amis, oui à vous tous aussi qui avez organisé cette merveilleuse soirée. Je ne peux trinquer avec vous tous individuellement, mais vous êtes chacun et chacune dans mon cœur et dans mes pensées en cet instant et pour longtemps. Savourons le dessert maintenant, mais en espérant que je ne verrai jamais de mon vivant, et pas plus mes héritiers successifs, le vrai château de mes ancêtres se faire dévorer par quiconque après s’être fait démanteler pierre après pierre comme ce gâteau que j’ai trouvé si sublime à regarder mais qu’IL me tarde de goûter maintenant... Je Vous dirais bien avec un vrai jeu de mots maintenant que c’est la fin (faim) « Que la fête commence ! », mais ce n’est pas complètement faux car la nuit est à Nous. Mon château Vous est ouvert. Que chacun se sente libre d’aller où bon lui semble, pour profiter des plaisirs de la chair, et que le champagne coule à flot tout autant que le sperme et la cyprine de nos jouissances... Et si orgies, il doit y avoir et bien qu’elles soient des plus perverses ! …
(A suivre…)
NOTA : Les suites de ce récit, contant les orgies D/s au château de la soirée et nuit d'anniversaire, suivront le numérotage des autres épisodes à venir -
Tandis que l’on commence à débarrasser les assiettes, des soumises sont venues s’installer sur les barres qui se trouvent le long des tables, soulevées en hauteur par des mâles robustes. Les soumises-chandeliers sont maintenant de plus en plus couvertes de cire bleue, qui coule en goutte à goutte formant des épaisseurs de coulées de bougies qui s’étalent sur tout leur corps, tandis que la hauteur des cierges diminue au fur et à mesure de la soirée. La lumière à nouveau est tamisée, pour qu’un nouveau décor soit mis en place. Quatre chevaux de bois à bascule qui en réalité sont des licornes, avec une corne lumineuse de nature phallique, sont amenés au centre de la pièce. Ils sont également pourvus en lieu et place de la selle d’un énorme phallus également lumineux. Quatre soumises prennent place dessus et mettent en mouvement le balancier tout en montant et descendant pour s’empaler à chaque fois sur le sexe géant qui les pénètre. L’orchestre se met à jouer des musiques lascives qui marquent les rythmes des déhanchements de chacun et chacune. Les soumises se tenant aux barres ondulent avec la musique dans des positions de plus en plus osées, n’hésitant pas à se rapprocher des convives en écartant les cuisses ou les fesses, se balançant presque à portée des mains qui deviennent de plus en plus téméraires ajoutant le geste au plaisir du spectacle. Certains convives n’hésitant pas à se lever pour toucher de plus près ces corps nus qui dansent sous leurs yeux, glissant leurs mains dans les parties les plus intimes pour vérifier si elles sont bien humides…
Plusieurs esclaves mâles ont été quant à eux munis de gode lumineux dont la base est entrée dans leur bouche, fermé par une ceinture de cuir autour de leur tête. Ils avancent à quatre pattes les uns derrière les autres se positionnant au centre de la pièce pour former deux cercles et commencent à s’enculer les uns les autres refermant peu à peu le cercle qui continue de tourner au rythme des pénétrations et avancées de chacun. Cette sodomie collective ajoutée au spectacle tout aussi rythmé des soumises empalées est telle que chacun regarde les jeux de pénétrations dont on peut suivre les évolutions en fonction de la partie lumineuse qui entrent et sort de chaque orifice. C’est pourquoi l’assiette de salade et de fromage qui a été servie entre temps semble avoir beaucoup moins de succès que le plaisir des yeux pour cet intermède qui avait surtout pour fonction de laisser le temps de mettre en place et de préparer le clou de la soirée, le gâteau d’anniversaire. Ce temps-là permet malgré tout de desservir la table de tout ce qui n’est plus nécessaire, ne laissant que les dessous d’assiette dorés à l’or fin sur lesquels sont posés de grandes assiettes bleu dur, encore vides pour l’instant. Chacun comprend que le dessert se met en place, et tous sont impatients de savoir ce qui a été prévu pour la suite de la soirée, d’autant plus que les mâles sodomisés ont fini par ouvrir le cercle pour repartir trainant avec eux les licornes à bascules montées plaisamment. Les danseuses descendent à leur tour de leur perchoir sur table et le vide se fait au centre de la pièce.
Les lumières bleues des guirlandes sont à nouveau allumées tandis que les lustres sont éteints …. Mais de nombreuses autres lumières sont éclairées sur les murs de la salle, toutes recouvertes de voiles qui donnent à la pièce une ambiance tamisée différente. Plusieurs spots tournant lumineux sont mis en route ainsi que des lumières laser qui dessinent sur les murs et aux plafonds autant d’arabesques tournoyantes presque disco, la musique augmente de plus en plus vive et joyeuse. Un grand rideau de toile qui se trouvait au fond de la salle est maintenant descendu et enlevé. Eclairée par des spots laissant apparaître la transparence, une très belle pyramide de flutes de cristal est en train de se remplir, chaque verre plein débordant sur ceux qui sont situés juste au-dessous comme autant de fontaines successives. Le liquide à bulles provient d’une gigantesque bouteille de Champagne de renom, un « Salomon » (un contenant de 18 litres, ce qui équivaut à 24 bouteilles, qui pèse 43 kilos, mesure 85 cm de haut et 23 cm de diamètre à la base). Cette bouteille géante est fixée sur un support en fer forgé qui peut être incliné ou redressé à volonté à l’aide d’une roue dentelée, l’ensemble de l’appareil permettant également de fermer de manière hermétique la bouteille quand elle n’est pas utilisée afin de préserver la fraicheur et la qualité des bulles du liquide pétillant. Il y a bien plus de 33 verres dans la pyramide, correspondant aux 30 invités, auxquels il convient d’ajouter le Marquis d’Evans, son compagnon David, et la Marquise Aurore d’Evans, car le Châtelain a l’habitude d’offrir le jour de son anniversaire une coupe de champagne à chacun des domestiques, gardes et serviteurs du Château, et sa grande magnanimité va même jusqu’à autoriser tous les esclaves du cheptel à pouvoir en fin de soirée avoir aussi droit à une récompense annuelle avec des bulles. C’est donc une tour de Babel transparente de plus de deux mètres de haut qui peu à peu se remplie et prend dans la lumière une teinte virant du blanc au jaune…
L’orchestre se met à jouer un air de Lully digne des banquets du Roi Louis-Soleil pour annoncer l’arrivée du gâteau. Profitant de ce temps où chacun porte le regard sur la composition qui approche, les serveurs se dépêchent de répartir les flutes remplies devant chaque convive. Le gâteau est en réalité une immense réalisation portée par quatre esclaves à bout de bras, comme s’il s’était agi d’une chaise à porteur mais beaucoup plus large et longue et surtout moins haute sur le dessus….. Sur le plateau, se trouve en pâtisserie une reconstitution du Château ancestral de la famille des Evans, fait pour les murs en choux empilés telle une pièce montée d’un tout autre genre et dont les décors (portes, fenêtres, linteaux, etc) sont en nougatine recouverts de ci de là de sucre pour imiter les différents détails architecturaux de la magnifique demeure. La base du gâteau imite quant à elle les allées, jardins et pelouses de la propriété jusqu’au mur d’enceinte réalisé lui aussi en nougatine et servant de cadre rigide à l’ensemble du chef d’œuvre culinaire. Cette partie est réalisée en bavarois aux fruits recouvert d’une fine couche de gelée de la couleur appropriée suivant les éléments représentés. En réalité, seul trois pans de murs de la structure ont été édifiés, la façade principale et les deux murs de côté; tout l’intérieur est vide recouvert d’un papier blanc, mais aucun des convives ne peut apercevoir cette partie évidée à l’intérieur. Le gâteau est amené garni de bougies fontaine étincelle, mais leur durée n’est que de 55 secondes. Il convient donc de pouvoir les allumer en même temps pour que le spectacle soit total…
Les quatre esclaves ont déposé le gâteau juste en face du fauteuil sur lequel trône depuis le début de la soirée, le Marquis Edouard d’Evans, mais juste à la hauteur des derniers sièges afin que chacun puisse profiter pleinement du spectacle. Plusieurs esclaves se pressent autour du gâteau que chacun a pu déjà admirer dans son intégralité totalement éclairé. La lumière s’éteint totalement, un rideau tombe au fond que personne n’avait encore vraiment remarqué. Au moment où les éclairages se rallument par un savant jeu de lumière harmonisé, tandis que l’orchestre entonne la musique entrainante de l’hymne de la ligue des champions, les bougies fontaines étincelantes du gâteau sont toutes allumées en même temps par la multitude de petites mains d’esclaves qui se retirent aussitôt à quatre pattes après avoir officié. Ces premières gerbes d’étincelles imitent à merveille un spectacle de feu d’artifice qui serait tiré à partir du château, éclairant la façade sucrée mais si bien réalisée qu’on pourrait croire qu’il s’agit du vrai Château en miniature. A peine quelques secondes plus tard et avant la fin des premières étincelles, ce sont de nouvelles qui sont mises à feu en arrière-plan, donnant à l’édifice un éclairage nouveau tandis que les premières finissent de s’éteindre. Il s’agit d’une roue qui tourne, projetant ses étincelles tout autour. Derrière le somptueux gâteau-château, au centre une croix de Saint-André en rotation lente sur son axe et sur laquelle une soumise a été attachée (la petite dernière du cheptel, Thaïs, mais le Marquis ne peut pas l’identifier car elle est aussi peinte couleur or avec son loup recouvert de perles sequins sur le visage la rendant identique aux autres, et elle est trop loin pour que son Maître puisse reconnaître ses formes plantureuses en mouvement). Les jeux de lumière permettent quand même de distinguer une silhouette féminine dorée qui tourne et qui doit recevoir sur le corps, tout au moins sur les extrémités, mains et pieds, les retombées de quelques étincelles de ces feux de Bengale lumineux qui semblent ne pas vouloir s’arrêter, comme si le système avait été réglé pour mettre à feu lui-même les suivants répartis sur la roue au fur et à mesure que les premiers s’arrêtent. La roue continue à tourner lentement mais sûrement, renversant à de multiples reprises la soumise comme dans un vrai manège tournoyant sans fin.
La musique s’arrête à l’instant même où les dernières étincelles s’éteignent, comme si le chef d’orchestre avait pu commander tant aux instrumentistes qu’aux feux des bougies. Le silence se fait pendant deux secondes, chacun ayant juste le temps de reprendre une grande bouffée d’air après une apnée d’ébahissement d’admiration devant la beauté du spectacle et en se demandant s’il faut applaudir car le bouquet final vient d’être tiré, mais tout le monde se retient attendant le feu vert qui ne peut être donné que par le Châtelain en personne. David, s’est penché à cet instant-là à Son oreille, pour lui souffler d’attendre car ce n’est pas fini. Sans que personne ne puisse savoir par quel miracle cela se produit, puisque personne n’est au centre de la pièce autour du Château en pâtisserie, l’ouverture de plusieurs bacs de neige carbonique, positionnés tout autour du gâteau, est actionné et ceux-ci commencent à déverser leur fumée froide qui tombe en cascade depuis le gâteau pour se répandre dans toute la salle telle un immense tapis blanc qui se propage dans la direction du Maître des lieux. Le Marquis d’Evans retient son souffle car IL est ébahi d’une telle mise en scène qui se déroule sous ses yeux et à ses pieds, alors qu’un chanteur esclave à la voix très aigue entonne à cappella un air que le Castra Farinelli avait l’habitude d’interpréter. Tandis que le soliste poursuit impeccablement sa mélodie sans fausse note, c’est un vrai feu d’artifice qui est maintenant tiré au plus grand étonnement de chacun, car tout cela se passe à l’intérieur d’une pièce, haute de deux étages certes, mais à l’intérieur tout de même. Et ce sont pourtant des gerbes qui montent, s’ouvrent en corolle et retombent encore incandescentes. Les jets de feux durent jusqu’à 30 secondes chacun et montent presque jusqu’au plafond de la pièce. Le Marquis d’Evans a presque attrapé les accoudoirs de son fauteuil prêt à se lever et à bondir pour faire cesser la plaisanterie afin de ne pas prendre le risque de mettre le feu à la demeure ancestrale pour un simple plaisir festif inconsidéré pour un simple anniversaire. Mais Walter le Majordome, qui avait prévu l’affolement, s’est approché de son patron, le Marquis d’Evans, et lui murmure discrètement à l’oreille, sur un ton plus que rassurant :
- Faites-moi confiance, Monsieur le Marquis. C’est une entreprise de pyrotechnie que j’ai fait venir qui est spécialisée dans ce type de prestations, il n’y a aucun risque quelque soit-il qui peut vous inquiéter. Ce sont des feux d’artifice spéciaux destinés à être tirés en intérieur, c’est assez inhabituel, je le conçois aisément. Et par précaution supplémentaire, j’ai même déjà fait détacher Votre petite chienne Thaïs, je ne suis pas sûr que Vous ayez reconnu que c’était elle la soumise qui était en train de tourner sur la croix attachée à la roue, car elle se trouvait dans le champ de retombées des gerbes de feux mais j’ai agi surtout à cause de la fumée des feux de Bengale qui peut être très irritante pour la gorge, mais qui ne pose aucune souci à Vos Invités car un système de dépressurisation artificielle est mis en place qui aspire la fumée vers l’arrière de la salle grâce à plusieurs aspirateurs. Profitez donc du spectacle en toute sécurité…
Ce n’est qu’au bout de longues minutes que le chanteur-esclave s’arrête concomitamment avec le bouquet final du feu d’artifice, ayant donné de toute sa voix et de ses plus belles notes sur les derniers instants en harmonie avec les jeux de lumière chatoyants. Dans la seconde, ne laissant même pas à chacun le temps de commencer à vouloir applaudir, une poursuite lumineuse dirigée et télécommandée depuis le plafond s’éclaire et se focalise sur le gâteau maintenant éteint, quand un bruit se fait comme un déchirement de papier, et munie d’un micro accroché à son cou, une magnifique silhouette d’une soumise nue jaillit, qui visiblement était vautrée dans les soubassements du gâteau-château depuis le début et elle crie avec la joie au cœur « Bon Anniversaire ! » et levant les bras en l’air avec un sourire radieux, tandis que l’orchestre entonne l’air traditionnel de cette fête annuelle. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde se lève et reprenne en cœur « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis d’Evans ». Le Noble a eu le temps de reconnaître la voix de sa soumise Holly MDE qu’IL aperçoit maintenant les bras levés au centre même de son château-dessert. Elle a une jolie petite fleur bleue accrochée à chacun de ses tétons ainsi qu’à ses lèvres intimes.
Profitant du fait que tous les regards étaient focalisés sur le feu d’artifice, mais aussi du manque de luminosité au centre de la pièce encore recouvert par le restant du tapis de neige carbonique qui se dissipe que peu à peu, tous les esclaves du cheptel rampant au plus près du sol se sont tous regroupés au centre du grand M, arrivant de toutes parts du Château et des cuisines qui sont abandonnées pendant quelques minutes. Il ne reste sûrement pas grand âme qui vive dans le reste de l’immense demeure. Parallèlement, tous les domestiques, serviteurs et gardiens du Château sont entrés derrière Marie la cuisinière rayonnante et entonnent tous à la suite des convives un troisième « Bon anniversaire, Monsieur le Marquis d’Evans » très collectif. Le Châtelain est étonné du nombre de voix, car IL ne savait pas qu’IL entretenait autant de personnel, mais IL comprend mieux quand IL aperçoit de loin dans la masse des visages, ceux d’anciens partis depuis à la retraite et ceux d’autres qui avaient quitté son service souvent pour des raisons familiales pour suivre un conjoint. IL comprend aussi que Marie a dû sonner le grand rassemblement, pour se faire aider du mieux possible et que nombreux ont été ceux qui ont répondu favorablement à l’appel pour se trouver là ce soir pour lever un verre à la santé de leur patron ou ancien patron, ce qui lui fait vraiment chaud au cœur. La lumière se fait à nouveau dans la pièce, et au centre du grand M, chacun baisse enfin les yeux apercevant tous les esclaves mâles et femelles du Marquis d’Evans, prosternés qui entonnent d’une même voix un quatrième « Bon anniversaire, Maître ».
Le Marquis d’Evans a du mal à contenir son émotion tant les choses se sont orchestrées sans lui laisser même le temps de respirer allant de surprises en surprises, lui qui était rentré pour un simple anniversaire en petit comité restreint autour d’une bonne table entre amis très intimes. IL reste toutefois étonné du nombre de postérieurs qu’IL aperçoit, car IL ne lui faut pas longtemps pour comprendre qu’IL y a là ses pieds bien plus que le nombre de chiens et chiennes qui font partie de son cheptel et qui restent à demeure sous son joug au château, IL comprend donc qu’ils sont tous venus, y compris ceux qui lui sont soumis de manière moins permanente, ayant choisi de maintenir une vie vanille indépendante, mais aussi ceux qui travaillent au quotidien dans l’Entreprise et les différentes sociétés dirigées par le Marquis d’Evans alliant relation de subordination professionnelle et relation de soumission D/s, ce qui n’est pas le cas de tout le personnel mais d’une bonne partie d’entre eux, car la soumission au Grand Patron, Maître et Marquis de surcroît, s’est presque propagée par contagion au sein des services et des équipes…. Le Marquis d’Evans se lève et applaudit en répétant avec émotion des « Merci, Merci, Merci » inclinant très légèrement la tête pour montrer sa satisfaction. Pendant ce temps-là, les assiettes desserts dorées à l’or fin, comportant toutes une petite part du gâteau-Château ont été servis à chaque convive… Le Marquis attrape sa flute de cristal remplie du meilleur champagne, la lève en direction de tous, se tournant de part en part pour essayer de n’oublier personne.
- En bien, Merci encore à tous, que vous soyez Dominants ou dominés, membres de mon personnel ou anciennement. Il me semble aussi d’une grande évidence de remercier très sincèrement mon fidèle Walter qui a organisé tout cela et bien entendu Marie, notre si compétente cuisinière pour ce somptueux repas et gâteau… A la santé de tous, Chères Amies et Chers Amis, oui à vous tous aussi qui avez organisé cette merveilleuse soirée. Je ne peux trinquer avec vous tous individuellement, mais vous êtes chacun et chacune dans mon cœur et dans mes pensées en cet instant et pour longtemps. Savourons le dessert maintenant, mais en espérant que je ne verrai jamais de mon vivant, et pas plus mes héritiers successifs, le vrai château de mes ancêtres se faire dévorer par quiconque après s’être fait démanteler pierre après pierre comme ce gâteau que j’ai trouvé si sublime à regarder mais qu’IL me tarde de goûter maintenant... Je Vous dirais bien avec un vrai jeu de mots maintenant que c’est la fin (faim) « Que la fête commence ! », mais ce n’est pas complètement faux car la nuit est à Nous. Mon château Vous est ouvert. Que chacun se sente libre d’aller où bon lui semble, pour profiter des plaisirs de la chair, et que le champagne coule à flot tout autant que le sperme et la cyprine de nos jouissances... Et si orgies, il doit y avoir et bien qu’elles soient des plus perverses ! …
(A suivre…)
NOTA : Les suites de ce récit, contant les orgies D/s au château de la soirée et nuit d'anniversaire, suivront le numérotage des autres épisodes à venir -
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...