La semaine des hommes

- Par l'auteur HDS Sexy-maginaire -
Auteur homme.
  • • 2 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Sexy-maginaire ont reçu un total de 18 952 visites.
Récit libertin : La semaine des hommes Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2013 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 5 289 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
La semaine des hommes
Je viens d’un univers qui n’est pas totalement le vôtre. Enfin, tout est semblable : les villes, le boulot, le mariage et même la bière. Il y a cependant une chose qui différencie mon monde du votre. Le sexe. Selon les ouï-dire, votre monde serait restreint à une seule femme, prise dans l’intimité de votre chambre. Une seule femme…quel gaspillage.
Je vais donc vous expliquer en quoi le sexe de mon monde et le sexe du vôtre diffère du tout au tout. Dans mon monde, l’église n’a jamais fait de pression pour la monogamie et la pudeur. Dans mon monde, le sexe est libre, sans aucune restriction de lieu, de temps ou de personne. Dans mon monde, refuser une invitation sexuelle est impoli, voir illégal. De toute façon pourquoi vouloir refuser quelque chose qui est encouragé et promu par toute la société?
Ici, les 52 semaines de l’année son divisé en deux par égale. Une semaine ou les hommes décident de la totalité des relations sexuelles et une autre semaine où ce sont les femmes qui décident. Aucun tabou n’existe, la morale ne s’applique pas au sexe. Les classes sociales non plus d’ailleurs. Vous demandez à coucher avec votre patronne, elle le fera, la ménagère du coin vous attire, baisez-là! Vous commencez à comprendre le concept?
Toujours selon les ouï-dire, une telle façon de procéder dans votre monde causerait l’anarchie. Les emploies seraient perdu, les maladies se transmettraient, les belles femmes seraient abusé…
J’ai oublié de vous dire qu’ici, le retard aux heures de bureau pour relation sexuelle est accepté, voir encouragé. Les maladies sexuelles sont inexistantes et les femmes sont toutes, mais absolument toute magnifique. Pour tous les autres problèmes d’ordre de logique, référez vous à votre imagination pour leur trouver des réponses.
Nous sommes samedi soir dans la semaine des hommes. C’est ma dernière journée avant que les femmes ne prennent le contrôle sexuel. Entrez dans mon monde.

J’ai eu une semaine au boulot chargé, la fin de l’année fiscale est toujours ainsi. Malgré tout mon vouloir, je n’ai couché avec aucune autre femme que la mienne depuis mardi. J’ai les couilles pleines et une sacrée envie de baiser. Ma femme a décidé de sortir avec ses amies ce soir, comme à chaque mardi elles sortent en groupe pour attirer les mâles. Je me dis qu’une petite sortie ne me ferait pas de tors non plus. J’enfile un polo léger, une paire de jeans décontract et je suis prêt.
J’adore ce moment. Celui ou les femmes sont à leur plus haut niveau d’excitation. Elles savent qu’elles auront bientôt le pouvoir et cela les rends folles dingues. À peine deux pas à l’extérieur et je vois ma voisine, une superbe créature, sur le trottoir devant moi. C’est avec elle que j’ai couché mardi. Elle a un cul d’enfer et sa moule est serrée juste à souhait. Je baise souvent avec. En plus, son conjoint est un de mes bons amis et il m’arrive de l’aider quand il a besoin d’une deuxième queue pour sa femme. Je songe un instant à aller la baiser mais j’hésite. Ce soir, j’ai le goût de nouveauté.
Je n’ai même pas tourné le coin de la rue que ma voisine a déjà trouvé un partenaire. Un jeunot qui la lime déjà bien fort.
Les femmes sont particulièrement sexy ce soir. On sent le sexe dans l’air. Je passe à côté d’un homme qui se branle en regardant deux filles se doigter. Triste imagination, se servir de ses propres mains…
Je vois soudainement une belle blonde qui marche vers moi. Je ne la connais pas, une nouvelle dans le quartier. Une mini-jupe beaucoup trop courte qui laisse entrevoir son string noir avec un chandail si échancré qui oblige notre regard à plonger vers ses seins. Elle marche d’un pas rapide, elle doit s’en aller à un rendez-vous. Il attendra, c’est elle que je veux.
-Bonjour mademoiselle.
-Bonjour me répondit-elle avec un charmant sourire.
-J’adore vos seins, ils sont magnifique, votre chatte est rasé?
-Merci vous êtes gentleman. Je viens tout juste de la raser.
-Très bien, commencez donc par ma sucer un peu, question de voir vos talents.
Sans plus de présentation, elle posa son sac au sol et s’en servit comme coussin pour ses genoux. Elle ouvrit ma fermeture éclair et pris ma queue qui avait déjà commencé à gonfler. Ses lèvres pulpeuses embrassèrent tendrement mon gland, puis elle enfouit ma bite au complet dans sa bouche. Je sortis ses seins de son chandail et je la pris par les cheveux. J’aimais bien sentir que j’avais le contrôle. Elle suçait comme une reine. À chaque mouvement, je poussais sa tête un peu plus loin, obligeant ma queue à aller profondément dans sa gorge.
Une femme passa sur le trottoir près de nous. Son cul d’enfer attira mon attention.
-Hey toi! Viens ici s’il-te-plaît! Agenouille toi et bouffe lui la chatte, je suis sur qu’elle aimera. Et enlève ton chandail, je veux voir tes seins.
Aussi docile de la première, elle s’installa et releva la mini-jupe de la femme qui me suçait. Elle enleva le string trempé avec ses dents et enfourna sa langue profondément dans sa chatte.
-n’oublie pas de te masturber en même temps. Tu y a droit toi aussi.
Elle enfouit aussitôt sa main dans sa petite culotte. De son autre main, elle chercha l’ouverture du petit vagin serré de la blonde et y inséra deux doigts. La créature qui me suçait gémit de plaisir et enfonça encore plus profondément ma queue dans sa gorge. Sans plus attendre, l’autre femme lui enfonça un troisième doigt.
-Très bien mesdames, vous faites très bien ça! Enfonce lui ton pouce dans le cul en la léchant.
Son petit orifice lubrifié par sa mouille et la salive de l’autre femme n’offrit aucune résistance. Dans un soubresaut, elle jouit intensément, serrant ma bite encore un peu plus fort avec ses lèvres. N’y tenant plus je lui déchargeai mon foutre au fond de la gorge. Elle se retira en peu, caressant ma queue avec sa main et reçu tout le reste en plein visage. L’autre garce se releva et vint licher la semence directement sur ses lèvres.
-Très bien, j’aime bien vôtre façon de procéder, vous venez tout les deux avec moi, nous allons dans un club.

Le club était sombre, des dizaines de gens dansaient sur la piste, laissant onduler leur corps au son de la musique. La plupart des filles étaient déshabillées. Dans un coin, un gars baisait férocement une fille aux immenses talons.
Je n’avais aucune envie de danser, j’étais venu ici pour baiser. C’est ici que je trouvais les femmes les plus chaudes pour tremper ma bite.
-Vous deux, vous déshabillez toutes les femmes qui portent encore des vêtements, revenez me voir ensuite.
Je m’avançai sur le plancher de danse et je vis nul autre que ma femme qui se frottait sur un grand gaillard. Elle me vis et un eu sourire coquin. Il était rare qu’elle sorte ici. Je m’installai devant elle et hélai une superbe femme.
La musique était trop forte, je ne pris pas la peine de lui expliquer ce que je voulais. Je la tournai dos à moi et je sentis ses fesses sur ma bite. Je la penchai légèrement vers l’avant et j’insérai un doigt dans sa moule. Elle était bien chaude et toute humide. Je le ressortis et goutai à sa mouille. Satisfait, je défis ma braguette et j’enfonçai ma bite dans sa chatte. Debout avec des talons-hauts, son vagin n’avait d’autre choix que d’être serré au maximum. Elle aimait sa la coquine. Se faire prendre au milieu de la piste de danse me plaisait bien, je pouvais voir tous les autres danseurs pendant que je limais bien à fond cette fille.
Ma femme me regarda dans les yeux et eu un immense sourire. Un grand noir à l’énorme queue venait de lui parler dans l’oreille. Il la pencha de la même façon que la mienne et l’enfourcha bien à fond. Elle poussa un cri de surprise tellement la bite de l’homme était grosse. Ma femme et la femme que je baisais se trouvait l’une en face de l’autre. Je n’eu aucune directive à dire pour quelle commence à s’embrasser et à se ploter. Les deux femmes qui m’avaient fait jouir dans la rue revinrent me voir comme demandé avec tous les morceaux de vêtement.
Je leur fis un bref signe de main qu’elles comprirent bien assez vite. La petite brune sortit un gode ceinture de son sac à main et poussa brutalement la blonde à quatre pattes. Sans autre préliminaire, elle planta sa grosse bite en plastique dans le cul de la jolie blonde qui hurla de plaisir.
Elle me donnait envie les coquines. Je poussai un dernier coup bien fort dans la chatte de ma partenaire et je me retirai pour mieux lui enfoncer ma queue dans son cul. Elle grimaça d’abord, tellement son anus était serré puis s’habitua et s’activa sur ma bite. Putain que c’était bon! Je baisais une femme dans le cul pendant que ma femme se faisais défoncer devant mes yeux en regardant deux femmes s’enculer mutuellement. Je levai mes yeux et c’est la que je compris le mouvement que j’avais commencé. Partout autour de moi, les gens baisaient. Plus personne ne dansaient, couché, assis, debout. Toutes les positions étaient bonnes. Un mec enculaient la femme au gode ceinture, trois hommes baisaient une femme dans chacun de ses trou, deux femmes utilisaient un gode double pendant qu’elle suçait chacun un homme. Partout je voyais des queues et des vagins. Elles étaient toutes défoncées, bien remplies.
Je pris un gode des mains d’une femme et je l’enfonçai dans le vagin de la femme que j’enculais. L’espace déjà restreint de son cul diminua encore plus. Ses hurlements enterraient la musique. Elle jouit comme j’avais vu peu de femme jouir dans ma vie. Un flot de mouille inonda ma queue. Mes couilles tapaient contre sa chatte, ma queue défonçait ses entrailles. N’en pouvant plus je m’enfonçai jusqu’à la garde, lui arrachant un cri et je jouis une quantité phénoménale de foutre en elle.
Je la retournai de face pour qu’elle me nettoie la queue avec sa langue mais elle stoppa dans son élan. Je fus d’abord surpris de son comportement puis je vis la même chose se produire chez toutes les femmes. Minuit avait sonné, le pouvoir avait changé de camp.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Super, continue tes histoires fantastiques.



Texte coquin : La semaine des hommes
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Sexy-maginaire

La semaine des hommes - Récit érotique publié le 04-03-2013
Le fauteuil - Récit érotique publié le 01-06-2011