La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°414 -
Monsieur le Marquis d’Evans remonte son boxer et referme sa braguette après avoir uriné sur le chien-mâle N°20MDE qui s’était avéré impuissant et qui avait été condamné à demeurer en punition dans une sorte d’antique baignoire-baquet en cuivre servant en quelque sorte de latrines pour tous ceux qui auraient envie de profiter de petits jeux uro et aussi de se soulager la vessie dans la bouche ou sur le corps de celui qui va devoir par ailleurs garder son « sexe-marionnette » maintenu en l’air par les fils tendus qui ont permis de relever sa queue récalcitrante qui n’avait pas daigné se redresser à temps pour pouvoir satisfaire aux exigences de Seigneur Dées.

L’esclave est submergé par la honte de sa situation avilissante qu’il doit supporter pour tenter maintenant de rentrer en grâce auprès du Maître qu’il a courroucé en n’étant pas capable de répondre à temps aux exigences de Son invité de marque, le Doyen de l’assemblée de surcroît, entre les mains de qui N°20MDE avait été remis pour la soirée. Le chien-mâle trempé d’urine qui ruissèle sur tout son corps ressent le profond dégoût que sa position humiliante, agenouillé dans un flot de liquide jaunâtre odorant, lui inspire car il n’a jamais été un adepte des plaisirs D/s uro, ce que n’ignorait pas le Maître Vénéré lorsqu’il a choisi à juste titre la nature du châtiment pour qu’il soit suffisamment punitif et coercitif dans l’esprit de l’esclave défaillant.

Le chien-esclave N°20MDE a dû mal à supporter l’odeur forte qui a envahi ses narines mais aussi sa gorge qui a été largement arrosée par plusieurs dominants qui ont pris plaisir à lui fourrer la queue entre les lèvres avant de pisser. Il se remémore longuement les mots du Maître Vénéré, n’ayant rien de mieux à faire que de patienter, de supporter et de méditer sur sa condition d’esclave librement asservi et sur la sanction imposée par le Dominant auquel il a choisi d’appartenir : « …. Ta queue manquait peut-être d’être arrosée comme les plantes qui ont en besoin pour pouvoir pousser. Et bien, voila c’est chose faite, une bonne « douche dorée », non je devrais plutôt dire un arrosage « en or » en bonne et due forme ! ……Tu vas passer le reste de la nuitée ici dans cette latrine. Tu ne mérites pas mieux, et j’espère que tu viendras me remercier dès que j’y consentirai pour cette punition amplement méritée. Nous verrons si ta nouille a su bénéficier de puissants arrosages et si ton asperge est prête à sortir de terre …. »
Nonobstant la répugnance qu’il a de devoir rester à genoux dans ce bain de diverses mictions mélangées, le chien-esclave N°20MDE se rend compte également qu’il est de plus en plus excité malgré lui par la situation qu’il se doit d’endurer, mais aussi et surtout par le souvenir des propos et des gestes du Maître Vénéré, finissant par comprendre que l’excitation qui l’a envahi malgré la honte ressentie, ou justement à cause de la honte ressentie, est telle qu’il s’est mis enfin à bander car son sexe vient de commencer à gonfler. Encore retenu par les fils de marionnettes qui sont serrés autour de sa queue et de ses couilles, son phallus est toujours maintenu tendu à l’horizontale, mais il s’aperçoit que sa queue étant en train de doubler de volume et de longueur, les fils autour sont autant de nœuds presque trop serrés et qui commencent à devenir de plus en plus douloureux et contraignant. Discrètement, il essaye de tourner la tête pour voir s’il pourrait apercevoir le Maître Vénéré qui lui a imposé de rester là qu’il voudrait au plus tôt pouvoir implorer humblement et tenter de le supplier de le détacher maintenant que son « asperge suffisamment arrosée a fini par sortir de terre ». Mais, il n’y a personne dans les parages et le chien-mâle n’ose pas bouger de sa place au risque d’une sanction qui lui serait encore plus terrible à supporter s’il avait le malheur de songer à défaire tout seul les liens posés par le Maître lui-même, ou pire de se lever d’autant plus qu’il est dégoulinant et ne manquerait pas de salir le parquet en sortant du lieu où il a été assigné pour un bon bout de temps indéterminé, qui lui parait devoir durer une éternité. Il en arrive même à regretter sa cage de chasteté qui empêchait sa queue de gonfler à laquelle il avait fini par s’habituer car elle correspondait si bien à sa nature de lopette passive, fluette et presque efféminée, ramenant son appendice mâle dont il se passerait bien à sa plus simple expression.

Monsieur le Marquis d’Evans n’avait dans tous les cas sûrement pas dans l’intention de mettre un terme aussi vite à la punition imposée à Son esclave N° 20MDE, ayant malgré tout veillé avant de serrer les liens que même si sa lopette-soumise finissait par se mettre à bander à force d’excitation, les cordelettes pourraient certes être contraignantes et désagréables à supporter mais absolument pas dangereuses au niveau de la circulation du sang. Il s’est donc très sereinement éloigné reprenant le tour de tous Ses Invités Domina et Dominants et s’est approché d’un groupe de plusieurs personnes en train de copuler, ce qui n’est pas pour lui déplaire de voir ses amis occupés aux plaisirs orgiaques de la chair en cette nuitée qui s’avance. Le Châtelain les regarde tous avec un œil presque plus attentif et scrutateur que simplement voyeur car la masse est formée par les multiples partenaires dont on distingue à peine les dominés et les Dominants, sauf à imaginer les premiers à genoux à terre et les Autres debout. Ils sont dans tous les cas tous emmêlés dans des pénétrations et caresses buccales multiples, et l’ensemble ne forme plus qu’un amas de gémissements divers où l’excitation et le plaisir charnel sont devenus tout autant collectifs qu’individuels, bref c’est une orgie qui bat son plein !

Au centre et à l’origine de cette forme presque pyramidale, agrégat de chairs humaines nues ou parfois encore légèrement vêtues, se trouve un couple homo de Dominants, amis intimes de Monsieur le Marquis d’Evans. Ces deux Hommes inséparables vivent ensemble depuis de nombreuses années et ils ont trouvé un équilibre très particulier et assez fusionnel dans leur couple qui est très équilibré dans la vie tout autant que dans leur sexualité partagée. Ils sont de nature Dominant D/s autant l’un que l’autre, relativement pervers dans leur Dominance et ayant même quelques attirances par le SM lorsqu’ils peuvent trouver à le pratiquer aves des partenaires soumis désireux de vivre plus intensément certaines expériences plus hard que soft. A l’inverse de beaucoup de couples homo où souvent l’un des deux est plus passif que l’autre, laissant parfois ressortir plus ou moins son côté féminin, les deux « DuoDoms », comme ils se nomment eux-mêmes refusant de s’individualiser au sein de la communauté BDSM qu’ils fréquentent toujours ensemble, sont deux beaux mâles virils bien membrés qui se partagent les plaisirs charnels à tour de rôle, aimant autant recevoir que pénétrer, utilisant au maximum toutes les possibilités et tous les trous dont la nature les a pourvu pour deux libidos effrénées qui sont encore dans la fleur de l’âge de leur virilité commune.

Les deux « DuoDoms » n’ont aucun lien de sang, mais ils ont cultivé une telle ressemblance dans la manière de se vêtir, de se coiffer, de parler, de se comporter qu’on les prend parfois pour des sosies, et ceci d’autant plus qu’ils sont physiquement assez proche en taille et en apparence, musclée et carrée. Leurs deux vies professionnelles sont totalement séparées au quotidien puisque l’un des deux est commissaire-priseur et l’autre est expert-comptable, mais ils ont pris l’habitude d’acheter tous leurs vêtements, sous-vêtements, accessoires et costumes en double, choisissant délibérément de porter des tenues similaires chaque jour dans le cadre de leur activité professionnelle, tenus tant l’un que l’autre à rester en costard-cravate toute la semaine. Cette particularité, qui reste discrète et imperceptible pour leurs clients respectifs vanille, leur permet de penser un peu plus à l’autre tout au long de la journée de travail, se trouvant ainsi encore plus en parfaite osmose vestimentaire, tout autant qu’affective. Pour éviter des querelles intestines qui ne serviraient à rien dans la stabilité du couple, ils ont décidés que l’un des deux choisirait le costume les jours pairs et l’autre les jours impairs et ce alternativement d’une année sur l’autre, à cause des mois de 31 jours. Un tantinet terriblement maniaques tous les deux, aimant fonctionner avec des règles précises incontournables, ils se sont bien trouvés à se réunir pour partager leurs vies et ils ont réussi à créer, dans ce tandem dans lequel il est parfois difficile, surtout de loin ou de dos, de distinguer l’un de l’autre, un équilibre qui leur a aussi permis à tous les deux qui avaient été des enfants uniques de trouver à la fois un partenaire de vie commune, mais aussi le frère complice qui avait du leur manquer autant à l’un qu’à l’autre et dont il avait rêvé enfant.

Résolument homosexuels n’ayant aucun attrait pour la gente féminine, les « DuoDoms » ont tirés deux boules argentées et se sont vus attribués deux esclaves du cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans, les chiens-mâles N°12MDE et N°25MDE. Ils sont venus également à la soirée accompagnés de deux soumis qui ont la particularité d’être jumeaux de naissance, ce qui n’avait pu que plaire à ce couple de Dominants à la recherche de deux esclaves D/s qui pourraient s’entendre entre eux deux et avec eux deux aussi pour former un quatuor parfait de 2 Dominants avec leurs 2 dominés interchangeables à volonté, les deux esclaves ayant pour obligation dans cette relation D/s particulière de ne pas appartenir chacun à un seul Dominant, mais solidairement au couple formé par les « DuoDoms », adéquation bien plus difficile qu’il n’y paraît pour trouver la paire adaptée de soumis pouvant fonctionner sur ce principe de double dualité. Lorsque fréquentant la communauté gay, ils avaient rencontré ce couple de jeunes homo qui ne rechignaient pas, bien au contraire malgré leurs liens familiaux, à partager leurs plaisirs charnels dans des ébats multiples auxquels ils aimaient à participer ensemble, ils avaient tous les quatre très vite sympathisé d’autant plus que les deux homosexuels bien que n’ayant jamais vraiment pratiqué une sexualité SM reconnue comme telle avaient autant l’un que l’autre une nature de soumis lopette et ils ne demandaient qu’à pouvoir vivre un peu plus leurs fantasmes de soumission sous le joug d’un Dominant qui saurait enfin leur relever leur vraie nature profonde. Depuis, les « DuoDoms » aiment assez régulièrement partager de nombreuses soirées D/s avec les deux jumeaux soumis, lesquels dominés sont bien trop contents de rappliquer dès qu’ils sont conviés à rejoindre ceux dont ils voudraient bien désormais devenir des esclaves plus attitrés et résidant à demeure, mais les deux Dominants ont décidés de les mettre encore à l’épreuve avant de les laisser pénétrer plus avant dans leur couple de manière permanente, ne voulant pas mettre en péril un équilibre de vie vanille pour quelques plaisirs D/s que ce soit, furent-ils pour l’instant à leur convenance à tous les quatre.

Les deux Dominants ont commencé la soirée par échauffer au martinet et à la cravache les croupes de leurs deux soumis pour les rendre plus sensibles et colorées, n’hésitant pas régulièrement à venir faire gicler les lanières dans l’entrecuisse des deux lopettes, frappant sur les couilles et les sexes habitués à être souvent malmenés, pour ces deux soumis qui apprécient de plus en plus les plaisirs masochistes et la douleur excitante qui les fait bander intensément, décuplant après les plaisirs de la jouissance lorsqu’ils peuvent atteindre l’éjaculation. Les deux soumis sont maintenant à genoux, arcboutés en levrette, presque en face à face, chacun ayant du poser son cou sur l’épaule droite de son frère pour être plus proches l’un de l’autre. Ils portent leur collier de chienne duquel pend une chaîne qui est attaché au sexe de l’autre muni d’une série de plusieurs anneaux de contraintes en métal si bien que leurs gestes réciproques sont de fait solidarisés et ce d’autant plus que leurs seins sont également pincés par deux chainettes entrecroisées, si bien que tous les mouvements même minimes de l’un ou de l’autre entrainent obligatoirement une tension supplémentaire sur le pénis et/ou les tétons des deux dominés qui arborent tous les deux une bandaison des plus respectables.

Les « DuoDoms » enculent chacun l’un des deux soumis qu’ils labourent bestialement, les ayant attrapés par les fesses déjà bien rouges qu’ils empoignent avec vigueur pour les forcer dans la cadence que chacun impose à celui qu’il sodomise de se livrer et de s’ouvrir encore plus pour une pénétration anale des plus profondes jusqu’à ce que leur couilles viennent en butée sur la rondelle dilatée. A chaque coup de butoir les deux soumis qui ne peuvent se dérober ressentent les deux chaines venir un peu plus tirailler leurs mamelons pincés mais également leurs sexes qui ressentent encore plus intensément les va et vient sodomites étirant par tension leur hampes et leurs deux glands, ce qui a pour effet d’imposer une sorte de masturbation par chaines interposées. Pour compléter le plaisir de la pénétration phallique, les deux Dominants ont imposés aux deux esclaves-mâles du cheptel N°12MDE et N°25MDE dont ils ont la libre disposition pour toute la soirée de venir s’installer derrière eux pour se faire lécher longuement les couilles, le périnée et le cul, afin de pouvoir augmenter leurs sensations, ce qui n’est pas sans poser quelques soucis aux deux chiens-esclaves qui doivent se forcer de suivre en avant et en arrière les coups de reins pénétrants des deux Dominants dont ils reçoivent souvent en pleine figure le postérieur, d’autant plus qu’ils sont maintenus assez proches par leur laisse que les « DuoDoms » ont pris en main.

A cette heure où les ébats deviennent largement pluriels, un autre Dominant ami de longue date des « DuoDoms » s’est approché, demandant s’il pouvait profiter de la situation et prendre à son tour l’anus de l’esclave N° 12MDE qui semblait bien inutilisé dans l’affaire, tandis qu’il se ferait lécher également le cul par son chien-mâle. Les « DuoDoms » ont sans aucun souci accepté proposant même à ceux autour qui le voulaient de continuer à se rattacher à cette « chenille » d’enculades multiples de chiens-mâles chargés de lécher voluptueusement le cul de celui qui se trouve immédiatement devant, pour que le foutre puisse jaillir copieusement et remplir tous ces petits trous de vide-couilles qui ne demandent pas mieux. Devant ce petit tableau presque symétrique qui n’a pas manqué d’attirer l’attention d’autres invités, plusieurs se sont également pris au jeu, de venir compléter la scène relativement excitante qui ondule au gré des pénétrations phalliques des Dominants entre lesquels s’intercalent des esclaves sodomisés.

Se souciant peu de ce qui se passe de chaque côté et dans leurs dos, les deux « DuoDoms » se regardent profondément dans les yeux, rythmant leur sodomie presque comme s’ils ne formaient plus qu’un seul corps se mouvant en symbiose, chacun essayant de voir le plaisir sexuel monter dans les yeux de l’autre pour arriver ensemble à l’éjaculation suprême. Amoureusement, régulièrement ils se penchent l’un vers l’autre pour échanger de langoureux baisers homosexuels obligeant alors leurs deux soumis attachés ensemble à s’arcbouter encore plus pour pouvoir, tout en maintenant la pénétration anale, permettre aux deux bouches des « DuosDoms » de se rejoindre et de se fondre lèvres contre lèvres, langue contre langue. C’est dans de profonds râles bestiaux qu’ils se répandent ensemble, continuant de se vider avec quelques coups de butoir supplémentaires tandis qu’ils s’effondrent de plaisirs dans les bras l’un de l’autre et dans un long baiser sauvage à pleine bouche, ajoutant le plaisir du contact des deux langues inquisitrices à l’idée de la pénétration de leurs deux queues qui sont encore enfouies dans les anus de leurs deux soumis. Lesquels, sous l’effet des tiraillements de leurs queues attachées par une chaine et sous l’effet des mouvements de plus en plus intenses des « DuosDoms » et de leur excitation croissante ont également fini par éjaculer tant l’un que l’autre, car le quatuor semble fonctionner à merveille…
(A suivre …)

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