La signature d'un nouveau contrat

- Par l'auteur HDS jacques r -
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Récit libertin : La signature d'un nouveau contrat Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La signature d'un nouveau contrat
Le téléphone sonna sur le bureau, faisant sursauter Amin. Il arracha violemment le combiné.
- Yes ? cria-t-il.

Il travaillait dans l’urgence sur le document contractuel indispensable pour la réunion du soir et ces interruptions n’étaient pas les bienvenues. Il allait devoir travailler encore tard.
- Amin, c'est toi ?
- Oui, quoi de neuf? répondit-il d’un ton nettement plus modéré.

C'était Paul Moyo à l'autre bout du fil, président du conseil d'administration. L'homme, qui possédait 80% de l'entreprise, était connu aussi sous le surnom de « La Bête Noire » au sein de son personnel. Il était réputé pour saisir par le col puis jeter au sol ses employés lorsque l’un ou l’autre l’avait énervé.

Mais il était intouchable. En tant que membre de haut rang du bureau politique de ce pays anglophone d’Afrique équatoriale, il était l'une de ces nouvelles élites qui traitait son pays comme son bien propre. Un terrain de jeu très rentable et tout aussi divertissant pour son usage personnel.

Après avoir chassé les ex colonisateurs, son clan s’était partagé les richesses du pays. Pour les uns, le pouvoir et les responsabilités nationales et internationales, pour les autres le business et les entreprises. Tout en gardant, à portée de main, des étrangers en mesure de faire tourner tout ceci.

Amin Jaziri, directeur des opérations et de la production, était l’un d’eux. Ayant grandi à Vénissieux, il avait brillamment obtenu son BTS mais avait ensuite connu des difficultés pour décrocher autre chose que des stages ou de courts CDD. Aussi, en accord avec sa jeune épouse Sana, ils avaient décidé de tenter leur chance comme expatriés, après avoir rêvés devant une alléchante offre d’emploi proposée sur Internet.

Amin avait croisé pour la première fois la route de Sana au lycée, quand il était en terminale et elle en seconde. Un coup de foudre instantané ! Ils s’étaient mariés dès la fin des études d’Amin et Sana n’avait guère hésité à abandonner sa licence d’anglais pour suivre son amoureux.

- Amin, laisse tomber ce que tu fais et fais venir ta femme au Sheraton!
Cette demande le surpris grandement. Emmener sa femme au Sheraton ?
- Pourquoi ? Tu n'es pas au Sheraton ?
- Non. L'obtention de la nouvelle licence d'expédition prend plus de temps que prévu. Mon contact habituel est absent et son sous-fifre pleurnichard a trop peur pour faire quoi que ce soit sans son autorisation. J’ai du appeler le ministre et c'est en train d'être réglé. Si je me présente au Sheraton sans cette licence, le contrat est pratiquement perdu.
- Et notre DG, Kazembe ?
- Léon est toujours dans l’avion qui devrait se poser d’ici deux heures au moins. Et moi, je ne serai pas de retour du ministère avant 19 heures. Personne n'est avec M. Biningo. Il s’attend à ce que nous le rejoignions pour le dîner à 18 heures. Toi et Zaid vous travaillez toujours sur la présentation, n'est-ce pas ?

Zaid Qasim était le directeur commercial et financier de Moyo.

- Oui, nous n'aurons pas fini avant quelques heures. Tes employés ont encore tout foutu en l'air. Nous ne pouvons pas présenter ces documents tels qu'ils sont ! Et puis, je ne vois pas comment ma femme peut nous aider. Elle ne connaît rien à l'affaire.
- Elle n'a pas besoin de connaître le business. Dis-lui de parler de la France, du shopping aux Champs-Elysées, des boutiques de luxe, de la mode…....
- Je ne pense pas que M. Biningo soit intéressé par le shopping, le luxe ou la mode .
- Tais-toi, espèce d'imbécile ! Ta femme est tellement belle qu’elle pourrait passer toute la soirée à discuter des différentes variétés de mouches tsé-tsé que M. Biningo serait toujours ravi ! Emmène-la au Sheraton pour un bon repas et dis-lui de le divertir et de le garder de bonne humeur jusqu'à ce que Kazembe ou moi arrivions.

Il s’interrompit deux secondes.

- Tu sais à quel point ce contrat est important. Si nous ne gagnons pas, l'entreprise ferme et tu pourras retourner au chômage en France !

Amin grimaça. Le dernier mois avait été frénétique, mouvementé et exigeant. Mais c'était quand même bien mieux que de se demander si une quelconque société d’hypothèques n’était pas sur le point de tout saisir.
- Passe-moi Zaid.

Amin regarda à l’autre bout du bureau, où Zaid mettait la dernière touche aux propositions financières.

Il leva les yeux puis fit une grimace à Zaid pour lui indiquer l'humeur du patron, avant de lui passer le combiné.

Ce dernier haussa les épaules et prit le téléphone. Il travaillait depuis dix ans pour Paul Moyo et connaissait bien ses sautes d’humeur et ses particularités. Il avait même appris que, pour certains services et en fermant les yeux, cela pouvait être très bien récompensé.

Il avait déjà vu une palanquée de jeunes professionnels expatriés, les yeux écarquillés, arriver tout émerveillés et plein d’intérêt pour l’Afrique. Plus tard, Amin comprendrait pourquoi il avait été choisi, mais il n'appartenait pas à Zaid de lui dire.
- Zaid ?
- Oui?
- Tu as l'argent avec toi ?

Le regard de Zaid se tourna vers le coffre dans le bureau. Il contenait 110 000 US $, une somme conséquente mais finalement dérisoire par rapport au bénéfice attendu si ce nouveau contrat était signé. Contrat qui serait payé en devises étrangères monnayables auprès des grandes banques occidentales et non en monnaie locale avec les banques africaines usuelles.
- Oui, j'ai l'argent.
- Bien. Ne le perd pas de vue. Dès que tout est prêt, faites-le-moi savoir et j’essaierai de vous retrouver tous les deux au Sheraton.
- D'accord Boss.

Paul sourit à ces mots. Il aimait quand les blancs l'appelaient Boss. Il aimait aussi ce surnom de la Bête Noire, qui prouvait qu’il savait utiliser son « manche ». Plus que tout autre chose, il aimait le fait que Mina, la jolie femme de Zaid, une grande brune aux yeux gris, soit en moment agenouillée à ses pieds et adorait servilement sa bite noire fièrement dressée, usant de ses lèvres gourmandes et de sa langue alors même que son mari l'appelait Boss et travaillait dur pour gagner plus d'argent.

- Retire 10 000 $ de l’enveloppe, Zaid. C'est pour toi. Achète à ta femme une très belle robe. J'aime beaucoup le paquet qu’elle vient de m’apporter. Très très sympa.
Paul reprit : « assure-toi qu’Amin emmène sa femme au Sheraton Et pronto !
- Oui Boss, je vais y veiller.

Zaid raccrocha le téléphone et s'abima dans ses pensées. Le « paquet » auquel Paul avait fait référence, c’est Tiziri, la nièce de Zaid, âgée d’à peine 18 ans. Il n'avait pas vu sa nièce depuis qu'il avait quitté l’Algérie dix ans plus tôt. C’était alors un ange doux, blond aux yeux verts écarquillés, comme peuvent l’être certaines Kabyles. Il ne l’avait même pas vu depuis son arrivée dans le pays. Mina était passée la prendre à l’aéroport pour l’emmener directement à la villa de Moyo. Zaid ressentit un sentiment de culpabilité d'avoir fait ça à son frère. Puis en récupérant les 10 000 $ dans le coffre, sa douleur s'est atténuée.

La fatigue de Tiziri avait disparu. La vue de sa jolie tante agenouillée devant le grand africain, suçant servilement cette énorme bite noire avait dissipé toute trace du voyage. Ses yeux étaient écarquillés d'émerveillement mais aussi d’une certaine inquiétude. Elle savait ce que les hommes faisaient aux femmes avec leurs bites mais celle de cet Africain ressemblait plutôt à une corne de rhinocéros. L'idée qu'une telle bite monstrueuse puisse s’enfoncer dans le ventre d'une femme la remplissait d’une réelle appréhension, ainsi que d'une intense excitation.

L'Africain posa le téléphone et regarda Tiziri. Il sourit. C'était un sourire carnassier qui la fit frissonner. Ses yeux ne l'avaient pas quittée. Même lorsque sa tante suçait de manière obscène cette bite noire, même lorsqu’il parlait au téléphone avec l’ oncle Zaid (dont elle se souvenait à peine), ses yeux affamés dévoraient le corps de cette jeune fille sortie à peine de l’adolescence.

Paul se leva et repoussa Mina. Il avança vers le lit, sa grosse bite noire bougeant et ballotant au rythme de ses pas. Tiziri faillit s'évanouir alors qu'elle reculait devant lui. Enfin, presque….

- Bonjour, M. Biningo, voici ma femme Sana.
Par politesse, Sana sourit à l'homme, à la belle prestance et habillé de manière très chic.
M. Biningo lui prit la main, la porta à ses lèvres et lui fit un baise-main. Un geste charmant que Sana n'avait jamais eu l’opportunité de connaitre en France. Son sourire est devenu encore plus sincère.

- Votre femme est particulièrement charmante et en beauté, M. Jaziri, mais je m'attendais à rencontrer M. Moyo et M. Kazembe. Y-a-t-il a un problème ?

Son regard toisa Amin qui trainait les pieds et qui essayait de paraître sûr de lui. Il n'était pas habitué à affronter des hommes aussi puissants que M. Biningo.

En Europe, il aurait du échanger avec des cadres et des ingénieurs. En Afrique, il côtoyait constamment et directement des hommes d'affaires possédant leur propre entreprise, capables d’influer la politique gouvernementale ou d’investir des millions sur une intuition. Des hommes puissants qui ne toléraient que peu d'interférence dans leurs propres projets, légaux ou pas.

Les yeux pénétrants de M. Biningo semblaient juger ce jeune blanc nerveux qui cherchait ses mots.
- Eh bien, M. Jaziri, y a-t-il un problème ?

Amin se tortillait sous le regard de ce Mâle africain clairement dominant. Ce n'était pas l'africain habituel croisé dans les ateliers de l’entrerpise ou dans la rue.
Il toussa avant de répondre.

- M. Kazembe a été retardé dans son vol de retour. Il est attendu ici vers 19 heures 30. M. Moyo est retardé par un accident de la circulation sur la nouvelle rocade. Malheureusement, nous souffront beaucoup des accidents de la route. je ne peux pas vous dire exactement quand il arrivera.

Il fit une pause, pas vraiment convaincu d'avoir satisfait M. Biningo, qui le regardait d'un air renfrogné.
- Je dois retourner au bureau. M. Qasim attend avec le...

Amin fit une pause et regarda autour de lui pour s’assurer que personne ne puisse entendre :
- Avec l'accord convenu, la commission.

Les yeux de M. Biningo ne montraient aucune reconnaissance. Il jeta un coup d'œil à Sana puis revint vers le jeune homme.

- Euh... M. Moyo vous prie d'accepter ses excuses pour ce retard et si vous les acceptez, il a demandé si vous vouliez que ma femme vous accompagne pour diner en attendant.

L'expression de M. Biningo ne changea guère. Il acquiesça légèrement. Il se tourna vers Sana et, au grand soulagement d’Amin, lui offrit son bras. Sana lui prit le bras et jeta un coup d'œil à son mari, qui lui fit un signe de tête encourageant. Elle se retourna et laissa l'Africain la conduire vers les ascenseurs de l’hôtel.

Ils allaient diner sûrement dans l’un des tous meilleurs restaurants de la capitale, au rez-de-chaussée. Comme ils venaient de prendre un verre au bar du premier étage, elle ne fut pas surprise lorsque ce gentleman distingué la dirigea vers ascenseurs. Bien qu’un peu nerveuse, elle ne se retourna pas vers son jeune mari.

La surprise fut donc grande lorsque M. Biningo appuya sur le bouton d’un étage supérieur.
Ne sachant pas comment réagir ou répondre, elle resta silencieuse, son bras toujours accroché au sien. Elle remarqua soudain que M. Biningo profitait des miroirs à l’intérieur de l’ascenseur pour la lorgner sans vergogne.

A 21 ans, elle était plutôt fière de sa silhouette et des regards que les hommes pouvaient porter. Depuis son arrivée en Afrique, elle commençait à ne plus s’offusquer des regards appuyés que la plupart des hommes lui lançaient ouvertement.

L'indifférence étudiée de M. Biningo avait été un changement bienvenu. Le fait qu'il ne soit pas aussi indifférent qu'il n'y paraissait de prime abord était aussi rassurant. Ce qui l'était moins, c’était leur destination. Les restaurants étaient au rez-de-chaussée, et ils montaient !

C'était la première fois qu'elle se retrouvait seule avec un Africain. Un homme africain de plus. Et son mari était déjà sur le chemin du retour vers le bureau.

Elle jeta un coup d’œil à M. Biningo. Le Congolais était plus âgé que son père. Distingué et gentleman, même s'il était Africain. Assez différent de nombre de locaux qui habituellement, essayaient de la caresser ou de la peloter dans les magasins ou les hôtels. Cela l'avait rassurée et elle se demandait ce qu’elle pourrait raconter à cet inconnu qu'elle venait de rencontrer il y a juste quelques minutes.

Puis elle remarqua qu’il l’examinait toujours dans le miroir. Elle rougit. Elle aurait pu mieux s’habiller. Mais son mari s'était précipité à la maison et l'avait tirée jusqu’à la voiture. Elle portait un pantacourt serré en coton blanc, et un caraco noir moulant qui mettait en valeur sa très jolie poitrine. Ce n'était pas si judicieux que ça, même si son mari aimait beaucoup. Ce n’étaient assurément pas la tenue la plus appropriée pour aller dîner. Surtout avec un homme aussi important comme son mari le lui avait rappelé.

Mais M. Biningo appréciait pleinement cette tenue. Des seins ronds et fermes qui seraient un plaisir à malaxer pendant qu'il introduirait sa bite entre ses jambes fines et bien galbées. Mme Jaziri avait une beauté lumineuse et classique. Paul lui faisait un beau cadeau avec cette très jolie jeune femme. Son visage était d’un bel ovale, avec un nez grec et une petite bouche bien formée. Ses yeux étaient bleus et pétillants. Ses cheveux châtain foncé étaient lisses, lâches et très longs, presque jusqu'à la taille. Son pantalon serré ne cachait pas des cuisses fermes et galbées et un cul parfaitement arrondi.

Il pouvait à peine s’empêcher de toucher. Il devait attendre de l’amener dans sa suite. Une fois sur place, il pourrait faire d'elle ce qu'il voulait et avoir la certitude de ne pas être interrompu ni par le personnel de l'hôtel ni par d'autres clients.

- Qu'a dit exactement votre mari quand il vous a dit de me rejoindre ici ?
- Mon mari m'a demandé, euh non, je suppose que M. Moyo m’a demandé ! Il ne m'a rien dit!
M. Biningo lui sourit et s'inclina devant elle. Il aimait les femmes ingénues. Cela signifiait généralement qu'elles étaient bonnes au lit.
- Et qu'est-ce que ton mari t'a demandé de faire exactement ?
- Il m'a demandé de vous divertir pendant quelques heures, de dîner avec vous, jusqu'à ce que M. Moyo et M. Kazembe arrivent.
- Avez-vous beaucoup diverti pour Paul, Mme. Jaziri?
- Euh non, nous sommes arrivés ici il y a seulement un mois.

Le sourire de M. Biningo était large et encourageant. Sana continua :
- Je me suis d’abord installée. J'ai découvert les secrets du marchandage pour acheter quelque chose. Je donne aussi au gérant du supermarché un pourboire tous les mois pour qu'il m'appelle quand le sucre arrive. Je n’ai jamais eu à faire des choses pareilles en France. Tout ici est surprenant, c'est tout à fait différent. Mais je trouve ça amusant. Je commence à m’habituer ;
- Bien, et depuis combien de temps es-tu mariée ?

Les yeux de Sana s'éclairèrent. Elle aimait profondément son mari et elle aimait parler de lui. Elle bavarda joyeusement tandis que M. Biningo la conduisait dans sa suite. Deux gardes armés faisaient les cent pas dans le couloir, devant la suite.

M. Biningo, une fois dans le bureau, récupéra certains de ses papiers et en rangea quelques-uns dans sa mallette en acier. Il ne faisait pas confiance au cuir. Trop facile à ouvrir.

Finalement il se tourna vers Sana et lui proposa un apéritif avant de descendre dîner. Elle accepta le verre avec gratitude.
- Donc, tu n'as jamais diverti un Africain auparavant ?
- Non, et pour être honnête, avant de venir ici, je n'avais pas même beaucoup côtoyé de noirs auparavant.

Sa main se porta soudain à sa bouche. Elle tentait de masquer son embarras. Et la couleur rosée qui emplissait ses joues ne faisait que rehausser sa beauté.
- Oh mon Dieu, je ne voulais pas dire, je n'aurais pas du dire noir. Je voulais dire Africain, bien sûr.
M. Biningo se mit à rire pour la mettre à l'aise.
- Donc tu n'as pas jugé par toi-même la part de vérité sur la légende selon laquelle les hommes noirs ont de grosses bites ?

Les yeux de Sana s'écarquillèrent. Elle balayait la pièce du regard.
Avait-elle bien entendu ? Sûrement pas! M. Biningo était un parfait gentleman. Elle le regarda. Ses yeux étaient durs et perçants. Elle se souvenait soudain à quel point Amin était nerveux avant d’entrer dans le hall de l’hôtel.

Elle sirota son verre en essayant de de faire comme si elle l'avait fait pas entendu.
- Veux-tu savoir si c'est vrai ?

Sana déglutit difficilement. Elle était réellement en difficulté. Elle était dans un chambre d'hôtel avec un homme étranger. Il avait des gardes armés à l'extérieur de la pièce. Son mari était à des kilomètres. Et cet homme d'affaires, africain, distingué et riche lui parlait crûment.

Elle pris une nouvelle gorgée de vin et essaya à nouveau de faire celle qui n’avait pas entendu.

M. Biningo termina son whisky puis prit le verre des doigts tremblants de Sana .
Sana recula.

Sa main se tendit et il la saisit derrière la nuque. Il pouvait la sentir trembler sous sa poigne. Il aimait sentir cette peur et cette incertitude en elle. Il se fichait vraiment de savoir si elle allait résister. Il la prendrait de toute façon. Sa main effleura sa joue, admirant et caressant la chair douce de ces pommettes saillantes. Un gros pouce noir lui caressait les lèvres.
- Ces jolies lèvres ont-elles déjà sucé une très grosse queue?

Elle le regarda incrédule, alors que ses mains tombaient sur sa taille. Il ouvrit la fermeture éclair.

Sana saisit l'instant, se retourna et courut vers la porte. Elle était verrouillée. Elle cria à l'aide. Les gardes de l’autre côté de la porte cessèrent leur bavardage. Elle tira sur la poignée et de nouveau cria à l'aide.

M. Biningo sourit en s'avançant vers la jeune femme.

- j'ai du mal avec cette porte qui ne s’ouvre pas bien. Viens, ma chérie. Je vais te faire du bien.
- Je ne suis pas ta chérie, lui cria Sana.

M. Biningo sourit et l'attira vers lui. Elle se débattait dans ses bras, se retourna et chercha à partir. Deux grandes mains noires se levèrent et commencèrent à empaumer sa poitrine.

Sana haleta alors que des mains rugueuses la saisissaient et caressaient pleinement ses tétons qui pointaient. Elle jura alors que des sensations agréables l'envahissaient. Elle maudit son propre corps alors qu'elle était étroitement serrée contre lui, surprise par ce corps dur et musclé. Elle pouvait sentir son souffle chaud dans son cou.
- J'aime les femmes qui se battent !

Sana se figea à ces mots. Il appréciait la résistance ? Elle se laissa alors aller mollement dans ses bras. Les mains de Joseph Biningo profitèrent de cet avantage pour glisser sous son caraco et faire monter la douce chaleur de son corps.

Sana s'est souvenue tardivement qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle cherchait à enlever ses mains. Elle était choquée par la force dégagée par cet homme. Et ses propres efforts ne semblaient servir à rien.

Les beaux seins blancs et nus furent bientôt dans ses mains. Les doigts noirs faisaient perfidement dresser ses mamelons. Il grogna de plaisir à cette découverte. Ses doigts envoyaient de brusques décharges de plaisir vers le haut et le bas de son corps. Désespérément, elle essaya de se libérer.

Mais avec les mains de l’homme déjà en place dans son caraco, elle avait peu chance de se libérer de lui.

Il lui titille les tétons encore plus fort. Sana cria sur le coup de la douleur. Elle était littéralement entre les mains d'un homme cruel, au visage dur et habitué à obtenir ce qu'il voulait. Puis la douleur de ses mamelons s'est atténuée pour être remplacée par la chaleur de picotements, sensation agréable et érotique.

Ses doigts se resserrèrent. Sana s'était mentalement préparée à avoir à nouveau mal. Au lieu de cela, les paumes de ses mains glissèrent légèrement sur ses mamelons les caressant avec douceur. Elle se détendit et luttait maintenant contre le plaisir que ces mains lui procuraient, plaisir maintenant renforcé par la douleur antérieure.

Ses doigts revinrent sur ses mamelons. Avant qu'elle ne réalise qu'il l'avait mordu brusquement. Elle cria pour protester. Choqué par la douleur qui semblait lancer des éclairs dans sa colonne vertébrale et des bouffées de chaleur dans ses reins.

Sana maudit les sensations érotiques qui l'envahissaient. Ses seins sensibles étaient déjà son point faible de résistance, lorsque Amin avait fait ses avances.

Elle ne comprenait pas comment son corps pouvait réagir comme ça à cet homme, elle n'aimait pas se faire peloter, mais là, elle ne doutait pas du plaisir que ses mains lui procuraient.
Mon Dieu, il était plus âgé que son père et noir.

Elle frissonna. Peut-être que cela faisait partie de l'excitation qu’elle ressentait. Puis elle se maudit encore d’éprouver une telle excitation. Puis les doigts noirs lui pressèrent les tétons encore une fois et elle faillit s'évanouir à cause de la douleur et du plaisir.
Ses mains descendirent vers le pantalon et il commença à desserrer la ceinture. Sana recommença à se débattre. Cela allait trop loin.

Même si elle soupçonnait qu'il n’y avait qu'une seule issue à tout ceci, et peu importe à quel point elle pourrait résister. Elle sentit une agréable contraction dans ses reins tandis que la pensée qu'elle était sur le point d'être violée efleura son esprit. Mais était-ce réellement un viol ? ou peut-être un fantasme de longue date sur le point de se réaliser, même si c’était avec un homme grand, noir et âgé.

Elle lutta encore plus fort, mais ses mains puissantes étaient insensibles à ses efforts alors qu'il ouvrait sa ceinture, dégrafait un bouton et arrachait presque la fermeture éclair. Elle se libéra brièvement alors que l’homme commençait à tirer le pantalon vers le bas.

Sa tentative de s'enfuir fut vite entravée par son pantalon baissé. Il rit de bon cœur en la tirant à nouveau vers lui.

Le pantalon ôté, elle cria à nouveau alors qu’une main se faufilaitt entre ses jambes, écartait sa culotte en dentelle et fouillait sa chatte déjà humide.
- Ahhh, tu es déjà mouillé pour ça !
- Salaud!

Il rit encore.
- Mon mari !
- Je m'en fous de ton mari. C'est ce que je veux dont tu dois te soucier.

Ses doigts écartèrent la chair chaude et pénétrèrent à l'intérieur de sa vulve. Elle se tortillait et se tortillait, tentant une nouvelle tentative de s'échapper alors que les doigts l'excitaient encore plus.

Il se déplaça derrière elle, ajustant sa position. Puis elle sursauta alors que quelque chose de chaud et de dur s'enfonçait entre ces jambes. Elle baissa les yeux. Les yeux écarquillés, incrédule, elle comtemplait cette protubérance noire qui dépassait de ces cuisses.

Elle dépassait de douze centimètres, ce qui faisait bien sept ou huit centimètres de plus que celui de Amin. C'était chaud et dur et elle serra ses cuisses douces autour. Elle pouvait le sentir palpiter et mesurer son pouls entre ses jambes.

Elle pouvait sentir le muscle noueux, gorgé de sang, et elle frémit.
- Alors, que penses-tu de la légende maintenant ?

Sana ne pouvait pas répondre, toujours aussi incrédule. Elle se retrouvait à frotter cette grosse bite noire avec ses cuisses douces et soyeuses. Son pantalon et son string pendait maintenant à une de ses chevilles. L'Africain appréciait la sensation de l'intérieur doux et soyeux de ses cuisses.
- M. Biningo... je... je....

Sa main saisit ces longs cheveux bruns et les tira brusquement en arrière. Elle ressentit des picotements venant de ses racines et haleta.
- Joseph, je pense que tu peux m'appeler Joseph maintenant.
- Joseph, haleta Sana, "Je... je...

Sa bouche se ferma sur celle de Sana et elle fut choquée de se retrouver à rendre le baiser avec passion. Il relâcha son emprise et s'éloigna d'elle maintenant en quête de ses lèvres. Il baissa les yeux sur le visage d'une beauté classique. Ses yeux brillaient de luxure et de désir et souriaient.
- Enlevons nos vêtements, ma douce chérie.

Sana l'aida fébrilement à la dénuder, puis à son tour l'aida à se déshabiller. Il put ainsi la pousser au fond du lit. Son corps lourd et noir contrastait avec sa douce blancheur. Mais elle a eu le temps de voir cette grosse queue noire, dure et flottante entre ses jambes. Comme un bâton épais, il était bien positionné entre ses cuisses écartées.

Elle blottit la tête dans son cou. Ce qui lui offrait d'accéder librement à la peau blanche et douce de son cou. Elle tremblait d'excitation alors que ses dents mordillaient et sa langue la léchait. Elle avait l'impression d’être un animal s'abandonnant à un autre, offrant son cou en signe de capitulation. Ses jambes s'écartaient également pour laisser le passage à cette épaisse dureté blotti entre eux.

Elle frissonna et frissonna encore tandis que la tête dure et épaisse de la bite s’enfonçait en elle. Ses muscles se séparèrent pour faciliter l'entrée du vit africain. Elle gémit et poussa contre lui. Aussi épaisse soit-elle, elle en voulait plus à l'intérieur. Il poussa plus profondément et elle cria de bonheur.

Il lui agrippa les cheveux et lui tira la tête en arrière avec force, puis lui mordit le cou et l'enfonça plus profondément.

Sana hurla d'extase. Et Joseph, à son habitude, se mit à rire.
- C'est dur, hein ?

Ses mains se levèrent et saisirent ses épaules.
- Prends-moi… fais-le… fort…
Haleta Sana ivre de joie en profitant de la sensation de ces couilles qui claquaient contre ses reins. Elle réalisa qu'elle avait absorbé toute sa longueur. C'était nettement plus profond que ce que son mari avait réussi jusqu’alors. La longueur et l'épaisseur étaient incroyables, et cet Africain expérimenté savait certainement comment l'utiliser au mieux lorsqu'elle le saisit fermement.

Plus tard, Elle apprécia le repas servi et les vins choisis. Joseph était d’une excellente compagnie et un hôte attentif.

Après cet excellent repas, il lui proposa de mettre un de ses gardes du corps à disposition pour la ramener chez elle. L’autre solution, celle qu’il préférait, était d’attendre dans sa suite que son mari arrive avec le contrat. Avec une lueur dans les yeux, elle choisit de rester.

Il était 20h30 lorsque Amin et Zaid Qasim arrivèrent au hôtel en compagnie de Léon Kazembe, avec les documents et la commission. Kazembe était bien connu et les employés africains se précipitèrent à sa rencontre.
- Il est dans sa suite avec la pute, dit Jeanfan le premier concierge.
Amin fut alarmé par ce commentaire.
- Où est ma femme?

Kazembe le regarda.
- M. Moyo lui a demandé de dîner avec lui, et je l'ai déposée ici plus tôt.
Jeanfan réalisa soudain qui était cette pute et regarda au loin. Son regard croisa brièvement celui de Kazembe.

Zaid Qasim savait qu'une erreur d’entrée pourrait causer des ennuis sans fin et demanda :
- La femme blanche qui a dîné avec M.Biningo a bien été reconduite chez lui en toute sécurité ?

Kazembe intervint.
- Jeanfan, vous êtes responsable de la sécurité. Est-ce que la femme de M. Jaziri a été ramenée chez elle saine et sauve ?

Jeanfan était assez intelligent pour trouver une réponse rapide.
- Un de mes hommes a emmené Mme Jaziri passer le reste de la soirée avec l’épouse de Zaid, Mme Qasim, à leur villa. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter à ce sujet. Je l'ai fait car je ne pense pas qu'il soit approprié qu'elle reste alors que la putain arrivait.
- Vous avez bien fait, Jeanfan, M. Biningo est toujours dans son chambre ?
- Oui.

Kazembe se tourna vers Zaid et Amin.
- Si vous attendiez messieurs au bar, j'irai informer M. Biningo que nous sommes prêts.
Il fit une pause un moment.
- Vous devrez peut-être être patient, s'il est avec la pute, il faudra peut-être attendre qu’il termine.

Zaid hocha la tête.
- Viens Amin, nous avons le temps pour un excellent Pimm's numéro 1.

Kazembe se précipita vers les ascenseurs. Il avait déjà rencontré La femme d’Amin, une jolie créature. Si elle était encore chez Biningo, ce serait facile de la faire passer discrètement par les sous-sols pour qu’elle sorte de l’hôtel sans que son mari le sache.

Les gardes de M. Biningo le firent entrer directement dans la suite.

Des bruits passionnés l’accueillirent.

Kazembe sourit et se dirigea vers la chambre.

Biningo était allongé sur le dos, tandis qu'une femme blanche et bien faite rebondissait avec entrain sur sa queue bien droite.

Elle était résolument sexy et finalement, son retard ne nuirait pas aux affaires et aux chances de signer le contrat, si elle avait été capable de faire passer un si bon moment à Joseph.

Il regarda rebondir ses seins et les joues rondes de son fessier alors qu'elle s’activait sur la bite de Joseph. Finalement, Mme Jaziri était et sera un atout encore plus important pour l'entreprise que son mari!

Lui-même préférait les jeunes blanches célibataires et peu expérimentées. des post adolescentes aux jambes minces, à la poitrine pas encore totalement formée, aux jolies bouches et aux langues délicates, n’ayant guère connues le mâle.

Il avait entendu dire que la nièce de Zaid était arrivée mais il faudrait attendre demain pour l’essayer.

En attendant, cette délicate ouverture rose entre ces fesses rebondissantes n'avaient pas l'air bien utilisées, si d’ailleurs elles avaient déjà été utilisées une fois. Il commença à se déshabiller. Cela ajouterait un certain piquant de baiser ces fesses pendant que son mari attendait au bar de l'hôtel.

- Mrs Jaziri, I presume ?

Ses paroles surprirent Sana, perdue comme elle l'était dans le nouveau monde de luxure qu'elle venait de découvrir. Elle faillit sauter du lit, mais Joseph l'attrapa et s’esclaffa en la tirant en arrière.
- Ne fais pas attention à Kazembe, c'est juste une plaisanterie.

Néanmoins, Sanaa eu du mal à se libérer et à tirer le drap de dessus. Comme elle l'avait déjà découvert, Joseph était beaucoup trop fort et il a rapidement poussé les draps plus loin.
- Ne sois pas timide, chérie. Je pense que mon ami Léon va nous rejoindre.
Sana se retourna pour regarder Joseph.
- Quoi ?

Joseph l'attira vers lui et lui scella les lèvres avec un baiser. Sana répondit avec passion. Elle sentit le poids de Kazembe alors qu'il montait sur le lit. Puis elle sentit son corps chaud au dessus du sien. Elle essaya de se lever mais Joseph la retint. Elle interrompit du baiser.
- Mon mari ! Où est-il ? Il était censé venir avec vous M. Kazembe!

Elle était confuse. Que faisaient-ils ? Kazembe se pencha en avant et lui mordilla l'oreille. C'était agréable et elle se laissa faire.
- Ton mari attend au bar.

Les yeux de Sana s'écarquillèrent de panique.
- Veux-tu que je l'appelle ?
- Non...
- Cela ne nous dérangera pas s'il veut regarder, répliqua Joseph.
- Espèce de salauds ! Qu'est-ce que vous me faites ? J'aime mon mari.

Ses mots furent interrompus par un cri alors que Kazembe poussait fort.
Joseph rit à nouveau. Il regarda le visage concentré de Kazembe alors qu'il s’activait sur l'incroyable étroitesse d'un trou qui n'était désormais plus vierge.
- Encule-la, Kazembe, la douleur l'excite !
- Nooooooooon, gémit Sana.

Mais ils avaient raison. Maintenant, la douleur diminuait et était remplacé par du plaisir alors que deux corps chauds l'écrasaient comme un sandwich et que deux bites chaudes s’enfonçaient en elle !

Les avis des lecteurs

Effectivement, je n'ai pas tout numéroté.
Le chapitre 1 s'intitule: Véro - Le 2:Véro et le bar américain: l'apprentissage - le 3: Véro devient une pro et le 4: première rencontre. Ces 4 textes forment un tout.
Le chapitre 5: l'histoire continue en Afrique doit être le premier chapitre d'une nouvelle série à venir. Je vais m'y atteler.
Ce texte, signature d'un nouveau contrat est totalement indépendant.
Lieutenant de Luzelle: une série en 4 chapitres (les 2 premeirs étant déjà publiés).

Histoire Erotique
Il manque la suite de Vero 5 et les chapitres 3 et 4

Histoire Erotique
Ah, l'expatriation............



Texte coquin : La signature d'un nouveau contrat
Histoire sexe : Une rose rouge
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