La serveuse partie 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La serveuse partie 1
Nous avions à cette époque une petite trentaine d’année et nous avions en projet la construction d’une maison.
Il fallait donc économiser, voire mettre un peu d’argent de côté.
Pour cela, Nathalie et moi faisions quelques petits extras quand on pouvait.
Je faisais des petits chantiers le week-end et elle, avait trouver un job de serveuse en plus de son travail, pour plusieurs soirs en semaine ou week-end.
C’était une pizzeria à quelques kilomètres de chez nous.
Elle était tenue par deux frères, Pietro et Luigi.
Le premier était un homme d’environ 45 ans, un mètre soixante-dix, frêle, brun, la peau mate et très speed.
Le second était une masse, un mètre quatre-vingt-dix, dépassant les cent kilos, mais pas gras, à peine cinquante ans, chauve, mate aussi, beaucoup plus zen que son frère et qui parlait peu.
Ni beaux ni moches, ils avaient chacun leur charme.
Etaient-ils vraiment frères ?
Vu la différence de corpulence, ils étaient certainement plus frères de camaraderie que de sang.
Pietro s’occupait de la cuisine, du bar et des additions, Luigi, lui, était le pizzaïolo.
L’entrée du restaurant donnait directement sur la salle, avec à droite le bar et la caisse.
Une petite salle d’une vingtaine de mètres, avec au fond à droite dans un renfoncement, un comptoir assez haut derrière lequel se trouvait le four à pizza et derrière ce comptoir de nouveau à droite, l’entrée de la cuisine.
Nathalie avait une bonne expérience du service en salle, ce qui lui a permis d’avoir ce deuxième boulot sans soucis.
Pietro était la caricature parfaite de l’italien dragueur et beau parleur, alors que son frère était beaucoup plus réservé et ne parlait quasiment pas.
La tenue de serveuse était classique, jupe au-dessus du genoux et chemisier blanc.
Quand Pietro passait à côté de Nathalie, il avait tendance à laisser trainer ses mains.
Volontaire, involontaire, il était difficile de savoir tellement il gesticulait.
Pas un mot ne sortait de sa bouche sans que ses bras ne bougent.
Pourtant au fur et à mesure du temps, ses mains se sont avérées plus précises, il faut dire que la forte poitrine de ma femme qui tendait le chemisier et son petit cul rebondie sous sa jupe pouvait donner des envies d’exploration.
Nathalie qui voyait la chose arriver et n’étant pas complètement contre, m’en a parlé en me demandant mon avis.
Je lui ai dit :
« Tu sais c’est un deuxième boulot provisoire, tu n’y resteras pas très longtemps, donc si tu veux joindre l’utile à l’agréable »
Elle m’a répondu :
« Oui, mais il y a son frère, je vais me sentir gênée car il risque de s’en rendre compte. »
En riant je lui ai dit :
« Tu n’as qu’à te taper les deux »
Libertin depuis nos débuts ensemble et moi étant candauliste, elle savait que s’il elle avait envie d’un autre homme, elle pouvait consommer.
Alors petit à petit les mains de Pietro ont pris de l’assurance, voyant que ma femme ne disait rien et ne le repoussait pas.
Un soir, alors que le service était presque terminé, ils étaient tous les deux dans la cuisine.
Il est venu se coller derrière elle, pendant qu’elle nettoyait les tables en inox, et lui a pris les seins par-dessus son chemisier.
Il l’a ensuite embrassé dans le cou et a passé ses mains partout sur son corps.
Il l’a retourné face à lui pour lui prendre la bouche et enfoncer sa langue.
Leur baiser a duré plusieurs dizaines de secondes avant qu’il ne reprenne ses esprits en lui disant :
« Va vite servir le dessert à la dernière table pour qu’ils partent rapidement, moi je ne peux pas y aller »
La bosse de son pantalon à la hauteur de son bas-ventre aurait été mal venue face au client.
Quinze minutes plus tard, la salle était enfin vide.
Luigi nettoyait son coin pizza.
Nathalie est revenue dans la cuisine avec les assiettes vides des clients.
A peine les avait-elle posées dans le lave-vaisselle que Pietro est venu vers elle.
Il l’a plaqué contre une table en inox, l’a embrassé puis lui a soulevé la jupe jusqu’à la taille pour lui retirer le string.
« J’ai envie de te bouffer la chatte »
Il l’a soulevé pour l’allonger sur la table et a aussitôt enfoui sa tête entre les cuisses.
Sa langue très agile s’agitait partout autour et dans le sexe de ma femme.
Il avait baissé son pantalon et s’astiquait la verge en même temps qu’il la dévorait.
Il ne lui a pas fallu plus de cinq minutes de se traitement pour qu’elle prenne du plaisir.
Ne voulant pas être entendue, elle a gémi fébrilement lors de son orgasme alors qu’elle prenait vraiment du plaisir.
Il s’est relevé, la bite bien tendu en lui demandant :
« Tu as des capotes »
« Non pas là »
« Zut moi non plus »
Elle s’est relevée à son tour puis s’est accroupie en lui disant :
« Pas grave je vais te donner moi aussi du plaisir avec ma bouche »
Elle a alors englouti son sexe pour le torturer de ses lèvres et de sa langue.
Sa bite était d’une taille moyenne commune a beaucoup d’homme.
Elle pouvait la prendre complètement dans sa bouche.
Elle le léchait partout, la hampe, les boules, le gland.
Il semblait fortement apprécier la fellation qu’elle lui prodiguait.
Lorsqu’elle l’a senti venir, elle lui a léché les couilles en le branlant jusqu’à ce qu’il éjacule.
Plusieurs jets de sperme sont venus s’écraser sur le sol et sur la table en inox.
Ils se sont rhabillés puis, ma femme, ayant fini son service, est rentrée à la maison.
Lorsqu’elle est venue travailler la fois d’après, c’était un samedi soir, il y a eu tellement de monde que rien ne s’est passé entre eux.
Un autre soir, cette fois en semaine, il avait demandé à Nathalie de venir les aider car ils avaient plusieurs réservations.
Cette fois-ci, Pietro profitait de chaque occasion ou il se trouvait seul avec ma femme pour la peloter et l’embrasser.
Il lui a même fait retirer son string pour pouvoir glisser ses doigts sur son sexe.
Vers vingt-trois heures trente tout le monde était parti, plus un client.
Luggi nettoyait son coin pizza comme à son habitude.
Nathalie, qui avait fini de débarrasser les tables, est venue aider Pietro à nettoyer et ranger la cuisine.
A peine rentrée, il lui a sauté dessus pour la déshabiller.
Le chemisier ouvert, le soutien-gorge dégrafé et la jupe relevée jusqu’à la taille, il la caressait et l’embrassait partout.
Il a sorti sa queue de son pantalon pour qu’elle le suce un peu.
Ensuite il a attrapé une capote dans sa poche pour la dérouler sur son sexe tout raide puis il a retourné ma femme contre la table en inox.
Les seins sur la table, il l’a prise par les hanches et l’a enfilé direct.
Des rapides et grands coups de reins lui ont très vite fait oublier la froideur de l’inox sur ses seins et son ventre.
Elle gémissait discrètement, ne voulant pas que Luiggi entende, alors que son frère ne se gênait pas pour faire du bruit et lui claquer les fesses.
Même si sa queue n’était pas très grosse, elle a très vite senti qu’il allait lui donner du plaisir.
Il la limait très vite et allait bien à fond à chaque coup de rein.
Quand Luiggi, certainement attiré par le bruit, est entré dans la cuisine, il est resté planté dans l’encadrement de la porte à regarder son frère qui était en train de sauter sa serveuse.
Nathalie s’est sentie gênée mais n’a pu retenir un orgasme juste à ce moment-là.
Ses gémissements étaient maintenant beaucoup plus fort, tandis que Pietro continuait toujours à la besogner avec vigueur.
Trop occupée à prendre du plaisir, elle n’a pas vu Luiggi ressortir de la cuisine.
Elle a eu un dernier orgasme quand son amant de ce soir à éjaculé au fond de son ventre.
Se rhabillant elle s’est dit que, même s’il n’était pas monté comme un dieu, c’était quand même un très bon coup.
Elle est sortie de la cuisine pour récupérer son manteau et son sac pour rentrer à la maison, quand elle a vu face à elle Luiggi le pantalon et le slip baissés et tenant dans sa main un membre énorme et bien raide.
Sa bite était proportionnelle à sa carrure.
Interloquée, elle ne s’attendait pas à le voir ainsi et ne savait plus quoi faire.
Elle a repensé à ce que je lui avais dit et s’est avancé vers lui pour s’accroupir et prendre son braquemart entre ses mains pour le lécher.
Il semblait apprécier la langue qui se faufilait sur sa queue.
Les deux mains sur sa bite elle le branlait tout en le léchant.
Elle a eu beaucoup de mal à le prendre en bouche tellement il était gros.
Au début seul son gland pouvait rentrer.
Puis petit à petit elle a réussi à prendre un petite moitié de son chibre.
Ses mains s’activaient toujours à le branler et elle prenait plaisir à pomper cette grosse bite qu’elle voulait faire cracher.
Quand elle l’a sentie se cambrer et que sa queue semblait encore durcir, elle s’est dégagée pour le branler et lui lécher les couilles.
Un grognement rauque est sorti de sa bouche lorsqu’il a envoyé des grosses giclées de sperme sur le sol.
Sans un mot, il a remonté son slip et son pantalon pendant que Nathalie se réajustait avant de rentrer à la maison pour me raconter sa fin de soirée.
Ils n’avaient pas forcément de relations sexuelles à chaque fois qu’elle venait travailler, mais si Pietro la sautait alors Luiggi se faisait sucer.
Elle s’est ainsi tapé ses deux patrons plusieurs fois, mais toujours l’un après l’autre.
Luiggi ne voulait que des fellations alors que Pietro aimait tout.
Un soir ou elle travaillait, j’ai déposé Nathalie à la pizzeria et suis allé manger chez des potes.
Elle m’avait dit de venir la reprendre vers 23h30, c’était en général l’heure où elle quittait.
Pendant le service Pietro n’avait pas arrêté de la peloter dès qu’ils se retrouvaient seuls dans la cuisine.
Il lui avait même retiré son string.
Il y avait moins de monde que prévu et ils avaient donc un peu plus de temps entre deux plats à servir.
Il l’a embrassé plusieurs fois et lui a même fait un cunni pendant un bon moment dans la cuisine.
Entre deux poses sexe, elle allait servir les clients.
A un moment c’est elle qui s’est agenouillé devant lui pour sortir sa queue et la sucer goulûment.
Bien disposé à le faire éjaculer, elle s’est appliquée en le regardant d’un air très salope.
Au bout de plusieurs minutes il lui a dit :
« Arrête tu vas me faire jouir »
Elle a redoublé de vigueur en le prenant bien loin dans sa bouche et en jouant encore plus avec sa langue sur le gland de son patron.
Elle le titillait, le léchait le mordillait.
« J’en peu plus, je vais cracher »
Voyant qu’elle ne s’écartait pas et qu’elle l’avait toujours en bouche, il lui a pris la tête dans ses mains pour la bloquer contre son pubis.
« Ouiiii putain c’est bon ahhhhhhhhhh »
Il lui avait envoyé plusieurs giclées de sperme au fond de la gorge.
Sans prendre le temps de le nettoyer, elle s’est relevée pour retourner s’occuper des clients qui devaient commencer à s’impatienter.
Le reste du service a été un peu plus calme, malgré quelques doigts furtifs.
Vers 23 heures, les derniers clients venaient de partir.
Nathalie et Luiggi étaient dans la salle, lui derrière le bar et elle, après avoir fermé la porte à clé et revenue vers lui.
Elle s’est agenouillée devant lui, a sorti sa queue de son pantalon pour recommencer à la sucer.
« On a un peu de temps avant que mon mari vienne ma chercher, j’ai envie que tu me baise »
« Pas ici, on pourrait nous voir de l’extérieur, viens on va dans la cuisine » a-t-il répondu.
Après quelques coups de langue, ils y sont allés.
Il lui a retiré sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge, l’a allongé sur le dos sur une table inox et a pris ses jambes pour les poser sur ses épaules.
Il avait retrouvé une forme olympique et une fois coiffé d’un préservatif, il l’a pénétré.
Ses mains caressaient les seins de Nathalie pendant qu’il la baisait.
Leurs pubis claquaient l’un contre l’autre à chaque coup de rein.
Elle l’a attrapé par le cou pour qu’il l’embrasse pendant qu’il la démontait.
Gémissant sous les coups de boutoir de son amant, elle sentait la jouissance venir.
Après un premier orgasme, il l’a retourné pour la prendre par derrière.
« J’adore voir ton cul quand je te baise »
La tenant par les hanches, ses va et viens étaient encore plus rapide.
Elle le sentait de nouveau très excité, il grognait à chaque fois qu’il était au fond d’elle.
« Salope tu vas encore me faire jouir, oh putain j’adore ton cul, t’es trop bonne… ahhhh ouiiiii »
Quand il a éjaculé dans son ventre, elle a joui en même temps sans se retenir.
Une fois leur souffle repris, ils se sont rhabillés, Nathalie à juste remis sa jupe et son chemisier.
« Mince il est 23h25, mon mari ne va pas tarder, je ne vais pas avoir le temps de m’occuper de ton frère. »
Pietro a souri d’un air qui voulait dire « je crois que tu rêves là »
En effet quand elle est sortie de la cuisine, Luiggi était comme à chaque fois, pantalon et caleçon en bas des chevilles et la bite en érection.
Un peu résignée, elle lui a dit :
« Bon je veux bien te sucer un peu mais quand mon mari arrive j’arrête. »
Pietro est retourné derrière son bar en salle, pendant que ma femme s’agenouillait devant son frère pour gober ce pieu énorme.
Il lui a enlevé son chemisier et elle s’est retrouvé les seins à l’air.
Goulûment elle le prenait en bouche, le léchait, jouant bien avec sa langue sur son gland, l’aspirant du bout des lèvres pour mieux le reprendre.
Quand j’ai frappé à la porte, Pietro m’a fait entrer.
« Nathalie est dans la cuisine, elle finit de nettoyer et elle arrive » me dit-il.
« Tiens assied-toi là je t’offre une bière, je vais la prévenir que tu es là. »
Il est ensuite parti vers la cuisine
Quand elle m’a entendue arriver, elle a voulu se lever pour se rhabiller.
Luiggi lui a appuyé sur les épaules pour lui faire comprendre qu’il n’en était pas questions.
De nouveau résignée, elle a continué à lui faire sa fellation.
D’où j’étais, je ne voyais pas directement la partie ou ils se trouvaient.
Toutefois, grâce à plusieurs miroirs je me suis rendu compte que j’apercevais Luiggi.
Il se tenait de côté et ne pouvait pas me voir.
Moi je ne voyais que le haut de son corps, juste au-dessus de sa poitrine.
Il était debout derrière son comptoir, la tête vers le plafond, la bouche grande ouverte et les bras devant lui comme s’il tenait quelque chose contre lui.
Parfois il baissait la tête toujours la bouche grande ouverte comme s’il prenait du plaisir.
Il ne m’a fallu que peu de temps pour m’imaginer ce qui se passait.
En regardant mieux, il avait toutes les mimiques de quelqu’un qui se faisait sucer.
Rien qu’à imaginer, mon sexe s’est durcit jusqu’à avoir une grosse érection.
J’imaginais Nathalie avec l’énorme bite de son patron dans la bouche, elle m’avait raconté ses frasques avec eux en me donnant tous les détails.
Pendant au moins dix minutes elle a continué à le sucer, jusqu’au moment où je l’ai vu se crisper un peu plus, la tête vers le bas et les bras qui semblaient plaquer quelque chose contre son bas ventre.
J’imaginais à ce moment ses mains bloquant la tête de ma femme afin qu’elle garde bien dans la bouche son braquemart libérant son jus pour qu’elle l’avale.
Elle m’a racontée après :
Il lui maintenait la tête en la faisant aller et venir sur sa queue, il était très excité car de temps en temps il la sortait pour la frotter sur le cou et les joues de Nathalie.
Quand il a senti qu’il allait jouir, il lui a bloqué la tête pour se vider dans sa bouche.
Il a éjaculé des grandes et copieuses giclées de sperme.
Elle ne pouvait tout avaler, alors ça sortait de ses lèvres et coulait sur elle.
Son visage, son menton, son cou et ses seins étaient couvert de la semence de Luiggi.
Une fois fini il a frotté à nouveau sa bite maculée de son jus, sur le visage de ma femme.
Elle s’est relevée pour retourner dans la cuisine se nettoyer un peu et se rhabiller.
Je l’ai aperçu se relever, je n’ai pas vu qu’elle était couverte de sperme mais j’ai bien vu qu’elle n’avait pas de haut.
Elle s’est essuyée un peu mais sans plus car elle voulait que je sente bien l’odeur du sperme qu’elle avait fait gicler dans sa bouche et sur elle.
Dans la même soirée ses deux patrons s’étaient vidés dans sa bouche et elle avait avalée une grande partie de leur foutre.
Très vite, elle a récupéré son manteau et son sac, nous sommes partis en disant au revoir de la main.
Nous avons marché une trentaine de mètre jusqu’à la voiture et une fois à l’intérieur elle m’a attrapé la tête pour enfoncer sa langue encore chargée de sperme, dans ma bouche.
Le goût était fort, l’odeur de son visage aussi, elle ne pouvait cacher ce qu’elle venait de faire.
Je l’ai embrassé sauvagement, lui ai léché les joues et le cou, j’étais très excité et je bandais comme une âne.
Elle a glissé sa main dans mon pantalon pour en extraire ma bite toute gluante de mes secrétions due à l’excitation.
Elle s’est penchée pour l’avaler goulûment.
Trois minutes plus tard je me vidais à mon tour dans son gosier.
La suite à était très agitée, nous avons passé une grande partie de la nuit à faire l’amour, non, je rectifie, nous avons passé une grande partie de la nuit à baiser tellement nous étions excités de ce qui venait de se passer.
Il y aura une suite car Nathalie a travaillé environ un an là-bas comme serveuse et j’ai d’autres aventure en rapport avec cette période à vous raconter si cette première partie vous a plu.
Il fallait donc économiser, voire mettre un peu d’argent de côté.
Pour cela, Nathalie et moi faisions quelques petits extras quand on pouvait.
Je faisais des petits chantiers le week-end et elle, avait trouver un job de serveuse en plus de son travail, pour plusieurs soirs en semaine ou week-end.
C’était une pizzeria à quelques kilomètres de chez nous.
Elle était tenue par deux frères, Pietro et Luigi.
Le premier était un homme d’environ 45 ans, un mètre soixante-dix, frêle, brun, la peau mate et très speed.
Le second était une masse, un mètre quatre-vingt-dix, dépassant les cent kilos, mais pas gras, à peine cinquante ans, chauve, mate aussi, beaucoup plus zen que son frère et qui parlait peu.
Ni beaux ni moches, ils avaient chacun leur charme.
Etaient-ils vraiment frères ?
Vu la différence de corpulence, ils étaient certainement plus frères de camaraderie que de sang.
Pietro s’occupait de la cuisine, du bar et des additions, Luigi, lui, était le pizzaïolo.
L’entrée du restaurant donnait directement sur la salle, avec à droite le bar et la caisse.
Une petite salle d’une vingtaine de mètres, avec au fond à droite dans un renfoncement, un comptoir assez haut derrière lequel se trouvait le four à pizza et derrière ce comptoir de nouveau à droite, l’entrée de la cuisine.
Nathalie avait une bonne expérience du service en salle, ce qui lui a permis d’avoir ce deuxième boulot sans soucis.
Pietro était la caricature parfaite de l’italien dragueur et beau parleur, alors que son frère était beaucoup plus réservé et ne parlait quasiment pas.
La tenue de serveuse était classique, jupe au-dessus du genoux et chemisier blanc.
Quand Pietro passait à côté de Nathalie, il avait tendance à laisser trainer ses mains.
Volontaire, involontaire, il était difficile de savoir tellement il gesticulait.
Pas un mot ne sortait de sa bouche sans que ses bras ne bougent.
Pourtant au fur et à mesure du temps, ses mains se sont avérées plus précises, il faut dire que la forte poitrine de ma femme qui tendait le chemisier et son petit cul rebondie sous sa jupe pouvait donner des envies d’exploration.
Nathalie qui voyait la chose arriver et n’étant pas complètement contre, m’en a parlé en me demandant mon avis.
Je lui ai dit :
« Tu sais c’est un deuxième boulot provisoire, tu n’y resteras pas très longtemps, donc si tu veux joindre l’utile à l’agréable »
Elle m’a répondu :
« Oui, mais il y a son frère, je vais me sentir gênée car il risque de s’en rendre compte. »
En riant je lui ai dit :
« Tu n’as qu’à te taper les deux »
Libertin depuis nos débuts ensemble et moi étant candauliste, elle savait que s’il elle avait envie d’un autre homme, elle pouvait consommer.
Alors petit à petit les mains de Pietro ont pris de l’assurance, voyant que ma femme ne disait rien et ne le repoussait pas.
Un soir, alors que le service était presque terminé, ils étaient tous les deux dans la cuisine.
Il est venu se coller derrière elle, pendant qu’elle nettoyait les tables en inox, et lui a pris les seins par-dessus son chemisier.
Il l’a ensuite embrassé dans le cou et a passé ses mains partout sur son corps.
Il l’a retourné face à lui pour lui prendre la bouche et enfoncer sa langue.
Leur baiser a duré plusieurs dizaines de secondes avant qu’il ne reprenne ses esprits en lui disant :
« Va vite servir le dessert à la dernière table pour qu’ils partent rapidement, moi je ne peux pas y aller »
La bosse de son pantalon à la hauteur de son bas-ventre aurait été mal venue face au client.
Quinze minutes plus tard, la salle était enfin vide.
Luigi nettoyait son coin pizza.
Nathalie est revenue dans la cuisine avec les assiettes vides des clients.
A peine les avait-elle posées dans le lave-vaisselle que Pietro est venu vers elle.
Il l’a plaqué contre une table en inox, l’a embrassé puis lui a soulevé la jupe jusqu’à la taille pour lui retirer le string.
« J’ai envie de te bouffer la chatte »
Il l’a soulevé pour l’allonger sur la table et a aussitôt enfoui sa tête entre les cuisses.
Sa langue très agile s’agitait partout autour et dans le sexe de ma femme.
Il avait baissé son pantalon et s’astiquait la verge en même temps qu’il la dévorait.
Il ne lui a pas fallu plus de cinq minutes de se traitement pour qu’elle prenne du plaisir.
Ne voulant pas être entendue, elle a gémi fébrilement lors de son orgasme alors qu’elle prenait vraiment du plaisir.
Il s’est relevé, la bite bien tendu en lui demandant :
« Tu as des capotes »
« Non pas là »
« Zut moi non plus »
Elle s’est relevée à son tour puis s’est accroupie en lui disant :
« Pas grave je vais te donner moi aussi du plaisir avec ma bouche »
Elle a alors englouti son sexe pour le torturer de ses lèvres et de sa langue.
Sa bite était d’une taille moyenne commune a beaucoup d’homme.
Elle pouvait la prendre complètement dans sa bouche.
Elle le léchait partout, la hampe, les boules, le gland.
Il semblait fortement apprécier la fellation qu’elle lui prodiguait.
Lorsqu’elle l’a senti venir, elle lui a léché les couilles en le branlant jusqu’à ce qu’il éjacule.
Plusieurs jets de sperme sont venus s’écraser sur le sol et sur la table en inox.
Ils se sont rhabillés puis, ma femme, ayant fini son service, est rentrée à la maison.
Lorsqu’elle est venue travailler la fois d’après, c’était un samedi soir, il y a eu tellement de monde que rien ne s’est passé entre eux.
Un autre soir, cette fois en semaine, il avait demandé à Nathalie de venir les aider car ils avaient plusieurs réservations.
Cette fois-ci, Pietro profitait de chaque occasion ou il se trouvait seul avec ma femme pour la peloter et l’embrasser.
Il lui a même fait retirer son string pour pouvoir glisser ses doigts sur son sexe.
Vers vingt-trois heures trente tout le monde était parti, plus un client.
Luggi nettoyait son coin pizza comme à son habitude.
Nathalie, qui avait fini de débarrasser les tables, est venue aider Pietro à nettoyer et ranger la cuisine.
A peine rentrée, il lui a sauté dessus pour la déshabiller.
Le chemisier ouvert, le soutien-gorge dégrafé et la jupe relevée jusqu’à la taille, il la caressait et l’embrassait partout.
Il a sorti sa queue de son pantalon pour qu’elle le suce un peu.
Ensuite il a attrapé une capote dans sa poche pour la dérouler sur son sexe tout raide puis il a retourné ma femme contre la table en inox.
Les seins sur la table, il l’a prise par les hanches et l’a enfilé direct.
Des rapides et grands coups de reins lui ont très vite fait oublier la froideur de l’inox sur ses seins et son ventre.
Elle gémissait discrètement, ne voulant pas que Luiggi entende, alors que son frère ne se gênait pas pour faire du bruit et lui claquer les fesses.
Même si sa queue n’était pas très grosse, elle a très vite senti qu’il allait lui donner du plaisir.
Il la limait très vite et allait bien à fond à chaque coup de rein.
Quand Luiggi, certainement attiré par le bruit, est entré dans la cuisine, il est resté planté dans l’encadrement de la porte à regarder son frère qui était en train de sauter sa serveuse.
Nathalie s’est sentie gênée mais n’a pu retenir un orgasme juste à ce moment-là.
Ses gémissements étaient maintenant beaucoup plus fort, tandis que Pietro continuait toujours à la besogner avec vigueur.
Trop occupée à prendre du plaisir, elle n’a pas vu Luiggi ressortir de la cuisine.
Elle a eu un dernier orgasme quand son amant de ce soir à éjaculé au fond de son ventre.
Se rhabillant elle s’est dit que, même s’il n’était pas monté comme un dieu, c’était quand même un très bon coup.
Elle est sortie de la cuisine pour récupérer son manteau et son sac pour rentrer à la maison, quand elle a vu face à elle Luiggi le pantalon et le slip baissés et tenant dans sa main un membre énorme et bien raide.
Sa bite était proportionnelle à sa carrure.
Interloquée, elle ne s’attendait pas à le voir ainsi et ne savait plus quoi faire.
Elle a repensé à ce que je lui avais dit et s’est avancé vers lui pour s’accroupir et prendre son braquemart entre ses mains pour le lécher.
Il semblait apprécier la langue qui se faufilait sur sa queue.
Les deux mains sur sa bite elle le branlait tout en le léchant.
Elle a eu beaucoup de mal à le prendre en bouche tellement il était gros.
Au début seul son gland pouvait rentrer.
Puis petit à petit elle a réussi à prendre un petite moitié de son chibre.
Ses mains s’activaient toujours à le branler et elle prenait plaisir à pomper cette grosse bite qu’elle voulait faire cracher.
Quand elle l’a sentie se cambrer et que sa queue semblait encore durcir, elle s’est dégagée pour le branler et lui lécher les couilles.
Un grognement rauque est sorti de sa bouche lorsqu’il a envoyé des grosses giclées de sperme sur le sol.
Sans un mot, il a remonté son slip et son pantalon pendant que Nathalie se réajustait avant de rentrer à la maison pour me raconter sa fin de soirée.
Ils n’avaient pas forcément de relations sexuelles à chaque fois qu’elle venait travailler, mais si Pietro la sautait alors Luiggi se faisait sucer.
Elle s’est ainsi tapé ses deux patrons plusieurs fois, mais toujours l’un après l’autre.
Luiggi ne voulait que des fellations alors que Pietro aimait tout.
Un soir ou elle travaillait, j’ai déposé Nathalie à la pizzeria et suis allé manger chez des potes.
Elle m’avait dit de venir la reprendre vers 23h30, c’était en général l’heure où elle quittait.
Pendant le service Pietro n’avait pas arrêté de la peloter dès qu’ils se retrouvaient seuls dans la cuisine.
Il lui avait même retiré son string.
Il y avait moins de monde que prévu et ils avaient donc un peu plus de temps entre deux plats à servir.
Il l’a embrassé plusieurs fois et lui a même fait un cunni pendant un bon moment dans la cuisine.
Entre deux poses sexe, elle allait servir les clients.
A un moment c’est elle qui s’est agenouillé devant lui pour sortir sa queue et la sucer goulûment.
Bien disposé à le faire éjaculer, elle s’est appliquée en le regardant d’un air très salope.
Au bout de plusieurs minutes il lui a dit :
« Arrête tu vas me faire jouir »
Elle a redoublé de vigueur en le prenant bien loin dans sa bouche et en jouant encore plus avec sa langue sur le gland de son patron.
Elle le titillait, le léchait le mordillait.
« J’en peu plus, je vais cracher »
Voyant qu’elle ne s’écartait pas et qu’elle l’avait toujours en bouche, il lui a pris la tête dans ses mains pour la bloquer contre son pubis.
« Ouiiii putain c’est bon ahhhhhhhhhh »
Il lui avait envoyé plusieurs giclées de sperme au fond de la gorge.
Sans prendre le temps de le nettoyer, elle s’est relevée pour retourner s’occuper des clients qui devaient commencer à s’impatienter.
Le reste du service a été un peu plus calme, malgré quelques doigts furtifs.
Vers 23 heures, les derniers clients venaient de partir.
Nathalie et Luiggi étaient dans la salle, lui derrière le bar et elle, après avoir fermé la porte à clé et revenue vers lui.
Elle s’est agenouillée devant lui, a sorti sa queue de son pantalon pour recommencer à la sucer.
« On a un peu de temps avant que mon mari vienne ma chercher, j’ai envie que tu me baise »
« Pas ici, on pourrait nous voir de l’extérieur, viens on va dans la cuisine » a-t-il répondu.
Après quelques coups de langue, ils y sont allés.
Il lui a retiré sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge, l’a allongé sur le dos sur une table inox et a pris ses jambes pour les poser sur ses épaules.
Il avait retrouvé une forme olympique et une fois coiffé d’un préservatif, il l’a pénétré.
Ses mains caressaient les seins de Nathalie pendant qu’il la baisait.
Leurs pubis claquaient l’un contre l’autre à chaque coup de rein.
Elle l’a attrapé par le cou pour qu’il l’embrasse pendant qu’il la démontait.
Gémissant sous les coups de boutoir de son amant, elle sentait la jouissance venir.
Après un premier orgasme, il l’a retourné pour la prendre par derrière.
« J’adore voir ton cul quand je te baise »
La tenant par les hanches, ses va et viens étaient encore plus rapide.
Elle le sentait de nouveau très excité, il grognait à chaque fois qu’il était au fond d’elle.
« Salope tu vas encore me faire jouir, oh putain j’adore ton cul, t’es trop bonne… ahhhh ouiiiii »
Quand il a éjaculé dans son ventre, elle a joui en même temps sans se retenir.
Une fois leur souffle repris, ils se sont rhabillés, Nathalie à juste remis sa jupe et son chemisier.
« Mince il est 23h25, mon mari ne va pas tarder, je ne vais pas avoir le temps de m’occuper de ton frère. »
Pietro a souri d’un air qui voulait dire « je crois que tu rêves là »
En effet quand elle est sortie de la cuisine, Luiggi était comme à chaque fois, pantalon et caleçon en bas des chevilles et la bite en érection.
Un peu résignée, elle lui a dit :
« Bon je veux bien te sucer un peu mais quand mon mari arrive j’arrête. »
Pietro est retourné derrière son bar en salle, pendant que ma femme s’agenouillait devant son frère pour gober ce pieu énorme.
Il lui a enlevé son chemisier et elle s’est retrouvé les seins à l’air.
Goulûment elle le prenait en bouche, le léchait, jouant bien avec sa langue sur son gland, l’aspirant du bout des lèvres pour mieux le reprendre.
Quand j’ai frappé à la porte, Pietro m’a fait entrer.
« Nathalie est dans la cuisine, elle finit de nettoyer et elle arrive » me dit-il.
« Tiens assied-toi là je t’offre une bière, je vais la prévenir que tu es là. »
Il est ensuite parti vers la cuisine
Quand elle m’a entendue arriver, elle a voulu se lever pour se rhabiller.
Luiggi lui a appuyé sur les épaules pour lui faire comprendre qu’il n’en était pas questions.
De nouveau résignée, elle a continué à lui faire sa fellation.
D’où j’étais, je ne voyais pas directement la partie ou ils se trouvaient.
Toutefois, grâce à plusieurs miroirs je me suis rendu compte que j’apercevais Luiggi.
Il se tenait de côté et ne pouvait pas me voir.
Moi je ne voyais que le haut de son corps, juste au-dessus de sa poitrine.
Il était debout derrière son comptoir, la tête vers le plafond, la bouche grande ouverte et les bras devant lui comme s’il tenait quelque chose contre lui.
Parfois il baissait la tête toujours la bouche grande ouverte comme s’il prenait du plaisir.
Il ne m’a fallu que peu de temps pour m’imaginer ce qui se passait.
En regardant mieux, il avait toutes les mimiques de quelqu’un qui se faisait sucer.
Rien qu’à imaginer, mon sexe s’est durcit jusqu’à avoir une grosse érection.
J’imaginais Nathalie avec l’énorme bite de son patron dans la bouche, elle m’avait raconté ses frasques avec eux en me donnant tous les détails.
Pendant au moins dix minutes elle a continué à le sucer, jusqu’au moment où je l’ai vu se crisper un peu plus, la tête vers le bas et les bras qui semblaient plaquer quelque chose contre son bas ventre.
J’imaginais à ce moment ses mains bloquant la tête de ma femme afin qu’elle garde bien dans la bouche son braquemart libérant son jus pour qu’elle l’avale.
Elle m’a racontée après :
Il lui maintenait la tête en la faisant aller et venir sur sa queue, il était très excité car de temps en temps il la sortait pour la frotter sur le cou et les joues de Nathalie.
Quand il a senti qu’il allait jouir, il lui a bloqué la tête pour se vider dans sa bouche.
Il a éjaculé des grandes et copieuses giclées de sperme.
Elle ne pouvait tout avaler, alors ça sortait de ses lèvres et coulait sur elle.
Son visage, son menton, son cou et ses seins étaient couvert de la semence de Luiggi.
Une fois fini il a frotté à nouveau sa bite maculée de son jus, sur le visage de ma femme.
Elle s’est relevée pour retourner dans la cuisine se nettoyer un peu et se rhabiller.
Je l’ai aperçu se relever, je n’ai pas vu qu’elle était couverte de sperme mais j’ai bien vu qu’elle n’avait pas de haut.
Elle s’est essuyée un peu mais sans plus car elle voulait que je sente bien l’odeur du sperme qu’elle avait fait gicler dans sa bouche et sur elle.
Dans la même soirée ses deux patrons s’étaient vidés dans sa bouche et elle avait avalée une grande partie de leur foutre.
Très vite, elle a récupéré son manteau et son sac, nous sommes partis en disant au revoir de la main.
Nous avons marché une trentaine de mètre jusqu’à la voiture et une fois à l’intérieur elle m’a attrapé la tête pour enfoncer sa langue encore chargée de sperme, dans ma bouche.
Le goût était fort, l’odeur de son visage aussi, elle ne pouvait cacher ce qu’elle venait de faire.
Je l’ai embrassé sauvagement, lui ai léché les joues et le cou, j’étais très excité et je bandais comme une âne.
Elle a glissé sa main dans mon pantalon pour en extraire ma bite toute gluante de mes secrétions due à l’excitation.
Elle s’est penchée pour l’avaler goulûment.
Trois minutes plus tard je me vidais à mon tour dans son gosier.
La suite à était très agitée, nous avons passé une grande partie de la nuit à faire l’amour, non, je rectifie, nous avons passé une grande partie de la nuit à baiser tellement nous étions excités de ce qui venait de se passer.
Il y aura une suite car Nathalie a travaillé environ un an là-bas comme serveuse et j’ai d’autres aventure en rapport avec cette période à vous raconter si cette première partie vous a plu.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore un imbécile de mari qui prostitué sa femme j espère qu un jour elle se rebifera et portera plainte contre ce porc.Ce genre de salop il faut les montrer du doigt dans la rue les insulter leur jeter des pierres .C est fini le temps de ces salauds de machos .
Et bien il ne faut pas trop tenir à sa femme pour la laisser baiser ainsi par des gros cochons ou même par d autres .Les maladies sexuellement transmissibles ça n à pas l air de vous efreiller vous êtes un grand malade j espère que votre femme va se faire engrosser par ses patrons ça vous fera un bon souvenir.
Superbe histoire, merci beaucoup; S'il y en a d'autres je veux bien les lire !
Superbe histoire. S'il y en a d'autres, je veux bien les lire !