La sensualité au hammam - histoire érotique

Je vais vous raconter une histoire dont le début est le récit de la réalité, puis à un moment je basculerai sur ce que j’aurai souhaité comme déroulement. La séparation entre les deux sera matérialisée par un tiret et saut de ligne.
Les prénoms sont fictifs, je ne les connais d’ailleurs même pas, mais cela sera plus facile pour raconter cette histoire
Je suis un homme d’une trentaine d’années.

Il y a quelques mois de cela, je suis allé au centre aquatique (piscine grand public, piscine pour nageurs, espace fitness et espace bien-être avec sauna, hammam et piscine dédiée avec entre autre des jets massants).
J’étais dans l’espace bien-être depuis une heure ou deux, et n’ayant rien de prévu, rien ne pressait.
Les gens qui y vont ont l’habitude d’alterner entre piscine, sauna et hammam.
J’étais donc assis dans la piscine du côté des jets massants quand j’aperçois deux jeunes femmes, environ 25 ans a vue d’œil. Ces deux amies ne sont pas maigres, et je n’aime pas ça sinon elles n’auraient pas retenu mon attention. Elles ont plutôt de belles courbes, vraiment généreuses mais sans être « trop ». La première, que j'appellerai ensuite plus couramment Maëva dans l’histoire, mesure environ 1m60-65 tandis que la deuxième, ici Camille, est un peu plus grande, environ 1m75.
À mes yeux, elles sont presque similaires, brune aux reflets un peu roux (ou châtain foncé aux reflets roux) Camille est plus grande que Maëva mais aussi un peu plus corpulente. Ainsi, c’est Maëva qui me plait le plus.
Elles ont chacune une poitrine très opulente et le maillot de bain que porte Maëva la met un peu plus en valeur que celle de Camille. Elles n’ont pas le ventre plat comme les canons de beauté qu’on voit dans les magasines mais tout va bien pour moi, je sens déjà un désir s’installer. Leurs fessiers sont généreux aussi, avec une belle peau lisse.
Elles viennent un peu marcher dans l’eau de la piscine et je peux commencer à les admirer et à les remarquer. Elles vont ensuite vers l’espace sauna/hammam. Je profite encore des jets quelques minutes avant d’y aller aussi.
J’ai tendance à préférer le hammam au sauna dans lequel je ne reste jamais longtemps.
Je les croise un peu un coup dans le sauna puis le hammam ou encore dans la piscine mais il y a souvent d’autres personnes et je ne profite pas de la vue qui pourrait m’être offerte.
Puis vient un moment, les ayant déjà admiré et ayant senti mon sexe se durcir à plusieurs occasions, où j’entre dans le hammam et où je les aperçois.
La configuration du hammam est en U avec la base du U plutôt longue (3-4 places assises) et les deux autres retour du U plus courts (2 personnes assises ou 1 allongée).
Quand j’y entre, je m’assois sur la partie la plus longue proche du côté gauche du U. En effet, Camille est allongée sur l’autre retour (droit) et sa copine Maëva est assise au milieu, à ma droite. Sur le retour à ma gauche est allongée une jolie femme (seule dans le hammam mais qui a un mari dans le coin), un peu plus agée, qui a aussi éveillé mon désir. Elle est plutôt blonde, 1m75, silhouette presque sportive mais pas maigre et environ 40-45ans, un âge que j’apprécie beaucoup. Elle a une poitrine bien moins généreuse que les deux amies mais elle a un beau visage et est très désirable. Elle s’appellera Carole.
Carole est donc allongée à ma gauche, sa tête est à une vingtaine de centimètres de moi. Maëva est assise à ma droite, peut être à une cinquantaine de centimètres de moi. Enfin, Camille est donc allongée à droite de Maëva, en face de Carole, vous m’avez suivi ?
Et sauf à tourner la tête à gauche ou à droite, personne ne peut croiser le regard de l’autre, car on regarde tous (assis ou allongé) le même mur (où se trouve la porte d’entrée du hammam).
Le hammam est dans l’obscurité avec quelques petites LED. Il alterne les phases de soufflage de vapeur chaude où toute l’atmosphère se sature d’humidité et où on n’aperçoit presque plus personne, et les phases où le brouillard disparaît lentement jusqu’à se voir clairement.
J’aime beaucoup cet entre deux où les corps se réchauffent, où les corps sont luisants.
Prenant peu à peu conscience de la chance que j’avais d’être parmi ces trois jolies femmes, j’ai commencé à les regarder d’abord discrètement, pour voir si elles avaient les yeux ouverts ou non. Très souvent, elles avaient les yeux clos. Carole, que je surplombais, n’avait aucun moyen, sauf à se lever, de savoir que je la regardais. Elle était la plus facile à contempler. Pour admirer Maëva, il fallait que je tourne la tête. En tournant la tête à ma droite, je voyais donc Maëva assise à ma droite ainsi que Camille allongée un peu plus loin.
Je n’étais pas certain au début, mais en regardant Carole, je la voyais bouger un peu un bras. Et en m’y attardant, j’ai vu qu’elle se caressait le sexe à travers le bas de son maillot 2 pièces. L’ambiance s’était déjà bien tendue dans mon boxer… J’ai ainsi fait en sorte d’être bien à l’aise et mon sexe était donc bien dressé vers le haut dans mon maillot de bain.
La lumière tamisée n’était pas pour me déplaire, cela rajoutait de la sensualité.
Aussi, je regardais Maëva sur ma droite. À peine une seconde ou deux au début. Puis voyant qu’elle avait toujours les yeux clos et que les deux autres ne me voyaient pas, je m’autorisais à véritablement la mater pendant plusieurs secondes. J’étais excité à l’idée qu’elle puis d’un coup me surprendre en train de regarder ses deux gros seins. Et plus je la regardais, plus je déroulais mon regard lentement sur son corps en commençant par son visage, ses lèvres que je m’imaginais embrasser puis ses seins que je souhaitais prendre à pleines mains… De temps en temps je m’attardais aussi sur les belles jambes bien charnues de Camille, mais je ne voyais pas son visage. Son buste était à peine visible car loin dans la brume du hammam.
Carole n’étais pas a priori la femme qui m’intéressait le plus, mais de la voir se caresser à quelques centimètres de moi m’excitait beaucoup.

À un moment, Carole s’est levée puis est partie, au sauna ou dans la piscine retrouver son mari.
J’étais donc « seul » avec encore deux belles femmes. Je continuais à mater sans crainte Maëva, que je trouvais de plus en plus belle, à mesure que mon excitation montait.
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Pendant ces longs moments où je matais Maëva, est forcément venu la surprise. Elle m’a vu l’observer mais n’y pas prêté attention plus que cela.
Je me suis un peu calmé, n’osant plus trop tourner ma tête aussi longtemps et avec autant d’instance qu’auparavant.
Puis me disant que ce spectacle ne risquait pas de se reproduire de si tôt, je me suis laissé à la mater à nouveau plus longuement. Sauf que cette fois-ci, elle avait les yeux ouverts. D’abord Maëva regardait dans le vague devant elle, puis sentant que mon regard ne cessait pas, elle m’a regardé à nouveau, puis a refermé les yeux.
J’ai cru deviner qu’elle avait regardé vers Camille qui est ensuite ressortie du hammam. Maëva ne semblait donc pas gênée de se savoir seule avec moi, à quelques centimètres assis l’un à côté de l’autre. Moi non plus d’ailleurs.
Il m’est aussi arrivé des moments où je fermais les yeux pour me reposer. C’est justement à un de ces moments là où je fermais les yeux que j’ai entendu Maëva bouger. Je pensais qu’elle partait. En réalité, Maëva venait de se coller à moi et son corps touchait à présent le mien !
On s’est regardés, avec ses yeux elle semblait demander si j’étais bien partant pour ce que j’avais entamé avec mes yeux quelques minutes plus tôt. On s’est embrassés. Seuls dans le hammam.
Nous nous sommes déplacés à un endroit plus sombre, car nous étions tout de même face à la porte d’entrée sans possibilité de s’arrêter si quelqu’un entrait.
Je me suis assis, et elle est venu s’allonger sur le dos à côté de moi, un peu comme l’était Carole tout à l’heure. Toujours sans aucune parole, à peine quelques rires de gamins faisant des bêtises.
Ayant donc levé les interdits, je contemplais toujours avec autant de plaisir ses seins qui étaient maintenant à portée de main. J’ai commencé à lui caresser la poitrine à travers son haut et elle ne s’est pas faite prier pour le détacher. Je prenais à pleines mains ses seins magnifiques.
Ne voyant toujours personne, j’ai commencé à me pencher au dessus d’elle pour l’embrasser. Nous n’avons pas décollé nos lèvres pendant plusieurs minutes, les langues se caressant, se suçant, faisant des vas et viens qui présumaient de ce qui allait se passer après. Je pétri pendant ce temps les seins de Maëva avec beaucoup de plaisir.
Puis Camille est revenue, elle commençait sans doute à trouver le temps long. Au moment même où nous avons entendu la porte s’ouvrir je me suis relevé et me suis assis comme si de rien était. Maëva a repositionné son haut, mais n’a pas eu le temps de le rattacher, forcément.
Camille a demandé si Maëva voulait revenir avec elle dans la piscine. En posant la question et en prenant conscience que nous avions changé de place, elle a compris ce qu’il était en train de se passer et est reparti.
Maëva et moi avons repris où nous en étions mais un nouveau visiteur est arrivé et a achevé de nous convaincre que si nous souhaitions aller plus loin, il faudrait un endroit plus privé. C’est pourquoi nous avons attendu, sagement, d’être à nouveau seuls pour que Maëva rattache son haut et pour pouvoir rallier une cabine de douche où l’eau chaude serait encore de la partie.
Quand nous sommes entrés dans la douche, Maëva a tout de suite retiré mon boxer, qu’elle n’avait encore pas touché jusqu’à présent. Je n’ai pas eu le temps de la dénuder qu’elle était déjà accroupie pour me faire une fellation. Je n’avais qu’à profiter de la vue d’une magnifique jeune femme, alternant entre la vue de sa bouche avalant ma verge, puis de sa chute de reins pas moins magnifique. De temps en temps j’apercevais le buste de Maëva magnifiquement décolleté et une bretelle qui tombait.
Elle avait une sacrée envie et est parvenue à ses fins relativement vite. Je pensais qu’elle allait avaler car elle m’a laisser éjaculer dans sa bouche. Maëva est revenu à mon niveau et m’a embrassé, pour échanger nos langues et le sperme encore chaud qu’elle venait de recueillir.
J’ai aussi pu lui enlever les morceaux de tissus, chose que je m’étais imaginée lorsque je la matais allègrement dans le hammam.
Après quelques caresses mutuelles sensuelles, presque en même temps, nous nous sommes à nouveau caressés nos sexes respectifs mais elle a préféré arrêter de se doigter pour me prendre le sexe à pleine main et de l’autre me plaquer ma main contre son pubis, me laissant ainsi libre de faire ce que je voulais d’elle et de son petit bouton facile à trouver, car Maëva était quasiment intégralement imberbe à cet endroit.
L’excitation de nos corps et de sa poitrine contre mon torse m’a donné l’envie de changer Maëva de sens de sorte qu’elle me tourne le dos. Je l’ai alors prise par la taille, fait des vas et vient entre ses fesses verticalement, sans la pénétrer dans un premier temps.
Maëva était tellement chaude qu’elle m’a tendu sa croupe pour que je la pénètre. Je n’ai pas attendu longtemps avant de répondre favorablement à sa demande et se sont ensuit de long vas et vient jusqu’au moment de la jouissance finale !
Nous avons ensuite pris notre douche sagement et sommes allés nous rhabiller chacun de notre côté... avaler car elle m’a laisser éjaculer dans sa bouche. Mais elle est revenu à mon niveau est m’a embrassé, pour échanger nos langues et le sperme encore chaud qu’elle venait de recueillir.
J’ai aussi pu lui enlever les morceaux de tissus, chose que je m’étais imaginée lorsque je la matais allègrement.
Après quelques caresses mutuelles sans but, presqu’en même temps, nous nous sommes à nouveau caressés nos sexes respectifs mais elle a préféré arrêter de se doigter pour me prendre le sexe à pleine main et de l’autre me plaquer ma main contre son pubis, me laissant ainsi libre de faire ce que je voulais d’elle et de son petit bouton facile à trouver, car Maëva était quasiment intégralement imberbe à cet endroit.
L’excitation de nos corps et de sa poitrine contre mon torse m’a donné l’envie de changer Maëva de sens de sorte qu’elle me tourne le dos. Je l’ai alors prise par la taille, fait des vas et vient entre ses fesses verticalement, sans la pénétrer dans un premier temps.
Je senti ensuite Maëva tellement chaude, elle m’a tendu sa croupe pour que je la pénètre. Je n’ai pas attendu longtemps avant de répondre favorablement à sa demande et se sont ensuit de long vas et vient jusqu’au moment de la jouissance finale !
Nous avons ensuite pris notre douche sagement et sommes allés nous rhabiller chacun de notre côté...