La sénatrice avait la cuisse légère

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : La sénatrice avait la cuisse légère Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2017 dans la catégorie Plus on est
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La sénatrice avait la cuisse légère
Fabienne K. sortit du Palais du Luxembourg pour rejoindre sa voiture de fonction et son chauffeur. Celui-ci avait changé. Ce n'était plus le quinquagénaire ventripotent qui l'accompagnait depuis le début de son mandat de sénatrice mais un mulâtre athlétique embauché par le Sénat pour lui servir également de garde du corps. Elle avait en effet reçu des menaces inquiétantes et le président de la Haute Assemblée lui avait imposé, contre son gré, ce gaillard musculeux rôdé à la protection rapprochée. Il était du genre taiseux et méfiant, ce qui n'avait pas aidé Fabienne à le trouver sympathique. Dans la voiture, elle sortit de son sac à main un petit miroir pour peaufiner son maquillage et vérifier son inaltérable chignon, quasiment sa marque de fabrique. Comme la plupart des femmes de cinquante ans, dont la beauté avait longtemps servi de viatique, elle s'observait avec un regard de plus en plus critique. Certes, elle avait toujours une certaine allure, avec un corps qui n'avait pas trop subi les outrages du temps. Elégante, racée, on lui trouvait encore de la classe. Ses jambes fines et musclées par l'exercice physique quotidien étaient enviées par des femmes plus jeunes; ses fesses toujours rebondies, ses seins que le léger affaissement rendait attendrissants et ses yeux bleu outremer lui conféraient un indiscutable sex appeal. Mais elle en faisait quoi, à part séduire quelques maires au moment des élections ? Presque rien. Sa vie sexuelle était devenue un vrai désert. Divorcée depuis cinq ans, non seulement elle n'avait pas retrouvé l'âme soeur mais le nombre de ses amants (occasionnels) aurait facilement tenu sur les doigts de sa main fine. La dernière fois qu'elle avait fait l'amour (ou plutôt baisé) remontait à six mois. C'était avec un jeune militant de son parti qui lui avait servi de factotum pendant sa campagne et qui l'avait raccompagnée chez elle un soir de grosse fatigue. Après l'avoir fait boire, elle l'avait mis dans son lit et chevauché chignon défait telle une walkyrie dominatrice jusqu'à un orgasme aussi violent qu'éphémère. Elle en gardait un souvenir ému car le jeune homme était vraiment "dur partout". Mais il était marié et avait soigneusement évité de la rencontrer en duo les jours suivants. De ce fait, sa libido s'était effondrée, d'autant que son mandat la mobilisait du matin au soir et qu'elle ne rencontrait le plus souvent que des hommes d'âge très mûr dont elle savait par avance qu'ils seraient bien incapables de la faire jouir. Ses collègues féminines du Sénat avaient toutes un mari ou un amant et ne manquaient jamais, lorsque le sujet était abordé, de l'inciter à mieux équilibrer sa vie, trop axée sur le travail : "il te faut du cul" lui avait même dit l'une d'elles, assez délurée bien que du même âge que Fabienne.
*********Un événement allait toutefois modifier le cours des choses. Au sortir d'une réunion houleuse, où elle fut prise à partie par certains membres du public, Fabienne se retrouva face à quelques excités qui se révélèrent menaçants. L'un d'entre eux allait même la frapper lorsqu'il fut intercepté manu militari par le garde du corps de la sénatrice avec une promptitude et une efficacité qui laissèrent ce petit monde pantois et calmé. Justin, le garde du corps, entraina sans tergiverser sa patronne vers sa voiture.
- Ah merci Justin, vous m'avez tirée d'un mauvais pas. Ils sont dingues ces types.
- Normal, madame, c'est mon boulot. Je vous ramène chez vous ?
- Non, je vous invite à dîner d'abord car je suppose que vous n'avez pas mangé.
- Exact madame.
C'était l'occasion pour Fabienne de faire plus ample connaissance avec son protecteur. Jusqu'alors, elle voyait un type costaud et plutôt avare de paroles. A table, elle découvrit un homme méritant son intérêt. Non seulement il était beau avec sa peau ambrée, ses yeux clairs et ses larges épaules, mais il avait aussi "de la conversation". Il avait mené des études littéraires sur la métropole après sa jeunesse en Guadeloupe mais faute d'avoir pu trouver du travail, il s'était fait embaucher par une entreprise de sécurité, où il avait su se faire apprécier des clients. Non marié mais en concubinage, il avoua que sa vie personnelle devenait chaotique en raison de ses obligations professionnelles et que sa compagne commençait à en prendre vraiment ombrage.
- Je connais le problème, dit Fabienne, sauf que les rapports entre homme et femme étaient inversés.
Quand il ramena la sénatrice chez elle, le garde du corps eut l'impression très nette que sa patronne ne le voyait plus sous le même angle. Elle tint à lui faire la bise, après l'avoir à nouveau remercié.
La nuit de Fabienne fut agitée. Non seulement à cause du début d'agression dont elle avait été victime, qui l'avait passablement bouleversée, mais aussi en raison du trouble qui était né du moment intime passé avec Justin. Celle nuit là, elle rêva qu'il couchait avec elle et qu'après l'avoir virilement possédée, il l'arrosait de flots de sperme dont elle se barbouillait tout le corps. Elle se réveilla en nage, le bas ventre douloureux et seul l'usage de son gode parvint à la calmer. "Je deviens folle, se dit-elle, les copines ont raison de dire qu'il me faudrait un mec".
**************Pendant quelques jours, ni la sénatrice ni son garde du corps, trop pris par les exigences du quotidien, n'émirent la moindre tentative de rapprochement. Un soir cependant, Justin ne put cacher une certaine détresse morale. La constatant, Fabienne lui demanda la raison de ce blues :- Ma compagne m'a quitté. Elle ne supportait plus mes absences.
- Je suis désolée. Tout cela est un peu ma faute. Je vous en demande trop.
- Non, ne vous excusez pas, c'est mon boulot, voilà tout, et elle ne veut pas le comprendre.
Et il fondit en larmes. De voir ce grand corps si vulnérable attendrit la sénatrice. Elle le prit dans ses bras et lui produisit quelques mots de consolation, très maternelle. Puis elle se lança :- Venez chez moi, je vais vous faire à dîner avec une bonne bouteille, ça vous remettra les idées en place.
Justin ne refusa pas la proposition. Fabienne improvisa un dîner avec les moyens du bord et ne lésina pas sur le vin rouge. A la fin du dîner, tous les deux étaient franchement gais. La sénatrice avait dénoué son inaltérable chignon et ses cheveux tombaient sur ses épaules, lui donnant un air plus glamour et moins strict. Elle était passée dans sa chambre pour revêtir une tenue d'intérieur plus légère révélant par transparence le slip et le soutien-gorge noirs. Croisant haut ses jambes nues sur son fauteuil, face à son invité, elle dévoilait une bonne portion de ses cuisses sculptées par la gymnastique. Justin ne voyait plus en elle une sénatrice, une patronne, mais une femme qui visiblement aspirait à séduire par son physique. De propos badins et allusions grivoises, elle en vit à le rejoindre sur le canapé et après quelques gloussements, l'embrassa pleine bouche. L'homme ne se déroba pas. Il explora d'une main adroite l'intérieur du déshabillé, sentit les pointes de seins durcies sous le soutif, tandis que son hôtesse pétrissait sa braguette.
- J'ai envie de baiser, souffla-t-elle à son oreille.
Justin se montra à peine surpris par ce revirement inattendu de la stricte sénatrice au langage soudain cru. Il avait toujours subodoré que le feu couvait sous la carapace. Quand elle finit par libérer son dard et se pencher pour le sucer, il ne pensait même plus à sa rupture. Il retroussa le déshabillé, dégrafa le soutien-gorge, lui caressa les seins avant que sa partenaire le prenne par la main et l'entraine dans la chambre. Là, il la laissa le dévêtir et exhiber sa triomphante virilité :- Tu as une queue magnifique, je suis très flattée, gloussa-t-elle.
Puis elle fit passer son déshabillé par dessus sa tête et se débarrassa de son slip, révélant un pubis brun triangulaire.
- Viens me lécher, j'adore ça.
A genoux au pied du lit, il enfouit son mufle entre les cuisses de sa patronne qui lui prit les cheveux d'une main pour le fixer à sa tâche. D'une langue large et mouillée, il fouilla son intimité, la sentant palpiter de désir. Elle gémissait en ondulant légèrement et Justin ressentait les effets produits par les griffes qu'elle plantait dans sa nuque.
- Maintenant, j'en peux plus... haleta-t-elle.
Il se rendit compte alors qu'il n'avait pas de préservatif et que sa partenaire ne lui en proposait pas. Mais son dard, surexcité, lui faisait trop mal et il fallait qu'il pénètre. Et comme elle-même aspirait ardemment à être pénétrée, l'accouplement se fit au bord du lit, sans entraves, torride et bruyant. Les jambes nouées autour du dos de son amant, les ongles plantés dans ses flancs et ses épaules, Fabienne riposta aux furieux coups de boutoir avec tout l'allant que lui permettaient ses appuis. Elle accompagnait ses ruades désordonnées de multiples interjections, onomatopées, soupirs, halètements d'où émergeait parfois, inattendu, un mot cru :- Allez, vas-y, encore, jusqu'aux couilles !
Ce fut un coït intense, orgasmique mais assez bref, et l'enthousiasme de sa partenaire eut bientôt raison de sa résistance , d'autant qu'elle exprima clairement sa jouissance en se cabrant et en criant de plaisir. Il la rejoignit par une première éjaculation suivit d'une deuxième, aussi copieuse, sur le corps palpitant de sa maitresse, la mettant dans une véritable transe. Ce qu'il ne savait pas, c'est que Fabienne adorait le sperme sur elle et s'en barbouiller le corps comme d'une crème miracle...
***********A partir de cette soirée, qui se termina par une nuit en commun de la patronne et son employé, et une résurrection de ce dernier, tous deux connurent une période de frénésie érotique qui marque une vie. L'homme se régalait de l'inventivité, de la générosité, de l'enthousiasme et de la liberté en matière sexuelle de sa partenaire et néanmoins employeuse. La femme ne se lassait pas du corps racé, fin, musculeux et endurant de son employé et néanmoins gigolo. Les organes génitaux de ce dernier étaient l'objet d'une véritable vénération et de soins assidus, en particulier buccaux, de la part de la sénatrice. Tout était bon pour une partie de baise, à tel point que l'élue frisa parfois le grave incident électoral. Tailler une pipe à son chauffeur dans la voiture en attendant une réunion était une manière bien à elle de se mettre en danger, ce qui contribuait à son excitation. Et son plaisir. Plusieurs fois, la sénatrice quitta une assemblée pour se rendre aux toilettes, où la rejoignait son chauffeur pour un rapide coït en levrette robe troussée, ce qui se révéla pour elle le meilleur moyen de faire tomber stress et pression.
Mais les meilleurs moments se déroulaient dans l'intimité de l'appartement de la sénatrice. Celle-ci s'était procurée plusieurs miroirs amovibles qu'elle planquait dans un placard et ressortait quand les deux amants projetaient un nouvel accouplement. Judicieusement disposés, ils permettaient à la maîtresse des lieux d'admirer le corps de son amant sous tous les angles pendant qu'il la baisait et ainsi de mesurer sa chance d'avoir à sa disposition une aussi belle bête de sexe. Lui-même ne détestait pas observer le corps de sa maîtresse en ébullition. De voir ses seins s'agiter sous ses coups de boutoir tout en regardant le travail de sa bite, de considérer le visage tantôt rayonnant, tantôt tendu de sa partenaire dans l'amour alors qu'elle-même se découvrait en train de baiser, tout cela contribuait grandement à ce que le couple renouvelle sans cesse l'expérience. Ce qui les excitait le plus, c'était quand le miroir était au sol et reflétait ainsi l'état de leur sexe dans l'accouplement : survitaminé pour l'un, béant pour l'autre. Il n'était pas rare que l'orgasme mutuel survînt à ce moment là.
********Cette frénésie érotique dura un certain temps mais n'était pas appelée à durer. Au bout de quelques semaines, Justin commença à ressentir les premiers effets de lassitude après avoir abondamment servi le corps brûlant de Fabienne. Si celle-ci se sentait toujours disponible, et même rajeunie aux yeux de son entourage (en particulier ses collègues du Sénat, un rien jalouses, en particulier deux proches, Marie-Pierre G. et Nathalie D.), le garde du corps commençait à regarder ailleurs. Mais craignant de perdre une place très confortable, il demeurait très prudent et commençait à chercher une échappatoire sans dommage pour le couple, ce qui s'apparentait à la quadrature du cercle. Il s'en ouvrit à son ami Célestin, Antillais comme lui et tout aussi bien de sa personne. En couple avec Zoé, Antillaise tout autant, il ne cachait pas leur penchant mutuel pour le libertinage et à ce titre, participaient à des soirées coquines où leurs corps sculpturaux et leur ardeur au coït étaient très appréciés.
- Pourquoi tu ne nous l'amènerait pas, ta copine ? dit-il à Justin.
- Tu veux dire pour une partie à quatre ? Franchement, je vois mal Fabienne là-dedans. Elle a chaud au cul, mais avec moi seulement.
- Tu le crois vraiment ? On ne sait jamais quand on n'a pas essayé. Viens donc avec elle un soir. On fera un petit dîner et on verra bien comment elle réagira. Zoé n'a pas son pareil pour mette les gens à l'aise, en particulier les femmes.

Après une courte réflexion, Justin se dit qu'après tout, l'expérience méritait d'être tentée. Il suffisait juste d'amadouer Fabienne au début et après, on verrait bien.
De fait, la sénatrice ne vit pas malice à une invitation à dîner chez les amis de son amant. Mais quand elle les découvrit, elle se montra surprise. L'homme, magnifique athlète à la peau sombre, sourire enjôleur, lui parut très séduisant. Quant à sa compagne, c'était une belle plante aux cheveux crépus, vêtue d'une robe qu'elle n'aurait jamais osé mettre, lui arrivant à mi-cuisses avec un énorme rond sur le devant qui découvrait la majeure partie de ses seins lourds, lesquels pointaient hardiment sans le moindre soutien. Fabienne se sentit légèrement décalée avec sa petite robe noire très simple et son chignon impeccable. Mais ses hôtes surent très vite la mettre à l'aise et après quelques punchs, la sénatrice n'était plus vraiment sénatrice mais une femme de cinquante ans légèrement pompette, riant pour un rien, ayant chaud partout à tel point qu'elle s'était débarrassée dans les toilettes de ses collants et avait dénoué son chignon.
- Tu es bien plus glamour comme ça, lui lança Zoé.
La nourriture épicée commençait à chauffer les oreilles et les joues de Fabienne. Mais ce fut bien pire quand le couple hôte proposa une vidéo où ils se mettaient en scène. Cela commença par une danse effrénée où Célestin étaient en pagne et Zoé en paréo. Puis le paréo glissa ainsi que le pagne et toujours en dansant, le couple désormais nu amorça des travaux d'approche d'un érotisme torride. Un accouplement suivit, très réaliste avec un gros plan sur les fesses en mouvement circulaire de Célestin entre les jambes haut levées de Zoé. Assise sur le canapé, Fabienne regardait fascinée le spectacle tandis que la main de Justin s'insinuait sous sa robe, sans rencontrer le moindre obstacle. Dans le même temps, Célestin et Zoé, sur le canapé voisin, s'embrassaient goulûment. Lorsque la vidéo s'éteignit, la jeune Antillaise déclara :- Et si on allait dans notre chambre maintenant, nous avons un grand lit.

Fabienne était trop grise pour opposer la moindre résistance, d'autant qu'elle avait très chaud au bas-ventre après ce qu'elle avait vu. Elle se laissa entrainer dans la chambre où le couple hôte les attendait, déjà entièrement nu sur le lit. Fabienne attrapa du regard le pénis phénoménal de Célestin dont elle avait déjà pu mesurer l'efficacité sur la vidéo, à entendre les cris de plaisir de Zoé. La sénatrice se laissa dévêtir par Justin, lui aussi en érection avancée, et le couple invité bascula à son tour sur le lit XXL, flanqué d'une armoire à glace dont l'utilité n'allait pas tarder à se révéler.
Ce fut alors un ébouriffant méli mélo de corps sur une surface restreinte. Les préliminaires furent expédiés, les quatre protagonistes aspirant à une pénétration rapide. Du lit chahuté sur ses bases émergèrent des bruits de l'amour : peaux qui claquent, sexes qui clapotent, bouches haletantes et soupirantes. Les couples mettaient une telle ardeur qu'ils se cognaient parfois. Fabienne, écartelée par Justin, eut un moment le pied nu de Zoé sur le nez. Celle-ci, possédée en levrette par son compagnon, aurait pu sans difficulté lécher les couilles de Justin ballotant à quelques centimètres de ses lèvres.
C'est alors que, sur un signe de Justin à Célestin, les deux hommes se retirèrent prestement de leur partenaire pour échanger leur position. Si Zoé, dans la confidence, ne fut pas surprise de l'entrée de Justin entre ses cuisses fuselées (ce n'était d'ailleurs pas une première), Fabienne fut stupéfaite de voir Célestin lui relever les jambes à hauteur de ses épaules et de la pénétrer recta. Son envahissement par le pénis long et épais de l'Antillais lui procura cependant une telle satisfaction qu'elle ne songea guère à protester, exprimant simplement un "oh !" que son baiseur prit pour un encouragement. Tout en besognant Zoé, Justin observait l'attitude de sa maîtresse habituelle avec une légère inquiétude. Il fut vite rassuré. Pilonnée, fouaillée, forée, creusée, Fabienne manifesta son enthousiasme par tous les moyens dont elle disposait : ruades, griffures, talonnades, onomatopées, interjections, râles, si bien que Zoé se sentit obligée d'en rajouter en gueulant des obscénités à l'endroit de Justin, censées l'encourager à multiplier ses coups de boutoir. Chacun l'aura compris, non seulement on baisait dur sur le lit XXL, mais Justin avait parfaitement réussi son coup en initiant sa maîtresse au "plan à quatre" et partant, à la détacher de son emprise sexuelle.

Il lui vint une idée en voyant la sénatrice chevaucher Célestin avec une ardeur qui en disait long sur son appétit. Se détachant de Zoé, il se positionna derrière la cavaleuse, lui écarta les fesses et vint lui lécher le petit trou. Surprise, la sénatrice interrompit ses circonvolutions fessières :- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je te prépare.
- Quoi ? Tu veux... en même temps ?
- Eh oui. Tu vas voir, c'est super.
Et joignant le geste à la parole, Justin positionna son dard à l'entrée du rectum de sa maîtresse qui ne s'était pas détachée de Célestin. Et c'est ainsi qu'elle eut droit à une double pénétration en bonne et due forme. Elle se déroula d'autant plus facilement que depuis qu'elle connaissait intimement son garde du corps, la sénatrice n'était plus ignorante de la sodomie. Elle y avait même pris goût grâce à l'expertise de son amant. Il n'empêche : cette double pénétration anale vaginale était pour elle une grande première et après un léger tâtonnement bien compréhensible, le trio ne tarda pas à trouver son harmonie sous l'oeil intéressé de Zoé, laquelle palpait les couilles ballotantes de Justin. Fabienne se mit à couiner de plaisir tout en s'agitant de la croupe et cette fois, Justin ne put plus se retenir. Il éjacula à longs traits dans son rectum avant de s'affaler sur le lit. Mais Fabienne et Célestin n'en avaient pas terminé pour autant. L'homme la positionna devant son armoire à glace, à la fois afin qu'elle le vit la pilonner en levrette et afin que lui-même pût observer l'agitation de ses seins entre ses bras et la montée de son orgasme. Fabienne se regarda baiser et elle se trouva belle. Elle trouva beau aussi le torse de l'homme qui lui rendait hommage. Tout cela la conduisit à un puissant orgasme qui lui mit la chair de poule de la racine des cheveux aux orteils et la laissa presqu'aphone. Célestin put enfin se laisser aller à son plaisir éjaculatoire. Seule Zoé se sentit un peu frustrée, ayant dû simplement se caresser le clito pendant que le trio se déchainait.
***********Comme l'avait espéré Justin, cette expérience modifia un peu l'approche sexuelle de la sénatrice. Ayant pris goût à Célestin, elle le rencontra parfois en privé, mais d'autres quatuors eurent lieu afin de ne pas léser les deux autres protagonistes. Fabienne resplendissait et rajeunissait, à tel point que ses collègues du Sénat l'interrogeaient :- Mais qu'est-ce que tu prends pour embellir ainsi ? demanda Marie-Pierre G., une brune quinquagénaire divorcée.
- Je baise, souffla Fabienne à l'oreille de sa collègue.
- Moi aussi, mais ça ne me fait pas le même effet, répondit l'autre.
- C'est parce que tu ne baises pas vraiment.
- Et qu'entends-tu par "baiser vraiment" ?
Après un peu d'hésitation, Fabienne finit par lui raconter son jeune amant, ses plans à quatre, son libertinage en somme. Marie-Pierre G. resta pensive. Deux jours plus tard, une autre sénatrice, Nathalie D. blonde quadra, mariée depuis vingt ans, vint la trouver :- Je sais que tu t'amuses bien. Moi, je m'emmerde au lit. Tu me conseilles quoi ?
- Prends un amant.
- Facile à dire. Et si c'est pour m'emmerder encore...
- Attends un peu, je vais voir ce que je peux faire.
Et c'est ainsi que quelques jours plus tard, Marie-Pierre G. et Nathalie D. firent leur entrée dans le grand salon de Fabienne où les attendaient Justin, Célestin et un de leurs potes antillais prénommé Régis. La suite, vous la devinez : ce fut une partouze endiablée qui combla les trois dames du Sénat. Lesquelles, dès lors, se mirent à voter avec allégresse toutes les mesures qui favorisaient les DOM-TOM...

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