La séance de yoga - histoire érotique

Je vous avais laissé avec une question : devais-je céder à la demande d'Aline, en lui permettant une aventure avec Lucie, une rousse magnifique et séduisante, cliente fidèle d’Aline ? Ou bien poser des limites claires et préserver l'exclusivité de notre relation ?

J'ai longuement réfléchi cette nuit-là. J’aime Aline profondément, et son bonheur compte plus que tout. Mais devais-je risquer notre connexion unique pour ce fantasme ? Les scénarios s'entrechoquaient dans mon esprit. Peut-être pouvais-je accepter à condition que cette expérience reste unique et purement sexuelle ? Ou mieux encore, que nous en parlions ensemble après, pour en faire un jeu excitant ? À moins que je ne participe directement, intégrant cette aventure dans nos propres plaisirs partagés ?

Mais la crainte était là, persistante : partager Aline, même pour un instant, me serrait le cœur. Elle est la femme avec qui je ressens le plus de connexion, tant émotionnelle que charnelle. L’idée de la voir dans les bras d’une autre éveillait une jalousie que je ne me connaissais pas.

Quelques jours plus tard, j’ai décidé d’en parler à cœur ouvert avec elle.
- Dis, tu aurais un moment pour qu’on discute un peu ?
- Bien sûr, mon amour. Qu’est-ce qui te tracasse ?
- C’est à propos de Lucie… Depuis que tu m’en as parlé, ça tourne en boucle dans ma tête. Je t’aime à la folie, et je ne veux pas te priver d’un fantasme par simple égoïsme. Mais en même temps, j’ai peur. Peur que ça nous éloigne, que je ne te suffise plus… J’ai l’impression que nous avons quelque chose d’unique, toi et moi.

Aline me regardait avec douceur.

- Je comprends, murmura-t-elle. Mais tu sais, ce n’est pas un manque que je ressens. Lucie m’a troublée, c’est vrai, et j’ai voulu t’en parler. Parce qu’entre nous, je veux tout partager, même mes envies les plus folles. Mais si cela te dérange, il n’y a aucun problème. Rien ne se passera.
- Vraiment ? Ça ne te frustrerait pas ?

Elle a souri, rassurante.

- L’important, c’est toi. Lucie l’a aussi compris. Si on décide que ce fantasme reste à l’état d’idée, elle respectera cela.
Un poids s’est levé de ma poitrine. J’ai pris Aline dans mes bras.
- Merci. Je t’aime tellement.
- Moi aussi, je t’aime.

La discussion était close pour nous deux. Je faisais une totale confiance à Aline. J’étais heureux qu’on ait pu avoir cette discussion franche et honnête.

Elle m’annonça qu’elle allait dans le salon faire sa session de Yoga. J’en profitais pour faire un peu de rangement et plier les habits. Je rangeais ses sous-vêtements et mon imagination s’est remise à fonctionner et je la voyais avec cet ensemble tanga soutien-gorge en dentelle. Quand j’ai fini le rangement, je me suis dit que j’allais aller au salon pour la voir faire sa session de yoga.

Elle avait fermé les stores pour tamiser la lumière, mis une musique douce pour une ambiance propice à la détente et à la méditation. Quand je suis arrivé dans la pièce, elle était en position « Dhanurasana », couchée sur le ventre, se tenant les jambes avec ses mains, pour former un arc. De ma position, je la vois de derrière. Elle est habillée légèrement, avec une brassière de sport et un shorty qui moule bien ses formes. Je vois son corps sec et musclé.

Elle lâche sa position doucement, s’étend de tout son long sur le ventre. Lentement, elle ramène son postérieur au-dessus de ses talons, dos droit, et garde la position pendant une trentaine de secondes, respirant lentement, profondément et régulièrement. Elle descend lentement ses épaules, déroule ses bras le long de son corps, les allonge vers l’avant pour se retrouver dans la position dite de « la demi-tortue ». Wahou, quelle souplesse, quelle grâce ! Mais aussi, quelle vue ! Son cul tendu vers moi me fait chavirer et je sens mon sexe gonfler dans mon training. Elle ne m’a toujours pas vu et je profite pour replacer mon sexe un peu à l’étroit dans mon boxer.

Elle garde cette position encore quelques secondes, avant de revenir dans la position précédente. Après quelques respirations, elle se relève, toujours avec grâce et fluidité. Elle reste quelques instant droite, avant de se pencher en avant, bras tendus. Elle lève sa jambe gauche pour se retrouver en équilibre sur une jambe, le corps à 90 degrés pour former un T parfait. Mon regard parcourt sa jambe d’appui, fine, fuselée et musclée. Je continue mon exploration visuelle, remonte vers ses fesses qui se dessinent parfaitement dans son habit moulant. Entre les jambes, je peux deviner ses lèvres. Mon érection est complète et je me caresse doucement le sexe par-dessus mon étoffe.

Aline ne semble toujours pas m’avoir remarqué et continue sa séance comme si de rien était. Elle repose sa jambe, pour se pencher complètement en avant pour coller sa tête contre ses genoux. Dans cette position, son shorty remonte un peu et je devine la naissance de ses fesses. Je n’en peux plus et je passe ma main sous mon pantalon pour saisir mon sexe pour un va et vient lent et régulier.

A nouveau, elle change de position pour se mettre en position « tadasana », en appui sur une jambe, l’autre jambe repliée contre la hanche opposée.

- Ça va ? je te dérange pas trop ?

Oups. Pris en flagrant délit.

- Tu sais, je te vois dans le reflet de la vitre depuis tout à l’heure. Ça te plaît ?
- Ben à ton avis ? Si ça me plaisait pas, je pense pas que je serais dans cet état !
- Tu veux te joindre à moi ?
- Tu sais très bien que je suis autant souple qu’une chaise.
- Justement, ça te ferait du bien de t’y mettre un peu !
- Heu ouais ok, mais faudra être patiente et m’aider un peu.
- Pas de problème, tu sais bien que je suis toujours patiente quand il s’agit de toi.
- Ok, alors par quoi on commence ?
- Tout d’abord, tu vas te mettre à l’aise. Mets-toi en boxer afin d’avoir le maximum de liberté de mouvement.
- Oui oui, pour les mouvements, bien sûr. Rien que les mouvements…
- Evidemment, tu crois quoi ? J’suis là pour t’aider, pas pour te violer.
- Vu mon état, ça serait clairement pas du viol.
- Tais-toi et écoute mon maintenant, espèce de petit vicieux, me dit-elle avec un clin d’œil.

Je m’exécute pendant qu’elle va chercher un deuxième tapis de sol. Elle l’installe, puis je prends position debout.

- On va commencer par très simple. Tu te mets debout, le plus droit possible, la tête haute, et tu respires au même rythme que moi.

Je n’ai jamais fait de yoga ou quoi que ce soit de similaire, mais je dois avouer que le simple fait de prendre du temps à se concentrer sur sa respiration apporte déjà un effet reposant pour moi qui ai tendance à toujours être stressé, tendu.

- Maintenant, tu vas t’allonger sur le dos, complètement étendu, jambes serrées, les paumes des mains tournées vers le ciel. Continue à te concentrer sur ta respiration.

Je m’exécute alors qu’elle me montre l’exemple à côté de moi. Nous sommes installés proches l’un de l’autre, nos mains se touchent. J’ai envie de lui prendre la main mais elle se refuse.

- Tatatata. Non, maintenant tu restes concentré, faut écouter ta prof de yoga.
- Ma prof de yoga ultra sexy, je précise.
- Peut-être, mais pour l’instant bas les pattes !

Je me calme. Mon sexe aussi s’est calmé. La tension est retombée et mon imagination s’est recentrée sur la respiration.

- Maintenant, tu vas relever ta jambe gauche, ramener ton genou sur ta poitrine.

Je m’exécute, mais je suis tellement peu souple que cette position m’est déjà difficile. Lorsque je prends la position, Aline me dit qu’il faut que je tire un peu plus sur mes jambes pour la faire remonter plus.

- J’aimerais bien mais… j’suis au max là !
- Quoi ? hahahah
- Hey ! Je t’avais averti que c’était pas gagné d’avance…
- Oui c’est vrai, mais à ce point ?! Bon, bouge pas, je vais t’aider du coup.

Elle se relève pour venir se positionner au-dessus de moi. En passant vers mes pieds, elle marque un temps d’arrêt et me regarde depuis en haut.

- Pas mal du tout la vue depuis ici
- Ha ben c’est marrant, c’est exactement ce que je me disais tout à l’heure en te regardant.
- En te caressant, tu veux dire ?
- Ouais. Non. C’est plutôt ce qui a déclenché mes caresses.
- Intéressant. Bon, garde cette position, je vais venir mettre un peu plus de tension sur ta jambe. Si je te fais mal, dis-le moi et je réduirai la pression. Remets de mains le long du corps, je m’occupe de ta jambe.

Elle saisit ma cheville, passe une main sous mon genou pour le faire plier. Elle se penche ensuite sur moi en prenant appui sur ma jambe. Je sens les muscles de mon dos, mon adducteur et plein d’autres muscles se tendre, puis sur relâcher très doucement au fur et à mesure qu’Aline met plus ou moins de pression sur ma jambe.

Alors que sa main droite vient se positionner sur ma hanche, le haut de son corps appuie sur mon tibia et sa main gauche sous ma cuisse gauche. J’avais les yeux fermés jusqu’ici afin de me concentrer sur mes sensations et ma respiration, comme elle me l’avait demandé. Je les ouvre et je vois son visage proche du miens. Son regard est toujours aussi perçant et je me délecte de ce contact visuel. Je n’arrive pas à déchiffrer ses intentions. Est-elle pleinement concentrée sur la position ? ses pensées vagabondent-elles ? En tout cas, moi ce regard ne me laisse jamais indifférent.

Je sens sa main gauche bouger, se diriger un peu plus vers l’intérieur de mes cuisses, jusqu’à venir se caler au niveau de l’aine. Même si on pourrait croire que c’est purement pour la position, je la connais et je sais que c’est pour me provoquer. Elle effleure d’ailleurs mes testicules et vient se placer directement dans le creux entre ceux-ci et la jambe.

La position dure quelques instants, puis elle détend à nouveau ma jambe pour recommencer les mêmes mouvements avec ma jambe droite. Toujours la même délicatesse, mais cette fois sa main droite vient directement se loger au creux de ma jambe. Cette sensation me redonne de la vigueur et elle doit certainement le sentir. Je sens dans son regard qu’elle me jauge, qu’elle guette la moindre de mes réactions. Mais comme toujours, on est joueurs tous les deux et j’essaie de ne rien laisser transparaître, même si mon sexe grossit à nouveau.

Elle relâche la tension et se met de nouveau à côté de moi, sur son tapis.

- Bon, à priori, on ne va pas pouvoir faire beaucoup pour cette première séance, mais je te propose de faire la position de la « demi-tortue » que j’ai faite tout à l’heure.
- C’était laquelle ?
- Celle où tu as dû te réajuster car tu commençais à être à l’étroit.
- Je vois pas trop laquelle, tu me montres avant que je m’y mette également ?
- T’en perds pas une toi hein ?!

Pourtant, elle s’exécute. Elle se met à genoux, dos droit, fesses appuyées sur ses talons. Elle avance doucement son buste, bras tendus, jusqu’à prendre position. Les fesses en arrière, la tête baissée.

- Attend, je pense que je peux t’aider à mieux garder la position.

Je me lève en un éclair et me retrouve derrière elle à admirer son cul tendu vers moi. Elle est vraiment sexy ! Je me positionne près d’elle et appuie légèrement sur ses épaules. Alors que je garde mon bras gauche sur ses épaules, ma main droite descend le long de sa colonne vertébrale. Je vois un léger frisson parcourir son corps parfait. Ma main explore encore plus loin et suit la courbure de ses fesses, d’abord par l’extérieur, puis remonte entre ses fesses pour atteindre son sexe. Je sens sa chaleur à travers le shorty. Je remonte ma main, passe sous la brassière, puis redescend à nouveau le long du dos. J’atteins son shorty et passe ma main sous l’élastique. J’atteins sa fesse et me dirige entre ses jambes pour atteindre son sexe. Plus j’approche, plus je sens la chaleur moite de son désir et cela m’excite encore davantage.

Elle se relève brusquement :
- Voilà, tu as vu quelle position c’était, maintenant à toi de le faire.
- Heu tu veux pas me remontrer, je suis pas sûr d’avoir bien compris.
- Non non, ça suffit maintenant. En position !

Alors qu’elle se lève, je me mets à genoux. Alors que je prends la position, elle constate que je ne peux même pas toucher mes talons avec mes fesses. Elle se moque gentiment de moi et feins d’appuyer sur mes épaules pour me faire descendre plus bas. Nous éclatons de rire ensemble et elle me confirme à nouveau que le travail sera long avant d’arriver à un résultat convenable.

Elle me dit tout de même de tenter la position voulue. J’allonge mes bras vers l’avant et prends une position qui ressemble plus ou moins à celle attendue. Je n’ose même pas imaginer à quoi je dois ressembler, alors que je fais vraiment un gros effort pour aller le plus loin possible.

- Ne t’en fais pas, on va faire ça plus souvent et à la longue ça va s’améliorer.
- J’espère, parce que là c’est vraiment une catastrophe,
- En tout cas, ton popotin est à croquer.

Joignant le geste à la parole, elle me mordille la fesse, ce qui nous fait rire. Elle m’appuie à nouveau légèrement sur les épaules afin d’essayer de gagner quelques millimètres d’extension. Même si j’en chie, ça me fait du bien. Comme je l’avais fait auparavant, elle caresse mon dos et explore mes fesses. Elle saisit doucement mon boxer et le tire légèrement pour en faire un string.

- Ça va ? T’as pas l’impression d’abuser ?
- Non ça va. Je me dis juste que je devrais peut-être t’offrir un string, ça te va bien.
- Alors non merci, c’est pas super agréable !
- C’est vachement plus agréable quand c’est moi qui les mets j’imagine ?!
- Haha effectivement en tout cas pour moi c’est plus agréable, c’est sûr !

Elle saisit alors brusquement mes couilles au travers du tissu et le serre fermement, sans me faire mal.

- C’est donc ça, de tenir son amoureux par les couilles ?! C’est plutôt agréable, tu trouves pas ?
- Heu là ça va, mais si tu serres vraiment je pense pas que ça va beaucoup me plaire !
- Ça ne tient qu’à toi, alors. Tu vas te laisser faire. Je vais enlever ton boxer gentiment, et tu vas te laisser faire ok ?
- Ben, apparemment j’ai pas beaucoup le choix il me semble ?!
- Effectivement !

Tout en gardant mes grelots dans sans main, elle tire sur l’élastique du boxer de l’autre. Elle sort d’abord mon sexe du sous-vêtement, puis lâche brièvement sa prise pour le descendre jusqu’aux genoux.

- Décidément, c’était une super idée cette épilation, c’est vraiment beau comme ça, vu de derrière !

Elle tient toujours mes testicules dans un main. Autant vous dire que je fais le moins de mouvements possible, mais la situation m’excite vraiment. Elle a le don d’innover et chaque fois cela m’excite au plus haut point. Elle me mordille à nouveau la fesse, ce qui me fait bouger légèrement.

- Holà jeune homme, doucement, tu vas te faire mal !
- Hé bien figure-toi que c’était pas hyper volontaire comme mouvement je te signale.

Elle passe son autre main entre mes jambes et découvre mon sexe tendu au maximum. Elle le saisit et fait des va-et-vient, très lentement, mais en serrant bien fort.

- Et bien, on dirait que tu aimes bien qu’on te tienne par les couilles mon petit ?!
- J’aime surtout quand TU me tiens par les couilles. Enfin, j’aime surtout quand tu t’occupes de moi, en fait.

Elle lâche mes bijoux de famille tout en gardant mon sexe dans sa main. Elle accélère légèrement le mouvement. De sa bouche, elle remonte ma colonne vertébrale, la caressant du bout de sa langue. Elle remonte jusqu’à ma nuque et déclenche un frisson incontrôlable. Elle me susurre à l’oreille :

- Quand je m’occupe de toi comme ça, par exemple ?
- Ho oui, c’est bon ! J’aime tes caresses, ta tendresse, ta folie !
- Moi aussi, j’aime être folle avec toi

Elle m’embrasse dans le cou, puis parcourt mon dos à la recherche de zones sensibles. Elle me branle toujours, variant rythme et pression pour mon plus grand plaisir. Sa bouche suit mes lombaires. Je sens la pointe de sa langue qui suit le sillon fessier. Elle s’approche de mon anus, je suis au paroxysme de l’excitation. Si elle s’attaque à cette zone sensible en association avec ses caresses manuelles, je vais décharger là, sur le tapis de yoga.

- Bon, il ne faut pas garder trop longtemps la position, sinon l’effet est amoindri.
-Haaaaaaaaaaaaaa t’es vraiment la pire !

Elle me laisse là, au bord de l’orgasme, à nouveau frustré. Décidément, un jour elle me rendra folle !

- C’est pas juste ! Moi j’ai pas de moyen de pression comme toi. Je peux pas te tenir par les ovaires pour te forcer à faire quelque chose.
- Hooo mon pauvre chou, t’as vraiment pas de chance alors !
- Gna gna gna moque toi.
- Oui je me moque. Mais comme je t’aime, je vais te faire une petite faveur. Je vais enlever mes habits et tu pourras me faire prendre une position, n’importe laquelle, pendant 30 secondes.
- Mh, ça par contre, ça me plaît beaucoup comme idée !
- Dépêche toi, je te laisse 30 secondes pour te décider, le temps que je me déshabille.

Elle enlève ses vêtements de sport et je suis toujours autant subjugué par sa beauté. Mais je dois me décider vite. J’attrape mon téléphone et demande à google une image des positions de yoga courantes. Je tombe sur une série de positions et une me plait particulièrement : Le grand angle debout. Je transmets mes vœux à Aline qui me dit Ok, tu as 30 secondes à partir du moment où j’ai pris ma position et que je te donne le top.

Aline écarte alors largement les jambes. Elle déroule son dos pour descendre le plus bas possible, jusqu’à poser sa tête au sol. Elle saisit ses chevilles. La vue est incroyable. Je vois ses jambes musclées, tendues à l’extrême. Au somment, sa vulve et son anus. Plus bas je vois ses petits seins qui surplombent son visage, et toujours ce regard de braise qui m’enflamme toujours autant.

- TOP !

J’en avais presque oublié le deal. Je m’approche vite d’elle. Je caresse ses jambes et embrasse ses fesses. Je n’ai que 30 secondes, je vais droit au but. Ma langue parcourt sa vulve. Elle est déjà mouillée, presque dégoulinante. Je titille son clitoris alors qu’un, puis deux doigts s’insinuent dans son con. Je coontinu ma besogne, mais ma langue part explorer d’autres horizons. La position fait que son anus est complètement exposé, légèrement ouvert. J’y laisse couler un peu de salive, avant de l’étaler avec ma langue tout autour. Je l’entends respirer un peu plus fort, pousser quelques soupirs d’aise. Alors qu’une main titille son clitoris, que l’autre prend possession de son vagin avec deux doigts, ma langue s’insinue dans son petit trou pour son plus grand plaisir. Je pense que les 30 secondes sont largement écoulées, mais elle ne réagit pas alors je continue. J’enfonce ma langue le plus profondément possible dans son trou et elle gémit de plus belle.

Elle se relève soudainement, se retourne et me saute dans le bras. On s’embrasse fougueusement et elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la tiens par les fesses alors qu’elle saisit mon sexe pour le diriger vers le sien. Je la laisse doucement descendre sur mon sexe. Il s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Son sexe est bouillant.

- Ça va mon amour ?
- Ho oui ça va. Fais-moi bouger, baise-moi, j’ai envie qu’on jouisse ensemble !

Je la fais aller et venir le long de mon sexe alors qu’elle se débat également à l’aide de ses jambes. C’est fougueux, c’est chaud. Son regard ne quitte pas le miens et je cela m’excite de la voir aussi passionnée. Je déplace un peu ma main afin de lui caresser l’anus en même temps. J’y enfonce un doigt et je sens mon sexe à travers la paroi vaginale.

- Je vais bientôt jouir. Si tu veux faire durer, il faut que tu ralentisses un peu
- Non, je vais jouir aussi, surtout t’arrête pas !

Elle me serre de plus belle avec ses jambes et s’agite dans tous les sens. Nous grognons tous les deux et dans un ultime râle elle atteint l’orgasme. Ses contractions involontaires déclenchent à leur tour mon orgasme et je décharge en elle. Mes jambes tressautent et on manque de tomber tous les deux. Toujours accrochée à moi, je la couche doucement sur le tapis, tout en restant en elle. Couchée sur le dos, je continue quelques allers-retours avant de me coucher à ses côtés.

A son tour, elle vient sur moi et s’allonge de tout son long. Je sens mon sperme qui coule de sa chatte. Le moment est tendre et contraste avec la furie qui a précédé.

- Si c’est toujours comme ça le yoga, deux choses. La première, tu n’iras plus jamais à un cours de yoga. La deuxième, je veux bien m’y mettre sérieusement.
- Hahaha non ne t’inquiète pas, les cours collectifs ne sont pas du tout comme ça. Et c’est avec plaisir que je te donnerai des nouveaux cours si tu le veux. En fait, je pense qu’au-delà de ce qu’il vient de se passer, ça te ferait clairement du bien !
- Oui, je le sais !

On est restés encore allongés comme cela quelques minutes, à parler et se caresser tendrement.