La secrétaire 2
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 17 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Petite futée ont reçu un total de 201 739 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 526 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La secrétaire 2
Pour ceux qui m'ont oublié, je vais un peu avant vous rafraîchir la mémoire. Je m'appelle Camille j'ai 29 ans et je suis secrétaire pour un séduisant commercial prénommé Sébastien, dans une grande société de commerce international. Tous les deux nous avons eu quelques bons moments de préliminaires sans être allé jusqu'à l'acte ultime. Cela fait maintenant un an que nous partageons ces moments de plaisir, ensemble la semaine ou les week-ends avec d'autres partenaires.
J'étais assise à mon bureau depuis 15 minutes quand on frappa à la porte :
- Entrez
- Bonjour Camille que je ne sais pas si vous vous rappelez de moi, je suis Hugo le fils du PDG, je suis venu en stage l'année dernière pendant une semaine.
- Ah, oui ! Je me souviens. Mais vous avez tellement changé que je ne vous ai pas reconnu.
- Oui, j'ai fait un petit relooking
- Je suis sûr que c'est une fille qui vous a fait changer.
- Comment le savez-vous ? dit-il l'air surpris.
- Intuition féminine?
- Ah ! Je vois, dit-il en poussant un léger soupir, comme quand on est rassuré. Trêve de plaisanterie mon père m'envoie vers vous, pour effectuer mon stage de fin d'études, d'une durée d'un mois, il veut que je sois l'ombre de Sébastien.
- D'accord, et bien prenez une chaise, je ne vais vous expliquer en gros, le fonctionnement de notre bureau?
Quelques instants plus tard, Sébastien fit son entrée dans le bureau avec comme tous les matins, nos tasses de café.
- Bonjour, oh ! Tu n'es pas seule, je suis désolé, je vais aller chercher un autre café.
- Je te présente Hugo, ma surprise de ce lundi matin. Je ne l'avais pas reconnu, c'est le fils de Monsieur Frasier.
- Et que nous vaut votre visite ?
- Je serai votre ombre pendant un mois, pour mon stage de fin d'études.
- Ah ! Bienvenue dans notre équipe. Demain, je viendrais avec trois cafés alors !
- Merci. Pour aujourd'hui, ne vous inquiétez pas, j'en prendrais un en allant voir mon père, il doit être arrivé. A tout à l'heure.
Une fois sorti, Sébastien, ravala son sourire aimable, contre un air très contrarié.
- Quelle galère, on se retrouve avec le boulet dans les pattes.
- Oh ! Tu exagères, en plus, il a bien changé, je le trouve même plutôt mignon maintenant?
Quoi ? Ne regarde pas comme ça, tu es jaloux ou quoi ?
- Moi ! jaloux ! Tu rigoles ! Tu fais toujours ce qu'il te fait plaisir, c'est juste que je n'aime pas jouer les nounous et que je ne pourrais pas jouer avec toi pendant un certain temps.
- Moi aussi ça me soûle, mais on n'a pas le choix. Et si on le veut vraiment, on pourra bien se
trouver des petits moments tranquilles.
Je me levais de ma chaise et me dirigea vers lui, je posais mon index dans le creux de son cou et le laissa descendre jusque son entrejambe, saisis son jouet puis, l'embrassa sur la joue. Il fallait que l'on soit discrets jusqu'au départ du gamin.
La journée se passa comme à son accoutumée, sauf que nous perdions beaucoup de temps à expliquer le travail à notre stagiaire VIP.
Le lendemain matin, Sébastien était arrivé avant moi, chose rare. Il avait l'air grognon.
- C'est quoi ce paquet sur mon bureau ? lui demandais-je.
- Je ne sais pas, il était là quand je suis arrivé. Bon je file, j'ai rendez-vous avec Monsieur Xeller, je ne peux pas attendre Hugo sinon je serai en retard. Je ne sais pas à quelle heure je reviendrais ce soir, je t'appelle, bonne journée.
- Toi aussi, tchao.
Belle humeur de chien, je me demandais ce qui pouvait le rendre comme ça. Mais intriguée par la petite boite sur mon bureau, j'oubliais vite Sébastien et entrepris de l'ouvrir. A l'intérieur, il y avait du papier de soie rouge, je l'ouvrais délicatement et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une culotte. Mais pas n'importe laquelle, la culotte que l'inconnu sous mon bureau l'an dernier, avait gardée. J'étais choquée, mais intriguée, qui pouvait bien l'avoir conservé tout ce temps, pour me la rendre aujourd'hui ? Au fond de la boite, il y avait un papier plié en quatre. Le texte n'était pas manuscrit mais il avait choisi une police très jolie :
« Ma chère Camille,
Voilà un an tout juste que je vous ai emprunté ce joli bout de tissu.
Il ne s'est pas passé un jour sans que vous soyez dans mes pensées, j'ose pensé qu'il en est de même pour vous vis-à-vis de moi.
Je revois encore votre charmante minette s'ouvrir sous mes caresses et pleurer de bonheur.
Je sens encore votre odeur et grâce à mon vol, j'ai pu en prolonger un peu plus longtemps mon plaisir, l'enfilant sur ma tête pour mieux vous humez tout en me faisant jouir.
Oui, vous m'avez apporté pendant 364 jours de nombreux moments de plaisirs solitaires.
Pour fêter notre anniversaire, je voudrais vous inviter à venir jouer avec moi.
Je sais, que vous avez aimé mon attention à votre égard, l'an passé.
Permettez-moi alors de vous faire vivre une nouvelle expérience tout aussi sensorielle que la précédente.
Si vous acceptez, rendez-vous ici, dans votre bureau à vingt et une heure, vous trouverez d'autres instructions dans la boite à lettre de votre domicile, lorsque vous rentrerez pour vous préparer.
Je vous embrasse délicatement sur votre intimité?
A ce soir,
Votre bienfaiteur. »
J'étais abasourdie par ce que je venais de lire, il connaissait aussi mon adresse. Quelle fille idiote serai-je pour venir ici, ce soir, à la demande d'un inconnu ! Il n'était pas question que je cède à ce pervers. Je rangeais dans mon bureau la petite boite et son contenu, et commença à trier le courrier.
Vers 10 heures, Hugo fit enfin son apparition. Je lui passai un savon sur son retard et du fait qu'il loupait le rendez-vous avec le client. Il me donna une excuse bidon, ce qui me mis hors de moi, du coup je le reléguait à de la saisie de comptes rendus de réunion. Dans l'après-midi, Sébastien me téléphona et me dit qu'il rentrerait tard, et ne passerai pas par le bureau, que pour une fois je pouvais partir de bonne heure. Je partis donc en même temps que tout le monde. Je ne me rappelle pas la dernière fois que j'avais pu le faire.
Arrivé chez moi, je pris mon courrier, pris l'ascenseur, et jeta un regard sur les enveloppes, une en particulier attira mon attention. Je décidais d'attendre un peu avant de l'ouvrir. Une fois rentrée dans mon appartement, je me déshabillais, restant juste en sous-vêtements et me fit couler un bain, pour une fois, j'avais le temps de me détendre un jour de semaine, et comptais bien en profiter. Je posais la missive sur le côté de la baignoire, mis un disque dans le poste de ma salle de bain, allumais quelques bougies, éteignais la lumière, fini de me dévêtir et me glissais dans l'eau. Oh que ça faisait du bien, je fermais les yeux un petit moment ! Finalement je pris l'enveloppe et lu son contenu.
« Ma merveilleuse Camille,
Que faites-vous pendant que vous me lisez ?
Moi, je vous devine nue dans votre bain de mousse, vous demandant encore, si vous allez céder à la tentation de me rejoindre.
Je sais que vous ne pourrez pas résister, vous viendrez?
Par contre, je veux que vous jouiez le jeu et respectez mes demandes.
A la sortie de votre bain, vous enduirez votre corps de crème parfumée, vous ne mettrez ni soutien-gorge, ni culotte, mais juste un collant noir très fin, une robe, la plus sexy que vous ayez et de jolis escarpins. Relèverez vos cheveux le plus simplement possible. Là, vous serez prête à me rejoindre.
En arrivant à votre bureau, frappez cinq petits coups à la porte et ensuite vous vous laisserez guider.
Je me languis de vous retrouver?
Votre bienfaiteur. »
Je tentais d'imaginer, cet homme, cultivé, vu sa manière d'écrire. Peut-être une quarantaine d'années. Je faisais le tour dans ma tête des hommes de l'entreprise qui pourraient coller au profil, mais cela ne m'avançais à rien. Seul le fait de le voir, me permettrais de le savoir. Je pris donc la folle décision d'y aller. Je me lançais peut être dans la gueule du loup, mais qui ne tente rien n'a rien.
20H55, j'arrivais devant la guérite du gardien. Je lui dis que je devais m'occuper d'un dossier urgent, que je serai là pendant une heure ou deux. Heureusement, mon manteau cachait ma tenue qui n'avait rien de ma tenue habituelle. Je me garais dans le parking, pris l'ascenseur jusqu'au sixième étage, mon cœur s'emballait de plus en plus, j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine, j'avais une boule au ventre. Il était encore temps de faire demi-tour, mais je n'y arrivais pas, trop tard, j'étais devant la porte et ma main venait de frapper les cinq coups.
La porte s'ouvrit, le bureau était totalement dans le noir. Je sentis une main qui me saisit le bras, je sursautais. Je sentis son souffle sur ma peau, dans mon cou.
« Détendez-vous, laissez-vous faire, je m'occupe de tout » me dit-il en chuchotant à mon oreille. J'entendais sa voix pour la première fois, mais ne pouvais deviner à qui elle appartenait.
Il me mit un cache sur les yeux, puis encore autre chose comme un foulard, surement pour être sûr que je ne vois rien. J'aperçu quand même juste après, une légère lueur. Il me fit tourner plusieurs fois, j'en perdis tous les repères qui me restaient. Il ôta mon manteau, puis défit la fermeture de ma robe et la laissa glisser, hormis mon collant et mes chaussures, j'étais totalement nue. Il me fit un peu avancer puis rien, pas un bruit, ni caresse, que faisait-il ? Le temps me paressait une éternité.
Puis, je sentis sa peau contre la mienne, il était derrière moi, certainement nu aussi. Ses mains saisirent mes seins délicatement, il les massait, les palpait, sa main droite descendit vers mon intimité, mais il ne fit que l'effleurer. Me laissant en attente de sensations plus intenses. Il se frottait à moi, je croyais sentir son sexe dur sur mes fesses.
Il vint face à moi, prit ma main et la posa sur sa queue. Je compris qu'il voulait que je le branle et je m'exécutais, elle paressait assez grosse, j'entendais ses gémissements, sa main me fit une pression sur l'épaule pour que je me mette à genou, puis il m'aida à le prendre en bouche. Je pu confirmer sa grosseur, ma bouche était bien ouverte, et venais vite au fond de ma gorge et j'étais loin de la garde. Je léchais, suçais, pompais. Il explosa son jus au bout de quelques minutes, que j'avalais très vite, ce n'était pas ma tasse de thé, mais je ne voulais pas jouer les mijaurées.
Il m'aida à me relever, et encore une fois plus rien?
Puis, je sentis de délicates caresses sur tout le corps, à travers le collant, à la limite des chatouilles. Je résistais et restais immobile. C'était vraiment très bon, je dirais même délicieux. Ses mains prirent le relais, il tournait autour de moi, je crois qu'aucun centimètres de mon corps ne fut oublié.
Il me fit poser les mains sur le dossier d'une chaise, me positionna légèrement penchée les jambes écartées, il passa une main entre mes cuisses de manières plus insistantes que précédemment, puis je crois que c'est sa queue qu'il faisait coulisser au même endroit, tout contre le nylon.
Au bout d'un bon moment il s'arrêta et m'allongea (je supposais sur le bureau), il saisit mes jambes et les mis autour de son cou, il commença alors à me baiser le minou à travers le collant, si délicatement que j'en frissonnais, il aspirait ma mouille à travers le tissu, j'entendais tous les bruitages. Il mêlait ses doigts à sa langue. Les sensations étaient vraiment fabuleuses. Je gémissais à ne pas pouvoir me contrôler. Et quand il arracha mon collant pour mieux me dévorer, je ne pus m'empêcher d'hurler mon plaisir. Sa langue, ses doigts me fouillaient dans le moindre recoin, les petites lèvres, le clito, le vagin, je me tortillais dans tous les sens. Puis l'extase me submergeât. Je n'avais jamais vécu une telle intensité. Chaque caresse qu'il continuait à me faire, me faisaient sursauter, tant j'étais à fleur de peau. Mon répit fut de courte durée, je sentis son membre entrer en moi, je l'entendais gémir, et pour accroître notre plaisir commun, je contractais mon sphincter, le relâchait, essayant de l'emprisonner en moi, il bougeait lentement, puis beaucoup plus rapidement comme un cycle de découverte de sensations. Ses testicules venaient frapper contre mes fesses. J'essayais d'imaginer son visage, ses mimiques pendant l'acte suprême. Soudain, je sentis les contractions, indiquant sa jouissance.
Il me caressa le visage, descendit jusqu'à ma poitrine, la massant délicatement mais aussi plus violement, comme pris par une nouvelle pulsion de désir fou. Il se retira de moi me saisit les mains pour me relever, je mis les pieds à terre, me fit tourner et me pencha à plat ventre contre le bureau, je m'accrochais de chaque côté, me préparant à le recevoir à nouveau en moi. J'attendis quelques instants, et il fit son entrée, j'avais l'impression qu'il me remplissait encore plus, ses mains sur mes hanches il recommençait son cycle lent rapide, puis je sentis des vibrations qui s'intensifiaient, c'était plus qu'agréable (il avait dû enfiler un gode avec vibromasseur). Chaque mouvements de sa queue en moi me faisais crier, je ne pouvais pas me retenir, pire encore, quand je sentis monter l'orgasme, c'était tellement bon. Lui aussi se laissait aller à son plaisir et fit de même quand il jouit pour la troisième fois.
Il se retira de mon corps, j'étais exténuée ! Il m'aida à me redresser, puis face à moi colla son torse contre le mien, et pris mon visage entre ses mains. Il me chuchota à l'oreille :
- Etes-vous prête à découvrir le visage de votre bienfaiteur ? Où dois-je encore laissez planer le mystère de mon identité ? Peut-être serez-vous déçue ? Que dois-je faire selon vous?
- Qui que vous soyez, ce que vous m'avez fait vivre, ce soir, et il y a un an, je ne l'avais jamais vécue. J'ai ressentis de fabuleuses sensations. En connaissant votre identité serai-je encore autant bouleversée par mes sens ? J'aime le mystère qui existe entre nous, et ne sais pas si nous serions capables de vivre pleinement cette soirée au grand jour ? Mais une autre partie de moi meur d'envie de connaitre l'homme qui a su à ce point me désirer, me découvrir et me transporter au-delà de tout ce que j'ai pu connaitre. Je suis certaine que votre imagination débordante, nous permettrai tous deux de découvrir d'autres univers, même à visage découvert.
- Très bien, je vous promets de vous surprendre toujours plus, tant que vous voudrez bien jouer avec moi. Me promettez-vous encore au moins un jeu ?
- Je vous le promets, peut m'importe qui vous êtes, je jouerai encore avec vous lors de votre prochaine invitation.
Pour sceller ma promesse, je pris son visage entre mes mains et l'embrassa délicatement. Il retira, le noeud du foulard, puis le masque sur mes yeux, au début, je voyais trouble, vu le temps que j'étais resté dans l'obscurité. Il était toujours contre moi, ses mains tenais les miennes, je distinguais un homme plus grand que moi, je clignais des yeux pour adapter ma vue. Puis elle devint plus nette, et je pu enfin le voir.
- Hugo !... Je n'aurais jamais pensé à toi.
- Tu es déçue ?
- Oh non ! Pas du tout. Surprise, mais en aucun cas déçue. Et face à toi je peux te refaire la promesse que je t'ai faites, je suis partante pour un nouveau jeu. Je comprends maintenant pourquoi, l'inconnu du bureau avait disparu pendant un an, tu avais fini ton stage. Tu es incroyable, si jeune et si doué?
- C'est pour toi, que j'ai changé, j'ai tout fait pour faire mon stage ici avec toi. Il fallait que je te surprenne encore.
- Et bien tu as réussi ton coup. Mais je ne veux pas me lancer dans une relation sérieuse avec toi, je ne veux pas de sentiment entre nous, juste du plaisir de temps en temps.
- T'inquiète pas pour ça, à la fin de mon stage, je pars pour Singapour, mon père m'y a trouvé un job.
- Alors tout va pour le mieux.
Il s'éloignât de moi et alla ramasser mes affaires. Nous nous rhabillâmes, et remirent un peu d'ordre dans la pièce. Puis nous quittâmes les locaux, rentrant chacun chez nous.
A peine rentrée à la maison, le téléphone sonna, c'était Sébastien :
- Allo !
- Ah ! enfin, ça fait des heures que j'essaye de te joindre chez toi, et sur ton portable, tout va bien ?
- Oui, tout va bien. J'avais oublié mon téléphone ici, je suis sortie diner avec une copine !
J'étais assise à mon bureau depuis 15 minutes quand on frappa à la porte :
- Entrez
- Bonjour Camille que je ne sais pas si vous vous rappelez de moi, je suis Hugo le fils du PDG, je suis venu en stage l'année dernière pendant une semaine.
- Ah, oui ! Je me souviens. Mais vous avez tellement changé que je ne vous ai pas reconnu.
- Oui, j'ai fait un petit relooking
- Je suis sûr que c'est une fille qui vous a fait changer.
- Comment le savez-vous ? dit-il l'air surpris.
- Intuition féminine?
- Ah ! Je vois, dit-il en poussant un léger soupir, comme quand on est rassuré. Trêve de plaisanterie mon père m'envoie vers vous, pour effectuer mon stage de fin d'études, d'une durée d'un mois, il veut que je sois l'ombre de Sébastien.
- D'accord, et bien prenez une chaise, je ne vais vous expliquer en gros, le fonctionnement de notre bureau?
Quelques instants plus tard, Sébastien fit son entrée dans le bureau avec comme tous les matins, nos tasses de café.
- Bonjour, oh ! Tu n'es pas seule, je suis désolé, je vais aller chercher un autre café.
- Je te présente Hugo, ma surprise de ce lundi matin. Je ne l'avais pas reconnu, c'est le fils de Monsieur Frasier.
- Et que nous vaut votre visite ?
- Je serai votre ombre pendant un mois, pour mon stage de fin d'études.
- Ah ! Bienvenue dans notre équipe. Demain, je viendrais avec trois cafés alors !
- Merci. Pour aujourd'hui, ne vous inquiétez pas, j'en prendrais un en allant voir mon père, il doit être arrivé. A tout à l'heure.
Une fois sorti, Sébastien, ravala son sourire aimable, contre un air très contrarié.
- Quelle galère, on se retrouve avec le boulet dans les pattes.
- Oh ! Tu exagères, en plus, il a bien changé, je le trouve même plutôt mignon maintenant?
Quoi ? Ne regarde pas comme ça, tu es jaloux ou quoi ?
- Moi ! jaloux ! Tu rigoles ! Tu fais toujours ce qu'il te fait plaisir, c'est juste que je n'aime pas jouer les nounous et que je ne pourrais pas jouer avec toi pendant un certain temps.
- Moi aussi ça me soûle, mais on n'a pas le choix. Et si on le veut vraiment, on pourra bien se
trouver des petits moments tranquilles.
Je me levais de ma chaise et me dirigea vers lui, je posais mon index dans le creux de son cou et le laissa descendre jusque son entrejambe, saisis son jouet puis, l'embrassa sur la joue. Il fallait que l'on soit discrets jusqu'au départ du gamin.
La journée se passa comme à son accoutumée, sauf que nous perdions beaucoup de temps à expliquer le travail à notre stagiaire VIP.
Le lendemain matin, Sébastien était arrivé avant moi, chose rare. Il avait l'air grognon.
- C'est quoi ce paquet sur mon bureau ? lui demandais-je.
- Je ne sais pas, il était là quand je suis arrivé. Bon je file, j'ai rendez-vous avec Monsieur Xeller, je ne peux pas attendre Hugo sinon je serai en retard. Je ne sais pas à quelle heure je reviendrais ce soir, je t'appelle, bonne journée.
- Toi aussi, tchao.
Belle humeur de chien, je me demandais ce qui pouvait le rendre comme ça. Mais intriguée par la petite boite sur mon bureau, j'oubliais vite Sébastien et entrepris de l'ouvrir. A l'intérieur, il y avait du papier de soie rouge, je l'ouvrais délicatement et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une culotte. Mais pas n'importe laquelle, la culotte que l'inconnu sous mon bureau l'an dernier, avait gardée. J'étais choquée, mais intriguée, qui pouvait bien l'avoir conservé tout ce temps, pour me la rendre aujourd'hui ? Au fond de la boite, il y avait un papier plié en quatre. Le texte n'était pas manuscrit mais il avait choisi une police très jolie :
« Ma chère Camille,
Voilà un an tout juste que je vous ai emprunté ce joli bout de tissu.
Il ne s'est pas passé un jour sans que vous soyez dans mes pensées, j'ose pensé qu'il en est de même pour vous vis-à-vis de moi.
Je revois encore votre charmante minette s'ouvrir sous mes caresses et pleurer de bonheur.
Je sens encore votre odeur et grâce à mon vol, j'ai pu en prolonger un peu plus longtemps mon plaisir, l'enfilant sur ma tête pour mieux vous humez tout en me faisant jouir.
Oui, vous m'avez apporté pendant 364 jours de nombreux moments de plaisirs solitaires.
Pour fêter notre anniversaire, je voudrais vous inviter à venir jouer avec moi.
Je sais, que vous avez aimé mon attention à votre égard, l'an passé.
Permettez-moi alors de vous faire vivre une nouvelle expérience tout aussi sensorielle que la précédente.
Si vous acceptez, rendez-vous ici, dans votre bureau à vingt et une heure, vous trouverez d'autres instructions dans la boite à lettre de votre domicile, lorsque vous rentrerez pour vous préparer.
Je vous embrasse délicatement sur votre intimité?
A ce soir,
Votre bienfaiteur. »
J'étais abasourdie par ce que je venais de lire, il connaissait aussi mon adresse. Quelle fille idiote serai-je pour venir ici, ce soir, à la demande d'un inconnu ! Il n'était pas question que je cède à ce pervers. Je rangeais dans mon bureau la petite boite et son contenu, et commença à trier le courrier.
Vers 10 heures, Hugo fit enfin son apparition. Je lui passai un savon sur son retard et du fait qu'il loupait le rendez-vous avec le client. Il me donna une excuse bidon, ce qui me mis hors de moi, du coup je le reléguait à de la saisie de comptes rendus de réunion. Dans l'après-midi, Sébastien me téléphona et me dit qu'il rentrerait tard, et ne passerai pas par le bureau, que pour une fois je pouvais partir de bonne heure. Je partis donc en même temps que tout le monde. Je ne me rappelle pas la dernière fois que j'avais pu le faire.
Arrivé chez moi, je pris mon courrier, pris l'ascenseur, et jeta un regard sur les enveloppes, une en particulier attira mon attention. Je décidais d'attendre un peu avant de l'ouvrir. Une fois rentrée dans mon appartement, je me déshabillais, restant juste en sous-vêtements et me fit couler un bain, pour une fois, j'avais le temps de me détendre un jour de semaine, et comptais bien en profiter. Je posais la missive sur le côté de la baignoire, mis un disque dans le poste de ma salle de bain, allumais quelques bougies, éteignais la lumière, fini de me dévêtir et me glissais dans l'eau. Oh que ça faisait du bien, je fermais les yeux un petit moment ! Finalement je pris l'enveloppe et lu son contenu.
« Ma merveilleuse Camille,
Que faites-vous pendant que vous me lisez ?
Moi, je vous devine nue dans votre bain de mousse, vous demandant encore, si vous allez céder à la tentation de me rejoindre.
Je sais que vous ne pourrez pas résister, vous viendrez?
Par contre, je veux que vous jouiez le jeu et respectez mes demandes.
A la sortie de votre bain, vous enduirez votre corps de crème parfumée, vous ne mettrez ni soutien-gorge, ni culotte, mais juste un collant noir très fin, une robe, la plus sexy que vous ayez et de jolis escarpins. Relèverez vos cheveux le plus simplement possible. Là, vous serez prête à me rejoindre.
En arrivant à votre bureau, frappez cinq petits coups à la porte et ensuite vous vous laisserez guider.
Je me languis de vous retrouver?
Votre bienfaiteur. »
Je tentais d'imaginer, cet homme, cultivé, vu sa manière d'écrire. Peut-être une quarantaine d'années. Je faisais le tour dans ma tête des hommes de l'entreprise qui pourraient coller au profil, mais cela ne m'avançais à rien. Seul le fait de le voir, me permettrais de le savoir. Je pris donc la folle décision d'y aller. Je me lançais peut être dans la gueule du loup, mais qui ne tente rien n'a rien.
20H55, j'arrivais devant la guérite du gardien. Je lui dis que je devais m'occuper d'un dossier urgent, que je serai là pendant une heure ou deux. Heureusement, mon manteau cachait ma tenue qui n'avait rien de ma tenue habituelle. Je me garais dans le parking, pris l'ascenseur jusqu'au sixième étage, mon cœur s'emballait de plus en plus, j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine, j'avais une boule au ventre. Il était encore temps de faire demi-tour, mais je n'y arrivais pas, trop tard, j'étais devant la porte et ma main venait de frapper les cinq coups.
La porte s'ouvrit, le bureau était totalement dans le noir. Je sentis une main qui me saisit le bras, je sursautais. Je sentis son souffle sur ma peau, dans mon cou.
« Détendez-vous, laissez-vous faire, je m'occupe de tout » me dit-il en chuchotant à mon oreille. J'entendais sa voix pour la première fois, mais ne pouvais deviner à qui elle appartenait.
Il me mit un cache sur les yeux, puis encore autre chose comme un foulard, surement pour être sûr que je ne vois rien. J'aperçu quand même juste après, une légère lueur. Il me fit tourner plusieurs fois, j'en perdis tous les repères qui me restaient. Il ôta mon manteau, puis défit la fermeture de ma robe et la laissa glisser, hormis mon collant et mes chaussures, j'étais totalement nue. Il me fit un peu avancer puis rien, pas un bruit, ni caresse, que faisait-il ? Le temps me paressait une éternité.
Puis, je sentis sa peau contre la mienne, il était derrière moi, certainement nu aussi. Ses mains saisirent mes seins délicatement, il les massait, les palpait, sa main droite descendit vers mon intimité, mais il ne fit que l'effleurer. Me laissant en attente de sensations plus intenses. Il se frottait à moi, je croyais sentir son sexe dur sur mes fesses.
Il vint face à moi, prit ma main et la posa sur sa queue. Je compris qu'il voulait que je le branle et je m'exécutais, elle paressait assez grosse, j'entendais ses gémissements, sa main me fit une pression sur l'épaule pour que je me mette à genou, puis il m'aida à le prendre en bouche. Je pu confirmer sa grosseur, ma bouche était bien ouverte, et venais vite au fond de ma gorge et j'étais loin de la garde. Je léchais, suçais, pompais. Il explosa son jus au bout de quelques minutes, que j'avalais très vite, ce n'était pas ma tasse de thé, mais je ne voulais pas jouer les mijaurées.
Il m'aida à me relever, et encore une fois plus rien?
Puis, je sentis de délicates caresses sur tout le corps, à travers le collant, à la limite des chatouilles. Je résistais et restais immobile. C'était vraiment très bon, je dirais même délicieux. Ses mains prirent le relais, il tournait autour de moi, je crois qu'aucun centimètres de mon corps ne fut oublié.
Il me fit poser les mains sur le dossier d'une chaise, me positionna légèrement penchée les jambes écartées, il passa une main entre mes cuisses de manières plus insistantes que précédemment, puis je crois que c'est sa queue qu'il faisait coulisser au même endroit, tout contre le nylon.
Au bout d'un bon moment il s'arrêta et m'allongea (je supposais sur le bureau), il saisit mes jambes et les mis autour de son cou, il commença alors à me baiser le minou à travers le collant, si délicatement que j'en frissonnais, il aspirait ma mouille à travers le tissu, j'entendais tous les bruitages. Il mêlait ses doigts à sa langue. Les sensations étaient vraiment fabuleuses. Je gémissais à ne pas pouvoir me contrôler. Et quand il arracha mon collant pour mieux me dévorer, je ne pus m'empêcher d'hurler mon plaisir. Sa langue, ses doigts me fouillaient dans le moindre recoin, les petites lèvres, le clito, le vagin, je me tortillais dans tous les sens. Puis l'extase me submergeât. Je n'avais jamais vécu une telle intensité. Chaque caresse qu'il continuait à me faire, me faisaient sursauter, tant j'étais à fleur de peau. Mon répit fut de courte durée, je sentis son membre entrer en moi, je l'entendais gémir, et pour accroître notre plaisir commun, je contractais mon sphincter, le relâchait, essayant de l'emprisonner en moi, il bougeait lentement, puis beaucoup plus rapidement comme un cycle de découverte de sensations. Ses testicules venaient frapper contre mes fesses. J'essayais d'imaginer son visage, ses mimiques pendant l'acte suprême. Soudain, je sentis les contractions, indiquant sa jouissance.
Il me caressa le visage, descendit jusqu'à ma poitrine, la massant délicatement mais aussi plus violement, comme pris par une nouvelle pulsion de désir fou. Il se retira de moi me saisit les mains pour me relever, je mis les pieds à terre, me fit tourner et me pencha à plat ventre contre le bureau, je m'accrochais de chaque côté, me préparant à le recevoir à nouveau en moi. J'attendis quelques instants, et il fit son entrée, j'avais l'impression qu'il me remplissait encore plus, ses mains sur mes hanches il recommençait son cycle lent rapide, puis je sentis des vibrations qui s'intensifiaient, c'était plus qu'agréable (il avait dû enfiler un gode avec vibromasseur). Chaque mouvements de sa queue en moi me faisais crier, je ne pouvais pas me retenir, pire encore, quand je sentis monter l'orgasme, c'était tellement bon. Lui aussi se laissait aller à son plaisir et fit de même quand il jouit pour la troisième fois.
Il se retira de mon corps, j'étais exténuée ! Il m'aida à me redresser, puis face à moi colla son torse contre le mien, et pris mon visage entre ses mains. Il me chuchota à l'oreille :
- Etes-vous prête à découvrir le visage de votre bienfaiteur ? Où dois-je encore laissez planer le mystère de mon identité ? Peut-être serez-vous déçue ? Que dois-je faire selon vous?
- Qui que vous soyez, ce que vous m'avez fait vivre, ce soir, et il y a un an, je ne l'avais jamais vécue. J'ai ressentis de fabuleuses sensations. En connaissant votre identité serai-je encore autant bouleversée par mes sens ? J'aime le mystère qui existe entre nous, et ne sais pas si nous serions capables de vivre pleinement cette soirée au grand jour ? Mais une autre partie de moi meur d'envie de connaitre l'homme qui a su à ce point me désirer, me découvrir et me transporter au-delà de tout ce que j'ai pu connaitre. Je suis certaine que votre imagination débordante, nous permettrai tous deux de découvrir d'autres univers, même à visage découvert.
- Très bien, je vous promets de vous surprendre toujours plus, tant que vous voudrez bien jouer avec moi. Me promettez-vous encore au moins un jeu ?
- Je vous le promets, peut m'importe qui vous êtes, je jouerai encore avec vous lors de votre prochaine invitation.
Pour sceller ma promesse, je pris son visage entre mes mains et l'embrassa délicatement. Il retira, le noeud du foulard, puis le masque sur mes yeux, au début, je voyais trouble, vu le temps que j'étais resté dans l'obscurité. Il était toujours contre moi, ses mains tenais les miennes, je distinguais un homme plus grand que moi, je clignais des yeux pour adapter ma vue. Puis elle devint plus nette, et je pu enfin le voir.
- Hugo !... Je n'aurais jamais pensé à toi.
- Tu es déçue ?
- Oh non ! Pas du tout. Surprise, mais en aucun cas déçue. Et face à toi je peux te refaire la promesse que je t'ai faites, je suis partante pour un nouveau jeu. Je comprends maintenant pourquoi, l'inconnu du bureau avait disparu pendant un an, tu avais fini ton stage. Tu es incroyable, si jeune et si doué?
- C'est pour toi, que j'ai changé, j'ai tout fait pour faire mon stage ici avec toi. Il fallait que je te surprenne encore.
- Et bien tu as réussi ton coup. Mais je ne veux pas me lancer dans une relation sérieuse avec toi, je ne veux pas de sentiment entre nous, juste du plaisir de temps en temps.
- T'inquiète pas pour ça, à la fin de mon stage, je pars pour Singapour, mon père m'y a trouvé un job.
- Alors tout va pour le mieux.
Il s'éloignât de moi et alla ramasser mes affaires. Nous nous rhabillâmes, et remirent un peu d'ordre dans la pièce. Puis nous quittâmes les locaux, rentrant chacun chez nous.
A peine rentrée à la maison, le téléphone sonna, c'était Sébastien :
- Allo !
- Ah ! enfin, ça fait des heures que j'essaye de te joindre chez toi, et sur ton portable, tout va bien ?
- Oui, tout va bien. J'avais oublié mon téléphone ici, je suis sortie diner avec une copine !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Petite futée
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oser se lancer dans les bras d'un inconnu (ou presque)
Et se laisser emporter par les plaisirs... Un vrai délice
Aussi pour les lecteurs
Et se laisser emporter par les plaisirs... Un vrai délice
Aussi pour les lecteurs
Chère lectrice, merci beaucoup pour votre commentaire, j aime que mes histoires fasse cet effet, ça marche pour moi aussi quand je les écris. N hésitez pas N. à me recontacter si le coeur vous en dit...
Vous écrivez de bien belles histoires Petite futée.Pour certaines raisons je ne pouvais pas vous le dire, mais aujourd'hui j'ai trop envie de vous faire partager le plaisir que vous me donnez. Sachez que vos récits me font mouiller à tel point que mes mains doivent éteindre le feu que vous allumez entre mes cuisses. Vous m'excitez, je
me masturbe, je vibre de vos mots, de vous, vous me faites jouir.
Merci, chaudes bises à vous!! N.
me masturbe, je vibre de vos mots, de vous, vous me faites jouir.
Merci, chaudes bises à vous!! N.
Suite très réussie, j'adore ...
J'ai trouvé le passage ou Camille ne porte que son collant hyper excitant ;)
Merci
J'ai trouvé le passage ou Camille ne porte que son collant hyper excitant ;)
Merci