La serveuse entreprenante

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : La serveuse entreprenante Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Jeunes Drague
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La serveuse entreprenante
Alors que je m’apprête à quitter la pâtisserie, une boîte de gâteau en main, je trouve la plus jeune des serveuses, qui se tient à l’abri sous le store. Au-delà du rideau, il pleut, vache qui pisse.
-J’ai vraiment choisi le moment pour partir… me fait-elle d’une petite voix à peine audible.
-Vous avez fini votre service ?
-Oui… mais je pense que je vais attendre un peu avant de rentrer.
-Je peux vous déposer si cela vous dit.
-Je ne voudrais pas que cela vous dérange.
-Mais cela ne me dérange pas. D’ailleurs, je passe devant chez vous.
-Comment le savez-vous ?
-Parce que je n'habite pas très loin.
-Je suis au courant.
-Comment le savez-vous ?
Elle se met à rire et m’escorte jusqu’à ma voiture stationnée un peu plus loin au bord du trottoir. Le trajet est des plus agréable. Dommage qu’il ne faut que quelques minutes pour arriver jusqu’à chez elle.
-Bon… je crois bien que je suis arrivée
-Je le pense aussi…
-Je vous remercie. Grâce à vous, j’ai évité d’être trempée.
-C’était tout naturel. Je passais devant chez vous.
-Oui, je sais bien, mais beaucoup n'auraient pas eu votre gentillesse. Et je pense que cela mérite bien une attention de ma part.
-Laisser donc !
-Mais non… j’insiste…
-C’est que je n’ai pas le temps.
-Oui c’est ça, me dit-elle en coupant le moteur.
Dans l'élan, elle récupère la clé sur le contact et, après avoir ouvert sa portière, file à toute jambe jusqu’à sa porte d’entrée abritée d’un auvent. C’est de là qu’elle me lance :
-Venez, ou pas de clé…
Je pense que je n’ai pas le choix, si je veux rentrer ! Je quitte à regret ma place derrière le volant et m’avance à pas pressé jusqu’à elle. Elle n’est pas mécontente d’elle, d’être arrivée à ses fins.
Elle me laisse à peine le temps de rentrer que déjà d’un coup de clé elle verrouille la porte. Et que dire ma surprise, alors qu’elle m’agrippe les épaules et aspire mes lèvres avec un appétit à faire peur à un homme honnête.
D’emblée, je sens une langue agile et fiévreuse s’insinuer entre mes dents et m’émus de la suavité de ce premier contact. Elle se plaque contre moi, et poursuit son long baiser. Je suis dans l’incapacité d’interdire à ma queue de bander au fond de mon slip.
Avant que je la saisisse, elle pose les mains sur ma poitrine et me tint à distance. Après s’être débarrassée de son imperméable, elle fait descendre sa culotte. Alors qu’elle la jette au sol, elle baisse les yeux et découvre la bosse que fait mon érection. Ses lèvres se collent de nouveau aux miennes. Quelle fougue cette Laurine !
Je ne m'attendais nullement à ça en lui proposant de la raccompagner!
Pas le temps de prolonger la question que déjà qu’elle m'arrache quasiment ce que je porte sur moi. Ses lèvres s'emparent de mon torse. Tète mes mamelons avant de buter sur la ceinture de mon pantalon. Elle la défait prestement, me déboutonne la braguette et descend mon froc jusqu'aux genoux, sans oublier d'embarquer mon boxer en même temps. Elle se saisit de mon membre et l'enfourne dans sa bouche sans que j'aie le temps de dire quoi que ce soit.
Quelle maîtrise, quelle pipe ! Cela fait longtemps que personne ne m’a sucé de la sorte. Je suis tout tourneboulé. Moi qui la croyais pour une jeune fille modèle sous ses airs réservés. Mon plaisir monte au rythme de ses va-et-vient. Elle maîtrise entièrement la situation. Elle gère tout, son plaisir et le mien. Ses envies sont à la hauteur des miennes.
-Prends-moi ! Me lâche-t-elle, tout en remontant sa jupe et en descendant sa culotte que je devine trempée.
J'ai comme l'impression de n'être qu'un jouet sexuel pour la jeune serveuse. Elle se retourne en prenant appui sur la table et dirige mon sexe en elle. Malgré ma riche expérience sexuelle, c’est bien la première fois que j’ai affaire à ce genre de partenaire. Elle ondule autant que moi. Ma queue est comme pompée par son intimité. Cela fait des bruits de succion.
Je branle son vagin de mon membre tendu. Elle chérie cela, la coquine, à en croire ses gémissements. Comme souvent avec une nouvelle partenaire, cela dure quelques minutes avant que les premiers picotements annonciateurs d’un proche orgasme se font ressentir chez moi. Et cela, alors qu’elle a déjà pris son pied à deux reprises, sous mes coups de reins.
Une fois sortie de sa chatte, elle s’empresse de décalotter ma queue et la prend une fois de plus dans la bouche. Comme pour ne pas perdre une goutte de ma semence. Une fois bien nettoyé par ses lèvres. Je remets ma verge encore dure dans mon slip. Remonte, mon Jean. De même, de son côté, elle se réajuste. Elle dédaigne tout de même de remettre son sous-vêtement, toujours au sol. Je m’empresse alors de m’en saisir. Comme je l’avais deviné quelques minutes auparavant, il est détrempé. Je m’autorise à le fourrer dans ma poche de pantalon.
-Pour ma collection, lui fais-je sous son regard étonné.
Une fois présentable, je m’avance jusqu’à la porte d’entrée, c’est alors qu’elle m’interpelle.
-À demain !
-Comment ça, à demain ?
-Oui à demain. Il ne m’est jamais rien arrivé de pareil. Tu es unique, craquant. Pas une minute je n’ai pas hésité à me mettre en danger et à me comporter d’une façon qui ne me ressemble pas du tout.
-Si c’est comme ça alors… à demain. Quelle heure ?
-Comme tu veux, je ne travaille pas demain.
Le lendemain, je suis bien sûr au rendez-vous. Je ne suis jamais lassé de cul. Un vrai inassouvi !
À deux mains, elle me soulage de mon pantalon. Prise d’une subite dévotion, elle s’agenouille lentement et considère de plus près ce qu’elle tient en main. Après quelques secondes, elle en approche les lèvres et parcoure de baisers les striures violacées de la racine au gland.
Partout, elle embrasse ma queue en détaillant les contours, puis se met à lécher le gland. Elle le titille de la langue. La ventouse, en suce la peau et entreprend par la suite de l’avaler. Lorsqu’il est englouti, elle a déjà la bouche pleine. Elle ouvre plus grand, allonge les lèvres, aspire, pousse, enfonce. Elle se met à me pomper vigoureusement dans un gargouillement entremêlé de profonds soupirs. Je me laisse dévorer la queue, comme je l’avais fait la veille, haletant.
Au bout d’un moment, elle redresse la tête, recule d’un pas, et se cale sur la table de l’entrée. À la différence de la veille, j’estime la masse de sa poitrine. Je défais ce qui me gêne chez elle pour avoir accès à son corps. Je le découvre aux volumes fastueux. Des seins aux aréoles brunes et larges. Je les empaume ensemble, et me mets à les sucer, à les téter à pleine bouche. C’est des plus délicieux. Je m’enivre des odeurs qui s’échappent, tout en la couvrant de baisers gloutons. Je me régale de l’odeur envoûtante, des effluves de sueur qu’elle porte sur elle.
N’y tenant plus je m’occupe de la débarrasser de sa petite culotte que je descends jusqu’aux chevilles. Une forte touffe de poils embroussaillés m’apparait. Châtains clairs comme sa chevelure.
Comme souvent dans pareil cas, je me jette dessus à pleine bouche. Elle hurle son étonnement. Essaye de s’y soustraire mais je la force, l‘agrippe, la culbute. Elle se retrouve sur la table comme la vieille. Je me recentre de nouveau sur sa tirelire au fond de la toison. Je la renifle avec délice. L’odeur est forte, épicée, très animale. D’un coup, j’embouche goulument la vulve épaisse et la bois à pleines gorgées. La drainant à grands coups de langue. Je me délecte de sa chatte chaude et odorante. Je butine le suc qui suinte.
Elle ne met pas longtemps à être atteinte d’un orgasme. Puis deux, et deux autres coups sur coups. Dans son euphorie, la voilà qui me supplie de la prendre une fois encore. Je fais de mon mieux pour la dissuader, mais elle insiste.
Mon gland trouve son chemin et commence son enfilade. Ma queue glisse et entre. Grimaçante, la bouche entrouverte, Laurine n’est plus dans la réalité. Je me mets à limer comme un Brutus. De plus en plus loin, de plus en plus puissant.
Je plaque ses jambes contre mes épaules et profite de l’instant pour lécher son pied puis l’autre. À chaque coup de reins, elle hurle à gorge déployée. Son vagin est devenu un véritable brasier.
En quelques secondes, Laurine retrouve sa raison. Elle repose les pieds par terre et me dévisage avec passion. Les paupières légèrement tombantes. Les joues brûlantes, le regard plus doux.
-Je ne regrette pas de faire cela avec un homme qui pourrait être mon père. Fait-elle d’une voix grave.
Mais alors que je m’apprête à remettre de l’ordre chez moi, la voilà qui me lâche :
-Tu ne vas pas tout de même me laisser sur ma faim !
-Cela ne te suffi pas ?
-J’en veux encore !
Elle se penche alors en avant. Colle sa poitrine sur le plateau de la table et me présente sa croupe avec une souplesse surprenante.
Je dépose des baisers. Entre les deux fesses écartées, l’anus me sollicite. Je le titille d’une langue gourmande. J’écarte ses fesses, je savoure son rectum. J’enfonce ma langue entre les parois moelleuses et divinement amères. Je suis dans mon élément, là, et cela me donne de drôles d'idées.
Pour ça, je lui saisis les hanches et pousse ma queue toujours luisante de la précédente intrusion dans sa grotte sans la moindre résistance. Je me sens aussitôt avalé par l’anneau, plus tôt si fermé. Seul le souffle de Laurine s’empresse.
-J’aime aussi par là… ooooh… que c’est bon !
Je savoure la sensation divine de ce trou très plus accueillant. Oh cet anneau lancinant qui m’enflamme ma queue. Plus rien ne lui appartient. Elle se donne à ma queue qui la sodomise. Pour ma part je sombre dans la démence. Je la secoue à coup de queue.
Je la pilonne, lui défonce le cul. Son orifice n’est plus qu’une machine à branler.
Elle hurle à tout rompre. Toujours dans son cul, je me déchaîne, jusqu’à ce que je lâche ma semence. Laurine semble plus que jamais flotter dans l’air.

Les avis des lecteurs

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