La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°425 -
Les deux Dominants se redressent enfin, repus de jouissance et de plaisirs charnels, intimant aux deux esclaves du cheptel de rester sans bouger, conservant leur croupe à la disposition de celui qui a pris possession de leur anus, et ce jusqu’à l’éjaculation et le retrait de celui-ci. Ils libèrent de leurs chaînes et chainettes de seins leurs deux soumis lopettes également un peu épuisés et meurtris tant par les échauffements D/s qui ont précédés ces ébats que par la sodomie bestiale qu’ils viennent de subir de manière assez contraignante. Mais les deux soumis n’en sont pas quitte pour autant, obligés de devoir nettoyer toute trace de sperme sur les verges souillées des « DuoDoms » avant de s’entendre dire, d’une voix commune, presque comme si les deux Dominants complices avaient eu la même pensée au même instant
- Et bien les lopettes, on dirait que vous avez la queue qui a « bavé » sur le parquet. Vous aimez cela être prises comme des chiennes. Qu’est-ce qu’on dit alors ?
Les deux soumis jumeaux s’inclinent profondément et respectueusement et d’une seule voix ânonnent un texte qui semble appris par cœur et répété de multiples fois.
- Merci à vous, Maîtres « DuoDoms », de nous avoir l’un et l’autre bien laminé le cul à tous les deux et de nous avoir utilisé pour vider vos couilles pleines de mâles bien membrés.
Le premier des deux Dominants rétorque aussi sec :
- Pour le Merci, on va l’accepter, bien qu’il soit venu un peu tard après qu’on ait été obligé de vous reprendre. Vous copierez donc comme à l’accoutumé cette phrase 100 fois chacun. Peut-être que la prochaine fois cela viendra plus spontanément.
Suivi peu après par le deuxième des Dominants qui enchaîne.
- Mais est-ce que ce sont des manières d’esclaves bien dressés que de se répandre ainsi par terre sans autorisation de surcroît. Cela mérite une punition supplémentaire dont nous allons convenir sans tarder. Mais pour commencer, vous allez immédiatement lécher vos saletés par terre, avant que Monsieur le Marquis lui-même ne vienne vous botter le cul d’avoir osé, avec votre vulgaire laitance poisseuse, salir son parquet si légendaire qui a été foulé par le Marquis de Sade en personne, il y a bien des décennies de cela. Et puis vous vous lécherez le cul à tour de rôle, car pas question de laisser se perdre notre précieuse semence onctueuse à souhait qui commence à vouloir ressortir de vos trous béants et dont vous allez pouvoir vous régaler avant de venir à nouveau nous remercier pour ce petit dessert succulent que nous avons eu l’amabilité de vous offrir.
Monsieur le Marquis d’Evans qui n’a pas quitté la scène des yeux, regardant cette ribambelle d’enculés et de Dominants sodomites avec un profond ravissement de pouvoir offrir à Ses invités de telles soirées où les ébats orgiaques rivalisent d’ingéniosité D/s et sexuelles. Le Châtelain s’aperçoit que Ses deux très chers Amis, les « DuoDoms » semblent maintenant avoir repris leurs esprits et IL s’approche pour les saluer.
- Très chers amis, il n’y a rien de tel que le visage radieux d’un Homme qui vient d’éjaculer. Je suis si heureux de vous voir prendre du plaisir en Ma demeure. Votre couple homosexuel semble toujours si assorti, que j’ai parfois du mal à savoir lequel est Marc et lequel est Jean. Mais pardonnez-moi, j’oubliais qu’en cette soirée, vous portez au sein de notre communauté D/s exclusivement Votre nom commun « DuoDoms » qui caractérise si bien votre couple de Dominants. Je dois avouer, ayant pris plaisir à vous observer, que vous avez une manière très particulière de faire l’amour par soumis interposés, yeux dans les yeux, vous baisant la bouche à défaut du corps.
- Très Cher Marquis d’Evans, c’est nous qui sommes particulièrement heureux d’être à vos côtés en cette soirée anniversaire et qui vous remercions pour tous ces merveilleux moments que nous avons passés depuis notre arrivée. La soirée est exquise à souhait et nous savons qu’entre ces Nobles murs, nous pouvons assouvir sans crainte toutes nos passions D/s et/ou sexuelles sans craindre le « qu’en dira-t-on » et les regards en coin de ceux qui ne comprennent pas ou n’approuvent pas nos manières de faire et nos pulsions innées.
Et presque sans marquer de temps de pause, l’autre des deux Dominants enchaîne aussi sec.
- Lorsque nous sommes seuls en couple à la maison, nous avons une manière plus « traditionnelle » de faire l’amour à deux. Enfin, je ne sais pas si le terme « traditionnel » est vraiment le plus adéquat pour deux homosexuels qui baisent entre eux et se prennent par derrière pour s’enfiler la queue dans l’unique trou que la nature nous a laissé. Mais de fait, nous ne pouvons pas prendre autant de plaisirs ensemble et en même temps, tout en partageant nos regards et nos baisers. Nos deux soumis lopettes sont bien utiles outre les pulsions de Domination que nous ressentons à les Maîtriser tout à loisirs, et visiblement ces deux chiennes ont aussi su profiter de la soirée à tel point qu’elles n’ont pas su se retenir et en ont même sali votre parquet légendaire. Mais nous avons bien prévu de les punir pour cette indélicatesse dès qu’elles auront fini de nettoyer leurs saletés.
- Mais, Monsieur le Marquis d’Evans, peut-être voudriez-vous choisir Vous-même la punition la plus adaptée pour deux chiennes baveuses de la queue qui se croient autorisée à jouir avant même d’en avoir reçu l’ordre ?
- Très Chers Amis, je pense que je vais vous laisser le soin de décider vous-mêmes du châtiment qui sera la plus adapté au but que vous recherchez avant tout. Je ne connais pas les réactions et les goûts de vos deux animaux de compagnie, ce qui me laisse à penser que je pourrais décider d’une sanction, qui serait bien plus un délice à leurs yeux qu’un petit supplice punitif. Et puis, je vois que la plupart de nos amis qui avaient eu l’idée de se joindre à votre « chenille » pour cette sodomie collective sont à leur tour en train de terminer leur « participation » des plus ré-jouissantes. Je me dois donc de saluer un peu plus chacun et les remercier pour ce petit spectacle que j’ai pu apprécier, pas mécontent en outre d’avoir vu notre photographe de service qui a immortalisé la scène pour la postérité. Je vous ferai parvenir les photos en ayant pris soin comme chaque fois de masquer les visages identifiables de tous les autres Dominants et dominés présents sur chaque cliché, car il n’y a que sur Mes propres esclaves que j’ai un droit à l’image total qui me laisse toute latitude de décider de ce que je souhaite ou pas diffuser de leur corps qui m’appartient totalement, et en particulier de leur intimité ou de leur identité que je me dois également de protéger.
Le Marquis d’Evans se retourne vers ses autres amis et propose pour clôturer dans la bonne ambiance cette enculade générale de se faire porter par des soubrettes réquisitionnées plusieurs coupes de champagne pétillante, tandis que peu à peu chacun se remet de ces ébats, se rhabille parfois pour ranger une queue dégonflée qui se remet à pendouiller. Les deux soumis, ayant terminé de nettoyer le parquet et s’étant également léché le cul respectivement pour le nettoyer et le débarrasser de toute trace de coulure de sperme, reviennent près des « DuoDoms » une fois leur tâche accomplie et d’une même voix, sans cette fois-ci attendre et perdre une seconde au risque de se faire reprendre, ânonnent à nouveau une phrase qui semble là également apprise par cœur et répétée de multiples fois.
- Merci à vous, Maîtres « DuoDoms », de nous avoir l’un et l’autre régalé de votre délicieuse semence dont nous sommes encore si peu dignes à ce jour et pas assez reconnaissants.
L’un des deux Dominants prend la parole, suivi aussi sec par l’autre, après s’être entretemps concerté sur la punition qu’ils avaient décidés d’imposer qui servirait en outre de divertissement supplémentaire pour terminer une prestation orgiaque, mais pas démoniaque, à laquelle plusieurs invités avaient fini par prendre part.
- Vous aviez tant envie de jouir que vous n’avez pas su résister à l’envie, et bien au lieu de vous priver, nous allons vous obliger à recommencer le plus vite possible.
- Mais évidemment, cela risque de ne pas être des plus faciles pour arriver au terme d’une nouvelle jouissance et nous ne vous détacherons que lorsque nous aurons vu vos vulgaires laitances de lopettes à nouveau sortir de vos misérables nouilles recroquevillées. A vous de vous activer, si vous ne voulez pas subir …… le reste ….. mais là surprise !!!
Les « DuoDoms » font installer leurs deux soumis jumeaux en 69, allongés l’un sur l’autre de manière à ce que la bouche de chacun se trouve à la hauteur du sexe de l’autre. Se servant de multiples ceintures de cuir, ils saucissonnent ainsi les deux corps serrés l’un contre l’autre ayant forcé chacun à entrouvrir la bouche pour y insérer le petit bout de verge ramolli. Les deux corps sont ainsi solidarisés sur toute la longueur du bout des pieds au bout des doigts, chacun ayant été obligés d’allonger les bras au-dessus de la tête en pendant des jambes de l’autre. Seules les deux têtes sont un peu moins serrées pour laisser malgré tout à chacun assez de place pour pouvoir respirer convenablement, et par ailleurs elles sont protégées à l’arrière par deux coussins. Bien que les deux soumis superposés et inversés n’aient pas encore compris l’utilité de cette précaution sur leur boite crânienne, ils se doutent juste qu’ils doivent sans tarder se mettre à se sucer mutuellement pour faire regonfler leur queue au plus tôt.
Tandis que les autres invités qui entourent Monsieur le Marquis d’Evans partagent en sa compagnie quelques bulles pétillantes, les deux Dominants assez fiers de leur « saucisson » ceinturé de part en part sur toute la longueur, se mettent à commencer à le faire rouler au milieu de l’assemblée, ne se privant pas au passage de laisser quelques coups de cravache venir se perdre sur la croupe de celui qui est momentanément sur le dessus. Les deux lopettes ont beaucoup de mal à se concentrer sur leur fellation respective, d’autant plus qu’ils sont tournés et retournés dans un sens ou dans un autre, sentant le cuir et les attaches des ceintures très serrées venir se marquer dans leurs chairs comprimées. Chacun dans l’assemblée y va pour faire tourner en rond un peu plus les deux soumis, les poussant de la main ou du pied, sous des quolibets des plus humiliants envers ceux qui n’ont pas su se retenir tandis qu’ils avaient juste à subir les assauts virils et pénétrants des deux Dominants. La situation assez cocasse, à la fois humiliante et excitante, est telle que les deux lopettes ont très vite ressenti une nouvelle envie de bander, leur queue bien au chaud dans une bouche accueillante, titiller par une langue de chienne bien dressée. Et bien évidemment cette punition (mais est-ce vraiment une punition D/s ou plus précisément une petite compensation jouissive accordée par les « DuoDoms » qui ont pris un plaisir intense à pouvoir baiser ainsi à quatre) se termine au bout d’un assez moment par deux nouvelles éjaculations concomitantes. Les deux soumis sont libérés et autorisés à venir tremper leurs lèvres dans les verres de champagne des deux Dominants auxquels ils ont depuis plusieurs mois décidé de se soumettre pour leurs plaisirs communs à tous les quatre.
(A suivre ….)
Les deux Dominants se redressent enfin, repus de jouissance et de plaisirs charnels, intimant aux deux esclaves du cheptel de rester sans bouger, conservant leur croupe à la disposition de celui qui a pris possession de leur anus, et ce jusqu’à l’éjaculation et le retrait de celui-ci. Ils libèrent de leurs chaînes et chainettes de seins leurs deux soumis lopettes également un peu épuisés et meurtris tant par les échauffements D/s qui ont précédés ces ébats que par la sodomie bestiale qu’ils viennent de subir de manière assez contraignante. Mais les deux soumis n’en sont pas quitte pour autant, obligés de devoir nettoyer toute trace de sperme sur les verges souillées des « DuoDoms » avant de s’entendre dire, d’une voix commune, presque comme si les deux Dominants complices avaient eu la même pensée au même instant
- Et bien les lopettes, on dirait que vous avez la queue qui a « bavé » sur le parquet. Vous aimez cela être prises comme des chiennes. Qu’est-ce qu’on dit alors ?
Les deux soumis jumeaux s’inclinent profondément et respectueusement et d’une seule voix ânonnent un texte qui semble appris par cœur et répété de multiples fois.
- Merci à vous, Maîtres « DuoDoms », de nous avoir l’un et l’autre bien laminé le cul à tous les deux et de nous avoir utilisé pour vider vos couilles pleines de mâles bien membrés.
Le premier des deux Dominants rétorque aussi sec :
- Pour le Merci, on va l’accepter, bien qu’il soit venu un peu tard après qu’on ait été obligé de vous reprendre. Vous copierez donc comme à l’accoutumé cette phrase 100 fois chacun. Peut-être que la prochaine fois cela viendra plus spontanément.
Suivi peu après par le deuxième des Dominants qui enchaîne.
- Mais est-ce que ce sont des manières d’esclaves bien dressés que de se répandre ainsi par terre sans autorisation de surcroît. Cela mérite une punition supplémentaire dont nous allons convenir sans tarder. Mais pour commencer, vous allez immédiatement lécher vos saletés par terre, avant que Monsieur le Marquis lui-même ne vienne vous botter le cul d’avoir osé, avec votre vulgaire laitance poisseuse, salir son parquet si légendaire qui a été foulé par le Marquis de Sade en personne, il y a bien des décennies de cela. Et puis vous vous lécherez le cul à tour de rôle, car pas question de laisser se perdre notre précieuse semence onctueuse à souhait qui commence à vouloir ressortir de vos trous béants et dont vous allez pouvoir vous régaler avant de venir à nouveau nous remercier pour ce petit dessert succulent que nous avons eu l’amabilité de vous offrir.
Monsieur le Marquis d’Evans qui n’a pas quitté la scène des yeux, regardant cette ribambelle d’enculés et de Dominants sodomites avec un profond ravissement de pouvoir offrir à Ses invités de telles soirées où les ébats orgiaques rivalisent d’ingéniosité D/s et sexuelles. Le Châtelain s’aperçoit que Ses deux très chers Amis, les « DuoDoms » semblent maintenant avoir repris leurs esprits et IL s’approche pour les saluer.
- Très chers amis, il n’y a rien de tel que le visage radieux d’un Homme qui vient d’éjaculer. Je suis si heureux de vous voir prendre du plaisir en Ma demeure. Votre couple homosexuel semble toujours si assorti, que j’ai parfois du mal à savoir lequel est Marc et lequel est Jean. Mais pardonnez-moi, j’oubliais qu’en cette soirée, vous portez au sein de notre communauté D/s exclusivement Votre nom commun « DuoDoms » qui caractérise si bien votre couple de Dominants. Je dois avouer, ayant pris plaisir à vous observer, que vous avez une manière très particulière de faire l’amour par soumis interposés, yeux dans les yeux, vous baisant la bouche à défaut du corps.
- Très Cher Marquis d’Evans, c’est nous qui sommes particulièrement heureux d’être à vos côtés en cette soirée anniversaire et qui vous remercions pour tous ces merveilleux moments que nous avons passés depuis notre arrivée. La soirée est exquise à souhait et nous savons qu’entre ces Nobles murs, nous pouvons assouvir sans crainte toutes nos passions D/s et/ou sexuelles sans craindre le « qu’en dira-t-on » et les regards en coin de ceux qui ne comprennent pas ou n’approuvent pas nos manières de faire et nos pulsions innées.
Et presque sans marquer de temps de pause, l’autre des deux Dominants enchaîne aussi sec.
- Lorsque nous sommes seuls en couple à la maison, nous avons une manière plus « traditionnelle » de faire l’amour à deux. Enfin, je ne sais pas si le terme « traditionnel » est vraiment le plus adéquat pour deux homosexuels qui baisent entre eux et se prennent par derrière pour s’enfiler la queue dans l’unique trou que la nature nous a laissé. Mais de fait, nous ne pouvons pas prendre autant de plaisirs ensemble et en même temps, tout en partageant nos regards et nos baisers. Nos deux soumis lopettes sont bien utiles outre les pulsions de Domination que nous ressentons à les Maîtriser tout à loisirs, et visiblement ces deux chiennes ont aussi su profiter de la soirée à tel point qu’elles n’ont pas su se retenir et en ont même sali votre parquet légendaire. Mais nous avons bien prévu de les punir pour cette indélicatesse dès qu’elles auront fini de nettoyer leurs saletés.
- Mais, Monsieur le Marquis d’Evans, peut-être voudriez-vous choisir Vous-même la punition la plus adaptée pour deux chiennes baveuses de la queue qui se croient autorisée à jouir avant même d’en avoir reçu l’ordre ?
- Très Chers Amis, je pense que je vais vous laisser le soin de décider vous-mêmes du châtiment qui sera la plus adapté au but que vous recherchez avant tout. Je ne connais pas les réactions et les goûts de vos deux animaux de compagnie, ce qui me laisse à penser que je pourrais décider d’une sanction, qui serait bien plus un délice à leurs yeux qu’un petit supplice punitif. Et puis, je vois que la plupart de nos amis qui avaient eu l’idée de se joindre à votre « chenille » pour cette sodomie collective sont à leur tour en train de terminer leur « participation » des plus ré-jouissantes. Je me dois donc de saluer un peu plus chacun et les remercier pour ce petit spectacle que j’ai pu apprécier, pas mécontent en outre d’avoir vu notre photographe de service qui a immortalisé la scène pour la postérité. Je vous ferai parvenir les photos en ayant pris soin comme chaque fois de masquer les visages identifiables de tous les autres Dominants et dominés présents sur chaque cliché, car il n’y a que sur Mes propres esclaves que j’ai un droit à l’image total qui me laisse toute latitude de décider de ce que je souhaite ou pas diffuser de leur corps qui m’appartient totalement, et en particulier de leur intimité ou de leur identité que je me dois également de protéger.
Le Marquis d’Evans se retourne vers ses autres amis et propose pour clôturer dans la bonne ambiance cette enculade générale de se faire porter par des soubrettes réquisitionnées plusieurs coupes de champagne pétillante, tandis que peu à peu chacun se remet de ces ébats, se rhabille parfois pour ranger une queue dégonflée qui se remet à pendouiller. Les deux soumis, ayant terminé de nettoyer le parquet et s’étant également léché le cul respectivement pour le nettoyer et le débarrasser de toute trace de coulure de sperme, reviennent près des « DuoDoms » une fois leur tâche accomplie et d’une même voix, sans cette fois-ci attendre et perdre une seconde au risque de se faire reprendre, ânonnent à nouveau une phrase qui semble là également apprise par cœur et répétée de multiples fois.
- Merci à vous, Maîtres « DuoDoms », de nous avoir l’un et l’autre régalé de votre délicieuse semence dont nous sommes encore si peu dignes à ce jour et pas assez reconnaissants.
L’un des deux Dominants prend la parole, suivi aussi sec par l’autre, après s’être entretemps concerté sur la punition qu’ils avaient décidés d’imposer qui servirait en outre de divertissement supplémentaire pour terminer une prestation orgiaque, mais pas démoniaque, à laquelle plusieurs invités avaient fini par prendre part.
- Vous aviez tant envie de jouir que vous n’avez pas su résister à l’envie, et bien au lieu de vous priver, nous allons vous obliger à recommencer le plus vite possible.
- Mais évidemment, cela risque de ne pas être des plus faciles pour arriver au terme d’une nouvelle jouissance et nous ne vous détacherons que lorsque nous aurons vu vos vulgaires laitances de lopettes à nouveau sortir de vos misérables nouilles recroquevillées. A vous de vous activer, si vous ne voulez pas subir …… le reste ….. mais là surprise !!!
Les « DuoDoms » font installer leurs deux soumis jumeaux en 69, allongés l’un sur l’autre de manière à ce que la bouche de chacun se trouve à la hauteur du sexe de l’autre. Se servant de multiples ceintures de cuir, ils saucissonnent ainsi les deux corps serrés l’un contre l’autre ayant forcé chacun à entrouvrir la bouche pour y insérer le petit bout de verge ramolli. Les deux corps sont ainsi solidarisés sur toute la longueur du bout des pieds au bout des doigts, chacun ayant été obligés d’allonger les bras au-dessus de la tête en pendant des jambes de l’autre. Seules les deux têtes sont un peu moins serrées pour laisser malgré tout à chacun assez de place pour pouvoir respirer convenablement, et par ailleurs elles sont protégées à l’arrière par deux coussins. Bien que les deux soumis superposés et inversés n’aient pas encore compris l’utilité de cette précaution sur leur boite crânienne, ils se doutent juste qu’ils doivent sans tarder se mettre à se sucer mutuellement pour faire regonfler leur queue au plus tôt.
Tandis que les autres invités qui entourent Monsieur le Marquis d’Evans partagent en sa compagnie quelques bulles pétillantes, les deux Dominants assez fiers de leur « saucisson » ceinturé de part en part sur toute la longueur, se mettent à commencer à le faire rouler au milieu de l’assemblée, ne se privant pas au passage de laisser quelques coups de cravache venir se perdre sur la croupe de celui qui est momentanément sur le dessus. Les deux lopettes ont beaucoup de mal à se concentrer sur leur fellation respective, d’autant plus qu’ils sont tournés et retournés dans un sens ou dans un autre, sentant le cuir et les attaches des ceintures très serrées venir se marquer dans leurs chairs comprimées. Chacun dans l’assemblée y va pour faire tourner en rond un peu plus les deux soumis, les poussant de la main ou du pied, sous des quolibets des plus humiliants envers ceux qui n’ont pas su se retenir tandis qu’ils avaient juste à subir les assauts virils et pénétrants des deux Dominants. La situation assez cocasse, à la fois humiliante et excitante, est telle que les deux lopettes ont très vite ressenti une nouvelle envie de bander, leur queue bien au chaud dans une bouche accueillante, titiller par une langue de chienne bien dressée. Et bien évidemment cette punition (mais est-ce vraiment une punition D/s ou plus précisément une petite compensation jouissive accordée par les « DuoDoms » qui ont pris un plaisir intense à pouvoir baiser ainsi à quatre) se termine au bout d’un assez moment par deux nouvelles éjaculations concomitantes. Les deux soumis sont libérés et autorisés à venir tremper leurs lèvres dans les verres de champagne des deux Dominants auxquels ils ont depuis plusieurs mois décidé de se soumettre pour leurs plaisirs communs à tous les quatre.
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