La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Suite de l'épisode 306 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis Edouard d’Evans vient de se retourner vers sa ravissante Aurore, dont les yeux sont emplis de bonheur et de dévotion, pour lui prendre la main en lui proposant d’aller enfin ouvrir son cadeau. Tout Grand Maître qu’IL est, le Marquis en n’a pas moins l’œil pétillant de désir et de curiosité, comme le sont les enfants à Noël, à l’idée de découvrir ce qui se cache dans le paquet qu’IL a aperçu et qui contient le présent choisi par Sa très belle Marquise, qui est et reste Sa favorite de toutes les soumises du Noble Dominant. Walter le Majordome, dont l’œil est aguerri à devancer les moindres attentes de Celui qu’il sert si fidèlement depuis de si nombreuses années, s’approche du Châtelain et c’est avec la délicatesse d’un domestique avéré qu’il lui exprime :
- Monsieur le Marquis, si Vous voulez me le permettre, je vais faire avancer et disposer le paquet cadeau de Madame la Marquise pour que Vous puissiez l’ouvrir et en découvrir le contenu.
D’un claquement de doigt, le Majordome fait signe aux deux esclaves qui, telles des colonnes humaines immobiles, étaient restés debout de part et d’autre de la table desserte qu’ils avaient déplacée et sur laquelle se trouve toujours le fameux colis empaqueté dans un papier scintillant bleu avec un grand nœud doré, et une inscription dessinée à la main en relief sur lequel on peut lire distinctement « A mon Amour de Maître » signée « Marquise Aurore d’Evans ». Les deux statues, toutes recouvertes d’argent pour la soirée comme l’ensemble des esclaves mâles du cheptel, s’animent enfin sur ce simple geste du doigt, s’approchent, s’inclinent respectueusement devant Monsieur le Marquis d’Evans et comprennent au doigt pointé de Walter qui leur désigne le sol, qu’elles doivent se mettre sans tarder à genoux devant le Châtelain. Walter du bout de sa cravache rectifie la position pour les forcer à se courber à quatre pattes, tête rentrée entre les épaules et le dos droit, jambes écartées ce qui fait saillir leur belle croupe toujours pluguée, laissant dépasser le cabochon portant les Armoiries de la Noble Famille Evans. Le Majordome n’hésite pas à donner deux petits coups cinglants sur l’échine de celui qui a mis le plus de temps pour réagir et se positionner correctement. Il s’approche ensuite de Thaïs qui était restée à quatre pattes, telle une bonne chienne fidèle, juste derrière son Maître depuis que ce dernier avait rejoint le Grand Hall de réception. Walter attrape la laisse de la chienne soumise et tirant dessus fortement, il ajoute :
- Viens par-là, toi, la chienne ! Tu feras un très bon plateau pour supporter le cadeau. Ces deux espèces de gros chiens bâtards ne sont pas à la hauteur, ni à la bonne hauteur et je ne veux pas poser un sublime paquet sur leurs couennes endurcies par les coups et leur dur labeur quotidien dans les jardins du Château.
Walter attrape Thaïs par les cheveux et les tirant à lui, il l’oblige à grimper sur le dos des deux esclaves mâles, distants de plus de 50 cm, sur lesquels elle se retrouve pratiquement allongée perpendiculairement, face contre terre, sa tête et ses pieds dépassant de chaque côté dans le vide, tout comme la partie médiane de son corps qui se trouve entre les deux chiens esclaves à quatre pattes qui n’a rien pour la supporter. La position est instable et Thaïs craint de tomber surtout que Walter vient de lui attraper les mains pour les rabattre derrière la nuque, attachées ensemble et reliées à son collier de soumise. Il l’a obligé à baisser la tête pour regarder vers le sol et s’approchant de son oreille, d’un ton glacial, il ajoute.
- Reste immobile, le dos très droit, chienne. On dirait un truc mou qui ploie sous son propre poids et non une vraie table humaine posée sur deux chiens tréteaux. Contracte tes muscles surtout au milieu, au niveau des abdominaux pour rester bien rigide tout le temps qu’il faudra. Je n’ose imaginer que tu aurais l’affront de laisser tomber le superbe cadeau pour Monsieur le Marquis d’Evans que je vais poser sur ton dos. Alors soit forte pour assumer ton rôle de table de salon.
Sous le regard amusé du Noble, Walter donne plusieurs petits coups du bout de sa cravache sur le ventre de Thaïs, pour lui faire comprendre qu’elle doit se redresser au maximum, tendre ses muscles pour devenir aussi dure qu’une planche. Puis, il se recule pour attraper le gros paquet carré, qui fait bien 40 cm de côté et une bonne quinzaine de haut. Mais pour Thaïs, le plus surprenant reste le poids de plusieurs kilos que le Majordome vient de lui mettre sur le dos qui l’oblige à rester contractée pour résister à l’envie presque naturelle de s’affaisser, poids d’autant plus important que Walter a déjà posé en premier un plateau de verre sur le dos de Thaïs afin de protéger l’objet sur une surface ainsi aplanie, vu aussi qu’elle est nue et que son corps est peint en doré, ce qui pourrait tâcher même si normalement cette peinture spéciale à usage corporel n’est pas censée baver et salir, ne pouvant partir qu’avec un bon nettoyage à l’eau claire. Thaïs a du mal à garder la position instable dans laquelle elle se trouve, position qui tire sur ses muscles, comme elle ne repose que sur les deux dos espacés des chiens soumis immobiles, mais elle est aussi particulièrement ravie et honorée de servir de support humain pour présenter le fameux cadeau. Sachant qu’elle sera de fait en permanence sous les yeux attentifs de son Maître, elle sent une certaine excitation qui la dépasse et la gêne un peu car elle ne voudrait pas que son bas-ventre humide ne vienne la trahir et perturber cet instant important pendant lequel elle ne tient que le rôle de simple meuble plateau. Elle ferme donc les yeux pour se concentrer afin de bouger le moins possible et de tenter de laisser tomber l’excitation qui a envahi son corps tout entier, et ceci d’autant plus qu’elle entend le souffle de son Maître juste à côté et qu’elle peut humer distinctement les odeurs de Son parfum favori qui ne s’est pas encore dissipé.
- Ainsi donc, Ma très belle Aurore, ceci est ton cadeau. Je veux bien le recevoir de ta part, car j’aime tout particulièrement les attentions délicates de toutes Mes soumises, les tiennes en particulier, parce que cela me touche toujours par-delà la dévotion et l’Amour que tu me portes, ainsi que tous ceux qui sont sous mon joug. Je te laisse le déballer, puisque tu sais ce qu’il y a dedans. C’est Mon plaisir de te regarder faire avec attention et impatience et tu sais bien à quel point J’aime les surprises.
La Marquise Aurore d’Evans aurait bien aimé que son Maître ouvre lui-même le paquet pour pouvoir justement voir son visage émerveillé, mais IL en a décidé autrement et elle n’ose surtout pas Le contredire. Elle s’approche alors du paquet cadeau qu’elle défait comme on l’aurait fait d’une fleur que l’on effeuille, commençant par le nœud à ouvrir, puis le papier scintillant bleu. A l’intérieur, se trouve un papier de soie bleue en plusieurs épaisseurs qu’elle entrouvre également feuille à feuille, très sensuellement pour laisser enfin apparaître le contenu. Au départ, le Marquis d’Evans n’aperçoit qu’une planche de bois, car les fins papiers d’emballage entourent encore l’objet qu’IL découvre peu à peu en s’approchant encore plus. Il s’agit d’un grand et très épais livre à couverture de bois verni flanqué de magnifiques dorures ciselées et papier épais de parchemin, avec une bande reliure faite en cuir de qualité, qui ressemble à un de ces grimoires du Moyen-Age. La fermeture est composée de deux grandes barres de métal assombri et qui viennent se rabattre sur le beau bois en haut et en bas et qui sont ensuite terminées par un anneau ciselé lui aussi, anneau en demi-arc de cercle dans lequel passe en les traversant une sorte de grande goupille de fer forgé. Au centre, entourée par du vitrail multicolore, serti dans l’épaisseur du bois, se trouve une peinture faite sur verre d’une femme nue, si belle qu’on pourrait croire une Venus antique. Le nom du « Marquis d’Evans » est écrit en lettres d’Or légèrement gravées dans le bois qui a été ensuite doré à la feuille et il est surmonté d’une couronne de Marquisat qui a été estampillée dans le bois lui-même. Elle est plaquée or garnie de cabochons ovales et trapèzes en pierres dures d’opale bleue et de lapis lazuli. Cette couronne est surmontée de trois fleurons et entre se trouvent six perles fines blanches disposées en tierce. Toutes les pierreries sont serties et légèrement incrustées dans la masse du bois teinté car c’est de la loupe d’orme, un bois très précieux presque en voie de disparition, connu pour ses remarquables dessins formés par toutes les excroissances concentriques des branches ce qui donne sur la surface du bois des dessins inimitables. Tout en bas, toujours en magnifiques lettres d’or, le titre apparait : « Les 12 servitudes d’Hélène ».
Le Marquis s’approche de l’objet, précieux déjà rien que par sa remarquable couverture. IL est surtout intrigué de découvrir ce qui se trouve à l’intérieur. Jetant un œil brillant de bonheur sur celle qui se tient à Ses côtés et qui s’est écartée pour le laisser approcher, IL défait la fermeture qui ressemble presque à un loquet de serrure à l’ancienne, très symbolique au demeurant pour cette œuvre mythologique qui raconte les servitudes de la belle Hélène devenue éta amnésique, par la Volonté des Dieux pour la punir de sa trop grande beauté et de la guerre de Troie qui survint par sa faute. La première page à l’intérieur reprend le titre de l’ouvrage en lettres d’or calligraphiées, des enluminures à volutes bleues et or qui bordent la page, et la mention calligraphiée « Ouvrage écrit par Monsieur le Marquis Edouard d’Evans ». Les textes écrits par le Châtelain ont été imprimés sur des papiers légèrement teintés puis collés au centre de chaque page parchemin de droite. Ils sont entourés d’un liseré plus sombre, rehaussé de doré et assorti aux 12 couleurs de papier, qui au fil des 12 servitudes change de coloris en suivant le déroulé de l’arc-en-ciel et de l’histoire. Toutes les pages de gauche sont également de vrais trésors en soi, car elles sont décorées d’images, de dessins, de peintures, de gravure, de mises en formes diverses, faisant de cet ouvrage un véritable livre illustré savamment. Le Marquis intrigué fait défiler les pages avec beaucoup de précaution comme s’IL avait manié les pages de la première bible imprimée par Gutenberg. IL s’aperçoit que les dernières pages sont encore vierges (et pour cause puisque le texte est toujours encore en cours de rédaction). IL sourit chaleureusement et tend le bras pour prendre la main de la Marquise Aurore d’Evans qu’il porte à sa bouche afin d’y déposer un tendre baiser.
- C’est un merveilleux cadeau. Je suis vraiment très touché et très ému de savoir que tu aimes tant mes textes, au point que tu aies voulu les mettre dans un si précieux écrin pareil … (et sur un ton plus plaisantin, IL ajoute) … mais il me semble que je n’ai que la moitié de mon cadeau aujourd’hui … les dernières pages sont encore vierges ! Est-ce à dire qu’il va me falloir me mettre sans tarder à mon écritoire si je veux que tu puisses terminer ton ouvrage ? Et moi le mien !
- Mon Amour de Maître, je n’ai pas voulu attendre que Vous ayez terminé la rédaction de Votre merveilleux récit pour Vous offrir ce cadeau. Il est bien dans mon intention de le remplir jusqu’au bout mais Votre anniversaire tombait en ce jour, et je ne voulais pas en différer la surprise. Je suis si contente de voir que mon idée vous satisfait.
- Oui, cela me plait vraiment beaucoup. D’ailleurs, tu ne peux pas savoir à quel point, je trouve ce cadeau absolument merveilleux, une véritable reconnaissance de mon œuvre littéraire…
Et le Noble la regarde avec des yeux tendres tout en prenant à nouveau la main de Sa Marquise qu’IL pose maintenant sur Sa poitrine à l’endroit du cœur, comme s’IL voulait qu’elle en ressente les battements. Tout en lui faisant un baiser sur ses douces lèvres, il rajoute sur un ton amoureux :
- Je passerai la fin de la nuit dans tes bras avec toi. Et nous feuillèterons aussi ensemble ce magnifique grimoire dans notre chambre car j’ai vraiment envie de découvrir chacune des pages que tu as su créer pour illustrer mon récit. Et puis, ce livre est fragile et précieux à mes yeux. Je ne vais donc l’ouvrir ici car je ne voudrais pas prendre le risque qu’il soit abimé pendant cette soirée qui s’annonce plus chaude et coulante, nuit promettant de nombreux ébats orgiaques que je ne veux surtout pas manquer, pas plus qu’un peu d’excitation perverse et D/s qui me mettra en forme pour le reste de la nuit entre tes bras exquis, dans notre lit nuptial et que j’ai hâte de retrouver… Mais pour l’instant, Je me dois avant tout à Mes invités pour ce soir.
Le Marquis se retournant aperçoit alors, Philippe, Son fidèle second sur le plan professionnel, qui est revenu dans la pièce, ses fesses soignées gardent encore la trace des piqures d’aiguilles qui servaient de support aux bougies, mais visiblement son postérieur a l’air de s’être bien remis de sa petite transformation momentanée en hérisson flambant. Il s’approche de celui qui est son Maître tout autant que son PDG et s’incline respectueusement pour attraper la main du Noble sur laquelle il dépose un baiser en signe d’allégeance totale sans cesse renouvelée.
- Ah ! Te voilà toi. Bien remis de tes émotions brûlantes ? Tu étais très beau en gâteau d’anniversaire humain garni de bougies que j’ai dû éteindre de ma ‘’Noble lance à incendie’’. Je suppose que l’idée de t’utiliser dans cette petite mise en scène vient de ce cher Walter qui a toujours beaucoup d’imagination pour ce genre de petits délices qui Me ravissent. Je dois avouer que cela Me fait plaisir que tu sois là, sauf que Je regrette un peu que tu n’aies pas songé à prévenir « ton patron » que tu quittais ton poste cet après-midi pour une soirée privée. Mais Je pense qu’IL te pardonnera assez aisément cette omission volontaire pour la bonne cause et l’obligation de garder le secret pour Lui faire une surprise … mais c’est bien le seul secret que Je te tolère, soit-en certain. Nous parlerons boulot demain si tu le veux bien. A propos, as-tu fait bonne route ?
- Oui Maître Vénéré, merci beaucoup. Je suis à Votre entière disposition dès demain pour le travail et dès à présent pour la soirée. Disposez de moi à Votre convenance. Je suis toujours l’un de Vos plus fidèles esclaves soucieux de Vous satisfaire en tous points, pour Votre bon plaisir avant tout.
- Je le sais et Je t’en sais gré. Mais tes fesses ont suffisamment pris pour la soirée. Bien au contraire, Je voudrais que tu puisses goûter à satiété pendant quelques heures à certains petits plaisirs de mâle, car tu me sers très loyalement depuis des années et J’aime aussi pouvoir récompenser ceux qui me sont fidèles et dévoués. C’est une des prérogatives du Maître mais aussi une de ses obligations de Dominant que de pouvoir à la fois punir sévèrement quand il le faut et tout autant gratifier ce qui se doit de l’être.
Le Châtelain s’approche de Philippe qui spontanément baisse la tête, car il a gardé une grande déférence qu’il continue à exprimer envers celui pour lequel il travaille au quotidien, ayant même parfois du mal à ne pas s’incliner dans certaines réunions professionnelles en présence d’étrangers tant cela est dans sa nature profonde. Le Marquis attrape la cage de chasteté qui enserre le sexe de son ancien soumis dont il avait été paré comme pour l’ensemble des esclaves mâles décorés et contraints pour la soirée, jusqu’à ce que le Maître des lieux ou un des Dominants invités décide qu’il en serait autrement. Le PDG et Maître, usant du pouvoir qu’IL détient sur celui qui reste Son fidèle esclave avant d’être Son second, ouvre la petite parure en acier et la retire, laissant sortir à l’air libre une petite queue toute rabougrie d’avoir été maintenue comprimée.
- Garde encore un peu ton plug entre les fesses, cela devrait augmenter ton plaisir. Et puis Je suis sûr que la belle Thaïs que nous avons à portée de mains et de queues, saura bien te rendre une forme plus acceptable sans tarder. Elle ne doit pas demander mieux, si J’en juge par l’humidité que Je vois poindre entre ses cuisses.
Le Marquis se positionne entre les jambes de Sa soumise qu’IL écarte largement pour pouvoir se glisser au plus près. Thaïs manque de tomber car elle est en équilibre précaire sur le dos des deux esclaves mâles qui n’ont toujours pas bougé d’un pouce, position d’autant plus instable qu’elle a toujours les mains liées dans la nuque ce qui l’empêche de s’en servir de balancier pour garder l’équilibre ou se rattraper. Elle supporte aussi toujours le plateau en verre mais sans le grimoire et son emballage qui ont été mis à l’abri par la Marquise elle-même et ceci par pure précaution sous le regard approbateur de son Maître. Un claquement de doigts suffit pour faire disparaître aussi le plateau de verre du dos de Thaïs quand le Noble a immédiatement attrapé Thaïs avant qu’elle ne tombe, l’a remettant d’aplomb. Sans plus attendre, IL dégrafe sa braguette pour laisser sortir un vit déjà gonflé et dur, tant IL est mentalement et physiquement excité par la vue de sa chienne offerte à Son bon plaisir, mais aussi les premiers claquements de fouets et autres bruits de cravaches qui ont déjà envahi le donjon, auxquels se mêlent les nombreux soupirs empreints de douleur et de douceur qui montent de partout dans la salle. D’un signe de la main, IL a invité Philippe à s’approcher du visage de Thaïs. :
- Ma belle chienne, je veux que tu redonnes un peu de vigueur à ce cher Philippe et aussi du plaisir. Je pense qu’il l’a bien mérité pour ce soir de pouvoir éjaculer et surtout se vider les couilles qui doivent être bien pleines. D’ailleurs, Je pense que tu dois lui être reconnaissante car c’est lui qui a dirigé ta société la première semaine où tu étais venue au château pour ton dressage. C’est une manière comme une autre de lui dire merci, ce que tu n’as pas encore vraiment fait de cette manière-là. Et puis, Je dois dire que J’aime bien savoir que pendant que Je vais t’enculer, un autre sur Mes ordres te baise la bouche de concert et que tu peux te sentir encore plus possédée par Moi directement et indirectement.
Thaïs ouvre la bouche sans attendre prête à accueillir le sexe de Philippe, mais elle s’aperçoit vite en ouvrant les yeux et en relevant un peu la tête que celui-ci est encore minuscule d’avoir été maintenu encagé depuis, elle ne saurait dire combien de temps. Elle tend donc sa langue pour commencer à le lécher de part en part, cherchant à faire gonfler la hampe et à décalotter le gland. C’est à ce moment-là que dans son arrière-train, elle sent le sexe dur de son Maître qui s’enfonce inexorablement dans son petit trou, d’un geste lent mais continu, forçant sa rondelle au passage de la Divine verge qu’IL introduit jusqu’à venir en butée avec ses couilles contre les fesses et la chatte dégoulinante de Thaïs qui n’attendait que d’être pénétrée et qui est très heureuse que ce soit par son Maître en cette belle occasion exceptionnelle. L’excitation d’être prise et baisée par Celui qu’elle Vénère plus que tout la fait redoubler d’attentions sensuelles et buccales pour la queue de Philippe, et ceci d’autant plus qu’elle sait qu’elle est sous le regard attentif et possessif de son Maître, qui vient de commencer de lents va et vient dans le fondement écartelé de la soumise qui s’offre sans pudeur aux assauts de son Dominant, Mâle pénétrant et conquérant. Elle vient de prendre en bouche le phallus de Philippe, enfin digne de ce nom car suite aux soins buccaux de la belle, sa nouille rabougrie est vite devenue une tige gonflée, durcie et bien raidie, qui de son côté aussi a entrepris de la labourer de puissants coups de queue revigorée, qui viennent en butée sur le fond de sa gorge…
(A suivre…)
Le Marquis Edouard d’Evans vient de se retourner vers sa ravissante Aurore, dont les yeux sont emplis de bonheur et de dévotion, pour lui prendre la main en lui proposant d’aller enfin ouvrir son cadeau. Tout Grand Maître qu’IL est, le Marquis en n’a pas moins l’œil pétillant de désir et de curiosité, comme le sont les enfants à Noël, à l’idée de découvrir ce qui se cache dans le paquet qu’IL a aperçu et qui contient le présent choisi par Sa très belle Marquise, qui est et reste Sa favorite de toutes les soumises du Noble Dominant. Walter le Majordome, dont l’œil est aguerri à devancer les moindres attentes de Celui qu’il sert si fidèlement depuis de si nombreuses années, s’approche du Châtelain et c’est avec la délicatesse d’un domestique avéré qu’il lui exprime :
- Monsieur le Marquis, si Vous voulez me le permettre, je vais faire avancer et disposer le paquet cadeau de Madame la Marquise pour que Vous puissiez l’ouvrir et en découvrir le contenu.
D’un claquement de doigt, le Majordome fait signe aux deux esclaves qui, telles des colonnes humaines immobiles, étaient restés debout de part et d’autre de la table desserte qu’ils avaient déplacée et sur laquelle se trouve toujours le fameux colis empaqueté dans un papier scintillant bleu avec un grand nœud doré, et une inscription dessinée à la main en relief sur lequel on peut lire distinctement « A mon Amour de Maître » signée « Marquise Aurore d’Evans ». Les deux statues, toutes recouvertes d’argent pour la soirée comme l’ensemble des esclaves mâles du cheptel, s’animent enfin sur ce simple geste du doigt, s’approchent, s’inclinent respectueusement devant Monsieur le Marquis d’Evans et comprennent au doigt pointé de Walter qui leur désigne le sol, qu’elles doivent se mettre sans tarder à genoux devant le Châtelain. Walter du bout de sa cravache rectifie la position pour les forcer à se courber à quatre pattes, tête rentrée entre les épaules et le dos droit, jambes écartées ce qui fait saillir leur belle croupe toujours pluguée, laissant dépasser le cabochon portant les Armoiries de la Noble Famille Evans. Le Majordome n’hésite pas à donner deux petits coups cinglants sur l’échine de celui qui a mis le plus de temps pour réagir et se positionner correctement. Il s’approche ensuite de Thaïs qui était restée à quatre pattes, telle une bonne chienne fidèle, juste derrière son Maître depuis que ce dernier avait rejoint le Grand Hall de réception. Walter attrape la laisse de la chienne soumise et tirant dessus fortement, il ajoute :
- Viens par-là, toi, la chienne ! Tu feras un très bon plateau pour supporter le cadeau. Ces deux espèces de gros chiens bâtards ne sont pas à la hauteur, ni à la bonne hauteur et je ne veux pas poser un sublime paquet sur leurs couennes endurcies par les coups et leur dur labeur quotidien dans les jardins du Château.
Walter attrape Thaïs par les cheveux et les tirant à lui, il l’oblige à grimper sur le dos des deux esclaves mâles, distants de plus de 50 cm, sur lesquels elle se retrouve pratiquement allongée perpendiculairement, face contre terre, sa tête et ses pieds dépassant de chaque côté dans le vide, tout comme la partie médiane de son corps qui se trouve entre les deux chiens esclaves à quatre pattes qui n’a rien pour la supporter. La position est instable et Thaïs craint de tomber surtout que Walter vient de lui attraper les mains pour les rabattre derrière la nuque, attachées ensemble et reliées à son collier de soumise. Il l’a obligé à baisser la tête pour regarder vers le sol et s’approchant de son oreille, d’un ton glacial, il ajoute.
- Reste immobile, le dos très droit, chienne. On dirait un truc mou qui ploie sous son propre poids et non une vraie table humaine posée sur deux chiens tréteaux. Contracte tes muscles surtout au milieu, au niveau des abdominaux pour rester bien rigide tout le temps qu’il faudra. Je n’ose imaginer que tu aurais l’affront de laisser tomber le superbe cadeau pour Monsieur le Marquis d’Evans que je vais poser sur ton dos. Alors soit forte pour assumer ton rôle de table de salon.
Sous le regard amusé du Noble, Walter donne plusieurs petits coups du bout de sa cravache sur le ventre de Thaïs, pour lui faire comprendre qu’elle doit se redresser au maximum, tendre ses muscles pour devenir aussi dure qu’une planche. Puis, il se recule pour attraper le gros paquet carré, qui fait bien 40 cm de côté et une bonne quinzaine de haut. Mais pour Thaïs, le plus surprenant reste le poids de plusieurs kilos que le Majordome vient de lui mettre sur le dos qui l’oblige à rester contractée pour résister à l’envie presque naturelle de s’affaisser, poids d’autant plus important que Walter a déjà posé en premier un plateau de verre sur le dos de Thaïs afin de protéger l’objet sur une surface ainsi aplanie, vu aussi qu’elle est nue et que son corps est peint en doré, ce qui pourrait tâcher même si normalement cette peinture spéciale à usage corporel n’est pas censée baver et salir, ne pouvant partir qu’avec un bon nettoyage à l’eau claire. Thaïs a du mal à garder la position instable dans laquelle elle se trouve, position qui tire sur ses muscles, comme elle ne repose que sur les deux dos espacés des chiens soumis immobiles, mais elle est aussi particulièrement ravie et honorée de servir de support humain pour présenter le fameux cadeau. Sachant qu’elle sera de fait en permanence sous les yeux attentifs de son Maître, elle sent une certaine excitation qui la dépasse et la gêne un peu car elle ne voudrait pas que son bas-ventre humide ne vienne la trahir et perturber cet instant important pendant lequel elle ne tient que le rôle de simple meuble plateau. Elle ferme donc les yeux pour se concentrer afin de bouger le moins possible et de tenter de laisser tomber l’excitation qui a envahi son corps tout entier, et ceci d’autant plus qu’elle entend le souffle de son Maître juste à côté et qu’elle peut humer distinctement les odeurs de Son parfum favori qui ne s’est pas encore dissipé.
- Ainsi donc, Ma très belle Aurore, ceci est ton cadeau. Je veux bien le recevoir de ta part, car j’aime tout particulièrement les attentions délicates de toutes Mes soumises, les tiennes en particulier, parce que cela me touche toujours par-delà la dévotion et l’Amour que tu me portes, ainsi que tous ceux qui sont sous mon joug. Je te laisse le déballer, puisque tu sais ce qu’il y a dedans. C’est Mon plaisir de te regarder faire avec attention et impatience et tu sais bien à quel point J’aime les surprises.
La Marquise Aurore d’Evans aurait bien aimé que son Maître ouvre lui-même le paquet pour pouvoir justement voir son visage émerveillé, mais IL en a décidé autrement et elle n’ose surtout pas Le contredire. Elle s’approche alors du paquet cadeau qu’elle défait comme on l’aurait fait d’une fleur que l’on effeuille, commençant par le nœud à ouvrir, puis le papier scintillant bleu. A l’intérieur, se trouve un papier de soie bleue en plusieurs épaisseurs qu’elle entrouvre également feuille à feuille, très sensuellement pour laisser enfin apparaître le contenu. Au départ, le Marquis d’Evans n’aperçoit qu’une planche de bois, car les fins papiers d’emballage entourent encore l’objet qu’IL découvre peu à peu en s’approchant encore plus. Il s’agit d’un grand et très épais livre à couverture de bois verni flanqué de magnifiques dorures ciselées et papier épais de parchemin, avec une bande reliure faite en cuir de qualité, qui ressemble à un de ces grimoires du Moyen-Age. La fermeture est composée de deux grandes barres de métal assombri et qui viennent se rabattre sur le beau bois en haut et en bas et qui sont ensuite terminées par un anneau ciselé lui aussi, anneau en demi-arc de cercle dans lequel passe en les traversant une sorte de grande goupille de fer forgé. Au centre, entourée par du vitrail multicolore, serti dans l’épaisseur du bois, se trouve une peinture faite sur verre d’une femme nue, si belle qu’on pourrait croire une Venus antique. Le nom du « Marquis d’Evans » est écrit en lettres d’Or légèrement gravées dans le bois qui a été ensuite doré à la feuille et il est surmonté d’une couronne de Marquisat qui a été estampillée dans le bois lui-même. Elle est plaquée or garnie de cabochons ovales et trapèzes en pierres dures d’opale bleue et de lapis lazuli. Cette couronne est surmontée de trois fleurons et entre se trouvent six perles fines blanches disposées en tierce. Toutes les pierreries sont serties et légèrement incrustées dans la masse du bois teinté car c’est de la loupe d’orme, un bois très précieux presque en voie de disparition, connu pour ses remarquables dessins formés par toutes les excroissances concentriques des branches ce qui donne sur la surface du bois des dessins inimitables. Tout en bas, toujours en magnifiques lettres d’or, le titre apparait : « Les 12 servitudes d’Hélène ».
Le Marquis s’approche de l’objet, précieux déjà rien que par sa remarquable couverture. IL est surtout intrigué de découvrir ce qui se trouve à l’intérieur. Jetant un œil brillant de bonheur sur celle qui se tient à Ses côtés et qui s’est écartée pour le laisser approcher, IL défait la fermeture qui ressemble presque à un loquet de serrure à l’ancienne, très symbolique au demeurant pour cette œuvre mythologique qui raconte les servitudes de la belle Hélène devenue éta amnésique, par la Volonté des Dieux pour la punir de sa trop grande beauté et de la guerre de Troie qui survint par sa faute. La première page à l’intérieur reprend le titre de l’ouvrage en lettres d’or calligraphiées, des enluminures à volutes bleues et or qui bordent la page, et la mention calligraphiée « Ouvrage écrit par Monsieur le Marquis Edouard d’Evans ». Les textes écrits par le Châtelain ont été imprimés sur des papiers légèrement teintés puis collés au centre de chaque page parchemin de droite. Ils sont entourés d’un liseré plus sombre, rehaussé de doré et assorti aux 12 couleurs de papier, qui au fil des 12 servitudes change de coloris en suivant le déroulé de l’arc-en-ciel et de l’histoire. Toutes les pages de gauche sont également de vrais trésors en soi, car elles sont décorées d’images, de dessins, de peintures, de gravure, de mises en formes diverses, faisant de cet ouvrage un véritable livre illustré savamment. Le Marquis intrigué fait défiler les pages avec beaucoup de précaution comme s’IL avait manié les pages de la première bible imprimée par Gutenberg. IL s’aperçoit que les dernières pages sont encore vierges (et pour cause puisque le texte est toujours encore en cours de rédaction). IL sourit chaleureusement et tend le bras pour prendre la main de la Marquise Aurore d’Evans qu’il porte à sa bouche afin d’y déposer un tendre baiser.
- C’est un merveilleux cadeau. Je suis vraiment très touché et très ému de savoir que tu aimes tant mes textes, au point que tu aies voulu les mettre dans un si précieux écrin pareil … (et sur un ton plus plaisantin, IL ajoute) … mais il me semble que je n’ai que la moitié de mon cadeau aujourd’hui … les dernières pages sont encore vierges ! Est-ce à dire qu’il va me falloir me mettre sans tarder à mon écritoire si je veux que tu puisses terminer ton ouvrage ? Et moi le mien !
- Mon Amour de Maître, je n’ai pas voulu attendre que Vous ayez terminé la rédaction de Votre merveilleux récit pour Vous offrir ce cadeau. Il est bien dans mon intention de le remplir jusqu’au bout mais Votre anniversaire tombait en ce jour, et je ne voulais pas en différer la surprise. Je suis si contente de voir que mon idée vous satisfait.
- Oui, cela me plait vraiment beaucoup. D’ailleurs, tu ne peux pas savoir à quel point, je trouve ce cadeau absolument merveilleux, une véritable reconnaissance de mon œuvre littéraire…
Et le Noble la regarde avec des yeux tendres tout en prenant à nouveau la main de Sa Marquise qu’IL pose maintenant sur Sa poitrine à l’endroit du cœur, comme s’IL voulait qu’elle en ressente les battements. Tout en lui faisant un baiser sur ses douces lèvres, il rajoute sur un ton amoureux :
- Je passerai la fin de la nuit dans tes bras avec toi. Et nous feuillèterons aussi ensemble ce magnifique grimoire dans notre chambre car j’ai vraiment envie de découvrir chacune des pages que tu as su créer pour illustrer mon récit. Et puis, ce livre est fragile et précieux à mes yeux. Je ne vais donc l’ouvrir ici car je ne voudrais pas prendre le risque qu’il soit abimé pendant cette soirée qui s’annonce plus chaude et coulante, nuit promettant de nombreux ébats orgiaques que je ne veux surtout pas manquer, pas plus qu’un peu d’excitation perverse et D/s qui me mettra en forme pour le reste de la nuit entre tes bras exquis, dans notre lit nuptial et que j’ai hâte de retrouver… Mais pour l’instant, Je me dois avant tout à Mes invités pour ce soir.
Le Marquis se retournant aperçoit alors, Philippe, Son fidèle second sur le plan professionnel, qui est revenu dans la pièce, ses fesses soignées gardent encore la trace des piqures d’aiguilles qui servaient de support aux bougies, mais visiblement son postérieur a l’air de s’être bien remis de sa petite transformation momentanée en hérisson flambant. Il s’approche de celui qui est son Maître tout autant que son PDG et s’incline respectueusement pour attraper la main du Noble sur laquelle il dépose un baiser en signe d’allégeance totale sans cesse renouvelée.
- Ah ! Te voilà toi. Bien remis de tes émotions brûlantes ? Tu étais très beau en gâteau d’anniversaire humain garni de bougies que j’ai dû éteindre de ma ‘’Noble lance à incendie’’. Je suppose que l’idée de t’utiliser dans cette petite mise en scène vient de ce cher Walter qui a toujours beaucoup d’imagination pour ce genre de petits délices qui Me ravissent. Je dois avouer que cela Me fait plaisir que tu sois là, sauf que Je regrette un peu que tu n’aies pas songé à prévenir « ton patron » que tu quittais ton poste cet après-midi pour une soirée privée. Mais Je pense qu’IL te pardonnera assez aisément cette omission volontaire pour la bonne cause et l’obligation de garder le secret pour Lui faire une surprise … mais c’est bien le seul secret que Je te tolère, soit-en certain. Nous parlerons boulot demain si tu le veux bien. A propos, as-tu fait bonne route ?
- Oui Maître Vénéré, merci beaucoup. Je suis à Votre entière disposition dès demain pour le travail et dès à présent pour la soirée. Disposez de moi à Votre convenance. Je suis toujours l’un de Vos plus fidèles esclaves soucieux de Vous satisfaire en tous points, pour Votre bon plaisir avant tout.
- Je le sais et Je t’en sais gré. Mais tes fesses ont suffisamment pris pour la soirée. Bien au contraire, Je voudrais que tu puisses goûter à satiété pendant quelques heures à certains petits plaisirs de mâle, car tu me sers très loyalement depuis des années et J’aime aussi pouvoir récompenser ceux qui me sont fidèles et dévoués. C’est une des prérogatives du Maître mais aussi une de ses obligations de Dominant que de pouvoir à la fois punir sévèrement quand il le faut et tout autant gratifier ce qui se doit de l’être.
Le Châtelain s’approche de Philippe qui spontanément baisse la tête, car il a gardé une grande déférence qu’il continue à exprimer envers celui pour lequel il travaille au quotidien, ayant même parfois du mal à ne pas s’incliner dans certaines réunions professionnelles en présence d’étrangers tant cela est dans sa nature profonde. Le Marquis attrape la cage de chasteté qui enserre le sexe de son ancien soumis dont il avait été paré comme pour l’ensemble des esclaves mâles décorés et contraints pour la soirée, jusqu’à ce que le Maître des lieux ou un des Dominants invités décide qu’il en serait autrement. Le PDG et Maître, usant du pouvoir qu’IL détient sur celui qui reste Son fidèle esclave avant d’être Son second, ouvre la petite parure en acier et la retire, laissant sortir à l’air libre une petite queue toute rabougrie d’avoir été maintenue comprimée.
- Garde encore un peu ton plug entre les fesses, cela devrait augmenter ton plaisir. Et puis Je suis sûr que la belle Thaïs que nous avons à portée de mains et de queues, saura bien te rendre une forme plus acceptable sans tarder. Elle ne doit pas demander mieux, si J’en juge par l’humidité que Je vois poindre entre ses cuisses.
Le Marquis se positionne entre les jambes de Sa soumise qu’IL écarte largement pour pouvoir se glisser au plus près. Thaïs manque de tomber car elle est en équilibre précaire sur le dos des deux esclaves mâles qui n’ont toujours pas bougé d’un pouce, position d’autant plus instable qu’elle a toujours les mains liées dans la nuque ce qui l’empêche de s’en servir de balancier pour garder l’équilibre ou se rattraper. Elle supporte aussi toujours le plateau en verre mais sans le grimoire et son emballage qui ont été mis à l’abri par la Marquise elle-même et ceci par pure précaution sous le regard approbateur de son Maître. Un claquement de doigts suffit pour faire disparaître aussi le plateau de verre du dos de Thaïs quand le Noble a immédiatement attrapé Thaïs avant qu’elle ne tombe, l’a remettant d’aplomb. Sans plus attendre, IL dégrafe sa braguette pour laisser sortir un vit déjà gonflé et dur, tant IL est mentalement et physiquement excité par la vue de sa chienne offerte à Son bon plaisir, mais aussi les premiers claquements de fouets et autres bruits de cravaches qui ont déjà envahi le donjon, auxquels se mêlent les nombreux soupirs empreints de douleur et de douceur qui montent de partout dans la salle. D’un signe de la main, IL a invité Philippe à s’approcher du visage de Thaïs. :
- Ma belle chienne, je veux que tu redonnes un peu de vigueur à ce cher Philippe et aussi du plaisir. Je pense qu’il l’a bien mérité pour ce soir de pouvoir éjaculer et surtout se vider les couilles qui doivent être bien pleines. D’ailleurs, Je pense que tu dois lui être reconnaissante car c’est lui qui a dirigé ta société la première semaine où tu étais venue au château pour ton dressage. C’est une manière comme une autre de lui dire merci, ce que tu n’as pas encore vraiment fait de cette manière-là. Et puis, Je dois dire que J’aime bien savoir que pendant que Je vais t’enculer, un autre sur Mes ordres te baise la bouche de concert et que tu peux te sentir encore plus possédée par Moi directement et indirectement.
Thaïs ouvre la bouche sans attendre prête à accueillir le sexe de Philippe, mais elle s’aperçoit vite en ouvrant les yeux et en relevant un peu la tête que celui-ci est encore minuscule d’avoir été maintenu encagé depuis, elle ne saurait dire combien de temps. Elle tend donc sa langue pour commencer à le lécher de part en part, cherchant à faire gonfler la hampe et à décalotter le gland. C’est à ce moment-là que dans son arrière-train, elle sent le sexe dur de son Maître qui s’enfonce inexorablement dans son petit trou, d’un geste lent mais continu, forçant sa rondelle au passage de la Divine verge qu’IL introduit jusqu’à venir en butée avec ses couilles contre les fesses et la chatte dégoulinante de Thaïs qui n’attendait que d’être pénétrée et qui est très heureuse que ce soit par son Maître en cette belle occasion exceptionnelle. L’excitation d’être prise et baisée par Celui qu’elle Vénère plus que tout la fait redoubler d’attentions sensuelles et buccales pour la queue de Philippe, et ceci d’autant plus qu’elle sait qu’elle est sous le regard attentif et possessif de son Maître, qui vient de commencer de lents va et vient dans le fondement écartelé de la soumise qui s’offre sans pudeur aux assauts de son Dominant, Mâle pénétrant et conquérant. Elle vient de prendre en bouche le phallus de Philippe, enfin digne de ce nom car suite aux soins buccaux de la belle, sa nouille rabougrie est vite devenue une tige gonflée, durcie et bien raidie, qui de son côté aussi a entrepris de la labourer de puissants coups de queue revigorée, qui viennent en butée sur le fond de sa gorge…
(A suivre…)
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