La soeur de mon copain - histoire érotique

Comme chaque année, J'étais en vacance en bord de mer, chez mes grands parents. J’avais tout et plus si je demandais, mes grands parents avaient pour moi un amour inconsidéré et m’auraient donné la lune si je l’avais demandé car j'étais leur seul petit fils. Mon grand père à la retraite, ma grand mère prof, à la retraite aussi, ils étaient plus qu’à l’aise dans cette grande villa, tout était la pour me faire plaisir, ils avaient acheté un hors bord et une place au port pour mon anniversaire mes 18 ans et ce hors bord avait 2 cabines plus une cuisine était à ma disposition.
Tous les jours, je prenais ma voiture et allais jusqu'au port faire des tours en bateau, je ne mis pas longtemps à me faire des copains de mon âge. Parmi ces copains il y avait Christian du même âge que moi que j’aimais bien et nous passions nos après midi ensemble à draguer, nous emmenions quelques filles en mer pour les peloter et les embrasser mais moi, je suis toujours puceau, pas que je sois laid mais je ne dois pas avoir de succès avec les filles et aucune ne veut sauter le pas avec moi, alors que lui en saute pas mal. Un jour Christian me dit :

- Tu veux que je te dise pourquoi les filles ne veulent pas que tu les baises, si tu veux en baiser une, planque ton gourdin, tu leur fais peur avec ta grosse bite voilà tout, ne te promène plus à poil devant elles et met des shorts larges, pas des petits maillots de bain.

- Tu rigoles ou quoi, elle est normale ma bite.

- Tu es fou, tu en as une qui rien qu’au repos est plus grosse que la mienne en action.

-Tu crois que ça leur fait peur.

- Attend, elles ne se voient pas avec un machin comme ça entrer dans leur chatte, c’est pour ça que Claudine ne vient plus, elle t’aimait bien mais elle m’a dit que quand elle a senti ton machin contre sa cuisse elle a eu peur que tu lui défonce la chatte, pourtant elle aurait bien aimé que tu la dépucelle, c’est elle qui me l’a dit.

- Je ne vais pas me branler toute ma vie parce que j’ai un gros pénis quand même, c’est vrai que Claudine m’avait laissé lui mettre la main dans la culotte et la branler et je me frottais contre sa cuisse, après elle a enlevé ma main et n’est plus revenue le lendemain.

- Soit patient, tu en trouveras bien une autre qui aime ça, d’ici la fin de l’été.

Le lendemain Christian m’appela le matin, me disant que sa sœur et son mari étaient en vacances et qu’ils aimeraient faire un tour en bateau, je lui donnais rendez vous lui disant que nous mangerions en mer. A 10 h j’étais sur mon hors bord et voilà mon copain avec un mec, la trentaine et sa sœur trente ans aussi qui l’accompagne, grande blonde, bien roulée, les yeux bleus, grosse poitrine et cul de rêve.

On se dit bonjour, ils montent à bord et nous voilà parti. Sa sœur me demande si ça me gêne si elle bronze en intégral et je lui dis que non, son mari idem et comme Christian est presque toujours nu sur le bateau, je suis le seul à garder mon short. Sa sœur me dit :

- Tu peux te mettre à l’aise aussi tu sais.

- Oui ! pourquoi pas, il n’y a pas de gamine sur le bateau.

Je sais que je ne vais pas me faire cette fille, vu qu’elle est mariée. Me voilà à poil, je ne peux m’empêcher de voir, toute la journée les regards que lance le couple sur mon entre jambe et je me dis, mon garçon en voilà une que tu ne risquerais pas de te faire non plus si elle avait ton âge.

Nous rentrons au port vers 18 h, le couple m’invite à prendre l’apéro chez eux, ils m’invitent aussi à manger et le soir vers 22 h la soue de Christian me dit.

- Cela doit être magnifique de voir les lumières du port la nuit, quand on est en mer.

- Oui c’est vraiment jolie à voir.

- Tu voudrais m’y emmener les voir.

- Bien sur madame si vous voulez.

Elle demande à son mari s’il veut venir et il dit que non, qu’il est fatigué, qu’il va se coucher. Nous voilà parti tous les deux en mer, nous regardons un moment les lumières du port et des bateaux, puis elle me dit vouloir se baigner et se met nue et plouf ! La voilà à l’eau, je plonge après avoir quitté mon short et nous jouons un moment. Je ne sais pas si c’est intentionnellement ou non mais en jouant c’est souvent qu’elle se frotte à moi et me touche le sexe, j’en viens à prendre une gaule et bien sur elle le voit et vient se plaquer contre moi et me prend la bouche dans un baiser ardent.
Elle remonte sur le bateau et me dit :

- Viens, j’ai froid, viens me réchauffer.

Je ne me le fais pas dire deux fois, ses yeux sont rivés sur mon sexe en érection.

- Tu es monté comme un bourricot, ta petite copine doit en prendre plein sa minette.

- Je n’ai pas de petite copine madame.

Elle me tend la main et m’entraîne dans la cabine, se jette sur le lit et me tend les bras.

- Vient me faire l’amour mon grand.

- Je ne sais pas, si vous allez aimer, je n’ai jamais fait ça.

- Tu es puceau ? mais c’est merveilleux, vient, je vais t’apprendre mon chéri.

Allongés sur le lit, elle me prend dans sa bouche mais elle avait beaucoup de difficultés pour me prendre et me sucer comme il faut, elle me demanda de lui faire pareil, ce que je fis avec plaisir et suivant ses conseils, de son clitoris à son anus je léchais toute sa moule baveuse, prenant de grandes goulées de son jus intime, je lui pelotais les seins et les lui mangeais comme elle me demandait. Elle se mit sur le dos, les jambes repliées et les pieds sur mes épaules et guida mon sexe en elle.

- Doucement tu es énorme, prend ton temps pour le rentrer, vas y doucement, sinon tu me feras mal.

J’entrais en elle, c’était chaud, gluant mais très étroit, j’eus beaucoup de mal à entrer en entier et quand je déchirais mon pucelage, j’eus un mouvement de recul, je ressentais une vive douleur mais elle m’enfonça encore plus profond avec ses jambes autour de mon dos.

- Que tu es gros mais que c’est bon, attend un peu que je m’habitue et que tu n’ais plus mal au gland et fait moi jouir mon chéri.

Quand le picotement eut disparu, je commençais à ressortir puis m’enfonçais en elle, d’un seul coup de rein, cela eut pour effet de la faire gueuler comme une dingue et de lui procurer une jouissance inouïe, les yeux pleins de larmes, la bouche grande ouverte elle criait à chaque coup de reins, je ne sais pas pourquoi mais je n’arrivais pas à jouir. Plus j’allais en elle plus je sentais le fond de son vagin, je le cognais à chaque fois.

- Tu me fais mourir, jute moi dans la chatte, je vais mourir, c’est trop, ta queue me fait mourir, jute moi dedans petit, ta queue est trop grosse tu me défonce la chatte.

Je sentais ma queue devenir encore plus grosse, le gland enflait et me faisait mal et dans un dernier mouvement je sortais de sa chatte et me renfonçait d’un grand coup, je sentais des flots de sperme l’envahir mais je continuais à juter et à lui donner de grand coup de reins. Elle avait poussé un grand hurlement et ne bougeait plus sous moi, quand j’eus fini de me vider les couilles, je restais en elle, elle respirait difficilement, par petite saccade, sa poitrine gonflée avait du mal à se soulever. Je sortis d’elle et m’allongeais contre et lui fis quelques bisous sur les joues mais elle ne bougeait pas, je commençais à paniquer, ne sachant que faire. Elle ouvrit enfin les yeux, me regarda avec un sourire d’amour et me dit.

- Je viens de jouir comme je ne pensais pas que ce soit possible, tu es un merveilleux amant mais tu as failli me tuer à coup de bite mon chéri, je crois que mon cœur c’est arrêté de battre quelques instants tellement c’était fort.

- Ça va aller, vous voulez que l’on rentre au port ?

- Rentrer ? Tu es fou, je veux ta queue toute la nuit et il reste encore un trou que tu n’as pas fait, je veux que tu me défonce ma rondelle, j’aime trop ça et avec ton monstre tu vas m’exploser.

Elle ne mit pas longtemps à me faire reprendre vigueur, de sa bouche et des mains expertes, je la repris longuement dans sa fente, la faisant jouir plusieurs fois mais bien moins que la première, puis elle se mit en levrette la tête dans les draps et écarta ses fesses de ses deux mains.

- Met le là dedans mon cœur, prend de ma mouille et lubrifie bien le trou et ton gland et vas y au fond.

Je prenais sa mouille à la source et j’introduisais mes doigts dans son anus, un, deux, trois, sans difficultés.

- Encule moi, mais la moi à fond petit con, met moi comme une salope défonce moi, encule moi.

Je posais mon gland contre sa rondelle et d’un seul coup je l’enculais à fond, sans prendre de gant, je pensais lui avoir déchiré le cul, tellement le cri était énorme, je restais sans bouger de peur de lui faire mal.

- Encule moi, pistonne moi le cul, tu viens de me déchirer, je n'ai jamais autant eu mal de ma vie en me faisant enculer, vas y à fond.

En même temps elle se branlait le clitoris et je sentais ses doigts dans sa moule bien au fond, je ne sais pas combien de temps je la pistonnais mais je commençais à avoir mal au sexe car c’était trop serré. Je sortis enfin de son cul, elle gueulait qu’elle avait trop mal et que ça la brûlait, je m’introduisis dans sa moule bien baveuse et pistonnais le plus vite possible son con, quand enfin je sentis monter le jus, je lui repris d’un seul coup le cul et lui joui dans les entrailles.

- Ho, mon petit à moi, tu m’as baisée comme personne, comment fais tu pour tenir aussi longtemps.

- Je ne sais pas, je n’arrive pas à jouir mais ça me fait mal au gland ?

- Viens, je vais te sucer mais pour ce soir, tu me reprends la chatte si tu veux mais pas le cul, tu m’as vraiment défoncé mais c’était super bon.

Je la pris encore deux fois dans sa chatte et lui joui une fois dans la bouche car elle voulait goûter mon sperme. Nous retournions au port il était 6 h du matin, je l’avais baisée toute la nuit et défoncé tous ses trous et je n’étais plus puceau. J’avais mal à la bite, mais c’était super. Je m’endormis dans la cabine une fois le bateau amarré et c’est Christian qui me réveilla à 15 h avec sa copine.

C’était la première d’une longue série que m’envoyait Cette femme. Je n'ai bien sûr pas raconter à Christian ma nuit avec sa sœur.
J’avais compris le truc et en plus j’avais une bonne prof. Elle venait souvent me rendre visite, bien sûr en cachette de son mari, nous en avons passé des nuits incroyables tous les deux.