La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Suite de l'épisode N°339 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans vient de laisser Madame la Présidente, l’épouse de Monsieur le Député-maire en compagnie de son fidèle Majordome Walter, avec à ses pieds la chienne-femelle 3 et le chien-esclave 17 sur les croupes desquels elle doit poursuivre son apprentissage du maniement du paddle, car bien que Domina dans l’âme, elle n’avait jusqu’alors peu utilisé ce type d’instruments sur leur petite chienne-esclave Aliz, laissant la plupart du temps ce plaisir à son époux et y préférant des jeux plus de pouvoirs et de sensualité, résolument très saphiques à deux ou sexuels à trois, appréciant particulièrement que la langue de sa petite chienne vienne se perdre dans ses plis intimes humides pour lui permettre d’atteindre un degré d’excitation extrême pour de réjouissants préliminaires. Tandis que le Châtelain s’éloigne pour aller à la rencontre d’autres invités, il n’a pas fallu longtemps à cette Maîtresse, belle femme à l’allure très altière pour prendre en mains l’instrument D/s sur les précieux conseils du Noble et l’œil avisé du Majordome qui la regarde officier avec délectation, voyant peu à peu les deux fessiers s’empourprer et s’échauffer, qui se permet d’intervenir à un moment.
- Madame la Député-maire, si vous me le permettez. Je pense que vos coups mériteraient d’être encore plus affirmés et réguliers ou non, mais prenant chaque fois le temps de laisser la chaleur de l’impact irradier dans ces deux belles croupes exposées. Cela vous laissera aussi le temps de reposer votre bras entre deux coups, sinon vous allez très vite vous épuiser à la tâche au lieu d’y prendre plaisir. N’hésitez surtout à frapper la couenne endurcie de ce cabot qui a eu l’impertinence d’offenser Monsieur le Marquis d’Evans, il ne mérite pas de pouvoir prendre du plaisir aussi facilement. La chienne 3 semble particulièrement excitée, on voit sa cyprine qui coule entre ses cuisses et sur le parquet. Je suis persuadé qu’elle vous en saura infiniment gré et pourra vous remercier en bonne petite chienne bien chaude dès que vous le souhaiterez.
- Walter, si je puis me permettre de vous appeler ainsi depuis le temps que je vous connais, vous êtes un parfait serviteur loyal pour notre cher Marquis. Je n’ai pas encore pris le temps de vous dire à quel point nous avons apprécié cette merveilleuse soirée, avec tant de surprises et d’événements extraordinaires de qualité. D’autant plus que j’ai cru comprendre que c’est vous qui vous êtes chargé de toute l’organisation. Je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps à mes côtés, car je suppose que vous devez avoir encore fort à faire ailleurs. Je pense d’ailleurs que je vais m’octroyer une petite pause bien plus « ré-jouissante mais sans ré si je puis dire ». Cette femelle m’a également excitée et il me tarde de la voir se faufiler entre mes cuisses. Je vous laisse donc à vos occupations et je vous remercie beaucoup de vos conseils avisés.
Madame la Député-maire pose sans plus attendre le paddle, considérant qu’elle s’est assez entrainée pour la soirée. Elle se penche pour glisser sa main dans la fente ruisselante de la chienne-femelle 3 qui spontanément écarte encore plus ses cuisses toutes frémissantes. Elle ressort une main trempée qu’elle promène sur le fessier rougi de l’esclave, en véritable caresse calmante qui contraste avec la chaleur du postérieur irradié de ses plus belles couleurs dans des tons rougeâtres. Elle fait le tour de la chienne-esclave et se positionnant devant cette dernière toujours à quatre pattes, lui attrape le menton.
- Walter, n’a pas menti, tu es une vraie chienne en chaleur humide. Tu sembles avoir apprécié ce que tu as reçu, n’est-ce pas ? Je t’autorise à me répondre.
- Madame ou Madame la Député-maire, je ne sais si j’ai l’autorisation de vous nommer ainsi, car je ne suis qu’une simple chienne-esclave au service de Monsieur le Marquis d’Evans Le Maître Vénéré, je vous remercie de m’avoir autorisée à parler et je vous remercie aussi infiniment de m’avoir gardé à vos pieds pour la soirée pour tant de plaisirs délicieux. Exigez de moi ce qu’il vous plaira, ordonnez et j’obéirai. Je le ferai par dévotion totale au Maître à qui j’appartiens mais également par reconnaissance car je voudrais tant pouvoir vous contenter et être pour vous objet de plaisir comme il vous siéra de m’utiliser.
- Alors la belle chienne, tu vas pouvoir te délecter de mes sucs intimes. Suis-moi, je vais aller m’étendre sur ce canapé, cuisses ouvertes et tu pourras venir te vautrer à l’intérieur. Lorsque je t’ai vu sucer mon époux avec beaucoup de docilité et une véritable pratique de bonne salope-suceuse, je me suis dit que ta langue devait être magique et que je l’imaginais bien se faufiler entre mes lèvres intimes, et même toutes mes lèvres...
La Domina tire sur le menton de la chienne-esclave 3, l’obligeant à se redresser pratiquement et se tenir bien droite tendue tout en restant à genoux et elle l’embrasse voluptueusement, prémices à d’autres baisers plus savoureux, aspirant la langue de la chienne-esclave pour la forcer à pénétrer profondément dans sa bouche, de manière à lui faire comprendre ce qu’elle attend d’elle mais sur une autre partie encore plus érogène de son anatomie. Elle attrape la laisse de la chienne qui se remet à quatre pattes pour la suivre dans une marche gracieuse ondulant de ses fesses encore bien rouges, tout en laissant sa cyprine couler sur ses jambes, d’autant plus excitée qu’elle sait que la suite de la soirée sera pour elle d’une sensualité saphique qui n’est pas pour lui déplaire, espérant pouvoir apporter beaucoup de jouissance à celle entre les mains de qui elle a été remise pour toute la nuitée. Madame la Député-maire, d’un ton beaucoup plus dédaigneux, et sans même tourner la tête ajoute :
- Quand à toi le sale cabot, je ne sais même pas si j’ai envie de t’appeler chien 17. Je dois avouer que le fait de savoir que tu as osé manquer de reconnaissance pour le Maître à qui tu appartiens n’est pas à ton avantage, d’autant plus que je pense que Monsieur le Marquis d’Evans est sans conteste, et de loin, le meilleur Maître que je connaisse, qui prend grand soin de tous les esclaves qui lui ont prêté allégeance et sont venus se mettre sous Son joug et Sa protection. Tu vas donc nous suivre, sans rien dire bien entendu. Je ne daigne même pas me baisser pour ramasser ta laisse par terre, tu ne mérites pas un tel geste de ma part. Tu n’auras qu’à la prendre entre tes dents pour éviter de la laisser traîner en avançant à quatre pattes. Je ne te donnerai surtout pas le droit de me toucher de toute la soirée, mais tu vas pouvoir donner un peu de plaisir à cette femelle en léchant son cul et son con, tandis qu’elle aura sa tête enfouie dans ma caverne précieuse et que sa langue viendra titiller mon bouton de roses. Je suis persuadée que cela décuplera son ardeur à me satisfaire et à me lécher avec toute la subtile science apprise pendant son éducation au Château.
Le trio, composé de la Domina tenant en laisse l’esclave-femelle 3 très excitée et très chienne et suivi à moins d’un mètre par le chien-mâle 17 mordant sa laisse coincée entre ses dents et avançant tête basse, se dirige vers un angle de la pièce dans lequel se trouve un grand sofa libre. Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis d’Evans a repris le tour qu’IL avait l’intention de faire dans toute la pièce transformée en donjon D/s et lieu orgiaque mais aussi à cette heure tardive en lupanar de luxe tant les râles de jouissance se mêlent aux divers bruits D/s plus cinglants. IL croise sur sa route quelques groupes bien affairés dans des échanges pluriels ne voulant pas interrompre leurs ébats orgiaques à un moment inopportun et fini par s’approcher de l’un de ses derniers amis en date, le Seigneur Bedwyr qui a la particularité de toujours se déplacer dans les grandes soirées intimes ou D/s, en tenue d’apparat moyenâgeuse portant à la ceinture une authentique épée ancienne d’un métal luisant, en relation avec la légende associée au prénom qu’il porte, puisque dans les aventures arthuriennes, il est cité comme étant celui qui restitua la fameuse épée légendaire « Excalibur » à la Dame du Lac.
Le Seigneur Bedwyr est toujours accompagné dans les soirées D/s de son esclave « captive », car c’est le nom qu’il lui a attribué, nom d’autant mieux porté qu’elle est entravée par des chaines qui relient à la fois ses deux pieds et ses deux mains, mais aussi d’une longue chaine qui part de son cou et sur laquelle vient se greffer les deux chaines horizontales des bras et des jambes. Autour du cou, des poignets et des chevilles, ce sont un gros et quatre petits lourds arceaux de métal en fer patiné vieilli qui enserrent le corps de « captive » qui est bel et bien captive comme son nom l’indique. Au cou de l’esclave, un lourd anneau épais de fer noirci pend, auquel est suspendu un large et épais écriteau de bois brut sur lequel les lettres « C.A.P.T.I.V.E. » ont été gravées en écriture gothique. Ce couple D/s très médiéval dans leurs apparences respectives est dans la vie vanille également un couple civil troquant pour leur vie sociale et extérieure leurs habits de ce temps ancien pour des tenues plus adaptées au 21ème siècle. En réalité, il est bien difficile de parler d’habits au pluriel car l’esclave dominée est totalement nue en dehors de ses chaines et autres cercles de métal, parures imitant totalement celles de ces temps où l’esclavage était encore en vigueur et où les serfs, propriétés du Seigneur, attachés à la seigneurie avant tout, n’avaient aucun droit sauf de survivre dans leur servitude imposée de par leur naissance ou de par les trophées de guerre qui les avaient conduits en état d’esclavage. Mais dans cette communauté D/s que ce couple fréquente régulièrement, c’est totalement libre et consentante que l’esclave « captive » de son Seigneur (et époux dans la vie) se pare de ses chaines qui habillent à ravir sa beauté à la plastique parfaite.
Le Seigneur Bedwyr a choisi pour la soirée de tirer une boule argentée lui donnant droit à un chien-mâle portant le numéro 15. Son épouse et esclave est parfaitement soumise mais il la sait aussi particulièrement sensible et jalouse, ne montrant jamais le grand désarroi dans lequel elle plonge lorsqu’elle sent que quelqu’un pourrait venir ravir sa place aux côtés de son époux et aux pieds de son Seigneur, mais elle ne peut pas s’empêcher de se ronger les sens de l’intérieur, bien qu’il ne cesse de lui répéter qu’elle seule est l’Amour de sa vie, qui le comble dans sa vie de tous les jours en tant qu’Homme et aussi dans sa vie D/s, grâce aux fantasmes qu’ils partagent et vivent à deux, lui en tant que Seigneur et Maître Absolu, elle en tant que captive et esclave. Son respect pour son épouse n’excluant pas la ferme Domination et le pouvoir qu’il exerce en tant que Seigneur sur l’esclave qui s’est offerte à lui, le conduit cependant à veiller à préserver l’harmonie du couple civil d’une part et du couple D/s d’autre part, étant à la fois très exigeant mais aussi très amoureux de celle qui se donne à lui de la plus belle manière qui soit, c'est-à-dire entièrement et sans la moindre retenue.
Au moment où Monsieur le Marquis Edouard d’Evans approche, le Seigneur Bedwyr qui était en train de s’affairer à vouloir détacher le chien-esclave qui lui a été confié pour la soirée, se redresse et se retourne pour saluer comme il se doit son Hôte.
- Cher Marquis, je vous salue très courtoisement, votre réception est encore une fois un délice, comme pour chaque occasion lesquelles j’ai l’immense plaisir y être invité. Je suis particulièrement ravi d’avoir pu participer à ces festivités. Il n’est plus l’heure pour Vous souhaiter un bon anniversaire, car minuit a sonné depuis longtemps, mais disons que je Vous souhaite alors de continuer à pouvoir profiter de tout le bonheur du monde. Votre cheptel d’esclaves fait Votre Renommée dans toute la communauté et Vos soirées sont d’un tel raffinement que chaque fois je reste émerveillé de ces moments que vous nous permettez de vivre, temps de rencontres et d’échanges avec d’autres Dominants, tout autant que temps de jeux et plaisirs D/s partagés.
- Cher Seigneur, je vous sais gré de vos compliments qui me touchent profondément.
- Monsieur le Marquis, permettez-moi de Vous faire remarquez ce que Vous ne pouvez ignorer de par Vos Nobles origines. Le titre de Seigneur, dont je me suis paré dans ma démarche de Domination, n’est pas un vrai titre nobiliaire à l’inverse du Vôtre et de Votre droite et noble lignée aristocratique des Marquis. Les Seigneurs du moyen-âge étaient avant tout ceux qui étaient propriétaires d’une terre, de grande ou petite taille, et ils étaient alors « sieur de …. ». Mais seuls les propriétaires nobles portaient leur titre attaché à la seigneurie. Pour ma part, je ne prétends à aucun titre réel, ni à aucune particule. Je ne reste « Seigneur » que pour ma douce et tendre esclave « captive » qui porte bien son nom, bien que parfois je me demande quel est le plus captif des deux dans notre relation ou nous sommes si intimement liés l’un à l’autre. Je ne devrais pas dire cela devant elle et en sa présence, car elle risquerait d’en tirer profit, mais j’ai toute confiance dans la dévotion sans faille de celle qui est sans la moindre contestation à moi, toute à moi et rien qu’à moi...
Avec un petit hochement de tête pour marquer son respect à l’Hôte de ces lieux, le fier chevalier en tenue de velours brodé à fil d’or, veste bustier à larges manches et chausses moulantes avec de hauts brodequins, ajoute :
- Alors je vous en prie, très cher Marquis, appelez-moi tout simplement Bedwyr. Je suis déjà particulièrement honoré de pouvoir espérer être compté parmi Vos amis, car je ne cesse de m’en réjouir depuis que nous avons fait connaissance lors de cette autre agréable soirée organisée par « La Dame du Lac », une Dominante de très grande stature qui m’a beaucoup appris sur la relation D/s mais de son côté féminin dominant. Je vous sais gré d’ailleurs de tous les mails que nous avons pu échanger, Votre savoir et Votre fine perception de tout ce qui touche à la Domination/soumission fait que c’est toujours un plaisir pour moi de Vous lire et que j’apprends beaucoup de Votre Maîtrise et de Votre sagesse…
(A suivre…)
Monsieur le Marquis Edouard d’Evans vient de laisser Madame la Présidente, l’épouse de Monsieur le Député-maire en compagnie de son fidèle Majordome Walter, avec à ses pieds la chienne-femelle 3 et le chien-esclave 17 sur les croupes desquels elle doit poursuivre son apprentissage du maniement du paddle, car bien que Domina dans l’âme, elle n’avait jusqu’alors peu utilisé ce type d’instruments sur leur petite chienne-esclave Aliz, laissant la plupart du temps ce plaisir à son époux et y préférant des jeux plus de pouvoirs et de sensualité, résolument très saphiques à deux ou sexuels à trois, appréciant particulièrement que la langue de sa petite chienne vienne se perdre dans ses plis intimes humides pour lui permettre d’atteindre un degré d’excitation extrême pour de réjouissants préliminaires. Tandis que le Châtelain s’éloigne pour aller à la rencontre d’autres invités, il n’a pas fallu longtemps à cette Maîtresse, belle femme à l’allure très altière pour prendre en mains l’instrument D/s sur les précieux conseils du Noble et l’œil avisé du Majordome qui la regarde officier avec délectation, voyant peu à peu les deux fessiers s’empourprer et s’échauffer, qui se permet d’intervenir à un moment.
- Madame la Député-maire, si vous me le permettez. Je pense que vos coups mériteraient d’être encore plus affirmés et réguliers ou non, mais prenant chaque fois le temps de laisser la chaleur de l’impact irradier dans ces deux belles croupes exposées. Cela vous laissera aussi le temps de reposer votre bras entre deux coups, sinon vous allez très vite vous épuiser à la tâche au lieu d’y prendre plaisir. N’hésitez surtout à frapper la couenne endurcie de ce cabot qui a eu l’impertinence d’offenser Monsieur le Marquis d’Evans, il ne mérite pas de pouvoir prendre du plaisir aussi facilement. La chienne 3 semble particulièrement excitée, on voit sa cyprine qui coule entre ses cuisses et sur le parquet. Je suis persuadé qu’elle vous en saura infiniment gré et pourra vous remercier en bonne petite chienne bien chaude dès que vous le souhaiterez.
- Walter, si je puis me permettre de vous appeler ainsi depuis le temps que je vous connais, vous êtes un parfait serviteur loyal pour notre cher Marquis. Je n’ai pas encore pris le temps de vous dire à quel point nous avons apprécié cette merveilleuse soirée, avec tant de surprises et d’événements extraordinaires de qualité. D’autant plus que j’ai cru comprendre que c’est vous qui vous êtes chargé de toute l’organisation. Je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps à mes côtés, car je suppose que vous devez avoir encore fort à faire ailleurs. Je pense d’ailleurs que je vais m’octroyer une petite pause bien plus « ré-jouissante mais sans ré si je puis dire ». Cette femelle m’a également excitée et il me tarde de la voir se faufiler entre mes cuisses. Je vous laisse donc à vos occupations et je vous remercie beaucoup de vos conseils avisés.
Madame la Député-maire pose sans plus attendre le paddle, considérant qu’elle s’est assez entrainée pour la soirée. Elle se penche pour glisser sa main dans la fente ruisselante de la chienne-femelle 3 qui spontanément écarte encore plus ses cuisses toutes frémissantes. Elle ressort une main trempée qu’elle promène sur le fessier rougi de l’esclave, en véritable caresse calmante qui contraste avec la chaleur du postérieur irradié de ses plus belles couleurs dans des tons rougeâtres. Elle fait le tour de la chienne-esclave et se positionnant devant cette dernière toujours à quatre pattes, lui attrape le menton.
- Walter, n’a pas menti, tu es une vraie chienne en chaleur humide. Tu sembles avoir apprécié ce que tu as reçu, n’est-ce pas ? Je t’autorise à me répondre.
- Madame ou Madame la Député-maire, je ne sais si j’ai l’autorisation de vous nommer ainsi, car je ne suis qu’une simple chienne-esclave au service de Monsieur le Marquis d’Evans Le Maître Vénéré, je vous remercie de m’avoir autorisée à parler et je vous remercie aussi infiniment de m’avoir gardé à vos pieds pour la soirée pour tant de plaisirs délicieux. Exigez de moi ce qu’il vous plaira, ordonnez et j’obéirai. Je le ferai par dévotion totale au Maître à qui j’appartiens mais également par reconnaissance car je voudrais tant pouvoir vous contenter et être pour vous objet de plaisir comme il vous siéra de m’utiliser.
- Alors la belle chienne, tu vas pouvoir te délecter de mes sucs intimes. Suis-moi, je vais aller m’étendre sur ce canapé, cuisses ouvertes et tu pourras venir te vautrer à l’intérieur. Lorsque je t’ai vu sucer mon époux avec beaucoup de docilité et une véritable pratique de bonne salope-suceuse, je me suis dit que ta langue devait être magique et que je l’imaginais bien se faufiler entre mes lèvres intimes, et même toutes mes lèvres...
La Domina tire sur le menton de la chienne-esclave 3, l’obligeant à se redresser pratiquement et se tenir bien droite tendue tout en restant à genoux et elle l’embrasse voluptueusement, prémices à d’autres baisers plus savoureux, aspirant la langue de la chienne-esclave pour la forcer à pénétrer profondément dans sa bouche, de manière à lui faire comprendre ce qu’elle attend d’elle mais sur une autre partie encore plus érogène de son anatomie. Elle attrape la laisse de la chienne qui se remet à quatre pattes pour la suivre dans une marche gracieuse ondulant de ses fesses encore bien rouges, tout en laissant sa cyprine couler sur ses jambes, d’autant plus excitée qu’elle sait que la suite de la soirée sera pour elle d’une sensualité saphique qui n’est pas pour lui déplaire, espérant pouvoir apporter beaucoup de jouissance à celle entre les mains de qui elle a été remise pour toute la nuitée. Madame la Député-maire, d’un ton beaucoup plus dédaigneux, et sans même tourner la tête ajoute :
- Quand à toi le sale cabot, je ne sais même pas si j’ai envie de t’appeler chien 17. Je dois avouer que le fait de savoir que tu as osé manquer de reconnaissance pour le Maître à qui tu appartiens n’est pas à ton avantage, d’autant plus que je pense que Monsieur le Marquis d’Evans est sans conteste, et de loin, le meilleur Maître que je connaisse, qui prend grand soin de tous les esclaves qui lui ont prêté allégeance et sont venus se mettre sous Son joug et Sa protection. Tu vas donc nous suivre, sans rien dire bien entendu. Je ne daigne même pas me baisser pour ramasser ta laisse par terre, tu ne mérites pas un tel geste de ma part. Tu n’auras qu’à la prendre entre tes dents pour éviter de la laisser traîner en avançant à quatre pattes. Je ne te donnerai surtout pas le droit de me toucher de toute la soirée, mais tu vas pouvoir donner un peu de plaisir à cette femelle en léchant son cul et son con, tandis qu’elle aura sa tête enfouie dans ma caverne précieuse et que sa langue viendra titiller mon bouton de roses. Je suis persuadée que cela décuplera son ardeur à me satisfaire et à me lécher avec toute la subtile science apprise pendant son éducation au Château.
Le trio, composé de la Domina tenant en laisse l’esclave-femelle 3 très excitée et très chienne et suivi à moins d’un mètre par le chien-mâle 17 mordant sa laisse coincée entre ses dents et avançant tête basse, se dirige vers un angle de la pièce dans lequel se trouve un grand sofa libre. Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis d’Evans a repris le tour qu’IL avait l’intention de faire dans toute la pièce transformée en donjon D/s et lieu orgiaque mais aussi à cette heure tardive en lupanar de luxe tant les râles de jouissance se mêlent aux divers bruits D/s plus cinglants. IL croise sur sa route quelques groupes bien affairés dans des échanges pluriels ne voulant pas interrompre leurs ébats orgiaques à un moment inopportun et fini par s’approcher de l’un de ses derniers amis en date, le Seigneur Bedwyr qui a la particularité de toujours se déplacer dans les grandes soirées intimes ou D/s, en tenue d’apparat moyenâgeuse portant à la ceinture une authentique épée ancienne d’un métal luisant, en relation avec la légende associée au prénom qu’il porte, puisque dans les aventures arthuriennes, il est cité comme étant celui qui restitua la fameuse épée légendaire « Excalibur » à la Dame du Lac.
Le Seigneur Bedwyr est toujours accompagné dans les soirées D/s de son esclave « captive », car c’est le nom qu’il lui a attribué, nom d’autant mieux porté qu’elle est entravée par des chaines qui relient à la fois ses deux pieds et ses deux mains, mais aussi d’une longue chaine qui part de son cou et sur laquelle vient se greffer les deux chaines horizontales des bras et des jambes. Autour du cou, des poignets et des chevilles, ce sont un gros et quatre petits lourds arceaux de métal en fer patiné vieilli qui enserrent le corps de « captive » qui est bel et bien captive comme son nom l’indique. Au cou de l’esclave, un lourd anneau épais de fer noirci pend, auquel est suspendu un large et épais écriteau de bois brut sur lequel les lettres « C.A.P.T.I.V.E. » ont été gravées en écriture gothique. Ce couple D/s très médiéval dans leurs apparences respectives est dans la vie vanille également un couple civil troquant pour leur vie sociale et extérieure leurs habits de ce temps ancien pour des tenues plus adaptées au 21ème siècle. En réalité, il est bien difficile de parler d’habits au pluriel car l’esclave dominée est totalement nue en dehors de ses chaines et autres cercles de métal, parures imitant totalement celles de ces temps où l’esclavage était encore en vigueur et où les serfs, propriétés du Seigneur, attachés à la seigneurie avant tout, n’avaient aucun droit sauf de survivre dans leur servitude imposée de par leur naissance ou de par les trophées de guerre qui les avaient conduits en état d’esclavage. Mais dans cette communauté D/s que ce couple fréquente régulièrement, c’est totalement libre et consentante que l’esclave « captive » de son Seigneur (et époux dans la vie) se pare de ses chaines qui habillent à ravir sa beauté à la plastique parfaite.
Le Seigneur Bedwyr a choisi pour la soirée de tirer une boule argentée lui donnant droit à un chien-mâle portant le numéro 15. Son épouse et esclave est parfaitement soumise mais il la sait aussi particulièrement sensible et jalouse, ne montrant jamais le grand désarroi dans lequel elle plonge lorsqu’elle sent que quelqu’un pourrait venir ravir sa place aux côtés de son époux et aux pieds de son Seigneur, mais elle ne peut pas s’empêcher de se ronger les sens de l’intérieur, bien qu’il ne cesse de lui répéter qu’elle seule est l’Amour de sa vie, qui le comble dans sa vie de tous les jours en tant qu’Homme et aussi dans sa vie D/s, grâce aux fantasmes qu’ils partagent et vivent à deux, lui en tant que Seigneur et Maître Absolu, elle en tant que captive et esclave. Son respect pour son épouse n’excluant pas la ferme Domination et le pouvoir qu’il exerce en tant que Seigneur sur l’esclave qui s’est offerte à lui, le conduit cependant à veiller à préserver l’harmonie du couple civil d’une part et du couple D/s d’autre part, étant à la fois très exigeant mais aussi très amoureux de celle qui se donne à lui de la plus belle manière qui soit, c'est-à-dire entièrement et sans la moindre retenue.
Au moment où Monsieur le Marquis Edouard d’Evans approche, le Seigneur Bedwyr qui était en train de s’affairer à vouloir détacher le chien-esclave qui lui a été confié pour la soirée, se redresse et se retourne pour saluer comme il se doit son Hôte.
- Cher Marquis, je vous salue très courtoisement, votre réception est encore une fois un délice, comme pour chaque occasion lesquelles j’ai l’immense plaisir y être invité. Je suis particulièrement ravi d’avoir pu participer à ces festivités. Il n’est plus l’heure pour Vous souhaiter un bon anniversaire, car minuit a sonné depuis longtemps, mais disons que je Vous souhaite alors de continuer à pouvoir profiter de tout le bonheur du monde. Votre cheptel d’esclaves fait Votre Renommée dans toute la communauté et Vos soirées sont d’un tel raffinement que chaque fois je reste émerveillé de ces moments que vous nous permettez de vivre, temps de rencontres et d’échanges avec d’autres Dominants, tout autant que temps de jeux et plaisirs D/s partagés.
- Cher Seigneur, je vous sais gré de vos compliments qui me touchent profondément.
- Monsieur le Marquis, permettez-moi de Vous faire remarquez ce que Vous ne pouvez ignorer de par Vos Nobles origines. Le titre de Seigneur, dont je me suis paré dans ma démarche de Domination, n’est pas un vrai titre nobiliaire à l’inverse du Vôtre et de Votre droite et noble lignée aristocratique des Marquis. Les Seigneurs du moyen-âge étaient avant tout ceux qui étaient propriétaires d’une terre, de grande ou petite taille, et ils étaient alors « sieur de …. ». Mais seuls les propriétaires nobles portaient leur titre attaché à la seigneurie. Pour ma part, je ne prétends à aucun titre réel, ni à aucune particule. Je ne reste « Seigneur » que pour ma douce et tendre esclave « captive » qui porte bien son nom, bien que parfois je me demande quel est le plus captif des deux dans notre relation ou nous sommes si intimement liés l’un à l’autre. Je ne devrais pas dire cela devant elle et en sa présence, car elle risquerait d’en tirer profit, mais j’ai toute confiance dans la dévotion sans faille de celle qui est sans la moindre contestation à moi, toute à moi et rien qu’à moi...
Avec un petit hochement de tête pour marquer son respect à l’Hôte de ces lieux, le fier chevalier en tenue de velours brodé à fil d’or, veste bustier à larges manches et chausses moulantes avec de hauts brodequins, ajoute :
- Alors je vous en prie, très cher Marquis, appelez-moi tout simplement Bedwyr. Je suis déjà particulièrement honoré de pouvoir espérer être compté parmi Vos amis, car je ne cesse de m’en réjouir depuis que nous avons fait connaissance lors de cette autre agréable soirée organisée par « La Dame du Lac », une Dominante de très grande stature qui m’a beaucoup appris sur la relation D/s mais de son côté féminin dominant. Je vous sais gré d’ailleurs de tous les mails que nous avons pu échanger, Votre savoir et Votre fine perception de tout ce qui touche à la Domination/soumission fait que c’est toujours un plaisir pour moi de Vous lire et que j’apprends beaucoup de Votre Maîtrise et de Votre sagesse…
(A suivre…)
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