La séance photos
Récit érotique écrit par Chaud comme la braise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La séance photos
J’ai cinquante et un ans, en pré ménopause et je ne suis pas bien dans mon corps. Je me trouve grosse et du coup, je perds confiance en moi. J’ai peur de ne plus plaire à mon mari, Frédéric et ma libido est en berne. A part ça, tout va bien.
Frédéric, a lui aussi cinquante et un ans. Lui, il me trouve toujours très belle, désirable et à toujours autant envie de me faire l’amour. Me faire l’amour mais surtout, me voir prendre du plaisir et jouir. C’est ce qu’il aime le plus dans le sexe. D’ailleurs, c’est très difficile pour lui, lorsqu’il me pénètre, de se retenir lorsque je jouis. Ça l’excite tellement, qu’il jouit pratiquement toujours, en même temps que moi. Et ça, j'adore. Bien sûr, pour me faire jouir à multiples reprises, il utilise ses doigts, sa bouche, des sextoys. Je vous rassure, il sait très bien se servir de sa queue aussi.
Il n'a pas de complexe. En tout cas, il en a plus. Comme il dit, on est comme on est, on a ce que l’on a. Mais je sais qu’il n’aime pas sa queue. Il la trouve trop petite, tout juste dans la moyenne nationale. Il pense qu’avec un engin plus grand, je prendrais plus de plaisir et que je jouirais plus fort et plus souvent. C’est pour ça qu’il aimerait me partager avec un autre homme.
Il est candauliste. Il aimerait me voir avec un homme, qui soit bien gâté par dame nature. Moi bien sûr, je ne veux pas. Je l’aime et il me suffit largement. En plus, qui voudrait de moi ? Je suis laide, vieille et grosse. Aucune chance qu’un autre homme que mon mari, veuille de moi.
Un soir, alors que l’on est à table, il me demande ce que je souhaiterais pour mon anniversaire. Je n’ai besoin de rien et franchement, je n’ai vraiment aucune idée de ce qu’il pourrait m’offrir. Il me dit avoir une idée, mais qu’il ne peut pas m’en faire la surprise, car il faut que je sois d’accord. J’ai tout de suite imaginé qu’il voulait m’offrir à un homme et il en était pas question. J’ai été surprise lorsqu’il m’a dit, vouloir m’offrir une séance photos boudoir :
- Une séance quoi ?
Je n’avais aucune idée de ce que c’était. Je n’avais même jamais entendu ce terme. Pour moi, un boudoir est un biscuit.
- Une séance photos boudoir. C’est une séance photos ou le modèle est en petite tenue ou bien nu, mais caché par des objets, des draps, des voiles, des vêtements. On devine la nudité mais on ne voit rien.
J’ai tout de suite pensé que c’était plus un cadeau pour lui que pour moi. Mais il a su apporter les arguments. La séance boudoir, est parfait pour donner ou redonner confiance à une personne. Etre photographié par un professionnel qui va sublimer son modèle et faire ressortir tous ses atouts pour que le modèle justement, se trouve beau ou belle.
Mon cœur battait la chamade, comme une jeune pucelle qui s’apprête à coucher avec un homme pour la première fois. L’idée me fait peur,m mais je la trouve bonne et originale. Il pensait que j’allais refuser et à été surpris que je lui dise ok. Ok, mais à deux conditions. Que se soit une et non pas un photographe et que je vois les avis sur cette photographe.
…
Il a mis du temps à trouver la photographe qui conviendrait. Déjà, il n’y en a quasiment pas dans notre ville, qui font ce genre de photos. Et Frédéric recherchait celle qui avait le plus d’avis favorable, pour être sûr que je ne change pas d’avis.
Un dimanche après-midi, il m’a montré le site internet de la photographe sélectionnée. Je l’ai parcouru, regardé ce qu’elle fait. Elle est surtout spécialisée dans les photos de couple, mariage, famille, nouveau né. Les photos exposées sur son site, sont vraiment très jolies. Elle est photographe depuis plus de quinze ans, ce qui démontre une certaine expérience professionnelle. Et les avis favorables de ces clients, sont très unanimes dans son savoir-faire, son expérience, sa gentillesse et sa façon de faire oublier l’objectif.
On lui a envoyé un message pour lui dire que l’on serait éventuellement intéressé, pour une séance photos boudoir. Elle nous a informé qu’il y aurait un premier rendez-vous, autour d’un café, pour apprendre à se connaître et discuter du projet.
Je suis allé au rendez-vous une semaine plus tard. Elle m’a expliqué comment se passait ses shooting, on a discuté de moi, de mes complexes, de ma perte de confiance. Se fut un rendez-vous très agréable et j’avais moins de craintes, à sauter le pas.
Le soir, j’en ai parlé à Frédéric. Il était ravi que j’accepte de poser pour une séance boudoir et par la suite, il s’est occupé de toutes les formalités. La date avait été posée pour un samedi après-midi, un mois plus tard.
…
Le jour J est arrivé. J’étais anxieuse. Lorsque je suis arrivée au studio, comme lors du premier rendez-vous, Sylvie, c’est le prénom de la photographe, a réussi à me mettre à l’aise. On s’est installé dans un petit salon et son assistante nous a proposé un café, un thé ou bien, un rafraîchissement. Une fois les boissons servit, Sylvie m’a annoncé :
- Votre mari a choisit la formule toutes options. Nous attendons les stylistes, qui ne devraient plus tarder et la séance commencera par un relooking. Rien d’extravagant, brushings et maquillage réalisé par des professionnels. Ça vous va ?
- Oui, mais j’aimerais resté assez naturel et ne pas ressembler à un pot de peinture.
- Ne vous inquiétez pas, vous avez la main sur ce qu’ils vont faire. Vous pourrez leur demander ce que vous voulez.
- Parfait.
- Ensuite, vous aurez une séance de coaching, pour apprendre à poser. Ne vous inquiétez pas non plus, on ne veut pas faire de vous un mannequin professionnel.
- Ça ne risque pas.
- Attendez de voir mon travail avant d’avoir des préjugés sur vous. Vous êtes une très jolie femme. Ensuite, on commencera les trois heures de shooting photos.
- Trois heures ?
- Oui mais vous allez voir, ça passe très vite. C’est vraiment un moment pour vous et vous allez adorer. Vous allez vite lâcher prise et vivre une expérience sensuelle au-delà de vos appréhensions.
- D’accord, si vous le dites…
- Mais c’est sur. Vous allez adorer. Ensuite, vous aurez le choix. Soit on sélectionne une vingtaine de photos ensemble, soit vous me laissez libre choix. De toute façon, d'ici une quinzaine de jours, vous pourrez récupérer un magnifique album en cuir luxueux, présenté dans son coffret en bois plus, une photo 40x30. Ça vous va ?
- Oui, c’est parfait.
C’est à ce moment que le coiffeur et la maquilleuse sont arrivés. Dans une bonne ambiance, ils ont commencé leur travail. D’abord, par les cheveux. Shampoing, brushing et coiffage, puis le maquillage. C’était léger, mais le résultat me plaisait beaucoup. Une fois terminé, Sylvie m'a demandé :
- Vous avez emmené avec vous des tenues pour le shooting ?
- Non, sauf ce que j’ai sur moi.
- Pas d’inquiétude. Comme je vous l’avez précisé lors de notre premier rendez-vous, j’ai un large choix de tenues et accessoires. Tout est nettoyé et désinfecté après chaque utilisation. Je vous propose d’aller choisir les tenues qui vous plaisent. Je vous conseil pas plus d'une tenue par heure. C’est une bonne moyenne. Au-dessus, ça fera trop pour le montage final. Mais encore une fois, s’est vous qui décidez.
Dans le large choix des nombreuses tenues et malgré que se soit un moment pour moi, je choisis des tenues qui j’en suis sur, vont plaire à Frédéric. Je vais également suivre les conseils de Sylvie et opter pour trois tenues.
La première sera un ensemble de sous-vêtements noirs en dentelle, composé d’un soutien-gorge, un tanga, un porte-jarretelles, des bas et des escarpins noir à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres.
La deuxième tenue sera composée d’une nuisette transparente noire également, un string noir et soyons fou, pas de soutien-gorge. La transparence de la nuisette laissera deviner ma poitrine.
Enfin, pour la troisième tenue, je choisis un ensemble rouge composé d’une guêpière, d’un string, des bas et des sandales à talons hauts d’une dizaine de centimètres noirs.
Ensuite, Sylvie m’a fait une petite séance de coaching, m’expliquant ce que je devais faire et ne pas faire, comment agir face à l’objectif. Elle m’a dit que tous ces conseils seraient rappelés au cas où, durant l’après-midi.
Enfin, je suis allé me changer, juste avant de commencer la séance photos. Lorsque je suis entré dans le studio, en petite tenue sexy, je me suis trouvé très conne, devant Sylvie et son assistante, Laure. Mais Sylvie a tout de suite trouvée les mots pour me détendre et me mettre à l'aise.
Les trois heures sont passées très vite. A chaque heure, j’allais me changer et à chaque fois, j’avais l'impression que seulement une vingtaine de minutes étaient passées. Je ne me rendais même plus compte, que je posais presque nue. Tout était naturel, normal. Sylvie est une très grande professionnelle. Si le résultat final est à la hauteur de la séance photos et de l’après-midi que je viens de passer, je ne devrais pas être déçu.
Elle m’avait prévenu plus tôt, que le temps passerait très vite. Que j’allais adorer et vite lâcher prise. Que ça serait une expérience sensuelle au-delà de mes appréhensions. Elle avait tout bon. Je me sentais bien mentalement et presque bien dans mon corps.
- Ça va Alexandra ? Ça été ?
- Oui, parfait. C’était très bien.
- Je vous propose d’aller vous rhabiller. On se voit juste après.
Je me suis changé et lorsque je suis revenu dans son bureau, elle était déjà en train de vider les cartes mémoire de ses appareils photos dans son PC. Elle m’a offert un café et m'a demandé si je souhaitais voir avec elle, pour sélectionner les photos qui iront dans l’album. Je préférais lui laisser le libre choix en lui faisant entièrement confiance.
…
Avec Frédéric, nous sommes allés chercher l’album quinze jours plus tard. Rien que l’album, sans l’ouvrir, c’est un très bel objet. La couverture est en cuir luxueux et il est présenté dans son coffret en bois. Mais les photos, waouh… Pour la première fois depuis très longtemps, je me trouve magnifique. J’affiche un large sourire en tournant chaque page, tellement je suis belle sur chaque photo. Quel belle idée il a eu mon chéri, de m’offrir un tel cadeau. Un peu réticente au début, aujourd’hui, j’aimerais bien renouveler l’expérience.
…
Presque quinze mois sont passés depuis le jour où on a récupéré notre album photos. J’ai retrouvé une certaine confiance en moi et je me sens mieux dans mon corps. Je ne me trouve plus trop grosse et surtout, ma libido est repartie à la hausse, pour le plus grand bonheur de Frédéric.
Mon envie de renouveler l’expérience d'une séance photos est toujours présente. Je me laisserais même tenter, par une séance de nue. Je sais en plus, que ça ferait plaisir à Frédéric.
Ce samedi après-midi, je suis allée me balader en ville. Après avoir visité plusieurs boutiques, je suis rentrée dans celle de Sylvie. Elle m’a tout de suite reconnue :
- Ah, bonjour Alexandra, comment allez vous ?…
Après quelques minutes à discuter, je lui dis que j’aimerais refaire une séance photos. Elle a demandé à Laure son assistante, de tenir la boutique et m'a invité à aller boire un verre dans un café voisin, pour en discuter. Après avoir commandé nos verres, elle m’a demandé de lui parler de mon projet :
- En fait, la dernière fois, c’est Frédéric qui m’a offert la séance, pour mon anniversaire. Cette fois, j’aimerais lui offrir, pour son anniversaire.
- Je ne comprends pas. C’est pour vous ou pour Frédéric ?
- Le modèle, c’est moi. Je veux lui offrir l’album pour son anniversaire.
- Ah ok, je comprends mieux.
- Du coup, comme c’est pour lui, je pensais poser nue. Vous faites aussi les nues ?
- Oui, oui, je fais les nues également. Ça se passe comme pour les séances boudoir. Mais vous savez, certains hommes n’aiment pas l’idée que leur femme pose nue devant un ou une inconnu. Ça pourrait être un cadeau empoisonné.
- Pas pour Frédéric. Je suis sur qu’il va apprécier. Je dirais même qu’il va regretter que le photographe ne soit pas un homme.
- Dites m’en plus, si ce n’est pas trop indiscret.
- Frédéric est candauliste. Il aimerait me voir avec un autre homme. Je lui refuse ce fantasme, alors si je pose nue, pour lui, ça sera que du bonheur.
- Ah oui d’accord, je comprends. Mais du coup, je pense à un truc un peu farfelu.
- A quoi ?
- Ecoutez, je vais vous proposer quelque chose. C’est juste une proposition, vous acceptez, vous refusez, je ne vous jugerez pas.
- Vous me faites peur là.
- Il ne faut pas… Je fais également des séances de photos érotiques. Avec des couples, mais pas que… Il m’arrive de faire des séances érotiques, pour des femmes seules. Je travail avec un modèle, un homme, qui se prête au jeu…
J’ai le cœur qui bat à deux mille à l’heure, les yeux écarquillés. Qu’est-ce qu’elle est en train de me dire ? Elle doit ressentir mon malaise, mais elle enchaîne :
- Pas d’inquiétude Alexandra, si ça ne vous intéresse pas, vous me le dites. Mais laissez moi vous expliquer, ça ne vous engage à rien.
- Allez y, je vous écoute.
- Quand c’est des couples qui se présente à moi, pour faire ce genre de séance, je les guide un peu mais généralement, je leur laisse toutes liberté…
- Des couples font ça ? Il aime se faire photographier par une inconnue pendant qu’il… ?
- Oh oui. Et plus que vous pouvez l'imaginer. Des femmes également, célibataires ou pas. En général, lorsqu’une femme seule se présente à moi, pour ce genre de séance, je guide complètement la séance. Déjà, je travail avec un seul homme. J’ai une entière confiance en lui et les séances se passent toujours très bien. En plus, l’avantage d’avoir qu’un seul modèle, s’est qu’il connait parfaitement ma façon de travailler et tout est plus naturel. La cerise sur le gâteau, c’est qu’il est très bel homme…
Ne sachant pas trop quoi répondre je dis simplement :
- Ok
- Je guide la séance, comme si c’était un couple amoureux. Chaque modèles va déshabiller l’autre, puis simuler une partie de sexe. Attention, je dis simuler mais ça n’empêchera pas les contacts et les attouchements, pour que ça paraisse réel.
- Ok.
- Pareil, je dis simuler mais vous restez libre de faire ce que vous voulez. C’est vous qui décidez de tout. Il arrive très souvent, voire même tout le temps, que mes clientes se laisse aller et finalement, couche réellement avec mon modèle.
- Je vois.
- Au niveau des tarifs il y a deux options. La première, c’est la même chose que la séance boudoir, tout est compris. Les stylistes pour un relooking, coiffure et maquillage. Puis, la séance shooting et enfin la sélection de quarante photos exposées dans un magnifique album en cuir luxueux, présenté dans son coffret en bois plus, une photo 40x30.
- Quarante photos ? Pas vingt ?
- Oui, quarante photos puisque mon modèle paie une partie de la séance. Bien entendu, lui n'aura vraiment aucune photo. Elle reste votre propriété.
- Ok…
- La deuxième option est tout comme la première, sauf qu'elle ne vous coûte absolument rien. Les photos restent ma propriété et pour me faire payer, je vais les vendre à des sites spécialisés….
- Ah non, non, non ... Il en est pas question. Je ne souhaite pas voir mes photos sur internet.
- Mais une séance érotique vous intéresse ?
- Je n’ai pas dis ça. Je ne sais pas. Il faut que j'y réfléchisse.
- C’est quand l’anniversaire de Frédéric ?
- Dans un mois.
- Bien, dans ce cas, il ne faut pas perdre de temps. Rappelez vous qu’il me faut une quinzaine de jours pour faire l’album. Alors, il faut que la séance se déroule dans les quinze prochains jours. Retournons à mon bureau pour définir d’une date. Vous aurez jusqu’à cette date pour réfléchir à quel genre de photos vous souhaitez offrir à Frédéric.
Nous avons convenu d’un rendez-vous pour le samedi après-midi, quinze jours plus tard. Sylvie m’a dit qu’elle voyait avec Pascal, c’est le prénom de son modèle, pour qu’il réserve son samedi, au cas ou.
Je ne savais pas quoi faire. Ma première idée était que je ferais juste une séance de photos nue, sans Pascal. Mais j’étais tiraillée par l’idée de pouvoir enfin faire très plaisir à Frédéric. Je l’imaginais, un grand sourire aux lèvres et les yeux pétillants de plaisir, en train de regarder les photos de sa femme nue, dans les bras d’un autre homme. Sylvie m’a dit que c’était juste de la simulation. Mais on va se coller, se frotter l’un l’autre. Sûrement se caresser même. Suis-je prête pour ça ? Mais je sais aussi, que ça serait un cadeau inoubliable pour Frédéric.
Je me suis torturé la tête jusqu’au jeudi juste avant la séance. Mon désir de faire plaisir à Frédéric avait été plus fort et j’ai appelé Sylvie pour lui dire de réserver Pascal. Je flippais à présent. Je ne savais même pas comment allait se dérouler la séance.
…
Je suis arrivée avec un peu d’avance au rendez-vous. Sylvie m’a offert un café et on a commencé à discuter de la future séance :
- Ça va Alexandra ? Pas trop anxieuse ?
- Si, un peu.
- Détendez vous. Comme la dernière fois, c’est un moment pour vous. Vous verrez, ce n’est que du plaisir. Et n’oubliez pas non plus, pourquoi vous le fait. Pour le plaisir d’offrir à Frédéric, un cadeau original et inoubliable.
- Oui, je sais.
- Rappelez vous que vous êtes la maîtresse de la situation, d’accord ?
- Oui.
- Vous allez tout gérer. Je vais vous guider, vous orienter, vous dire quoi faire. Libre à vous de le faire ou pas.
- Ok.
Je suis comme une gamine, ne sachant pas trop quoi répondre.
- Je vous rappelle également que vous pouvez parler pendant la séance, dire si des choses ou des gestes vous dérange. Vous pouvez aussi prendre des pauses et faire tout ce que vous voulez.
- D’accord.
- Bien… Parlons de Pascal maintenant. Vous allez voir, il est adorable. Gentil, à l’écoute, doux, intelligent, bel homme. Il a beaucoup de qualités. Mais il reste un homme. Si je lui demande de poser une main sur votre poitrine, il va le faire au début. Mais très vite, il va commencer doucement à vous caresser, puis vous peloter. C’est à vous de mettre les limites à ne pas dépasser. Si un geste vous dérange, stop. Vous lui dites tout de suite. Ok ?
- Oui.
- Parfait. Je vous rappelle que pour les photos, je n’ai besoin que de vos poses. Je m’explique : Photos de baiser, vous effleurez ou collez vos lèvres et je vous photographie. Caresse de votre poitrine, pareil. Il pose sa main sur un sein et je photographie. C’est comme ça que ça doit se passer.
- C’est comme ça que je l’ai compris.
- Parfait. Sachez quand même, que le résultat final est beaucoup plus réussi, lorsque la séance est plus naturelle.
- Je ne comprends pas.
- Revenons à l’exemple de la poitrine. S’il pose sa main sur votre sein pour simuler la caresse de celui-ci, je photographie cette pose. Ok ?
- Oui.
- Imaginons maintenant, que vous laissez Pascal vous peloter. Je vais mitrailler la scène, ce qui me laisse plus de champ libre et donc, plus de choix pour la confection de l’album…
C’est à ce moment que le coiffeur et la maquilleuse sont arrivés, stoppant la conversation. Juste avant d’aller à leurs rencontres pour les accueillir, Sophie a juste ajouté :
- Vous avez compris l’idée ?
Cette dernière question m’a laissé complètement perplexe. A présent, je me demandais jusqu’où je devais aller pour avoir un bel album, pour faire plaisir à Frédéric et surtout, ne pas le tromper. Très vite, je me suis dis que je ne pouvais pas le tromper. Certes, je vais faire ça dans son dos, mais c’est pour lui faire une surprise. Je vais faire ça, parce que c’est lui qui rêve de me voir dans les bras d’un autre homme.
La séance de relooking a commencé, comme la dernière fois, par la coiffure. Et comme la dernière fois, on m’a fait un shampoing, un brushing et on m'a coiffé. Ensuite, la maquilleuse a pris le relais. Je lui ai demandé la même chose que la fois précédente, quelque chose de léger, pour rester le plus naturelle possible.
Pascal n’était toujours pas arrivé lorsque les deux stylistes sont partis. Sylvie m'a invité à aller choisis une tenue, pour me changer. Ne s’agissant pas d’une séance photos boudoir, je devais en choisir qu’une, mais une tenue complète. J’ai misé sur une belle robe longue noir, maintenue par un nœud autour de mon cou, bras et dos nu, fendue sur le côté presque jusqu’en haut de mes cuisses. En dessous, un ensemble en dentelles blanche, composé d’un tanga et soutien-gorge, des bas noirs auto fixant et une paire d’escarpins noirs également, à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres. Toute une tenue qui j’en suis sur, plairait à Frédéric.
Lorsque je suis sortie de la pièce qui sert de dressing et de vestiaire, pour rejoindre Sylvie et Laure son assistante, Pascal était arrivé. J’ai eu une bouffée de chaleur qui m’a certainement fait complètement rougir et mon cœur s’est emballé. Je ne savais pas trop comment réagir. Sylvie a tout de suite fait les présentations :
- Alexandra, voici Pascal. Pascal, je te présente Alexandra.
- Enchanté Alexandra…
Il s’est rapproché de moi pour me faire quatre bises. J’étais vraiment comme une jeune pucelle lors de son premier rendez-vous, très anxieuse. Pascal paraissait très a l’aise. Sylvie ne m’avait pas menti. Il est plutôt bel homme. La quarantaine d’années, grand brun, pas très épais et le visage fraîchement rasé. Il porte un pantalon en toile noir et une chemise blanche. Juste après les quatre bises, Sylvie a enchaîné :
- Je te rappelle les règles Pascal, c’est Alexandra qui a la main. Elle décide des limites. Ok ?
- Oui, comme d’habitude.
- Parfait. Alexandra, vous êtes prête ?
Avec beaucoup d’appréhension, je répond « oui ».
- Bien. Alors c’est parti, suivez moi.
On l’a suivi dans une pièce voisine. C’était un studio photo, sans la moindre fenêtre. Au premier plan, il y a des éclairages, des réflecteurs, des appareils photos, montés sur trépieds et plein d’autres accessoires de photographe. Au second plan, le studio photo est aménagé en salon. Ça me fait penser à un décor de pièce de théâtre. Canapé, fauteuil, table basse, une petite bibliothèque et divers petits meubles. Sur le mur du fond, décoré comme un vrai salon, avec deux petits tableaux, une petite étagère murale qui supporte un vase de fleurs et surtout, un trompe l'œil très réussi, représentant une porte-fenêtre donnant sur un balcon et une ville.
- Pascal, tu reste là pour le moment, je vais commencer avec Alexandra..
- Ça marche.
- Allez Alexandra, suivez moi.
Nous sommes allés vers le canapé.
- On va commencer ici. Je veux que tout soit le plus naturel possible, ok ?
- On va essayer.
- Ça va aller. Prenez place dans le canapé. Bien. L’idée c’est de créer une petite histoire. Au fur et à mesure que l'on tournera les pages de l’album photo, l’histoire avancera. Ok ?
- D’accord.
- Je vais commencer par vous photographier dans cette tenue. Vous serez seule, installé dans le canapé, avec un livre. Ensuite, Pascal, votre chéri pour l’histoire, va vous rejoindre et venir vous chauffer. A partir de la, la séance érotique pourra commencer. Ça vous va ?
- Je sais pas, j’ai un peu peur.
J’ai toujours le cœur qui bat à deux mille à l’heure. Je ne suis pas sereine. Mais je sais que je vais faire très plaisir à Frédéric.
- C’est normal. Mais vous allez vite vous détendre, une fois commencé. Et n’oubliez pas que c’est vous qui décidez de tout, même si je vais vous guider et vous dire ce que je souhaite. Libre à vous de le faire ou pas. Prête ?
- Pas vraiment, mais allons y.
- C’est parti. Prenez le livre et commencez à lire, comme si vous étiez chez vous. Vous oubliez tout ce qu’il y a autour, ok ? Vous êtes seule.
Je m’installe le plus confortablement possible dans le canapé et croise mes jambes. Par ce geste, ma cuisses se dénude jusqu’à la limite de l’élastique du bas. J’ouvre le livre dans le milieu et je commence à lire. Sylvie tourne autour de moi et me mitraille de son appareil photo. Elle utilise également les appareils posés sur les trépieds.
- Parfait. Maintenant, Pascal va vous rejoindre. On imagine qu’il arrive par surprise, sans faire de bruit. Vous lèverez les yeux sur lui, que lorsqu’il vous touchera. A ce moments, vous serez heureuse de le voir et vous lui ferez votre plus beau sourire. Ça marche ?
- Oui.
- Pascal, à toi. Tu rejoins Alexandra et tu va lui caresser le dos.
J’ai reçu comme une décharge électrique dans mon corps lorsque la main chaude et douce de Pascal a caressé mon dos. J’ai levé ma tête vers lui pour lui sourire. On restait tous les deux dans cette position, alors que Sylvie continuait de nous mitrailler.
- C’est parfait… Collé vos lèvres, simulé un baiser maintenant.
Pascal s’est penché en-avant et est venu mettre en contact, ses lèvres contre les miennes. J’avais chaud à présent. La séance était réellement lancée et je ne savais toujours pas, jusqu’ou je pourrais aller. Encore une fois, on gardait la position le temps que Sylvie nous prenne en photo sous divers angle.
- Ça va toujours Alexandra ?
On s’est décollé les lèvres et j’ai répondu « oui » à Sylvie. Je n’étais toujours pas à l’aise, mon cœur tambourinait très fort dans ma poitrine, mais ça allait à peu près.
- Bien, on continue alors. Vous reprenez la ou on a arrêté, la scène du baiser.
Pascal s’est penché de nouveau sur moi pour poser ses lèvres contre les miennes. Il reprend ses caresse sur mon dos.
- Bien. Si vous voulez bien Alexandra, mordez lui la lèvre inférieure.
Il a légèrement entrouvert sa bouche et avec une micro seconde d’hésitation, j’ai attrapé sa lèvre entre les dents.
- Gardez la position, c’est parfait.
Le crépitement de son appareil photo se fait entendre tout autour de nous. Pascal a sorti, sans que Sylvie lui demande, sa langue, qui est venu caresser ma lèvres supérieure. Je sais que je peux rompre le contact immédiatement, mais je ne le pas fais. Du coup, Sylvie nous encourage, à continuer, contente que je laisse les choses se faire, dans ce début de séance.
- Alexandra, Pascal va caresser votre poitrine maintenant. Mais au dessus de votre robe pour commencer. Ça ira ?
- Oui, ça ira.
- Ok Pascal, quand tu veux. Mais soit doux et sensuel. Simulé toujours le baiser. N'oubliez pas que vous êtes censé être un couple très amoureux.
Toujours penché sur moi, ses lèvres contre les miennes, une main caressant mon dos dénudé, il a posé délicatement son autre main sur un de mes seins. Pour la première fois de ma vie, un autre homme que Frédéric me touche la poitrine. La sensation est étrange. J’ai l'impression de le tromper, même si je fais ça pour lui. Au début, Pascal ne bouge pas sa main. Mais très vite, il se met à caresser vraiment mes deux seins. Je décide de le laisser faire pour le moment. J’ai chaud, alors qu’il fait une température normale dans la pièce.
- Bien Pascal, défait le nœud qui retient la robe d’Alexandra.
J’ai de plus en plus chaud. Il continue de me peloter les seins d’une main, alors que son autre main remonte jusqu’à ma nuque pour dénouer le nœud de ma robe. Alors qu’il l’aide à descendre sous ma poitrine, révélant mon soutien-gorge, on simule toujours un baiser. Simulé est un grand mot à présent. J’avais sorti moi aussi ma langue. Et même si on ne se roulait pas une pelle, nos deux langues étaient en contact.
- Vous êtes magnifique tous les deux. On continue comme ça, si vous voulez bien.
Sylvie tourne autour de nous, faisant son travail de photographe et nous encourage en permanence. Par contre, je ne sais pas trop ce que fait Laure son assistante. Elle va et vient ici et là, s’active, manipule les appareils photos, mais ne prend aucune photo.
- Alexandra, on va passer à la partie ou Pascal va vous déshabiller, ça vous va ?
- Je crois que je suis là pour ça.
- Oui, c’est vrai. Ensuite, on prendra une petite pause pour souffler et retrouver ses esprits.
- Avec plaisir.
Mon cœur s’est emballé de plus belle. Je suis complètement morte de trouille.
- Pascal, tu va dégrafer le soutien-gorge d’Alexandra pour pouvoir lui caresser les seins. Avec beaucoup de douceur.
On a repris la pose que l’on venait de rompre. De nouveau penché sur moi pour simuler le baiser, une main dans mon dos, l’autre sur ma poitrine. Alors qu'il me caresse la peau du dos, avec beaucoup de facilité et sans vraiment m’en rendre compte, il dégrafe mon soutien-gorge d’une seule main. Il fait glisser les bretelles de mes épaules et en deux gestes trois mouvements, je me retrouve seins nu, le sous-vêtements posé à côté de moi. Sans que Sylvie lui dise quoi que se soit, Pascal est déjà en train de me masser délicatement la poitrine.
Maintenant que je me fais peloter les seins, nos langues toujours jointes, j’ai moins peur. Mon cœur bat toujours à deux mille à l’heure, mais je sens mon excitation monter. Et surtout, je n’ai vraiment pas envie de repousser Pascal. Jusqu’où je peux le laisser aller ? Et surtout, jusqu’où je vais pouvoir aller ?
- Bien, tout est parfait. Quand je vous le direz Alexandra, vous vous mettrez debout. Vous vous enlacerez tous les deux et vous vous caresserez mutuellement. D’accord ? C’est quand vous voulez.
Je n’ai pas attendu et je me suis mise debout tout de suite. Ma robe n’est pas restée en place sur mes hanches et a glissé jusqu’à mes chevilles. Je me retrouve ainsi, simplement vêtu de mes bas et de ma petite culotte, dans les bras d’un inconnu. Alors que je n’ai pas encore mis de limite ou stoppé ses caresses, Pascal prend de plus en plus d’initiatives. On est enlacés l’un contre l’autre et ses mains à présent, malaxent mes fesses.
Sylvie mitraille toujours autour de nous et nous encourage. J’ai mon bas ventre qui bouillonne de désir et je n’arrive pas à le contrôler. J’ai presque honte de me laisser aller comme ça, de sentir mon excitation monter. Pour me donner bonne conscience, je pense à Frédéric qui sera fier de moi en regardant son album.
- Vous êtes génial tous les deux, parfait… Alexandra, je vais demander à Pascal de retirer votre culotte, d’accord ?
- Oui.
- Vous souhaitez qu’il retire vos bas en même temps ou souhaitez vous les garder ?
- Frédéric adore les jambes gainés de bas. J’aimerais bien les garder pour toute la séance.
- C’est vous qui décidez Alexandra… Pascal, quand tu veux.
Il a attrapé mon tanga par l’élastique et l’a descendu le long de mes cuisses, jusqu’à mes chevilles en s’accroupissant. Il a déposé un bisous sur mon ventre, juste en dessous de mon nombril. J’ai frissonné au contact de sa langue, quand il m’a léché la peau, du nombril jusqu’à ma poitrine, en se redressant.
Il m’attrape par les cheveux et incline ma tête en arrière en les tirant vers le bas. Aussitôt, il m’embrasse dans le cou. Je me laisse aller. Je sens que je mouille comme une folle, mon tanga n’étant plus là pour éponger mon excitation.
- Très bien, on va prendre cinq minutes de pause.
Aussitôt, Laure vient me prêter un peignoir pour me couvrir. Étant la seule nue, je lui en suis très reconnaissant. Bien que je n’ai pas vraiment soif, je bois un verre pour me rafraîchir. Comme s’il savait que Sylvie voulait me parler en tête à tête, Pascal est sorti de la pièce.
- Ça se passe bien Alexandra ?
- Oui, c’est parfait pour le moment.
- Très bien, très bien… Je vois que vous laissez faire Pascal. Vous n'osez pas lui mettre de barrières ? Il ne faut pas hésiter et il le sait.
- Non, c’est pas ça…
Vous voulez que je lui dise d’être moins entreprenant ?
- Non, au contraire… J’imagine que ça va énormément plaire à Frédéric et puis moi, finalement….
Je me tais. Je n’ose pas le dire.
- Finalement quoi ?
Un peu honteuse et certainement en rougissant, je lui réponds :
- Bah ça m’excite un peu quand même.
- Et bien c’est parfait tout ça. Le résultat final est toujours plus réussi lorsque c’est plus naturel, enfin moins simulé. Amusez vous et profitez au maximum. Pour Pascal, je le connais bien maintenant, il va aller crescendo si vous ne mettez pas de barrière. De toute façon, c’est vous qui avez les cartes en main. Ok ?
- Oui, je le sais. Merci Sylvie.
- De rien. Allez, on va reprendre.
Laure est sortie de la pièce et est revenue quinze, vingt secondes après, avec Pascal. Sylvie a repris la parole en s’adressant plus particulièrement à moi :
- Bien, on va reprendre là ou on en était. Je voudrais pour la suite du scénario que Pascal vous allonge sur le canapé et simule un cunnilingus. Ok ?
Pascal et moi avons répondu en cœur « ok ».
- Bien. Ensuite, vous pourrez commencer à déshabiller Pascal. Ça vous va ?
- Oui…
- Très bien, c’est parti.
Laure est venu récupérer le peignoir. La pause avait cassé mon excitation et je me trouvais un peu honteuse et mal à l’aise, d’être la seule personne nu dans la pièce.
- Reprenez la pose de tout à l’heure…
Pascal est venu se coller à moi, attrape mes cheveux et les tire en arrière pour libérer mon cou et l’embrasser. Une main sur mes fesses, la pose d’avant la pause est retrouvée.
- Bien, parfait. Maintenant Pascal tu l’allonge et tu va simuler un cunni. Avec beaucoup de tendresse. Il faut imaginer que tu es très amoureux d’Alexandra.
Il a lâché mes cheveux et est venu poser ses lèvres sur les miennes. Il m’a enlacé en mettant ses deux mains dans mon dos et a commencé à me pousser en arrière. Tout en me retenant puissamment, il m’a couché sur le canapé et s’est allongé sur moi. J’ai de nouveau le cœur qui bat à deux mille à l’heure. Sylvie a repris son travail de photographe et nous mitraille en tournant autour de nous.
Pascal commence à descendre le long de mon corps, sans décoller ses lèvres et sa langue de ma peau. Je ferme mes yeux, le laissant aller jusqu’à mon entre cuisses. Les derniers baiser avant mon sexe sont déposés sur mon pubis, fraîchement épilé du matin. Ce n’est pas sa bouche qui m’a fait tressaillir, mais son pouce, lorsqu’il a touché mon clitoris. Son doigt tourne autour de mon bouton sensible. J’ouvre les yeux pour regarder. Sa tête entre mes cuisses, il me regarde. Ses yeux marron foncé, presque noir mon quasiment hypnotisés.
Son pouce tournoie toujours autour de mon clitoris, faisant de nouveau monter mon excitation. Puis, toujours en me regardant, il pose, ou plutôt il frôle sa bouche sur mon sexe. C’est la première fois qu'un autre homme que Frédéric dépose ses lèvres sur mon intimité. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? J’ai envie de lui dire « fait juste comme ça » pour ne pas aller plus loin et j’imagine Frédéric me dire, « laisse toi aller ma chérie »
Je ferme mes yeux, rompant le lien invisible qui me lie aux siens et repose ma tête contre le canapé. Il ouvre sa bouche et me donne un petit coup de langue sur le clitoris. Je ne peux m’empêcher de lâcher un râle de plaisir. Son deuxième coup de langue est plus prononcé, plus vigoureux. Ne disant rien, ne le repoussant pas, il me donne un grand coup de langue sur toute la chatte. A partir de là, il me lèche réellement, comme un homme amoureux, voulant offrir le maximum de plaisir à sa femme.
Pascal est vraiment très doué avec sa bouche. Sa langue virevolte sur tout mon sexe, il me pompe le clitoris et ses lèvres complète les caresses. Le salop me bouffe la chatte à merveille, mais il ne me fait pas décoller. Peut-être dû à la situation ou même, sûrement dû à la situation mais aussi, parce que Frédéric est bien plus doué que lui.
Sylvie nous a laissé quelques minutes comme ça, nous photographiant sous toutes les coutures puis décide d’enchaîner.
- Pascal, tu va te remettre debout et Alexandra, vous allez vous asseoir et commencer à le déshabiller. C’est quand vous voulez.
Il remonte le long de mon corps en me léchant la peau, de la chatte jusqu’à ma bouche. Il se redresse en m'entrainant avec lui. Comme Sylvie me l’a demandé, je suis resté assise sur le canapé. Pascal est debout, juste devant moi. Mon cœur s’emballe de nouveau. Je commence à défaire les boutons de sa chemise. Une fois le dernier dégrafé, il fait glisser sa chemise pour l’enlever et l’envoyer au loin. Il n’est pas du tout musclé. Je dirais même qu'il est plutôt svelte. Pas la moindre trace non plus, de petit bourrelet ou de petit ventre rond. Pas un poil sur les bras ou sous les bras, ni sur le torse ou le ventre. En fait, il à un corps de gamin. Ça me fait très bizarre.
- Bien Alexandra, vous allez commencer par simuler des bisous sur son torse et son ventre. Ça vous va ?
Sylvie parle toujours de simuler alors qu’il n'y a plus de simulation. Y en a-t-il eu au moins ? Mais je lui réponds « oui ».
- Bien, quand vous voulez.
Je dépose mes lèvres sur sa peau, à côté de son nombril. Il sent bon le gel douche et le parfum. C’est agréable. Sylvie nous mitraille toujours, tournant autour de nous. Je remonte sur sa poitrine et ne peut m’empêcher de lui mordre le téton. Il pointe. J'en profite pour le titiller du bout de la langue.
- Vous pouvez défaire son pantalon Alexandra. Prenez votre temps, imaginez que vous êtes amoureuse et que vous souhaitez faire monter son plaisir lentement.
J’attrape sa ceinture et la décroche. Mais au lieu de passer aux boutons de son pantalon, je tire sur la ceinture pour la faire glisser autour de lui et l’enlever. Je la laisse tomber au sol et lui refais des bisous sur le ventre. Je déboutonne un à un les boutons de son pantalon et le baisse jusqu’aux genoux. J’ai la bosse de Pascal, moulée dans un boxer noir, juste à hauteur des yeux. Il n’a pas l’air de bander.
- Attendez Alexandra. Pascal, finit de retirer ton pantalon.
Il s’est exécuté, enlevant par la même occasion ses chaussettes.
- Nickel. Replace toi devant Alexandra. Bien, on reprend. Vous pouvez le caresser au-dessus de son boxer si vous le souhaitez.
Je lève mes yeux vers les siens. Son regard m’hypnotise. Son sourire est charmeur. Je porte une main sur sa bosse. En effet, il ne bande pas. Est-ce que je lui plais ? Je suis sur qu’il ne me trouve pas à son goût. Va-t-il réussir à bander ? Vais-je réussir à le faire bander ? C’est peut-être normal qu’il ne bande pas encore, je ne lui ai rien fait encore. Mais il m’a léché tout de même, ça devrait être suffisant.
En fait, je me rends compte que je suis une ignorante. Je ne connais que le sexe de Frédéric. Et lui, il bande dès qu’on se déshabille. C’est instantané. Je me sens un peu bête et honteuse de mon ignorance. Mais je ne peux m’empêcher de me demander si je lui plais vraiment.
Je passe une main entre ses cuisses comme pour soupeser son paquet. Ça ne paraît pas plus gros que celle de Frédéric, qui se plaint de temps en temps d'en avoir une petite et fantasme de me voir avec un autre homme, très bien monté. Mais peut-être qu’il se trompe lui aussi. Peut-être que la majorité des hommes en on une petite ou moyenne et que seul une minorité, en on une grosse. C’est Sylvie qui me fait sortir de mes pensées :
- Vous voulez bien embrasser son sexe à travers son boxer, Alexandra ?
Je me rapproche lentement, jusqu’à coller mon visage sur son sous-vêtements. Je frotte dans un premier temps, une joue sur son sexe, avant de tourner la tête face à lui et déposer mes lèvres sur sa bosse. Pascal m’attrape derrière la tête pour me presser un peu plus sur lui. Je ressens son sexe qui palpite sous le boxer. Je pousse mon audace un peu plus loin et commence à lécher son boxer au niveau de son sexe, tout en regardant l’objectif de Sylvie, imaginant que je regarde Frédéric.
- Parfait Alexandra. Vous pouvez retirer son boxer à présent. Lentement, prenez votre temps, que je ne loupe rien.
Mon cœur s’accélère de nouveau. Impossible de le maîtriser. J’espère vraiment que ce cadeau d’anniversaire va plaire à mon chéri. Je lève mes yeux pour regarder Pascal, il me sourit. J’attrape son boxer et commence à le baisser, sans quitter son regard. A mi cuisses, Sylvie me dit de ne plus bouger. Elle nous prend en photo sous plusieurs angles, avant de me dire de continuer. Une fois à ses chevilles, il finit de le retirer tout seul.
- Vous pouvez juste le toucher si vous voulez, Alexandra.
Je quitte son regard et baisse les yeux sur son sexe. Sur ce sexe inconnu, qui ne bande toujours pas pour moi. La aussi, il n’y a pas le moindre poil. Mais contrairement au reste de son corps, ici il s’épile. Pour faire un peu de comparaison, je dirais que son sexe est quasiment de la même grosseur que celui de Frédéric. J’espère qu’il ne sera pas déçu en voyant les photos, lui qui fantasmes de me voir jouir sous les coups d’une grosse bite.
Je lève ma main droite et attrape sa queue, sans bouger. Je la sers légèrement. Sylvie nous mitraille. Seul ses couilles et le bout de son gland sont visibles, le reste de son sexe est caché dans ma main. Voyant que je ne fais rien de plus, Pascal me reprend son sexe, se colle à moi et commence à frotter son gland sur mes seins en se masturbant.
- Ça vous va Alexandra si Pascal se rapproche de votre visage ?
- Oui.
- Il peut vous toucher ? Vous attrapé par les cheveux ?
- Oui.
Il ne se fait pas prier. Aussitôt, il m’attrape les cheveux derrière la tête et commence à frotter sa queue sur mon visage, à le promener sur mes joues, mon menton, mon nez, mes lèvres. La réaction ne se fait pas attendre, son sexe commence à grossir dans sa main, à s’allonger. Il tire sur sa peau pour décalotter le gland qui gonfle. A présent, je décide de reprendre les choses en main et lui reprend sa queue, qui n’a plus rien de comparable avec celle de Frédéric. Elle est un peu moins grosse mais beaucoup plus longue que celle de mon chéri.
Je porte son gland sur mes lèvres et commence par le lécher du bout de ma langue. Je suis en pleine hésitation pour aller plus loin et imagine Frédéric me dire : « Va y ma chérie, suce le. »
J’ouvre ma bouche et introduit son gland à l’intérieur. Mes lèvres se ressert autour de sa hampe et je commence à le pomper, tout en titillant son frein avec ma langue. Je ne peux m’empêcher de penser, que pour la première fois de ma vie, je suce une autre bite que celle de Frédéric. Je suis un peu tendu mais, j’essaie de m’appliquer au mieux pour lui donner du plaisir et surtout, pour donner un maximum de plaisir à Frédéric, lorsqu’il verra les photos.
- Ah c’est parfait Alexandra, vous êtes magnifique comme ça.
Elle me photographie dans tous les angles. Je décide de regarder l’objectif, pendant que je suce Pascal. Très vite, elle me reprend :
- Faites pas attention à moi Alexandra. Oubliez moi, je ne suis pas là.
Je sors la queue de ma bouche et lui répond :
- Ce n’est pas vous que je regarde, c’est Frédéric. Je veux qu’il lise dans mon regard le plaisir que j’ai à lui offrir ce cadeau.
- C’est vous qui décidez Alexandra, vous êtes maîtresse de la situation.
Sa bite est tendue au maximum, raide et dure comme un bâton de randonnée. Il m'empoigne les cheveux derrière la tête et entame des mouvements de va et vient dans ma bouche. Je le laisse faire et gérer la situation. A ce moments précis, je me dis que je ne suis plus la petite femme parfaite et fidèle de Frédéric. Je suis en train de le tromper pour son plus grand plaisir. Ou bien finalement, peut-être qu’à partir de ce moment précis, alors que Pascal me baise la bouche à grands coups de reins, je suis la femme parfaite dont Frédéric a besoin.
Encore une fois, c’est Sylvie qui me sort de mes pensées en disant :
- Pas si vite Pascal, tu va finir par lâcher ta sauce trop vite.
Il se recul d'un pas, restant presque à portée de ma bouche. Je suis déçu que ça s’arrête si vite, j’aurais presque aimé qu’il se vide dans ma bouche et que l’on voit sur les photos, son sperme couler entre mes lèvres. Mais le fait que Sylvie arrête Pascal, me laisse très bien imaginer de la suite qu’elle souhaite que l'ont suivent. Et c’est très vite confirmé en me demandant :
- Est-ce que vous accepteriez qu’il vous prenne, Alexandra ?
Au point où j’en suis ! Je ne pensais pas aller si loin. En plus, je suis complètement excitée et j’en ai vraiment envie. Et puis, si Frédéric était là, il me dirait de le faire. Alors, je réponds avec un mouvement de ma tête de haut en bas :
- Oui, on y va.
- C’est parfait Alexandra, votre homme va être très content de son cadeau.
- Je l’espère vraiment. Sinon, c’est la merde
J’éclate de rire, nerveusement, juste après avoir dis que ça serait la merde.
- Il n’y a pas de raison Alexandra, vous m’avez dit qu’il est candauliste. Il va adorer.
Laure apporte un préservatif qu’elle donne à Pascal. Mon cœur s’emballe de nouveau alors qu’il le déroule sur son sexe.
- Pour commencer alexandra, vous allez vous allonger sur le canapé, Pascal sera au-dessus. d’accord ?
- Ok.
Je m’installe, la tête contre l’accoudoir du canapé. J’ai les jambes serrées l’une contre l’autre. Pourquoi j’appréhende autant ? Ce n’est pas pire que ce que je viens de faire avec lui. En fait si, c’est pire. Il va me prendre. Il va entrer en moi et me baiser. Je peux encore renoncer. Ce que j’ai fais devrait déjà plaire à Frédéric. Enfin, j’espère.
Pascal se rapproche, la bite à la main, en se masturbant doucement. Il est encore temps de dire stop. Je flippe à mort. D’une main, il m’écarte les jambes et se place entre mes cuisses. Il est encore temps de dire stop.
Il passe son gland sur mon clitoris et le glisse entre mes grandes lèvres. Puis-je encore dire stop ? Oui, mais décide toi vite ma vieille. Il remonte pour stimuler mon clitoris et redescend entre mes lèvres et…
Je lâche malgré moi, un râle de satisfaction, lorsque sa queue pénètre mon intimité. Il s’enfonce doucement mais entièrement en moi, jusqu’à ce que son pubis touche mon clitoris. Sylvie l’arrête aussitôt :
- Ne bougez plus, restez comme ça. C’est parfait.
Elle nous mitraille de nouveau dans tous les angles. Cette fois, il est trop tard pour dire stop. On ne bouge pas, comme Sylvie nous a demandé, mais je sens le sexe de Pascal, tressauter en moi. Je sais que c’est lui qui le fait, Frédéric me le fait aussi. Sans attendre que Sylvie nous dise de reprendre, il entame des vas et viens lents, sur toute la longueur de son sexe.
Ah putain, que c’est bon. Le plaisir que cette bite me procure, est intense. Sa longueur fait qu'elle va plus profondément en moi, la ou Frédéric n’a jamais été. Je pense à lui. Je l’imagine me dire lâche toi ma chérie, profite et jouit. Je regarde l’objectif de Sylvie, en me disant que sur les photos, Frédéric verra mon regard et le plaisir que je prend.
Pascal accélère la cadence et me donne des coups de reins puissants. Son pubis stimule mon clitoris, à chaque fois qu’il s’enfonce en moi et fait monter mon plaisir encore plus fort. Je ne sais pas si je dois me lâcher réellement et jouir devant ces trois inconnus. Que penseraient ils de moi ? Je suis juste là pour une séance photos, pas pour jouir.
Après quelques minutes de ce traitement et alors que j’allais lâcher prise, Sylvie nous interromps une nouvelle fois :
- J’ai ce qu’il faut dans cette position…
J’étais monté très haut dans les sphères du plaisir. J’étais à deux doigts de jouir et je sais que j’aurais eu honte de me laisser-aller comme ça. Mais Pascal est un bon amant et j’ai peur de ne pas résister longtemps quand on va reprendre.
- … Une petite levrette ça vous convient Alexandra ?
- Oui.
- Parfait, mettez vous en position.
C’est la position que je préfère avec mon chéri, celle qui me fait jouir à tous les coups. Est-ce qu’avec Pascal, ça va être pareil ? Il faudrait que je résiste pour ne pas jouir devant eux. Je me retourne et me place à quatre pattes sur le canapé. Comme si Sylvie avait compris mon mal-être, elle enchaîne :
- Bien, c’est parfait. Alexandra, lâchez vous vraiment. Laissez vous aller. Un orgasme est magnifique à voir sur une photo. Alors, j’espère pouvoir vous offrir ce genre de photos. Aller Pascal, fait la jouir très fort.
Et bah au moins, je n’ai plus à me poser ce genre de question. Plus besoin de retenir ma jouissance. Pascal me tourne légèrement vers l’extérieur du canapé et il ressert mes jambes l’une contre l’autre. Il pose son pied sur le canapé, sa jambe sur le côté de mon corps. Son autre jambe, placée sur l’autre côté de mon corps, lui permet de rester debout juste derrière moi. Il pointe aussitôt son sexe sur ma vulve et me pénètre entièrement.
Ah la vache, que c’est bon. Mes jambes ainsi serrées, font que mon sexe est resserré également. Le frottement de sa queue sur les parois de ma chatte son amplifié et décuple mon plaisir. Il a posé ses deux mains sur mes hanches et il me baise dans un rythme soutenu. Sylvie tourne autour de nous pour faire son travail.
Finalement, je suis les conseils de Sylvie et jouis une première fois. C’est fort, intense et un second orgasme m’emporte loin du studio photo durant plusieurs secondes.
Je m’effondre sur le canapé. Mon visage contre les coussins, je suis complètement cambré le cul en l’air. Il en profite pour glisser un doigt dans mon petit trou. Je suis pas loin d'un troisième orgasme, lorsqu’il annonce qu’il va jouir dans pas longtemps. Il ralentit le rythme, comme pour se retenir un maximum. Sylvie me demande :
- Il jouit dans le préservatif Alexandra ou bien il peut le retirer ?
J’avais un peu réfléchi à la question depuis que j’avais accepté la séance. Alors, j’ai répondu assez rapidement :
- Il peut le retirer.
- Parfait, ça sera mieux pour les photos. Ça fera un beau final, un peu de sperme sur les fesses ou sur la poitrine.
C’était sa façon de demander ou je souhaitais qu’il éjacule. Là aussi, j’avais longuement réfléchi à la question. C’est un cadeau pour Frédéric, alors autant lui faire plaisir jusqu’au bout. Malgré tout, il n’est pas question d’avaler le sperme d’un inconnu, même si je sais que Frédéric m’aurait demandé de le faire. Alors, je réponds :
- Non Sylvie, ni sur les fesses, ni sur la poitrine. J’aimerais bien une faciale. Frédéric va adorer. ( J’espère )
Elle paraît un peu surprise, mais elle est enchantée par ce choix.
- Jusqu’au bout, vous allez en profiter Alexandra. C’est parfait. Pascal, à toi de la gâter.
- Avec plaisir. C’est tellement rare de faire des faciale à tes modèles, Sylvie.
- Alors donne tout ce que tu as. Mais préviens moi juste avant de lâcher la sauce, que je ne sois pas surprise et que je ne loupe rien.
Durant la conversation, Pascal a arrêté de me baiser pour se masturber doucement. Moi, je me suis redressée pour m’asseoir sur le canapé. Après la conversation, je me suis allongé sur le dos, la tête relevée par les oreillers. Pascal a changé sa façon de se masturber. Il varie entre branlette énergétique avant de ralentir à presque s’arrêter et de reprendre avec énergie. Il a agit comme ça, facilement deux, trois minutes, en soufflant comme un taureau en rut.
Après ces minutes de masturbation, il vient se placer juste au-dessus de moi, au niveau de ma poitrine, une jambe pliée sur le canapé, l’autre debout sur le sol. Il continue de se masturber de la même façon, un coup avec énergie, un coup lentement, énergiquement, lentement…. Il souffle, râle de plaisir, lançant des « ah oui, ah oui » régulièrement. Encore deux, trois minutes sont passées, comme ça, avant qu’il annonce :
- Ah oui, je viens….
Mon cœur s’est emballé. Je vois cette queue inconnue à quelques centimètres de mon visage, prête à cracher son sperme sur moi. Sylvie qui a pris quelques photos de la masturbation de Pascal au-dessus de moi, est passée en mode rafale.
Dans un râle amplifié, exagéré même, Pascal me zèbre le visage de son premier jet, du menton au front, en passant par mon nez et mes lèvres. Son deuxième jets, tout aussi puissant, s’écrase entre mon œil et mon nez. Une troisième salve finit sur mon menton et mes lèvres. Ces jets suivant, ne sont plus des jets en fait. Ce sont de grosses gouttes qui s’échappent de son gland, pour ffinirõsur mon visage, avant de devenir des gouttelettes.
Lorsqu’il a finit de cracher sa semence, il pointe son gland vers mes lèvres en espérant une dernière gâterie. J’imagine Frédéric me dire : « va y, suce le. Nettoie lui le gland. » Alors je le prends en bouche. Je le pompe, aspire ces dernières gouttes de sperme, malaxe son gland entre ma langue et mon palais. Je le suce comme ça, quelques dizaines de secondes, avant qu’il ne s’éloigne de moi, me laissant seule avec Sylvie. Je recrache le peu de sperme que j’ai dans la bouche, ne souhaitant pas avaler un inconnu. Elle prend encore quelques photos avant de lever la séance.
Aussitôt, laure arrive avec un paquet de lingettes, pour me nettoyer le visage. Elle me le laisse pour que je puisse finir de me nettoyer moi-même puis file me chercher mes vêtements. Très vite, je me retrouve seule dans le studio, pour finir de me préparer. Une fois prête et rhabillée, je retourne rejoindre Sylvie dans son bureau, qui discute avec Pascal.
On est resté une dizaine de minutes à discuter tous les trois, avant que Pascal s’en aille. Sylvie me demande si je souhaite sélectionner les photos qui iront dans l’album. Je lui répond que je lui fais entièrement confiance pour choisir les meilleurs. On c’est donné rendez-vous quinze jours plus tard, pour récupérer l’album.
…
J’ai récupéré l’album le vendredi soir, quinze jours après. Comme convenu, il est emballé dans un papier cadeau. Comme pour le choix des photos, j’avais décidé de ne pas regarder l’album. Je souhaitais le découvrir en même temps que Frédéric. J’espérais vraiment ne pas avoir fait de bêtises. Il n’était pas trop tard encore. Je pouvais ne pas lui donner et il en saurait jamais rien. Mais j’aurais le sentiment de l’avoir trompé.
…
Le samedi soir, nous sommes allé au resto pour fêter son anniversaire. Pour l’occasion, je me suis habillée plutôt sexy, pour lui faire plaisir. J’ai opté pour une petite robe rouge m'arrivant à mi cuisses et possédant un beau décolleté. Mes dessous étaient encore plus sexy, avec un ensemble, acheté la veille, en dentelle complet, tanga, soutien-gorge et porte-jarretelles plus des bas. La petite touche finale étant la paire d’escarpins à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres.
Frédéric est aux anges. Il me déshabille en permanence du regard. Je le vois fier également, chaque fois que des regards inconnus se posent sur moi. La soirée se passe bien, même si j’appréhende sa réaction pour l’album. Je l’avais prévenu que je lui offrirai son cadeau à la maison.
Arrivé à la maison, on a ouvert une petite bouteille de Champagne, que j’avais acheté le matin. On a trinqué à son anniversaire et le cœur battant à deux mille à l’heure, je lui donne le paquet cadeau. Je flippe vraiment de sa réaction.
Il m’embrasse et me remercie.
- Ouvre avant de me remercier.
Il commence à défaire doucement le paquet, comme s’il voulait ne pas abimer le papier cadeau. L’album a peine dévoilé, il a levé les yeux pour me regarder avec un grand sourire. Il a reconnu l’objet, puisqu’on a le même que l’on regarde régulièrement. Il a finit de déballer le cadeau et avant de l’ouvrir, il m’a embrassé, de nouveau pour me remercier.
- Attends, tu ne l'a pas ouvert encore.
- Merci quand même. Je sais que ça va me plaire.
J’espère. J’espère vraiment. Sinon, je suis dans la merde…
Il ouvre la première page. Sur la première photos, rien de méchant. Je suis assise, jambes croisées, dans un canapé habillé d’une belle robe noire, en train de lire un livre.
Il tourne la page et lève aussitôt ses yeux sur moi. Sur la deuxième photos, je suis toujours assise jambes croisées dans le canapé. Mais j’ai le visage levé sur Pascal qui se tient debout à côté de moi et me caresse le dos.
Il ne croit pas ce qu’il voit mais pense comprendre :
- Ce n’est pas ce que je pense ?
- Je ne sais pas ce que tu penses, alors regarde.
Il me fait un grand sourire. Je suis soulagé car je sais qu’il a compris. Il tourne la page. Sur la troisième photos, Pascal est penché sur moi et on s’embrasse sur la bouche.
Sur la quatrième photos, je mordille la lèvre inférieure de Pascal, alors que sa langue est collée à ma lèvre supérieure.
Sur la cinquième, on est toujours en train de nous embrasser et Pascal me pelote la poitrine.
Il ferme l’album et se lève. Je suis en panique, ça ne lui plaît pas du tout. Mais à ma grande surprise, il m’embrasse à pleine bouche, complètement amoureux. Puis, il me dit :
- Je veux voir la suite au lit.
Il me prend dans ses bras et m’entraîne dans la chambre. Il m’embrasse de nouveau et commence à me déshabiller. Il n'a rien dit encore sur les photos qu’il vient de voir, mais je sais maintenant, que ça lui plaît. Il me laisse juste en sous-vêtements et m’allonge sur le lit. Il se déshabille à son tour et reste en boxer. Je remarque qu’il bande déjà très dur. Il s’allonge sur moi et m’embrasse de nouveau, me caresse. J’arrive à lui demander entre deux baiser :
- Tu ne regarde plus ?
- Si, si, t’inquiète. J’ai trop envie de voir la suite.
- Alors va y.
Je suis impatiente de voir sa réaction jusqu’au bout. Il ouvre de nouveau son album et retrouve la page. Moi, je me colle à lui et pose une main sur sa poitrine. Je sens son cœur battre fort dans sa poitrine.
Sur la sixième photos, je suis en soutien-gorge, toujours assise jambes croisées et Pascal me caresse la poitrine. On est en train de se rouler une pelle.
Sur la suivante, on est debout, enlacés l’un contre l’autre. Je suis en bas et petite culotte et il me caresse les fesses.
Sur la huitième, on voit les lèvres de Pascal posées sur mon ventre en gros plan.
Il tourne la page et sur la neuvième photos, je suis debout, nue devant Pascal qui me lèche entre les seins.
Sur la suivante, Pascal est en train d’incliné ma tête en arrière en tirant mes cheveux et il m’embrasse dans le cou, une main sur une fesse.
Je descends ma main le long de son corps et la pose sur son boxer. Il bande vraiment très dur. Je suis rassuré sur sa réaction.
Sur la onzième photos, je suis allongée sur le canapé et Pascal est sur moi en train de m’embrasser le ventre.
Sur la douzième, on se regarde dans les yeux avec Pascal, alors qu’il caresse mon clitoris avec son pouce.
Comme s’il n’était pas encore assez dur, je ressens la queue de Frédéric se durcir un peu plus.
Sur la treizième photos, je suis allongée sur le canapé et Pascal est en train de me lécher la chatte.
Le sexe de Frédéric durcit encore plus. Je glisse ma main sous le boxer pour le caresser. C’est un feu d’artifice la dessous. Le gland est complètement trempé, gluant. Il mouille un max.
Sur la photo suivante je suis assise sur le canapé, en train de déboutonner la chemise blanche de Pascal, debout devant moi.
La quinzième photos me montre toujours assise sur le canapé à faire des bisous sur le ventre de Pascal.
Je masturbe doucement Frédéric, enroule la paume de ma main autour de son gland trempé.
Il tourne la page et sur la seizième photos, Pascal est en boxer devant moi et je lui fais toujours des bisous sur le ventre.
Sur la dix-septième photos, Pascal est toujours en boxer devant moi. On se regarde droit dans les yeux, alors que je caresse la bosse de son sous-vêtements.
La dix-huitième photos est un gros plan de mon visage, collé au boxer de Pascal, au niveau de son sexe.
Sur la photo suivante, je suis en train de lécher le sexe de Pascal à travers son boxer, les yeux rivés sur celui qui regarde la photo.
Frédéric est toujours aussi dur dans ma main. Son gland suinte au maximum tellement ce qu’il voit l'excite. Enfin, j’espère :
- Ça te plaît ?
- Oui, trop. Tu a fais ça quand ?
- Il y a quinze jours. Tu m’en veux pas ?
- Non, au contraire. Je t’aime.
Il m’embrasse à pleine bouche.
- Allez, regarde la suite.
Il tourne la page. Sur la photos suivante, je suis en train d’enlever le boxer de Pascal, son sexe à quelques centimètres de mon visage.
Sur la vingt et unième photos, j’ai pris le sexe de Pascal dans ma main.
Sur la vingt deuxième, Pascal a posé son sexe sur mes seins.
La photo suivante est un gros plan de mon visage avec le sexe de Pascal sur ma joue.
Sur la suivante, on nous voit de nouveau entièrement, Pascal debout devant moi, qui suis toujours assise sur le canapé et je suis en train de sucer son gland.
Sur la vingt-cinquième photo, c’est de nouveau un gros plan sur mon visage, la bite de Pascal dans ma bouche, en train de regarder amoureusement, celui qui visionne la photo notamment, Frédéric en ce moment.
Sylvie a encore fait du très bon boulot. Toutes les photos sont très belles. Il n'y a rien de vulgaire, malgré que se soit des photos de sexe. Et encore une fois, je suis mise en valeur dans cet album, je me trouve très belle.
Sur la vingt-sixième photo, je suis allongé sur le canapé et Pascal est entre mes cuisses, son sexe contre le mien.
Sur la suivante, il m’a entièrement pénétré, son pubis est collé contre mon clitoris.
Sur les deux photos suivantes, on nous voit sous deux angles différents, alors que Pascal me prend en levrette.
La trentième est un nouveau gros plan de mon visage en plein orgasme. On lit bien le plaisir que je prend à ce moment là.
La trente et unième photos est un nouveau plan de la levrette, toujours au moment de mon orgasme.
La trente-deuxième photo est spéciale. Elle a été prise comme si l’appareil avait été à la place des yeux de Pascal. On me voit de dos, en train de me faire prendre, alors qu’il a glissé un doigt dans mon cul.
J’ai arrêté de masturber Frédéric, je sentais son sexe palpiter et je ne voulais pas qu’il jouisse maintenant. Son gland est toujours aussi mouillé. Moi aussi je mouille et je ressens ma cyprine couler entre mes cuisses, tellement je suis excitée. On arrive sur les dernières photos de l’album.
La trente troisième photo me montre allongée sur le dos, Pascal juste au-dessus de moi, qui se masturbe à quelques centimètres de mon visage.
La suivante est un nouveau gros plan de mon visage et du sexe de Pascal, avec un beau jet de sperme bien épais en plein vol.
La trente-cinquième photos est le même gros plan du sexe de Pascal juste au-dessus de mon visage complètement maculé de sperme.
La trente-sixième est une nouvelle photo de mon visage, avec encore plus de sperme.
- Ah la vache, il a mis la dose le salop.
- Ça te plaît pas ?
- Ah si, au contraire, j’adore. Tu es magnifique avec tout ce sperme sur le visage.
- Merci mon chéri, contente que ça te plaise.
- Oui, ça me plaît vraiment, c’est un magnifique cadeau que tu m’a fait. Mais lui aussi ça lui a plus, vu la dose de sperme qu’il a déversé.
- C’est vrai qu’il m’en a mis beaucoup. Mais il m’a dit à la fin, qu’il c’était abstenu durant toute la semaine d’avant. Du coup, il avait du stock.
On rigole tous les deux, avant que je lui dise de regarder la fin de l’album.
On me voit sur la trente-sept et la trente-huitième photo, sous deux angles différents, le visage recouvert de sperme, en train de sucer Pascal.
La trente-neuvième photo est un nouveau gros plan de mon visage, tout enduit de sperme, ou l’on distingue parfaitement que je recrache celui que j’ai dans la bouche.
Sur la dernière photos, on me voit en entière, allongée sur le canapé, le visage complètement souillé de sperme bien blanchâtre et bien épais en train de mimer l’envoi d’un baiser à Frédéric.
…
Il a pris tout son temps pour regarder son album. Une fois finit, il le referme et le pose sur la table de nuit. Il se retourne et glisse sur moi. Je vois dans son regard, de la joie et de la fierté. Il m’embrasse et me remercie encore.
- Ça t'a plus ?
- Oui, beaucoup. Vraiment beaucoup.
- Tu m’en veux pas ? J’appréhendais énormément.
- Non, au contraire. Je suis super content que tu ai fait ça. J’espère que tu a pris beaucoup de plaisir et qu'il t’a fait jouis.
- Oui, c’était très bien et il m’a offert un orgasme.
- Humm, tu m'a vraiment excité.
- Oui, j’ai vu ça. Attends, je ne peux pas te laisser comme ça.
Je le fais basculer sur le dos et passe sur lui. Je l’embrasse, descend sur son cou, sa poitrine, mordille ses tétons. Je m’attarde, laisse durer le plaisir avant de reprendre ma route vers le sud. Bisous sur son ventre, son nombril, je poursuis encore plus vers le bas. Son gland contre ma joue, je lèche son pubis englué de son pré sperme tellement il a mouillé. Vu le résultat, son excitation était vraiment réelle de me voir sur ces photos. Il bande toujours aussi dur, peut être comme il n’a jamais bandé. Non, j’exagère… Il bande toujours très dur.
Je prends son sexe dans ma main et commence à enrouler ma langue autour de son gland, avant de le prendre dans ma bouche. Je le pompe, masturbe sa queue d’une main, malaxe ses couilles de l’autre. Son goût est caractéristique, il mouille toujours énormément. Il s’accroche aux draps et souffle comme une bête. Mais ça ne dure pas très longtemps. A ma grande surprise, il me dit qu’il va jouir.
Oui, à ma grande surprise, car Frédéric ne jouit jamais d’une fellation. Jamais. Il aime que je le suce, c’est même ce qu’il préfère. Il aimerait jouir d’une gâterie, mais jamais, jamais, il jouit d’une fellation. J’ai essayé à plusieurs reprises. Je l’ai sucé pendant plus d’une heure, voir même encore plus longtemps, mais rien n’y fait. Je vous vois venir. Vous allez vous dire que je ne sais pas y faire. Rien à voir, il a toujours été comme ça.
Alors, quand il me prévient qu’il va jouir, je ne veux pas louper l’occasion. Je le pompe encore plus et englouti son sexe un peu plus profondément dans ma bouche. J’accélère la masturbation et je lève mes yeux vers lui. Je veux le voir jouir. Il me regarde lui aussi. Nos regards ne se quittent plus.
Soudain, ma bouche se remplit de son nectar. Il râle de plaisir, s’accroche un peu plus aux draps, mais ne détourne pas son regard. Ma bouche est vite pleine et pour ne pas en perdre une goutte, je déglutis. Il continue de se déverser sur ma langue et remplit de nouveau, abondamment ma bouche. J’avale de nouveau son sperme et m’active un peu plus sur son sexe, son gland et ses couilles. Il est pris de soubresauts incontrôlables et bascule sa tête en arrière en hurlant de plaisir. Je le regarde avoir cet orgasme puissant, qui le terrasse.
Après quelques secondes à continuer de le sucer et le voir prendre autant de plaisir, je remonte le long de son corps en l’embrassant partout, jusqu’à son visage pour l’embrasser langoureusement. On reste dans les bras l’un de l’autre, en se faisant des petites caresses. Mais après quelques minutes à se faire des caresses et des bisous, je ressens toujours son sexe bien dur, contre mon ventre. Il n'a toujours pas débander.
Je me redresse, attrape sa queue à pleine main et la guide vers ma chatte, pour m’empaler dessus. Humm, que c’est bon.
Je commence par bouger mon bassin d’avant en arrière. Il m’attrape les seins, les caresses, les malaxe, en pince les tétons. Mon rythme est lent et je profite de son sexe, entièrement ancré dans mon sexe. Il est toujours dur comme une batte de baseball, malgré qu’il vient de jouir.
On baise plusieurs minutes comme ça, avant qu’il me retourne pour passer sur moi. Il s’enfonce aussitôt en moi et commence des vas et vient plutôt lent. Tantôt il m'embrasse à pleine bouche, tantôt il me regarde dans les yeux. Mon plaisir monte très vite et finalement, je jouis aussi très vite. Il me murmure à l’oreille, juste après mon orgasme :
- J’aime te voir jouir, ça m’excite plus que tout. Tu es tellement belle.
- Oh mon chéri, baise moi encore, c’est tellement bon.
Il accélère la cadence, faisant monter encore plus mon plaisir. Je sais qu’il veut me voir jouir encore une fois. Mais moi, je voudrais qu’il jouisse avec moi, en même temps. Alors, je lui dis :
- Vient avec moi.
- Oh oui…
Il accélère encore plus. Mon plaisir monte encore plus. Je ne vais plus tenir très longtemps. Je plante mes ongles dans son dos, pour l'attirer contre moi. Il m’embrasse, me baise, m’embrasse. Je viens… Je vais jouir de nouveau… Je glisse ma tête à côté de la sienne et lui demande à l’oreille :
- Tu a aimé me voir sur ces photos ?
- Oui ma chérie, j’ai adoré…
Je lui soulève la tête pour le regarder dans les yeux et je lui dis :
- Tu sera là… La prochaine fois, tu sera là.
Ses yeux s’écarquillent, il me sourit, il râle de plaisir. Je ne peux résister plus longtemps et je suis emportée par un orgasme très puissant. Je ressens en moi, ses jets de sperme qui m'inonde le sexe. Nos deux jouissance simultanées, sont intense. Très intense. Il s’écroule sur moi et on reste quelques minutes, l’un contre l’autre, pour retrouver nos esprits.
Finalement, je lui glisse à l’oreille, juste avant de sombrer dans le sommeil :
- Encore joyeux anniversaire mon chéri. Je t’aime.
Fin
Frédéric, a lui aussi cinquante et un ans. Lui, il me trouve toujours très belle, désirable et à toujours autant envie de me faire l’amour. Me faire l’amour mais surtout, me voir prendre du plaisir et jouir. C’est ce qu’il aime le plus dans le sexe. D’ailleurs, c’est très difficile pour lui, lorsqu’il me pénètre, de se retenir lorsque je jouis. Ça l’excite tellement, qu’il jouit pratiquement toujours, en même temps que moi. Et ça, j'adore. Bien sûr, pour me faire jouir à multiples reprises, il utilise ses doigts, sa bouche, des sextoys. Je vous rassure, il sait très bien se servir de sa queue aussi.
Il n'a pas de complexe. En tout cas, il en a plus. Comme il dit, on est comme on est, on a ce que l’on a. Mais je sais qu’il n’aime pas sa queue. Il la trouve trop petite, tout juste dans la moyenne nationale. Il pense qu’avec un engin plus grand, je prendrais plus de plaisir et que je jouirais plus fort et plus souvent. C’est pour ça qu’il aimerait me partager avec un autre homme.
Il est candauliste. Il aimerait me voir avec un homme, qui soit bien gâté par dame nature. Moi bien sûr, je ne veux pas. Je l’aime et il me suffit largement. En plus, qui voudrait de moi ? Je suis laide, vieille et grosse. Aucune chance qu’un autre homme que mon mari, veuille de moi.
Un soir, alors que l’on est à table, il me demande ce que je souhaiterais pour mon anniversaire. Je n’ai besoin de rien et franchement, je n’ai vraiment aucune idée de ce qu’il pourrait m’offrir. Il me dit avoir une idée, mais qu’il ne peut pas m’en faire la surprise, car il faut que je sois d’accord. J’ai tout de suite imaginé qu’il voulait m’offrir à un homme et il en était pas question. J’ai été surprise lorsqu’il m’a dit, vouloir m’offrir une séance photos boudoir :
- Une séance quoi ?
Je n’avais aucune idée de ce que c’était. Je n’avais même jamais entendu ce terme. Pour moi, un boudoir est un biscuit.
- Une séance photos boudoir. C’est une séance photos ou le modèle est en petite tenue ou bien nu, mais caché par des objets, des draps, des voiles, des vêtements. On devine la nudité mais on ne voit rien.
J’ai tout de suite pensé que c’était plus un cadeau pour lui que pour moi. Mais il a su apporter les arguments. La séance boudoir, est parfait pour donner ou redonner confiance à une personne. Etre photographié par un professionnel qui va sublimer son modèle et faire ressortir tous ses atouts pour que le modèle justement, se trouve beau ou belle.
Mon cœur battait la chamade, comme une jeune pucelle qui s’apprête à coucher avec un homme pour la première fois. L’idée me fait peur,m mais je la trouve bonne et originale. Il pensait que j’allais refuser et à été surpris que je lui dise ok. Ok, mais à deux conditions. Que se soit une et non pas un photographe et que je vois les avis sur cette photographe.
…
Il a mis du temps à trouver la photographe qui conviendrait. Déjà, il n’y en a quasiment pas dans notre ville, qui font ce genre de photos. Et Frédéric recherchait celle qui avait le plus d’avis favorable, pour être sûr que je ne change pas d’avis.
Un dimanche après-midi, il m’a montré le site internet de la photographe sélectionnée. Je l’ai parcouru, regardé ce qu’elle fait. Elle est surtout spécialisée dans les photos de couple, mariage, famille, nouveau né. Les photos exposées sur son site, sont vraiment très jolies. Elle est photographe depuis plus de quinze ans, ce qui démontre une certaine expérience professionnelle. Et les avis favorables de ces clients, sont très unanimes dans son savoir-faire, son expérience, sa gentillesse et sa façon de faire oublier l’objectif.
On lui a envoyé un message pour lui dire que l’on serait éventuellement intéressé, pour une séance photos boudoir. Elle nous a informé qu’il y aurait un premier rendez-vous, autour d’un café, pour apprendre à se connaître et discuter du projet.
Je suis allé au rendez-vous une semaine plus tard. Elle m’a expliqué comment se passait ses shooting, on a discuté de moi, de mes complexes, de ma perte de confiance. Se fut un rendez-vous très agréable et j’avais moins de craintes, à sauter le pas.
Le soir, j’en ai parlé à Frédéric. Il était ravi que j’accepte de poser pour une séance boudoir et par la suite, il s’est occupé de toutes les formalités. La date avait été posée pour un samedi après-midi, un mois plus tard.
…
Le jour J est arrivé. J’étais anxieuse. Lorsque je suis arrivée au studio, comme lors du premier rendez-vous, Sylvie, c’est le prénom de la photographe, a réussi à me mettre à l’aise. On s’est installé dans un petit salon et son assistante nous a proposé un café, un thé ou bien, un rafraîchissement. Une fois les boissons servit, Sylvie m’a annoncé :
- Votre mari a choisit la formule toutes options. Nous attendons les stylistes, qui ne devraient plus tarder et la séance commencera par un relooking. Rien d’extravagant, brushings et maquillage réalisé par des professionnels. Ça vous va ?
- Oui, mais j’aimerais resté assez naturel et ne pas ressembler à un pot de peinture.
- Ne vous inquiétez pas, vous avez la main sur ce qu’ils vont faire. Vous pourrez leur demander ce que vous voulez.
- Parfait.
- Ensuite, vous aurez une séance de coaching, pour apprendre à poser. Ne vous inquiétez pas non plus, on ne veut pas faire de vous un mannequin professionnel.
- Ça ne risque pas.
- Attendez de voir mon travail avant d’avoir des préjugés sur vous. Vous êtes une très jolie femme. Ensuite, on commencera les trois heures de shooting photos.
- Trois heures ?
- Oui mais vous allez voir, ça passe très vite. C’est vraiment un moment pour vous et vous allez adorer. Vous allez vite lâcher prise et vivre une expérience sensuelle au-delà de vos appréhensions.
- D’accord, si vous le dites…
- Mais c’est sur. Vous allez adorer. Ensuite, vous aurez le choix. Soit on sélectionne une vingtaine de photos ensemble, soit vous me laissez libre choix. De toute façon, d'ici une quinzaine de jours, vous pourrez récupérer un magnifique album en cuir luxueux, présenté dans son coffret en bois plus, une photo 40x30. Ça vous va ?
- Oui, c’est parfait.
C’est à ce moment que le coiffeur et la maquilleuse sont arrivés. Dans une bonne ambiance, ils ont commencé leur travail. D’abord, par les cheveux. Shampoing, brushing et coiffage, puis le maquillage. C’était léger, mais le résultat me plaisait beaucoup. Une fois terminé, Sylvie m'a demandé :
- Vous avez emmené avec vous des tenues pour le shooting ?
- Non, sauf ce que j’ai sur moi.
- Pas d’inquiétude. Comme je vous l’avez précisé lors de notre premier rendez-vous, j’ai un large choix de tenues et accessoires. Tout est nettoyé et désinfecté après chaque utilisation. Je vous propose d’aller choisir les tenues qui vous plaisent. Je vous conseil pas plus d'une tenue par heure. C’est une bonne moyenne. Au-dessus, ça fera trop pour le montage final. Mais encore une fois, s’est vous qui décidez.
Dans le large choix des nombreuses tenues et malgré que se soit un moment pour moi, je choisis des tenues qui j’en suis sur, vont plaire à Frédéric. Je vais également suivre les conseils de Sylvie et opter pour trois tenues.
La première sera un ensemble de sous-vêtements noirs en dentelle, composé d’un soutien-gorge, un tanga, un porte-jarretelles, des bas et des escarpins noir à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres.
La deuxième tenue sera composée d’une nuisette transparente noire également, un string noir et soyons fou, pas de soutien-gorge. La transparence de la nuisette laissera deviner ma poitrine.
Enfin, pour la troisième tenue, je choisis un ensemble rouge composé d’une guêpière, d’un string, des bas et des sandales à talons hauts d’une dizaine de centimètres noirs.
Ensuite, Sylvie m’a fait une petite séance de coaching, m’expliquant ce que je devais faire et ne pas faire, comment agir face à l’objectif. Elle m’a dit que tous ces conseils seraient rappelés au cas où, durant l’après-midi.
Enfin, je suis allé me changer, juste avant de commencer la séance photos. Lorsque je suis entré dans le studio, en petite tenue sexy, je me suis trouvé très conne, devant Sylvie et son assistante, Laure. Mais Sylvie a tout de suite trouvée les mots pour me détendre et me mettre à l'aise.
Les trois heures sont passées très vite. A chaque heure, j’allais me changer et à chaque fois, j’avais l'impression que seulement une vingtaine de minutes étaient passées. Je ne me rendais même plus compte, que je posais presque nue. Tout était naturel, normal. Sylvie est une très grande professionnelle. Si le résultat final est à la hauteur de la séance photos et de l’après-midi que je viens de passer, je ne devrais pas être déçu.
Elle m’avait prévenu plus tôt, que le temps passerait très vite. Que j’allais adorer et vite lâcher prise. Que ça serait une expérience sensuelle au-delà de mes appréhensions. Elle avait tout bon. Je me sentais bien mentalement et presque bien dans mon corps.
- Ça va Alexandra ? Ça été ?
- Oui, parfait. C’était très bien.
- Je vous propose d’aller vous rhabiller. On se voit juste après.
Je me suis changé et lorsque je suis revenu dans son bureau, elle était déjà en train de vider les cartes mémoire de ses appareils photos dans son PC. Elle m’a offert un café et m'a demandé si je souhaitais voir avec elle, pour sélectionner les photos qui iront dans l’album. Je préférais lui laisser le libre choix en lui faisant entièrement confiance.
…
Avec Frédéric, nous sommes allés chercher l’album quinze jours plus tard. Rien que l’album, sans l’ouvrir, c’est un très bel objet. La couverture est en cuir luxueux et il est présenté dans son coffret en bois. Mais les photos, waouh… Pour la première fois depuis très longtemps, je me trouve magnifique. J’affiche un large sourire en tournant chaque page, tellement je suis belle sur chaque photo. Quel belle idée il a eu mon chéri, de m’offrir un tel cadeau. Un peu réticente au début, aujourd’hui, j’aimerais bien renouveler l’expérience.
…
Presque quinze mois sont passés depuis le jour où on a récupéré notre album photos. J’ai retrouvé une certaine confiance en moi et je me sens mieux dans mon corps. Je ne me trouve plus trop grosse et surtout, ma libido est repartie à la hausse, pour le plus grand bonheur de Frédéric.
Mon envie de renouveler l’expérience d'une séance photos est toujours présente. Je me laisserais même tenter, par une séance de nue. Je sais en plus, que ça ferait plaisir à Frédéric.
Ce samedi après-midi, je suis allée me balader en ville. Après avoir visité plusieurs boutiques, je suis rentrée dans celle de Sylvie. Elle m’a tout de suite reconnue :
- Ah, bonjour Alexandra, comment allez vous ?…
Après quelques minutes à discuter, je lui dis que j’aimerais refaire une séance photos. Elle a demandé à Laure son assistante, de tenir la boutique et m'a invité à aller boire un verre dans un café voisin, pour en discuter. Après avoir commandé nos verres, elle m’a demandé de lui parler de mon projet :
- En fait, la dernière fois, c’est Frédéric qui m’a offert la séance, pour mon anniversaire. Cette fois, j’aimerais lui offrir, pour son anniversaire.
- Je ne comprends pas. C’est pour vous ou pour Frédéric ?
- Le modèle, c’est moi. Je veux lui offrir l’album pour son anniversaire.
- Ah ok, je comprends mieux.
- Du coup, comme c’est pour lui, je pensais poser nue. Vous faites aussi les nues ?
- Oui, oui, je fais les nues également. Ça se passe comme pour les séances boudoir. Mais vous savez, certains hommes n’aiment pas l’idée que leur femme pose nue devant un ou une inconnu. Ça pourrait être un cadeau empoisonné.
- Pas pour Frédéric. Je suis sur qu’il va apprécier. Je dirais même qu’il va regretter que le photographe ne soit pas un homme.
- Dites m’en plus, si ce n’est pas trop indiscret.
- Frédéric est candauliste. Il aimerait me voir avec un autre homme. Je lui refuse ce fantasme, alors si je pose nue, pour lui, ça sera que du bonheur.
- Ah oui d’accord, je comprends. Mais du coup, je pense à un truc un peu farfelu.
- A quoi ?
- Ecoutez, je vais vous proposer quelque chose. C’est juste une proposition, vous acceptez, vous refusez, je ne vous jugerez pas.
- Vous me faites peur là.
- Il ne faut pas… Je fais également des séances de photos érotiques. Avec des couples, mais pas que… Il m’arrive de faire des séances érotiques, pour des femmes seules. Je travail avec un modèle, un homme, qui se prête au jeu…
J’ai le cœur qui bat à deux mille à l’heure, les yeux écarquillés. Qu’est-ce qu’elle est en train de me dire ? Elle doit ressentir mon malaise, mais elle enchaîne :
- Pas d’inquiétude Alexandra, si ça ne vous intéresse pas, vous me le dites. Mais laissez moi vous expliquer, ça ne vous engage à rien.
- Allez y, je vous écoute.
- Quand c’est des couples qui se présente à moi, pour faire ce genre de séance, je les guide un peu mais généralement, je leur laisse toutes liberté…
- Des couples font ça ? Il aime se faire photographier par une inconnue pendant qu’il… ?
- Oh oui. Et plus que vous pouvez l'imaginer. Des femmes également, célibataires ou pas. En général, lorsqu’une femme seule se présente à moi, pour ce genre de séance, je guide complètement la séance. Déjà, je travail avec un seul homme. J’ai une entière confiance en lui et les séances se passent toujours très bien. En plus, l’avantage d’avoir qu’un seul modèle, s’est qu’il connait parfaitement ma façon de travailler et tout est plus naturel. La cerise sur le gâteau, c’est qu’il est très bel homme…
Ne sachant pas trop quoi répondre je dis simplement :
- Ok
- Je guide la séance, comme si c’était un couple amoureux. Chaque modèles va déshabiller l’autre, puis simuler une partie de sexe. Attention, je dis simuler mais ça n’empêchera pas les contacts et les attouchements, pour que ça paraisse réel.
- Ok.
- Pareil, je dis simuler mais vous restez libre de faire ce que vous voulez. C’est vous qui décidez de tout. Il arrive très souvent, voire même tout le temps, que mes clientes se laisse aller et finalement, couche réellement avec mon modèle.
- Je vois.
- Au niveau des tarifs il y a deux options. La première, c’est la même chose que la séance boudoir, tout est compris. Les stylistes pour un relooking, coiffure et maquillage. Puis, la séance shooting et enfin la sélection de quarante photos exposées dans un magnifique album en cuir luxueux, présenté dans son coffret en bois plus, une photo 40x30.
- Quarante photos ? Pas vingt ?
- Oui, quarante photos puisque mon modèle paie une partie de la séance. Bien entendu, lui n'aura vraiment aucune photo. Elle reste votre propriété.
- Ok…
- La deuxième option est tout comme la première, sauf qu'elle ne vous coûte absolument rien. Les photos restent ma propriété et pour me faire payer, je vais les vendre à des sites spécialisés….
- Ah non, non, non ... Il en est pas question. Je ne souhaite pas voir mes photos sur internet.
- Mais une séance érotique vous intéresse ?
- Je n’ai pas dis ça. Je ne sais pas. Il faut que j'y réfléchisse.
- C’est quand l’anniversaire de Frédéric ?
- Dans un mois.
- Bien, dans ce cas, il ne faut pas perdre de temps. Rappelez vous qu’il me faut une quinzaine de jours pour faire l’album. Alors, il faut que la séance se déroule dans les quinze prochains jours. Retournons à mon bureau pour définir d’une date. Vous aurez jusqu’à cette date pour réfléchir à quel genre de photos vous souhaitez offrir à Frédéric.
Nous avons convenu d’un rendez-vous pour le samedi après-midi, quinze jours plus tard. Sylvie m’a dit qu’elle voyait avec Pascal, c’est le prénom de son modèle, pour qu’il réserve son samedi, au cas ou.
Je ne savais pas quoi faire. Ma première idée était que je ferais juste une séance de photos nue, sans Pascal. Mais j’étais tiraillée par l’idée de pouvoir enfin faire très plaisir à Frédéric. Je l’imaginais, un grand sourire aux lèvres et les yeux pétillants de plaisir, en train de regarder les photos de sa femme nue, dans les bras d’un autre homme. Sylvie m’a dit que c’était juste de la simulation. Mais on va se coller, se frotter l’un l’autre. Sûrement se caresser même. Suis-je prête pour ça ? Mais je sais aussi, que ça serait un cadeau inoubliable pour Frédéric.
Je me suis torturé la tête jusqu’au jeudi juste avant la séance. Mon désir de faire plaisir à Frédéric avait été plus fort et j’ai appelé Sylvie pour lui dire de réserver Pascal. Je flippais à présent. Je ne savais même pas comment allait se dérouler la séance.
…
Je suis arrivée avec un peu d’avance au rendez-vous. Sylvie m’a offert un café et on a commencé à discuter de la future séance :
- Ça va Alexandra ? Pas trop anxieuse ?
- Si, un peu.
- Détendez vous. Comme la dernière fois, c’est un moment pour vous. Vous verrez, ce n’est que du plaisir. Et n’oubliez pas non plus, pourquoi vous le fait. Pour le plaisir d’offrir à Frédéric, un cadeau original et inoubliable.
- Oui, je sais.
- Rappelez vous que vous êtes la maîtresse de la situation, d’accord ?
- Oui.
- Vous allez tout gérer. Je vais vous guider, vous orienter, vous dire quoi faire. Libre à vous de le faire ou pas.
- Ok.
Je suis comme une gamine, ne sachant pas trop quoi répondre.
- Je vous rappelle également que vous pouvez parler pendant la séance, dire si des choses ou des gestes vous dérange. Vous pouvez aussi prendre des pauses et faire tout ce que vous voulez.
- D’accord.
- Bien… Parlons de Pascal maintenant. Vous allez voir, il est adorable. Gentil, à l’écoute, doux, intelligent, bel homme. Il a beaucoup de qualités. Mais il reste un homme. Si je lui demande de poser une main sur votre poitrine, il va le faire au début. Mais très vite, il va commencer doucement à vous caresser, puis vous peloter. C’est à vous de mettre les limites à ne pas dépasser. Si un geste vous dérange, stop. Vous lui dites tout de suite. Ok ?
- Oui.
- Parfait. Je vous rappelle que pour les photos, je n’ai besoin que de vos poses. Je m’explique : Photos de baiser, vous effleurez ou collez vos lèvres et je vous photographie. Caresse de votre poitrine, pareil. Il pose sa main sur un sein et je photographie. C’est comme ça que ça doit se passer.
- C’est comme ça que je l’ai compris.
- Parfait. Sachez quand même, que le résultat final est beaucoup plus réussi, lorsque la séance est plus naturelle.
- Je ne comprends pas.
- Revenons à l’exemple de la poitrine. S’il pose sa main sur votre sein pour simuler la caresse de celui-ci, je photographie cette pose. Ok ?
- Oui.
- Imaginons maintenant, que vous laissez Pascal vous peloter. Je vais mitrailler la scène, ce qui me laisse plus de champ libre et donc, plus de choix pour la confection de l’album…
C’est à ce moment que le coiffeur et la maquilleuse sont arrivés, stoppant la conversation. Juste avant d’aller à leurs rencontres pour les accueillir, Sophie a juste ajouté :
- Vous avez compris l’idée ?
Cette dernière question m’a laissé complètement perplexe. A présent, je me demandais jusqu’où je devais aller pour avoir un bel album, pour faire plaisir à Frédéric et surtout, ne pas le tromper. Très vite, je me suis dis que je ne pouvais pas le tromper. Certes, je vais faire ça dans son dos, mais c’est pour lui faire une surprise. Je vais faire ça, parce que c’est lui qui rêve de me voir dans les bras d’un autre homme.
La séance de relooking a commencé, comme la dernière fois, par la coiffure. Et comme la dernière fois, on m’a fait un shampoing, un brushing et on m'a coiffé. Ensuite, la maquilleuse a pris le relais. Je lui ai demandé la même chose que la fois précédente, quelque chose de léger, pour rester le plus naturelle possible.
Pascal n’était toujours pas arrivé lorsque les deux stylistes sont partis. Sylvie m'a invité à aller choisis une tenue, pour me changer. Ne s’agissant pas d’une séance photos boudoir, je devais en choisir qu’une, mais une tenue complète. J’ai misé sur une belle robe longue noir, maintenue par un nœud autour de mon cou, bras et dos nu, fendue sur le côté presque jusqu’en haut de mes cuisses. En dessous, un ensemble en dentelles blanche, composé d’un tanga et soutien-gorge, des bas noirs auto fixant et une paire d’escarpins noirs également, à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres. Toute une tenue qui j’en suis sur, plairait à Frédéric.
Lorsque je suis sortie de la pièce qui sert de dressing et de vestiaire, pour rejoindre Sylvie et Laure son assistante, Pascal était arrivé. J’ai eu une bouffée de chaleur qui m’a certainement fait complètement rougir et mon cœur s’est emballé. Je ne savais pas trop comment réagir. Sylvie a tout de suite fait les présentations :
- Alexandra, voici Pascal. Pascal, je te présente Alexandra.
- Enchanté Alexandra…
Il s’est rapproché de moi pour me faire quatre bises. J’étais vraiment comme une jeune pucelle lors de son premier rendez-vous, très anxieuse. Pascal paraissait très a l’aise. Sylvie ne m’avait pas menti. Il est plutôt bel homme. La quarantaine d’années, grand brun, pas très épais et le visage fraîchement rasé. Il porte un pantalon en toile noir et une chemise blanche. Juste après les quatre bises, Sylvie a enchaîné :
- Je te rappelle les règles Pascal, c’est Alexandra qui a la main. Elle décide des limites. Ok ?
- Oui, comme d’habitude.
- Parfait. Alexandra, vous êtes prête ?
Avec beaucoup d’appréhension, je répond « oui ».
- Bien. Alors c’est parti, suivez moi.
On l’a suivi dans une pièce voisine. C’était un studio photo, sans la moindre fenêtre. Au premier plan, il y a des éclairages, des réflecteurs, des appareils photos, montés sur trépieds et plein d’autres accessoires de photographe. Au second plan, le studio photo est aménagé en salon. Ça me fait penser à un décor de pièce de théâtre. Canapé, fauteuil, table basse, une petite bibliothèque et divers petits meubles. Sur le mur du fond, décoré comme un vrai salon, avec deux petits tableaux, une petite étagère murale qui supporte un vase de fleurs et surtout, un trompe l'œil très réussi, représentant une porte-fenêtre donnant sur un balcon et une ville.
- Pascal, tu reste là pour le moment, je vais commencer avec Alexandra..
- Ça marche.
- Allez Alexandra, suivez moi.
Nous sommes allés vers le canapé.
- On va commencer ici. Je veux que tout soit le plus naturel possible, ok ?
- On va essayer.
- Ça va aller. Prenez place dans le canapé. Bien. L’idée c’est de créer une petite histoire. Au fur et à mesure que l'on tournera les pages de l’album photo, l’histoire avancera. Ok ?
- D’accord.
- Je vais commencer par vous photographier dans cette tenue. Vous serez seule, installé dans le canapé, avec un livre. Ensuite, Pascal, votre chéri pour l’histoire, va vous rejoindre et venir vous chauffer. A partir de la, la séance érotique pourra commencer. Ça vous va ?
- Je sais pas, j’ai un peu peur.
J’ai toujours le cœur qui bat à deux mille à l’heure. Je ne suis pas sereine. Mais je sais que je vais faire très plaisir à Frédéric.
- C’est normal. Mais vous allez vite vous détendre, une fois commencé. Et n’oubliez pas que c’est vous qui décidez de tout, même si je vais vous guider et vous dire ce que je souhaite. Libre à vous de le faire ou pas. Prête ?
- Pas vraiment, mais allons y.
- C’est parti. Prenez le livre et commencez à lire, comme si vous étiez chez vous. Vous oubliez tout ce qu’il y a autour, ok ? Vous êtes seule.
Je m’installe le plus confortablement possible dans le canapé et croise mes jambes. Par ce geste, ma cuisses se dénude jusqu’à la limite de l’élastique du bas. J’ouvre le livre dans le milieu et je commence à lire. Sylvie tourne autour de moi et me mitraille de son appareil photo. Elle utilise également les appareils posés sur les trépieds.
- Parfait. Maintenant, Pascal va vous rejoindre. On imagine qu’il arrive par surprise, sans faire de bruit. Vous lèverez les yeux sur lui, que lorsqu’il vous touchera. A ce moments, vous serez heureuse de le voir et vous lui ferez votre plus beau sourire. Ça marche ?
- Oui.
- Pascal, à toi. Tu rejoins Alexandra et tu va lui caresser le dos.
J’ai reçu comme une décharge électrique dans mon corps lorsque la main chaude et douce de Pascal a caressé mon dos. J’ai levé ma tête vers lui pour lui sourire. On restait tous les deux dans cette position, alors que Sylvie continuait de nous mitrailler.
- C’est parfait… Collé vos lèvres, simulé un baiser maintenant.
Pascal s’est penché en-avant et est venu mettre en contact, ses lèvres contre les miennes. J’avais chaud à présent. La séance était réellement lancée et je ne savais toujours pas, jusqu’ou je pourrais aller. Encore une fois, on gardait la position le temps que Sylvie nous prenne en photo sous divers angle.
- Ça va toujours Alexandra ?
On s’est décollé les lèvres et j’ai répondu « oui » à Sylvie. Je n’étais toujours pas à l’aise, mon cœur tambourinait très fort dans ma poitrine, mais ça allait à peu près.
- Bien, on continue alors. Vous reprenez la ou on a arrêté, la scène du baiser.
Pascal s’est penché de nouveau sur moi pour poser ses lèvres contre les miennes. Il reprend ses caresse sur mon dos.
- Bien. Si vous voulez bien Alexandra, mordez lui la lèvre inférieure.
Il a légèrement entrouvert sa bouche et avec une micro seconde d’hésitation, j’ai attrapé sa lèvre entre les dents.
- Gardez la position, c’est parfait.
Le crépitement de son appareil photo se fait entendre tout autour de nous. Pascal a sorti, sans que Sylvie lui demande, sa langue, qui est venu caresser ma lèvres supérieure. Je sais que je peux rompre le contact immédiatement, mais je ne le pas fais. Du coup, Sylvie nous encourage, à continuer, contente que je laisse les choses se faire, dans ce début de séance.
- Alexandra, Pascal va caresser votre poitrine maintenant. Mais au dessus de votre robe pour commencer. Ça ira ?
- Oui, ça ira.
- Ok Pascal, quand tu veux. Mais soit doux et sensuel. Simulé toujours le baiser. N'oubliez pas que vous êtes censé être un couple très amoureux.
Toujours penché sur moi, ses lèvres contre les miennes, une main caressant mon dos dénudé, il a posé délicatement son autre main sur un de mes seins. Pour la première fois de ma vie, un autre homme que Frédéric me touche la poitrine. La sensation est étrange. J’ai l'impression de le tromper, même si je fais ça pour lui. Au début, Pascal ne bouge pas sa main. Mais très vite, il se met à caresser vraiment mes deux seins. Je décide de le laisser faire pour le moment. J’ai chaud, alors qu’il fait une température normale dans la pièce.
- Bien Pascal, défait le nœud qui retient la robe d’Alexandra.
J’ai de plus en plus chaud. Il continue de me peloter les seins d’une main, alors que son autre main remonte jusqu’à ma nuque pour dénouer le nœud de ma robe. Alors qu’il l’aide à descendre sous ma poitrine, révélant mon soutien-gorge, on simule toujours un baiser. Simulé est un grand mot à présent. J’avais sorti moi aussi ma langue. Et même si on ne se roulait pas une pelle, nos deux langues étaient en contact.
- Vous êtes magnifique tous les deux. On continue comme ça, si vous voulez bien.
Sylvie tourne autour de nous, faisant son travail de photographe et nous encourage en permanence. Par contre, je ne sais pas trop ce que fait Laure son assistante. Elle va et vient ici et là, s’active, manipule les appareils photos, mais ne prend aucune photo.
- Alexandra, on va passer à la partie ou Pascal va vous déshabiller, ça vous va ?
- Je crois que je suis là pour ça.
- Oui, c’est vrai. Ensuite, on prendra une petite pause pour souffler et retrouver ses esprits.
- Avec plaisir.
Mon cœur s’est emballé de plus belle. Je suis complètement morte de trouille.
- Pascal, tu va dégrafer le soutien-gorge d’Alexandra pour pouvoir lui caresser les seins. Avec beaucoup de douceur.
On a repris la pose que l’on venait de rompre. De nouveau penché sur moi pour simuler le baiser, une main dans mon dos, l’autre sur ma poitrine. Alors qu'il me caresse la peau du dos, avec beaucoup de facilité et sans vraiment m’en rendre compte, il dégrafe mon soutien-gorge d’une seule main. Il fait glisser les bretelles de mes épaules et en deux gestes trois mouvements, je me retrouve seins nu, le sous-vêtements posé à côté de moi. Sans que Sylvie lui dise quoi que se soit, Pascal est déjà en train de me masser délicatement la poitrine.
Maintenant que je me fais peloter les seins, nos langues toujours jointes, j’ai moins peur. Mon cœur bat toujours à deux mille à l’heure, mais je sens mon excitation monter. Et surtout, je n’ai vraiment pas envie de repousser Pascal. Jusqu’où je peux le laisser aller ? Et surtout, jusqu’où je vais pouvoir aller ?
- Bien, tout est parfait. Quand je vous le direz Alexandra, vous vous mettrez debout. Vous vous enlacerez tous les deux et vous vous caresserez mutuellement. D’accord ? C’est quand vous voulez.
Je n’ai pas attendu et je me suis mise debout tout de suite. Ma robe n’est pas restée en place sur mes hanches et a glissé jusqu’à mes chevilles. Je me retrouve ainsi, simplement vêtu de mes bas et de ma petite culotte, dans les bras d’un inconnu. Alors que je n’ai pas encore mis de limite ou stoppé ses caresses, Pascal prend de plus en plus d’initiatives. On est enlacés l’un contre l’autre et ses mains à présent, malaxent mes fesses.
Sylvie mitraille toujours autour de nous et nous encourage. J’ai mon bas ventre qui bouillonne de désir et je n’arrive pas à le contrôler. J’ai presque honte de me laisser aller comme ça, de sentir mon excitation monter. Pour me donner bonne conscience, je pense à Frédéric qui sera fier de moi en regardant son album.
- Vous êtes génial tous les deux, parfait… Alexandra, je vais demander à Pascal de retirer votre culotte, d’accord ?
- Oui.
- Vous souhaitez qu’il retire vos bas en même temps ou souhaitez vous les garder ?
- Frédéric adore les jambes gainés de bas. J’aimerais bien les garder pour toute la séance.
- C’est vous qui décidez Alexandra… Pascal, quand tu veux.
Il a attrapé mon tanga par l’élastique et l’a descendu le long de mes cuisses, jusqu’à mes chevilles en s’accroupissant. Il a déposé un bisous sur mon ventre, juste en dessous de mon nombril. J’ai frissonné au contact de sa langue, quand il m’a léché la peau, du nombril jusqu’à ma poitrine, en se redressant.
Il m’attrape par les cheveux et incline ma tête en arrière en les tirant vers le bas. Aussitôt, il m’embrasse dans le cou. Je me laisse aller. Je sens que je mouille comme une folle, mon tanga n’étant plus là pour éponger mon excitation.
- Très bien, on va prendre cinq minutes de pause.
Aussitôt, Laure vient me prêter un peignoir pour me couvrir. Étant la seule nue, je lui en suis très reconnaissant. Bien que je n’ai pas vraiment soif, je bois un verre pour me rafraîchir. Comme s’il savait que Sylvie voulait me parler en tête à tête, Pascal est sorti de la pièce.
- Ça se passe bien Alexandra ?
- Oui, c’est parfait pour le moment.
- Très bien, très bien… Je vois que vous laissez faire Pascal. Vous n'osez pas lui mettre de barrières ? Il ne faut pas hésiter et il le sait.
- Non, c’est pas ça…
Vous voulez que je lui dise d’être moins entreprenant ?
- Non, au contraire… J’imagine que ça va énormément plaire à Frédéric et puis moi, finalement….
Je me tais. Je n’ose pas le dire.
- Finalement quoi ?
Un peu honteuse et certainement en rougissant, je lui réponds :
- Bah ça m’excite un peu quand même.
- Et bien c’est parfait tout ça. Le résultat final est toujours plus réussi lorsque c’est plus naturel, enfin moins simulé. Amusez vous et profitez au maximum. Pour Pascal, je le connais bien maintenant, il va aller crescendo si vous ne mettez pas de barrière. De toute façon, c’est vous qui avez les cartes en main. Ok ?
- Oui, je le sais. Merci Sylvie.
- De rien. Allez, on va reprendre.
Laure est sortie de la pièce et est revenue quinze, vingt secondes après, avec Pascal. Sylvie a repris la parole en s’adressant plus particulièrement à moi :
- Bien, on va reprendre là ou on en était. Je voudrais pour la suite du scénario que Pascal vous allonge sur le canapé et simule un cunnilingus. Ok ?
Pascal et moi avons répondu en cœur « ok ».
- Bien. Ensuite, vous pourrez commencer à déshabiller Pascal. Ça vous va ?
- Oui…
- Très bien, c’est parti.
Laure est venu récupérer le peignoir. La pause avait cassé mon excitation et je me trouvais un peu honteuse et mal à l’aise, d’être la seule personne nu dans la pièce.
- Reprenez la pose de tout à l’heure…
Pascal est venu se coller à moi, attrape mes cheveux et les tire en arrière pour libérer mon cou et l’embrasser. Une main sur mes fesses, la pose d’avant la pause est retrouvée.
- Bien, parfait. Maintenant Pascal tu l’allonge et tu va simuler un cunni. Avec beaucoup de tendresse. Il faut imaginer que tu es très amoureux d’Alexandra.
Il a lâché mes cheveux et est venu poser ses lèvres sur les miennes. Il m’a enlacé en mettant ses deux mains dans mon dos et a commencé à me pousser en arrière. Tout en me retenant puissamment, il m’a couché sur le canapé et s’est allongé sur moi. J’ai de nouveau le cœur qui bat à deux mille à l’heure. Sylvie a repris son travail de photographe et nous mitraille en tournant autour de nous.
Pascal commence à descendre le long de mon corps, sans décoller ses lèvres et sa langue de ma peau. Je ferme mes yeux, le laissant aller jusqu’à mon entre cuisses. Les derniers baiser avant mon sexe sont déposés sur mon pubis, fraîchement épilé du matin. Ce n’est pas sa bouche qui m’a fait tressaillir, mais son pouce, lorsqu’il a touché mon clitoris. Son doigt tourne autour de mon bouton sensible. J’ouvre les yeux pour regarder. Sa tête entre mes cuisses, il me regarde. Ses yeux marron foncé, presque noir mon quasiment hypnotisés.
Son pouce tournoie toujours autour de mon clitoris, faisant de nouveau monter mon excitation. Puis, toujours en me regardant, il pose, ou plutôt il frôle sa bouche sur mon sexe. C’est la première fois qu'un autre homme que Frédéric dépose ses lèvres sur mon intimité. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? J’ai envie de lui dire « fait juste comme ça » pour ne pas aller plus loin et j’imagine Frédéric me dire, « laisse toi aller ma chérie »
Je ferme mes yeux, rompant le lien invisible qui me lie aux siens et repose ma tête contre le canapé. Il ouvre sa bouche et me donne un petit coup de langue sur le clitoris. Je ne peux m’empêcher de lâcher un râle de plaisir. Son deuxième coup de langue est plus prononcé, plus vigoureux. Ne disant rien, ne le repoussant pas, il me donne un grand coup de langue sur toute la chatte. A partir de là, il me lèche réellement, comme un homme amoureux, voulant offrir le maximum de plaisir à sa femme.
Pascal est vraiment très doué avec sa bouche. Sa langue virevolte sur tout mon sexe, il me pompe le clitoris et ses lèvres complète les caresses. Le salop me bouffe la chatte à merveille, mais il ne me fait pas décoller. Peut-être dû à la situation ou même, sûrement dû à la situation mais aussi, parce que Frédéric est bien plus doué que lui.
Sylvie nous a laissé quelques minutes comme ça, nous photographiant sous toutes les coutures puis décide d’enchaîner.
- Pascal, tu va te remettre debout et Alexandra, vous allez vous asseoir et commencer à le déshabiller. C’est quand vous voulez.
Il remonte le long de mon corps en me léchant la peau, de la chatte jusqu’à ma bouche. Il se redresse en m'entrainant avec lui. Comme Sylvie me l’a demandé, je suis resté assise sur le canapé. Pascal est debout, juste devant moi. Mon cœur s’emballe de nouveau. Je commence à défaire les boutons de sa chemise. Une fois le dernier dégrafé, il fait glisser sa chemise pour l’enlever et l’envoyer au loin. Il n’est pas du tout musclé. Je dirais même qu'il est plutôt svelte. Pas la moindre trace non plus, de petit bourrelet ou de petit ventre rond. Pas un poil sur les bras ou sous les bras, ni sur le torse ou le ventre. En fait, il à un corps de gamin. Ça me fait très bizarre.
- Bien Alexandra, vous allez commencer par simuler des bisous sur son torse et son ventre. Ça vous va ?
Sylvie parle toujours de simuler alors qu’il n'y a plus de simulation. Y en a-t-il eu au moins ? Mais je lui réponds « oui ».
- Bien, quand vous voulez.
Je dépose mes lèvres sur sa peau, à côté de son nombril. Il sent bon le gel douche et le parfum. C’est agréable. Sylvie nous mitraille toujours, tournant autour de nous. Je remonte sur sa poitrine et ne peut m’empêcher de lui mordre le téton. Il pointe. J'en profite pour le titiller du bout de la langue.
- Vous pouvez défaire son pantalon Alexandra. Prenez votre temps, imaginez que vous êtes amoureuse et que vous souhaitez faire monter son plaisir lentement.
J’attrape sa ceinture et la décroche. Mais au lieu de passer aux boutons de son pantalon, je tire sur la ceinture pour la faire glisser autour de lui et l’enlever. Je la laisse tomber au sol et lui refais des bisous sur le ventre. Je déboutonne un à un les boutons de son pantalon et le baisse jusqu’aux genoux. J’ai la bosse de Pascal, moulée dans un boxer noir, juste à hauteur des yeux. Il n’a pas l’air de bander.
- Attendez Alexandra. Pascal, finit de retirer ton pantalon.
Il s’est exécuté, enlevant par la même occasion ses chaussettes.
- Nickel. Replace toi devant Alexandra. Bien, on reprend. Vous pouvez le caresser au-dessus de son boxer si vous le souhaitez.
Je lève mes yeux vers les siens. Son regard m’hypnotise. Son sourire est charmeur. Je porte une main sur sa bosse. En effet, il ne bande pas. Est-ce que je lui plais ? Je suis sur qu’il ne me trouve pas à son goût. Va-t-il réussir à bander ? Vais-je réussir à le faire bander ? C’est peut-être normal qu’il ne bande pas encore, je ne lui ai rien fait encore. Mais il m’a léché tout de même, ça devrait être suffisant.
En fait, je me rends compte que je suis une ignorante. Je ne connais que le sexe de Frédéric. Et lui, il bande dès qu’on se déshabille. C’est instantané. Je me sens un peu bête et honteuse de mon ignorance. Mais je ne peux m’empêcher de me demander si je lui plais vraiment.
Je passe une main entre ses cuisses comme pour soupeser son paquet. Ça ne paraît pas plus gros que celle de Frédéric, qui se plaint de temps en temps d'en avoir une petite et fantasme de me voir avec un autre homme, très bien monté. Mais peut-être qu’il se trompe lui aussi. Peut-être que la majorité des hommes en on une petite ou moyenne et que seul une minorité, en on une grosse. C’est Sylvie qui me fait sortir de mes pensées :
- Vous voulez bien embrasser son sexe à travers son boxer, Alexandra ?
Je me rapproche lentement, jusqu’à coller mon visage sur son sous-vêtements. Je frotte dans un premier temps, une joue sur son sexe, avant de tourner la tête face à lui et déposer mes lèvres sur sa bosse. Pascal m’attrape derrière la tête pour me presser un peu plus sur lui. Je ressens son sexe qui palpite sous le boxer. Je pousse mon audace un peu plus loin et commence à lécher son boxer au niveau de son sexe, tout en regardant l’objectif de Sylvie, imaginant que je regarde Frédéric.
- Parfait Alexandra. Vous pouvez retirer son boxer à présent. Lentement, prenez votre temps, que je ne loupe rien.
Mon cœur s’accélère de nouveau. Impossible de le maîtriser. J’espère vraiment que ce cadeau d’anniversaire va plaire à mon chéri. Je lève mes yeux pour regarder Pascal, il me sourit. J’attrape son boxer et commence à le baisser, sans quitter son regard. A mi cuisses, Sylvie me dit de ne plus bouger. Elle nous prend en photo sous plusieurs angles, avant de me dire de continuer. Une fois à ses chevilles, il finit de le retirer tout seul.
- Vous pouvez juste le toucher si vous voulez, Alexandra.
Je quitte son regard et baisse les yeux sur son sexe. Sur ce sexe inconnu, qui ne bande toujours pas pour moi. La aussi, il n’y a pas le moindre poil. Mais contrairement au reste de son corps, ici il s’épile. Pour faire un peu de comparaison, je dirais que son sexe est quasiment de la même grosseur que celui de Frédéric. J’espère qu’il ne sera pas déçu en voyant les photos, lui qui fantasmes de me voir jouir sous les coups d’une grosse bite.
Je lève ma main droite et attrape sa queue, sans bouger. Je la sers légèrement. Sylvie nous mitraille. Seul ses couilles et le bout de son gland sont visibles, le reste de son sexe est caché dans ma main. Voyant que je ne fais rien de plus, Pascal me reprend son sexe, se colle à moi et commence à frotter son gland sur mes seins en se masturbant.
- Ça vous va Alexandra si Pascal se rapproche de votre visage ?
- Oui.
- Il peut vous toucher ? Vous attrapé par les cheveux ?
- Oui.
Il ne se fait pas prier. Aussitôt, il m’attrape les cheveux derrière la tête et commence à frotter sa queue sur mon visage, à le promener sur mes joues, mon menton, mon nez, mes lèvres. La réaction ne se fait pas attendre, son sexe commence à grossir dans sa main, à s’allonger. Il tire sur sa peau pour décalotter le gland qui gonfle. A présent, je décide de reprendre les choses en main et lui reprend sa queue, qui n’a plus rien de comparable avec celle de Frédéric. Elle est un peu moins grosse mais beaucoup plus longue que celle de mon chéri.
Je porte son gland sur mes lèvres et commence par le lécher du bout de ma langue. Je suis en pleine hésitation pour aller plus loin et imagine Frédéric me dire : « Va y ma chérie, suce le. »
J’ouvre ma bouche et introduit son gland à l’intérieur. Mes lèvres se ressert autour de sa hampe et je commence à le pomper, tout en titillant son frein avec ma langue. Je ne peux m’empêcher de penser, que pour la première fois de ma vie, je suce une autre bite que celle de Frédéric. Je suis un peu tendu mais, j’essaie de m’appliquer au mieux pour lui donner du plaisir et surtout, pour donner un maximum de plaisir à Frédéric, lorsqu’il verra les photos.
- Ah c’est parfait Alexandra, vous êtes magnifique comme ça.
Elle me photographie dans tous les angles. Je décide de regarder l’objectif, pendant que je suce Pascal. Très vite, elle me reprend :
- Faites pas attention à moi Alexandra. Oubliez moi, je ne suis pas là.
Je sors la queue de ma bouche et lui répond :
- Ce n’est pas vous que je regarde, c’est Frédéric. Je veux qu’il lise dans mon regard le plaisir que j’ai à lui offrir ce cadeau.
- C’est vous qui décidez Alexandra, vous êtes maîtresse de la situation.
Sa bite est tendue au maximum, raide et dure comme un bâton de randonnée. Il m'empoigne les cheveux derrière la tête et entame des mouvements de va et vient dans ma bouche. Je le laisse faire et gérer la situation. A ce moments précis, je me dis que je ne suis plus la petite femme parfaite et fidèle de Frédéric. Je suis en train de le tromper pour son plus grand plaisir. Ou bien finalement, peut-être qu’à partir de ce moment précis, alors que Pascal me baise la bouche à grands coups de reins, je suis la femme parfaite dont Frédéric a besoin.
Encore une fois, c’est Sylvie qui me sort de mes pensées en disant :
- Pas si vite Pascal, tu va finir par lâcher ta sauce trop vite.
Il se recul d'un pas, restant presque à portée de ma bouche. Je suis déçu que ça s’arrête si vite, j’aurais presque aimé qu’il se vide dans ma bouche et que l’on voit sur les photos, son sperme couler entre mes lèvres. Mais le fait que Sylvie arrête Pascal, me laisse très bien imaginer de la suite qu’elle souhaite que l'ont suivent. Et c’est très vite confirmé en me demandant :
- Est-ce que vous accepteriez qu’il vous prenne, Alexandra ?
Au point où j’en suis ! Je ne pensais pas aller si loin. En plus, je suis complètement excitée et j’en ai vraiment envie. Et puis, si Frédéric était là, il me dirait de le faire. Alors, je réponds avec un mouvement de ma tête de haut en bas :
- Oui, on y va.
- C’est parfait Alexandra, votre homme va être très content de son cadeau.
- Je l’espère vraiment. Sinon, c’est la merde
J’éclate de rire, nerveusement, juste après avoir dis que ça serait la merde.
- Il n’y a pas de raison Alexandra, vous m’avez dit qu’il est candauliste. Il va adorer.
Laure apporte un préservatif qu’elle donne à Pascal. Mon cœur s’emballe de nouveau alors qu’il le déroule sur son sexe.
- Pour commencer alexandra, vous allez vous allonger sur le canapé, Pascal sera au-dessus. d’accord ?
- Ok.
Je m’installe, la tête contre l’accoudoir du canapé. J’ai les jambes serrées l’une contre l’autre. Pourquoi j’appréhende autant ? Ce n’est pas pire que ce que je viens de faire avec lui. En fait si, c’est pire. Il va me prendre. Il va entrer en moi et me baiser. Je peux encore renoncer. Ce que j’ai fais devrait déjà plaire à Frédéric. Enfin, j’espère.
Pascal se rapproche, la bite à la main, en se masturbant doucement. Il est encore temps de dire stop. Je flippe à mort. D’une main, il m’écarte les jambes et se place entre mes cuisses. Il est encore temps de dire stop.
Il passe son gland sur mon clitoris et le glisse entre mes grandes lèvres. Puis-je encore dire stop ? Oui, mais décide toi vite ma vieille. Il remonte pour stimuler mon clitoris et redescend entre mes lèvres et…
Je lâche malgré moi, un râle de satisfaction, lorsque sa queue pénètre mon intimité. Il s’enfonce doucement mais entièrement en moi, jusqu’à ce que son pubis touche mon clitoris. Sylvie l’arrête aussitôt :
- Ne bougez plus, restez comme ça. C’est parfait.
Elle nous mitraille de nouveau dans tous les angles. Cette fois, il est trop tard pour dire stop. On ne bouge pas, comme Sylvie nous a demandé, mais je sens le sexe de Pascal, tressauter en moi. Je sais que c’est lui qui le fait, Frédéric me le fait aussi. Sans attendre que Sylvie nous dise de reprendre, il entame des vas et viens lents, sur toute la longueur de son sexe.
Ah putain, que c’est bon. Le plaisir que cette bite me procure, est intense. Sa longueur fait qu'elle va plus profondément en moi, la ou Frédéric n’a jamais été. Je pense à lui. Je l’imagine me dire lâche toi ma chérie, profite et jouit. Je regarde l’objectif de Sylvie, en me disant que sur les photos, Frédéric verra mon regard et le plaisir que je prend.
Pascal accélère la cadence et me donne des coups de reins puissants. Son pubis stimule mon clitoris, à chaque fois qu’il s’enfonce en moi et fait monter mon plaisir encore plus fort. Je ne sais pas si je dois me lâcher réellement et jouir devant ces trois inconnus. Que penseraient ils de moi ? Je suis juste là pour une séance photos, pas pour jouir.
Après quelques minutes de ce traitement et alors que j’allais lâcher prise, Sylvie nous interromps une nouvelle fois :
- J’ai ce qu’il faut dans cette position…
J’étais monté très haut dans les sphères du plaisir. J’étais à deux doigts de jouir et je sais que j’aurais eu honte de me laisser-aller comme ça. Mais Pascal est un bon amant et j’ai peur de ne pas résister longtemps quand on va reprendre.
- … Une petite levrette ça vous convient Alexandra ?
- Oui.
- Parfait, mettez vous en position.
C’est la position que je préfère avec mon chéri, celle qui me fait jouir à tous les coups. Est-ce qu’avec Pascal, ça va être pareil ? Il faudrait que je résiste pour ne pas jouir devant eux. Je me retourne et me place à quatre pattes sur le canapé. Comme si Sylvie avait compris mon mal-être, elle enchaîne :
- Bien, c’est parfait. Alexandra, lâchez vous vraiment. Laissez vous aller. Un orgasme est magnifique à voir sur une photo. Alors, j’espère pouvoir vous offrir ce genre de photos. Aller Pascal, fait la jouir très fort.
Et bah au moins, je n’ai plus à me poser ce genre de question. Plus besoin de retenir ma jouissance. Pascal me tourne légèrement vers l’extérieur du canapé et il ressert mes jambes l’une contre l’autre. Il pose son pied sur le canapé, sa jambe sur le côté de mon corps. Son autre jambe, placée sur l’autre côté de mon corps, lui permet de rester debout juste derrière moi. Il pointe aussitôt son sexe sur ma vulve et me pénètre entièrement.
Ah la vache, que c’est bon. Mes jambes ainsi serrées, font que mon sexe est resserré également. Le frottement de sa queue sur les parois de ma chatte son amplifié et décuple mon plaisir. Il a posé ses deux mains sur mes hanches et il me baise dans un rythme soutenu. Sylvie tourne autour de nous pour faire son travail.
Finalement, je suis les conseils de Sylvie et jouis une première fois. C’est fort, intense et un second orgasme m’emporte loin du studio photo durant plusieurs secondes.
Je m’effondre sur le canapé. Mon visage contre les coussins, je suis complètement cambré le cul en l’air. Il en profite pour glisser un doigt dans mon petit trou. Je suis pas loin d'un troisième orgasme, lorsqu’il annonce qu’il va jouir dans pas longtemps. Il ralentit le rythme, comme pour se retenir un maximum. Sylvie me demande :
- Il jouit dans le préservatif Alexandra ou bien il peut le retirer ?
J’avais un peu réfléchi à la question depuis que j’avais accepté la séance. Alors, j’ai répondu assez rapidement :
- Il peut le retirer.
- Parfait, ça sera mieux pour les photos. Ça fera un beau final, un peu de sperme sur les fesses ou sur la poitrine.
C’était sa façon de demander ou je souhaitais qu’il éjacule. Là aussi, j’avais longuement réfléchi à la question. C’est un cadeau pour Frédéric, alors autant lui faire plaisir jusqu’au bout. Malgré tout, il n’est pas question d’avaler le sperme d’un inconnu, même si je sais que Frédéric m’aurait demandé de le faire. Alors, je réponds :
- Non Sylvie, ni sur les fesses, ni sur la poitrine. J’aimerais bien une faciale. Frédéric va adorer. ( J’espère )
Elle paraît un peu surprise, mais elle est enchantée par ce choix.
- Jusqu’au bout, vous allez en profiter Alexandra. C’est parfait. Pascal, à toi de la gâter.
- Avec plaisir. C’est tellement rare de faire des faciale à tes modèles, Sylvie.
- Alors donne tout ce que tu as. Mais préviens moi juste avant de lâcher la sauce, que je ne sois pas surprise et que je ne loupe rien.
Durant la conversation, Pascal a arrêté de me baiser pour se masturber doucement. Moi, je me suis redressée pour m’asseoir sur le canapé. Après la conversation, je me suis allongé sur le dos, la tête relevée par les oreillers. Pascal a changé sa façon de se masturber. Il varie entre branlette énergétique avant de ralentir à presque s’arrêter et de reprendre avec énergie. Il a agit comme ça, facilement deux, trois minutes, en soufflant comme un taureau en rut.
Après ces minutes de masturbation, il vient se placer juste au-dessus de moi, au niveau de ma poitrine, une jambe pliée sur le canapé, l’autre debout sur le sol. Il continue de se masturber de la même façon, un coup avec énergie, un coup lentement, énergiquement, lentement…. Il souffle, râle de plaisir, lançant des « ah oui, ah oui » régulièrement. Encore deux, trois minutes sont passées, comme ça, avant qu’il annonce :
- Ah oui, je viens….
Mon cœur s’est emballé. Je vois cette queue inconnue à quelques centimètres de mon visage, prête à cracher son sperme sur moi. Sylvie qui a pris quelques photos de la masturbation de Pascal au-dessus de moi, est passée en mode rafale.
Dans un râle amplifié, exagéré même, Pascal me zèbre le visage de son premier jet, du menton au front, en passant par mon nez et mes lèvres. Son deuxième jets, tout aussi puissant, s’écrase entre mon œil et mon nez. Une troisième salve finit sur mon menton et mes lèvres. Ces jets suivant, ne sont plus des jets en fait. Ce sont de grosses gouttes qui s’échappent de son gland, pour ffinirõsur mon visage, avant de devenir des gouttelettes.
Lorsqu’il a finit de cracher sa semence, il pointe son gland vers mes lèvres en espérant une dernière gâterie. J’imagine Frédéric me dire : « va y, suce le. Nettoie lui le gland. » Alors je le prends en bouche. Je le pompe, aspire ces dernières gouttes de sperme, malaxe son gland entre ma langue et mon palais. Je le suce comme ça, quelques dizaines de secondes, avant qu’il ne s’éloigne de moi, me laissant seule avec Sylvie. Je recrache le peu de sperme que j’ai dans la bouche, ne souhaitant pas avaler un inconnu. Elle prend encore quelques photos avant de lever la séance.
Aussitôt, laure arrive avec un paquet de lingettes, pour me nettoyer le visage. Elle me le laisse pour que je puisse finir de me nettoyer moi-même puis file me chercher mes vêtements. Très vite, je me retrouve seule dans le studio, pour finir de me préparer. Une fois prête et rhabillée, je retourne rejoindre Sylvie dans son bureau, qui discute avec Pascal.
On est resté une dizaine de minutes à discuter tous les trois, avant que Pascal s’en aille. Sylvie me demande si je souhaite sélectionner les photos qui iront dans l’album. Je lui répond que je lui fais entièrement confiance pour choisir les meilleurs. On c’est donné rendez-vous quinze jours plus tard, pour récupérer l’album.
…
J’ai récupéré l’album le vendredi soir, quinze jours après. Comme convenu, il est emballé dans un papier cadeau. Comme pour le choix des photos, j’avais décidé de ne pas regarder l’album. Je souhaitais le découvrir en même temps que Frédéric. J’espérais vraiment ne pas avoir fait de bêtises. Il n’était pas trop tard encore. Je pouvais ne pas lui donner et il en saurait jamais rien. Mais j’aurais le sentiment de l’avoir trompé.
…
Le samedi soir, nous sommes allé au resto pour fêter son anniversaire. Pour l’occasion, je me suis habillée plutôt sexy, pour lui faire plaisir. J’ai opté pour une petite robe rouge m'arrivant à mi cuisses et possédant un beau décolleté. Mes dessous étaient encore plus sexy, avec un ensemble, acheté la veille, en dentelle complet, tanga, soutien-gorge et porte-jarretelles plus des bas. La petite touche finale étant la paire d’escarpins à talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres.
Frédéric est aux anges. Il me déshabille en permanence du regard. Je le vois fier également, chaque fois que des regards inconnus se posent sur moi. La soirée se passe bien, même si j’appréhende sa réaction pour l’album. Je l’avais prévenu que je lui offrirai son cadeau à la maison.
Arrivé à la maison, on a ouvert une petite bouteille de Champagne, que j’avais acheté le matin. On a trinqué à son anniversaire et le cœur battant à deux mille à l’heure, je lui donne le paquet cadeau. Je flippe vraiment de sa réaction.
Il m’embrasse et me remercie.
- Ouvre avant de me remercier.
Il commence à défaire doucement le paquet, comme s’il voulait ne pas abimer le papier cadeau. L’album a peine dévoilé, il a levé les yeux pour me regarder avec un grand sourire. Il a reconnu l’objet, puisqu’on a le même que l’on regarde régulièrement. Il a finit de déballer le cadeau et avant de l’ouvrir, il m’a embrassé, de nouveau pour me remercier.
- Attends, tu ne l'a pas ouvert encore.
- Merci quand même. Je sais que ça va me plaire.
J’espère. J’espère vraiment. Sinon, je suis dans la merde…
Il ouvre la première page. Sur la première photos, rien de méchant. Je suis assise, jambes croisées, dans un canapé habillé d’une belle robe noire, en train de lire un livre.
Il tourne la page et lève aussitôt ses yeux sur moi. Sur la deuxième photos, je suis toujours assise jambes croisées dans le canapé. Mais j’ai le visage levé sur Pascal qui se tient debout à côté de moi et me caresse le dos.
Il ne croit pas ce qu’il voit mais pense comprendre :
- Ce n’est pas ce que je pense ?
- Je ne sais pas ce que tu penses, alors regarde.
Il me fait un grand sourire. Je suis soulagé car je sais qu’il a compris. Il tourne la page. Sur la troisième photos, Pascal est penché sur moi et on s’embrasse sur la bouche.
Sur la quatrième photos, je mordille la lèvre inférieure de Pascal, alors que sa langue est collée à ma lèvre supérieure.
Sur la cinquième, on est toujours en train de nous embrasser et Pascal me pelote la poitrine.
Il ferme l’album et se lève. Je suis en panique, ça ne lui plaît pas du tout. Mais à ma grande surprise, il m’embrasse à pleine bouche, complètement amoureux. Puis, il me dit :
- Je veux voir la suite au lit.
Il me prend dans ses bras et m’entraîne dans la chambre. Il m’embrasse de nouveau et commence à me déshabiller. Il n'a rien dit encore sur les photos qu’il vient de voir, mais je sais maintenant, que ça lui plaît. Il me laisse juste en sous-vêtements et m’allonge sur le lit. Il se déshabille à son tour et reste en boxer. Je remarque qu’il bande déjà très dur. Il s’allonge sur moi et m’embrasse de nouveau, me caresse. J’arrive à lui demander entre deux baiser :
- Tu ne regarde plus ?
- Si, si, t’inquiète. J’ai trop envie de voir la suite.
- Alors va y.
Je suis impatiente de voir sa réaction jusqu’au bout. Il ouvre de nouveau son album et retrouve la page. Moi, je me colle à lui et pose une main sur sa poitrine. Je sens son cœur battre fort dans sa poitrine.
Sur la sixième photos, je suis en soutien-gorge, toujours assise jambes croisées et Pascal me caresse la poitrine. On est en train de se rouler une pelle.
Sur la suivante, on est debout, enlacés l’un contre l’autre. Je suis en bas et petite culotte et il me caresse les fesses.
Sur la huitième, on voit les lèvres de Pascal posées sur mon ventre en gros plan.
Il tourne la page et sur la neuvième photos, je suis debout, nue devant Pascal qui me lèche entre les seins.
Sur la suivante, Pascal est en train d’incliné ma tête en arrière en tirant mes cheveux et il m’embrasse dans le cou, une main sur une fesse.
Je descends ma main le long de son corps et la pose sur son boxer. Il bande vraiment très dur. Je suis rassuré sur sa réaction.
Sur la onzième photos, je suis allongée sur le canapé et Pascal est sur moi en train de m’embrasser le ventre.
Sur la douzième, on se regarde dans les yeux avec Pascal, alors qu’il caresse mon clitoris avec son pouce.
Comme s’il n’était pas encore assez dur, je ressens la queue de Frédéric se durcir un peu plus.
Sur la treizième photos, je suis allongée sur le canapé et Pascal est en train de me lécher la chatte.
Le sexe de Frédéric durcit encore plus. Je glisse ma main sous le boxer pour le caresser. C’est un feu d’artifice la dessous. Le gland est complètement trempé, gluant. Il mouille un max.
Sur la photo suivante je suis assise sur le canapé, en train de déboutonner la chemise blanche de Pascal, debout devant moi.
La quinzième photos me montre toujours assise sur le canapé à faire des bisous sur le ventre de Pascal.
Je masturbe doucement Frédéric, enroule la paume de ma main autour de son gland trempé.
Il tourne la page et sur la seizième photos, Pascal est en boxer devant moi et je lui fais toujours des bisous sur le ventre.
Sur la dix-septième photos, Pascal est toujours en boxer devant moi. On se regarde droit dans les yeux, alors que je caresse la bosse de son sous-vêtements.
La dix-huitième photos est un gros plan de mon visage, collé au boxer de Pascal, au niveau de son sexe.
Sur la photo suivante, je suis en train de lécher le sexe de Pascal à travers son boxer, les yeux rivés sur celui qui regarde la photo.
Frédéric est toujours aussi dur dans ma main. Son gland suinte au maximum tellement ce qu’il voit l'excite. Enfin, j’espère :
- Ça te plaît ?
- Oui, trop. Tu a fais ça quand ?
- Il y a quinze jours. Tu m’en veux pas ?
- Non, au contraire. Je t’aime.
Il m’embrasse à pleine bouche.
- Allez, regarde la suite.
Il tourne la page. Sur la photos suivante, je suis en train d’enlever le boxer de Pascal, son sexe à quelques centimètres de mon visage.
Sur la vingt et unième photos, j’ai pris le sexe de Pascal dans ma main.
Sur la vingt deuxième, Pascal a posé son sexe sur mes seins.
La photo suivante est un gros plan de mon visage avec le sexe de Pascal sur ma joue.
Sur la suivante, on nous voit de nouveau entièrement, Pascal debout devant moi, qui suis toujours assise sur le canapé et je suis en train de sucer son gland.
Sur la vingt-cinquième photo, c’est de nouveau un gros plan sur mon visage, la bite de Pascal dans ma bouche, en train de regarder amoureusement, celui qui visionne la photo notamment, Frédéric en ce moment.
Sylvie a encore fait du très bon boulot. Toutes les photos sont très belles. Il n'y a rien de vulgaire, malgré que se soit des photos de sexe. Et encore une fois, je suis mise en valeur dans cet album, je me trouve très belle.
Sur la vingt-sixième photo, je suis allongé sur le canapé et Pascal est entre mes cuisses, son sexe contre le mien.
Sur la suivante, il m’a entièrement pénétré, son pubis est collé contre mon clitoris.
Sur les deux photos suivantes, on nous voit sous deux angles différents, alors que Pascal me prend en levrette.
La trentième est un nouveau gros plan de mon visage en plein orgasme. On lit bien le plaisir que je prend à ce moment là.
La trente et unième photos est un nouveau plan de la levrette, toujours au moment de mon orgasme.
La trente-deuxième photo est spéciale. Elle a été prise comme si l’appareil avait été à la place des yeux de Pascal. On me voit de dos, en train de me faire prendre, alors qu’il a glissé un doigt dans mon cul.
J’ai arrêté de masturber Frédéric, je sentais son sexe palpiter et je ne voulais pas qu’il jouisse maintenant. Son gland est toujours aussi mouillé. Moi aussi je mouille et je ressens ma cyprine couler entre mes cuisses, tellement je suis excitée. On arrive sur les dernières photos de l’album.
La trente troisième photo me montre allongée sur le dos, Pascal juste au-dessus de moi, qui se masturbe à quelques centimètres de mon visage.
La suivante est un nouveau gros plan de mon visage et du sexe de Pascal, avec un beau jet de sperme bien épais en plein vol.
La trente-cinquième photos est le même gros plan du sexe de Pascal juste au-dessus de mon visage complètement maculé de sperme.
La trente-sixième est une nouvelle photo de mon visage, avec encore plus de sperme.
- Ah la vache, il a mis la dose le salop.
- Ça te plaît pas ?
- Ah si, au contraire, j’adore. Tu es magnifique avec tout ce sperme sur le visage.
- Merci mon chéri, contente que ça te plaise.
- Oui, ça me plaît vraiment, c’est un magnifique cadeau que tu m’a fait. Mais lui aussi ça lui a plus, vu la dose de sperme qu’il a déversé.
- C’est vrai qu’il m’en a mis beaucoup. Mais il m’a dit à la fin, qu’il c’était abstenu durant toute la semaine d’avant. Du coup, il avait du stock.
On rigole tous les deux, avant que je lui dise de regarder la fin de l’album.
On me voit sur la trente-sept et la trente-huitième photo, sous deux angles différents, le visage recouvert de sperme, en train de sucer Pascal.
La trente-neuvième photo est un nouveau gros plan de mon visage, tout enduit de sperme, ou l’on distingue parfaitement que je recrache celui que j’ai dans la bouche.
Sur la dernière photos, on me voit en entière, allongée sur le canapé, le visage complètement souillé de sperme bien blanchâtre et bien épais en train de mimer l’envoi d’un baiser à Frédéric.
…
Il a pris tout son temps pour regarder son album. Une fois finit, il le referme et le pose sur la table de nuit. Il se retourne et glisse sur moi. Je vois dans son regard, de la joie et de la fierté. Il m’embrasse et me remercie encore.
- Ça t'a plus ?
- Oui, beaucoup. Vraiment beaucoup.
- Tu m’en veux pas ? J’appréhendais énormément.
- Non, au contraire. Je suis super content que tu ai fait ça. J’espère que tu a pris beaucoup de plaisir et qu'il t’a fait jouis.
- Oui, c’était très bien et il m’a offert un orgasme.
- Humm, tu m'a vraiment excité.
- Oui, j’ai vu ça. Attends, je ne peux pas te laisser comme ça.
Je le fais basculer sur le dos et passe sur lui. Je l’embrasse, descend sur son cou, sa poitrine, mordille ses tétons. Je m’attarde, laisse durer le plaisir avant de reprendre ma route vers le sud. Bisous sur son ventre, son nombril, je poursuis encore plus vers le bas. Son gland contre ma joue, je lèche son pubis englué de son pré sperme tellement il a mouillé. Vu le résultat, son excitation était vraiment réelle de me voir sur ces photos. Il bande toujours aussi dur, peut être comme il n’a jamais bandé. Non, j’exagère… Il bande toujours très dur.
Je prends son sexe dans ma main et commence à enrouler ma langue autour de son gland, avant de le prendre dans ma bouche. Je le pompe, masturbe sa queue d’une main, malaxe ses couilles de l’autre. Son goût est caractéristique, il mouille toujours énormément. Il s’accroche aux draps et souffle comme une bête. Mais ça ne dure pas très longtemps. A ma grande surprise, il me dit qu’il va jouir.
Oui, à ma grande surprise, car Frédéric ne jouit jamais d’une fellation. Jamais. Il aime que je le suce, c’est même ce qu’il préfère. Il aimerait jouir d’une gâterie, mais jamais, jamais, il jouit d’une fellation. J’ai essayé à plusieurs reprises. Je l’ai sucé pendant plus d’une heure, voir même encore plus longtemps, mais rien n’y fait. Je vous vois venir. Vous allez vous dire que je ne sais pas y faire. Rien à voir, il a toujours été comme ça.
Alors, quand il me prévient qu’il va jouir, je ne veux pas louper l’occasion. Je le pompe encore plus et englouti son sexe un peu plus profondément dans ma bouche. J’accélère la masturbation et je lève mes yeux vers lui. Je veux le voir jouir. Il me regarde lui aussi. Nos regards ne se quittent plus.
Soudain, ma bouche se remplit de son nectar. Il râle de plaisir, s’accroche un peu plus aux draps, mais ne détourne pas son regard. Ma bouche est vite pleine et pour ne pas en perdre une goutte, je déglutis. Il continue de se déverser sur ma langue et remplit de nouveau, abondamment ma bouche. J’avale de nouveau son sperme et m’active un peu plus sur son sexe, son gland et ses couilles. Il est pris de soubresauts incontrôlables et bascule sa tête en arrière en hurlant de plaisir. Je le regarde avoir cet orgasme puissant, qui le terrasse.
Après quelques secondes à continuer de le sucer et le voir prendre autant de plaisir, je remonte le long de son corps en l’embrassant partout, jusqu’à son visage pour l’embrasser langoureusement. On reste dans les bras l’un de l’autre, en se faisant des petites caresses. Mais après quelques minutes à se faire des caresses et des bisous, je ressens toujours son sexe bien dur, contre mon ventre. Il n'a toujours pas débander.
Je me redresse, attrape sa queue à pleine main et la guide vers ma chatte, pour m’empaler dessus. Humm, que c’est bon.
Je commence par bouger mon bassin d’avant en arrière. Il m’attrape les seins, les caresses, les malaxe, en pince les tétons. Mon rythme est lent et je profite de son sexe, entièrement ancré dans mon sexe. Il est toujours dur comme une batte de baseball, malgré qu’il vient de jouir.
On baise plusieurs minutes comme ça, avant qu’il me retourne pour passer sur moi. Il s’enfonce aussitôt en moi et commence des vas et vient plutôt lent. Tantôt il m'embrasse à pleine bouche, tantôt il me regarde dans les yeux. Mon plaisir monte très vite et finalement, je jouis aussi très vite. Il me murmure à l’oreille, juste après mon orgasme :
- J’aime te voir jouir, ça m’excite plus que tout. Tu es tellement belle.
- Oh mon chéri, baise moi encore, c’est tellement bon.
Il accélère la cadence, faisant monter encore plus mon plaisir. Je sais qu’il veut me voir jouir encore une fois. Mais moi, je voudrais qu’il jouisse avec moi, en même temps. Alors, je lui dis :
- Vient avec moi.
- Oh oui…
Il accélère encore plus. Mon plaisir monte encore plus. Je ne vais plus tenir très longtemps. Je plante mes ongles dans son dos, pour l'attirer contre moi. Il m’embrasse, me baise, m’embrasse. Je viens… Je vais jouir de nouveau… Je glisse ma tête à côté de la sienne et lui demande à l’oreille :
- Tu a aimé me voir sur ces photos ?
- Oui ma chérie, j’ai adoré…
Je lui soulève la tête pour le regarder dans les yeux et je lui dis :
- Tu sera là… La prochaine fois, tu sera là.
Ses yeux s’écarquillent, il me sourit, il râle de plaisir. Je ne peux résister plus longtemps et je suis emportée par un orgasme très puissant. Je ressens en moi, ses jets de sperme qui m'inonde le sexe. Nos deux jouissance simultanées, sont intense. Très intense. Il s’écroule sur moi et on reste quelques minutes, l’un contre l’autre, pour retrouver nos esprits.
Finalement, je lui glisse à l’oreille, juste avant de sombrer dans le sommeil :
- Encore joyeux anniversaire mon chéri. Je t’aime.
Fin
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe et captivant, j'en bande encore...!!
Superbe histoire érotiques très captivante j'ai adoré merci.
Terriblement captivant !!!
tres jolie histoire
Belle histoire, bien écrite. Merci.
très belle histoire. Bravo
Elle l'aime mais elle arrive à niquer avec 1 autre alors qu'elle faisait des simagrées au depart.