La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Suite de l'épisode 302 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis Edouard d’Evans quitte la Grande Salle à Manger. IL tient dans Sa main celle de Sa belle Marquise Aurore d’Evans qui marche à Ses côtés mais légèrement en retrait par déférence à son Amour de Maître. IL se dirige vers le Grand Hall de réception dans lequel le café a été servi, pièce qui vient d’être aménagée en donjon provisoire pour la suite de la réception. C’est donc avec le sourire aux coins des lèvres que le Châtelain se dirige vers ce lieu, très impatient de voir ce que son fidèle Majordome a concocté de plus comme réjouissances orgiaques et résolument D/s dans la lignée de ce banquet qui fut un vrai régal, tant pour le palais que pour le plaisir des yeux. La nuit s’annonce donc aussi merveilleuse que celles qu’a connues le Château depuis des siècles de perversions et de Domination/soumission au fil du temps et des différents Marquis d’Evans qui se sont succédés, depuis l’année 1625, tous ascendants directs du Marquis actuel.
Dans la salle qui avait été utilisée pour prendre l’apéritif, à peine quelques heures plus tôt, c’est à croire que la magie a cours au Château légendaire de la famille Evans car les transformations sont totales et il est bien difficile de reconnaître la pièce qui, précédemment, était dans des tons bleutés en harmonie avec la couleur favorite du Maître des lieux et aussi thème de la soirée anniversaire. Les grands voiles bleus qui pendaient sur les encadrements des hautes fenêtres et les bouquets bleus et blancs semblent s’être littéralement évaporés par le jeu de la mise en scène et des éclairages. Les immenses lustres en cristal taillés de Murano qui éclairaient la pièce précédemment sont plongés dans la pénombre. A cette heure de la nuit, l’ambiance aux lumières tamisées, se veut plus feutrée et plus aphrodisiaque, dans des tons chauds à base de rouge passion pour ce donjon D/s aménagé en un rien de temps. De grandes tentures noires ont été drapées sur les pourtours des murs et sont venues recouvrir les grands voiles bleus pour donner à l’endroit une teinte plus lourde et sombre, propre à la nuit et aux démons de minuit qu’elle suscite. En réalité, les tissus étaient déjà installés mais personne n’y avaient pris garde, même pas le Marquis d’Evans qui pourtant à l’œil vigilant et connaît chaque centimètre carré de cette immense demeure, dans laquelle il vit depuis le jour de sa naissance. Les toiles étaient roulées comme des voiles de bateau dans un petit rondin de tissu bleu, il a donc suffit de défaire les nœuds pour que les tissus tombent du seul fait de leur poids en se déroulant, un peu comme certains décors de théâtre, installés en couches successives. Des voilages souples légèrement irisés rouge tombent également maintenant de chacune des très hautes fenêtres qui ceinturent tout le pourtour de la salle et les paillettes dont ils sont recouverts sont autant de manière de renvoyer les lumières indirectes qui se reflètent dessus.
Dans les grands bouquets de fleurs, de longues tiges lumineuses rouges en plastique ont été installées. Elles sont remplies à l'intérieur de ce produit qui reste lumineux pendant quelques heures dès qu’on le casse et le secoue. Devant chaque fenêtre, une croix de Saint-André a été installée et au fond de la pièce, on retrouve celle qui avait été utilisée lors de la mise à feu du Château-gâteau qui était installée au centre d’une roue mobile, objet qui a été transporté pour la suite de la soirée dans cette pièce spéciale D/s, car il est évident que plusieurs Maîtresses et Maîtres vont avoir envie de tester cet ingénieux système tournant pour faire perdre la tête à quelques soumises et soumis. Le système est bien conçu, puisqu’il existe sur la croix des petits morceaux de bois qui servent également d’appui pour les pieds et pour les épaules et de calage pour le corps, si bien que la personne attachée par les nombreuses ceintures qui la maintiennent aussi sur le X ne peut pas glisser dans ses liens, et ne se retrouve pas en simple suspension de tout le poids de son corps sur les chevilles et les poignets, écartant de fait tout danger surtout lorsqu’elle se retrouve la tête en bas ou en train de tourner sur son axe comme dans un manège à sensations fortes.
Au centre de la pièce, on retrouve les équipements traditionnels qui peuvent être utilisés dans les donjons D/s, banc à fessées, cheval d’arçon, berceaux de Judas, cages diverses souvent petites et étroites. De grands porte-manteaux à roulette sur les tringles desquels sont suspendus toutes sortes de paddle, cravaches, martinets et fouets, à la disposition de tous. Et sur une desserte, une collection impressionnante de godes, plugs et autres sex-toys, animés ou non, aux formes les plus diverses qui soient, sans parler des autres objets de plaisir qui sont présents dans différentes corbeilles (œuf vibrant, gode ceinture, bougies à faire fondre, pinces à linge, bijoux de seins, menottes, crochets et anneaux, mousquetons de toutes tailles), le tout en quantité pantagruélique. Au centre de cet amas de formes phalliques, de plastique, de verre, de métal, de résine souple ou dure, de pierre dure et froide pour certaines, se trouve comme un grand bouquet multicolore des plus érotiques qui soit, une coupelle ronde de plus de 60 centimètres de large qui est illuminée par la base et dans laquelle plonge des godemichets tous phosphorescents, aux couleurs vives, avec des formes pour certains étranges, presque inhumaines par leur longueur ou leur diamètre, voire leur anatomie quand les substituts de plaisirs sont recourbés ou ondulants. Un vrai chef-d’œuvre érotique qui appelle au plaisir tant on voudrait pouvoir les essayer tous les uns après les autres, mais une nuit d’orgie n’y suffirait pas. Une autre tringle à roulette sert de support pour des chaines en métal de différentes grosseurs et longueurs ou des cordages en tout genre, sans parler de plusieurs anneaux qui pendent du plafond au bout de longues chaînes solides et réglables, qui peuvent permettre toutes sortes de contraintes ou de bondage en suspension et des portiques, pals et autres supports sur pied qui peuvent être utilisés pour toutes sortes de positions parmi les plus osées et érotisées et de pénétrations diverses. Il y a là de quoi s’amuser, se divertir et se pervertir pendant bien plus qu’une nuit orgiaque, permettant à chacun de pouvoir assouvir toutes sortes de fantasmes les plus variés.
Le Marquis d’Evans s’approche d’une petite table sur laquelle ont été dressés, à profusion pour la soirée, café, flutes à champagne et boissons rafraichissantes, mais aussi quelques mignardises préparées par Marie, qui a encore joué dans le raffinement sensuel évocateur. Les chocolats ont la forme et la couleur de pénis noirs, foncés comme de l’ébène et en contraste très suggestif, ils sont recouverts d’une petite couche de chocolat blanc sur le bout qui semble encore continuer à jaillir. Les lokoums sont en forme de seins rose, avec en leur centre un mamelon fait d’une perle de sucre rouge. On trouve également des petits sablés qui représentent des scènes d’accouplement et de fornication pour une mise en bouche très sensuelle et plus que tentatrice, car il y est bien plus question dans ces petits biscuits, de fellation, de 69, et de levrette ou de sodomie, que de coït à la missionnaire. Tout autour de la salle se trouvent des fauteuils, des chaises, des divans, des sofas bas sans dosseret, de nombreux coussins, dont certains sont assez grands pour s’allonger dessus. Chacun pourra ainsi trouver un endroit pour se mettre à l’aise, à moins qu’une des autres pièces du Château qui resteront toutes ouvertes toute la nuit ne leur paraisse plus tentante pour des ébats lubriques pluriels, loin des bruits que les instruments cinglants, mordants et pénétrant feront surgir, gémissements de plaisirs qui remplaceront très vite les premiers gémissements de douleur. La Salle à Manger permettra aussi de danser pour ceux qui voudraient profiter d'un moment plus câlin tendrement enlacés, voire d'un tango plus sulfureux, car l'orchestre jouera toute la nuit sans discontinuité.
Le Châtelain a vite été rejoint par l’ensemble de ses Invités qui l’ont suivi dans le Grand Hall par politesse d’abord, mais aussi par envie de petits jeux un peu plus excitants, et même tout à cette perversité dont ils sont tous si friands. Enfin, certains Dominants ont pris le temps de Le rejoindre au fur et à mesure en décalé, car ils avaient déjà décidé de prendre un peu d’avance sur la soirée orgiaque se faisant sucer sous la table, la chatte ou la queue, et il aurait été bien dommage d’interrompre trop tôt cette première partie de plaisirs nocturnes. D’un claquement de doigts, Walter le Majordome a ouvert les festivités D/s… Ainsi, plusieurs esclaves mâles et femelles se sont dirigés pour se positionner un à un devant chaque croix, avant d’y être attachés par d’autres, certains de face, d’autres de dos, suivant les consignes qu’ils et elles ont reçues. S’ils n’avaient pas été des esclaves dociles, ils se seraient presque « battus » pour avoir le droit et l’honneur de pouvoir être choisis et sélectionnés, car tous n’attendent que cela, le plaisir de pouvoir ressentir leur condition d’esclave au service de leur Maître, la ressentir dans leur esprit mais aussi dans leur corps qui gardera la marque des savants coups mais aussi la sensation des multiples caresses qui leur seront sans nul doute prodiguées, furent-elle seulement inquisitrices. Cependant, il y a longtemps que tous les chiens et chiennes du cheptel du Château ont été éduqués pour savoir se contenter de seulement attendre les ordres, faisant fi de leur propre désir et ils ont appris pour leur plus grande récompense à prendre plaisir à exécuter du mieux possible ce que l’on attend d’eux et exclusivement cela… C’est donc dans une obéissance totale que chacun pour la soirée a accepté le rôle imposé par Walter, qu’il s’agisse d’être un simple exécutant chargé d’installer les décors des différentes salles ou d’aider discrètement en cuisine loin des ors et des fastes de la soirée anniversaire, invisible dans les coulisses du spectacle d'apparat, ou à l’inverse d’avoir la chance de participer à la soirée orgiaque plus jouissive à la disposition totale de Monsieur le Marquis d’Evans et de tous Ses Invités, Maîtresses-Dominas renommées et Grands Maîtres reconnus.
Walter s’approche de son patron, le Marquis d’Evans, lui présentant une tasse à café et une petite coupelle avec des morceaux de sucre en forme de bouche féminine aux lèvres délicatement dessinées. Le Marquis d'Evans apprécie toujours le raffinement de ces menus détails qui rendent les soirées qu'IL organise dans son Château si uniques et si inoubliables.
- Monsieur Le Marquis, je vous laisse pour l’heure savourer Votre café que voici. Mais si Vous me le permettez, je Vous propose juste après cette dégustation de souffler Vos bougies, car il ne pourrait y avoir d’anniversaire au Château sans bougies à souffler. J’avais juste prévu que ce soit notre castrat qui chante à nouveau quelque chose pendant que Vous éteindriez chaque flamme, symboliquement pour marquer cette année de plus, qui Vous rend au fil des ans qui s’écoulent, encore plus le Vrai Maître et Dominateur de renom et de qualité que nous connaissons et admirons, mais aussi un Sage parmi les sages, ce que chacun ici reconnaît et apprécie, qu’il soit simple domestique à Votre service ou esclave entièrement dévoué à Vos ordres.
- Merci, mon fidèle Walter. Parfois, je me demande ce que je ferai si je ne vous avais pas à mes côtés, à chaque instant. Je vous remercie une fois de plus de vive-voix pour cette sublime soirée, mais aussi pour tout le reste et pour tout le temps passé à mon service. Je n’ai jamais oublié notre première rencontre et vos débuts au Château, mais je ne pensais pas alors que ce serait le début d’une si grande et si longue aventure, espérant que vous terminerez vos paisibles jours dans ces murs qui est devenu d’une certaine manière un peu aussi votre demeure, à vous et à Marie également, que je n’oublie pas en cet instant. D’ailleurs, IL me faudra prendre le temps dans la soirée d’aller la remercier personnellement car elle s’est vraiment surpassée et je dois dire que j’apprécie beaucoup. Quand à vous, Walter, je ne saurai comment exprimer une fois de plus ma joie et mon plaisir à voir tout ce que vous avez mis en œuvre pour rendre cette réception des plus mémorables. IL me tarde de découvrir la suite, et de souffler mes bougies, moi qui croyais jusqu’à cet instant que vous aviez oublié (ajoute t-IL d’un petit air malicieux car IL a été mis dans la confidence par Sa belle Aurore juste avant de quitter la Salle à Manger, mais IL ne veut rien en laisser paraître pour garder l’effet de surprise, d'autant plus qu'il n'en sait guère plus que le fait de savoir que des bougies l'attendent). Je ne vous en aurais pas voulu si vous aviez court-circuité cette formalité car il y a eu tellement de moments intenses qui auraient largement compensé l’oubli de cette tradition à laquelle je tiens à me plier chaque année, non par pure superstition bien sûr, mais par fidélité à la lignée de mes Ancêtres qui ont tous soufflé leurs anniversaires entre ces Nobles murs multi-centenaires...
Tandis que Walter s’éloigne pour vaquer à ses occupations après s’être légèrement incliné, le Marquis d’Evans s’interrompt pour porter la tasse à sa bouche et savourer le délicieux mélange spécial d’arabica qu’IL fait torréfier spécialement par une grande maison spécialisée sur Paris, qui choisit les meilleurs grains dans les contrées les plus lointaines. IL se tourne vers Sa belle marquise Aurore et porte la tasse à sa bouche également, afin qu’elle puisse à son tour se délecter de ce breuvage encore chaud, mais pas brûlant. La Marquise entrouvre ses lèvres fines et délicates, légèrement couvertes d’un ton rouge framboise mat appliqué en feutre à lèvres pour éviter qu’il ne s’estompe en mangeant et elle avale une gorgée du délicieux nectar qui diffuse encore ses arômes de café fraichement torréfié. A ses lèvres, la tasse en verre transparent ornée de dorures sur son pourtour, posée sur une sous-tasse également en verre tout autant ceinte de larges dorures peintes avec des motifs en arabesques, prend une couleur toute nouvelle par transparence, laissant deviner le rose de sa peau et le rouge de ses lèvres qui contrastent avec le noir du café servi expresso, le tout rayonnant des reflets or qui ornent ce service assez rare en France qui date des années du glorieux et riche Empire Napoléonien. Il s’agissait à l’époque, non de tasses à café, mais de tasses à sorbet, lesquels sorbets, mais aussi glaces et autres rafraichissements gelés, tels que granité et crèmes glacés ou parfaits, étaient déjà fabriquées en ce temps là à l’aide du froid procuré par de grands blocs de glace enterrés l’hiver dans de profondes glacières creusés dans les sous-bassement des châteaux et des grandes demeures, pour être ensuite ressortis à la saison chaude (il n’y avait dans ce temps reculé ni frigidaire, ni sorbetière). Il était particulièrement de bon ton de servir de délicieux sorbets rafraîchissants aux couleurs des fruits d’été, ce qui expliquait que les tasses en sorbet étaient toutes en verre pour profiter de la couleur du fruit gorgé de soleil, et qu’elles étaient dorées à l’or fin en signe de richesse de leurs heureux propriétaires qui pouvaient délecter leurs palais de quelques fraicheurs tandis que le courant des mortels (du bourgeois des villes jusqu’aux servantes ou employés de ferme) subissait la chaleur harassante du soleil, ne trouvant qu’un peu d’eau pour tenter d’épancher leur soif, dans les fontaines, quand elle n’étaient pas taries en plein été.
- Très chère Aurore, je pense que Walter t’a oubliée, mais qu’à cela ne tienne, N/nous pouvons partager la même tasse et tes lèvres se poseront là où les miennes se sont posés juste avant, et ce juste avant que N/nos lèvres ne se rejoignent dans un baiser qui mêlera les salives du Maître et de sa favorite aux senteurs de café qui imprègnent encore N/nos deux palais. J’ai envie de croquer sans attendre tes lèvres délicates aux couleurs framboise…
Le Châtelain, laissant à peine le temps à la Marquise Aurore d’Evans de déglutir la dernière gorgée de café qui se trouvait dans la tasse se penche sur elle, pour l’embrasser avec volupté, la dévorant presque, mordillant chacune de ses lèvres de petits coups de dents très sensuels, prenant possession du corps de la femme qui lui appartient et qui le regarde avec les yeux de l’Adoration et de son Amour inconditionnel qui va bien au-delà de la soumission totale qu’elle voue à son unique Maître et Seigneur. IL force les lèvres à s’entrouvrir pour les pénétrer de sa langue tendue, baiser résolument conquérant et possessif auquel elle répond en faisant tournoyer le bout de sa langue sur celle qui emplie sa bouche, comme on le ferait d’un gland mâle dans une fellation plus sexuelle. Il y a tant de sensualité dans ce baiser langoureux et voluptueux qui n’en finit pas, laissant Aurore presque sans le souffle tandis que le Marquis l’a prise fermement dans ses bras et la colle contre lui, lui écrasant les deux seins nus, qui se trouvent plaqués contre Sa poitrine bien charpentée.
- J’aime t’embrasser et je trouve toujours un goût sublime à la saveur de tes baisers, ma très belle Aurore. Et puis, tu es à Moi, toute à Moi, rien qu’à Moi pour toujours et j’aime à te le rappeler de mille et une manière. Tu es là pour mon plaisir avant tout certes, mais je sais que ton plaisir passe aussi par cela, par le fait de me savoir heureux. Je n’ai pas toujours assez de temps à te consacrer, en tout cas pas autant que je le voudrais car mes obligations m’appellent souvent ailleurs, et je sais que je te demande beaucoup d’abnégation, de dévotion et de patience, mais la place que tu as dans mon cœur n’en est pas diminuée pour autant. Ne m’avais-tu pas parlé d’un cadeau ? Il me tarde de savoir quelle est la surprise que tu m’as préparée, toi aussi. Mais je crois que je vais d’abord souffler mes bougies, que je sois sûr d’avoir un an de plus puisqu’il faut bien en passer par là (ajoute t-IL en souriant)… Et puis après, quand je vois ce magnifique décor D/s, la soirée orgiaque ne devrait pas tarder à commencer pour le plus grand plaisirs de tous …
Le Marquis fait signe à Walter pour lui faire comprendre qu’IL est prêt. IL avait juste avant d’embrasser Sa douce Marquise déposé sa tasse vide sur le plateau de l’une des soumises-dessertes qui sont revenues dans la salle pour toute la soirée, mais ayant troqué leur costume de soubrette pour de vraie tenue de fille de cabaret, nues, sexy et scintillantes, toujours affublée de leur plateaux pendus aux seins par des pinces à seins, lumineuses cette fois. Elles portent autour du cou, des poignets et des chevilles, des bijoux lumineux de couleur rouge ainsi qu’une ceinture sur laquelle sont installées des lumières LED rouges clignotantes. Elles ont dans la bouche un bâillon-boule également lumineux et rouge, faisant d’elles toutes des lumières reconnaissables qui se profileront dans la nuit dans toutes les pièces du Château, servantes prêtes à répondre aux moindres besoins des invités qui voudraient continuer à épancher leur soif ou savourer un petit délice sucré de plus, même si les ventres sont largement repus, ou même encore plus excitant pour leur condition de soumises, être et servir de réceptacle à sperme dans leur bouche, leur cul ou leur sexe…
(A suivre …)
Le Marquis Edouard d’Evans quitte la Grande Salle à Manger. IL tient dans Sa main celle de Sa belle Marquise Aurore d’Evans qui marche à Ses côtés mais légèrement en retrait par déférence à son Amour de Maître. IL se dirige vers le Grand Hall de réception dans lequel le café a été servi, pièce qui vient d’être aménagée en donjon provisoire pour la suite de la réception. C’est donc avec le sourire aux coins des lèvres que le Châtelain se dirige vers ce lieu, très impatient de voir ce que son fidèle Majordome a concocté de plus comme réjouissances orgiaques et résolument D/s dans la lignée de ce banquet qui fut un vrai régal, tant pour le palais que pour le plaisir des yeux. La nuit s’annonce donc aussi merveilleuse que celles qu’a connues le Château depuis des siècles de perversions et de Domination/soumission au fil du temps et des différents Marquis d’Evans qui se sont succédés, depuis l’année 1625, tous ascendants directs du Marquis actuel.
Dans la salle qui avait été utilisée pour prendre l’apéritif, à peine quelques heures plus tôt, c’est à croire que la magie a cours au Château légendaire de la famille Evans car les transformations sont totales et il est bien difficile de reconnaître la pièce qui, précédemment, était dans des tons bleutés en harmonie avec la couleur favorite du Maître des lieux et aussi thème de la soirée anniversaire. Les grands voiles bleus qui pendaient sur les encadrements des hautes fenêtres et les bouquets bleus et blancs semblent s’être littéralement évaporés par le jeu de la mise en scène et des éclairages. Les immenses lustres en cristal taillés de Murano qui éclairaient la pièce précédemment sont plongés dans la pénombre. A cette heure de la nuit, l’ambiance aux lumières tamisées, se veut plus feutrée et plus aphrodisiaque, dans des tons chauds à base de rouge passion pour ce donjon D/s aménagé en un rien de temps. De grandes tentures noires ont été drapées sur les pourtours des murs et sont venues recouvrir les grands voiles bleus pour donner à l’endroit une teinte plus lourde et sombre, propre à la nuit et aux démons de minuit qu’elle suscite. En réalité, les tissus étaient déjà installés mais personne n’y avaient pris garde, même pas le Marquis d’Evans qui pourtant à l’œil vigilant et connaît chaque centimètre carré de cette immense demeure, dans laquelle il vit depuis le jour de sa naissance. Les toiles étaient roulées comme des voiles de bateau dans un petit rondin de tissu bleu, il a donc suffit de défaire les nœuds pour que les tissus tombent du seul fait de leur poids en se déroulant, un peu comme certains décors de théâtre, installés en couches successives. Des voilages souples légèrement irisés rouge tombent également maintenant de chacune des très hautes fenêtres qui ceinturent tout le pourtour de la salle et les paillettes dont ils sont recouverts sont autant de manière de renvoyer les lumières indirectes qui se reflètent dessus.
Dans les grands bouquets de fleurs, de longues tiges lumineuses rouges en plastique ont été installées. Elles sont remplies à l'intérieur de ce produit qui reste lumineux pendant quelques heures dès qu’on le casse et le secoue. Devant chaque fenêtre, une croix de Saint-André a été installée et au fond de la pièce, on retrouve celle qui avait été utilisée lors de la mise à feu du Château-gâteau qui était installée au centre d’une roue mobile, objet qui a été transporté pour la suite de la soirée dans cette pièce spéciale D/s, car il est évident que plusieurs Maîtresses et Maîtres vont avoir envie de tester cet ingénieux système tournant pour faire perdre la tête à quelques soumises et soumis. Le système est bien conçu, puisqu’il existe sur la croix des petits morceaux de bois qui servent également d’appui pour les pieds et pour les épaules et de calage pour le corps, si bien que la personne attachée par les nombreuses ceintures qui la maintiennent aussi sur le X ne peut pas glisser dans ses liens, et ne se retrouve pas en simple suspension de tout le poids de son corps sur les chevilles et les poignets, écartant de fait tout danger surtout lorsqu’elle se retrouve la tête en bas ou en train de tourner sur son axe comme dans un manège à sensations fortes.
Au centre de la pièce, on retrouve les équipements traditionnels qui peuvent être utilisés dans les donjons D/s, banc à fessées, cheval d’arçon, berceaux de Judas, cages diverses souvent petites et étroites. De grands porte-manteaux à roulette sur les tringles desquels sont suspendus toutes sortes de paddle, cravaches, martinets et fouets, à la disposition de tous. Et sur une desserte, une collection impressionnante de godes, plugs et autres sex-toys, animés ou non, aux formes les plus diverses qui soient, sans parler des autres objets de plaisir qui sont présents dans différentes corbeilles (œuf vibrant, gode ceinture, bougies à faire fondre, pinces à linge, bijoux de seins, menottes, crochets et anneaux, mousquetons de toutes tailles), le tout en quantité pantagruélique. Au centre de cet amas de formes phalliques, de plastique, de verre, de métal, de résine souple ou dure, de pierre dure et froide pour certaines, se trouve comme un grand bouquet multicolore des plus érotiques qui soit, une coupelle ronde de plus de 60 centimètres de large qui est illuminée par la base et dans laquelle plonge des godemichets tous phosphorescents, aux couleurs vives, avec des formes pour certains étranges, presque inhumaines par leur longueur ou leur diamètre, voire leur anatomie quand les substituts de plaisirs sont recourbés ou ondulants. Un vrai chef-d’œuvre érotique qui appelle au plaisir tant on voudrait pouvoir les essayer tous les uns après les autres, mais une nuit d’orgie n’y suffirait pas. Une autre tringle à roulette sert de support pour des chaines en métal de différentes grosseurs et longueurs ou des cordages en tout genre, sans parler de plusieurs anneaux qui pendent du plafond au bout de longues chaînes solides et réglables, qui peuvent permettre toutes sortes de contraintes ou de bondage en suspension et des portiques, pals et autres supports sur pied qui peuvent être utilisés pour toutes sortes de positions parmi les plus osées et érotisées et de pénétrations diverses. Il y a là de quoi s’amuser, se divertir et se pervertir pendant bien plus qu’une nuit orgiaque, permettant à chacun de pouvoir assouvir toutes sortes de fantasmes les plus variés.
Le Marquis d’Evans s’approche d’une petite table sur laquelle ont été dressés, à profusion pour la soirée, café, flutes à champagne et boissons rafraichissantes, mais aussi quelques mignardises préparées par Marie, qui a encore joué dans le raffinement sensuel évocateur. Les chocolats ont la forme et la couleur de pénis noirs, foncés comme de l’ébène et en contraste très suggestif, ils sont recouverts d’une petite couche de chocolat blanc sur le bout qui semble encore continuer à jaillir. Les lokoums sont en forme de seins rose, avec en leur centre un mamelon fait d’une perle de sucre rouge. On trouve également des petits sablés qui représentent des scènes d’accouplement et de fornication pour une mise en bouche très sensuelle et plus que tentatrice, car il y est bien plus question dans ces petits biscuits, de fellation, de 69, et de levrette ou de sodomie, que de coït à la missionnaire. Tout autour de la salle se trouvent des fauteuils, des chaises, des divans, des sofas bas sans dosseret, de nombreux coussins, dont certains sont assez grands pour s’allonger dessus. Chacun pourra ainsi trouver un endroit pour se mettre à l’aise, à moins qu’une des autres pièces du Château qui resteront toutes ouvertes toute la nuit ne leur paraisse plus tentante pour des ébats lubriques pluriels, loin des bruits que les instruments cinglants, mordants et pénétrant feront surgir, gémissements de plaisirs qui remplaceront très vite les premiers gémissements de douleur. La Salle à Manger permettra aussi de danser pour ceux qui voudraient profiter d'un moment plus câlin tendrement enlacés, voire d'un tango plus sulfureux, car l'orchestre jouera toute la nuit sans discontinuité.
Le Châtelain a vite été rejoint par l’ensemble de ses Invités qui l’ont suivi dans le Grand Hall par politesse d’abord, mais aussi par envie de petits jeux un peu plus excitants, et même tout à cette perversité dont ils sont tous si friands. Enfin, certains Dominants ont pris le temps de Le rejoindre au fur et à mesure en décalé, car ils avaient déjà décidé de prendre un peu d’avance sur la soirée orgiaque se faisant sucer sous la table, la chatte ou la queue, et il aurait été bien dommage d’interrompre trop tôt cette première partie de plaisirs nocturnes. D’un claquement de doigts, Walter le Majordome a ouvert les festivités D/s… Ainsi, plusieurs esclaves mâles et femelles se sont dirigés pour se positionner un à un devant chaque croix, avant d’y être attachés par d’autres, certains de face, d’autres de dos, suivant les consignes qu’ils et elles ont reçues. S’ils n’avaient pas été des esclaves dociles, ils se seraient presque « battus » pour avoir le droit et l’honneur de pouvoir être choisis et sélectionnés, car tous n’attendent que cela, le plaisir de pouvoir ressentir leur condition d’esclave au service de leur Maître, la ressentir dans leur esprit mais aussi dans leur corps qui gardera la marque des savants coups mais aussi la sensation des multiples caresses qui leur seront sans nul doute prodiguées, furent-elle seulement inquisitrices. Cependant, il y a longtemps que tous les chiens et chiennes du cheptel du Château ont été éduqués pour savoir se contenter de seulement attendre les ordres, faisant fi de leur propre désir et ils ont appris pour leur plus grande récompense à prendre plaisir à exécuter du mieux possible ce que l’on attend d’eux et exclusivement cela… C’est donc dans une obéissance totale que chacun pour la soirée a accepté le rôle imposé par Walter, qu’il s’agisse d’être un simple exécutant chargé d’installer les décors des différentes salles ou d’aider discrètement en cuisine loin des ors et des fastes de la soirée anniversaire, invisible dans les coulisses du spectacle d'apparat, ou à l’inverse d’avoir la chance de participer à la soirée orgiaque plus jouissive à la disposition totale de Monsieur le Marquis d’Evans et de tous Ses Invités, Maîtresses-Dominas renommées et Grands Maîtres reconnus.
Walter s’approche de son patron, le Marquis d’Evans, lui présentant une tasse à café et une petite coupelle avec des morceaux de sucre en forme de bouche féminine aux lèvres délicatement dessinées. Le Marquis d'Evans apprécie toujours le raffinement de ces menus détails qui rendent les soirées qu'IL organise dans son Château si uniques et si inoubliables.
- Monsieur Le Marquis, je vous laisse pour l’heure savourer Votre café que voici. Mais si Vous me le permettez, je Vous propose juste après cette dégustation de souffler Vos bougies, car il ne pourrait y avoir d’anniversaire au Château sans bougies à souffler. J’avais juste prévu que ce soit notre castrat qui chante à nouveau quelque chose pendant que Vous éteindriez chaque flamme, symboliquement pour marquer cette année de plus, qui Vous rend au fil des ans qui s’écoulent, encore plus le Vrai Maître et Dominateur de renom et de qualité que nous connaissons et admirons, mais aussi un Sage parmi les sages, ce que chacun ici reconnaît et apprécie, qu’il soit simple domestique à Votre service ou esclave entièrement dévoué à Vos ordres.
- Merci, mon fidèle Walter. Parfois, je me demande ce que je ferai si je ne vous avais pas à mes côtés, à chaque instant. Je vous remercie une fois de plus de vive-voix pour cette sublime soirée, mais aussi pour tout le reste et pour tout le temps passé à mon service. Je n’ai jamais oublié notre première rencontre et vos débuts au Château, mais je ne pensais pas alors que ce serait le début d’une si grande et si longue aventure, espérant que vous terminerez vos paisibles jours dans ces murs qui est devenu d’une certaine manière un peu aussi votre demeure, à vous et à Marie également, que je n’oublie pas en cet instant. D’ailleurs, IL me faudra prendre le temps dans la soirée d’aller la remercier personnellement car elle s’est vraiment surpassée et je dois dire que j’apprécie beaucoup. Quand à vous, Walter, je ne saurai comment exprimer une fois de plus ma joie et mon plaisir à voir tout ce que vous avez mis en œuvre pour rendre cette réception des plus mémorables. IL me tarde de découvrir la suite, et de souffler mes bougies, moi qui croyais jusqu’à cet instant que vous aviez oublié (ajoute t-IL d’un petit air malicieux car IL a été mis dans la confidence par Sa belle Aurore juste avant de quitter la Salle à Manger, mais IL ne veut rien en laisser paraître pour garder l’effet de surprise, d'autant plus qu'il n'en sait guère plus que le fait de savoir que des bougies l'attendent). Je ne vous en aurais pas voulu si vous aviez court-circuité cette formalité car il y a eu tellement de moments intenses qui auraient largement compensé l’oubli de cette tradition à laquelle je tiens à me plier chaque année, non par pure superstition bien sûr, mais par fidélité à la lignée de mes Ancêtres qui ont tous soufflé leurs anniversaires entre ces Nobles murs multi-centenaires...
Tandis que Walter s’éloigne pour vaquer à ses occupations après s’être légèrement incliné, le Marquis d’Evans s’interrompt pour porter la tasse à sa bouche et savourer le délicieux mélange spécial d’arabica qu’IL fait torréfier spécialement par une grande maison spécialisée sur Paris, qui choisit les meilleurs grains dans les contrées les plus lointaines. IL se tourne vers Sa belle marquise Aurore et porte la tasse à sa bouche également, afin qu’elle puisse à son tour se délecter de ce breuvage encore chaud, mais pas brûlant. La Marquise entrouvre ses lèvres fines et délicates, légèrement couvertes d’un ton rouge framboise mat appliqué en feutre à lèvres pour éviter qu’il ne s’estompe en mangeant et elle avale une gorgée du délicieux nectar qui diffuse encore ses arômes de café fraichement torréfié. A ses lèvres, la tasse en verre transparent ornée de dorures sur son pourtour, posée sur une sous-tasse également en verre tout autant ceinte de larges dorures peintes avec des motifs en arabesques, prend une couleur toute nouvelle par transparence, laissant deviner le rose de sa peau et le rouge de ses lèvres qui contrastent avec le noir du café servi expresso, le tout rayonnant des reflets or qui ornent ce service assez rare en France qui date des années du glorieux et riche Empire Napoléonien. Il s’agissait à l’époque, non de tasses à café, mais de tasses à sorbet, lesquels sorbets, mais aussi glaces et autres rafraichissements gelés, tels que granité et crèmes glacés ou parfaits, étaient déjà fabriquées en ce temps là à l’aide du froid procuré par de grands blocs de glace enterrés l’hiver dans de profondes glacières creusés dans les sous-bassement des châteaux et des grandes demeures, pour être ensuite ressortis à la saison chaude (il n’y avait dans ce temps reculé ni frigidaire, ni sorbetière). Il était particulièrement de bon ton de servir de délicieux sorbets rafraîchissants aux couleurs des fruits d’été, ce qui expliquait que les tasses en sorbet étaient toutes en verre pour profiter de la couleur du fruit gorgé de soleil, et qu’elles étaient dorées à l’or fin en signe de richesse de leurs heureux propriétaires qui pouvaient délecter leurs palais de quelques fraicheurs tandis que le courant des mortels (du bourgeois des villes jusqu’aux servantes ou employés de ferme) subissait la chaleur harassante du soleil, ne trouvant qu’un peu d’eau pour tenter d’épancher leur soif, dans les fontaines, quand elle n’étaient pas taries en plein été.
- Très chère Aurore, je pense que Walter t’a oubliée, mais qu’à cela ne tienne, N/nous pouvons partager la même tasse et tes lèvres se poseront là où les miennes se sont posés juste avant, et ce juste avant que N/nos lèvres ne se rejoignent dans un baiser qui mêlera les salives du Maître et de sa favorite aux senteurs de café qui imprègnent encore N/nos deux palais. J’ai envie de croquer sans attendre tes lèvres délicates aux couleurs framboise…
Le Châtelain, laissant à peine le temps à la Marquise Aurore d’Evans de déglutir la dernière gorgée de café qui se trouvait dans la tasse se penche sur elle, pour l’embrasser avec volupté, la dévorant presque, mordillant chacune de ses lèvres de petits coups de dents très sensuels, prenant possession du corps de la femme qui lui appartient et qui le regarde avec les yeux de l’Adoration et de son Amour inconditionnel qui va bien au-delà de la soumission totale qu’elle voue à son unique Maître et Seigneur. IL force les lèvres à s’entrouvrir pour les pénétrer de sa langue tendue, baiser résolument conquérant et possessif auquel elle répond en faisant tournoyer le bout de sa langue sur celle qui emplie sa bouche, comme on le ferait d’un gland mâle dans une fellation plus sexuelle. Il y a tant de sensualité dans ce baiser langoureux et voluptueux qui n’en finit pas, laissant Aurore presque sans le souffle tandis que le Marquis l’a prise fermement dans ses bras et la colle contre lui, lui écrasant les deux seins nus, qui se trouvent plaqués contre Sa poitrine bien charpentée.
- J’aime t’embrasser et je trouve toujours un goût sublime à la saveur de tes baisers, ma très belle Aurore. Et puis, tu es à Moi, toute à Moi, rien qu’à Moi pour toujours et j’aime à te le rappeler de mille et une manière. Tu es là pour mon plaisir avant tout certes, mais je sais que ton plaisir passe aussi par cela, par le fait de me savoir heureux. Je n’ai pas toujours assez de temps à te consacrer, en tout cas pas autant que je le voudrais car mes obligations m’appellent souvent ailleurs, et je sais que je te demande beaucoup d’abnégation, de dévotion et de patience, mais la place que tu as dans mon cœur n’en est pas diminuée pour autant. Ne m’avais-tu pas parlé d’un cadeau ? Il me tarde de savoir quelle est la surprise que tu m’as préparée, toi aussi. Mais je crois que je vais d’abord souffler mes bougies, que je sois sûr d’avoir un an de plus puisqu’il faut bien en passer par là (ajoute t-IL en souriant)… Et puis après, quand je vois ce magnifique décor D/s, la soirée orgiaque ne devrait pas tarder à commencer pour le plus grand plaisirs de tous …
Le Marquis fait signe à Walter pour lui faire comprendre qu’IL est prêt. IL avait juste avant d’embrasser Sa douce Marquise déposé sa tasse vide sur le plateau de l’une des soumises-dessertes qui sont revenues dans la salle pour toute la soirée, mais ayant troqué leur costume de soubrette pour de vraie tenue de fille de cabaret, nues, sexy et scintillantes, toujours affublée de leur plateaux pendus aux seins par des pinces à seins, lumineuses cette fois. Elles portent autour du cou, des poignets et des chevilles, des bijoux lumineux de couleur rouge ainsi qu’une ceinture sur laquelle sont installées des lumières LED rouges clignotantes. Elles ont dans la bouche un bâillon-boule également lumineux et rouge, faisant d’elles toutes des lumières reconnaissables qui se profileront dans la nuit dans toutes les pièces du Château, servantes prêtes à répondre aux moindres besoins des invités qui voudraient continuer à épancher leur soif ou savourer un petit délice sucré de plus, même si les ventres sont largement repus, ou même encore plus excitant pour leur condition de soumises, être et servir de réceptacle à sperme dans leur bouche, leur cul ou leur sexe…
(A suivre …)
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